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grizzli

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À propos de grizzli

  • Date de naissance 1972-03-24

Informations du profil

  • Genre
    Homme
  • Statut
    Canadien(ne)
  • Date d'arrivée
    11-07-2006
  • Profession
    account manager-BOSS / etudiant
  • Préoccupation
    passer le temps
  • Pays d'origine
    Mulhouse, France
  • Pays de résidence
    United States
  • Ville de résidence
    joliette

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  • Site web
    http://
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  1. si l'un d'entre vous savait ca, ca serais cool de me dire comment faire je voudrais envoyer en direct les images de ma webcam sur le net quelqu'un sait comment faire ? d'une maniere simple si possible merci
  2. Je trouve cette reflexion un peu injuste... comme pour nous faire sentir coupable !! La décision a été mûrement réfléchie, pendant assez longtemps pour avoir pesé le pour et le contre ! C'est vrai que ce n'est jamais facile de partir en laissant son enfant derrière... Mais, il faut savoir que Manon est très bien entourée. Elle vit dans un noyau familial des plus complets !! Sa maman a refait sa vie, elle aussi, et a depuis donné naissance à une petite soeur. Ils forment une vraie famille !! Si la Maman de Manon serai encore mère célibataire, il serai hors de question de partir pour le Quebec... Mais là, c'est different. Je suis sûre que Manon sera ravie de venir voir son père au Canada, pour les vacances. Je ne dis pas que ca ne sera pas une situation difficile au début... mais grâce à la technologie et INTERNET, nous restons accessible à tous moments et nous pourrons nous voir via webcam. C'est sûr que nous nous faisons plaisir en déménageant pour le Canada, mais nous pensons aussi et surtout à l'avenir... et qui sait ? Peut-être Manon viendra nous rejoindre quand elle sera plus grande !!! Amitiés, Elvisgirl. :clapping: :clapping:
  3. grizzli

