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  1. J'aime
    immigrer.com a reçu une réaction de qwintine dans Étudiants africains désirant venir au Canada : comment des réseaux criminels les dupent   
    Voici comment des réseaux criminels ont orchestré la venue d’étudiants africains au Canada
    Diplômes falsifiés, lettres d’acceptation contrefaites, preuves bancaires truquées, promesses mensongères de bourses d’études, des réseaux criminels d’immigration ont berné des étudiants africains, des universités canadiennes et même les gouvernements du Québec et du Canada. Les stratagèmes de ces arnaqueurs ont fait des victimes, mais ont aussi profité à des demandeurs d'asile.
    Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette
    Priscilla Plamondon Lalancette   Priscilla Plamondon Lalancette Publié le 9 avril à 4 h 00 HAE Écouter l’article | 19 minutes La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.   Une petite table, deux chaises, un futon. Aminata (nom fictif) nous reçoit dans son logement presque vide à Saguenay. Par la fenêtre, elle jette un œil à la rivière givrée. L’hiver a été pénible pour la jeune ressortissante du Bénin qui rêvait d’étudier à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). Depuis plus d’un an, elle vit de manière clandestine.
    Comme beaucoup d'étudiants, elle a quitté l’Afrique dans le but d’améliorer son sort. Gestionnaire des ressources humaines au Bénin et titulaire d'une maîtrise, elle est persuadée qu'un diplôme canadien offrira un avenir meilleur à sa famille. Toutefois, Aminata n’a jamais soupçonné qu’elle se retrouverait ici piégée dans la précarité.
       
      Aminata vit dans la précarité depuis son arrivée au Canada.
    Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette
    Tout commence en 2023 quand elle confie les rênes de son projet à un homme qui se dit consultant en immigration. Celui qui opère entre le Bénin et le Canada lui garantit une entrée au pays. Tous les échanges se déroulent sur WhatsApp. L’Africaine n’y voit que du feu. À chaque étape qui la rapproche du but, l’expert lui demande une somme d’argent. Au total, elle lui verse 7000 $.
      Et ça marche. La jeune femme reçoit sa lettre d’admission à l’UQAC puis ses papiers officiels d’immigration. J’étais tellement contente!, se souvient Aminata. En août, elle s’envole donc pour le Canada, juste à temps pour la rentrée scolaire.
    Une fois qu'elle atterrit à Montréal, le consultant l’avise cependant de ne pas se présenter à l’université. Il m’a dit de ne pas montrer les documents qu’il m’avait remis. Aminata n’y comprend rien. Elle se rend à Chicoutimi pour dissiper tout malentendu et confirmer son inscription. C’est là qu’elle frappe un mur : sa lettre d’acceptation est une contrefaçon. Le Canada a pourtant produit son visa sur la base de ce document.
    Les autorités de l’UQAC m’ont informée que ma lettre n'avait pas été émise par eux, que c’est une fausse lettre. J’ai été victime de fraude. Ils ont trouvé une demande à mon nom, mais le dossier était incomplet. Je n’avais pas été acceptée…

    Source et suite : https://ici.radio-canada.ca/info/long-format/2153789/universite-uqac-fraude-reseau-immigration
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    immigrer.com a reçu une réaction de bencoudonc dans Étudiants africains désirant venir au Canada : comment des réseaux criminels les dupent   
    Voici comment des réseaux criminels ont orchestré la venue d’étudiants africains au Canada
    Diplômes falsifiés, lettres d’acceptation contrefaites, preuves bancaires truquées, promesses mensongères de bourses d’études, des réseaux criminels d’immigration ont berné des étudiants africains, des universités canadiennes et même les gouvernements du Québec et du Canada. Les stratagèmes de ces arnaqueurs ont fait des victimes, mais ont aussi profité à des demandeurs d'asile.
    Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette
    Priscilla Plamondon Lalancette   Priscilla Plamondon Lalancette Publié le 9 avril à 4 h 00 HAE Écouter l’article | 19 minutes La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.   Une petite table, deux chaises, un futon. Aminata (nom fictif) nous reçoit dans son logement presque vide à Saguenay. Par la fenêtre, elle jette un œil à la rivière givrée. L’hiver a été pénible pour la jeune ressortissante du Bénin qui rêvait d’étudier à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). Depuis plus d’un an, elle vit de manière clandestine.
    Comme beaucoup d'étudiants, elle a quitté l’Afrique dans le but d’améliorer son sort. Gestionnaire des ressources humaines au Bénin et titulaire d'une maîtrise, elle est persuadée qu'un diplôme canadien offrira un avenir meilleur à sa famille. Toutefois, Aminata n’a jamais soupçonné qu’elle se retrouverait ici piégée dans la précarité.
       
