O'Hana

En fait, un crédit correspond à 3 heures de cours par semaine pendant 5 semaines dans une session qui dure 4 mois (ou 15 semaines) Ainsi, un cours de 2 crédits : 3 heures de cours / semaine / pendant 10 semaines Et un cours de 3 crédits : 3 heures de cours / semaine / pendant 15 semaines Le tout est d'obtenir le nombre de crédits nécessaires pour compléter sa formation (ex : un certificat - 30 crédits ; un baccalauréat - 90 ou 120 crédits ; une maîtrise - 45 crédits). Et aussi de savoir combien coûte un crédit car de ce coût unitaire va en dépendre les frais de scolarité (environ 68$ le crédit à Sherbrooke je crois bien). O'Hana

Salut la gang, Pour avoir fréquenté les deux systèmes universitaires, voilà mon feeling : 1) les frais de scolarité : beaucoup plus élevés au Québec qu'en France. Cette impact financier a beaucoup de répercussions sur la vie scolaire de l'étudiant. Ainsi, probablement que l'étudiant québécois prend "plus au sérieux" ses études dans la mesure où il voit plus concrètement l'impact que cela a sur ses études et sur son avenir (s'il prend les prêts et bourses : endettement à venir). En France, pour l'avoir été moi-même, j'y ai vu plus d'étudiants "touristes" dans les facs : vu que les frais de scolarité y sont plus faibles, on peut se permettre de rater sa première année, faire plusieurs changements de programmes car l'impact financier est moindre ... 2) la mentalité : le phénomène "Tanguy" est moins répandu ici. Travaillant dans le recrutement, il n'est pas rare pour moi de voir des c.v. de personnes dans la vingtaine ayant déjà 10 ans d'expérience professionnelle derrière eux ici. Les jeunes sont rapidement "invités" à devenir autonomes (partir en appartement, prendre l'aide financière pour les études, etc) 3) l'approche face aux études : le système français est plus académique apparemment. Les liens sont moins faits avec le monde du travail comparativement au Québec où l'accent est mis sur telle théorie => application concrète en milieu de travail. Ainsi, les mises en situation, les jeux de rôle, l'apprentissage par projets sont valorisés 4) la taille du système universitaire québécois : francophone en majorité et minoritaire dans l'ensemble nord-américain anglophone. Il y a donc une volonté, peut-être plus forte qu'en France, d'appuyer le savoir-faire québécois en recherche, innovation et développement. Ainsi, une avancée comme un retard technologique est probablement plus palpable considérant la taille du Québec 5) une impression aussi que les études universitaires sont encore une possibilité récente au Québec ... Je vois plus de secondaire et de collégiaux que d'universitaires ici. Il n'y a donc pas encore une grande tradition fortement implantée d'aller jusqu'à l'université et ce, malgré les efforts faits depuis la Révolution Tranquille (surtout considérant les points 1 et 2) O'Hana

Salut, Pour ce genre de séjour (touristique de courte durée aux États-Unis), je fais affaire avec ETFS, une compagnie d'assurance qui propose de bonnes couvertures(et Dieu sait que c'est important vu les frais d'hospitalisation dans ce pays). site internet du groupe ETFS Pour une dizaine de jours, je paie environ entre 20 et 30 dollars canadiens. O'Hana

