O'Hana

Merci de nuancer mon cher Jimmy hi hi Ceci dit, ce cher Claude Piché devrait dire cela aux gens de CS Brooks, Saargummi, Lefko, Bestar, etc qui ont été mises à pied rien que l'année dernière et uniquement dans quelques secteurs bien ciblés (textile, caoutchouc) O'Hana, l'ostineux

Salut la gang, Hum, franchement je ne sais pas ... Je crois que cela dépend comment tu gères et affiche ton célibat : tout est question d'état d'esprit je pense J'ai eu un choc culturel à ce niveau en Australie (mentalité anglo-saxonne aussi) où j'ai découvert que les femmes buvaient autant de la bière que les hommes. Fait qu'en arrivant au Québec, cela ne m'a plus surpris. Mais il est vrai qu'il y a moins ce côté précieux et guindé ici sur le rapport entre les femmes et l'alcool et aussi par rapport au sexe. J'en reviens à ma remarque sur l'état d'esprit ... C'est plus facile de gérer cela lorsque c'est choisi que lorsque c'est imposé, ce dernier signifiant par nature que c'est contre son gré : après, tout dépend de ce qu'on en fait de cet état O'Hana

Salut Phil_H ! Oui, l'alarmiste de service, c'est toute l'histoire de ma vie ... hi hi Donc, nous pouvons conclure objectivement que si ces entreprises accroissent leurs activités d'un côté, les retours ne se font pas nécessairement au profit du bassin de main-d'oeuvre québécois vu que leur nombre d'employés au Québec décroît, lui. Je suis tout à fait d'accord avec toi en termes de rayonnement du Québec sur la scène internationale : Bombardier, Cirque du Soleil, Céline Dion ( ), etc Cela peut effectivement augmenter l'attrait auprès des investisseurs étrangers. Cela démontre également l'efficacité stratégique et commerciale de ces mêmes entreprises ... qui ont cependant compris, au vu des chiffres, que ce n'est pas au Québec qu'elles font l'essentiel de leurs opérations D'ailleurs, ces entreprises d'envergure internationale (l'étude précise que les auteurs ont retenu les entreprises de 500 employés et plus), ne représentent qu'une faible portion dans le total des entreprises québécoises. IMT d'Emploi-Québec va dans le même sens en précisant, pour l'Estrie par exemple (siège social de Bombardier Produits Récréatifs au passage) que plus de 80% des entreprises estriennes sont des TTE (tites tites entreprises). Bref, le dynamisme économique au Québec repose essentiellement sur ces dernières et non sur les grandes entreprises. Je connais bien BRP (Bombardier Produits Récréatifs) pour avoir participé à ces deux derniers plans de reclassement de personnel (En France, on dirait plans sociaux) tous les deux dans la même année (mars et décembre 2004). Ce qui m'intéresse dans ce sujet spécifiquement, c'est l'avenir des travailleurs québécois : ça leur fera une belle jambe de savoir que les entreprises d'ici marchent très fort ailleurs et qu'elles n'ont conservé au Québec que leurs sièges sociaux (là, j'admet mon alarmisme intentionnel ). D'ailleurs, Bombardier Aéronautique ne construit quasiment plus ses avions au Québec : ils construit ses pièces ailleurs dans le monde et ne fait que les assembler à Mirabel. La nuance est importante. O'Hana

J'ai pas tout lu (il y a quand même 64 pages) mais très intéressant en effet. À date, cela ne me semble pas nécessairement positif pour le Québec car cette trentaine d'entreprises ont une tendance lourde à la délocalisation : le nombre de leurs employés augmente parce qu'elles font des acquisitions à l'étranger et non nécessairement parce qu'elles embauchent au Québec. Seul le secteur des services semble se maintenir (maintien voire hausse du nombre d'employés au Québec) : ce qui viendrait confirmer le déplacement, à l'échelle mondial, du pôle productif vers les pays en voie de développement et de la consolidation du pôle des services dans les pays occidentalisés (ce que le départ à la retraite des baby-boomers renforce). O'Hana