      Aminata vit dans la précarité depuis son arrivée au Canada.
    Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette
    Tout commence en 2023 quand elle confie les rênes de son projet à un homme qui se dit consultant en immigration. Celui qui opère entre le Bénin et le Canada lui garantit une entrée au pays. Tous les échanges se déroulent sur WhatsApp. L’Africaine n’y voit que du feu. À chaque étape qui la rapproche du but, l’expert lui demande une somme d’argent. Au total, elle lui verse 7000 $.
      Et ça marche. La jeune femme reçoit sa lettre d’admission à l’UQAC puis ses papiers officiels d’immigration. J’étais tellement contente!, se souvient Aminata. En août, elle s’envole donc pour le Canada, juste à temps pour la rentrée scolaire.
    Une fois qu'elle atterrit à Montréal, le consultant l’avise cependant de ne pas se présenter à l’université. Il m’a dit de ne pas montrer les documents qu’il m’avait remis. Aminata n’y comprend rien. Elle se rend à Chicoutimi pour dissiper tout malentendu et confirmer son inscription. C’est là qu’elle frappe un mur : sa lettre d’acceptation est une contrefaçon. Le Canada a pourtant produit son visa sur la base de ce document.
    Les autorités de l’UQAC m’ont informée que ma lettre n'avait pas été émise par eux, que c’est une fausse lettre. J’ai été victime de fraude. Ils ont trouvé une demande à mon nom, mais le dossier était incomplet. Je n’avais pas été acceptée…

    Source et suite : https://ici.radio-canada.ca/info/long-format/2153789/universite-uqac-fraude-reseau-immigration
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    immigrer.com a reçu une réaction de Millex dans Médecin retourne en France avant la fin des 3 ans d'engagement du parrainage   
    Merci Millex pour votre témoignage. 

    Si vous voulez nous en dire plus sur vos insatisfactions par rapport à la direction ou de cette installation à l'étranger, nous serions curieux d'en savoir plus. 

    Merci !

     
  4. J'aime
    immigrer.com a reçu une réaction de philoucan dans Comment exercer en tant qu'ostéopathe au Québec   
    Bonjour 

    Il n'y a pas d'ordre des ostéopathes au Québec mais il y a des discussions depuis plusieurs années entre ostéopathes pour justement monter un ordre.  J'imagine que vous connaissez déjà ce site de référence : https://www.osteopathiequebec.ca/fr/

    Les dernières nouvelles sur le futur ordre :
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2067291/profession-osteopathes-caq-sante
     
  5. Merci
    immigrer.com a réagi à jattends2 dans 📢 Webinaire : nouveautés immigration Québec/Canada en 2025   
    Bonjour;
    Merci pour le webinaire et merci a Mme. @Laurence Nadeau & Maitre Alexandre Hénaut pour leur réponse et empathie  envers le cas des 154 candidats dont les entrevues ont été annulées à Abidjan.
     