    Gastronomie

    La chasse à la morille (Le Yukon) http://www.cyberpresse.ca/article/20060616...=73248968255832 Le Yukon a vu la ruée vers l'or. Des aventuriers risquaient leur vie pour faire fortune. Plus d'un siècle plus tard, les aventuriers sont de retour, en quête d'un nouveau genre de pépite d'or: les morilles, une espèce de champignon qui fait le bonheur des gastronomies du monde. Oubliez la cueillette bucolique dans une prairie fleurie: les chasseurs de morilles qui se rendent dans les forêts brûlées du Yukon doivent être très bien préparés physiquement et psychologiquement. On ne va pas passer plusieurs journées dans la suie en habit de ville. Mieux vaut troquer le petit panier d'osier contre un bon fusil de chasse. S'il a de la chance, un bon cueilleur récoltera pour plusieurs milliers de dollars de morilles en quelques jours; s'il n'en a pas, il reviendra les poches vides. C'est tout nouveau, dit Daniel Riopel, en exhibant fièrement une boîte de forme allongée, au départ de son expédition à Whitehorse. À l'intérieur, un fusil de calibre .12 acheté à Montréal. Dans ses trois gros barils d'expédition se trouve l'indispensable cloche à ours, qui doit avertir les bêtes de sa présence, en tout temps. Il y a aussi un gros pulvérisateur de gaz poivre, pour les ours durs d'oreille. Depuis six ans, Daniel Riopel, graphiste à La Presse, consacre ses vacances à la cueillette de morilles au Yukon, terre fertile pour ce précieux champignon. Cette année, il a accepté de nous laisser le suivre dans son voyage, qui est tout sauf une partie de plaisir. Difficile de savoir combien d'aventuriers font comme lui. Quelques douzaines de ces touristes-prospecteurs se rendent au printemps au Yukon, d'après le gouvernement, qui commence à peine à s'intéresser au phénomène. «Je pense que le gouvernement réalise maintenant à quel point cette ressource naturelle peut être profitable si elle est bien exploitée», dit Richard Mostyn, rédacteur en chef du journal Yukon News. Pour l'instant, le gouvernement yukonnais est loin de décourager les cueilleurs étrangers. Au contraire: il met même à leur disposition des cartes indiquant où ont eu lieu les incendies de forêt. «Le mieux, c'est de s'y rendre le printemps qui suit un fincendie de forêt d'été, explique Daniel Riopel. C'est à ce moment qu'on a les meilleures chances de trouver beaucoup de champignons.» Pourquoi une terre brûlée est-elle favorable à l'émergence de morilles? La morille n'aime pas la concurrence, répond le biologiste québécois Fernand Miron, spécialiste des champignons. Alors elle se développe quand la concurrence a disparu. Dans une nature vide de toute autre végétation ou alors près d'un arbre mort. Elle déteste la concurrence, mais pas la compagnie: là où il y a une morille, il y en a plusieurs. «Quand je vois une morille, je m'arrête et je me couche pour avoir les yeux à la hauteur du sol, dit Daniel Riopel. Et là, on peut bien les voir. Il y en a plein!» Daniel utilise maintenant un appareil GPS pour se diriger. Ce qui n'empêche pas les imprévus. Près de Mayo, une toute petite ville située au coeur du Yukon, il fallait traverser la forêt sauvage avant d'atteindre le brûlis. Plusieurs heures de randonnée, entourés d'animaux sauvages invisibles et de moustiques qui, eux, étaient très visibles. De temps en temps, nos pas s'enfonçaient dans une mousse spongieuse et humide. Finalement, une rivière imprévue bloquait notre chemin. Il fallait couper des arbres, en espérant qu'ils soient assez longs pour atteindre l'autre rive et créer un pont de fortune. Heureusement, Daniel avait prévu le coup et avait une hache(!) dans son sac à dos. Direction l'Alaska Agrandir l'image Heureusement, toutes les récoltes ne sont pas aussi minces que celle de cette année. Daniel montre fièrement une belle morille récoltée en 2005. Aux dernières nouvelles, il n'avait toujours pas trouvé un seul champignon cette année. Photo André Pichette, La Presse Normalement, le graphiste n'a aucun problème à atteindre les forêts brûlées, même dans des conditions dangereuses. La semaine dernière, il a opté pour une prospection plus facile d'accès puisqu'il était suivi de deux novices. Il avait repéré une région très montagneuse, à