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    immigrer.com a réagi à futurquébecois dans Les provinces de l’Est subissent à nouveau le courroux de l’hiver   
    Extrait :

    Un avertissement de refroidissement éolien a également été émis au Manitoba, la province devant connaître des conditions de froid extrême d’ici à mardi.
    «Le refroidissement allant de -45 à -50 devrait généralement persister pour les jours suivants, même si certaines régions devraient connaître un répit lorsque les vents se calmeront, a indiqué Environnement Canada, dimanche.
    À cette température, des engelures peuvent survenir en moins de cinq minutes sur la peau exposée.»







    A lire sur : http://www.journaldequebec.com/2013/12/29/les-provinces-de-lest-subissent-a-nouveau-le-courroux-de-lhiver
  2. J'aime
    immigrer.com a réagi à futurquébecois dans Pourquoi le sirop d’érable canadien est-il un produit santé?   
    Le sirop d’érable est un produit distinctif du Québec connu et reconnu partout dans le monde.
    Ce produit phare du Canada est très étroitement lié à son histoire, car ce sont les vitamines contenues dans l’eau d’érable, bien connues des peuples amérindiens, qui ont permis aux premiers colons européens de rester en santé l’hiver et de ne pas contracter la terrible maladie du scorbut.
    Le sirop d’érable produit à partir de la sève brute ou de « l’eau d’érable » au début du printemps jusqu’à la mi-avril environ est concentrée par ébullition, un procédé raffiner au fil des générations.
    Ce n’est que tout récemment qu’on a confirmé scientifiquement les vertus pour la santé du sirop d’érable canadien. Il renfermerait plus de 20 composés antioxydants qui inhiberaient la prolifération de cellules cancéreuses.
    Cette semaine nous répondons donc à La bonne question d’un auditeur africain en République démocratique du Congo. Pierre Phoba qui veut en savoir plus sur l’aliment de plus identifié à notre région du monde.

    Entrevue de Stéphane Parent
    Écoutez http://www.rcinet.ca/console.php?id=6667717&image=http://img.src.ca/2012/02/06/635x357/120206_vi481_verte_erable_bio_3_sn635.jpg&locale=fr&appCode=medianet

    id=6667717&image=http://img.src.ca/2012/02/06/635x357/120206_vi481_verte_erable_bio_3_sn635.jpg&locale=fr&appCode=medianet
    Deux enquêtes aux conclusions claires comme de l’eau d’érable
    Une première enquête issue des travaux d’un réputé chercheur américain, Navindra Seeram de l’Université du Rhode Island a d’abord révélé la présence de 13 nouveaux composés antioxydants dont on ignorait l’existence dans le sirop d’érable jusqu’à maintenant. Certains composés antioxydants avaient, non seulement des propriétés anticancérigènes, mais aussi des propriétés antibactériennes et antidiabétiques. Le Dr Seeram, nommé meilleur jeune chercheur de l’année aux États-Unis en 2009 par l’American Chemical Society (ACS), a présenté ses résultats sur le sirop d’érable du Canada le 21 mars 2010 à la conférence de l’ACS à San Francisco.
    Une seconde enquête récente sur le sirop d’érable provient de travaux dont les résultats ont été publiés dans une édition du Journal of Medicinal Food dans un article intitulé Antioxydant Activity, Inhibition of Nitric Oxide Overproduction, and In Vitro Antiproliferative. Effect of Maple Sap and Syrup from Acer saccharum. Il appert que le sirop d’érable limiterait de manière non négligeable la prolifération de cellules cancéreuses de la prostate et des poumons et, dans une moindre mesure, celles du sein, du colon et du cerveau. L’effet du sirop d’érable serait plus puissant que le bleuet, le brocoli, la tomate et la carotte.



    Sirop d’érable au Canada

    Une consommation courante qui se répand
    Le sirop d’érable est produit dans les forêts du nord-est de l’Amérique du Nord (surtout au Québec, mais aussi en Ontario) et se vend aujourd’hui partout dans le monde, dont le Japon (principal importateur).
    Aujourd’hui, la consommation de sirop d’érable est généralisée au Québec où dans certaines familles le sirop est parfois consommé au quotidien
    Nous parlons du sirop d’érable canadien avec un de nos auditeurs en Afrique. Pierre Phoba est fonctionnaire des ponts en République démocratique du Congo.
    Découvrez les 20 questions les plus courantes des Canadiens au sujet du sirop d’érable.
    http://www.lbmapletreat.com/fr/maple-syrup-faq#



    Le saviez-vous?

    Plus on réduit par évaporation le sirop, plus on obtient un sirop consistant.
    La majorité des exportations – 65 pour cent en 2012 – prend la route vers les États-Unis.
    Il faut 40 litres d’eau d’érable pour générer un seul litre de sirop d’érable pur. Précisément la quantité que peut produire un seul érable au cours d’une récolte.


    Regardez un documentaire sur la fabrication artisanale du sirop d’érable au Quebec.
    http://www.youtube.com/watch?v=MG3fuMfigUk


    Source : http://www.rcinet.ca/fr/2013/12/29/pourquoi-le-sirop-derable-canadien-cest-de-la-sante/
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    immigrer.com a réagi à futurquébecois dans Argent, amour et santé au Québec : un autre sondage   
    L'argent passe avant l'amour, mais après la santé!





    À l'approche de la nouvelle année, les résolutions sont toujours bien présentes dans l'esprit des Québécois. Ainsi, 75% d'entre eux prévoient se donner des objectifs pour les douze prochains mois.
    D'après un sondage de la Banque de Montréal (BMO), même si la plupart des Québécois se fixent des objectifs au Nouvel An, seulement 29% d'entre eux les ont respectées.
    Au Québec, selon le sondage, 27% des répondants ont indiqué qu'ils prendront des résolutions financières, 20% des résolutions dans leur vie personnelle, 18% souhaite améliorer leur vie amoureuse et 16% leur vie professionnelle.
    À l'échelle nationale, ce sont les résolutions liées à la santé et à la mise en forme (51%) qui arrivent au premier rang devant celles liées aux finances personnelles (36%).
    Toutefois, de ceux qui ont déjà pris une résolution du Nouvel An portant sur des questions financières par le passé, 60% ont indiqué les avoir respectées, contre 42% qui ont respecté leurs résolutions concernant la santé ou la mise en forme.
    Le sondage en ligne a été effectué par la firme Pollara auprès d'un échantillon de 1 010 Canadiens âgés de 18 ans et plus, du 21 au 25 novembre 2013. Un échantillon aléatoire de cette taille entraîne une marge d'erreur de plus ou moins 3,1 pour cent, 19 fois sur 20.


    Source : http://tvanouvelles.ca/lcn/lebuzz/archives/2013/12/20131227-161656.html
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    immigrer.com a reçu une réaction de Zemida dans 10 ans au Quebec...   
    Bonjour !

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    Bonne année 2014 à toi aussi.
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    immigrer.com a réagi à futurquébecois dans Classement PIB 2014 ( estimé ) : Canada 10ème mondial   
    Classement PIB : les pays les plus riches du monde

    Pas de changement dans les cinq premières places du classement des nations qui produisent le plus de richesses.
    En 2014, les Etats-Unis arriveront à nouveau en tête.
    Le Fonds monétaire international (FMI) estime le PIB des USA à 16 238 milliards de dollars. Un chiffre en progression de 4,3% sur douze mois.

    Les pays au plus gros PIB (estimations 2014, prix courants)

    PIB 2014 (milliards $) Source : FMI

    1/ Etats-Unis 17 438
    2/ Chine 9 761
    3/ Japon 5 228
    4/ Allemagne 3 747
    5/ France 2 863
    6/ Royaume-Uni 2 627
    7/ Russie 2 215
    8/ Brésil 2 170
    9/ Italie 2 148
    10/ Canada 1 887
    11/ Inde 1 750
    12/ Australie 1 459
    13/ Mexique 1 396
    14/ Espagne 1 394
    15/ Corée du Sud 1 271
    16/ Indonésie 863
    17/ Turquie 851
    18/ Pays-Bas 830
    19/ Arabie Saoudite 747
    20/ Suisse 672


    La Chine conserve la deuxième place, avec un PIB 2014 supérieur de 9,2% à celui enregistré en 2013, selon les estimations de l'organisation. Mais contrairement à ce qu'il s'est produit les années précédentes, l'écart entre le pays de l'oncle Sam et l'empire du Milieu se creuse : 7 677 milliards de dollars les séparent en 2014, contre 7 218 un an plus tôt.
    Le Japon campe quant à lui sur la troisième marche du podium, avec un PIB 2014 qui reste largement inférieur à celui qu'enregistre son voisin asiatique, malgré une augmentation de 4,4% sur douze mois. Le PIB de la France, qui se classe une nouvelle fois derrière l'Allemagne, est pour sa part estimé à 2 863 milliards de dollars en 2014.
    Parmi les 20 pays les plus riches du monde, le Brésil, qui perd deux places, fait partie des trois économies (avec l'Inde et l'Australie) dont le PIB 2014 est inférieur à celui de 2013 (-0,9%). A l'inverse, celui du Mexique (13e) progresse de 5,2%.

