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  1. Une bonne idée pour se faire reconnaître ces équivalences dans un CEGEP du Québec ---------------- Une 2e cohorte menant à une AEC en soins infirmiers avec diplômés internationaux est lancée au Collège de Rosemont! Montréal, le 27 mai 2024 – Le Collège de Rosemont lance aujourd’hui une 2e cohorte de l’attestation d’études collégiales (AEC) en soins infirmiers avec diplômés internationaux et participe ainsi à la phase 4B du projet Infirmier(ère)s diplômé(e)s hors Canada (IDHC) du gouvernement du Québec. Dix-neuf étudiantes et étudiants ont participé ce lundi 27 mai 2024 à une journée d’accueil – première activité faisant partie de deux semaines d’intégration avant le début des cours – avec nos partenaires du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, des centres intégrés universitaires de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l’Est-de-l’Île-de-Montréal et du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal ainsi que du Carrefour d’aide aux nouveaux arrivants (CANA). Les étudiantes et les étudiants réaliseront leur stage de programme dans ces CIUSSS et y exerceront leur profession par la suite. Très prochainement, les formations de Réanimation cardiorespiratoire (RCR) et de Principes pour le déplacement sécuritaire des bénéficiaires (PDSB) leur seront données, ce qui permettra aux CIUSSS de les employer pendant leurs études en tant que préposées ou préposés aux bénéficiaires. Concernant CANA, son rôle est de soutenir les membres du groupe afin de favoriser leur intégration au Québec, par exemple dans la recherche d’un logement ou d’un service de garde. Une offre collégiale incontournable dans les sciences de la santé au Québec Le catalogue de formations du Collège de Rosemont dans le domaine des sciences de la santé comprend une offre diversifiée : trois attestations d’études collégiales (AEC) dédiées aux professionnel(le)s de l’international; un programme préuniversitaire en sciences de la nature; 7 programmes techniques menant à un diplôme d’études collégiales (DEC); 2 AEC spécialisées en cytologie; de la reconnaissance des acquis et des compétences en Techniques de pharmacie; des cours de perfectionnement en thanatologie et des activités de perfectionnement en acupuncture. source : https://www.crosemont.qc.ca/formation-continue/attestations-etudes-collegiales/une-2e-cohorte-menant-une-aec-en-soins-infirmiers-avec-diplomes-internationaux-est-lancee-au-college-de-rosemont/
  2. Sarah R. Champagne 29 mai 2024 Un père de famille d’origine belge tente de parrainer son enfant qui vit au Québec depuis trois ans. Alors qu’il a obtenu sans peine la résidence permanente pour sa fille aînée en 2021, Jonathan Desclin vient d’essuyer un refus pour son autre adolescent à cause d’un formulaire signé en 2013. Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) lui reproche en fait d’avoir renoncé, dans sa demande de résidence permanente, il y a plus de 10 ans, à tout parrainage de ses enfants. L’erreur n’est donc pas d’avoir refusé son adolescent, mais d’avoir accepté la demande de son autre fille, a finalement signalé ce ministère au Devoir mardi. M. Desclin est arrivé au Québec de Belgique en 2014, avec sa résidence permanente obtenue en quelques mois en tant que travailleur qualifié. À l’époque, il déclare bel et bien ses deux bambins en bas âge en tant que personnes à charge, mais qui ne l’accompagneraient pas. Or, même les membres de la famille non accompagnants doivent subir un examen médical et un contrôle des antécédents judiciaires, comme l’indique aujourd’hui IRCC. Le père de famille indique que ses enfants ont subi cet examen médical, et qu’une lettre à l’appui a été fournie dans leurs dossiers respectifs. La clinique médicale habilitée aurait aussi envoyé les résultats en 2013 directement au ministère concerné. suite et source : https://www.ledevoir.com/societe/813798/immigration-incapable-parrainer-propre-enfant-cause-formulaire-2013?
  3. Le SRAM est l'organisme québécois qui reçoit les demandes d'admission des CEGEPS publics du Québec dans la région de Montréal : https://www.sram.qc.ca/fr Le CEGEP fonctionne à plusieurs tours. Je ne sais pas si c'est le CIUSSS qui fait les démarches pour vous.
