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    immigrer.com a réagi à nath1791 dans Visite au Canada ? Et le troc ?   
    http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201309/19/01-4690876-le-troc-de-maisons-en-hausse.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO23_maison_3732_accueil_POS4

    Versailles et Grenoble en 2011. Les Alpes françaises en 2012. Et bientôt, Saint-Martin dans les Caraïbes, puis les îles Canaries.

    Michel Dupras est devenu un véritable globe-trotter depuis qu'il a découvert le troc de maisons, il y a deux ans. Grâce aux échanges de propriétés réalisés avec d'autres couples, le retraité de Saint-Basile-le-Grand et sa conjointe estiment avoir économisé au moins 10 000$ en frais d'hébergement pendant leurs deux derniers voyages.
    «L'avantage, c'est qu'on est dans une maison, et non à l'hôtel, on se sent chez nous après deux ou trois jours, raconte M. Dupras. On a accès à des voitures, et les voisins viennent toujours nous parler.»
    Le phénomène de l'échange de maisons est en pleine expansion, selon les données d'achalandage du site Trocmaison.com. Cette plateforme américano-suisse, qui compte 46 000 membres dans 142 pays, a vu le nombre d'échanges bondir de 13% cet été par rapport à l'an dernier.

    Le site web, parti de rien à la fin des années 90, compte maintenant une cinquantaine d'employés dans le monde. Son modèle d'affaires est simple: en échange de frais d'abonnement annuels de 119$US, les utilisateurs ont accès à une immense banque de propriétés à échanger le temps d'un séjour plus ou moins long.
    Le site réalise un chiffre d'affaires d'environ 5 millions US par année, a affirmé à La Presse Affaires William Heizner, cofondateur de Trocmaison.com (HomeExchange.com dans sa version anglaise), de passage à Montréal cette semaine. «Selon les années, on observe une croissance annuelle de plus ou moins 18%.»
    Les employés du groupe font du télétravail depuis plusieurs pays et se réunissent une fois l'an pour une rencontre de travail. M. Heizner se trouve dans la région montréalaise en vue d'y préparer la rencontre de l'an prochain, qui devrait se tenir dans les Laurentides.
    L'effet Airbnb
    Si l'échange de propriétés connaît un bel essor, il a été éclipsé ces dernières années - du moins médiatiquement - par la popularité spectaculaire d'Airbnb. Ce site de location entre particuliers compte plus de 300 000 annonces dans 192 pays. Il attire aussi de plus en plus l'attention des autorités fiscales, puisque les propriétaires reçoivent une rétribution, souvent libre d'impôts.
    Selon William Heizner, Airbnb ne nuit pas aux sites d'échanges de maison traditionnels, loin de là. «Au contraire, Airbnb habitue les gens à recevoir des inconnus chez eux. À partir de ce moment-là, les gens sont plus ouverts à utiliser notre site.»
    D'après une étude de l'Université de Bergame, en Italie, les utilisateurs de Trocmaison.com font des séjours plus longs que la moyenne des voyageurs. Près de la moitié restent plus de deux semaines à l'étranger, alors que 42% restent de deux semaines à un mois.
    Paris a maintenu en 2013 son titre de ville la plus prisée, suivi de Londres et New York. Montréal atteint pour sa part le 10e rang mondial.
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    immigrer.com a reçu une réaction de fleurdelotus dans Y a-t-il trop de Français à Montréal ?   
    Y a-t-il trop de Français à Montréal?
    Publication: 18/09/2013 23:54
    Lydie Coupé

    Ou plutôt sur le Plateau, devrais-je préciser. Question fort impertinente je l'avoue. Si j'ose la poser, c'est peut-être parce que je suis moi-même immigrante française, un statut qui me colle à la peau même encore après 18 ans de vie commune avec les Québécois de souche, et même si je tente de me faire régulièrement passer pour une outremontaise.

    Aujourd'hui, je me dis que, dans ce lourd et continuel débat autour de la future Charte et du soi-disant «envahissement» des musulmans, changer de cible ne ferait pas de mal et pourrait nous faire souffler un peu.

    Trêve de plaisanterie, cette question m'est venue il y a quelques semaines à la lecture d'un article dans le journal La Presse intitulé «Cohue pour s'expatrier au Québec». On pouvait y lire, qu'en raison de la situation économique catastrophique en France, un grand nombre de Français voit en la province du Québec une terre d'espoir et de promesses. Je peux les comprendre alors que le taux de chômage là-bas est de 10 % (en constante augmentation depuis deux ans) avec 4,79 millions de chômeurs et de gens sous-employés.

    Pour ma part, j'ai immigré par choix et j'ai donc tout laissé tomber par choix. En couple à l'époque, avec mon papier de résidente permanente acceptée, mon chat et une valise, je savais que tout serait à refaire. Ce qui a été le cas. Ah oui, en passant, pourquoi atterrissons-nous tous sur le Plateau ? C'est bien simple, avant de partir, vous vous renseignez, vous lisez de bons commentaires sur le quartier et vous vous dites que ce serait un lieu sympa pour un premier pied-à-terre. Aucun snobisme... au départ. Notre premier logement, nous l'avons dégoté grâce à un concierge (péruvien d'origine) hyper généreux qui nous a acceptés comme locataires sans emploi ni l'un ni l'autre. Attendri par notre petit couple sans meubles, il nous a prêté un matelas (pas de punaises à l'époque...), un canapé vraiment décrépi, un petit téléviseur noir et blanc et une radio. Notre intégration culturelle a commencé avec La petite vie et les lignes ouvertes de Ron Fournier. Pas mal, non ? Trois mois après notre arrivée, nous assistions au référendum de 1995 et à la sortie de Jacques Parizeau.

    Je me souviendrai toujours de ce conseiller en immigration qui nous avait prévenus en ces termes: «Le Québec, ce n'est pas l'eldorado». Et il avait raison. Même s'il fait bon vivre au Québec, personne ne vous attend les bras ouverts, et il faut prendre le temps nécessaire pour y faire sa petite place. Et s'efforcer de la garder.

    Or, ce qui m'inquiète un peu quand je lis des articles qui dépeignent le choix de Français désespérés de s'installer au Québec, c'est la raison première de leur décision. En attendant que le tout revienne à la normale dans leur pays, un grand nombre de ces «réfugiés économiques» viendraient uniquement chercher un répit de ce côté-ci de l'Atlantique. Avec la bénédiction de madame Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée des Français de l'étranger qui affirme au sujet des mouvements de population: «C'est la même chose pour toute l'Europe. Pourquoi y voir quelque chose de négatif ? Quand le pays sera de nouveau en croissance, ils vont pouvoir revenir.» Ben voyons, c'est si simple. On se sert et on repart.

    Bien sûr, il existe des accords d'échanges économiques entre le Québec et la France. Je pense par exemple aux PVTs, ces «permis vacance-travail» d'une durée d'un an qui permettent à des Français âgés entre 18 et 35 ans de venir travailler au Canada sans trop d'embarras administratifs. Les premières années du lancement de ce permis, les quotas étaient faibles. Or, depuis quelques années (le bouche à oreille sans doute), c'est le boom et on assiste à l'arrivée de ribambelles de pvtistes dans la belle province. On les croise au détour de nos rues ou derrière les comptoirs de certains commerces, particulièrement sur le Plateau que l'on tend à appeler dorénavant la Petite France.

    Mais pour tous ceux et celles qui quittent patrie et famille en croyant trouver rapidement un travail à leur mesure, y aura-t-il vraiment de l'emploi pour tout le monde? Car la société québécoise vit ses propres soubresauts face à l'économie. Même si le taux de chômage atteint seulement les 7,8 %, il y a beaucoup de jobines ou d'emplois précaires. Les domaines manufacturiers ou de services professionnels connaissent des baisses d'activités avec des pertes d'emplois en conséquence. Le secteur culturel crie famine et le domaine des médias est une chasse gardée. Bien sûr, il y a des domaines d'activités qui sont en manque de main-d'oeuvre qualifiée comme l'aéronautique, le domaine industriel et les technologies de l'information mais il s'agit là de pénuries de travailleurs spécialisés. Dans ce cas-là, je comprends que si les démarches de recrutement n'ont pas permis de trouver les perles rares chez nous, on puisse élargir les recherches à l'international. Dont en France.

    Bref, vous avez peut-être l'impression que j'encense un certain protectionnisme économique. Ce qui n'est pas le cas car je crois beaucoup à l'ouverture des frontières et à la mobilité internationale. Ce qui me préoccupe, c'est la chute brutale que peut représenter un espoir déçu. Venir s'installer au Québec, c'est avant tout accepter de s'intégrer dans une société différente (et non pas parente éloignée), d'adopter ses façons de faire et, surtout, de faire preuve d'ouverture, d'humilité et de patience. Beaucoup de patience. Ce qui se passe en Europe est dramatique et cela m'attriste.

    Je ne pense toutefois pas que le Québec puisse se positionner comme un sauveur, et j'ose espérer que des organismes d'immigration comme Québec International qui a participé il y a quelques mois à un «Forum Expat» qui a attiré 3 000 personnes plutôt que les 500 ou 800 prévues, exposent aux intéressé(e)s une vision honnête et réaliste du Québec.


    source : http://quebec.huffingtonpost.ca/lydie-coupe/trop-de-francais-a-montreal_b_3942689.html

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    immigrer.com a reçu une réaction de Ladyoceane dans Y a-t-il trop de Français à Montréal ?   
    Y a-t-il trop de Français à Montréal?
    Publication: 18/09/2013 23:54
    Lydie Coupé

    Ou plutôt sur le Plateau, devrais-je préciser. Question fort impertinente je l'avoue. Si j'ose la poser, c'est peut-être parce que je suis moi-même immigrante française, un statut qui me colle à la peau même encore après 18 ans de vie commune avec les Québécois de souche, et même si je tente de me faire régulièrement passer pour une outremontaise.