Salut Papillon, Je crois qu'il faut avoir une vision plus large de la situation pour en avoir une interprétation plus ajustée : il est évident que de prendre les chiffres de manière absolue conduit à un évident déséquilibre entre les deux projets que tu amènes ici. Dans une dynamique globale et même économique, je comprend la logique de ses deux décisions : l'un m'apparaît plus localisé que ce soit en terme de région (la Beauce) que sectorielle (la production porcine). Alors que le second se veut apparemment beaucoup plus globale (promotion internationale) et multisectoriel (ils ne précisent spécifiquement quel type de travailleurs stratégiques étrangers ils souhaitent attirer ici). Nous savons tous que le nerf de la guerre dans un projet d'intégration d'un immigrant dans son pays d'accueil est l'insertion en emploi : ici, tu nous livres deux mesures cherchant à atteindre cet objectif apparemment. Après, qu'est-ce qui est important ? Attirer des capitaux (ils parlent aussi d'investisseurs étrangers) susceptibles de créer des emplois à postériori qui profiteront à tous en théorie, immigrants ou non ... ou agir en aval en qualifiant la main-d'oeuvre dans des projets déjà créés ? Bien sûr, plus d'argent serait nécessaire partout ... Je ne défend pas la pertinence de ces deux projets, je reconnais seulement les efforts fournis. O'Hana

Salut la gang, Je me fie sur le passage qui a été collé dans ce post par Hebus : avis vraiment mitigé pour ma part ... Un exemple parmi tant d'autres : scandale des commandites, ça leur dit quelque chose ? Sans parler de la succession qui s'est opérée en toute impunité entre Chrétien et Martin sur la direction du PLC, une instabilité politique actuellement (on risque de repartir en élections générales moins d'un an après les dernières ...) Plaines d'Abraham, les Patriotes, le FLQ, les référendums sur la souveraineté ... ça ne ressemble pas à une édification faite sans tapages. D'autant plus que les auteurs soulignent le Grand Dérangement vécu par les acadiens un peu plus loin ! Si on considère que la Gouverneure Générale du Canada a encore une certaine utilité dans le "fédéralisme pragmatique" canadien. Combien a coûté déjà aux contribuables que nous sommes son dernier voyage en Russie ? J'aime le choix du mot "dérive" pour qualifier l'histoire de l'immigration au Canada (j'ironise). O'Hana

Salut Corsa, Quitter un pays ce n'est pas pour autant l'oublier selon moi. Et ça fait plus de six ans dans mon cas que j'ai quitté tout territoire français, mais je continue d'écouter quotidiennement le Journal de France 2 sur TV5 par exemple. Mais il y a une nette différence entre se tenir au courant lorsqu'on est plus dans son pays d'origine et être affecté directement lorsqu'on y vit encore. Je ne me sens donc plus la légitmité morale de voter même si je conserve la légitimité juridique. Je trouverai difficile que des gens qui ne savent plus grand chose de mon quotidien puisse avoir un certain impact sur ce dernier. O'Hana

Je crois que les étudiants français de 26 ans et moins sans conjoint sont automatiquement admissibles au régime d'assurance-médicament du Québec sans frais. Info à confirmer cependant, je ne retrouve plus la source. Peut-être que cette page du BIQ de Paris donne plus d'infos à ce sujet. O'Hana

Entièrement d'accord avec PP. Par contre, ils pourraient faire une exception pour ceux qui étaient déjà au Canada depuis au moins un an lorsqu'ils sont devenus RP. Meu non je ne prêche pas pour ma paroisse O'Hana