  4. Nouvel organisme désigné d’évaluation des diplômes d’études pour les architectes Ottawa, le 22 mai 2024 — Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) a désigné un nouvel organisme professionnel chargé de réaliser des évaluations des diplômes d’études (EDE) pour les architectes qui souhaitent immigrer au Canada. Les critères d’admissibilité aux programmes économiques de résidence permanente indiquent que les personnes demandeuses doivent démontrer que leurs diplômes ou certificats étrangers sont authentiques et équivalents aux titres de compétences canadiens. Pour ce faire, elles peuvent obtenir une EDE auprès d’un organisme professionnel ou d’un organisme d’EDE polyvalent désigné par IRCC. À compter du 20 mai 2024, le Conseil canadien de certification en architecture (CCCA) a été désigné par le ministre pour délivrer des EDE aux personnes demandeuses ayant indiqué comme profession principale, ou emploi prévu, la Classification nationale des professions (CNP) des architectes (code 21200). Les EDE effectuées par le CCCA détermineront comment les diplômes étrangers se comparent aux diplômes canadiens nécessaires pour exercer la profession d’architecte. Les EDE constituent également une étape de la procédure d’agrément des architectes. Remarque : Si votre profession principale est architecte (code 21200 de la CNP) et que vous avez déjà obtenu une EDE d’un autre organisme désigné avant le 31 octobre 2024, nous considérerons votre EDE comme étant valide. De plus amples informations sur les EDE, notamment sur la manière et le moment d’en obtenir une auprès du CCCA, sont maintenant disponibles en ligne : Évaluation des diplômes d’études – Fournisseurs de services Programme d’immigration au Canada atlantique : Comment obtenir une évaluation des diplômes d’études Évaluation des diplômes d’études (EDE) pour Entrée express : comment en obtenir une? Programme pilote d’immigration dans les communautés rurales et du Nord : Comment obtenir une évaluation des diplômes d’études Ces informations aideront les gens à prendre une décision éclairée au moment de choisir un organisme d’EDE. source : https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/nouvelles/avis/nouvel-organisme-designe-evaluation-diplomes-etudes-architectes.html
  5. En ce 22 mai 2024, Charles Aznavour aurait eu 100 ans ! -------------------------------------------------------------------------------------------------------------- La Presse canadienne Publié le 1 octobre 2018 à 10 h 41 HAE Avec le décès de Charles Aznavour, c'est tout un pan de l'histoire musicale francophone qui vient de disparaître. Le chanteur et comédien, qui est mort à l'âge de 94 ans, aura laissé une marque indélébile dans la province qu'il a visitée à de nombreuses reprises au cours de sa longue carrière. L'histoire d'amour entre Charles Aznavour et le Québec ne date pas d'hier. En 1948, environ deux ans après avoir été remarqué par Édith Piaf, il débarque au cabaret montréalais Au Faisan Doré, où il présente avec le pianiste Pierre Roche une série de spectacles pendant environ un an et demi. Il se lie également d'amitié avec d'autres chanteurs québécois, dont Jacques Normand et Monique Leyrac. C'est à partir de ce moment que décolle la carrière nord-américaine d'Aznavour, alors qu'elle tarde à prendre son envol de l'autre côté de l'Atlantique. C'est aussi à cette époque, dans les années 1950, que certains tentent de le dissuader de poursuivre sa carrière dans le domaine de la chanson, car il serait trop petit, trop peu instruit, mais surtout à cause de sa voix. « Les professeurs que j'ai consultés sont catégoriques : ils m'ont déconseillé de chanter. Je chanterai pourtant, quitte à m'en déchirer la glotte », écrit-il à cette époque. Né en France en 1924 de parents arméniens, Charles Aznavour finit par connaître la gloire dans l'Hexagone au début des années 1960, après un passage mémorable au théâtre Alhambra à Paris en 1957, où il fait un tabac, notamment grâce à la chanson Je m'voyais déjà. Toutefois, Charles Aznavour revient toujours au Québec.
  6. Audrey Bonaque / Noovo Info Publié le 17 mai 2024 à 05:00Mis à jour le 17 mai 2024 à 06:41 Avec la croissance migratoire qui a atteint un niveau record de 217 600 personne au Québec 2023, vient inévitablement un plus grand nombre de femmes immigrantes enceintes. Tout dépendant de leur parcours, ces arrivantes sont confrontées à plusieurs obstacles durant leur grossesse, que ce soit au niveau de la barrière de la langue ou encore à l’accessibilité aux soins de santé. Qu’elles aient un permis de travail ouvert ou fermé, un permis d’études ou le statut de visiteur, ces futures mères se posent des questions dès le début de leur grossesse. Même si certaines ont une assurance privée, d’autres font face à des défis considérables. «Comment je trouve un médecin? Comment je poursuis mon projet migratoire comme je l’avais prévu? Et pour celles qui n’ont pas accès à la santé publique, comment pallier à mes soins?» soulève Elisa Beatriz Ramirez Hernandez. Dans le cadre de ses recherches portant sur les diversités de trajectoires et effets sur l’expérience périnatale des femmes, l’étudiante à la maîtrise à Institut national de la recherche scientifique (INRS) fait la lumière sur la difficulté pour les femmes enceintes avec un statut d’immigrante temporaire de trouver un médecin ou un établissement acceptant de procurer des soins ou un suivi de grossesse. Même «en appelant à plusieurs endroits, elles se font beaucoup refuser», a rapporté Mme Ramirez Hernandez en conférence cette semaine au congrès 2024 de l’Association francophone pour le savoir (Acfas) à l’Université d’Ottawa. Parfois, «elles ne peuvent pas se déplacer». La quête d’information est aussi périlleuse pour ces futures mères, d'abord en raison de la barrière de la langue puis, en retour, du piètre référencement. L’étudiante à la maîtrise de l’INRS a remarqué que beaucoup de femmes immigrantes enceintes se font référer à des organismes venant en aide à des personnes sans statut ou à des demandeurs d'asile, comme Médecins du monde. «Ça n’a pas de sens», lâche-t-elle dans un entretien avec Noovo Info. source et suite : https://www.noovo.info/nouvelle/les-enjeux-de-devenir-mere-en-tant-quimmigrante-avec-un-statut-temporaire-au-quebec.html «Comment je trouve un médecin? Comment je poursuis mon projet migratoire comme je l’avais prévu? Et pour celles qui n’ont pas accès à la santé publique, comment pallier à mes soins?» soulève Elisa Beatriz Ramirez Hernandez. Dans le cadre de ses recherches portant sur les diversités de trajectoires et effets sur l’expérience périnatale des femmes, l’étudiante à la maîtrise à Institut national de la recherche scientifique (INRS) fait la lumière sur la difficulté pour les femmes enceintes avec un statut d’immigrante temporaire de trouver un médecin ou un établissement acceptant de procurer des soins ou un suivi de grossesse. Même «en appelant à plusieurs endroits, elles se font beaucoup refuser», a rapporté Mme Ramirez Hernandez en conférence cette semaine au congrès 2024 de l’Association francophone pour le savoir (Acfas) à l’Université d’Ottawa. Parfois, «elles ne peuvent pas se déplacer». La quête d’information est aussi périlleuse pour ces futures mères, d'abord en raison de la barrière de la langue puis, en retour, du piètre référencement. L’étudiante à la maîtrise de l’INRS a remarqué que beaucoup de femmes immigrantes enceintes se font référer à des organismes venant en aide à des personnes sans statut ou à des demandeurs d'asile, comme Médecins du monde. «Ça n’a pas de sens», lâche-t-elle dans un entretien avec Noovo Info.