    On attend maintenant une communication claire et des decisions rapides de la part du Mifi a ce problème qui dure depuis Juin 2024. 
  6. Triste
    immigrer.com a réagi à jattends2 dans Aucune réponse 8 mois après l'annulation des entrevues à Abidjan.   
    Depuis le mois de juin 2024, lorsque le MIFI a annulé les entrevues de plus de 150 candidats au CSQ (Afrique de l'Ouest), initialement prévues à Abidjan, aucune solution n’a été apportée pour notre situation. À ce jour, nous n’avons reçu aucune nouvelle concernant :
    Le traitement de notre demande de CSQ. Une nouvelle date pour une entrevue. Des informations sur un éventuel rejet de notre dossier. Nous n’avons eu pour toute réponse qu’une lettre standard mentionnant un « délai additionnel », qui ne fait qu’ajouter à notre confusion, sans apporter de réelles informations.
    Cela fait maintenant 8 mois que nous sommes complètement laissés pour compte par le MIFI, sans aucune communication claire ni solution.
  7. Merci
    immigrer.com a réagi à rainbow21 dans Obtention PVT pendant un permis fermé   
    Y a pas d'exclusion sur ce critère.
  8. J'aime
    immigrer.com a reçu une réaction de bencoudonc dans Fin du "Tour du poteau"   
    Si vous comptiez faire le tour du poteau dans les prochains, ne perdez pas de temps !

    https://www.immigrer.com/fin-imminente-du-tour-du-poteau/
  9. J'aime
    immigrer.com a réagi à bencoudonc dans De Paris à l'ouest du Canada ❤️   
    On parle du visa entrepreneur.  https://www.welcomebc.ca/immigrate-to-b-c/entrepreneur-immigration Avec une valeur nette de 600K tu n'es pas "riche"...
  10. Merci
    immigrer.com a réagi à bencoudonc dans Étudier en Alberta   
    Vous pouvez trouver des infos sur les frais de scolarité via cette page:
    http://study.alberta.ca/plan-your-studies/tuition-fees/tuition/
  11. Merci
    immigrer.com a réagi à bencoudonc dans Recherche de logement pour hiver 2025   
    Avez-vous regardé du côté des résidences universitaires?
    Sinon quel est votre budget et que recherchez-vous exactement (appartement? chambre? collocation? meublé, semi-meublé ou non meublé? charges comprises ou pas?) ?
  12. Merci
    immigrer.com a réagi à bencoudonc dans PSTQ ou PEQ   
    "Pour être admissible, vous devez aussi occuper un emploi qui répond à ces critères au moment où vous présentez votre demande et pendant au moins 24 des 36 mois qui précèdent la présentation de votre demande."
     
    https://www.quebec.ca/immigration/permanente/travailleurs-qualifies/programme-experience-quebecoise/conditions-selection/travailleurs-temporaires
  13. Merci
    immigrer.com a reçu une réaction de Cèdre dans Mon premier (court) bilan au Québec   
    Merci pour ce premier et court bilan. Nous l'avons partagé sur le réseau. 
     
    Nous avons hâte de lire la suite. En espérant qu'elle soit à la hauteur !
  14. Merci
    immigrer.com a réagi à Cèdre dans Mon premier (court) bilan au Québec   
    Salut la compagnie,
     
    Ça fait maintenant un mois et 10 jours qu’on a posé nos valises à Sherbrooke, l’heure pour moi de vous partager mon premier (micro) bilan. Certes la période est très courte, mais ce n’est pas la taille de l’expérience qui compte, c’est ce qu’on en fait 😉
     
    Disons-le d’emblée, on en a tellement fait durant cette période que j’ai l’impression que ça fait un an qu’on vit ici. Pour rappel, nous partons du 0 absolu. Nous sommes arrivés dans un appartement entièrement vide, qu’il a fallu meubler de A à Z, électros inclus. De fait, nous avons dû dormir dans un AirBnb durant 3 jours. Je vous laisse imaginer la fatigue (mes filles ressemblaient à des enfants de 65 ans les premiers jours), entre le décalage horaire, le magasinage des items sur market place (heureusement que j'avais loué un RAM), etc… mais on gardait les yeux ouverts, malgré la fatigue, émerveillés par toutes ces choses nouvelles qu’on découvrait.
     
     
    Même si parfois le style pourrait le laisser penser, je ne fais aucune généralité ici, il ne s’agit que de mon ressenti, celui d’un français qui s’est installé à Sherbrooke. J’entends bien que selon son origine ou l’endroit où l’on s’est installé, les expériences peuvent être très différentes. Pis encore une fois, je suis encore un nouveau-né, donc c'est vraiment un ressenti à chaud. Il évoluera forcément, quelle que soit la direction qu'il prendra.
     
