C'est la distinction entre les besoins réels et la contrainte des ordres ou des professions. Le ministère n'est pas responsable de la gestion des métiers mais de promouvoir une province. Après quand on se lance là-dedans, il faut faire ses devoirs. Et aussi écouter les immigrants qui partagent leurs difficultés et ne pas penser que c'est une exception. Car combien refusent les vrais conseils négatifs pour un hypothétique positif?
En fait Jimmy n'a pas complètement tort. Regarde justement ce qui se passe en Europe à Calais. La préfecture de Calais avait proposé même de régulariser certains d'entre eux mais ils ont rejeté l'offre et veulent risquer leur vie pour passer en Angleterre . Justement parce que c'est un pays anglophone, la France ne les intéresse pas. Tu les appelles des réfugiés . Mais un vrai réfugié accepte de s'installer dans le premier pays sur qui l'accepte il ne fait pas la fine bouche
Disons qu’il faut être prêt à toute éventualité.
A moins d’avoir le portefeuille bien garni, ce n’est vraiment pas le bon moment avec la pénurie de logements, le ralentissement économique et l’inflation, on verra avec la baisse du taux directeur si ça change quelque chose.
C'est surprenant d'ailleurs. Les gens ne croient plus rien ni personne "d'officiel" et se rattachent derrière des fausses nouvelles ou rumeurs, sauf quand il s'agit des pubs pour immigrer.