Habitués ronan29 Posté(e) 23 mai 2010 Habitués Posté(e) 23 mai 2010 le discours officiel est "politically correct", il y a des vérités qui ne peuvent pas etre formulées crument sous peine d'accusation de racisme etc etc...mais il y a la vraie réalité, et nul ne peut y échapper !! Pourquoi un européen obtient-il son visa en moins d'un an lors que d'autres attendent cinq ans ? C'est une forme de sélection et de ségrégation par le temps, à mon avis un peu hyppocrite et inhumaine, mais qui a pour but inavoué de décourager des immgrants dont la province et le pays pensent qu'ls auront moins de facultés d'adaptation. CQFD !! Il vaut mieux regarder la réalité en face que de se bercer d'illusions. Citer
Invité Posté(e) 23 mai 2010 Posté(e) 23 mai 2010 Il n'y aura pas d'interruption de l'immigration car le pays en a trop besoin, mais probablement un recentrage des quotas régionaux plus efficace ! A la place de rechercher la francophonie a tout prix au Québec et de se retrouver avec des gens qui ne peuvent pas s'intégrer et ne trouvent pas de travail car ils n'ont pas de capacité d'adaptation, la Belle Province devra faire comme le ROC et d'ailleurs y songe, de se tourner plus vers l'Asie et l'Amérique du sud. C'est le débat en cours ici, et c'est certain qu'il va y avoir des ajustements dans la politique offciielle d'immigration. Tu serais beaucoup utile en France , tu pourras même demander des honoraires très juteux pour tes conseils au gouvernement actuel. Amicalement. Citer
Habitués resident Posté(e) 23 mai 2010 Habitués Posté(e) 23 mai 2010 Il n'y aura pas d'interruption de l'immigration car le pays en a trop besoin, mais probablement un recentrage des quotas régionaux plus efficace ! A la place de rechercher la francophonie a tout prix au Québec et de se retrouver avec des gens qui ne peuvent pas s'intégrer et ne trouvent pas de travail car ils n'ont pas de capacité d'adaptation, la Belle Province devra faire comme le ROC et d'ailleurs y songe, de se tourner plus vers l'Asie et l'Amérique du sud. C'est le débat en cours ici, et c'est certain qu'il va y avoir des ajustements dans la politique offciielle d'immigration. Tu serais beaucoup utile en France , tu pourras même demander des honoraires très juteux pour tes conseils au gouvernement actuel. Amicalement. +1 Citer
Habitués ronan29 Posté(e) 23 mai 2010 Habitués Posté(e) 23 mai 2010 Je n'aurais pas cette prétention cher Rocknroll75, mais j'exprime simplement ce que je lis dans les médias québécois et canadiens depuis que je suis ici : il suffit d'ouvrir les yeux et aussi d,écouter ce que les gens ont à dire, loin de moi l,idée de m'ériger en conseiller de l'immigration, il y a assez de monde qui travaille sur le sujet !! Citer
Habitués resident Posté(e) 23 mai 2010 Habitués Posté(e) 23 mai 2010 (modifié) Je n'aurais pas cette prétention cher Rocknroll75, mais j'exprime simplement ce que je lis dans les médias québécois et canadiens depuis que je suis ici : il suffit d'ouvrir les yeux et aussi d,écouter ce que les gens ont à dire, loin de moi l,idée de m'ériger en conseiller de l'immigration, il y a assez de monde qui travaille sur le sujet !! ça fait que trois tout petit mois que t'es là et apparement t'en sais plus que les québecois de souches !!!! pathétique Modifié 23 mai 2010 par resident Citer