    Aujourd'hui, je me dis que, dans ce lourd et continuel débat autour de la future Charte et du soi-disant «envahissement» des musulmans, changer de cible ne ferait pas de mal et pourrait nous faire souffler un peu.

    Trêve de plaisanterie, cette question m'est venue il y a quelques semaines à la lecture d'un article dans le journal La Presse intitulé «Cohue pour s'expatrier au Québec». On pouvait y lire, qu'en raison de la situation économique catastrophique en France, un grand nombre de Français voit en la province du Québec une terre d'espoir et de promesses. Je peux les comprendre alors que le taux de chômage là-bas est de 10 % (en constante augmentation depuis deux ans) avec 4,79 millions de chômeurs et de gens sous-employés.

    Pour ma part, j'ai immigré par choix et j'ai donc tout laissé tomber par choix. En couple à l'époque, avec mon papier de résidente permanente acceptée, mon chat et une valise, je savais que tout serait à refaire. Ce qui a été le cas. Ah oui, en passant, pourquoi atterrissons-nous tous sur le Plateau ? C'est bien simple, avant de partir, vous vous renseignez, vous lisez de bons commentaires sur le quartier et vous vous dites que ce serait un lieu sympa pour un premier pied-à-terre. Aucun snobisme... au départ. Notre premier logement, nous l'avons dégoté grâce à un concierge (péruvien d'origine) hyper généreux qui nous a acceptés comme locataires sans emploi ni l'un ni l'autre. Attendri par notre petit couple sans meubles, il nous a prêté un matelas (pas de punaises à l'époque...), un canapé vraiment décrépi, un petit téléviseur noir et blanc et une radio. Notre intégration culturelle a commencé avec La petite vie et les lignes ouvertes de Ron Fournier. Pas mal, non ? Trois mois après notre arrivée, nous assistions au référendum de 1995 et à la sortie de Jacques Parizeau.

    Je me souviendrai toujours de ce conseiller en immigration qui nous avait prévenus en ces termes: «Le Québec, ce n'est pas l'eldorado». Et il avait raison. Même s'il fait bon vivre au Québec, personne ne vous attend les bras ouverts, et il faut prendre le temps nécessaire pour y faire sa petite place. Et s'efforcer de la garder.

    Or, ce qui m'inquiète un peu quand je lis des articles qui dépeignent le choix de Français désespérés de s'installer au Québec, c'est la raison première de leur décision. En attendant que le tout revienne à la normale dans leur pays, un grand nombre de ces «réfugiés économiques» viendraient uniquement chercher un répit de ce côté-ci de l'Atlantique. Avec la bénédiction de madame Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée des Français de l'étranger qui affirme au sujet des mouvements de population: «C'est la même chose pour toute l'Europe. Pourquoi y voir quelque chose de négatif ? Quand le pays sera de nouveau en croissance, ils vont pouvoir revenir.» Ben voyons, c'est si simple. On se sert et on repart.

    Bien sûr, il existe des accords d'échanges économiques entre le Québec et la France. Je pense par exemple aux PVTs, ces «permis vacance-travail» d'une durée d'un an qui permettent à des Français âgés entre 18 et 35 ans de venir travailler au Canada sans trop d'embarras administratifs. Les premières années du lancement de ce permis, les quotas étaient faibles. Or, depuis quelques années (le bouche à oreille sans doute), c'est le boom et on assiste à l'arrivée de ribambelles de pvtistes dans la belle province. On les croise au détour de nos rues ou derrière les comptoirs de certains commerces, particulièrement sur le Plateau que l'on tend à appeler dorénavant la Petite France.

    Mais pour tous ceux et celles qui quittent patrie et famille en croyant trouver rapidement un travail à leur mesure, y aura-t-il vraiment de l'emploi pour tout le monde? Car la société québécoise vit ses propres soubresauts face à l'économie. Même si le taux de chômage atteint seulement les 7,8 %, il y a beaucoup de jobines ou d'emplois précaires. Les domaines manufacturiers ou de services professionnels connaissent des baisses d'activités avec des pertes d'emplois en conséquence. Le secteur culturel crie famine et le domaine des médias est une chasse gardée. Bien sûr, il y a des domaines d'activités qui sont en manque de main-d'oeuvre qualifiée comme l'aéronautique, le domaine industriel et les technologies de l'information mais il s'agit là de pénuries de travailleurs spécialisés. Dans ce cas-là, je comprends que si les démarches de recrutement n'ont pas permis de trouver les perles rares chez nous, on puisse élargir les recherches à l'international. Dont en France.

    Bref, vous avez peut-être l'impression que j'encense un certain protectionnisme économique. Ce qui n'est pas le cas car je crois beaucoup à l'ouverture des frontières et à la mobilité internationale. Ce qui me préoccupe, c'est la chute brutale que peut représenter un espoir déçu. Venir s'installer au Québec, c'est avant tout accepter de s'intégrer dans une société différente (et non pas parente éloignée), d'adopter ses façons de faire et, surtout, de faire preuve d'ouverture, d'humilité et de patience. Beaucoup de patience. Ce qui se passe en Europe est dramatique et cela m'attriste.

    Je ne pense toutefois pas que le Québec puisse se positionner comme un sauveur, et j'ose espérer que des organismes d'immigration comme Québec International qui a participé il y a quelques mois à un «Forum Expat» qui a attiré 3 000 personnes plutôt que les 500 ou 800 prévues, exposent aux intéressé(e)s une vision honnête et réaliste du Québec.


    source : http://quebec.huffingtonpost.ca/lydie-coupe/trop-de-francais-a-montreal_b_3942689.html

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    immigrer.com a réagi à Marty dans Une love story au goût de sirop d’érable   
    Un article sympathique sur un couple installé depuis trois ans revenus se marier en France:

    "Laura et Pierre, une love story au goût de sirop dérable
    PUBLIÉ LE 13/09/2013
    Par GAËLLE CARON

    Ils étaient dans le même lycée, La Sagesse, à Cambrai. Ils ont suivi les mêmes études dans la même école dinfirmiers à Saint-Quentin. Ils ont pris le même avion pour Montréal, où ils ont décidé dexercer. Et ils porteront le même nom ce samedi, après leur mariage à la maison ! Voilà en avant-première le « pitch » dune comédie romantique plutôt sympa : « Laura et Pierre ».
    Le 15 décembre 2012, Pierre demandait Laura en mariage sur le toit dun immeuble de New York.


    Elle dit que là-bas son accent canadien ne la trahit pas, que les gens savent tout de suite quelle est Française. Mais ici, dans le Cambrésis, sa terre natale, Laura Plancot na pas de mal à passer pour une Québécoise Pierre Quennesson, son « chum », originaire de Cuvillers, résiste encore un peu aux intonations, mais il a dautres marqueurs de son émigration, comme les vocables anglais ou le tutoiement facile. Ny voir aucun manque de politesse, juste une habitude canadienne. Prise dautant plus rapidement que le couple a tout fait, dès son arrivée à Montréal, pour se fondre dans la masse. « Beaucoup de Français partent travailler au Québec, mais ils restent entre Français et du coup cest beaucoup plus difficile pour eux de sintégrer et ils repartent. Nous, on a choisi de ne pas en côtoyer et on sest plutôt bien adapté. »
    De toute façon, dès le début de leur projet, avant même de senvoler, Laura et Pierre étaient déjà un peu canadiens dans leurs têtes Après leur entretien concluant à lordre des infirmiers du Québec à Paris, les deux jeunes soignants avaient en effet deux options à lheure de signer leur contrat de travail de deux ans : un visa de travailleur temporaire ou un titre de résident permanent avec la double nationalité à la clé au bout de trois ans. « On a opté pour la résidence permanente, car ça facilite les démarches administratives, notamment pour le permis de conduire, les papiers de santé ou trouver un logement. »
    Les trois ans sont passés Propriétaires dun appartement sur lîle de Montréal et titulaires de leurs postes à lhôpital universitaire Maisonneuve Rosemont elle en salles daccouchement et lui aux urgences ils seront donc bientôt franco-canadiens. « Pour nos enfants à naître », prévoient-ils. Mais aussi parce quà les entendre ils nont pas franchement envie de revenir. « Notre qualité de vie est exceptionnelle. On travaille de 16 h à minuit, lhiver on skie le matin, lété on joue au golf. Et on gagne mieux notre vie quen France pour des postes égaux. Là-bas, le salaire est versé à la quinzaine et tous les impôts sont déjà déduits. Il ny a pas de récup ou de RTT, tout est payé. Les heures supplémentaires ne sont pas vues comme un inconvénient, mais comme un vrai avantage. Par exemple, jai voulu macheter un nouveau club de golf, alors jai fait huit heures en plus et jai pu me loffrir. Cest une culture différente qui nous convient. Sans compter que lélectricité est moins chère et leau froide gratuite », argumente Pierre, qui ne fait pas de tralala à la française pour dévoiler son salaire : « on gagne 62 000 dollars brut chacun par an ». À 25 ans et avec trois ans dancienneté
    Seul hic à leur belle aventure, léloignement de la famille. « La distance, cest le gros point négatif. On se sent un peu égoïste de vivre notre rêve, mais on essaye de revenir une fois par an pour les grandes occasions. Et on a la chance davoir des parents qui comprennent et ne nous mettent pas la pression », commente Laura. Assis près delle à la table de la salle à manger, dans la maison familiale de Wambaix, son papa acquiesce. « On sest fait une raison, dit-il. Et puis grâce à Internet et à Skype, on arrive à les voir régulièrement. Et puis nous aussi on va là-bas. Deux fois déjà, et ça nous a rassurés de les voir bien installés. »
    Rencontre, bac, diplôme, visa, job Pas du genre à perdre leur temps et à faire les choses à moitié, Laura et Pierre vont ajouter un nouveau chapitre à leur histoire. Après la demande de monsieur le 15 décembre dernier sur le toit dun immeuble de New York quil avait loué, ils se marient ce samedi, civilement en mairie de Cambrai puis religieusement à Marquion. Mais là encore, le scénario risque de surprendre. La cérémonie, célébrée par un diacre laprès-midi, naura pas lieu à léglise, mais dans le jardin dun château. À la mode nord-américaine"

    http://www.lavoixdunord.fr/region/laura-et-pierre-une-love-story-au-gout-de-sirop-d-erable-ia13b0n1540124