    Bref, voici mon premier bilan, que j’ai segmenté en différents thèmes :
     
    Le travail : Tout a été incroyablement facile pour nous. J’ai trouvé du travail 3 jours avant de prendre l’avion, lors d’un entretien en visio, pour une offre d’emploi que j’avais trouvée sur Linkedin. Pour mon épouse, elle a trouvé 1 semaine après être arrivée, et travaillait la semaine suivante. Si nous ne sommes pas encore exactement dans nos domaines de prédilection, il y a, notamment pour ma part, une incroyable opportunité d’évolution qui pourrait m’amener à occuper le meilleur poste de ma carrière. Et c’est plutôt bien parti. Les relations au travail sont bonnes, j’aime beaucoup ce côté beaucoup moins vertical qui existe ici dans les relations managériales, en comparaison avec la France. Je ne suis pas naïf, la contrepartie est que le marché est ultra flexible, et si une entreprise souhaite se séparer d’un salarié, ça peut aller très vite. Mais ça reste agréable.
     
    Le coût de la vie : C’est pas mal cher (pardon, dispendieux 😊), mais si on fait attention, on peut avoir de belles opportunités, notamment concernant l’épicerie. Les autos sont certes moins chères qu’en France, mais il y a des frais ici que nous n’avions pas au pays (immatriculation et permis à payer tous les ans, pneus hiver/été). Et les assurances sont méga chères, surtout pour les nouveaux arrivants. Les vêtements sont généralement assez accessibles, et je pense même qu’il y a de meilleurs opportunités ici qu’en France, surtout concernant les marques américaines (Nike, Adidas…). Au final, je dirai que si la vie est chère, elle l’était également devenue en France, donc je ne rencontre pas l’enfer qu’on m’avait annoncé. Ou en tous cas j’y étais préparé.
     
    Les québécois : Je reconnais que c’est vraiment très court pour émettre un avis définitif, et il y a évidemment encore pas mal de choses qui doivent m’échapper. Cela étant dit, en me basant sur ce que j’ai vu, le québécois est globalement de meilleure humeur, et surtout plus positif que le français. Bon, vous me direz, c’est vraiiiiiiiiment pas compliqué là… c’est agréable, surtout lorsqu’on arrive de ronchonland 😁
     
    Je ne peux pas dire que l’on se soit réellement fait des amis québécois pour le moment, plutôt des connaissances. Nous fréquentons des français et des latinos pour le moment. On sent que c’est un peu plus long avec les autochtones avant de lier de vrais liens. Mais ça viendra j'en suis sûr.
    Concernant la mentalité globale du pays, je me rends compte qu’il existe 2 Québecs : Celui de Montréal, et tout le reste. Les québécois, d’une manière générale, ne semblent pas porter la plus grosse métropole de la province dans leurs cœurs.
    Concernant le politiquement correct, je m’attendais vraiment à atterrir à wokeland, mais il n’en est rien. Les gens sont globalement plutôt respectueux des minorités, mais sans tomber non plus dans le militantisme débile et ses dérives, ce que je m’attendais à expérimenter. Mais ça doit plutôt être sur Montréal et les grandes métropoles Canadiennes j’imagine.
    En parlant de politiquement correct, le québécois est à des centaines de lieues de ce que j’imaginais à ce niveau. Je me souviens avoir lu sur ce forum un membre qui disait que bien souvent le québécois osait dire tout haut ce que le français avait honte de penser tout bas. Ben je l’ai vécu et ça décoiffe 🤣. Ca donne un côté vraiment authentique et j'aime ça.
    En tant que français justement, je reçois un accueil global plutôt amical. C’est assez drôle de se chambrer au travail sur nos différences culturelles, de vocabulaire (je ne le dirai jamais assez : le soccer n’existe pas), ou encore de prononciation. C’est marrant, lorsque l’on a vécu toute sa vie en France, de se faire chambrer sur son accent (ils m’imitent même les enflures 😅).
     