Salut la gang, J'aurai tendance à dire aussi que plus le système social d'un pays est développé, plus le bénévolat est moins présent considérant que la forte présence de l'Etat dans ce domaine. Cependant, je crois qu'il faut distinguer social et social : il y le social qui crée une réelle situation d'assistanat et le social qui chercher à promouvoir l'autonomie chez l'individu. Question d'équilibre. Le bénévolat prend une autre forme dans ces pays que tu cites, excluant le Brézil. Ce sont les groupes religieux qui prennent le relais en fournissant services d'éducation, de logement, etc là où l'Etat est absent faute de moyens ou tout simplement de volonté politique. Mon père s'est rendu récemment en Indonésie et il fût impressionné par la rapidité avec laquelle les groupes religieux islamiques sont intervenus auprès des populations en détresse après le tsunami bien avant que les organisations internationales ne débarquent avec leurs grosse structures. Mais je m'éloigne du sujet là, désolé ! O'Hana

... Parce qu'on peut aspirer à autre chose dans sa vie que simplement travailler et gagner de l'argent O'Hana

Merci Dans ce cas, j'ai peut-être un élément de réponse : l'enseignement au secondaire et au professionnel exige un permis d'enseigner au Québec (depuis l'an dernier seulement pour l'enseignement professionel je crois). Ainsi, le MEQ (ministère de l'éducation du Québec) ne délivre ce permis qu'aux citoyens canadiens et aux résidents permanents. Ainsi, un étudiant étranger inscrit dans un bacc en enseignement ne peut pas travailler comme enseignant (primaire, secondaire et professionnel) au Québec au terme de ses études ... Voilà peut-être pourquoi le BIQ ne t'a pas suivi pour 4 ans dans ton CAQ. Par ailleurs, je sais que la 4ème année du bacc est exclusivement reservée à faire des stages, il n'y a donc plus de cours en tant que tels. Ceci pourrait être une autre raison, j'imagine. Sachant de l'autre côté qu'un étudiant étranger ne peut pas déposer de demande de résidence permanente avant un an de la fin de ses études. Bref, le mieux je pense est que tu prennes contactes avec un centre du MICC dès ton arrivée au Québec pour éclaircir cela avant d'être (très) mal pris dans 3 ans O'Hana

Salut Fanfoi, La question que je me pose est que je pense que tu vas changer de statut même si tu restes sous visa de travail. Je m'explique : tu es actuellement sous visa travail car tu fais un stage non rémunéré. Mais en ayant en main une offre d'emploi, tu ne seras plus en stage mais dans un véritable emploi. Dans ce second cas, il te faudra obtenir l'autorisation de DRHC (ton employeur doit prouver qu'aucun citoyen canadien ne peut occuper ton poste soit pour une question de compétences soit parce qu'aucun citoyen canadien n'a exprimé le désir de l'occuper) pour obtenir un renouvellement de ton permis de travail. Pour l'imposition, tu seras soumis aux mêmes règles qu'un résident permanent ou un citoyen canadien. Ça sera probablement des prélèvements qui seront effectués sur chacune de tes paies. O'Hana

Salut Greg62, Spécial en effet ... À part les baccalauréat en génie et en enseignement, il n'existe pas de programme de formation de quatre ans au Québec (à ma connaissance). Le BIQ suit la durée prévue d'un programme à temps plein pour déterminer la durée de validité : ton programme doit être de 3 ans alors. Si on savait le programme que tu as choisi, cela pourrait peut-être nous éclairer (et si ce n'est pas indiscret bien entendu). Il y a en effet de fortes chances qu'on te refuse un visa fédéral de 4 ans car l'ambassade va suivre la durée inscrite sur le CAQ. Tu seras donc obligé de refaire une demande de CAQ ou de le proroger avant la fin des 3 ans. Je crois que tu confonds CAQ (visa temporaire d'études) et CSQ (visa d'immigration permanente) Tarbais O'Hana

Question que je me pose aussi, car c'est théoriquement impossible ... En tout cas, en tant que français au Québec. Lorsque j'ai fait ma demande de nouveau passeport, je devais obligatoirement amener l'ancien au Consulat. Ils ont découpé le rebord supérieur droit pour l'invalider et ils m'ont donné le nouveau. Et ça peut être dangereux de sortir avec un passeport A et de rentrer avec un passeport B si tous les deux sont encore en circulation ... Facile à vérifier pour l'immigration parce que c'est justement centralisé informatiquement. O'Hana