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    immigrer.com a réagi à Jérémy Allemand dans La réalité du marché de l'emploi québécois pour les jeunes diplômé   
    L'enquête La Relance à l'université vise à décrire et à faire connaître la situation de personnes diplômées de la formation universitaire, environ vingt mois après l’obtention de leur diplôme. Elle comble a insi un besoin d'information fiable et actualisée sur l'intégration au marché du travail des nouvelles et des nouveaux titulaires d’un baccalauréat ou d’une maîtrise, et ce, aussi bien par discipline et par domaine d'études que pour l'ensemble du Québec.
    Pour obtenir les résultats qui se rapportent aux personnes diplômées de la formation universitaire (baccalauréat ou maîtrise), nous avons utilisé la méthode du recensement. Nous avons mené une enquête téléphonique qui s'est déroulée du 6 avril au 27 juillet 2011 auprès des personnes qui ont obtenu un baccalauréat (30 453 personnes) ou une maîtrise (8088 personnes) au cours de l'année civile 2009, soit 38 541 personnes. Nous avons obtenu un taux de réponse global de 63,8%, ce qui correspond aux normes reconnues pour de telles études.
    On y apprend que la majorité des diplômés au Québec sont des femmes, que l'âge moyen des étudiants est de 26 ans, que l'université Laval et Montréal sont les plus grosses pourvoyeuses de diplômés, ou que les diplômés en sciences de la santé connaissent le plus faible taux de chômage suivi par les sciences de l'éducation et les sciences appliquées.

    De plus certains points sont également à mettre en évidence :

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    immigrer.com a réagi à kuroczyd dans Comparaison Montréal <-> Paris   
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    immigrer.com a réagi à Puda dans Retour à Paris après 3 ans à Toronto   
    Hello à tous,

    certains d'entre vous me connaissent, d'autres vont découvrir notre histoire

    Nous sommes arrivés à Toronto en tant que RP le 15 octobre 2010 après un voyage de 2 semaines en Californie. Nous venions de nous marier et habitions chez nos parents à l'époque. Grand changement en perspective donc puisque malgré 7 ans d'histoire, nous n'avions jamais vécus ensemble ! Mais on savait que ça allait fonctionner

    Arrivée un 15 octobre donc et découverte d'une ville qu'on ne connaissait absolument pas. Nous avions vu Montréal et Québec mais jamais Toronto. Nous avions choisi cette ville (plutôt que Montréal) car mon mari travaillait dans le domaine bancaire et avec un Master 2 en banque / finance / assurance, on s'était dit que ça serait plus facile pour lui. Ahah...

    Quand j'y repense, on était un peu fous de tout quitter comme ça. Moi j'avais un CDI en France et mon mari venait de terminer son stage de fin d'années. On avait 24 ans, rien à perdre et même pas vraiment le stress de partir ! C'est fou !

    Dès le début nous avons su que Toronto ne serait que pour un temps. On s'était donnés 3 ans et on comptait bien en profiter à fond pour booster notre carrière. Aucun attrait pour la ville et même encore aujourd'hui, bien qu'il y ait beaucoup de choses à faire, je n'aime pas Toronto. Trop grande surement. Trop plein de choses.

    Pour ma part, j'ai rapidement trouvé un contrat dans un Université dans ma branche. Petit contrat de 3 mois et première expérience avec des anglophones. J'étais bilingue en partant donc aucun souci de mon côté. (Ne me demandez pas comment je suis devenue bilingue, c'est comme ça )
    J'ai ensuite trouvé un CDI dans une grosse boite américaine. Là catastrophe, j'ai détesté. J'avais en plus acheté une voiture exprès pour y aller car c'était à 30 bornes de chez nous. J'ai donc dépensé une bonne partie des économies pour un boulot que j'ai quitté deux mois plus tard ! (On était début juillet 2011)
    Passage un peu à vide après cette mauvaise expérience et j'ai sérieusement pensé à rentrer car je ne voyais rien venir et les économies nous permettraient de tenir encore maxi 6 mois.
    Et puis en octobre, j'ai obtenu un nouveau CDI, 100 % dans ma branche cette fois. J'y suis restée quasi 1 an et demi et après avoir été licensiée (coupure de mon poste), j'ai retrouvé un contrat deux mois plus tard dans une grosse boite d'audit. Toujours dans ma branche.

    Mon mari est resté 3 ans dans une banque canadienne. Une banque qui n'emploie quasiment que des immigrés. Ce n'était pas un job qui lui plaisait du tout mais de son côté, pas d'entretiens rien ! Hormis des boites qui lui proposaient d'être à son compte. Salaire très faible en plus pour une ville comme Toronto. (35 K) C'est vraiment RIEN ici croyez-moi.
    En avril dernier, après avoir postulé des dizaines de fois en interne, il a fini par obtenir un poste de senior dans son équipe. Un poste qui ne l'intéressait absolument pas mais dans sa banque, évoluer en interne prend a priori des années... Enorme déception de son côté et salaire un tout petit peu mieux ! (Mais toujours très faible)

    Parallèllement j'ai tenté de décrocher un contrat spécial appelé VIE aux USA. Ce que j'ai réussi à faire en juillet dernier. Mon contrat actuel s'arrêtait au 23 septembre et je n'avais aucune envie de rester 1 année de plus à Toronto.
    Malheureusement, pour un problème de quota, le visa a foiré et le rêve de partir aux USA avec ! (Rêve que j'ai depuis des lustres) Grosse désillusion surtout que mon mari a décidé de quitter son job le jour où je lui ai annoncé que les US tombaient à l'eau !! Entre temps on avait donné le préavis de notre appart etc. Enfin je vous raconte pas le we d'angoisse ! (On a reçu la réponse un vendredi matin à 6 h du mat !)

    Bref, au final j'ai réussi à de que la boite m'embauche à Paris à la place et paye une partie du déménagement. (4000 sur les 5500)

    Ce n'était pas du tout ce que j'avais prévu (je pensais même ne jamais rentrer en France !) mais l'opportunité était là surtout qu'il s'agit d'un poste de manager. La boite m'a aussi proposé de venir à Toronto à la place mais j'ai refusé. Aucune envie de faire une année de plus dans cette ville.

    Pour résumer un peu : loyer à 1925 $. Assurance voiture à 185 $ par mois (et encore en tant que nouvel arrivant en 2013 c'est 450 par mois !). Crèche entre 1500 et 1800 par mois si nous voulions un bébé. (Hors de question pour moi à Toronto !) Et j'en passe... Bref, imaginez le budget qu'il faut.
    Attention, on a réussi à mettre de côté quand même hein du fait que je touchais un bon salaire mais à bien y réfléchir, est-ce que ca vaut le coup de payer autant si mon mari n'était pas du tout satisfait de son travail ?

    Nous rentrons avec pas mal de stress. Ce qui est plutôt comique puisque j'aurais déjà un travail sur place et le déménagement est couvert à 80 %. Nous logerons chez nos parents en attendant que mon mari décroche un poste. (Deux boites l'ont déjà appelé donc ça devrait aller)
    Je ne sais pas du tout à quoi m'attendre en rentrant mais finalement je suis contente de faire un break familial en France. J'ai vu mes parents 3 fois en 3 ans et même si je m'y étais habituée, ca fait pas lourd quand même. Mon mari lui n'en pouvait plus de la distance et de tous les évènements familiaux qu'il manquait.

    Je ne dirais donc pas que je rentre surtout pour lui mais disons que ça a beaucoup joué dans la balance. Je vois à son regard qu'il est très heureux de ce choix même s'il est très stressé à l'idée de revenir sans rien. De toute façon ça aurait été plus qu'improbable de revenir avec 2 jobs !

    Je suis quasiment sure que nous repartirons à l'éranger. (La boite voudrait m'envoyer aux USA) Mais en attendant je vais bien en profiter même si sera en région parisienne !!!

    Ca devrait aller
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    immigrer.com a reçu une réaction de caroline77 dans Découvrez les salaires selon les quartiers de Montréal, Toronto, Québe   
    Une carte interactive sur le réseau anglophone de Radio-Canada (CBC) fort intéressante qui permet de découvrir le revenu médian des familles installées dans divers quartiers des principales villes canadiennes selon le dernier recensement canadien.