    La nourriture : On ne va pas se mentir, c’est clairement le seul point noir (jusqu’ici en tous cas). La culture culinaire, qu’on peut avoir en Europe (je pense à la France, la Belgique, l’Espagne, le Portugal et l’Italie, pour ne citer que les pays que je connais), s’est échouée sur les plages du littoral Nord-américain comme une vieille baleine en fin de vie. J’exagère un peu car Il existe vraiment de bons produits et des producteurs locaux, si on cherche bien, même si ça peut grimper assez vite. Non, le scandale réside dans les grandes surfaces, dans lesquelles une bonne partie de ce qui y est trouvé est catastrophique. Au début, nous achetions sans trop y prêter attention, mais lorsqu’on s’est penché dessus… produits saturés en graisse, en sodium, en sucre, et surtout des additifs qui pour certains sont tellement à risque qu’ils sont carrément interdits en Europe. Je ne dis pas qu’on a systématiquement du premium en France, hein, on s’entend. Mais enfin, si je dois faire une moyenne, c’est quand même pas si pire en comparaison d’ici. Depuis, on a téléchargé une application qui nous permet d’être bien plus vigilants.
    Et que dire de la dernière réponse que j’ai obtenue lorsque j’ai demandé à des collègues de travail où était la meilleure pizzeria de Sherbrooke (réponse : Domino’s…).
     
    L'école: Là encore, expérience très courte, mais je peux déjà tirer un petit bilan. Mes filles (12 et 8 ans) sont simplement heureuses. Elles préfèrent largement le système et la relation au professeur d'ici. Elles se sont très rapidement fait de nouveaux amis. Avec ma femme, on respire beaucoup face à ça, car c'était vraiment une de nos grandes craintes en venant ici. Elles s'éclatent, tout simplement.
    Seul point négatif, (et je vais faire bondir @jimmy 😬) : le niveau d'anglais. Je m'attendais vraiment à un meilleur niveau. Alors certes, ma grande, qui vient de rentrer en secondaire, était dans un collège privé en France, avec une option d'anglais renforcé. Mais quand même, je ne m'attendais pas à ce qu'elle trouve le niveau trop facile. C'est une petite déception pour moi (et pour elle aussi), je pensais qu'en public il était possible d'atteindre un bon niveau sur un cursus classique. ça prendra des cours particuliers si on veut qu'elles deviennent bilingues.
     
    Sherbrooke et l'Estrie: Je ne suis pas loin d'avoir gardé le meilleur pour la fin. Cette ville est simplement ce que je voulais vivre. Elle est gigantesque (plus de 3 fois la superficie de Paris), tout en n'ayant que 180000 habitants. En résulte une densité assez faible. C'est bien simple, je me suis vu traverser des forêts, des no man's land, entre 2 quartiers, tout en réalisant que j'ai toujours techniquement dans la ville. C'est comme si on avait pris une ville, on l'avait étirée au max, et on l'avait placée au milieu d'une gigantesque forêt. Je ne saurais pas l'expliquer autrement. 
    Les habitants y sont tellement détendus du string que j'ai dû entendre le klaxon 2 ou 3 fois depuis que je suis arrivé.
    La région de l'Estrie est sublime également. Entre Magog, Coaticook, les balades dans les vergers, dans les gorges, le mon Orford il y a vraiment pas mal à faire pour les amoureux de la nature comme nous.
     
    Vous l’aurez compris, le seul gros défaut que j’ai trouvé pour le moment vient de la nourriture en grande surface. Mais je suis conscient que je viens d’arriver, je suis encore en lune de miel là. Pis j’ai pas encore vécu l’hiver certains diront 😅.
     
    M’enfin, le Québec, c’est quand même pas mal ce que j’en attendais. Je pourrais bien finir par m’y habituer, d’autant que nous venons de devenir officiellement résidents permanents (depuis hier)…
  15. Merci
    immigrer.com a réagi à jayj dans Questions au sujet de l’examen de citoyenneté en ligne   
    1, je ne me souviens pas de l'histoire des 3 essais, mais si quelque chose cloche on te demandera surement de passer cet examen physiquement pour être sûr que ce soit bien toi. Non tes 45 minutes sont juste pour les questions.