Bon, un gars s'essaie ... Le Québec s'est toujours distingué du reste du Canada, et ce, bien avant que le Canada ne devienne un pays en 1867. En 1968, se crée le Parti Québécois qui revendique la souveraineté comme seule option viable pour l'avenir du Québec sous la houlette de René Lévesque à l'époque. Deux référendums sur la souveraineté passent où le non à l'indépendance l'emporte. Lors du dernier référendums, en 95, le premier ministre canadien de l'époque, Jean Chrétien, a eu tellement peur que le oui l'emporte qu'il crée le programme des commandites. Programme qui a pour objectif d'augmenter la visibilité du Canada au Québec et qui passe par des agences de communication québécoises. Un audit de la vérificatrice générale du Canada, Sheila Fraser, dévoile des incohérences (elle n'arrive pas à retracer 100 millions des 250 millions CAD du programme). Entretemps, Jean Chrétien a dû passer la main à Paul Martin comme chef du parti libéral du Canada qui est passé tout juste aux dernières élections fédérale. Il est donc premier ministre du pays avec un gouvernement minoritaire. Comme le programme des commandites s'est fait entièrement sous un gouvernement libéral, le scandale ainsi découvert éclabousse essentiellement le parti libéral du canada au point que Paul Martin nomme une commission qui porte le nom du juge/commissaire qui la préside (Gomery) pour retracer les responsabilités. Gomery découvre actuellement apparemment tout un réseau de financement occulte du parti libéral du canada, de commissions, de surfacturations, etc avec les fonds publics du programme des commandites. Avec un gouvernement minoritaire, Paul Martin est donc très fragile actuellement à la Chambre des Communes (l'équivalent de l'Assemblée Nationale française) à Ottawa. Des trois partis d'opposition, deux cherchent maintenant à renverser le gouvernement, soient le Parti Conservateur du Canada et le Bloc Québécois (qui défend les intérêts du Québec sur la scène fédérale). Le troisième (Nouveau Parti Démocratique) a choisi de s'allier au gouvernement suite à un accord passé sur le nouveau budget fédéral. Concrètement : Parti conservateur + Bloc Québécois ont à eux deux 153 députés. Le Parti Libéral (parti actuellement au pouvoir) + le NPD ont à eux deux 150 députés. Il lui manque donc 3 voix pour obtenir la parité, parité qu'il pourrait obtenir avec les trois députés indépendants (qui sont ardemment courtisés bien entendu). C'est donc la furie à Ottawa en ce moment car des élections sont probablement à venir ... Sans parler du "meilleur spectacle en ville" avec les audiences de la commission Gomery. D'où le dernier slogan du Bloc Québécois aux dernières élections fédérales :"un parti propre au Québec". Propre dans les deux sens : propre car il se revendique comme le seul parti fédéral reflétant réellement les aspirations des québécois et propre pour souligner son incorruptibilité contrairement au Parti Libéral du Canada. Bref, le programme des commandites vient alimenter le mouvement souverainiste car il attise la méfiance, déjà présente depuis longtemps, du Québec face à la gestion des fonds publics d'Ottawa. Je laisse les autres compléter, me corriger. O'Hana

... Et je rajouterai que je n'ai rien contre le capitalisme en ce sens qu'il constitue un formidable outil de progrès technologique. C'est la motivation sous-jacente qui me pose un réel problème : la recherche du profit. À l'origine, la technologie avait comme objectif très altruiste de libérer l'homme du travail pour tendre vers la fameuse société des loisirs : ce qui prenait 10 ouvriers avant n'en prend que 2 maintenant pour produire un bien manufacturé. Cela présupposait cependant que la richesse ainsi créée par les machines devait être redistribuée aux gens pour que ces derniers soient effectivement libérés du travail et puissent ainsi se consacrer à son réel épanouissement qui est dans d'autre chose que le travail. Or, ce n'est pas ce qui est arrivé car la recherche du profit a une connotation individualiste, privée et même égoïste. C'est la valorisation du mérite, de l'effort, sordide interprétation détournée du "tu gagneras ton pain à la sueur du front" judéo-chrétien. Un économiste humaniste - son nom m'échappe malheureusement - disait que le capitalisme ne faisait pas qu'enlever du travail aux gens : son principe même enlevait le contenu de la vie des gens en faisant du travail la seule reconnaissance acceptable par la société. Si tu ne travailles pas, tu n'es pas juste qu'un chômeur, tu es un demi-citoyen. O'Hana

En réaction à un message de Petit-Lion Non à la première interrogation : l'intérêt public et la mission de justice sociale des services essentiels sont incompatibles (éthiquement, économiquement, idéologiquement, tout ce que vous voulez) avec la recherche de rentabilité et du profit individuel des intérêts privés. Oui à la seconde interrogation : la loi de l'offre et de la demande ne peut réguler librement à elle seule le marché. On a vu ce que ça a donné avec Enron par exemple de ce que j'en sais. Je suis donc définitivement pour un interventionnisme de l'Etat à titre de garde-fou moral pour raisonner l'immoralité que le capitalisme peut souvent avoir dans sa recherche de profit. Non à la troisième interrogation : ça ferait faire un retour en arrière pour le Québec qui a déjà connu cela et qui s'en est sorti avec nationalisant l'électricité. Coudonc, tu me fais parler un peu de ma prochaine chronique Petit-Lion O'Hana