  7. Bonjour, Voici quelques témoignages : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Casier-judiciaire/
  8. Sarah R. Champagne Publié hier à 16h00 Mis à jour hier à 16h49 Canada Laurence Ameline, une infirmière de 53 ans qui était menacée d’expulsion, a reçu son permis de travail mercredi en fin d’avant-midi. « Sa demande a été refusée par erreur », a reconnu Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) dans un courriel au Devoir. Un agent de ce ministère a refusé la prolongation du permis de travail de cette femme arrivée de France en février 2021 pour intégrer le service de pneumologie du CHUM. La raison invoquée dans la lettre de refus d’IRCC est qu’elle n’aurait pas fourni son numéro d’offre d’emploi, ce qu’elle assurait avoir fait en compagnie de la direction des ressources humaines. Cette démarche avait été entamée en novembre dernier, mais elle conservait le droit de travailler dans l’attente d’une réponse d’IRCC. Lorsque la décision est tombée, le 2 mars dernier, elle a perdu sur-le-champ son droit de travailler et son statut d’immigration. La lettre était catégorique à cet égard : « Vous ne détenez pas de statut de résident temporaire au Canada. Si vous ne désirez pas présenter une demande de rétablissement, vous devez quitter le Canada immédiatement. » « La situation a été corrigée », indique maintenant IRCC. Mme Ameline a accueilli la nouvelle avec grand soulagement. « C’est une belle journée », s’est-elle exclamée. Elle pourra donc rester au Québec et reprendre du service au CHUM, là où elle occupait un emploi depuis plus de trois ans. https://www.ledevoir.com/politique/canada/812971/ministere-immigration-reconnait-erreur-permis-infirmiere-francaise?
  9. Bonjour, Voici l'adresse de l'ordre des radiologistes du Québec : https://www.arq.qc.ca/ Voici des infos complémentaires sur les radiologues : https://emplois.ca.indeed.com/conseils-carriere/trouver-un-emploi/comment-devenir-radiologue
  10. Les travailleurs temporaires appellent à l’aide en grand nombre à une ligne d’information de l’organisme Justice Pro Bono leur étant dévouée. Parmi eux, beaucoup demandent s’ils peuvent accéder à un permis ouvert dans un contexte où le programme d’urgence pour les travailleurs vulnérables est bloqué. Le Devoir révélait en effet vendredi dernier que le programme censé aider les travailleurs qui ont un permis fermé à fuir les abus connaît d’importants retards depuis janvier. Les demandes de permis ouvert devraient être traitées en priorité, selon Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), mais les délais de traitement montent à plusieurs mois. Ces retards ne permettent ainsi plus au programme de remplir son rôle de soupape et de protection, disent plusieurs organisations. Les travailleurs qui tentent de quitter un employeur abusif sont donc plongés dans une misère financière et psychologique encore plus grande, comme en ont témoigné plusieurs travailleurs dans les derniers mois. « Il y a eu une vague de fins d’emploi dans les derniers mois, et énormément de travailleurs nous consultent », expose Caroline Dufour, avocate coordonnatrice pour le soutien aux travailleurs étrangers temporaires à l’organisme Justice Pro Bono. Elle aussi a remarqué des délais de traitement de plus en plus importants pour le même programme depuis « environ la deuxième moitié de l’automne ». Malgré le fait qu’IRCC a promis durant quatre ans que les dossiers seraient traités en cinq jours ouvrables, elle « a rarement vu ce délai respecté ». IRCC a retiré cette mention en catimini de la page du programme et nous indique que le délai est actuellement en moyenne de 52 jours. Sarah R. Champagne. Publié le 8 mai source et suite
  11. Une étudiante de la Faculté de médecine dentaire de l'Université Laval poursuit l'établissement suite à un échec de stage, ce qui a interrompu sa formation. Elle réclame 1,2 million de dollars, estimant avoir été injustement exclue du programme spécialisé de parodontie. En mai 2023, une demande introductive d'instance a été déposée à la Cour supérieure par un bureau d'avocats au nom de cette étudiante d'origine française. Celle-ci a quitté son pays pour s'installer à Québec au printemps 2022, afin de pratiquer la parodontie en Amérique du Nord après sa formation à l'Université Laval. Selon la poursuite, elle avait obtenu un diplôme en médecine dentaire de l'Université CESPU au Portugal en décembre 2020, après six années d'études. Elle a déménagé à Québec après son admission au programme spécialisé en parodontie de l'Université Laval, qui l'aurait informée que sa formation commencerait en mai 2022. À sa grande surprise, elle a découvert que la formation ne débuterait effectivement qu'à l'automne. La poursuite indique qu'elle était déçue d'avoir interrompu prématurément ses activités professionnelles en France, car le but de son voyage n'était pas touristique. En septembre, elle commence son stage clinique sans avoir reçu de plan de cours écrit, ce qui l’a laissée sans connaissance des objectifs de la formation ou des attentes. Malgré cela, elle s'est investie pleinement dans sa formation. À la fin de ce stage en décembre, elle n'aurait reçu aucune rétroaction de ses superviseurs, ni positive, ni négative, ni même une évaluation finale. Elle poursuit alors sa formation postdoctorale avec un deuxième stage en 2023, encore sans plan de cours ni objectifs. Après un examen en mars lui permettant de pratiquer des chirurgies plus complexes, tout se serait effondré en avril. Le 3 avril 2023, elle est convoquée par son superviseur et directeur du programme de parodontie, le Dr Reginaldo Gonçalves, et deux