Classement

Bonjour ,merci pour votre commentaire sur les LSAA et IVM!

Oui, vous pouvez. Il faudra présenter une liste de effets que vous comptez importer lors de votre passage à la douane. https://www.cbsa-asfc.gc.ca/travel-voyage/mrc-drc-fra.html

Oui je pense aussi. C'est vraiment bien qu'ils offrent cette possibilité, ça laisse plus de souplesse dans l'organisation pour le départ définitif. As-tu un peu avancé dans ton planning de départ?

Merci comingsoon21 Envoyé de mon Redmi Note 8 Pro en utilisant application mobile Immigrer.com

Félicitations ! Ca m’a l’air d’etre une question assez technique. Tu n’as pas pu évoquer ta situation avec la douane (envoi différé et avantage de la détaxe conservé ou non) ? Ils te répondront sans aucun doute, ça me parait assez technique comme question. quelqu’un dans le forum a peut être une expérience récente sur le sujet ?

Merci bcp pour ta réponse. Toutefois, j’espère pas être comme toi ? Blague à part, c’est vraiment chiant ça!

Plein de personnes sont dans ton cas. Cela peut être des 2019, 2020 ou 2021. Rien de nouveau sous le soleil. Il faut malheureusement juste être patient et attendre. Ne pas avoir de cartes RP à jour n'a aucun impact si tu ne prévois pas de voyager à l'étranger. Ca ne te retire pas ton statut. En cas de voyage, il te faudrait demander un TVRP (ce qui prend un peu de temps, une à 2 semaines), donc ton voyage doit être prévu en conséquence. Solutions: patience et si voyage prévu, refais tes cartes.

le temps d'envoi entre la LSAA et lVM est relatif. Il y a certains candidats qui ont reçu les deux en même temps c'est à dire le même jour. D'autres quelques jours ou quelques semaines après ou ils reçoivent ivm avant LSAA . Apparemment cela dépend de l'agent qui traite le dossier. Moi je me donne un mois .

Comme c'est vrai ! J'adore le Québec et son authenticité, loin de la folie montréalaise. Mais comme on dit, il en faut pour tous les goûts !

Pour l'émoticône, j'hésite entre le Haha et le confus. De toute façon, ils ne rencontrent à peu près aucun de leurs objectifs, et ils n'en sont même pas proches. C'est juste scandaleux

n'importe quoi Immigration Canada ? Une mère de famille montréalaise doit redémarrer un long processus d’immigration en raison de la mort de son mari. Romain Schué (accéder à la page de l'auteur) Romain Schué à 4 h 00 Assise sur son canapé, les yeux larmoyants, Manon Tombi cherche ses mots. La voix sanglotante, cette Montréalaise d’origine française, au doux accent marseillais, refuse cependant de plonger. Je n’ai pas le temps de pleurer, sinon tout s’effondre, confie-t-elle dans sa petite maison de Pointe-aux-Trembles. Cette jeune mère de famille de 31 ans a pourtant vécu l’enfer. Le deuil. Les cauchemars administratifs. Et les pleurs seraient légitimes. Logiques. Mais elle résiste. Arrivée au Québec en 2011, Manon Tombi se dirigeait tout droit vers un scénario de rêve. Une immigration quasi parfaite. Une vie idéale. Diplômée de l’Université de Montréal en science politique, elle a rencontré son futur mari, français lui aussi, au Québec. À l’été 2020, elle donne naissance à Marie-Rose, leur deuxième enfant, et le couple attend alors patiemment sa résidence permanente. Un bonheur, finalement, qui s’éteint en septembre. Victime d’une leucémie qui n’avait jamais été diagnostiquée, Nicolas décède à l'hôpital Notre-Dame. On pensait qu’il avait la COVID, mais les antibiotiques n’ont eu aucun effet. Il allait de plus en plus mal. L’ambulance est venue un mercredi et il n’est jamais rentré, se souvient-elle. Le coup de grâce d'Immigration Canada Quelques mois plus tard, Manon prend contact avec Immigration Canada. Je voulais les appeler, mettre notre dossier à jour, les prévenir du décès de mon mari, dit-elle. Mais rien ne se passe comme prévu. Afficher les commentaires Commentaires Romain Schué (accéder à la page de l'auteur) Romain Schué à 4 h 00 Assise sur son canapé, les yeux larmoyants, Manon Tombi cherche ses mots. La voix sanglotante, cette Montréalaise d’origine française, au doux accent marseillais, refuse cependant de plonger. Je n’ai pas le temps de pleurer, sinon tout s’effondre, confie-t-elle dans sa petite maison de Pointe-aux-Trembles. Cette jeune mère de famille de 31 ans a pourtant vécu l’enfer. Le deuil. Les cauchemars administratifs. Et les pleurs seraient légitimes. Logiques. Mais elle résiste. Arrivée au Québec en 2011, Manon Tombi se dirigeait tout droit vers un scénario de rêve. Une immigration quasi parfaite. Une vie idéale. Diplômée de l’Université de Montréal en science politique, elle a rencontré son futur mari, français lui aussi, au Québec. À l’été 2020, elle donne naissance à Marie-Rose, leur deuxième enfant, et le couple attend alors patiemment sa résidence permanente. Un bonheur, finalement, qui s’éteint en septembre. Victime d’une leucémie qui n’avait jamais été diagnostiquée, Nicolas décède à l'hôpital Notre-Dame. On pensait qu’il avait la COVID, mais les antibiotiques n’ont eu aucun effet. Il allait de plus en plus mal. L’ambulance est venue un mercredi et il n’est jamais rentré, se souvient-elle. Le coup de grâce d'Immigration Canada Quelques mois plus tard, Manon prend contact avec Immigration Canada. Je voulais les appeler, mettre notre dossier à jour, les prévenir du décès de mon mari, dit-elle. Mais rien ne se passe comme prévu. Un agent au téléphone m’a dit qu’il n’y avait aucune procédure dans ce cas-là, raconte-t-elle. Mais le choc, brutal, survient un peu plus tard, au printemps 2021, lorsqu'elle prend connaissance d'une lettre envoyée par ce même ministère. Une nouvelle tragédie. suite et source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1878752/immigration-canada-problemes-residence-delais

Bonjour, pour une fois je trouve une personne qui a une date d’examen plus ancienne que la notre. on a passé notre examen le 14 février 2020 en presensitiel et depuis rien. plusieurs relances sans succès : vous devez attendre. la frustration se mêle à un sentiment d’impuissance qui gâchent le plaisir de la cérémonie et, donc, de cette citoyenneté. pathétique