    Pour découvrir les salaires à Montréal :

    http://www.cbc.ca/news/interactives/cp-census/index-september-2013-income-map.html?cmp=fbtl

    Toronto :

    http://www.cbc.ca/news/interactives/cp-census/index-september-2013-income-map.html?cmp=fbtl

    Vancouver :

    http://www.cbc.ca/news/interactives/cp-census/index-september-2013-income-map.html?cmp=fbtl

    source : http://www.cbc.ca/news/interactives/cp-census/

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    immigrer.com a réagi à mescladys dans Reportage ce 07/09/13 : Québec, le chant de la nature (France 5)   
    Reportage, ce soir du 07/09/2013 sur France 5 : "Québec, le chant de la nature"

    De la capitale de La Belle Province, Québec, au lac Saint-Jean, en passant par Tadoussac, sur l'estuaire du Saint-Laurent, l'animateur propose un périple sous le signe de la nature et du retour aux sources.

    Reportages :
    • L'humour québécois
    • L'Isle-aux-Grues
    • Le festival de la musique francophone de Tadoussac
    • Les animaux du Saguenay
    • L'écohameau de La Baie
    • Les Indiens du lac Saint-Jean...

    Cette semaine aux commandes du magazine, Jérôme Pitorin emmène les téléspectateurs à la découverte du Québec. Il débute son voyage dans la ville et capitale éponyme de cette province francophone du Canada, puis poursuit son périple vers l'est en direction de Tadoussac. Il remonte ensuite vers le nord, jusqu'au lac Saint-Jean. Un périple placé sous le signe de la nature et du retour aux sources.

    http://www.france5.fr/emissions/echappees-belles/diffusions/07-09-2013_125808
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    immigrer.com a reçu une réaction de Aloane dans Premier billet de notre nouvelle blogueuse !   
    Notre nouvelle blogueuse vous offre son premier billet en page d'accueil.

    Bienvenue à toi !

    Bonne lecture.
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    immigrer.com a réagi à anicensrochelais dans Famille française récemment installée   
    Bonjour à tous,

    Nous sommes un couple dans la trentaine avec 2 enfants (3 et 2 ans) installés à Montréal depuis 5 mois.
    Nous sommes venus en PVT et envisageons de demander les Jeunes Pro en attendant la RP.
    Tout se déroule bien pour l'instant de notre côté. Nous avons trouvé rapidement un travail dans nos domaines respectifs.
    Nous aimerions élargir notre cercle d'amis à Montréal alors n'hésitez pas à nous contacter.

    A bientôt

    Aurélie et Clément


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    immigrer.com a reçu une réaction de mouyah dans Bilan de nos premiers 3 mois   
    Merci pour le message. Nous venons de la mettre en page d'accueil du site.

    Bonne suite à vous !
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    immigrer.com a réagi à Blueberry dans Partis du Nord de la France, ils sont devenus canadiens   
    Doublon !

    /topic/127576-santes-partis-du-nord-ils-sont-devenus-citoyens-canadiens/#entry1264364993">http://www.forum.immigrer.com/topic/127576-santes-partis-du-nord-ils-sont-devenus-citoyens-canadiens/#entry1264364993
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    immigrer.com a reçu une réaction de 'Josee Dube dans Santes : partis du Nord, ils sont devenus citoyens canadiens   
    Santes : partis du Nord, ils sont devenus citoyens canadiens

    PUBLIÉ LE 27/08/2013
    Par A. L. (CLP)

    Le journal du jour à partir de 0.79
    Cest son compagnon qui a convaincu la Saintoise Ève-Marie Dehondt de quitter la France, en 2006 pour Vancouver. Alors âgé de 27 ans, le Denaisien Vincent Gandrillon est attiré par les États-Unis et le Canada depuis son plus jeune âge.

    Lenvie dailleurs du couple nest pas liée à un manque de travail : lui est titulaire dun master de littérature, elle dune licence de commerce international. Leur décision est prise, ils vont rejoindre le Canada et, plus précisément, Vancouver, la ville portuaire la plus importante de louest canadien.

    Trois semaines de chômage à larrivée

    Cest le grand saut dans linconnu : deux valises et de largent pour trois mois, lui parle un anglais médiocre, elle se débrouille beaucoup mieux six mois plus tard, tous deux parlent couramment. Ils ne sont pas dépaysés à leur arrivée ; la pluie va les accompagner durant 27 jours. Leur premier domicile est un hôtel bon marché : « Nous pouvions toucher les deux murs en tendant les bras », avoue Vincent. Trois semaines plus tard, le travail est là. Lui cumule deux emplois, un poste de comptable à plein-temps et professeur de français dans un collège à temps partiel. Sa compagne, elle, a trouvé un emploi chez un sous-traitant dEurope Assistance. Tout cela durant un an. Ensuite, Ève-Marie est chargée de vérifier lauthenticité des dossiers des demandeurs demploi avant de devenir formatrice. Vincent devient directeur des ressources humaines chez Backcheck, à Vancouver, et deux ans à Montréal. Puis retour à Vancouver, où le couple rejoint Mitacs, lui comme spécialiste de programme, elle comme assistante de direction et manager déquipe dadministration.

    Plus de civisme, moins de chômage

    Les différences quils trouvent entre les deux pays ? Au Canada, « plus de propreté, de civisme, moins de chômage et la possibilité de trouver un emploi si lessai est concluant, même sans les diplômes nécessaires ». Pour le logement, la caution ne serait que dun demi-loyer. Enfin, énormément de cyclistes, quelle que soit la météo. Les impôts sont également retenus directement sur la fiche de paie. En France, « le système de santé est meilleur et léducation scolaire est gratuite et luniversitaire est moins coûteuse, ainsi que les frais de garde des enfants ».

    Depuis février 2013, le couple dispose enfin dun passeport canadien. Mais la naturalisation na pas été facile : il faut résider sur le territoire depuis trois ans, apprendre un livre de 80 pages sur lhistoire, la culture, la géographie et léconomie du pays. Et répondre à un questionnaire en obtenant une bonne note. Il faut même prêter allégeance à la Reine dAngleterre ! Le couple est revenu cet été dans le Nord. Ce nétait pas arrivé depuis deux ans.

    http://www.lavoixdunord.fr/region/santes-partis-du-nord-ils-sont-devenus-citoyens-canadiens-ia21b49773n1499716

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    immigrer.com a reçu une réaction de emylia dans Santes : partis du Nord, ils sont devenus citoyens canadiens   
    Santes : partis du Nord, ils sont devenus citoyens canadiens

    PUBLIÉ LE 27/08/2013
    Par A. L. (CLP)

    Le journal du jour à partir de 0.79
    Cest son compagnon qui a convaincu la Saintoise Ève-Marie Dehondt de quitter la France, en 2006 pour Vancouver. Alors âgé de 27 ans, le Denaisien Vincent Gandrillon est attiré par les États-Unis et le Canada depuis son plus jeune âge.

    Lenvie dailleurs du couple nest pas liée à un manque de travail : lui est titulaire dun master de littérature, elle dune licence de commerce international. Leur décision est prise, ils vont rejoindre le Canada et, plus précisément, Vancouver, la ville portuaire la plus importante de louest canadien.

    Trois semaines de chômage à larrivée

    Cest le grand saut dans linconnu : deux valises et de largent pour trois mois, lui parle un anglais médiocre, elle se débrouille beaucoup mieux six mois plus tard, tous deux parlent couramment. Ils ne sont pas dépaysés à leur arrivée ; la pluie va les accompagner durant 27 jours. Leur premier domicile est un hôtel bon marché : « Nous pouvions toucher les deux murs en tendant les bras », avoue Vincent. Trois semaines plus tard, le travail est là. Lui cumule deux emplois, un poste de comptable à plein-temps et professeur de français dans un collège à temps partiel. Sa compagne, elle, a trouvé un emploi chez un sous-traitant dEurope Assistance. Tout cela durant un an. Ensuite, Ève-Marie est chargée de vérifier lauthenticité des dossiers des demandeurs demploi avant de devenir formatrice. Vincent devient directeur des ressources humaines chez Backcheck, à Vancouver, et deux ans à Montréal. Puis retour à Vancouver, où le couple rejoint Mitacs, lui comme spécialiste de programme, elle comme assistante de direction et manager déquipe dadministration.

    Plus de civisme, moins de chômage

    Les différences quils trouvent entre les deux pays ? Au Canada, « plus de propreté, de civisme, moins de chômage et la possibilité de trouver un emploi si lessai est concluant, même sans les diplômes nécessaires ». Pour le logement, la caution ne serait que dun demi-loyer. Enfin, énormément de cyclistes, quelle que soit la météo. Les impôts sont également retenus directement sur la fiche de paie. En France, « le système de santé est meilleur et léducation scolaire est gratuite et luniversitaire est moins coûteuse, ainsi que les frais de garde des enfants ».