confrères, qui l'informent de son échec au stage, trois semaines avant sa fin prévue. Sous le choc, elle demande une évaluation écrite et des explications, mais ne reçoit que quelques motifs qu'elle juge contestables. Les chirurgies programmées dans le cadre de son apprentissage ont été annulées. Ébranlée, elle quitte la réunion en larmes, choquée d’apprendre son échec sans évaluation préalable ni avertissement pour améliorer ses performances académiques. Elle a également été exclue d'une réunion du comité de promotion où elle aurait pu défendre son point de vue, en contradiction avec les règles de l’Université Laval. Elle a tout de même poursuivi son stage, tout en contestant sa note d’échec, et a repris ses chirurgies. En mai, son échec est officialisé. Selon la poursuite, le Dr Gonçalves aurait ajouté une fiche d’évaluation à son dossier sans son accord, ce qui a privé l’étudiante de la possibilité de réviser cette note. Ses tentatives d’appel ont échoué, et elle a été exclue du programme de parodontie, bien qu'elle soit restée inscrite au programme de maîtrise en sciences dentaires, obtenant une note finale A le 22 mars dernier. Elle a aussi réussi un examen requis pour pratiquer comme dentiste aux États-Unis. L’étudiante affirme avoir subi un préjudice considérable, se voyant contrainte de renoncer à une carrière de dentiste spécialisée en parodontie à l’international. Elle accuse l’Université de l’avoir traitée de manière injuste et abusive, et réclame 1 million de dollars, dont la majeure partie pour pertes de revenus futurs évalués à 835 000 dollars. Elle revendique aussi 287 691 dollars pour les revenus perdus pendant ses études, ainsi que le remboursement de ses frais de scolarité et de voyage, et 50 000 dollars pour atteinte à sa réputation. L’Université Laval a choisi de ne pas commenter cette affaire en cours de litige. D'après l'article publié sur Radio-Canada le 9 mai 2024
  12. 7 mai 2024, 09 h 00 Publié par : Immigration, Francisation et Intégration La période de transmission des demandes d’engagement (Étape 1) dans le cadre du Programme des personnes réfugiées à l’étranger (Parrainage collectif) débute aujourd’hui. Les groupes de 2 à 5 personnes et les organismes peuvent transmettre leurs demandes d’engagement dans la plateforme Arrima jusqu’au 4 juin 2024 inclusivement. Pour tous les détails sur le Programme des personnes réfugiées à l’étranger (Parrainage collectif) et pour connaître les étapes à suivre pour préparer votre demande d’engagement, consultez la section consacrée au Parrainage collectif sur le site Québec.ca. Source : https://www.quebec.ca/nouvelles/actualites/details/parrainage-collectif-debut-periode-transmission-demandes-engagement-etape1-55324
  13. Sarah R. Champagne Publié et mis à jour le 3 mai Société De Vancouver à Gaspé, des personnes immigrantes attendent durant des mois la réponse à leur demande de permis ouvert pour travailleurs vulnérables afin de fuir les abus qu’elles subissent. Un programme d’urgence censé offrir cette protection rapidement est bloqué, selon cinq organisations qui accompagnent les travailleurs dans de telles démarches. Une forme de soupape pour remédier aux risques du permis lié à un seul employeur, appelé « permis fermé », le programme a été lancé en 2019 avec la promesse de traiter les demandes en cinq jours. Ce délai est d’autant plus problématique que les responsables politiques l’utilisent pour se défendre des critiques, notamment formulées par le rapporteur spécial des Nations unies sur les formes contemporaines d’esclavage. Mais cette manière « rapide » de « régler la situation des employés vulnérables », comme l’a décrite le ministre de l’Immigration, Marc Miller, en commission parlementaire, est en panne. Sur la soixantaine de demandes que ces organisations ont soumises depuis janvier dernier, seulement cinq ont été traitées, ont-elles confirmé au Devoir. Sur les 1349 demandes reçues pour les trois premiers mois de l’année 2024, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) n’a délivré que 201 permis jusqu’à maintenant, soit nettement sous la moyenne de l’an dernier. Une trentaine de permis seulement ont été octroyés en mars. La page Web du programme a été modifiée en catimini depuis novembre 2023. Ces réponses qui arrivent au compte-gouttes créent une « situation intenable » et « énormément de pression » sur les immigrants, dit Noémie Beauvais, organisatrice communautaire au Centre des travailleuses et travailleurs immigrants (CTI). « Quelqu’un m’appelle en détresse quasiment chaque jour », illustre Florian Freuchet, organisateur communautaire au CTI du Bas-Saint-Laurent. Suite et source : https://www.ledevoir.com/societe/812159/bouee-sauvetage-travailleurs-temporaires-coule
  14. Nouvel organisme désigné d’évaluation des diplômes d’études pour les architectes Ottawa, le 15 avril 2024 — Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) désignera un nouvel organisme professionnel chargé de réaliser des évaluations des diplômes d’études (EDE) pour les architectes qui souhaitent immigrer au Canada. Les critères d’admissibilité aux programmes économiques de résidence permanente indiquent que les personnes demandeuses doivent démontrer que leurs diplômes ou certificats étrangers sont authentiques et équivalents aux titres de compétences canadiens. Pour ce faire, elles peuvent obtenir une EDE auprès d’un organisme professionnel ou d’un organisme d’EDE polyvalent désigné par IRCC. À compter du 20 mai 2024, le Conseil canadien de certification en architecture (CCCA) sera désigné par le ministre pour délivrer des EDE aux personnes demandeuses ayant indiqué comme profession principale la Classification nationale des professions des architectes (code 21200). Les EDE effectuées par le CCCA détermineront comment les diplômes étrangers se comparent aux diplômes canadiens nécessaires pour exercer la profession d’architecte. Les EDE constituent également une étape de la procédure d’agrément des architectes. Vous trouverez en ligne plus d’informations sur les EDE, notamment sur la manière et le moment d’en obtenir une auprès du CCCA. source : https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/nouvelles/avis/organisme-designe-devaluation-diplomes-detudes-architectes.html