Salut Pauline, Si cela peut te rassurer, j'ai une amie d'origine tchèque qui est arrivée à l'âge de six ans au Québec avec ses parents comme réfugiés politiques. Personne dans la famille ne parlait un seul mot de français, ni même d'anglais. Elle est allée à l'école publique en français et en six mois, elle se débrouillait très bien, sa soeur cadette aussi. On ne peut évidemment pas généraliser mais les exemples sont toujours bien. Ne pas oublier également la très grande souplesse de l'esprit des enfants, fais-leur confiance O'Hana

Non, inutile. Une fois le visa validé, il n'est pas nécessaire de demander un autre visa si ton passeport expire entretemps. O'Hana

Oui, tu as raison JJay. C'est moi qui doit être trop idéaliste je suppose ... former des alliances contre nature, même temporaires ça vient quelque peu heurter certain de mes principes j'imagine. Je n'arrive pas à me faire à l'idée que la politique est souvent affaire de deal. Et de me dire que la souveraineté du Québec a été obtenue grâce à un ensemble de circonstances dont, un tout tit peu, une alliance des bloquistes avec le PCC à un moment donné. Ferait jamais de la politique moi, en tout cas pas comme celle qui est en cours Comme on s'en parlait Jimmy et moi, le prochain référendum se fera probablement sur une habile gestion du temps : comment continuer à surfer sur la vague actuelle jusqu'à un prochain référendum dans trois ans dans le meilleur des cas. O'Hana

Salut la gang de testeux Ce test est basé sur la typologie des intérêts professionnels développés par le psychologue états-unien John Holland. Le monde de l'orientation québécois l'a tellement aimé qu'on l'a adapté aux normes québécoises (car tout le monde sait que les québécois et les états-uniens, c'est pas tout à fait pareil ). Relativisez donc vos résultats car vos réponses ont été comparés à un échantillon représentatif de la population québécoise : culturellement, il existe donc des petites différences entre québécois et ROW (rest of world) Mais c'est ben intéressant pareil la typologie RIASEC ! Si des personnes veulent plus d'infos sur leurs profils, faites-moi signe, j'en ai bouffé du RIASEC durant mes études en orientation ici .... O'Hana, EIA

Salut la gang, C'est hallucinant comment on est passés d'un passage de témoin à la chefferie du PLC entre Chrétien et Martin avec une quasi-certitude que le PLC resterait au pouvoir (ce qui m'avait silencieusement scandalisé à l'époque, parce que la démocratie en prenait un coup ...) à la débandade complète et le spectre d'un gouvernement fédéral conservateur. Je ne sais pas si quelqu'un en sortira vraiment gagnant dans cette histoire : - le PLC miné de toutes parts par le scandale des commandites - le BQ qui fait une alliance de convenance avec le PCC uniquement pour renverser le gouvernement (ça fait vraiment mariage contre-nature) - le NPD qui en fait de même avec le PLC pour faire passer le prochain budget - le PCC qui n'est même pas sûr de gagner en fin de compte mais Harper ne peut pas retenir plus longtemps ses troupes qui jappent comme des excités depuis quelques semaines Ça sent la récupération de toutes parts et les anciens combattants canadiens l'ont bien fait sentir à Martin et cie lorsqu'ils sont venus - en retard - aux commémorations du 60ème aux Pays-Bas. Si c'était possible, je voterai ben pour Gomery à Ottawa et Fraser comme Ministre des Finances, les Elliot Ness canadiens ... O'Hana PS : oups, by the way, très intéressante ton analyse Stadak, merci

Hi hi Y'en a qui ont essayé le nouveau Maxi sur la Portland apparemment J'ai eu ben de la misère moi aussi au début au point que c'était devenu un running gag avec des chums il y a quelques semaines. Sherbrookois depuis plus de six ans, je suis extrêmement heureux de vous voir si bien ici les L5 : d'excellents ambassadeurs de Sherby O'Hana