    Depuis février 2013, le couple dispose enfin dun passeport canadien. Mais la naturalisation na pas été facile : il faut résider sur le territoire depuis trois ans, apprendre un livre de 80 pages sur lhistoire, la culture, la géographie et léconomie du pays. Et répondre à un questionnaire en obtenant une bonne note. Il faut même prêter allégeance à la Reine dAngleterre ! Le couple est revenu cet été dans le Nord. Ce nétait pas arrivé depuis deux ans.

    http://www.lavoixdunord.fr/region/santes-partis-du-nord-ils-sont-devenus-citoyens-canadiens-ia21b49773n1499716

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    immigrer.com a reçu une réaction de nadia13 dans Santes : partis du Nord, ils sont devenus citoyens canadiens   
    Santes : partis du Nord, ils sont devenus citoyens canadiens

    PUBLIÉ LE 27/08/2013
    Par A. L. (CLP)

    Le journal du jour à partir de 0.79
    Cest son compagnon qui a convaincu la Saintoise Ève-Marie Dehondt de quitter la France, en 2006 pour Vancouver. Alors âgé de 27 ans, le Denaisien Vincent Gandrillon est attiré par les États-Unis et le Canada depuis son plus jeune âge.

    Lenvie dailleurs du couple nest pas liée à un manque de travail : lui est titulaire dun master de littérature, elle dune licence de commerce international. Leur décision est prise, ils vont rejoindre le Canada et, plus précisément, Vancouver, la ville portuaire la plus importante de louest canadien.

    Trois semaines de chômage à larrivée

    Cest le grand saut dans linconnu : deux valises et de largent pour trois mois, lui parle un anglais médiocre, elle se débrouille beaucoup mieux six mois plus tard, tous deux parlent couramment. Ils ne sont pas dépaysés à leur arrivée ; la pluie va les accompagner durant 27 jours. Leur premier domicile est un hôtel bon marché : « Nous pouvions toucher les deux murs en tendant les bras », avoue Vincent. Trois semaines plus tard, le travail est là. Lui cumule deux emplois, un poste de comptable à plein-temps et professeur de français dans un collège à temps partiel. Sa compagne, elle, a trouvé un emploi chez un sous-traitant dEurope Assistance. Tout cela durant un an. Ensuite, Ève-Marie est chargée de vérifier lauthenticité des dossiers des demandeurs demploi avant de devenir formatrice. Vincent devient directeur des ressources humaines chez Backcheck, à Vancouver, et deux ans à Montréal. Puis retour à Vancouver, où le couple rejoint Mitacs, lui comme spécialiste de programme, elle comme assistante de direction et manager déquipe dadministration.

    Plus de civisme, moins de chômage

    Les différences quils trouvent entre les deux pays ? Au Canada, « plus de propreté, de civisme, moins de chômage et la possibilité de trouver un emploi si lessai est concluant, même sans les diplômes nécessaires ». Pour le logement, la caution ne serait que dun demi-loyer. Enfin, énormément de cyclistes, quelle que soit la météo. Les impôts sont également retenus directement sur la fiche de paie. En France, « le système de santé est meilleur et léducation scolaire est gratuite et luniversitaire est moins coûteuse, ainsi que les frais de garde des enfants ».

    Depuis février 2013, le couple dispose enfin dun passeport canadien. Mais la naturalisation na pas été facile : il faut résider sur le territoire depuis trois ans, apprendre un livre de 80 pages sur lhistoire, la culture, la géographie et léconomie du pays. Et répondre à un questionnaire en obtenant une bonne note. Il faut même prêter allégeance à la Reine dAngleterre ! Le couple est revenu cet été dans le Nord. Ce nétait pas arrivé depuis deux ans.

    http://www.lavoixdunord.fr/region/santes-partis-du-nord-ils-sont-devenus-citoyens-canadiens-ia21b49773n1499716

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    immigrer.com a reçu une réaction de nadia13 dans Les médecins formés à l'étranger toujours victimes de discriminati   
    Les médecins formés à l'étranger toujours victimes de discrimination

    Publié par : Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse


    MONTRÉAL, le 14 août 2013 - La Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse s'inquiète du fait que les facultés de médecine du Québec continuent de refuser aux médecins formés à l'étranger l'accès à la résidence, même lorsque ceux-ci réussissent le stage de mise à niveau offert par le Centre d'évaluation des diplômés internationaux en santé (CÉDIS).

    En effet, seulement huit des 16 candidats qui ont réussi le stage du CÉDIS ont obtenu une place dans une faculté de médecine cette année, alors que les quatre facultés de médecine ont laissé 74 postes vacants, dont 42 en médecine familiale, une discipline pourtant jugée prioritaire alors que le Québec connaît toujours une pénurie d'omnipraticiens.

    Dans une lettre adressée le 5 août 2013, au ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec, le Dr Réjean Hébert, le président de la Commission, monsieur Gaétan Cousineau, précise « qu'un certain nombre de préjugés et d'attitudes défavorables à l'égard des médecins formés à l'étranger persistent dans les facultés de médecine québécoises reproduisant ainsi le cercle vicieux de la discrimination systémique dont sont victimes ces médecins ».
    La Commission presse le ministre d'intervenir auprès des facultés de médecine afin qu'elles reconnaissent la valeur du processus d'évaluation et d'orientation développé par le CÉDIS et qu'elles garantissent une place pour les candidats qui réussissent le stage de mise à niveau, comme c'est le cas en Ontario et en Colombie-Britannique.
    Au mois de novembre 2010, la Commission avait rendu public les conclusions d'une vaste enquête systémique qui a démontré qu'à toutes les étapes du processus de sélection, les médecins formés à l'étranger rencontrent des obstacles qui les désavantagent de façon disproportionnée et qui contribuent à leur exclusion des quatre facultés de médecine du Québec. La Commission avait notamment recommandé la mise en place de mesures et de programmes visant une meilleure intégration de ces médecins au système menant à l'obtention du permis d'exercice.

    Dans la foulée de son enquête systémique, la Commission a engagé le dialogue avec les principaux intervenants, dont le Collège des médecins du Québec (CMQ), la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CRÉPUQ), le MSSS et les responsables du CÉDIS afin de contribuer activement à la recherche de solutions pour mettre fin à la discrimination à l'égard des médecins formés à l'étranger.

    Dans sa lettre au ministre, monsieur Cousineau rappelle que la Commission avait accueilli avec enthousiasme la décision du MSSS de mettre en place le CÉDIS qui, depuis 2011, a permis de prodiguer une formation de qualité à plusieurs candidats formés à l'étranger dont le dossier avait été rejeté par les facultés de médecine québécoises, mais dont le potentiel de réussite s'était avéré important à la suite de l'évaluation. En 2012, neuf des 12 candidats ayant réussi le stage avaient obtenu une place en résidence mais en 2013 seulement la moitié des candidats ont été retenus.

    « Cette formation aurait dû permettre aux candidats qui l'ont suivi et réussi de répondre aux exigences des facultés de médecine et, théoriquement, de lever les appréhensions de ces dernières à leur égard. La réalité que nous observons actuellement est cependant totalement autre », explique le président de la Commission en soulignant que les facultés de médecine semblent questionner la valeur du programme et boudent une part importante des candidats qui réussissent ce stage.

    La Commission évalue à plus de 300 le nombre de places laissées vacantes depuis quatre ans dans les facultés de médecine, la plupart en médecine familiale, ce qui est difficilement concevable d'autant plus que ces places sont financées à même les deniers publics, tout comme le CÉDIS, dont le budget dépasse 2 millions $ cette année.
    La Commission a demandé une rencontre avec le ministre Hébert afin d'explorer avec lui les pistes de solutions pour permettre aux médecins formés à l'étranger d'exercer leur droit à l'égalité sans discrimination.

    http://www.arrondissement.com/tout-get-communiques/u19200-medecins-formes-etranger-toujours-victimes-discrimination#.Ug5LMcJwCpg.facebook


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    immigrer.com a reçu une réaction de RVH 50 dans internats en psychologie   
    Une faq sur le métier des psychologue : http://www.immigrer.com/faq/rubrique/Metier-de-psychologue.html
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    immigrer.com a reçu une réaction de benj2000 dans Quand les idéalistes français trouvaient asile aux États-Unis   
    Quand les idéalistes français trouvaient asile en Amérique


    Hélène Crié-Wiesner
    Binationale
    Publié le 14/07/2013 à 10h29
    Les Etats-Unis nont pas toujours été le vilain Big Brother de la planète. Au milieu du XIXe siècle, pour les réfugiés politiques et les utopistes français, lAmérique était « le dernier refuge du droit et de la liberté ». Un livre étonnant raconte les rêves et les déceptions de « ces enfants errants de la France » :

    « New York, le dimanche 17 décembre 1871. En plein cur de Manhattan, des milliers de badauds et de sympathisants se pressent pour voir arriver la procession funèbre organisée en mémoire de trois communards fusillés près de Versailles moins de trois semaines auparavant.

    En tête du défilé, qui avance précédé dimmenses drapeaux rouges, de nombreux Français sont massés derrière un imposant catafalque. Le succès de la manifestation est spectaculaire puisque lon parle de 10 000 participants, les journalistes présents sont interloqués, lopinion publique américaine choquée. »

    Michel Cordillot connaît bien son affaire. Professeur à luniversité Paris-VIII, il est un grand spécialiste des luttes politiques en général, et surtout de lAmérique contestataire. Cest lui qui a coordonné et rédigé « La Sociale en Amérique », paru en 2002 aux éditions de LAtelier, sous-titré « Dictionnaire biographique du mouvement social francophone aux Etats-Unis, 1848-1922 ».

    Sauver de loubli ces émigrés politiques

    Ce dictionnaire était le premier tome dune trilogie « visant à sauver de loubli lhistoire des exilés et émigrés politiques français partis sinstaller aux Etats-Unis entre 1848 et la Première Guerre mondiale ». Il y a trois ans sur Rue89, javais présenté « Les Révolutionnaires du nouveau monde, 1885-1922 », second volet de la saga américaine.