la frontière de l'Alaska. Plus de 4000 pieds d'altitude et 10 heures de route pour s'y rendre. Daniel a finalement établi notre campement dans un gouffre où il n'y avait rien sinon d'énormes traces de grizzli et des camions de prospecteurs d'or abandonnés. Étrangement, la recherche de morilles ressemble à la recherche de l'or. L'effort est semblable et il n'est pas toujours récompensé. Mais dans un cas comme dans l'autre, lorsque les fouilles portent leurs fruits, elles sont extrêmement payantes. «En une seule journée de cueillette, je peux rentabiliser mon voyage ici», explique Daniel Riopel. Un bon cueilleur peut ramasser 100 livres de champignons par jour et les déshydrater au soleil, dans le bois. Il faut 10 livres de champignons frais pour faire une livre de déshydratés, explique-t-il. La récolte est vendue à des acheteurs qui se trouvent sur place, dans les villes avoisinant les forêts ou même au bord des autoroutes, près d'une forêt récemment brûlée. Ils savent que des cueilleurs ramasseront les champignons et qu'ils n'auront qu'à acheter la récolte, se gardant une bonne commission. Une livre de champignons déshydratés est vendue aux acheteurs entre 75 et 125. Toutes ces transactions se font dans une certaine clandestinité. On sait qu'il y a des cueilleurs et des acheteurs en ville, mais on ne les voit pas vraiment, indique Richard Mostyn, du Yukon News de Whitehorse. Tout se passe sous le manteau. Les cueilleurs utilisent souvent des pseudonymes et mettent la cagnotte dans leurs poches. Ni vu ni connu. Selon le ministère de l'Énergie, des Mines et des Ressources du Yukon, la grande majorité de cueilleurs sont des hommes, qui partent en forêt seuls. Leurs journées sont longues, puisqu'il fait clair 24 heures sur 24 au Yukon à la fin du printemps. Le 21 juin, la journée la plus longue de l'année, on n'arrête généralement pas pour dormir, confie Daniel. Les journées sont pénibles. Le terrain est encombré des carcasses des arbres morts, des branches qui bloquent le chemin et fouettent les jambes. À chaque pas, un nuage de suie se soulève du sol. C'est morbide, a laissé tomber le photographe André Pichette, qui suivait le cueilleur dans ce paysage déprimant et poussiéreux. À la fin de nos trois journées complètes de prospection, il y avait plus de 1600 kilomètres inscrits au compteur de notre 4x4. Nous avions vu un renard, un ours noir, un porc-épic, mais aucune morille. Daniel Riopel est toujours sur place, dans une forêt du Yukon, à la recherche de la morille. Ses vacances se terminent dimanche. Pendant ce temps, au Québec... Si la morille pousse dans les forêts brûlées de l'Ouest canadien, pourquoi le Québec ne pourrait-il pas mettre aussi ce marché en valeur? Pour mieux répondre à cette question, le mycologue, J. André Fortin, a créé l'Association pour la commercialisation des champignons forestiers et lancé l'Opération morille 2006. Manque de chance, le temps très sec du Nord n'a pas été très favorable à la prolifération du champignon. La morille est capricieuse. Le sol argileux et les forêts brûlées sont certes favorables à son apparition, mais encore faut-il les bonnes conditions météo: quelques journées chaudes, pas trop. Un peu de pluie, pas trop. Ça ne va pas bien pour les morilles cette année, a confirmé le biologiste Fernand Miron, au téléphone, plus tôt cette semaine. Le plus récent rapport des cueilleurs qui parcourent les bois québécois est néanmoins favorable: on espère que la pluie de la semaine dernière sauvera la saison. Mais avec la morille, on ne sait jamais. Martin Picard, chef du réputé restaurant montréalais Au Pied de cochon, revient justement d'une expédition d'une semaine dans la région de Chibougamau. Il voulait lui aussi mettre la main sur le précieux champignon, mais n'en a trouvé aucun. Daniel Vézina, du restaurant Laurie Raphaël à Québec, a été plus chanceux: Fernand Miron, de l'Abitibi, lui a expédié sa récolte personnelle de 2 kg. Morilles au menu en perspective. Cueillir, juste pour le plaisir Agrandir l'image La forêt brûlée est désolante et sale. Difficile de passer des journées à la fouiller sans déprimer. Photo André Pichette, La Presse Richard Desjardins est professeur de