Salut, Terrible comme situation, courage. Ce que je ne comprend pas, c'est comment cela se fait que ton ancien CAQ ne respectait pas la durée totale de tes études ? Normalement, le MICC délivre un CAQ respectant ces délais pour éviter justement ce type de situation et CIC suit les délais inscrits sur le CAQ. ... À moins que tu n'aies changé de programme ou passé à un autre cyle entretemps (ex : du cégep au bacc ou du bacc à la maîtrise). Pour le permis de 30 jours, c'est normale comme procédure : l'agent des douanes a seul le pouvoir de décider s'il te fait rentrer au Canada ou pas et, deuxièmement, d'évaluer la durée de ton séjour. Ainsi, l'agent que tu as rencontré a dû estimer que 30 jours serait suffisant pour tenter de corriger ta situation au pays. J'avais connu la même situation en 99 lorsque mon visa de travail a expiré : on m'avait donné 30 jours pour régulariser ma situation. Bon courage encore une fois, O'Hana

Salut la gang, - la famille - les amis que j'y ai laissé - l'Océan Pacifique O'Hana

Salut la gang, Une info qui vaut ce qu'elle vaut : Je supervise actuellement une équipe d'étudiants-futurs conseillers en emploi qui font un audit de l'efficacité du service de placement de l'Université de Sherbrooke dans son travail de bien préparer les étudiants aux entrevues d'embauche. Nous avons fait passer un questionnaire à la quarantaine d'employeurs qui sont venus en février dernier faire passer des entrevues (différents domaines d'activité : administration, génie, assurances, agriculture, manufacture, etc de plusieurs régions du Québec). Bref, il ressort que ces employeurs privilégient : - la capacité du candidat à faire des liens significatifs entre son profil et le poste offert au lieu de se limiter à sa formation - la capacité à mettre en relief ses réalisations personnelles et professionnelles en lien avec le poste et ce point sera priorisé même si la formation ne correspond pas à ce qui est recherché - beaucoup insistent sur l'importance de bien connaître l'entreprise (philosophie, culture d'entreprise, dernières décisions stratégiques connues du grand public) et ses produits. Cela peut paraître évident pour certains mais la réalité démontre parfois le contraire - les 2/3 accordent beaucoup d'importance à la lettre de présentation car celle-ci, selon la majorité des commentaires reçus, est une opportunité, selon eux, pour le candidat d'être plus libre dans ses écrits que le certain formalisme qu'exige le c.v. Bon, nous en sommes encore à analyser les données mais c'est intéressant quand même, non ? Si ça en tente certains, je pourrai donner les infos qui ressortiront lorsque nous serons arrivés au thème de l'entrevue ! O'Hana

Je confirme Lizzie : j'ai changé d'adresse deux fois depuis que je suis résident permanent et jamais je n'ai prévenu CIC de ce changement, aucun problème. CIC n'a pas besoin de savoir ce genre d'infos : imagine la paperasse à gérer s'il fallait qu'ils gèrent le déménagement de tous les résidents permanents au pays chaque année O'Hana

Pas sûr ... (comme le dit l'annonce de Québec sur les REER ). Sérieusement, considérant que cela prend "seulement" un DEP pour atteindre cette rémunération, je crois que c'est une excellente opportunité quand on peut la saisir ! Par ailleurs, beaucoup de professions exigeant un DEP atteignent des salaires très confortables (j'inclus la conduite de camion et surtout les métiers de la construction) : si tu savais la moyenne de salaire que beaucoup de mes collègues conseillers en orientation ont (alors que cela exige une maîtrise universitaire), beaucoup envisagent une reconversion dans le transport routier ! Enfin, dans le monde manufacturier (journalier, opérateur, emballeur, etc), les salaires ne sont pas très élevés : souvent, les gens mettent dix ans d'ancienneté pour atteindre un 13 / 14 CAD de l'heure... Alors quand tu peux espérer un 16 CAD de l'heure et plus en devenant camionneur - et si tu peux être subventionné par Emploi-Québec pour chercher la formation - tu ne laisses pas passer ta chance ! O'Hana