    2, privilégie celui qui à la qualité vidéo la plus élevé dans tes appareils, si c'est trop limite peut-être en acheter une en gardant la facture pour la retourner après ça

    3, non rien de compliqué, j'te dirais que le plus important c'est sur les consignes sur l'examen genre quelle touche appuyer pour passer une question sans la validé pour y revenir après, c'est le truc qui m'avait le plus marqué.

    4, généralement, ça arrive quand quelqu'un échoue plus de 2 fois à l'examen en ligne

    5, clairement le point à surveiller, j'ai vu plein de monde se faire refuser l'examen à cause de ça
  16. Triste
    immigrer.com a réagi à Yumi dans Entrevues Annulées à Abidjan depuis Juin 2024: les candidats ITA 2023 toujours en attente de CSQ ...   
    Cette situation a entraîné des préjudices importants pour nombre de candidats. Par exemple,
    plusieurs d'entre nous ont dû acheter des billets d’avion pour se rendre à Abidjan, accompagnés de
    leurs conjoint(e)s, billets qui n'ont pas pu être utilisés suite à l’annulation des entrevues et qui ne sont
    malheureusement pas remboursables. Certains ont même pris des congés professionnels précoces dans
    le but de préparer leurs voyages sur Abidjan. Cette situation est d’autant plus frustrante que nous ne
    sommes en rien responsables de ces annulations décidées par le MIFI.
    De plus, l’attente prolongée a généré une grande frustration et des préjudices émotionnels. Il
    est difficile de comprendre pourquoi, alors que des tirages Arrima sont effectués régulièrement et que
    de ces tirages, certains candidats (généralement issus d’autres sous-régions africaines) reçoivent leurs
    CSQ en un à deux mois, et que d’autres sont récemment convoquées à des entrevues, nous sommes
    laissés dans cette incertitude.
    En outre, l'annulation des entrevues de sélection a retardé l’obtention de nos CSQ, qui auraient
    pu être délivrés au moins deux mois plus tôt si les entrevues avaient eu lieu comme prévu.
    Nous sommes complètement abattus et cela nous affecte énormément car c’est un projet de vie
    auquel nous accordons une importance capitale.

    Candidats anonymes, Afrique de l’Ouest
  17. Confus
    immigrer.com a reçu une réaction de VenerablePapierHexagonal dans "Ici on est reconnues à notre juste valeur" : le Québec, eldorado des infirmières françaises -   
    Article rédigé parAnne-Laure Dagnet
    Radio France
    Publié le 06/07/2024 06:56 De plus en plus d'infirmières choisissent de partir exercer au Québec. Malgré quelques inconvénients, elles y trouvent de meilleures conditions de travail et une meilleure reconnaissance. C'est le choix de franceinfo. Alors qu'on manque d'infirmières en France, plusieurs centaines d'entre elles partent chaque année travailler au Québec. Des équipes du ministère de la Santé québécois viennent tous les ans en France pour les recruter et les postulantes y trouvent leur compte au point que certaines décident de rester vivre sur place.
    à lire aussi"On a l'impression d'être des oubliés, dont tout le monde se fout" : comment la dissolution impacte les infirmiers et infirmières ? Tout commence au salon des infirmiers à Paris, terrain de chasse favori des équipes de Recrutement Santé Québec. Une délégation du ministère de la santé québécois vient jusqu'ici pour débaucher des infirmières françaises et ils n'ont pas eu de mal à convaincre Vanessa Desmarets. Elle était infirmière dans un grand hôpital parisien. "En France j'ai travaillé quatre ans et demi, je me suis retrouvée sur des horaires de nuit, alternés avec parfois des horaires de jour donc je me suis retrouvée avec des journées de 16 heures de travail, peu de temps pause, parfois pas de repas, j'hésitais entre arrêter la profession d'infirmière étant donné que je ne voyais pas d'autre choix de carrière pour moi que les soins critiques."
    Intégrées professionnellement et socialement
    Une fois la candidate ferrée, l'équipe de Recrutement Santé Québec s'occupe de tout : demande de visa, permis de travail, lieu du stage d'intégration, et ça va même bien au-delà. "Il n'a pas seulement l'intégration professionnelle, il y a l'intégration sociale aussi", souligne Luc Mathieu, président de l'Ordre des infirmiers au Québec. "Certaines personnes viennent avec leur conjoint, leurs enfants aussi, alors il faut s'occuper de ce volet-là aussi."
    Le Québec offre des conditions de travail assez avantageuses aux infirmières au point que Malou Leroy a repris goût au métier en arrivant sur place. "On a le temps pour faire notre travail, pour la relation d'aide avec le patient, pour les familles, c'est ce qui me manquait le plus en France". "On a cinq patients pour une infirmière, en France par exemple en Chirurgie j'avais 15 patients à ma charge. Ici on est beaucoup mieux payées, avec les médecins c'est totalement différent, on est reconnues à notre juste valeur". Un "bon métier", qui rapporte, selon le poste occupé, 30 à 50% de plus qu'en France.