l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec. Il fait la cueillette de champignons depuis des années, pour le plaisir et sa consommation personnelle. Il a même déjà creusé une fosse dans sa cour et fait pousser des chanterelles. Ce qui avait plutôt bien réussi. Déjà cette année, il a ramassé quelques beaux spécimens autour de Montréal, dont des morilles. Où exactement? On ne pose jamais cette question à un cueilleur, reprend-il. Il propose plutôt à ceux qui souhaitent se lancer dans la cueillette de suivre un cours d'initiation, comme celui que donne le Cercle des mycologues de Montréal, au Jardin botanique. Comme ça, les amateurs connaîtront les conditions idéales pour trouver des champignons et se trouveront un petit coin de cueillette bien à eux. Une vraie chasse au trésor. Selon l'expert Patrick Desteredjian, grossiste en champignons, il y a une bonne vingtaine d'espèces de champignons dans la nature autour de Montréal. Le meilleur moment pour les récolter est la fin de l'été. Mieux vaut bien connaître deux ou trois espèces que d'avoir des connaissances limitées sur une dizaine, prévient Richard Desjardins qui conseille également de ne jamais utiliser des ouvrages européens pour faire la cueillette ici lorsqu'on connaît peu les champignons. Souvenons-nous que tous les champignons sauvages ne sont pas comestibles. Certains sont même dangereusement toxiques. Pourquoi la morille coûte-t-elle si cher? La morille est un champignon précieux, le plus recherché du monde, après la truffe. En France, la morille canadienne fraîche se vend cette année autour de 450 euros le kilo. Ici, on trouvait cette semaine de la morille d'Abitibi au marché Jean-Talon pour 77 le kilo. La morille de culture n'existe pas. Le champignon sauvage se trouve par hasard dans le bois, plus facilement dans des régions loin des grands centres, riches en forêts. Les grossistes en alimentation doivent payer les acheteurs, qui ont déjà gonflé le prix des récoltes achetées directement aux cueilleurs, à la sortie du bois. Il faut aussi calculer 30% de perte de volume lors du transport et 15% de perte de champignons qui ne seront plus bons à l'arrivée, explique Patrick Desteredjian, de Saveurs du terroir, grossiste en champignons situé à Montréal. Avant même que le détaillant ne mette ses morilles en vente, il aura déboursé une bonne vingtaine de dollars pour une livre. Mardi, des morilles de Chibougamau sont justement arrivées à son entrepôt, malgré la mauvaise saison. M. Desteredjian a des clients en Allemagne, en Suisse, en France, au Japon. Partout où il y a de la gastronomie, dit-il. Pourquoi aller jusqu'au Yukon pour faire la cueillette ? Agrandir l'image Rencontré en cours de périple : un orignal faisant trempette dans l'eau glacée. Photo André Pichette, La Presse Des morilles, il y en a partout, dit le professeur de l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec, Richard Desjardins. Mais lorsque le but de l'entreprise est commercial, mieux vaut se rendre dans un endroit fortement boisé, où la forêt brûle beaucoup. Le printemps suivant un incendie de forêt, les conditions sont idéales pour la pousse des morilles. La Colombie-Britannique, l'Alberta et la Saskatchewan, provinces très riches en champignons forestiers sauvages, ont su profiter de la manne. Les trois provinces exportent chaque année pour une valeur de 100 millions de champignons sauvages forestiers. Le Yukon commence à s'intéresser à cette activité. Mais pour l'instant, dans une certaine ambiance de far west : n'importe qui peut se rendre dans la forêt, cueillir tous les champignons qu'il trouve, les vendre à un acheteur du coin et repartir les poches pleines. Pour trouver les endroits les plus propices à l'éclosion des champignons, les cueilleurs expérimentés suivent toute l'année l'évolution des terres brûlées à l'aide de sites Internet spécialisés. par exemple ceux de la Société de protection des forêts contre les feux, la (SOPFEU), au Québec, ou même celui d'un groupe associé à la NASA, ce qui permet d'obtenir des cartes topographiques assez précises pour bien localiser les brûlis. En 2004, on a recensé au Yukon 60% de tous les feux de forêt du Canada.
  4. t'a eu le droit à touche bouboule en plus ???
  5. grizzli