    « Utopistes et exilés du nouveau monde, de 1848 à la Commune » de Michel Cordillot, éd. Vendemiaire, juin 2013
    Voici donc, à rebours de lordre chronologique, le troisième volet tout juste publié : « Utopistes et exilés du nouveau monde, de 1848 à la Commune ». Et le résumé quen donne léditeur :

    « Cette manifestation marqua lapogée dun mouvement né dès 1848, quand 69 disciples du célèbre auteur du Voyage en Icarie, Etienne Cabet, quittèrent la France pour le Texas, bientôt suivis par des centaines dautres communistes icariens désireux de fonder une communauté idéale.

    Plus tard arrivèrent les démocrates socialistes chassés de France qui avaient décidé de se construire une nouvelle vie en Amérique, puis les fouriéristes emmenés par Victor Considérant.

    Michel Cordillot sest attaché à retracer laventure de ces hommes et de ces femmes, utopistes, vaincus de juin 1848, républicains en fuite après le coup dEtat de Louis-Napoléon Bonaparte, communards en exil, qui prirent les armes lors de la guerre de Sécession pour en finir avec lesclavage, puis fondèrent les sections françaises de lAssociation internationale des travailleurs. »

    LAmérique, creuset dune société meilleure

    Le livre est long, fouillé, ultradocumenté comme sait lêtre louvrage dun universitaire. Cette fois encore, Cordillot raconte une histoire particulière : non pas celle de tous les immigrés francophones, qui ont été bien plus nombreux quon ne le croit aux Etats-Unis, mais celle des idéalistes, des politiques, de ceux qui voyaient en lAmérique le creuset idéal dune société meilleure.

    Difficile de rendre dans un petit article la complexité des aventures humaines, des débats dogmatiques chers aux révolutionnaires de tout poil, des déchirements personnels quont vécu ces exilés, réfugiés, ou émigrés volontaires. De fait, ils étaient tous des transplantés, et larrachement à sa culture dorigine nest jamais simple à vivre.

    Pas simple non plus de confronter ses rêves aux réalités ! Les déboires des communautés agricoles icariennes et fouriéristes serrent le cur quand on a soi-même flirté un temps avec les belles idées anarchistes.

    Les obsédantes questions du leadership et du contexte économique dont aucune communauté ne peut sabstraire, sauf à vivre sur la lune, ont pulvérisé les illusions de ceux qui fuyaient une monarchie, puis une république bourgeoise, puis un empire quasi dictatoriaux.

    http://blogs.rue89.com/americanmiroir/2013/07/14/quand-les-idealistes-francais-trouvaient-asile-en-amerique-230778

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    immigrer.com a reçu une réaction de Le Doc dans Qui disait que les Québécois payaient beaucoup d'impôts ?   
    Un article qui parle de l'impôt au Québec. Attention Terre-Neuve est plus taxé que le Québec donc le Québec n'est pas la province la plus taxée du Canada. Les Québécois sont libres d'impôts le 18 juin alors que les Français en juillet. :

    "Publié le 11 juin 2013 à 05h00 | Mis à jour le 11 juin 2013 à 09h14
    Les Québécois parmi les plus imposés et taxés au pays

    Si tout se déroule comme prévu, les ménages québécois auront gagné suffisamment d'argent le 18 juin pour honorer les impôts et les taxes perçus par les différents paliers de gouvernements, soit trois jours de plus que l'an dernier.

    Au pays, seuls les ménages de Terre-Neuve devront travailler plus longtemps (22 juin) pour s'affranchir de leurs impôts et de leurs taxes.

    Ménage moyen

    Le ménage moyen québécois gagnera cette année 84 498 $ et paiera un total de 38 671 $ en impôts et en taxes, soit 45,8 % de son revenu. La facture d'impôts totale des ménages québécois augmentera de 1340 $ en 2013, en hausse de 3,6 %.

    Selon Philip Palda, senior fellow à l'Institut Fraser et professeur à l'École nationale de l'administration publique (ENAP), le Québec fait fausse route cette année par l'augmentation du taux d'imposition applicable aux contribuables gagnant plus de 100 000 $. «Ce qui nuit à la vitalité de l'économie, car cette hausse touche justement les professionnels comme les médecins, les avocats, les comptables, les ingénieurs et les cadres supérieurs que la province veut attirer et retenir», dit-il.

    Un choix

    L'Institut Fraser, reconnu pour ses théories économiques associées à la libre entreprise, soutient que le choix du gouvernement du Québec d'équilibrer son budget cette année plutôt que l'an prochain a ses effets avec une contribution fiscale en augmentation.

    L'an dernier, les ménages québécois s'étaient affranchis de leur fardeau fiscal le 15 juin. C'est moins qu'en l'an 2000 alors que les Québécois s'étaient affranchis des impôts et des taxes avant le 3 juillet.

    L'Institut Fraser cite d'ailleurs en exemple l'Ontario, dont le fardeau fiscal des ménages sera remboursé cette année le 9 juin. Or, cette journée d'affranchissement aurait été repoussée au 23 juin (soit 14 jours plus tard) si le gouvernement ontarien avait décidé de combler son déficit budgétaire de 11,7 milliards $ dès cette année.

    L'Alberta au premier rang

    Sans surprise, c'est en Alberta que les impôts et les taxes sont les moins élevés. Les ménages albertains se sont déjà affranchis de leurs impôts et de leurs taxes le 19 mai.

    L'Institut Fraser doute par ailleurs que la journée d'affranchissement de l'impôt des Québécois arrive plus tôt au cours des prochaines années. Ne serait-ce qu'en raison du lourd déficit du gouvernement fédéral de 18,7 milliards $ qui devra tôt ou tard être comblé.

    Dans ce cas précis, si Ottawa s'était attardé à payer son déficit cette année avec des hausses d'impôts et de taxes, les ménages québécois auraient atteint leur journée d'affranchissement le 21 juin.

    Comment calculer

    Les impôts servant au calcul de la journée d'affranchissement de l'impôt comprennent entre autres les impôts sur le revenu, les cotisations sociales (régimes de retraite, assurance-emploi et impôt santé), les impôts fonciers, les taxes de vente, les impôts sur les bénéfices, les droits de douane, les frais pour les permis, les taxes sur l'alcool et le tabac, les taxes sur l'essence, les taxes destinées aux hôpitaux et les droits d'exploitation des ressources naturelles."

    source : http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201306/10/01-4659840-les-quebecois-parmi-les-plus-imposes-et-taxes-au-pays.php
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    immigrer.com a reçu une réaction de Flo Holly dans La fin de la France? Le mouvement Barrez-vous   
    La fin de la France?
    Publication: 22/07/2013 06h52

    Dimanche dernier, le cycliste anglais Chris Froome s'est envolé sur les Champs-Élysées pour remporter le 100e Tour de France. Il n'est que le second Anglais de l'histoire du Tour à ramener le fameux maillot jaune à Paris, après le triomphe de Bradley Wiggins l'an dernier. Mais alors que les fans de Froome l'encourageaient d'un "Allez!", les jeunes Français seraient plutôt du genre à se dire mutuellement: "Cassez-vous"!

    "Barrez-vous" est le mot d'ordre lancé par Félix Marquardt, né et ayant grandi à Paris, mais d'un père autrichien et d'une mère grecque venue du Bronx new-yorkais. Avec son éducation française, mais surtout son profil international, il a le sentiment que le meilleur espoir aujourd'hui pour ces jeunes Français qui cherchent à réussir est de quitter la France.

    Marquardt n'est pas le seul. Dans une lettre ouverte publiée dans Le Point, une étudiante de la Sorbonne - Claire G. -, soutient que la moitié des 18-34 ans quitterait la France si c'était possible. Le cabinet d'études Pew Research a récemment publié un sondage montrant que les Français sont parmi les plus pessimistes concernant l'avenir de leur pays : seulement 9 % d'entre eux croient que leurs enfants auront un niveau de vie supérieur au leur. L'inquiétude des Français concernant le taux de chômage élevé et la dette, ressemble plus à celle des Grecs, des Espagnols et des Italiens qu'à l'optimisme affiché par les autres nations d'Europe du Nord, telles le Royaume-Uni et l'Allemagne.

    Les institutions politiques françaises semblent paralysées par les défis de la réforme, avec une gauche qui croit encore qu'elle peut redistribuer une richesse que leur pays ne peut pourtant plus générer. L'ancien président, Nicolas Sarkozy s'est attristé il y a peu de ce que la France semblait être le seul pays à "avoir peur du progrès".

    Son pessimisme est partagé par certains grands chefs d'entreprise français. Maurice Lévy, PDG du groupe de communications Publicis, s'est plaint, lui, que "l'économie du pays soit ralentie par tout un tas de structures administratives archaïques et incompréhensibles".

    Quant à l'acteur français, Gérard Depardieu, il a quitté la France parce qu'il payait trop d'impôts, expliquant au Premier ministre dans une lettre: "Je pars parce que vous pensez que le succès, la création, le talent et tout ce qui est différent doit être puni".

    David Cameron a promis de "dérouler le tapis rouge" à tous ceux souhaitant quitter la France pour profiter des bas taux d'imposition tant pour le contribuable que pour les entreprises. Londres attire non seulement les jeunes Français voulant travailler dans le secteur financier, mais aussi dans les nouvelles technologies comme à Tech City, le pôle de créativité numérique de Shoreditch, leader en Europe. Dans ma circonscription de Folkestone et Hythe, d'où l'on aperçoit les côtes françaises, les agents immobiliers constatent un intérêt croissant des acquéreurs outre-Manche.