    suite et source : https://www.francetvinfo.fr/sante/reportage-ici-on-est-reconnues-a-notre-juste-valeur-le-quebec-eldorado-des-infirmieres-francaises_6648192.html#xtor=CS2-765-[autres]-
  18. Merci
    immigrer.com a réagi à bencoudonc dans Visa de tourisme puis permis de travail: c'est fini   
    https://www.ledevoir.com/politique/canada/818961/ottawa-ferme-porte-entree-immigration-utilisee-acteurs-malveillants?
  19. Triste
    immigrer.com a réagi à Yumi dans Afrique de l'Ouest : Entrevues Annulées à Abidjan sans communication bientôt 3 mois...   
    Nous, candidats à l'immigration au Québec en provenance de l'Afrique de l'Ouest, sommes confrontés à une situation de plus en plus inquiétante. En effet, les entrevues de sélection pour le Certificat de Sélection du Québec (CSQ), prévues à Abidjan pour les candidats de la Côte d'Ivoire, du Togo, du Mali, du Burkina Faso et du Bénin, ont été annulées en juin 2024. Depuis, cela fait bientôt trois mois que nous n'avons reçu aucune communication de la part du Ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration (MIFI), ce qui ajoute à notre anxiété et notre frustration.
    Ce qui est encore plus frustrant, c'est de constater que, malgré cette situation, les tirages continuent normalement chaque semaine et que les convocations d'entrevues ont repris en août 2024 pour le Cameroun. De plus, les candidats invités en mai, juin et juillet 2024 reçoivent leurs CSQ en moins d'un mois, ce qui montre une disparité flagrante dans le traitement des dossiers.
    Nous ne pouvons nous empêcher de ressentir que cette situation traduit une forme de discrimination basée sur notre origine géographique. Le manque de communication et l'absence de transparence de la part du MIFI contribuent à un sentiment d'injustice parmi les candidats de l'Afrique de l'Ouest. Nous demandons une clarification urgente de la situation et une égalité de traitement pour tous les candidats, quelle que soit leur origine.
    Nous espérons que les autorités prendront les mesures nécessaires pour rétablir une procédure juste et transparente, et que nos préoccupations seront entendues et adressées dans les plus brefs délais.
  20. Merci
    immigrer.com a réagi à Cèdre dans 🇨🇦 RÉSIDENCE PERMANENTE : traitement Fédéral en 2025/2026   
    Merci à tous pour vos messages de félicitations, ça fait chaud au coeur.
     
    La lettre d'introduction a été reçue hier, les billets achetés dans la foulée. On débarquera bien le 6 septembre! C'est déjà demain bon sang... 
     