  15. Anaïs Terka et Frédéric Laurent, originaires de France, résident au Québec depuis près de trois ans. Anaïs travaille comme infirmière clinicienne à l’hôpital de Granby, une ville située en Montérégie, et Frédéric est spécialiste du monde automobile. Leur projet d'immigration, initialement source de bonheur, est devenu un cauchemar en raison des complications administratives rencontrées avec le ministère fédéral de l’Immigration. Le couple est actuellement dans l’impossibilité de renouveler leur permis de travail et risque d’être contraint de quitter le Québec si la situation ne s'améliore pas. Depuis mars, ils vivent de leurs économies, sans pouvoir exercer professionnellement à cause des lourdeurs administratives. Ils sont également confrontés à la perspective d'un retour forcé en France, situation qu'ils souhaitent éviter à tout prix. Anaïs confie leur désarroi : « On est démunis, frustrés. On aime le Québec et on ne veut pas partir. On nous traite comme des parias. C’est un non-sens. » Frédéric exprime également sa frustration : « Ça fait cinq ans et demi que je travaille pour être ici. On n’est pas au Québec pour chercher du secours. On est partis d’une situation très bien pour découvrir une autre culture et apporter [notre bagage] ici. » Leur décision de quitter la région parisienne pour le Québec en 2019 était motivée par le désir de changer de décor et de vivre une nouvelle expérience. Séduite par une campagne de recrutement de Santé Québec, Anaïs, qui avait la possibilité de travailler sans problème en Suisse ou ailleurs grâce à son expérience dans un institut réputé en France, a choisi le Canada. Ils sont arrivés pour la première fois en février 2021. Leur tentative de renouvellement du permis de travail a été entravée par un problème technique lors du téléversement du certificat d’acceptation du Québec (CAQ), transformant une procédure qui aurait dû être simple en un véritable parcours du combattant. Suite et source Par Jean-François Guillet, La Voix de l'Est 30 avril 2024
  16. 1. Document reviewer (Réviseur de documents) Average salary: $123,427 US 2. Telemedicine physician (Médecin en télémédecine) Average salary: $139,412 US 3. Forensic analyst (Analyste médico-légal) Average salary: $106,442 US 4. Real estate analyst (Analyste immobilier) Average salary: $103,157 US 5. Senior environmental scientist (Scientifique principal en environnement) Average salary: $92,018 US 6. Senior information technology specialist (Spécialiste senior en technologie de l'information) Average salary: $99,448 US 7. Senior staff engineer ( Ingénieur senior) Average salary: $174,743 US 8. Social media strategist ( Stratège des médias sociaux) Average salary: $81,329 9. Program analyst (Analyste de programme) Average salary: $98,392 10. Senior AI/machine learning engineer Average salary: $170,186 Source : https://www.cnbc.com/2024/04/29/the-most-in-demand-remote-jobs-companies-are-hiring-for-right-now.html
  17. Pénurie d'enseignants: 4200 profs non légalement qualifiés de plus d’ici trois ans dans les écoles du Québec Il s’agirait d’une hausse de plus de 50%, selon des prévisions du ministère de l’Éducation DAPHNÉE DION-VIENS Jeudi, 25 avril 2024 00:00 MISE À JOUR Jeudi, 25 avril 2024 00:00 Québec prévoit une hausse de 4200 enseignants non légalement qualifiés d’ici trois ans dans les écoles québécoises, soit une augmentation de plus de 50%, a appris Le Journal. • À lire aussi: Le nombre de profs non qualifiés en hausse constante: des écoles se démènent pour mieux les encadrer • À lire aussi: Situation «dramatique» dans nos écoles: deux fois plus de profs ont démissionné depuis quatre ans Le ministère de l’Éducation, qui mise sur des formations en enseignement plus courtes pour freiner cette tendance, a élaboré des «lignes directrices» pour encadrer leur développement, ce qui permettra à des aspirants profs d’être considérés comme légalement qualifiés dès leur inscription dans l’un de ces programmes, peut-on lire dans une lettre transmise au réseau universitaire mardi. «Si la tendance se maintient et qu’aucune action n’est prise, nous prévoyons, à la formation générale des jeunes une augmentation annuelle de 1400 personnes non légalement qualifiées sous tolérance d’engagement d’ici 2026-2027», écrit la sous-ministre, Carole Arav. Une tolérance d’engagement est une autorisation spéciale accordée à un centre de services scolaire lui permettant d’octroyer un contrat à un enseignant non légalement qualifié en cas de pénurie. Le réseau scolaire compte présentement 7949 enseignants embauchés en vertu de cette autorisation spéciale, selon des données recueillies en février auprès des centres de services scolaires. source et suite
  18. Vous pouvez faire une recherche de délais ici :https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/demande/verifier-delais-traitement.html Pas facile comme situation. Merci de nous tenir au courant. J'espère que ça sera rapidement réglé et que vous serez réunis bientôt.