    Dans une interview avec Vogue, Marie-Cécile Boulle, qui dirige une entreprise (de consultation) immobilière, a déclaré: "Ils viennent en Angleterre et y trouvent une totale ouverture à la vie. En France, vous pouvez être catalogué et cantonné à une seule activité dès le plus jeune âge. Ces jeunes Français aiment l'éducation à l'anglaise, sa positivité et son côté "je peux le faire". Ils viennent ici et ils se sentent libres."

    La Grande Bretagne s'est réformée elle-même pour devenir plus ouverte et compétitive dans un monde de plus en plus exigeant. La France doit maintenant faire face à certains défis que nous avons affrontés ces trente dernières années. Bien que nous soyons prêts à accueillir des jeunes gens talentueux et ambitieux au Royaume-Uni, nous avons tous besoin d'une France forte, moteur d'une économie européenne prospère. Alors espérons que nous entendrons plus de "Allez!" que de "Barrez-vous"!

    source : http://www.huffingtonpost.fr/damian-collins/la-fin-de-la-france_b_3634600.html



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    immigrer.com a reçu une réaction de Cedou13 dans La criminalité toujours en baisse au Québec et au Canada   
    La criminalité toujours en baisse au Canada

    RCQC | Par Radio-Canada.ca

    Publication: 25/07/2013 12:47 EDT | Mis à jour: 25/07/2013 12:59 EDT

    Le taux de crimes rapportés à la police a reculé de 3 % au pays l'an dernier, une tendance observée depuis plus de 20 ans, note Statistique Canada.

    L'indice de gravité des crimes déclarés aux autorités a lui aussi diminué de 3 % en 2012.

    Selon Statistique Canada, près de 2 millions de crimes ont été rapportés à la police au Canada en 2012. Un chiffre qui ne tient cependant pas compte des infractions liées au Code de la route.

    En 2012, le taux de criminalité au Canada était de 5588 par 100 000 habitants.

    D'après les données compilées, 36 000 crimes de moins ont été déclarés à la police en 2012, par rapport aux statistiques de 2011.

    En 2012, le taux de crimes déclaré a atteint son plus bas niveau au Canada depuis 1972, soulignent les chercheurs de Statistique Canada.

    La baisse du taux de criminalité enregistrée en 2012 est attribuable, selon Statistique Canada, à la diminution d'infractions tels le méfait, l'introduction par effraction, le fait de troubler la paix, le vol de véhicules à moteur et la possession de biens volés.

    Toujours moins de meurtres

    En ce qui a trait aux crimes violents, la police a enregistré 543 homicides au Canada l'an dernier, soit 55 de moins qu'en 2011. La police canadienne a répertorié un peu plus de 415 000 affaires de violence en 2012, soit 9000 de moins qu'en 2011.

    Le taux de crimes violents a ainsi diminué de 3% au Canada pour atteindre son plus bas niveau depuis 1987

    Hausse des cas d'extorsion

    Si le nombre de meurtres est toujours en baisse au Canada, « les infractions causant la mort autre que l'homicide, de même que les affaires d'extorsion, les infractions avec violence relatives aux armes à feu et les infractions sexuelles contre les enfants, figuraient parmi les crimes violents à avoir affiché une hausse en 2012 », note Statistique Canada dans son rapport.

    Les fraudes d'identité, les affaires liées au terrorisme et les infractions relatives aux drogues autres que le cannabis ont aussi été en hausse au pays en 2012.

    Les provinces et territoires



    Parmi les provinces, c'est en Saskatchewan que le taux de criminalité était le plus élevé en 2012 avec un taux de criminalité de 11 513 crimes par 100 000 habitants.

    Paradoxalement, c'est aussi en Saskatchewan que la plus importante baisse de la criminalité (-7 %) a été enregistrée l'an dernier.

    C'est par ailleurs l'Ontario qui récolte le taux de criminalité le moins élevé au pays en 2012 avec un taux de 4016 crimes par 100 000 habitants. Le Québec arrive deuxième avec 4316 crimes déclarés par 100 000 habitants.

    Situation problématique dans les Territoires

    Dans les territoires cependant, le taux de criminalité a augmenté en 2012, note Statistique Canada.

    Dans les Territoires-du-Nord-Ouest, le taux de crimes rapportés était de 48 052 par 100 000 habitants l'an dernier, en hausse de 1 %.

    Au Nunavut, où le taux était de 39 229 par 100 000 habitants, le nombre de crimes rapportés a grimpé de 3 %.

    Criminalité dans les grandes villes

    Dans les grandes villes canadiennes, c'est à Kelowna, en Colombie-Britannique, que le taux de criminalité a été le plus élevé en 2012, en hausse de 6 % par rapport aux chiffres de 2011.

    Régina, qui détenait le taux de criminalité le plus élevé au pays depuis quatre est passé au deuxième rang en 2012 avec une baisse de 10 % des crimes rapportés.

    C'est en revanche à Toronto que le taux de criminalité est le moins élevé parmi les grandes villes du pays avec un taux de 3131 crimes par 100 000 habitants.

    Québec arrive au deuxième rang avec un taux de criminalité de 3216 par 100 000 habitants.

    Le taux de criminalité a chuté de 7 % à Toronto en 2012 alors qu'il a reculé de 5 % à Montréal, de 1 % à Ottawa et de 2 % à Vancouver.

    Il a cependant augmenté à Moncton, Windsor, Kelowna, Guelph, St Catharines-Niagara, Gatineau et Brantford.

    source : http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/07/25/baisse-taux-de-criminalite-canada_n_3653495.html


  23. J'aime
    immigrer.com a réagi à Hawaiienne 54 dans 5 ans au Québec   
    5 ans.


    Le 29 juillet 2008, il y a 5 ans
    nous avons débarqué tous les 5, avec nos 5 valises, nos 5 sac à dos, une grosse
    cage et le chien dedans, nous avons débarqué avec tout à reconstruire. Nous n’avions
    pas de peur, pas de rêves fous, juste une grande liste de choses à faire, que
    nous avions minutieusement préparée pendant des mois.


    Que de chemin fait en 5 années.


    En lisant les annonces j’ai vu
    une job de préposée aux bénéficiaires, j’ai envoyé mon CV, le lendemain je
    rencontrais le gérant, le jour d’après je travaillais à « la maison
    dauphinelle », à 10 minutes à pieds de la maison, au salaire minimum, dans
    l’unité secteur protégé, démences séniles et maladies d’Alzheimer. Après
    presque 8 ans de maman au foyer, retrouver un travail fut tellement motivant et
    gratifiant, que malgré les conditions difficiles, je suis restée 9 mois,
    distribuant de l’amour et de la bonne humeur, découvrant les mots, les
    expressions. Je m’imprégnais de ce Quebec tant rêvé!


    Pendant ce temps Bruno faisait sa
    conversion de Licenses de pilote d’avion sur des CESSNA à Saint Hubert, chez « Cargair ».
    Il était donc étudiant. Les enfants ont pris le chemin de l’école, Guillaume
    lui a passé les deux premières années en CPE à Saint Hubert.


    L’appel d’un salaire plus clément
    et de conditions de travail meilleures m’a fait postuler dans le public,
    toujours comme Préposée aux bénéficiaires, puisque mon diplôme d’infirmière n’était
    pas reconnu. Parallèlement j’ai fait une demande de reconnaissance de diplôme à
    L’ordre des infirmières auxiliaires du Quebec puisque l’immigration m’avait dit
    que j’avais cette équivalence là. J’ai été embauchée au CSSS Pierre Boucher
    dans un centre d’hébergement à Longueuil, j’y ai travaillé 4 mois, j’ai adoré
    travailler là, encore plein de découvertes, de défi, de personnes que j’ai
    croisé et qui ont fait que je suis devenue celle que je suis!


    Dans les 6 premiers mois au
    Québec je suis également devenue « marraine d’allaitement », afin de
    poursuivre mon chemin d’accompagnement à l’allaitement et relever d’autres
    défis. Nous avons décidé aussi d’être « parents secours »


    Suite à sa formation de pilote,
    Bruno a enchainé sur une formation d’instructeur dans l’école d’aviation « air
    Richelieu » à Saint Hubert. En juin 2009 il a commencé à travailler comme
    instructeur pilote. Une passion, mais qui ne permettait pas de faire vivre la
    famille financièrement.


    En septembre 2009, j’ai décidé de
    quitter le CSSS Pierre Boucher pour aller chercher un diplôme Québécois d’infirmière
    auxiliaire, et j’ai intégré l’école des faubourgs de Montréal à temps plein pour 8 mois de formation. 8 mois
    d’école, de stage, sans salaire, nous avons commencé à connaitre…la précarité.
    Les réserves d’argent diminuaient dangereusement, le stress lui montait…Pourtant
    nous nous sommes accrochés. Bruno a multiplié les envois de CV, sans
    succès. Ma formation fut passionnante, J’ai
    rencontré des gens formidables. Retourner à l’école à 32 ans et avec 3 enfants,
    ce n’était pas simple, mais les Bilous nous sommes une équipe, et ensemble nous
    avons réussi. Bruno gérait le quotidien, et les enfants continuaient leur
    bonhomme de chemin, heureux et épanouis.