    PIB par habitant

    Pas d'évolution notable non plus dans le classement des nations au plus gros PIB par habitant, si ce n'est que le Qatar, dont le produit intérieur brut par tête est estimé à 105 637 dollars par le FMI, ravit la deuxième place à la Norvège, reléguée du coup au troisième rang. A noter également que les Etats-Unis troquent la 11e position qu'ils occupaient en 2013 contre la 8e. Le Luxembourg, lui, conserve la première position.


    Les pays au plus gros PIB par habitant (estimations 2014, prix courants)

    Rang / Pays / PIB 2014 par habitant ($) - Source : FMI

    1/ Luxembourg 115 542
    2/ Qatar 105 637
    3/ Norvège 102 331
    4/ Suisse 82 971
    5/ Australie 62 127
    6/ Danemark 60 256
    7/ Suède 59 595
    8/ Etats-Unis 54 609
    9/ Singapour 53 671
    10/ Canada 53 118
    11/ Autriche 51 641
    12/ Finlande 50 037
    13/ Irlande 49 888
    14/ Pays-Bas 49 273
    16/ Belgique 47 166
    17/ Koweit 47 048
    18/ Allemagne 45 925
    19/ France 44 730
    20/ Emirats arabes unis 43 424


    Article intégral : http://www.journaldunet.com/economie/magazine/classement-pib.shtml
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    immigrer.com a réagi à futurquébecois dans Guide pour éviter d’être un «maudit Français»   
    Selon le consulat de France à Montréal, environ 120 000 Français se sont installés au Québec. De ce nombre, plus des deux tiers ont choisi Montréal.

    S' ils sont nombreux à être attirés par la Belle Province, plusieurs vivent une intégration plus ou moins facile.
    Au quotidien, les Québécois leur reprochent parfois leur arrogance, leur côté hautain et donneur de leçons.
    Mais comment éviter de devenir ce «maudit Français»?
    Cest une question à laquelle tente de répondre le journaliste Philippe Renault dans le nouveau guide antitouristique Sinstaller à Montréal. Métro s'est entretenu avec l'auteur, un Montréalais d'adoption, qui signale quatre faux pas à éviter.

    1/ Saisir les règles du jeu au bureau



    «Les différences entre les milieux de travail nord-américain et européen sont énormes!» s'exclame Philippe Renault. Au Québec, un Français sera frappé par le peu de semaines de vacances, par la pause lunch très courte et, surtout, par le rapport aux autres. Les Français ont l'habitude de saluer tous leurs collègues matin et soir, alors qu'ici, on ne le fait quà la première journée de travail. «Ça peut être très frustrant, affirme M. Renault, mais il faut s'y faire.».
    En France, poursuit-il, le modèle de travail très hiérarchique fait en sorte quon parle rarement aux supérieurs, et qu«on ne les tutoie jamais». Ici, le tutoiement est répandu, et la communication avec les patrons se fait plus facilement.
    «La majorité des Français finiront par l'apprécier, car ça diminue les insatisfactions», soutient-il.
    Aussi, la drague entre collègues est fréquente en France, ajoute-t-il, alors qu'ici, «c'est vu comme un geste très déplacé».

    2/ Éviter les comparaisons



    Les immigrants sont ceux qui décident de venir s'installer ici; c'est donc à eux de faire plus d'efforts pour sadapter, tranche M. Renault. À ses yeux, trop de Français négligent de bien préparer leur arrivée. Il faut, selon lui, lire et écouter les médias québécois, s'intéresser à la politique et à l'histoire dici, comprendre les règles de base du hockey

    «Ça semble anodin, mais ces efforts feront toute la différence. Au cours d'une conversation, les Québécois sentiront que les nouveaux venus sont intéressés à leur culture», croit-il. Les Français ont aussi tendance à comparer tout avec la France, de la nourriture aux façons de parler. «Concentrons-nous sur les similitudes et évitons les comparaisons», conclut-il.

    «Même si les Français ont la fâcheuse habitude d'insérer des mots anglais, comme shopping et parking, dans leurs phrases, leur niveau de français est excellent. Ils vont certainement contribuer à la préservation de la langue.»

    3/ Aller au-delà du Plateau



    Sans aucun doute, les Français ont fait du Plateau-Mont-Royal leur arrondissement de prédilection. Environ 28 % d'entre eux choisissent ce quartier, où l'accent pointu de l'Hexagone se fait de plus en plus entendre.
    «Le Plateau, cest un village; parfois les gens qui y demeurent restent dans cette bulle et connaissent mal le reste de la ville», observe M. Renault. Ceux qui choisissent ce quartier regrettent parfois de ne pas rencontrer suffisamment de Québécois, concède-t-il. «S'ils veulent s'intégrer à long terme, ils sont peut-être mieux d'éviter de vivre au Plateau.» En revanche, les jeunes Français qui viennent pour étudier ou pour travailler quelques années trouvent leur compte dans ce quartier, où ils retrouvent un mode de vie européen tout en restant au coeur de Montréal.

    4/ Ne pas (trop) se plaindre de l' hiver



    Les Français venus des régions plus neigeuses de la France, comme celle de Rhône-Alpes, apprécient souvent lhiver québécois, car ils pratiquent des sports extérieurs. Mais pour les Parisiens et ceux venus du sud de l'Hexagone l'hiver est pénible.

    «Beaucoup de Français ne raffolent pas du froid, mais en général, ils seront capables de s'acclimater après quelques années», estime M. Renault.

    L'important, selon lui, cest de ne pas passer trop de temps à se plaindre de l'hiver, car cela alimente l'image hautaine des Français. «Il nest pas interdit de se plaindre un peu, nuance-t-il, car même les Montréalais n'aiment pas vraiment l'hiver et le subissent en chialant!»

    Il suffit donc selon lui «d'apprendre à se plaindre de façon modérée».

    http://journalmetro.com/actualites/montreal/422575/guide-pour-eviter-detre-un-maudit-francais/
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    immigrer.com a reçu une réaction de Mistergna dans 10 ans au Quebec...   
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    immigrer.com a réagi à UBRANE dans 22-dec-2013 : une tempête de glace balaye Toronto   
    Une forte tempête de glace a balayé l'Ontario dans la nuit de samedi à dimanche : une des pires tempêtes de l'histoire de Toronto selon notre cher maire Rob Ford.
    À Toronto, plus de 250 000 personnes se sont retrouvés sans électricité, ainsi que deux hôpitaux (Sunnybrook et Toronto East General Hospital). Une bonne partie des victimes n'ont plus eu de chauffage. Les streetcars ont tous été interrompus. Des retards importants et des annulations ont aussi été enregistrés à l'aéroport international Pearson de Toronto, alors que beaucoup rentraient justement de l'autre côté de l'Atlantique pour les fêtes de fin d'année.

    Et vous, vous avez aussi subi l'apocalypse ?



















    Plus de photos sur BlogTO : http://www.blogto.com/city/2013/12/photos_of_the_2013_toronto_ice_storm/
    Et sur le National Post : http://news.nationalpost.com/2013/12/22/canada-ice-storm-travel-chaos-power-outages-as-massive-storm-hits-ontario-quebec-and-maritimes/
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    immigrer.com a reçu une réaction de amonsie dans 10 ans au Quebec...   
    Bonjour !

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    immigrer.com a réagi à ebsline dans 10 ans au Quebec...   
    Eh oui bientôt 2014 et je fêterai mes 10 ans au Quebec. Une aventure toute simple et pourtant qui n'était pas gagnée d'avance puisque j'ai immigré à plus de 50ans...