    Les Laurentides

    en esperant que ca marche labas... sinon j'irais cueillir des fraises
  6. à 7 iles au courant de l'été 2006 le phone: 418-968-1234
  7. pas facile effectivement, le 1 samedi sur 2 et quelques week-ends dans l'année, tu doit en douter, c'est fini. mais ton ami pourrais peut-etre aller voir le juge au affaire familiale pour transformer ce droit de visite en 1 mois ou 3 semaines en été... à voir si c'est faisable... bonne chance et tiens nous au courant
  8. grizzli

    Vive le Québec Trilingue

    http://ms.radio-canada.ca/2006/medianet/CB...mv?MSWMExt=.asf NO COMMENT !!!
  9. grizzli

    Où trouver ........

    j'espere qu'on y trouve pas des femmes soumises
  10. http://www.cic.gc.ca/francais/resid-frais/faq.html#note11 11. Quand obtiendrai-je mon remboursement? CIC prévoit commencer à effectuer les remboursements au cours des semaines suivant la date d?entrée en vigueur du changement dans le cas des demandeurs ou des répondants qui ont payé les frais relatifs au droit de résidence permanente au Canada. La majorité des remboursements sera effectuée d?ici un an. Dans le cas des demandeurs qui ont payé les frais relatifs au droit de résidence permanente à l?étranger, CIC commencera à effectuer les remboursements dès que possible. Le délai nécessaire pour rembourser les personnes qui ont payé les frais relatifs au droit de résidence permanente à l?étranger dépendra des circonstances propres à chaque cas
  11. mon pote tu melange tout... je n'ai rien contre quelqu'un qui gagne plus que moi, je suis meme content pour lui, mon objectif etant d'ailleur de gagné + que lui un jour... la on parle de gars "normal" mais quelqu'un qui ce fait 30-40-..........80-90 mille $ par jour j'aimerais bien connaitre ses competences et qualifications ils ont été parachutés à ce poste par un conseil d'administration et apres chaque années ils se distribuent mutuellent des augmentations monstrueuse et des stock-options a plus savoir qu'en faire. alors qu'ils n'en branle pas une la haut dans la montagne... comme le disait geez, les "vedettes" je m'en fou de leurs salaires ils sont dans un autre monde en plus si je veux plus qu'ils gagnent autant je n'ai plus qu'a ne pas aller les voir. Pas d'accord : si quelqu'un gagne plus que moi, j'ai pas de problème avec ça ! Il doit certainement faire un boulot, rapporter plus de blé à sa boîte ou s'investir plus que je n'ai envie de le faire ! Quand quelqu'un gagne à lui seul la même chose que tous ses salariés réunis, je me pose la question de savoir si c'est tellement justifié ou au moins décent... Quand je vois un type comme Messier qui plante quand même copieusement Vivendi et qu'il se permet de venir réclamer des dizaines de millions sous prétexte qu'il n'a plus rien pour vivre, après avoir clamé quelques années plus tôt qu'il ne partirait jamais avec un golden parachute, ça me fout les glandes... Quand il y a quelques années, le PDG d'une société pétrolière passe à la télé pour expliquer qu'il a besoin des dizaines de millions avec lesquels il part sous prétexte qu'ayant démissionné il n'a ni droit aux Assedic, ni à la couverture maladie universelle, je me dis que ça devient surréaliste !! Quand le PDG de Carrefour est débarqué avec un package prime + retraite étalée pour un montant de 30 millions alors qu'il est pas resté très longtemps et qu'il n'a pas vraiment amélioré la santé du groupe (et c'est un euphémisme), je ne sais plus dans quel monde je vis... Quand je vois les pontes d'Enron qui ont planté la boîte et leurs clients mais sont riches à millions, j'hallucine (bon d'accord, eux ils se sont faits pincer pour magouilles)... Au final, c'est plus une question d'éthique, en ce qui me concerne... Je ne suis absolument pas envieux d'un type qui va être pété de thunes si ça se justifie par son travail et son engagement ! Le tout est de rester quand même dans les limites du raisonnable, parce que certains auraient besoin de plusieurs vies pour dépenser tout leur pognon quand d'autres ne gagnent même pas assez pour bouffer tous les jours... Que des gens entassent des milliards à la manière de l'oncle Picsou est, à mes yeux, aussi anormal que d'en voir d'autres crever la dalle... On n'a peut-être pas le même point de vue sur la décence à ce niveau et le sens de la vie en général, remarque... +1 +1 aussi
  12. entre ours, on se comprend
  13. c'est pareil en france