Habitués redo Posté(e) 23 mai 2010 Habitués Posté(e) 23 mai 2010 salut tt le monde, je ne pense pas que la fin de l'immigration au canada est à l'ordre du jour du gouvernement. Au contraire l'on prévoit un vieillissement de la classe ouvrière pour les prochaines années et surtout beaucoup d'ouvriers vont devoir prendre leurs retraites ce qui impliquera à coup sur un recrutement massif pour combler le vide et cela ne se fera que par un apport additif d'immigrants. le rapport du parlement (du moins pour le quebec) qui ne fait pas reference à cela mais plutot critique la manière avec laquelle les immigrants sont selectionnés. seulement 9% des immigrants choisis ont des professions qui sont en demande au quebec, et conseille aux agents d'immigratiion de mieux cerner les immigrants pour lesquelles les professions sont en forte demande au quebec. c'est tt. bonne chance pour les attendeux. Il faut voir dans quel type d'emploi se créera le vide. Il est certain que pour les métiers manuels, les gens ne peuvent pas travailler jusqu'à 70 ans, mais dans beaucoup de professions, il y a des travailleurs qui n'ont pas envie nécessairement de prendre leur retraite. D'ailleurs, on encourage des mesures incitatives pour retenir les travailleurs au boulot. Ainsi, le paysage pourrait changer : les gens travaillent à un âge plus avancé, mais ils peuvent travailler chez eux ou alors avoir des horaires très flexibles. Certains vont également faire du mentorat, seront consultants, contractuels. Là où je travaille, pour deux personnes qui partent à la retraite, une seule sera remplacée. C'est déjà commencé et ce n'est pas un secret de polichinelle : deux secrétaires partent à la retraite d'ici la fin de l'été et pour l'une d'elle, le poste sera aboli. Bien sûr, cela ne fera pas l'affaire de tout le monde, mais il y va y avoir une redistribution des tâches, des dossiers qui seront mis de côté car pas assez « porteurs » ou mobilisateurs, etc. mm chez nous en algerie les employeurs ont tendance à abolir certains postes car non porteur ou inutile. mais cela n'empeche pas que des pays comme le canada ou le taux de personnes agés est nettement sup au jeunes, aura à affronter une pénurie de main d'oeuvre qui sera difficile à combler à l'horizon (d'après des stat très officiels en 2030 le nombre de retraités constituera le tiers de la population active). à ce rythme là mm les caisses de retraites ne trouveront pas l'argent pour payer ses retraités. c pour celà il y va de l'avenir de tte la population d'accueillir plus d'immigrés donc plus de gens capable de créer des richesses au pays donc plus de jobs donc plus de cotisants. c pour le bien de tte la population du canada. Citer
Invité Posté(e) 23 mai 2010 Posté(e) 23 mai 2010 Un texte qui mérite le détour. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201005/12/01-4279549-travaillants-les-quebecois.php Travaillants, les Québécois document.write(publicatioin_date("2010-05-12 06:52:05.000", "2010-05-12 06:54:00.000"));Publié le 12 mai 2010 à 06h52 | Mis à jour le 12 mai 2010 à 06h54 Agrandir Photo: Agence France-Presse =author%3ASt%C3%A9phane+Paquet&sort=recent]Stéphane Paquet La Presse(Montréal) «La bonne nouvelle, c'est qu'on n'est pas des paresseux, quoi qu'en pense M. Bouchard!» La boutade touchant l'ancien premier ministre québécois vient d'André Grenier, coordonnateur de l'analyse du marché du travail à Emploi Québec. En examinant la participation au marché du travail dans différentes juridictions, il arrive à la conclusion que le Québec est dans le peloton de tête des grandes économies. Ainsi, le taux d'activité - qui comprend les travailleurs et chômeurs sur la population des 15 à 64 ans - était de 77,3 au Québec en 2008. Des pays du G7, seul le Canada fait mieux, avec 78,6%. Derrière le Québec, on retrouve le Royaume-Uni (76,8%, même si là, la population active est calculée à partir de 16 ans, comme aux États-Unis); l'Allemagne, deuxième exportateur mondial, arrive à 75,9%, suivie des États-Unis, à 75,3%. Le cancre du G7 est définitivement l'Italie, avec 63% de taux d'activité. La moyenne des pays de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) est de 70,8%, soit 6,5 points derrière le Québec. Le taux d'activité «devrait plafonner à près de 