    -10ans après je touche ma retraite française et je travaille toujours au Quebec.
    Mon travail le même depuis 10ans ... ben oui j'ai eu la chance de tomber sur le bon numero dès le départ... j'ai débuté comme agente administrative... et je suis aujourd'hui agente administrative attachée à la direction d'une école primaire ...avoir un travail qui me passionne a beaucoup aidé mon immigration, je n'ai pas trop vécu le stress de la recherche d'emploi ou du manque de finance...

    -10ans après je suis citoyenne canadienne et fière de l'être tout en restant française de coeur... Il m'arrive d'avoir la nostalgie de la France, ma mère a 85 ans, elle est seule et ce n'est pas toujours facile de gérer à 5000km de distance... mais quand on regarde d'un peu plus près 5000km oui mais 6h de vol (elle habite à côté de Roissy) en France je demeurai à 10h de route !!!!

    -10ans après je suis toujours en couple avec mon québécois et nous avons bien l'intention de faire encore un bon bout de chemin ensemble... Là non plus cela n'a pas toujours été facile... les differences de culture se mettent encore en travers de nos routes surtout côté culinaire et gastronomique, sa ''passion'' pour le poulet, sa non cosommation de légumes en dehors des pommes de terre me dérangent toujours autant...

    -10ans après le Quebec est mon pays d'adoption, j'aime l'hiver (même aujourd'hui avec sa tempête de neige !!!), j'aime l'automne avec ses couleurs féériques, j'aime l'été avec ses chaleurs parfois accablantes, j'aime le printemps avec son explosion de vie florale..
    Noël ici est magique avec ses illuminations, la gentillesse des québécois et quand en plus la neige est de la partie ... c'est mon coeur d'enfant qui revit...

    -10ans aprés... faire un bilan est bien difficile quand c'est la vie qui vous a guidée sur le chemin, avec comme pour tout le monde, des hauts et des bas, pendant ces 10années j'ai pris le quotidien comme il se présentait, sans trop chialer, en ravalant les goûts amers, en bonifiant les joies toutes simples.

    -10 ans aprés je suis toujours sur le forum, oh certes moins active que les premières années. En 2005, j'y ai rencontré des gens passionnés aujourd'hui rentrés en France, nous etions toute une gang avec au programme les tartiflettes party, le festival country de Saint Tite, les sorties cabane à sucre, les piques niques improvisés... les attentes interminables des CSQ et brune... tout cela a forgé mon enracinement au Quebec. Dans les moments difficiles de découragement, la communauté du forum a souvent été la force tranquille qui te remet sur la bonne voie. J'ai gardé de précieux contacts devenus des amis...

    -10ans aprés je voudrais dire à tous merci d'être là nouveaux et anciens, pour certains l'herbe sera plus verte ailleurs pour d'autres la vie québécoise les aura façonnés...
    ... peu importe soyez heureux de vivre votre Vie.... c'est là l'essentiel....

    -10ans aprés j'ai toujours la passion des petits dessins humoristiques ... pour ceux qui se souviennent... alors en ce temps de Noël je ne pouvais pas ignorer cette etape importante de ma présence sur le forum...

    Bref Joyeux Noël et Bonne année à tous

    Ebsline


  11. J'aime
    immigrer.com a réagi à Abouayoub dans Bilan de 2 mois : la roue en marche et retour au plan B.   
    Bonjour les forumistes,
    Je vais établir mon bilan de 2 mois, pour mieux comprendre, je vous invite à lire mon bilan de 12 jours, que j'ai publié le 02 novembre 2013 ayant le titre de "Bilan de 12 jours à Montréal : un plan D a établir"
    En fait, au bout des 12 premiers jours j'était pessimiste, trop même.
    Les choses se sont bien rétablies pour moi, je travaille maintenant comme consultant au près de deux bureaux de conseil, comme travailleur automne et mon rêve d'être le patron de moi même commence à se réaliser , trop tôt. J'ai déjà deux factures d'expertises qui sont en cours de règlement et les bureaux qui m'ont engagé sont très satisfaits de mon travail. L'expérience acquise en Tunisie et dans l'international a été fructifiée enfin. Je suis très heureux de ce job.
    Mon fils adore son école et ses collègues (sauf un qui le taquine toujours , mais c'est bénéfique qu'il vive ça aussi ) il s'est parfaitement intégré.
    Mon épouse a démarré des cours dans un centre de formation, elle est épanouie par le système de formation.
    J'ai loué un très beau 3 1/2, assez confortable, mais aussi proportionnellement chère (je ne le regrette pas ).
    J'ai bien équipé mon appartement (j'ai même acheté un clim pour l'été, malgré que nous somme en plein hiver). à part les lits et les matelas qui sont neufs, le reste j'ai acheté à des très bons prix de voisins qui étaient entrain de déménager.
    Mon seul soucis, c'est que mon compte bancaire est presque vide, mais un soucis qui ne me stresse pas, vu que j'ai quelques factures qui sont en cours de payement, et la bourse de mon épouse débarquera bientôt.
    Voilà, brièvement.
    En conclusion je veux confirmer que l'immigration est un projet qui se planifie et qui se construit des années avant le départ (épargner l'argent, acquérir le maximum d'expérience professionnelle, le plus de compétences, le plus de réseaux professionnels).
    Je pense que la roue commence à marcher pour moi, j'ai une meilleure visibilité sur ce que je veux faire et ce que je peux faire.
    Socialement, j'ai repris contact avec mes anciens amis, et je me suis fait de nouvelle connaissances de toute les origines des québécois, des algériens, des marocains, des libanais,, des russes, des français, .... mes relations sont de la plus part professionnelles, mais bon, c'est mieux que rien.

    Bonne chance à vous tous
  12. J'aime
    immigrer.com a reçu une réaction de khei dans Les bus jaunes du Québec par notre Maudite française   
    Notre Maudite française s'intéresse aux bus jaunes du Québec qui se promènent une dernière fois aujourd'hui sur les routes en 2013.

    À lire en page d'accueil.

    http://www.forum.immigrer.com/blog/36/entry-369-les-bus-jaunes/
  13. J'aime
    immigrer.com a reçu une réaction de Isa06 dans Vidéo : recette de la tarte au sucre du Québec !   
    Le chef de cuisine de la délégation du Québec à Paris partage sa recette de tarte au sucre, une spécialité du Québec immanquable !



    http://www.mrifce.gouv.qc.ca/portail/_scripts/Actualites/ViewNew.asp?NewID=13493&Menu=default&lang=fr&strIdSite=qc

  14. J'aime
    immigrer.com a réagi à elianakl dans Bilan après 1 mois à Montréal   
    Bonjour à tous,

    Comme promis, je reviens vers vous afin de vous faire part de notre Bilan après 1 mois ici à Montréal.

    Nous sommes arrivés le 7 novembre 2013, je vous avoue que nous étions les seuls immigrés ce jour là!
    Aucune file donc pas de perte de temps.

    Il faut compter environ 1h30-2H afin que tous vos papiers soient en ordre, pour notre part un conteneur de 30m3 arrivait peu de temps après , donc nous avons dû donner une liste à l'agent qui nous a questionné ... mais sans plus, il nous a raconté sa vie plus qu'autre chose lol :-) c'était assez marrant !

    Une fois sortie de l'aéroport, nous nous sommes dirigés vers les locations de voiture où nous avions reservé une voiture.

    Direction Ottawa ( Mais pourquoi allez-vous vous dire ? ) car mon oncle habite là et donc nous avons logé chez lui durant 1 semaine le temps d'avoir les clés de notre appart que l'on recevait le 17 novembre. Cette petite semaine nous a permis de récupéré la fatigue du voyage ( pas évident avec un bébé !! .. ). Etant donné que mon oncle a une grande concession nous avons pu également acheter une voiture :-) ( Youhouu)

    Arrivé à Montréal le 15 novembre au matin , nous avons entamé les démarches administratives .... et une fois de plus, aucune file , pas d'attente ... pour la carte NAS, pour la RAMQ ... mais par contre pour la SAAQ ... UFF compter 1h30 pour avoir votre permis de conduire et 1H pour enregistrer votre véhicule.

    Dans l'ensemble , on ne peut pas se plaindre

    Le 17 novembre, rencontre avec notre proprio, qui nous remet les clés de l'appartement ... et nous commencons donc à emmenager bien que le conteneur arrivait que le 23 ...