    Après cette formation j’ai été engagée
    par le CSSS Richelieu Yamaska, à l’hôpital Honoré Mercier de Sainte Hyacinthe
    en cardiologie (mai 2010). Les défis et la passion que j’ai mis dans ce
    travail, c’était une des périodes les plus belles et les plus entrainantes de
    ma vie. Bruno de son côté ramait pour trouver des élèves, ou une autre job de
    pilote. Il a travaillé au « canadian tire » pendant 3 semaines, juste
    avant que j’intègre l’hôpital car l’argent commençait à manquer…Il continuait
    ses cours d’instructeur en parallèle. Cette période fut plus difficile pour
    lui, le travail manquait mais il refusait de lâcher son rêve de pilote…Il
    faudrait bientôt prendre une décision…Mais on s’accrochait…encore et toujours…


    Le CSSS a commencé à l’automne à
    couper mes heures, j’ai donc accepté de travailler en centre d’hébergement à Saint
    Bruno (en plus de l’hôpital). J’ai bataillé et fini par obtenir un poste de
    jour!!!!!! Un poste de jours dans un CSSS public! Le rêve!


    Nous avons déménagé en Aout en
    achetant une maison un peu plus loin dans la rue, une belle maison, plus
    grande, mieux équipée, à nous, grâce à un ami agent immobilier qui nous a fait
    passer au crédit, puisque les banques refusaient de nous suivre…


    Comme l’argent manquait J’ai
    décidé de devenir travailleur autonome en plus de mon travail pour le CSSS, je
    faisais les bilans de santé pour les assurances, au domicile des gens, je me
    promenais avec mon auto sur les routes du Quebec pour faire des prises de sang
    et autres soins.


    Je travaillais donc 3 à 4 jours
    semaines pour le CSSS et le soir pour les Bilans de santé. Je me suis retrouvée
    à travailler 7 jours sur 7, jours et soirs. Nous n’avions plus le choix.


    Bruno continuait de postuler, il
    a passé une entrevue pour une compagnie,
    il a même fait une formation, et juste avant Noel 2010 la nouvelle a
    effacé nos espoirs, pas de job pour Bilou. Il nous fallait nous rendre à l’évidence
    que le rêve d’aviation n’était plus possible, l’argent manquait vraiment…Nous
    avons passé un Noel triste, je travaillais le jour de Noel, nous n’étions pas à
    la fête…Bruno a décidé de prendre une job : il a été engagé pour
    travailler de nuit au Tim Horton les fins de semaines. Le moral était bas, mais
    jeunes et en santé…Nous avons décidé de ne pas lâcher. Ce qui nous plaisait c’est
    d’élever nos enfants ici, alors nous étions heureux.


    Puis…


    Il parait que la roue tourne
    toujours.


    Le 11 Janvier 2011…Bruno a reçu l’appel
    de Skyservice. L’appel qui a changé nos vies! Pilote d’ambulances aériennes sur
    un Learjet! Le travail de ses rêves!!!!!!!Ce travail nécessitait une
    disponibilité 24h sur 24h, 7 jours sur 7…J’ai donc abandonné le CSSS pour que
    Bruno vive ce rêve ! À ce moment là, quand j’ai arrêté de courir, je me suis
    rendue compte de ma fatigue, j’étais épuisée. J’ai enfin pris le temps de
    passer du temps avec mes enfants, de travailler comme travailleur autonome, de
    faire du sport, de savourer. Quel grand soulagement!


    À partir de ce moment là, nous
    avons savouré chaque journée en nous sachant heureux.


    Les enfants ‘épanouissent dans ce
    pays, leur pays, notre pays, celui que nous avons choisi.


    Pour essayer d’avoir un peu plus
    d’argent car les finances étaient encore difficiles, j’ai travaillé aussi comme
    promeneuse de chiens! Si on m’avait dit ca un jour! Entre les clients humains,
    les clients chiens, les enfants, la maison, nos deux chiens (nous avons adopté
    un beagle Québécois en été 2011), je m’éclate! Vraiment!

    Bruno lui parcours le monde et adore son travail, il ne se lasse pas, en
    février 2012 il est passé commandant de bord! Quelle fierté et quelle joie!


    En automne 2012, j’ai décidé de
    reprendre une formation (parce que la routine c’est pas truc!) pour devenir Instructeur
    en premiers soins et réanimation. Petit à petit j’ai commencé à donner des
    cours de réanimation et début 2013 j’ai arrêté les Bilans de santé pour les
    assurances, j’ai cessé aussi les promenades de chiens et je me suis consacrée à
    travailler mon examen pour devenir formateur CSST. J’ai dû suivre une formation
    de « premier répondant » en janvier. Au printemps 2013 j’ai réussi
    cet examen et je suis maintenant formateur de secouristes en milieu de travail,
    instructeur en premiers réanimation et anaphylaxie pour la fondation des
    maladies du cœur du Quebec! Je suis aussi instructeur croix rouge canadienne de
    Gardiens avertis! Et J’adore enseigner! Il a fallu investir dans du matériel et
    je me lance avec passion dans cette nouvelle aventure, pendant que mon mari
    parcours le monde et s’épanoui dans son travail lui aussi!


    Voici où nous en sommes rendus
    après 5 ans…puis croyez le ou non, nous avons d’autres projets!


    5 années parfaites, 5 années de
    rencontres incroyables, d’amitiés, nous avons découvert ici des amis précieux,
    nous nous sentons chez nous et nous sommes à la veille d’obtenir la citoyenneté
    canadienne puisque nous avons passé l’examen de citoyenneté en mai 2013.


    Ce n’est pas toujours facile,
    vivre loin de nos familles est parfois très difficile, surtout ces derniers temps
    avec la maladie qui frappe de l’autre côté de l’océan. Nous avons la chance d’avoir
    ici de précieux amis, sur qui nous poser, nous reposer.


    5 ans. Et oui 5 ans. 3 enfants
    qui nous épatent! L’année passée ne fut pas facile avec le décès de leur amie
    Marie-Thaïs…Mais ils ont su trouver force et courage et avancer…


    Mathilde intègre en septembre l’école
    secondaire d’éducation internationale, une école publique, sur concours. Un
    avenir passionnant s’ouvre à elle. Elle est aussi Gardienne avertis et garde
    des enfants! Oui à 12 ans elle travaille déjà un peu! Elle est ceinture bleu de
    karaté et veut continuer!


    Lilian entre en 5ème
    année, il est scout (Louveteau) et c’est une véritable passion. Lui aussi est
    ceinture bleu de karaté, il a un réseau social développé et est super
    débrouillard!


    Guillaume entre en 3ème
    année, il est futé et plein d’énergie, il essaie plein de sport : karaté, trampoline,
    soccer, il ne tient pas en place, est plein d’énergie et apprend la confiance
    en lui!





    Les enfants sont de précieux
    assistants dans le quotidien…Ils aiment eux aussi ce pays! Ils ne veulent plus
    changer de place!


    Nous remercions tous ceux qui ont
    cru en nous, qui nous ont soutenu et nous soutiennent encore, toutes les
    merveilleuses personnes que la musique, le travail, la rue ont mis sur notre
    chemin! Merci de nous suivre et de faire partie de notre vie!
  24. J'aime
    immigrer.com a reçu une réaction de BastienQuebec dans Vidéos sur l'immigration, expatriation, intégration   
    Le fameux Carnaval de Québec


  25. J'aime
    immigrer.com a réagi à futurquébecois dans Banque mondiale: Canada dans le top 10 des pays les plus riches   
    PIB/habitant : Les Etats-Unis devancés par la Norvège, le Qatar et le Koweit...


    D'après les dernières données de la Banque Mondiale, c'est en Norvège que le PIB par habitant est le plus élevé de la planète. Le Qatar et le Koweït suivent. Loin devant les Etats-Unis.


    Selon les données de la Banque mondiale, la Norvège est le pays où les habitants sont les plus riches du monde parmi les pays de plus d'un million d'habitants. SIPA

    Il y a deux ans, la Norvège était déjà élue pays au monde où il fait le mieux vivre par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Selon les données de la Banque mondiale, elle estaussi le pays dont le Produit intérieur brut par habitant (en prenant en compte le pouvoir d'achat) était en 2012 le plus élevé du monde. La Norvège devance très nettement les Etats-Unis, dont le PIB global atteint pourtant 15.600 milliards de dollars, soit près de deux fois plus que la Chine.
    Pour effectuer ce classement des 10 pays où les habitants sont les plus riches au monde, nous avons rassemblé les données publiées par la Banque mondiale en 2012 (sauf pour le Qatar et le Koweït, où seules les données 2011 sont pour le moment disponibles) en appliquant une méthodologie spécifique. Nous avons délibérément exclu les Etats qui, du fait de leur très faible nombre d'habitants et de leur propension à accueillir des capitaux étrangers, caracolent traditionnellement en tête (Liechtenstein, Monaco, Luxembourg...). Ne figurent donc dans le classement ci-dessous que les pays qui comptent au moins un million d'habitants.


    Classement :

    1/ Norvège
    2/ Qatar
    3/ Suisse
    4/ Australie
    5/ Koweït
    6/ Danemark
    7/ Suède
    8/ Canada
    9/ Singapour
    10/ Etats-Unis



    Source: http://www.challenges.fr/classement/20130718.CHA2492/pib-habitant-les-etats-unis-devances-par-la-norvege-le-qatar-et-le-koweit.html
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