80% dans la seconde moitié de la présente décennie, une limite que les pays les plus avancés peinent à franchir», a indiqué M. Grenier hier matin, dans le cadre d'un colloque sur la main-d'oeuvre organisé par l'IREC, l'Institut de recherche en économie contemporaine. «Chez les moins de 55 ans, le Québec a rattrapé le Canada», a-t-il souligné, se basant cette fois-ci sur des données de 2009. Dans le groupe d'âge des 55-64 ans, le taux d'activité au Canada est toutefois de 6 points plus élevé qu'au Québec. Il souligne que le marché du travail québécois va atteindre en 2018 «la limite de sa capacité de création d'emplois». Il devra donc, s'il veut continuer à prospérer, augmenter sa productivité. Et l'immigration? Dans une autre présentation, le démographe Marc Termote a tenté de dégonfler l'idée selon laquelle l'immigration est une clé de cette prospérité future. «L'immigration fait baisser le niveau d'activité», a-t-il dit. La raison: les immigrants sont moins présents sur le marché du travail que les Québécois qui sont nés au Canada. Au mieux, a-t-il reconnu, les nouveaux arrivants peuvent avoir un impact économique au niveau des villes, comme Montréal, Toronto ou Vancouver, qui en reçoivent plus que le reste du territoire. Dans l'ensemble, l'immigration ne serait donc pas la panacée annoncée par certains. «L'impact sur le PIB (produit intérieur brut) par habitant est nul», dit le démographe. Ce qui signifie aussi, a-t-il précisé, qu'«on ne peut pas avancer que les immigrants volent nos jobs». Citer
Habitués kobico Posté(e) 23 mai 2010 Habitués Posté(e) 23 mai 2010 Merci Ensaimada pour cet article. Chose certaine, il défait comme du beurre dans la poële le mythe tenace que les Québécois sont un peuple de BS. Tant qu'au second point, celui de la nécessité absolue de l'immigration, je ne sais trop si cela est vraiment un mythe ou non mais, apparemment, on commence à se questionner à ce propos. Puisqu'une image vaut mille mots, voici un tableau reflétant les données de l'article ainsi que quelques commentaires de Jean-François Lisée: Mais jai préféré vous offrir le graphique présenté par André Grenier, coordonateur de lanalyse du marché du travail à Emploi-Québec, lors du récent colloque de lIREC sur la main-doeuvre. Il y a trois mesures différentes pour parler demploi. Le taux de chômage, qui est la proportion de personnes sans emploi et à la recherche demploi. Le taux demploi, qui est la proportion de personnes en emploi. Puis le taux dactivité, qui nous donne la proportion de personnes qui ont un emploi et de ceux qui en cherchent un. Donc, la proportion de la population active qui est ou désire être active. En un mot: les travaillants. Chaque mois, StatCan nous donne ce chiffre, appliqué sur toute la population de plus de 15 ans, donc y compris les papies et les mamies, un peu moins actifs chez nous quailleurs. Grenier présente la comparaison des actifs dans la population de 15 à 65 ans pour 2008. Cest une plus juste représentation de la volonté de la population active de se mettre à la tâche. Cliquez pour agrandir Bref, on sait que les Québécois travaillent moins dheures par an que les Américains (mais davantage que plusieurs européens), mais ce graphique terrasse le mythe selon lequel les Québécois en âge de travailler y seraient moins enclins que les autres occidentaux. Ils le sont, en fait, davantage que les Américains. De plus, cette mesure fut prise pour lannée 2008, donc avant la crise pendant laquelle le Québec a mieux performé encore. Le lien ICI Leti-mini et Madame Bec-Sec ont réagi à ceci 2 Citer
Invité Posté(e) 24 mai 2010 Posté(e) 24 mai 2010 Merci Kobico ! Je vais aller voir cette étude de plus près ... mais pas aujourd'hui, il fait trop beau ! Citer
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