    Entre temps, nous nous sommes promenés dans la ville, visiter certains lieux ... c'est tout juste magnifique ... j'adore cette ville :-)

    Mais , mais , mais ... tout ne pouvait pas être beau et rose ... le conteneur est arrivé le 23 et nous avons été livré le 25.

    Nous avons constaté 2 meubles cassés ( valeur 5000 €) tout ça parce que l'équipe en Belgique n'a pas voulu démonter les meubles !!!! " ce sera plus facile pour l'équipe au Canada" disaient-ils !

    Maintenant, reste plus qu'à faire intervenir l'assurance ... mais ce n'est vraiment pas drôle de vivre encore parmis des cartons avec un bébé ... bref ... AGS m'ont entendu ça c'est certain ...

    Quant au travail, j'ai commencé à postuler la semaine passé.
    J'ai déjà eu une interview avec le directeur d'une entreprise comme Communication Manager

    Entre temps, une autre entreprise m'a contacté pour le poste d'Account Manager ..; que je rencontre tout à l'heure ;-)

    Quant à mon mari, il suit une formation de directeur financier dans le secteur automobiles.

    maintenant une dernière chose me tracasse avec notre installation, c'est de trouver un médecin et surtout un pédiatre pour ma petite ... sachant qu'elle est prématuré et qu'elle doit avoir un suivi chaque 6 mois ... c'est vraiment pas facile, la plupart me dise qu'il ne prenne plus de nouveau patient, d'autre me dises qu'il y a une liste d'attente de 2 ans

    Si quelqu'un pouvait m'aider à ce sujet, je lui en serais très reconnaissant :-)

    Voilà tout!

    je vous souhaite à tous et toutes de bonne fêtes!!! Et oui , ici les décorations et les chants de Noel ne manquent pas !!!

    A bientôt

    Eliana



  15. J'aime
    immigrer.com a réagi à clarie dans 5 ans - 5 mois   
    Bonjour à tous,

    A mon tour de faire ce bilan, certes nombriliste mais que j’ai toujours trouvé instructif en tant que lectrice.

    5 ans que je suis en démarche d’immigration. Mon projet est né à l’automne 2008 : un jour j’irais vivre au Canada ! La première réaction de mon conjoint n’a pas été celle que j’espérais mais pas grave, on s’est lancé dans les démarches. C’est fastidieux, coûteux et assez long mais en tant que français et ingénieurs tous les deux, nous n’avons eu aucune difficulté à obtenir nos papiers.

    Nous sommes venus valider notre résidence permanente le 24 décembre 2010 avec dans les bras notre fille de 5 mois (nous avions donc déjà pris notre temps pour venir). Nous savions déjà que nous allions rentrer en France quelques jours plus tard. Mon conjoint avait, après un licenciement économique, décroché un job dans une entreprise qui lui plaisait et plaidait pour qu’on se fasse de l’expérience en France. Et sur ce coup-là je crois qu’il a eu raison !

    Entre temps nous avons décidé de faire un 2ème enfant en 2012.

    Le 24 décembre 2013 était la date butoir pour venir habiter au Québec, pour ne pas perdre le bénéfice de notre résidence permanente.
    Nous avons donc tous les deux démissionné au printemps 2013 et par je-ne-sais quel miracle, mon conjoint a décroché, avant de partir, un boulot ici à Montréal, dans l’entreprise qu’il convoitait tant! Ce « miracle » (expérience? Secteur aéronautique?) nous a fait débarquer tous les quatre le 15 juillet dernier.

    En ayant lu des dizaines et dizaines de témoignages ici, je peux donc dire qu’on a été les VIP de l’immigration : billets d’avion et déménagement (par Magellan, très bien) remboursés, agence de relocalisation qui nous a aidé dans les démarches administratives, logement provisoire payé 2 mois. C’était inespéré.

    L’été a été chargé; j’ai cherché une garderie pour mes enfants, je me suis lancée dans les démarches administratives pour que mon fils ne soit plus simple touriste (il a fallu que je le parraine), le remboursement des frais de garde, les allocations de soutien aux enfants, les médecins pour les enfants et puis vivre tout simplement, trouver ses repères…
    Et là on s’est souvent dit avec mon conjoint HEUREUSEMENT que l’un de nous avait du boulot. L’immigration n’est pas chose simple alors s’enlever le souci financier est important!
    De mon côté, j’ai commencé mes recherches d’emploi début septembre, mes enfants étant à la garderie 3 jours par semaine. Je m’étais rapprochée d’une association d’immigrants (La Maisonnée, très sympa) pour structurer mes journées. Mais c’était trop loin de chez moi et je n’arrivais pas à me rendre à leur atelier de recherche d’emploi.
    Du coup début octobre, je me suis retrouvée dans le « placement assisté » de la CDEC (chambre de développement économique communautaire) (~chambre de commerce du quartier, il y en a quasiment une par arrondissement sur Montréal). Et là une très belle rencontre avec mon « coach emploi ». Un type qui a été chasseur de tête, puis dans la finance et puis a décidé de changer de voie. Donc a connu le chômage. Autant vous dire, le marché du travail il le connait bien! Du coup ça m'a bien remotivé (le téléphone n'a pas beaucoup sonné), ils nous donné qlq méthodes et en suivant ses conseils, j’ai décroché 2 entretiens. Et j’ai obtenu un emploi dans mon secteur (génie de l’environnement) ! Je commence le 13 janvier prochain.
    J’ai hâte !
    Au passage, je précise que j’avais fait toutes les démarches de reconnaissance de mes diplômes AVANT d’arriver et une des 1ères questions que les RH m’ont posée, c’est si j’étais inscrite à l’Ordre des Ingénieurs du Québec ! Oui, Madame! Donc certes ici les diplômes ne comptent pas, mais quand même…


    Après 5 mois passés ici, je suis très contente ! Déjà je n’entends plus le mot « crise » 3 fois par jour! Côté météo, l’été a été chaud, l’automne magnifique et l’hiver est pour l’instant froid!
    Que mes enfants soient bien et que je puisse voir un médecin pour eux en cas de besoin était aussi une inquiétude avant d’arriver mais n’en est plus une! J’ai trouvé une garderie, une clinique publique où les enfants passent en priorité, ouverte 7/7 jusqu’à 20h, et une clinique privée (seuls 10$ ne sont pas pris en charge) où je peux faire suivre mes enfants.
    Nous avons pris nos habitudes alimentaires (le plus grand changement? ), et trouver un travail.
    Le reste viendra en 2014!

    J’aurais tellement d’autres trucs à raconter mais bon il faut bien s’arrêter! Mais je voulais terminer par un grand MERCI au site Immigrer .com que j’ai tant lu, souvent comme une bouée de sauvetage, le vendredi après-midi au boulot (j’avoue, pas bien!) , qui m’a souvent motivé pour persévérer dans mon projet, parfois démotivée (mais les messages négatifs reflètent aussi une partie de la réalité)… J’ai trouvé beaucoup d’informations pertinentes dans les FAQ.
    MERCI !!

    Bon courage à tous !
    Clarie
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    immigrer.com a réagi à Leilou dans immigré au Quebec   
    Bonjour et bienvenu sur le forum!

    Si tu es éligible et que tu puisses immigrer au Québec/Canada - As-tu l’accord du papa pour immigrer avec vos enfants sans lui ? Sinon tu devras d'abord obtenir son accord. Fais des recherches sur le forum pour trouver des mamans dans ta situation et comment elles ont fait?

    Pour la demande de Résidence permanente via le Québec pour travailleurs qualifiés, tu devras d’abord faire l’Evaluation préliminaire d'immigration pour voir si tu es éligible à ce programme (attention évaluation à titre informatif).
    http://www.immigrati...anents/epi.html

    La procédure pour la résidence permanente (RP) via le Québec se fait en 2 étapes et prends en moyenne 2 ans (pour la France).

    · demande du CSQ (frais non remboursable)
    · demande visa au fédéral (frais partiellement remboursable)

    Le coût est de +_3000€ (à titre indicatif - le coût comprend les tests de langues, demande de CSQ, RP, visite médical, copie certifié conformes, passeport si nécessaire et frais divers). Il y a un simulateur pour calculer le coût sur le forum – faire des recherches pour le trouver.