Sherby, Sherby, Sherby ... Ben en fait, ça dépend ce que vous recherchez ... Niveau qualité de vie pour les enfants, Sherbrooke me paraît plus approprié : plus calme, moins de traffic, moins de délinquance, énormément de verdure, de parcs pour faire des randonnées, pas de ponts à traverser à chaque jour. Sherbrooke, selon moi, est un centre administratif qui a peu d'intérêt en soi : le centre-ville n'est pas si beau et achalandé que ça comparativement à ceux de Trois-Rivières ou de Drummondville par exemple. Le centre de gravité commercial est excentré sur l'ouest, là où se trouve le centre commercial, le Carrefour de l'Estrie. Toutefois, la Ville a un projet ambitieux qui est de redynamiser le Lac des Nations (pas loin du centre-ville) avec la Cité des Rivières : à date, ils ont très bien aménagé le pourtour du lac des Nations et la ville négocie depuis deux ans avec les commerces environnants pour racheter les parcelles. Apparemment, ça bloque pas mal avec le CN dont les voies ferrées passent juste à côté. C'est tout autour de Sherbrooke que ça se passe : la nature, la nature et encore la nature. La station balnéaire de Magog, la magnifique promenade jusqu'à l'abbaye de St-Benoit du Lac (et ses fromages !!), les camping et la station de ski tout autour du Mt-Orford, les petites routes champêtres vers Coaticook et ses gorges en passant par Lennoxville au cachet british, la longue route de la 138 jusqu'au Lac Mégantic vers l'est avec son magnifique lac et le Mt-Mégantic ... Vers le sud, c'est les États-Unis à 30 minutes et le Vermont très beau pour aller se promener (Boston à 4-5 heures de route et NY à 8-9 heures). Côté animation, c'est sûr que ça bouge moins que Montréal mais il y a aussi des festivals : celui des vendanges à Magog, la Fête du Lac des Nations en juillet, le Mondial des Cultures à Drummond. Niveau scolaire : des écoles primaires et secondaires, trois établissements collégiaux (dont un anglophone - Champlain Regional College) et deux universités (dont une anglophone - Bishop's University). O'Hana

15% de 44 dollars = 6,6 dollars O'Hana PS : le 15% de tip se calcule sur le montant de la facture taxes incluses .... Bref, sur la facture avant taxes, donner 30% en plus pour payer les 15% de taxe (TPS - TVQ) et les 15% de pourboire

Salut la gang, Une de mes attributions à la job est d'être conseiller en emploi. Et parfois, lorsque je constate parfois que d'un côté, il y a des employeurs qui recherchent irréalistement la perle rare et de l'autre côté, il y a des chercheurs d'emploi incapables de valoriser leurs compétences en lien avec une offre d'emploi, je me dis que la cruise est très semblable au marché du travail. Il y a d'un côté les femmes qui recherchent le prince idéal et de l'autre des hommes qui ne savent pas comment exprimer adroitement leurs qualités pour séduire la belle Je précise cependant que cela est tout à fait vrai aussi si on inverse les rôles O'Hana qui l'a finalement son lundi au soleil !!

CIC voudra savoir pour quelle raison il a été interdit de territoire pendant un an ... Selon moi, il peut toujours postuler mais cela va dépendre vraiment de la raison sous-jacente à l'interdiction et de là, quelles seront les mesures que CIC va demander à ton ami de satisfaire pour que sa demande d'immigration aboutisse (positivement). Peut-être prendre contact avec CIC : avec une interdiction de territoire, il est sûrement fiché dans les ordis de l'immigration. O'Hana

Le fait que l'offre soit supérieure à la demande ne signifie pas nécessairement que tout le monde va se trouver un emploi "facilement" : il y a plusieurs facteurs qui entrent en considération (les ordres par exemple ...) comme celui précisant que l'employeur choisit le ou la candidat(e) qui lui convient et ce, malgré, les nombreux c.v. qu'il peut recevoir pour une offre d'emploi. Dans mon travail, je suis souvent à mi-chemin entre des employeurs qui se plaignent de ne pas trouver de candidats pour des postes urgents à combler et des chercheurs qui désespèrent de ne pas être embauchés. Les premiers sont parfois exigeants ou pointilleux sur le profil qu'ils recherchent (quand ce n'est pas le candidat idéal souvent ...) et les seconds ne savent pas très bien faire les liens entre leurs compétences et les exigences du poste. De quelles statistiques fait-tu mention s'il te plaît ? O'Hana

Salut Mamaguesh, Sous quel statut es-tu actuellement au Canada ? Si tu es sous un statut te permettant de rester au minimum un an ici (travailleur, étudiant), tu peux déposer une demande d'immigration depuis le Canada. Vu que tu as déjà ton CSQ, tu peux procéder au niveau fédéral soit en passant par Paris (ambassade de ton pays d'origine) soit par Buffalo (ambassade dont dépend la région où tu résides actuellement). Les délais actuels semblent montrer qu'il serait préférable de passer par Paris apparemment. Les autres forumistes complèteront O'Hana