  14. Ton dossier est ouvert en fin Mars et ton entrevue est pour septembre!!!!!! G croyais q la convocation ne prennait q 2à3 mois après l'ouverture du dossier...ou c moi ki a mal compris peux-tu m'en dire plus? Et moi g serait certainement pas très loin de Montrél Centre pcq la boite dans laquelle g dois travailler est là Merci bye toi y en a pa hetre hé tu diant an frencai, toi sang dout suivre court 2 lang etrangair... CI kel iniversiti ki ensigne la lang SMS ? http://www.forum.immigrer.com/index.php?ac...p;id=8#francais
  15. à moins qu'il est allé 262 fois + longtemps à l'école que moi ou que son QI est 262 fois plus haut que le miens... il y a des choses comme ca que je ne comprend pas http://www.lapresseaffaires.com/nouvelles/...p;ref=top_short Le salaire d'un PDG; 262 fois le vôtre... Agence France-Presse 22 juin 2006 - 15h07 Les chefs des grandes entreprises américaines ont gagné 262 fois plus que les salariés en 2005, selon une étude de l'Economy Policy Institute publiée alors que les pratiques d'attribution de options d'achat à certains dirigeants sont sur la sellette aux États-Unis. L'an dernier les PDG des grandes entreprises américaines ont gagné 10,98 millions de dollars en moyenne contre 41 861 dollars pour les salariés de base, selon cette étude dont l'AFP a eu copie jeudi. Cela signifie qu'«en 2005 un PDG a gagné plus en une journée de travail (il y en a 260 dans l'année) qu'un employé en 52 semaines», précise l'institut, considéré comme proche des démocrates. L'EPI a réalisé cette étude en comparant les rémunérations des chefs d'entreprise (salaires, primes, actions et autres incitations à long-terme), telles que compilées par l'institut Mercer pour le compte du Wall Street Journal, et les salaires horaires des ouvriers et des employés non-cadres. La seule fois où le différentiel a été plus important est l'an 2000, aux dernières heures de la bulle Internet, lorsqu'il avait atteint 300, selon le communiqué. Avec la chute de la bourse, la rémunération des chefs d'entreprise avait ensuite fortement baissé pour atteindre 143 fois le salaire de base en 2002. Sur le long terme, l'écart entre les deux bouts de l'échelle a tendance à s'accroître, puisque les PDG des grosses entreprises américaines gagnaient 24 fois le salaire des employés en 1965. Le différentiel est lentement passé à 35 en 1978 et 71 en 1989, avant de bondir dans les années 1990. Ces chiffres vont dans le sens d'une étude publiée en début d'année par l'organisme indépendant «The Corporate Library», selon lequel la rémunération des dirigeants des 2.000 plus grandes entreprises américaines a augmenté de près de 20% entre l'année budgétaire 2003/2004 et 2004/2005. L'étude de l'EPI est publiée alors que le Sénat américain a une nouvelle fois renoncé mercredi à relever le salaire minimum, resté inchangé à 5,15 dollars par heure depuis neuf ans. Elle intervient alors que certaines pratiques d'attribution d'options d'achat aux dirigeants d'entreprise sont dans le collimateur de la SEC (le gendarme de la bourse). Des enquêtes préliminaires ont été ouvertes sur plus de 30 entreprises américaines, telles que Juniper, McAfee ou UnitedHealthGroup, soupçonnées d'avoir antidaté les options pour permettre de maximiser le bénéfice qu'en retirent les cadres dirigeants. L'une des dernières entreprises visées par la SEC est le site de recrutement en ligne Monster, qui a annoncé le 14 juin faire l'objet d'une enquête informelle. Mais le problème remonte à plus loin. La SEC avait approuvé le 17 janvier le principe de règles plus transparentes pour que la rémunération totale des dirigeants d'entreprises soient mieux déclarée. «Il s'agit d'établir une plus grande clarté dans les salaires, pas de les contrôler», avait alors souligné le président de la SEC, Christopher Cox. Plusieurs «paquets» offerts ces dernières années à des dirigeants d'entreprises sur le départ ont fait hausser quelques sourcils aux États-Unis, où les salaires mirifiques pour les PDG sont pourtant chose commune. L'ex-PDG de la banque d'affaires Morgan Stanley, Philip Purcell, était ainsi parti l'an dernier avec une compensation totale de plus de 100 millions de dollars, alors que sous sa direction l'action du groupe avait perdu près de 40% de sa valeur. En 2004, c'était la rémunération accordée au PDG de la Bourse de New York, Dick Grasso, qui avait déclenché une enquête du ministre de la Justice de l'État de New York, Eliot Spitzer, et provoqué le départ de M. Grasso.
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