    Pour une demande de certificat de sélections Québec (DCSQ)
    Depuis le 1er août 2013, plusieurs modifications ont été apportées aux règles et procédures d’immigration.
    http://www.immigrati...ises/index.html
    http://www.immigrati...procedures.html
    http://www.immigrati...eurs/index.html

    Pour ce programme, tu devras d’abord passer des tests de langues (Français et anglais). Les tests de Français sont fortement recommandés (en fait quasi obligatoire) car ils rapportent beaucoup de points et personne ne peut vraiment faire sans. Le test d’anglais ne doit être fait que par le requérant principal et sincèrement seulement si bon niveau (sinon perte de temps et d’argent car si niveau débutant, pas de points). Le site suivant explique très clairement tous les tests à faire et les centres agrées et reconnus pour les faire ! Il faut prendre RDV rapidement car parfois ca prends longtemps entre la prise de RDV, passer les tests et recevoir les résultats !
    http://www.immigrati...guistiques.html

    Voici la nouvelle grille des points 2013 pour obtenir le CSQ
    http://www.immigrati...le-synthese.pdf

    Voici la liste des domaines de formation pour savoir combien ton diplôme peut te rapporter de points
    http://www.immigrati...e-formation.pdf

    Soit tu as assez de point (55 seul) et tu reçois le CSQ sans entrevue de sélection.
    Soit tu as 49 points, et il y a une entrevue de sélection pour obtenir les points d’adaptabilités. Si l’entrevue est satisfaisante, tu obtiens le CSQ. Tu peux faire des recherches sur le forum pour des retours d’expériences sur l’entrevue de sélection (il faut bien se préparer).
    Une entrevue de sélection est également possible avec assez de points pour divers raisons (vérifications de documents, questions additionnelles…);
    Soit tu n’as pas les points il y a alors refus ou demande de documents complémentaires/supplémentaires !

    Après obtention du CSQ (certificat de sélection du Québec), tu dois faire une demande fédérale pour le visa RP
    http://www.cic.gc.ca...nde-trousse.asp

    Sinon il y a également le programme jeune pro mais tu dois voir les conditions d’éligibilités sur le site.
    Cette catégorie est destinée aux jeunes professionnels français souhaitant se perfectionner dans leur champ de compétences, sous couvert d'un contrat de travail à durée déterminée (maximum 18 mois).
    http://www.international.gc.ca/canada-europa/france/jeunesse-youth/jeunes_professionnels-young_professionals-fr.asp

    Tu peux aussi immigrer au Québec avec un visa de travail temporaire (PTT). Il faut savoir que trouver un travail à distance est difficile et dépend fortement de ton domaine de formation/ expertise professionnelle car l’employeur devra prouver qu’il n’a pas trouvé sur place avant de pouvoir faire les démarches pour le PTT qui dure en moyenne entre 4-6mois actuellement.
    http://www.cic.gc.ca...nde-comment.asp
    http://www.cic.gc.ca...demande-qui.asp

    Et au cas où, voici la procédure pour le recrutement de travailleurs spécialisés – Démarche simplifiée pour l'embauche de travailleurs de 44 professions spécialisées
    http://www.immigrati...simplifiee.html

    Tu peux éventuellement participer aux journées Québec ou Destination Canada pour trouver un emploi mais encore une fois cela dépendra de ton domaine de formation ou expérience pro.
    http://www.journeesquebec.gouv.qc.ca/
    http://www.destinati...eil.php?lang=fr

    Attention, il faut s’inscrire à l’avance et se faire sélectionner pour pouvoir participer à ces évènements (qui se déroulent!

    Si possible, tu peux faire un voyage de prospection (ça rapporte des points) - elle vous permettra de te familiarisé avec la province du Québec et de savoir où tu aimerais t’installer. La province du Québec est francophone mais pour travailler à Montréal (dépendant de ton domaine) il vaut mieux être bilingue (français-anglais) mais il y a d’autres régions qui ne requièrent pas la maitrise de l'anglais (faire de recherches). http://www.bonjourqu...fr/accueil.html

    Sinon il y des séances information sur l'immigration au Québec en France.
    http://www.immigrati.../paris/seances/

    Voici d'autres liens sur l’immigration :
    http://www.immigrati...a/fr/index.html
    http://www.canadaint...r.aspx?lang=fra
    http://www.cic.gc.ca...s/index-can.asp

    Voilà bonne lecture et surtout bonne chance!
    PS/ si certain liens ne fonctionnent pas, tu peux les copier/coller dans un moteur de recherches (comme Goggle) et sélectionner le bon lien !
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    immigrer.com a reçu une réaction de DidierVancouver dans Une petite maison pour 600 000 $? Impossible à Vancouver   
    Une petite maison pour 600 000 $? Impossible à Vancouver
    Mise à jour le mercredi 11 décembre 2013 à 16 h 12 HNE

    Avec le marché immobilier le plus cher au pays et ses prix exorbitants, l'accès à la propriété est toujours difficile à Vancouver et ceux qui veulent une maison dans la métropole doivent consacrer une lourde part de leurs revenus au paiement de leur hypothèque.

    Un texte de Frédéric Arnould

    À vendre sur un terrain de 34 mètres par 9 mètres, cette maison unifamiliale sur deux niveaux, avec deux chambres à coucher et deux salles de bains. Proche du métro aérien Skytrain. À 15 minutes du centre-ville en voiture. Propriété vendue telle quelle, pas de garage. Parfaite pour premier acheteur ou investisseur. Prix demandé 668 000 $.

    À saisir sur la recherchée rue Knight, petite maison sur un terrain qui changera bientôt de zonage. Proche d'un centre commercial, de restaurants, d'un parc et du transport en commun. Prix demandé : 699 000 $.

    Maison à vendre à VancouverMaison à vendre à Vancouver Photo : mls.ca
    Voilà la réalité pour ceux qui veulent « à tout prix » acheter un bungalow situé à Vancouver et non dans une banlieue éloignée, où le transport peut être un véritable casse-tête quotidien et voler une à deux heures de leur temps pour se rendre au travail chaque jour. Quant à ceux qui sont prêts à vivre dans une des multiples « tours de verre » au centre-ville, il leur faudra débourser 598 000 $ pour un appartement de 62 mètres carrés sur la rue Alberni.

    Dans le cas d'une maison, la plupart du temps, il suffit de jeter un coup d'il sur l'évaluation foncière pour se rendre compte que c'est en fait le terrain qui représente le gros de la facture. Parfois jusqu'à 90 %. Les acheteurs devront décider s'ils passent le bulldozer dans le bungalow pour reconstruire à neuf ou tenter de rénover la bicoque qui a plus ou moins été bien entretenue. C'est la ritournelle des agents immobiliers : « on ne fabrique plus de terrain » . De quoi justifier, disent-ils, les prix exorbitants.

    Il ne se passe pas une semaine sans qu'un rapport sur l'immobilier en éclipse un autre dans l'actualité. Vancouver est au bord de la chute, La bulle immobilière va éclater, Reprise des transactions dans un marché fragile, Vente record le mois dernier, L'OCDE suggère au Canada de forcer le ralentissement... les titres se suivent et ne se ressemblent pas.

    Il est vrai que le marché de Vancouver, toujours le plus cher au Canada, a connu un ralentissement depuis deux ans. Pour l'instant le prix moyen d'un logement, toutes catégories confondues, est de 603 000 $, en hausse de 1 % en novembre. Avec un prix moyen comme celui-là, l'accès à la propriété est toujours difficile dans la métropole, car les salaires ne sont pas forcément ajustés en conséquence. Résultat, selon un rapport de la Banque Royale publié en mai 2013, pour acheter un bungalow détaché à Vancouver, une famille devra y consacrer près de 83 % de son revenu. Ce qui ne laisse pas grand-chose pour finir le mois.

    Comment Vancouver en est-elle arrivée là?

    La limite d'inventaire de terrain (il n'y a qu'à regarder le nombre de tours d'appartements où la densification de population est évidente), le climat le plus clément au Canada, la diversification de l'économie, la plage, les montagnes et bien sûr la porte vers l'Asie sont tous des éléments qui ont contribué au succès de la métropole britanno-colombienne.

    La couleur asiatique de la ville est aussi au cur du marché immobilier puisque certains expliquent la flambée des prix depuis les 20 dernières années par des achats de propriétés par une riche clientèle chinoise, notamment de Hong Kong. Les études diffèrent quant au réel impact de cette présence chinoise dans le marché. Une étude publiée en 2011 par Datacorp mentionnait que 74 % des noms des acheteurs de maisons de luxe étaient d'origine chinoise.