  19. FRÉDÉRIC GUINDON (LE SAC DE CHIPS) 25 avril 2024 12H42 MISE À JOUR 25 avril 2024 12H42 Les Québécois ont plusieurs cordes sensibles, on le sait. Le prix de l’essence, la rivalité Canadien-Nordiques, les origines de la poutine et les tarifs d’Hydro-Québec en sont plusieurs exemples. • À lire aussi: Une influenceuse française veut patiner dans une fontaine glacée et les Québécois paniquent à cause d’un détail qui fait grincer À cette liste, on pourra peut-être bientôt ajouter «la qualité du jambon de chez nous». En effet, si on se fie à une vidéo publiée ce mercredi sur TikTok, l’excellence (ou pas) du jambon québécois serait un piton de plus sur lequel il ne faudrait pas appuyer si on ne veut pas semer l’émoi sur les réseaux sociaux. @agirlfromnice, une Française qui documente son expatriation à Montréal sur TikTok, l’a appris à ses dépens lorsqu’elle a publié une vidéo d’une minute dans laquelle elle émet des réserves quant à la qualité du jambon offert dans les supermarchés d’ici. Dans les commentaires sous sa publication, des Québécois outrés se sont occupés de la remettre à l’ordre. • À lire aussi: Coeur de Pirate participe à «Danse avec les stars» en France et reçoit une note exécrable Ils lui ont d’abord souligné qu’elle magasinait dans le comptoir des charcuteries. CAPTURE D'ÉCRAN / TIKTOK Ils lui ont aussi expliqué qu’on peut choisir, au comptoir des viandes, parmi une variété impressionnante de jambons que l’on peut faire trancher selon nos préférences. Suite et source : https://www.lesacdechips.com/2024/04/25/une-francaise-se-plaint-du-jambon-quebecois-sur-tiktok-et-le-quebec-monte-aux-barricades-pour-defendre-lhonneur-de-son-jambon
  20. 3000 ostéopathes se rapprochent d’une reconnaissance professionnelle Daniel Boily Davide Gentile Publié à 4 h 00 HAE Le gouvernement du Québec dit attendre la mise sur pied d’un programme complet de formation universitaire en ostéopathie avant d’approuver la création d’un ordre professionnel des ostéopathes ou leur intégration à un ordre existant. La ministre responsable de l'application des lois professionnelles, Sonia LeBel, a fourni quelques détails supplémentaires au sujet de l’encadrement des ostéopathes, mardi, à l’occasion de l’étude des crédits budgétaires du volet Lois professionnelles du Conseil du Trésor. On est dans les dernières étapes de la création d’un ordre professionnel, a déclaré la présidente du Conseil du Trésor, qui répondait aux questions du député libéral André Albert Morin. La ministre a précisé qu’une formation adéquate de plus de 3100 heures devait être offerte pour être capable d’y arriver. La ministre LeBel a confirmé que le ministère de l’Enseignement supérieur était en discussion avec l’Université de Sherbrooke pour mettre sur pied un tel programme de formation complet. Entre-temps, la création récente de deux microprogrammes en ostéopathie par l'UQAM pourrait permettre de qualifier des ostéopathes qui sont déjà formés pour s’assurer qu’il y ait des permis. À Ostéopathie Québec, on préfère attendre des clarifications et une réponse coordonnée de la ministre de l’Enseignement supérieur du Québec, Pascale Déry, et de la ministre Sonia LeBel quant à la formation universitaire. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2067291/profession-osteopathes-caq-sante
  21. Épuisée par ses conditions de travail et son salaire peu élevé, cette infirmière de 35 ans a décidé de tout plaquer pour s’installer au Canada avec son conjoint. Un revenu multiplié par quatre, des enfants épanouis… La jeune maman ne regrette pas une seconde son choix de vie. Tout quitter, abandonner une vie bien ancrée dans leur petit village de l’Allier pour traverser les frontières. Ce qui a toujours été un rêve un peu lointain pour Marion, 35 ans, et Yann, son conjoint de 36 ans, est devenu réalité il y a près de trois ans. Un jour de 2021, cette infirmière rentre « en larmes » de la maison de retraite où elle officie. « J’ai assisté à une scène de maltraitance liée à un manque d’effectif et je me suis dit : J’arrête le métier », nous raconte cette maman de deux enfants de 5 et 7 ans. Le soir même, elle dépose son CV sur une plate-forme destinée au recrutement des soignants au Canada. Sans savoir qu’un an plus tard, en décembre 2022, elle débarquerait au Québec avec son mari, ses fils et six énormes valises, pour entamer une nouvelle vie. Une semaine après avoir déposé son CV, Marion est appelée pour un entretien. Cinq minutes à peine après avoir raccroché, la réponse arrive : son dossier est accepté. « On me dit que je suis reçue, que j’ai l’opportunité de partir au Canada et on nous donne une semaine pour choisir où nous voulons nous installer au Québec. Je n’en avais aucune idée ! », se remémore la trentenaire depuis sa maison fraîchement acquise à Napierville, à cinq minutes de la frontière avec les États-Unis et une grosse demi-heure de Montréal. Un salaire multiplié par 4,5 Le choix de la famille s’est porté sur cette ville de 4 000 âmes, car elle correspondait à leurs critères : proche de l’hôpital choisi par Marion, « dans une zone pas