Salut Fidelo, Si j'ai bien compris, tu vas arriver au Canada comme avec ton visa de résident permanent puis aller aux États-Unis avant d'avoir ta carte de résident permanent, c'est bien ça ? Si oui, sur la base des informations que tu nous donnes, je ne vois pas ce qui justifie l'urgence de te rendre aux États-Unis sans ta carte RP. Comme le mentionne Christophe260966, il est mieux que tu attendes ta carte pour pouvoir revenir sans problème au Canada par la suite. Ton visa de résidence permanente n'a qu'une seule utilité : te permettre d'arriver au Canada pour demander le statut de résident permanent et cette demande ne peut être qu'une seule fois (la fameuse opération de validation de ton visa). Une fois validé, ton visa ne peut plus servir de sésame d'entrée : c'est la carte qui prend le relais pour tes prochaines sorties et entrées au pays. La durée de validité de ton visa (1 an maximum après ta VM) ne concerne donc que cette première fois où tu arrives au Canada pour obtenir ton statut de RP. Tu peux demander au douanier de ne pas valider ton visa mais cela reste à l'entière discrétion de ce dernier sur la base des arguments que tu vas lui donner pour justifier l'exemption de ton visa. Aller aux États-Unis sans ta carte RP et ton visa RP déjà validé, c'est t'obliger à faire une demande de titre de voyage dans une ambassade canadienne à New York par exemple pour pouvoir revenir au Canada. Le 6$ concerne le visa touriste (papier vert) de l'immigration US pour rentrer aux États-Unis. Christophe260966 fait référence au titre de voyage pour RP sans sa carte qu'il faut demander à l'immigration canadienne dans une de ses ambassades pour revenir au Canada. O'Hana

En moyenne, 15 jours est un délai trop court pour avoir le temps de recevoir ta carte RP. Et Immigration Canada n'envoie une carte RP uniquement qu'à une adresse postale située au Canada. Deux options restent alors : - demander à Immigration Canada de garder ta carte pendant 180 jours : tu as ce délai maximum pour revenir au pays récupérer ta carte - demander un titre de voyage dans une ambassade canadienne au coût de 50 dollars pour revenir au pays à titre de résident qui n'a pas encore sa carte RP O'Hana

Cherry et Dariane, Vous m'enlevez les mots de la bouche ... Haaa Bourdieu O'Hana

Après la création du forum "Reste du Canada" (excellente idée en passant), je propose la création d'un forum spécialement pour PPrince et Totof. C't'une joke les gars, histoire de détendre l'atmosphère ... et aussi parce que c'est la fin de semaine O'Hana

Est bonne l'annonce Ça fait serial killer dans La Cité de la Peur O'Hana

Tout à fait. J'ai une amie qui a fait son DEC en Liberal Arts au Champlain Regional College à Lennoxville en Estrie et elle se retrouvait, à chaque début de session, avec en moyenne 350 dollars de livres à acheter (Shakespeare, Goethe, etc). Il y a cependant la possibilité de revendre ses livres à la librairie du cégep et donc d'y acheter des livres usagés quand ils sont encore demandés par les enseignants. Bon, on ne rentre évidemment pas dans son argent en les revendant et on ne trouve pas toujours son bonheur dans les livres usagés mais c'est toujours ça de pris. O'Hana

Salut Fati, 1) détermine le MBA qui t'intéresse le plus (car ce n'est pas le choix qui manque) parmi ceux que proposent les universités canadiennes 2) en allant sur le site web de la faculté d'administration, prend contact avec le responsable du MBA de ton choix pour obtenir un rendez-vous avec lui quand tu seras ici 3) amène des documents prouvant ton profil (diplômes originaux, relevés de notes, attestations professionnelles, description de tes cours, etc) pour qu'il puisse évaluer tes capacités académiques et déterminer si tu pourrais être admissible au MBA 4) si oui, tu pourras alors remplir une demande d'admission 5) si non, il te dira alors ce qu'il te manque : il pourrait à cet effet te proposer une propédeutique (série de cours de mise à jour pour une admission conditionnelle ensuite au MBA) O'Hana