    Il reste que notamment à l'Université de la Colombie-Britannique (UBC), un important contingent de jeunes étudiants chinois apparaît chaque année sur le campus. Et que bon nombre d'entre eux ont accès à des appartements d'un demi-million de dollars et plus achetés par leurs parents qui sont toujours en terre chinoise. Faudrait-il dans ce cas faire ralentir le marché de « Hongcouver » en imposant une taxe aux acheteurs étrangers?

    L'idée a été émise récemment par une femme née en Chine qui vit à Vancouver depuis 2002 et qui peine à pouvoir acheter une maison décente à cause de cette flambée des prix. Joy Mo, 42 ans, estime que ces acheteurs contribuent à faire augmenter les prix de l'immobilier et ne participent pas de tout à la vie communautaire de la ville. Elle pense qu'imposer une taxe de 15 %, comme le fait Hong Kong d'ailleurs, permettrait de refroidir les ardeurs des acheteurs étrangers.

    Une proposition que n'est pas près, en tout cas pour l'instant, de suivre le maire de Vancouver, Gregor Robertson. Celui qui se proclame le champion du logement abordable va cependant garder toutes les options dans son jeu afin de prendre des mesures dans le futur.

    En attendant, les jeunes couples qui veulent entrer dans le marché immobilier de Vancouver doivent sans cesse reporter leur achat dans l'espoir de pouvoir se « ramasser » une mise de fonds qui réduira d'emblée leur endettement. Car même si les taux d'intérêt sont très bas actuellement, il faudra bien qu'un jour ils remontent. Et une seule hausse de 0,5 point de pourcentage signifie une sacrée hausse du montant hypothécaire à payer chaque mois, surtout quand on a une maison de 600 000 $ et plus.

    La solution pour faire son entrée dans le marché immobilier? Acheter un « micrologement » à Surrey, en banlieue sud de Vancouver. Avis aux amateurs, il vous en coûtera 109 000 $ pour un modeste... 30 mètres carrés.

    source : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/12/11/005-immobilier-vancouver-prix.shtml
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    immigrer.com a reçu une réaction de chnadjib dans Guide "ImmigrAffaires": l'édition 2014 vient d'être la   
    Guide "ImmigrAffaires": l'édition 2014 vient d'être lancée à Montréal
    JEUDI, 05 DÉCEMBRE 2013 02:40 AGENCE DE PRESSE MÉDIAMOSAÏQUE EnvoyerEnvoyer ImprimerImprimer PDFPDF


    MONTRÉAL (MÉDIAMOSAÏQUE) - La version 2014 du guide, s'adressant aux immigrants désireux de s'approprier la culture d'affaires au Québec, ImmigrAffaires, vient d'être lancée officiellement mercredi 4 décembre à Montréal, a constaté l'Agence de presse Médiamosaïque.

    En présence de ses partenaires, dont la CRÉ (Conférence régionale des élus de Montréal) et le Ministère de l'immigration et des Communautés culturelles, le SAJE accompagnateur d'entrepreneurs a, en effet, levé le voile sur ce document, disponible en 3 000 copies, qui a également donné de la visibilité à quatre de ses entrepreneurs issus de la diversité.

    Présentés par la coordinatrice produits et services client du SAJE, Hélène Veilleux, ces entrepreneurs montréalais venus d'ailleurs ont eux-mêmes vanté les mérites d'un tel outil qui donne, à leurs avis, une vue imprenable sur l'univers du monde des affaires d'ici.

    «C'était important de les mettre en avant et de leur donner la parole afin que nos partenaires soient bien imbus de leurs préoccupations», a commenté, de son côté, le directeur général du SAJE, Michel Fortin, à nos micros, à l'issue de cette activité.

    Il importe de noter qu'«un entrepreneur sur quatre est issu de la diversité», si l'on se fie à la clientèle du SAJE. «Cela sous-entend que la croissance entrepreneuriale des prochaines années au Québec va inévitablement passer par l'intégration des Communautés culturelles en entreprenariat», a insisté Fortin qui précise qu'une telle donne a eu également des incidences sur l'offre de services de l'organisme.

    «À l'intérieur du guide, on amène des éléments de base qui font en sorte que les immigrants-entrepreneurs augmentent leurs chances de succès », a conclu le gestionnaire qui, pour répondre également à la demande qui s'amplifie, vient de faire lacquisition des cinq premiers étages du building abritant l'institution au 505 René Lévesque-Ouest.

    Téléchargez le guide ImmigrAffaires

    source : http://www.mediamosaique.com/Economie/2013-12-05-14-26-45.html

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    immigrer.com a réagi à beamazone dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




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    immigrer.com a reçu une réaction de ThierryBxl dans Forcer la chance et la saisir quand elle vient   
    Merci pour ce témoignage fort en expérience. Nous venons de le mettre en page d'accueil.

    Bonne suite à vos projets !
  21. J'aime
    immigrer.com a réagi à Wapman dans Mon expérience concrète avec le système santé   
    Voici mon expérience vécue et concrète du système de santé Québécois, qui j'espère, vous fera comprendre pourquoi autant de français le critique et ont l'impression d'être dans un véritable mouroir du tiers-monde médical.

    Urgences - première expérience
    Je me suis découpé le doigt dans mon garage, en rentrant de Montréal (j'habite à Québec) : lambeau de chair, sang de partout, malaise, -20°C dehors, 18h30, pas encore mangé, le bonheur total!! Après avoir contenu l'hémorragie (ça saigne beaucoup les coupures aux doigts), je vérifie sur Internet les listes d'attentes des différents services d'urgence, puis j'appelle le service Info Santé. Comme mon cas n'est pas grave, je vais probablement passer la nuit à l'urgence (genre jusqu'à 3h du matin). Alors, je suis orienté vers l'Unité de Médecine Famililale à 5 mn à pied de chez moi. Problème : ça ferme à 19h00 et il est 18h45... alors j'appelle on me dit que ça ferme, que c'est un peu tard, mais j'insiste pour passer quand même. 18h55 : j'arrive, main en sang, une infirmière me prends immédiatemment pendant que ma conjointe fait les démarches (carte RAMQ, etc.) à l'accueil. En quelques minutes, je suis traité par une infirmière, ma plaie est parfaitement nettoyée, un médecin arrive, me recolle tout ça avec de la colle spéciale pour les sutures, j'ai un beau pansement et le droit de repasser en tout temps en cas de problème.

    Bilan : du bon jugemement, 2 mn d'attente, 20 mn d'intervention et surtout 0,00 $ à payer car tout est immédiatement pris en charge par la RAMQ.

    Urgences - deuxième expérience
    Avant cette deuxième expérience, j'ai été témoin d'un doigt cassé (fêlé) au sport et la personne (un Montréalais de Montréal) est allé s'acheter lui-même une atèle spéciale à la pharmacie et s'est fait son propre bandage et m'a dis "Tu vas voir le médecin si c'est grave, sinon c'est du gros bon sens et un médecin de fera pas mieux que moi!". Effectivement, c'est pragmatique... et il à raison. Depuis cet événement, j'ai passé mon diplôme de secouriste au travail avec des vrais ambulanciers et ça m'a véritablement ouvert les yeux sur le système médical Nord Américain.

    Il y a quelques mois, ma femme s'est mis un bon coup de cutter dans le doigt (exacto au Québec) et elle à fait un malaise sur le carrelage de la salle de bain. Sans paniquer, je l'ai rassuré, désinfecté et je lui ai fait moi-même une "suture" avec des "strips" spéciaux que l'on avait étudié au cours de secourisme (très utile pour ceux qui bossent en forêt ou scierie). Bilan : après 1 semaine, plaie parfaite, visite chez l'infirmière qui nous dis que c'est "très beau".

    Bilan : encore une fois, gros bon sens et jugement. En France on se précipe aux urgences en hurlant pour de la "bobologie", alors qu'ici si c'est grave tu es pris tout de suite, sinon tu passes ta nuit aux urgences. Tout simplement.

    Urgences - troisième expérience

    Après 3 heures a essayer de retirer un "corps étranger" de mon oeil, on se décide d'aller aux urgences de l'hôpital à 22h00. En arrivant, triage : on me fait passer immédiatement un bilan de tous les signes vitaux, même si je vais très bien et que j'ai juste l'oeil gauche rouge. Puis, classé dans les cas "non urgents", je suis traité un peu avant 1h00 du matin et sorti vers 1h30.