    Je referai un post à part, à tête reposée, sur le fil que j'avais créé en janvier 2023, lorsqu'on a eu cette idée folle de retenter l'aventure. 
  21. Merci
    immigrer.com a réagi à bencoudonc dans Est ce possible de changer de province après avoir obtenu la résidence permanente par le parrainage?   
    Lorsque vous êtes résident.e permanent.e vous avez le droit de déménager avec votre conjoint.e où vous voulez.
  22. Merci
    immigrer.com a réagi à bencoudonc dans Voyage d'immersion avant immigration   
    Je vous suggérerais aussi de louer un appart-hôtel ou en tout cas, un endroit où vous pouvez vous faire à manger pour les jours où beaucoup de restaurants seront fermés ou n'offriront que des menus super chers.  
  23. Merci
    immigrer.com a reçu une réaction de jimmy dans "Ici on est reconnues à notre juste valeur" : le Québec, eldorado des infirmières françaises -   
    Article rédigé parAnne-Laure Dagnet
    Radio France
    Publié le 06/07/2024 06:56 De plus en plus d'infirmières choisissent de partir exercer au Québec. Malgré quelques inconvénients, elles y trouvent de meilleures conditions de travail et une meilleure reconnaissance. C'est le choix de franceinfo. Alors qu'on manque d'infirmières en France, plusieurs centaines d'entre elles partent chaque année travailler au Québec. Des équipes du ministère de la Santé québécois viennent tous les ans en France pour les recruter et les postulantes y trouvent leur compte au point que certaines décident de rester vivre sur place.
    à lire aussi"On a l'impression d'être des oubliés, dont tout le monde se fout" : comment la dissolution impacte les infirmiers et infirmières ? Tout commence au salon des infirmiers à Paris, terrain de chasse favori des équipes de Recrutement Santé Québec. Une délégation du ministère de la santé québécois vient jusqu'ici pour débaucher des infirmières françaises et ils n'ont pas eu de mal à convaincre Vanessa Desmarets. Elle était infirmière dans un grand hôpital parisien. "En France j'ai travaillé quatre ans et demi, je me suis retrouvée sur des horaires de nuit, alternés avec parfois des horaires de jour donc je me suis retrouvée avec des journées de 16 heures de travail, peu de temps pause, parfois pas de repas, j'hésitais entre arrêter la profession d'infirmière étant donné que je ne voyais pas d'autre choix de carrière pour moi que les soins critiques."
    Intégrées professionnellement et socialement
    Une fois la candidate ferrée, l'équipe de Recrutement Santé Québec s'occupe de tout : demande de visa, permis de travail, lieu du stage d'intégration, et ça va même bien au-delà. "Il n'a pas seulement l'intégration professionnelle, il y a l'intégration sociale aussi", souligne Luc Mathieu, président de l'Ordre des infirmiers au Québec. "Certaines personnes viennent avec leur conjoint, leurs enfants aussi, alors il faut s'occuper de ce volet-là aussi."
    Le Québec offre des conditions de travail assez avantageuses aux infirmières au point que Malou Leroy a repris goût au métier en arrivant sur place. "On a le temps pour faire notre travail, pour la relation d'aide avec le patient, pour les familles, c'est ce qui me manquait le plus en France". "On a cinq patients pour une infirmière, en France par exemple en Chirurgie j'avais 15 patients à ma charge. Ici on est beaucoup mieux payées, avec les médecins c'est totalement différent, on est reconnues à notre juste valeur". Un "bon métier", qui rapporte, selon le poste occupé, 30 à 50% de plus qu'en France.

    suite et source : https://www.francetvinfo.fr/sante/reportage-ici-on-est-reconnues-a-notre-juste-valeur-le-quebec-eldorado-des-infirmieres-francaises_6648192.html#xtor=CS2-765-[autres]-
  24. Merci
    immigrer.com a reçu une réaction de guitoune dans Chocolatier au Quebec   
    Un petit témoignage : https://www.immigrer.com/chocolatier-patissier-francais-temoigne-de-son-quebec/

    Et voici toujours la boulangerie-chocolaterie de ce couple de Français de La Rochelle installé à Laval au nord de Montréal : https://raffin.ca/
  25. J'aime
    immigrer.com a reçu une réaction de bencoudonc dans Chocolatier au Quebec   
    Bonjour,
     
    Il n'est pas nécessaire de passer par un visa investisseur pour ouvrir une chocolaterie. En tant que simple immigrant on peut faire ces démarches. Il est toujours conseillé d'avoir une expérience de travail avant de faire les démarches de lancer une entreprise à moins que vous avez les reins très solides. Observez et voir les besoins et les caractéristiques du marché du Québec en terme de chocolats. Et il n'est pas nécessaire en effet d'avoir une formation en chocolaterie au Québec. 
     
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