Salut nofearstef, Je te pointe une page qui parle de la formation de DEP en conduite de camion (au Québec). C'est effectivement une profession très en demande ... Ce qui signifie que les centres de formation professionnelles sont bien remplis dans cette filière. Attention : il faut un permis de classe 1 de la SAAQ pour avoir le droit de conduire des camions. Et l'une des conditions d'obtention dudit permis est d'avoir cumulé au moins 24 mois de permis de classe 5 (véhicule de promenade) au Québec. Plus de détails ici. O'Hana

Salut la gang, Exactement la question que je me pose : dépendamment du programme choisi, cela peut prendre plus de temps car certaines formations universitaires sont contingentées (nombre limitée de places disponibles). Dans ce cas, il y a généralement beaucoup de candidats et cela un certain temps pour traiter les demandes. D'autre part, la date limite pour déposer une demande d'admission au premier cycle universitaire était le 1er mars dernier : rendu à la mi-avril, les établissements sont en train d'envoyer les décisions prises (offres d'admission ou non) aux candidats. Enfin, n'oubliez pas le casse-tête que ça doit être dans les établissements actuellement suite à la grève étudiante ... O'Hana

... Ou ça peut se faire en deux temps : - plus haut diplôme obtenu : baccalauréat québécois - plus haute année d'études obtenue : première année de maîtrise complétée O'Hana

L'Université de Sherbrooke (UdeS) est pas si mal non plus dans le domaine des sciences comptables : plus de 85% des étudiants qui se sont présentés à l'examen uniforme de l'Ordre des comptables agréés l'ont réussi en 2003, faisant de cette université la première de toutes les universités québécoises à cet examen. Par ailleurs, l'UdeS a raflé les deux premières places à la compétition nationale (donc, de niveau pancanadien) de simulation boursière qui se tenait au Complexe Desjardins le 20 mars dernier. Meu non je ne prêche pas pour ma paroisse ... O'Hana

Salut la gang de joncs Oui, en effet, immigrer sur un raison de déni peut s'avérer très risqué en effet car il y alors un manque sérieux de lucidité et d'objectivité face non seulement à son projet d'immigration mais surtout face à soi-même. Cependant, dans d'autres cas, une immigration peut conclure sur un réaménagement identitaire réussi : rappelons-nous les bons mots d'Huxley dans ma chronique. Je crois qu'un enfant, dont l'identité est "fragile" jusqu'à une certaine mesure, peut très bien s'adapter à son nouveau pays si ses parents lui assurent toute l'affection et la sécurité dont il a besoin ... Un enfant bénéficie d'une souplesse d'esprit extraordinaire qui le rendent quasiment invulnérable psychologiquement s'il dispose de tuteurs affectifs puissants et vigilants. Je crois que le doute est inhérent à l'immigrant Arslan : ce n'est qu'en essayant qu'on sait. Heureusement ou malheureusement. Il y a aussi une nette différence entre idéaliser outre-mesure et être doté d'un solide optimisme : le premier nie la réalité pour préserver ses illusions alors que le second a mis ses illusions à l'épreuve pour en retirer toute la réalité positive à ses yeux. Différence significative ! Tu plies Arslan et c'est cela qui va te sauver ... Se poser ces questions m'apparaît tout à fait normal et sain. Un scientifique n'a pas une démarche rigoureuse et saine s'il n'est pas motivé par le doute. C'est son moteur, son stimulant ... comme le doute est notre moteur comme immigrant. Merci pour vos compliments et vos riches réflexions ! O'Hana