    Bilan : très bonne prise en charge, et finalement je m'en sort avec une crème cicatrisante et antibiotique pour les yeux, qui m'est d'ailleurs donné tout suite, sans que j'ai a passer à la pharmacie.


    Prévention - dentiste

    Et bien il faut magasiner, comme le font tous les Québécois! Après un premier rendez-vous ne pas hésiter à changer. De mon côté, je suis tombé bon du premier coup et j'ai reçu d'excellents soins. Sans entrer dans le détail, je peux vous dire que la prévention et les conseils sont beaucoup plus importants qu'en France. Dans le privé, c'est un peu plus cher et l'assurance me rembourse 80% (80$ sur les 100$ de consultation). Pour des soins plus importants, et bien c'est un choix budgétaire et pas très remboursé (un peu comme en France).

    Bilan : excellents soins, mais ne négligez pas les assurances santé qui sont loin d'être obligatoires ici.

    Prévention - alimentation / sport

    Depuis qu'on est ici, on est véritablement impressionné par la logique de prévention du Québec et du fédéral (Canada). Les gens se bougent, ils font des rappels et c'est toujours marrant de voir les gens suivre à la lettre les "5 fruits et légumes + 30 mn de sport" et les voir manger leurs carrottes, brocolis et choux-fleurs crus à la pause de 10h!! Mon employeur prends en charge une partie des inscriptions aux activités physiques et ill y a beaucoup d'activités communautaires, hiver, comme été. Toutefois, si tu restes seul, renfermé devant l'ordinateur ou la TV et bien personne ira te chercher et tu verras pas ce côté entraînant de la société...

    Côté alimentation, et bien c'est un choix que font tous les immigrants. Soit, on cède à la malfouffe américaine (beignes chez Tim Hortons, Burger King et descente tous les midi dans le food court du centre commercial, etc.). Soit, on s'engage dans la voie des produits frais, du bio et on fait son lunch tous les midi et surtout on bannit la poutine, smoked meat, beignes et burgers... Certains tombent dans un certain extrême du "sans gluten, sans lactose, sans viande..." et ce n'est pas mieux non plus.

    Bilan : on se prends par la main, on n'hésites pas à faire monter le budget épicerie pour se payer de meilleurs produits et on prends le temps de cuisiner tout ses lunchs. De mon côté, j'ai objectivement une bien meilleure alimentation au Canada, du fait d'avoir dit non à la malbouffe, tout en limitant les charcuteries, fromages et autres mauvaises habitudes françaises. On mange moins en quantité, mais bien mieux en qualité.

    Médecin de famille

    Effectivement, en arrivant impossible d'en avoir un, malgrè des inscriptions sur liste d'attente un peu partout. Toutefois, cela ne va pas dire que vous n'aurez pas de médecin à voir au cas où!! Par contre, vous n'aurez pas de rendez-vous. En général, lors des visites, on se pointe, on prends nos ordinateurs et on télétravaille sans problème avec le wifi de la salle d'attente. Par contre si vous avez une grippe ou gastro et bien RESTEZ CHEZ VOUS. Le médecin, vous prescrira la même chose... sauf en France où l'on ressort systématiquement avec 5 boites de médicaments inutiles qui soulagent les symptômes, quand c'est pas un antibio qui est toujours prescrit abusivement. Donc, allez à la pharmacie, demandez conseils à vos connaissances et si cela devenait grave, le médecin s'occupera de vous, c'est sûr!

    Après 2 ans et demi, on apprends (réseautage avec des collègues) qu'une Clinique viens de s'ouvrir et que des médecins se regroupent. Ni une, ni deux, on se pointe sur place (sans être malade) et on se fait assigner sur le champ un médecin de famille! 3 semaines plus tard, rendez-vous pris, bilan, ouverture de dossier. Le suivi est à la fois très pragmatique et très bon! On fait des visites régulières et plannifiées plusieurs mois à l'avance.


    Bilan : on se prends par la main, on demande, on questionne et on essaie de passer des soins abusifs "à la française" à une démarche pragmatique Nord Américaine!

    Psy

    Aspect tabou en France et très important ici! Les gens parlent beaucoup et dévoilent plus facilement leur problèmes psychologiques divers et variés. Si vous abaissez vos barrières et vous passez au-delà, et bien vous découvrirez tout un système très structuré d'entraide communautaire, de groupes de discussion,...et de nombreuses connaissances qui vont régulièrement consulter, sans complexe comme on va chez le dentiste ou le garagiste. Ici, on se laisse pas abattre, on défini un plan d'action, on agit, on influe son comportement (thérapies comportementales basées sur l'action, plus que sur l'analyse).

    Bilan : approche radicalement différente de l'Europe, qu'il faut essayer avant de sombrer dans une dépression ou vous pourrir la vie avec vos problèmes.


    Spécialistes

    Alors, tout le monde à son histoire du "2 ans d'attente". Et bien c'est vrai!! Une demande de consultation chez un spécialiste va vous donner une rendez-vous dans 1 an ou 2. Par contre, si vous documentez votre cas avec votre médecin et que vous montez un dossier expliquant votre besoin cela peut tout changer! Une ami québécois a obtenu un rdv chez un spécialiste en quelques semaines en expliquant son cas par courrier (un peu comme une lettre de motivation médicale). Si votre cas médical est spécial, alors vous l'aurez rapidement votre consultation chez le spécialiste!

    Bilan : demandez des conseils à tous le monde, utilisez abondamment les groupes de discussion, l'entraide communautaire, votre réseau et votre bon jugement, avant de pleurer un rendez-vous chez tous les spécialistes du coin!
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    Le Canada aura été une source d'inspiration pour Nelson Mandela
    Publié par La Presse Canadienne le jeudi 05 décembre 2013 à 17h22. Modifié par 98,5 fm à 17h53.

    TORONTO - Le Canada, qui a offert ses plus hautes distinctions et même sa citoyenneté honorifique à Nelson Mandela, a souvent été cité par le légendaire défenseur des droits de la personne comme une source d'inspiration dans sa lutte pour l'égalité entre Noirs et Blancs en Afrique du Sud.
    M. Mandela y a trouvé du soutien pour sa cause quand il était incapable de se battre pour elle, des alliés qui l'ont appuyé durant ses longues années en prison, et des admirateurs qui l'ont accueilli comme l'un des leurs à sa libération.

    Selon les historiens, le Canada a même servi de modèle pour Nelson Mandela lorsqu'il a été élu à la tête de son pays. Et cette admiration mutuelle aura duré jusqu'à ce que le leader sud-africain rende l'âme, jeudi, à l'âge de 95 ans.

    Les experts soutiennent que l'estime du Canada pour M. Mandela est née bien avant qu'il ne soit célébré à travers le monde pour avoir contribué à mettre un terme à l'apartheid et défendu les droits des Noirs dans son pays natal.

    Linda Freeman, qui enseigne la politique à l'université Carleton et est une spécialiste de l'Afrique du Sud, affirme que des organisations dénonçant l'apartheid ont commencé à se former en sol canadien dès les années 1970.

    Des groupes religieux, des organismes communautaires et des antennes canadiennes du Congrès national africain (ANC), le parti politique de Nelson Mandela, ont mobilisé leurs efforts pour combattre le régime raciste alors que le chef du mouvement croupissait derrière les barreaux après avoir écopé une peine d'emprisonnement à vie pour avoir tenté de renverser le gouvernement ségrégationniste.

    D'après Mme Freeman, leurs tentatives pour intéresser Ottawa et le milieu des affaires canadiens à la cause ont d'abord échoué, ajoutant que des premiers ministres canadiens, de John Diefenbaker à John Turner, ont peu fait pour mettre un frein à la lucrative relation commerciale du Canada avec l'Afrique du Sud.

    «Le Canada a longtemps affiché une attitude ambivalente par rapport à l'Afrique du Sud», expliquait récemment la professeure. «Le plus loin où nous sommes allés, pendant un bon moment, c'a été de condamner l'apartheid aux Nations unies tout en soutenant le commerce et les investissements. C'était une politique assez hypocrite.»

    Le combat de Brian Mulroney

    Les choses ont toutefois changé lorsque Brian Mulroney a pris le pouvoir en 1985, observe Mme Freeman, ajoutant que le premier ministre progressiste-conservateur s'est rapidement révélé un ardent défenseur de la cause de Nelson Mandela.