trop grande, car nous venons d’un village de 300 habitants » et francophone, « car je ne parle pas l’anglais ». La destination choisie, la famille s’octroie un an pour préparer ce grand départ, vendre ses deux maisons, ses meubles, ses voitures et, surtout, prévenir ses proches de ce nouveau projet de vie. Le changement est immense. Ils n’ont jamais pris l’avion et ne connaissent que très peu de choses du Canada. « Dans l’Allier, on avait notre maison, mais avec notre salaire on mangeait et on payait nos factures, c’est tout. On ne partait jamais en vacances », glisse Marion, dont le conjoint travaillait alors comme intérimaire dans l’agroalimentaire. L’aspect financier de ce nouveau départ n’est pas négligeable : aujourd’hui, la jeune femme qui travaille de nuit à l’hôpital de Saint-Jean-sur-Richelieu et va bientôt devenir cadre de santé grâce à son ancienneté française, qu’elle a pu conserver, a multiplié ses revenus par 4,5. « Des conditions de travail qui n’ont plus rien à voir » Elle explique retrouver un sens à sa profession choisie « par vocation », et dépeint « des conditions de travail qui n’ont plus rien à voir ». « Alors qu’en France, je ne voulais plus exercer mon métier car j’avais l’impression d’être à l’usine, de ne plus être dans l’humain, là, j’effectue beaucoup plus de soins parce que j’ai le temps, salue Marion. Aux urgences, j’avais 60 patients sur une journée de 8 ou 12 heures. Ici, quand je travaille seule, j’ai six patients maximum ». Yann, lui, travaille à domicile pour un opérateur de téléphonie. Un emploi trouvé « très vite », mais qu’il voudrait troquer contre un poste qui lui permettrait d’avoir un bureau et des collègues, car « le télétravail, ce n’est pas idéal pour sociabiliser », constate sa compagne. La famille, qui adore passer du temps ensemble, dit avoir fait « pas mal de rencontres entre Français, et puis avec des Québécois au travail, via l’école, avec les voisins… » « Le fait de mieux gagner notre vie nous permet de faire plus de choses, on va essayer d’aller à New York et à Boston », se projette aussi Marion, qui se félicite que ses deux enfants, l’un scolarisé en primaire et l’autre accueilli à la garderie (l’équivalent de la crèche, car l’école débute à 5 ans au Canada) se soient très bien accoutumés à leur nouvelle vie. « On ne se donne pas de date de retour » « C’est sans regret », martèle l’infirmière, concernant son changement de vie. « Le contexte actuel en France faisait qu’on ne se sentait plus à notre place, plus en sécurité. Ici, nos enfants jouent dehors quand ils veulent, alors qu’il était hors de question qu’ils sortent seuls chez nous. » La douleur de l’éloignement s’est quant à elle atténuée grâce aux appels en visio. « On voit mes parents toutes les semaines, c’est notre rituel, tous les dimanches on s’appelle. Ça fait du bien à tout le monde. » Elle aurait aimé que ses parents puissent leur rendre visite prochainement, mais ce couple de retraités « a été obligé de reprendre le travail, pour boucler les fins de mois ». Ce sera donc pour plus tard. D’ici là, Marion, Yann et leurs deux fils ont prévu de retourner en France l’été prochain. Et quid d’un retour définitif, là où ils ont grandi ? « On ne se donne pas de date de retour, explique la soignante. Nos permis de travail se terminent en décembre 2025. On a commencé les démarches pour faire une demande de résidence et on espère être sélectionnés avant l’an prochain. » Une chose est sûre, « on ira jusqu’à la fin de nos permis de travail, au moins », assure-t-elle. « On est très bien ici, mais on ne veut pas se mettre en tête qu’on fera toute notre vie au Québec, car on ne sait pas ce dont demain sera fait. Alors on y va au jour le jour. » Source : Le Parisien
  22. Karine Boivin Forcier SAGUENAY – Le magasin Décathlon de Chicoutimi ouvrira ses portes le 13 avril. L’implantation du commerce spécialisé dans les articles de sport et plein air génère la création d’une vingtaine d’emplois. La succursale de Chicoutimi constitue la neuvième de la bannière française à ouvrir ses portes au Québec. Il est aussi la première à s’installer dans une région. « C’est important! Je suis très fière d’avoir eu le poste ici et de pouvoir représenter le Saguenay–Lac-Saint-Jean à travers Décathlon. Nous avons une région qui est un terrain de jeu incroyable. Le Saguenay–Lac-Saint-Jean, c’est beau, c’est magnifique. Je voulais que ça se ressente dans le magasin. […] Nous sommes donc allés chercher de petites touches régionales à l’intérieur du concept de Décathlon », indique la directrice générale, Marie-Claude Lapierre. L’implantation du commerce à Place du Saguenay a nécessité un remaniement majeur des locaux du centre commercial pour dégager les 43 000 pieds carrés nécessaires à Décathlon. Rappelons que le Brunet, le Coco Frutti et le San Francisco ont dû déménager, alors que d’autres commerces fermaient leurs portes. Sandalwood, propriétaire de Place du Saguenay, a indiqué que les rénovations du centre d’achat ont nécessité un investissement majeur, mais ne souhaitait pas en dévoiler le montant exact. Il n’était