    Contrairement aux autres leaders occidentaux, M. Mulroney a vivement dénoncé l'apartheid et a imposé des sanctions économiques sévères au gouvernement sud-africain.

    Vern Harris, l'archiviste en chef et le responsable du Centre de la mémoire de la Fondation Nelson-Mandela à Johannesburg, affirme que le héros de la lutte anti-apartheid était conscient du soutien grandissant que lui a témoigné le Canada durant ses 27 années d'emprisonnement.

    «Cette solidarité était particulièrement importante pour les prisonniers, ainsi que pour les organisations qui étaient impliquées dans les démarches de libération», selon lui. «Je crois que c'est quelque chose qu'il a beaucoup apprécié, et ce, longtemps avant qu'il ne visite lui-même le Canada.»

    Ce premier séjour a eu lieu quatre mois seulement après que M. Mandela eut recouvré sa liberté le 11 février 1990.

    Selon M. Harris, Nelson Mandela a manifesté un vif désir de visiter ce pays qu'il considérait comme un modèle, et s'est fait un point d'honneur d'accepter l'invitation formelle de Brian Mulroney aussi rapidement que possible.

    «Il donnait la priorité aux pays qui, à l'époque, avaient un lien particulier avec son combat pour la libération. Le Canada était tout en haut de la liste, comme l'un des premiers pays qu'il a visités après sa libération», précise-t-il.

    Le séjour inaugural de M. Mandela, le 17 juin 1990, a été le premier de trois voyages en sol canadien, durant lesquels les deux complices se sont échangés compliments et louanges. Des politiciens ont parlé du courage et des convictions de M. Mandela, tandis que ce dernier encensait le Canada pour avoir défendu les valeurs qu'il espérait retrouver dans sa terre natale.

    «Votre respect pour la diversité au sein de votre société, et votre tolérance et approche civilisée pour affronter les défis de la différence et de la diversité nous avaient toujours inspirés», avait déclaré M. Mandela lors de sa première allocution au Parlement canadien.

    Le Canada comme modèle démocratique

    Il ne s'agissait d'ailleurs pas que de flatterie, souligne M. Harris. Lorsque M. Mandela a été élu président quatre ans après sa libération, ses adjoints et lui-même ont examiné les politiques et les pratiques d'autres pays qui pouvaient servir d'exemple à une jeune démocratie.

    Selon M. Harris, le Canada a servi de modèle dans des domaines aussi variés que l'éducation, le traitement des eaux et la politique sociale.

    L'opinion que M. Mandela avait du Canada n'a jamais été refroidie lors de ses séjours subséquents, durant lesquels il a eu droit, d'ailleurs, à quelques-uns des plus grands honneurs que le pays décerne.

    Lors de sa deuxième visite au pays, en septembre 1998, il est devenu un Compagnon de l'Ordre du Canada, la plus haute distinction de l'Ordre.

    Au cours de son troisième passage au Canada, en 2001, il est devenu le deuxième étranger à se voir accorder la citoyenneté canadienne honoraire. Seulement trois autres, depuis, ont eu droit à pareil honneur.

    L'adulation envers Nelson Mandela venait certes de dignitaires mais aussi de citoyens ordinaires, alors que de nombreux partisans du leader sud-africain assistaient à la plupart de ses sorties publiques.

    La popularité de M. Mandela a été particulièrement évidente lors de sa tournée de 1998, durant laquelle il s'est adressé à plus de 40 000 élèves au centre-ville de Toronto. À cette occasion, il a rendu hommage à une nouvelle génération de Canadiens.

    «Vous me faites sentir de nouveau comme un jeune homme, dont les piles ont été rechargées», avait-il lancé à son jeune auditoire. «Ma plus grande joie a été de découvrir qu'il existe autant d'enfants dans ce pays qui ont à coeur le bien-être d'autres enfants partout au monde.»

    Certaines voix se sont toutefois fait entendre pour protester contre l'accueil chaleureux réservé à M. Mandela, notamment celle du député de l'Alliance canadienne Rob Anders qui, en 2001, avait bloqué le consentement unanime pour une motion aux Communes sur la citoyenneté honoraire de M. Mandela, en plus de déclarer à deux députés libéraux, paraît-il, que le militant anti-apartheid était un «communiste et un terroriste».

    Mais la grande majorité des Canadiens considéraient M. Mandela comme un héros et un modèle incomparable.

    L'ancien premier ministre Joe Clark a résumé la vision majoritaire des Canadiens par les propos qu'il a énoncés le jour où le Canada a officiellement accepté d'accorder à M. Mandela un statut qui allait en faire l'un de ses citoyens.

    «En claquant des doigts (...) Nelson Mandela aurait pu provoquer une révolution et son pays serait en flammes», a déclaré M. Clark. «Ce n'est pas ce qu'il a fait. Il a fait le contraire.»

    source : http://www.985fm.ca/national/nouvelles/le-canada-aura-ete-une-source-d-inspiration-pour-n-286442.html
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    immigrer.com a réagi à Leilou dans envie de changement...   
    Bienvenue sur le Forum !

    Voici les différentes possibilités pour immigrer.

    Plus d'info et site officiel pour faire la demande de PVT
    http://www.pvtcanada...e-de-pvt-canada
    http://www.immigrati...procedures.html
    http://www.immigrati...guistiques.html

    Voici la nouvelle grille des points 2013 pour obtenir le CSQ
    http://www.immigrati...le-synthese.pdf

    Voici la liste des domaines de formation pour savoir combien ton diplôme peut te rapporter de points
    http://www.immigrati...e-formation.pdf

    Soit tu as assez de point (55 seul), tu reçois le CSQ sans entrevue de sélection.
    Soit tu as 49 point (seul), il y a alors entrevue de sélection pour obtenir les points d’adaptabilités. Si l’entrevue est satisfaisante, tu obtiens le CSQ. Tu peux faire des recherches sur le forum pour des retours d’expériences sur l’entrevue de sélection (il faut bien se préparer).
    Une entrevue de sélection est également possible avec assez de points pour divers raisons (vérifications de documents, questions additionnelles…);
    Soit tu n’as pas les points il y a alors refus ou demande de documents complémentaires/supplémentaires !

    Après obtention du CSQ (certificat de sélection du Québec), tu dois faire une demande fédérale pour le visa RP
    http://www.cic.gc.ca...nde-trousse.asp

    Comme tu le sais déjà, la province du Québec est francophone mais pour travailler à Montréal (dépendant de ton domaine) il vaut mieux être bilingue (français-anglais) mais il y a d’autres régions qui ne requièrent pas la maitrise de l'anglais (faire de recherches). http://www.bonjourqu...fr/accueil.html

    Sinon il y des séances information sur l'immigration au Québec en France.
    http://www.immigrati.../paris/seances/

    Voici d'autres liens sur l’immigration :
    http://www.immigrati...a/fr/index.html
    http://www.canadaint...r.aspx?lang=fra
    http://www.cic.gc.ca...s/index-can.asp

    Tu peux éventuellement participer aux journées Québec ou Destination Canada pour essayer de trouver un emploi mais encore une fois cela dépendra de ton domaine de formation ou expérience pro.
    http://www.journeesquebec.gouv.qc.ca/
    http://www.destinati...eil.php?lang=fr

    Attention, il faut s’inscrire à l’avance et se faire sélectionner pour pouvoir participer.

    Bonne lecture et surtout bonne chance !

    PS : certains liens pourraient ne pas fonctionner, alors le mieux est de les copier/coller dans un moteur de recherches (comme Google) et sélectionné le bon lien.
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    immigrer.com a réagi à oscarkapac dans Arte s'interesse au Canada...   
    Un reportage a voir et a partager

    ARTE REPORTAGE
    Canada : le marchand de sables
    lundi 02 décembre à 6h50 (52 min)

    CANADA : LE MARCHAND DE SABLES Ce sont les sables bitumineux du Canada qui fournissent aux Etats-Unis la majeure partie de son pétrole brut. SINGAPOUR : UNE FERME DANS LA VILLE 5 millions d'habitants pour 700 km2 : si à Singapour, les terres cultivables sont rares, l'imagination atteint des sommets. MADAGASCAR : DES RESTAURANTS POUR BÉBÉS Une ONG lutte contre la malnutrition.

    http://www.arte.tv/guide/fr/030273-446/arte-reportage?autoplay=1
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