pas non plus possible de connaître avec exactitude les sommes déboursées par Décathlon pour les améliorations locatives, mais il s’agit également d’investissements importants. Ouverture La directrice affirme que le recrutement n’a pas été difficile à réaliser, puisqu’elle a reçu de nombreux CV. « Nous avons eu beaucoup de candidatures et nous en recevons encore. Ça démontre vraiment que les gens d’ici connaissent Décathlon et je suis vraiment heureuse de le constater. » Selon Mme Lapierre, l’équipe est très excitée à l’idée de faire découvrir le magasin à la population. Des démonstrations sportives et des activités familiales sont d’ailleurs prévues pour l’ouverture, lors de laquelle les clients pourront tester les produits. « Nous avons vraiment hâte! […] Nous serons aussi au Salon Expo Nature cette fin de semaine. Nous aurons un kiosque pour donner aux visiteurs un avant-goût de nos produits et de nos prix », mentionne-t-elle. source et suite : https://informeaffaires.com/regional/commerces-et-services/decathlon-ouvre-son-premier-magasin-en-region
  23. Situé à l'est du Canada, entre le Québec et la Nouvelle-Ecosse, le Nouveau-Brunswick est particulier. Tout d'abord, parce que c'est la seule province officiellement bilingue du pays. Ensuite parce qu'elle forme le coeur historique de l'Acadie, où près de 250 000 francophones résident encore aujourd'hui : les Acadiens, nos cousins d'Amérique. Ceux-ci continuent de défendre leurs traditions et leurs coutumes. Avec ses forêts, ses plaines, ses collines et ses falaises, le Nouveau-Brunswick est également une destination privilégiée pour tous les amateurs de nature et de grands espaces canadiens. Jérôme Pitorin débute son voyage en arpentant le littoral. Présenté par : Jérôme Pitorin Maison de production : Bo Travail / France Télévisions Échappées belles S18 : Canada, la fierté acadienne 1 h 27 min Diffusé le 13/04/2024 à 21h00 Disponible jusqu'au 20/08/2024 https://www.france.tv/france-5/echappees-belles/saison-18/5836851-canada-la-fierte-acadienne.html
  24. C'est aujourd"hui à 15 h que l'éclipse aura lieu. Vous êtes plus de 70 000 à vous êtes inscrit à notre évènement. Il est encore temps d'y ajouter votre nom. https://www.facebook.com/events/267875506387245
  25. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi certains de vos amis français, belges ou suisses installés au Québec depuis longtemps ont toujours leur accent? Du coup, on a posé la question à un sociolinguiste pour y voir plus clair. «Ce sont des processus individuels et d’une personne à l’autre, il y aura des motivations ou orientations différentes derrière les choix qui sont faits», précise d'emblée à 24 heures le professeur de linguistique à l’Université de Sherbrooke et directeur du Centre de recherche interuniversitaire sur le français en usage au Québec (CRIFUQ), Wim Remysen. Une question d'âge, de réseau, d'identité... et d'appréciation En se fiant sur des études anglophones, Wim Remysen a identifié des facteurs qui peuvent contribuer au fait qu’une personne qui parle la langue de Molière, de Rousseau ou de Fabian change (ou pas) d’accent après s’être installée au Québec. Il y a d'abord l’âge. «Après 13 ans, on va considérer que c’est plus difficile d’acquérir une variété de langue», explique l’expert. Il précise que plus les années passent, plus on a de difficulté à percevoir certaines nuances dans la prononciation et à les intégrer dans notre propre pratique. Le réseau dans lequel évolue la personne joue également un rôle. Wim Remysen prend l'exemple des Français, qui sont pas moins de 65 000 à habiter à Montréal. Si une personne originaire de France ne s'entoure que d'autres Français une fois au Québec, il y a fort à parier qu'elle conservera son accent d'origine, plutôt que de développer ce qu'on appelle nouvelle variété de langue. «Alors que si on fréquente des Québécois qui sont nés et qui ont grandi dans la province, on est plus exposé à l’accent donc plus de facilité à adopter l’accent québécois», précise-t-il. L'identité peut aussi contribuer au fait qu'une personne changera (ou ne changera pas) sa manière de s'exprimer. «En délaissant notre propre accent, il y a une part de nous qu’on met de côté, mentionne le professeur. Notre accent est aussi une sorte de passeport qui indique nos origines. C’est l’une des forces de l’accent.» Pour certains francophones nés de l’extérieur du Québec, l’accent de Tremblay peut finalement être perçu négativement, note Wim Remysen «On peut très bien imaginer que pour certains francophones, se conformer à un accent qui n’est pas le leur et qui n’est pas aussi légitime à leurs yeux que leur accent d’origine, ça peut les freiner à l‘adopter.» Un français hybride Wim Remysen remarque que bien des Français installés au Québec — ou encore des Belges ou des Suisses — finissent par adopter un français hybride. Au Québec, ils se font dire qu'ils ont encore leur accent «français», alors que de retour dans leur pays d'origine, ils se font dire qu'ils sonnent «québécois». Suite et source
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