Invité Posté(e) 30 juillet 2009 Share Posté(e) 30 juillet 2009 Si vous avez d'autres exemples, je vous en prie... allez-y fort ! Sauf que, à entendre la principale intéressée, c'est-à-dire Pauline Marois, elle se décrit comme une femme de gauche, proche du petit peuple, défendant corps et âme la "sociale-démocratie"... ça, c'est pour les médias et le "bon peuple".La réalité est toute autre. Maintenant, si la seule excuse que vous trouvez, c'est de dire "D'autres font pareil"... et ben... je trouve ça assez révélateur ! Ben t'es pas obligé de faire dans la simplicité volontaire sous prétexte que tu défends les moins nantis si TOI, t'as du pognon... Comme tu peux très bien être plus à droite et vivre simplement La j'avoue que son château, c'est quand même du lourd mais bon si elle aime ça Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Petit-Prince Posté(e) 30 juillet 2009 Habitués Share Posté(e) 30 juillet 2009 Je ne suis pas une fan de Pauline Marois mais je ne vois pas pourquoi tu reproches à son mari ce que tous les hauts fonctionnaires obtiennent quand ils quittent leurs postes. Cette mesure n'a pas été spécialement créée pour lui, elle existait avant et elle existera toujours.Ce n'est pas tout à fait vrai ce que tu avances. Même si les hauts-fonctionnaires ont accès à certains privilèges en cas de départ, ceux-ci n'étaient pas suffisamment importants pour Claude Blanchet. Il ne faut pas oublier un détail : dans un premier temps, et malgré la pression du Premier ministre de l'époque, Bernard Landry, Claude Blanchet REFUSAIT de démissionner. Claude Blanchet trouvait que les conditions de départ reliées à son contrat, qu'il avait pourtant signé, ne lui convenait pas. Il aura fallu que le gouvernement fasse voter une modification, concernant les avantages relié à son départ : donc, 300,000$ de prime en échange de sa démission, ainsi que 80,000$ de rente annuelle à vie, alors que son contrat, au départ, ne stipulait qu'environ la moitié. D'autre part, cette modification permet le transfère de la rente à sa femme, ce qui n'était pas prévu au départ.Mais vu qu'a priori, ça n'a pas l'air de te déranger... Si tu as des exemples qui démontrent qu'il a bénéficié d'un traitement de faveur comparativement à ses collègues, donne-les. Sinon tu joues un jeu de pure mesquinerie.C'est ce que je viens de faire. Là où ta question m'étonne beaucoup, c'est que quelques médias en avait parlé justement de cette différence de traitement et de cette modification de contrat.Quand aux penchants politiques de Pauline, je ne vois pas quelle incompatibilité il y a entre défendre des valeurs de gauche et avoir une fortune personnelle. Elle a fait de la politique, elle a fait de bons coups et de moins bons. Elle est comme elle est. Et ce n'est pas sa faute s'il y a un complexe face à la richesse ancrée dans la mentalité des gens.Ah ? Pourtant, durant DES ANNÉES, elle a fait croire au "bon petit peuple" qu'elle résidait dans un petit chalet. Elle insistait sur le fait qu'elle vivait comme tout le monde (cf. la vidéo ci-haut mentionnée de son entrevue à TVA). Qu'elle puisse avoir une fortune personnelle (qui n'est pas la sienne en passant...), c'est une chose, mais vouloir tromper VOLONTAIREMENT le contribuable en faisant passer un petit chalet pour sa demeure principale, c'est autre chose. Au fait... Et concernant La Gaspésia ? Et les 800 millions perdus de la SGF ? ... ce sont des détails aussi ? Des choses tout à fait normales ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Petit-Prince Posté(e) 30 juillet 2009 Habitués Share Posté(e) 30 juillet 2009 (modifié) Ben t'es pas obligé de faire dans la simplicité volontaire sous prétexte que tu défends les moins nantis si TOI, t'as du pognon... Comme tu peux très bien être plus à droite et vivre simplement La j'avoue que son château, c'est quand même du lourd mais bon si elle aime ça Comme je l'ai pourtant déjà dit : j'ai aucun problème avec ça. Là où ça ne passe pas, c'est lorsqu'elle prétend, devant les médias et pour le bon peuple, qu'elle n'a justement pas d'argent et qu'elle vit dans un petit chalet, alors que ce n'est pas vrai.Là aussi où ça ne passe pas, c'est que juste avant une élection, elle et ses amis font changer les termes du contrat de son mari et fait voter également le transfert de la rente à son épouse, donc à elle-même, en cas de décès. Modifié 30 juillet 2009 par Petit-Prince Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rayan Posté(e) 30 juillet 2009 Share Posté(e) 30 juillet 2009 Si vous avez d'autres exemples, je vous en prie... allez-y fort ! Sauf que, à entendre la principale intéressée, c'est-à-dire Pauline Marois, elle se décrit comme une femme de gauche, proche du petit peuple, défendant corps et âme la "sociale-démocratie"... ça, c'est pour les médias et le "bon peuple".La réalité est toute autre. Maintenant, si la seule excuse que vous trouvez, c'est de dire "D'autres font pareil"... et ben... je trouve ça assez révélateur ! Je ne suis pas une fan de Pauline Marois mais je ne vois pas pourquoi tu reproches à son mari ce que tous les hauts fonctionnaires obtiennent quand ils quittent leurs postes. Cette mesure n'a pas été spécialement créée pour lui, elle existait avant et elle existera toujours. Si tu as des exemples qui démontrent qu'il a bénéficié d'un traitement de faveur comparativement à ses collègues, donne-les. Sinon tu joues un jeu de pure mesquinerie. Quand aux penchants politiques de Pauline, je ne vois pas quelle incompatibilité il y a entre défendre des valeurs de gauche et avoir une fortune personnelle. Elle a fait de la politique, elle a fait de bons coups et de moins bons. Elle est comme elle est. Et ce n'est pas sa faute s'il y a un complexe face à la richesse ancrée dans la mentalité des gens.Je crois que Petit Prince est un souverainiste de droite déçu que le PQ et le Bloc ne soient pas suffisamment à droite à son goût. Il règle donc ses comptes et doit penser, à tort ou à raison, que la ''déliquescence'' de la direction du PQ est telle que tout est permis. Mais attention, à force de tirer publiquement sur ses amis, on passe irrémédiablement du coté des ennemis ou adversaires. Lorsque la souveraineté projet que peuvent porter la droite et la gauche - nest pas à lordre du jour, il est difficile de réunir ensemble des gens de droite et de gauche dans un même parti, surtout si ce parti est candidat à gouverner non pas pour proclamer lindépendance mais pour gérer les affaires de la province du mieux quil peut en espérant préparer les électeurs à un référendum. En ce moment, cest de ça quil sagit. Le PQ est lopposition officielle mais ses dirigeants excluent un nouveau référendum en cas daccession au pouvoir. Le PQ a un programme disons- centre gauche et il ne peut pas faire autrement au risque de voir dautres militants sen aller ailleurs et notamment du coté de Québec Solidaire. Je crois que la base du PQ et du Bloc est plutôt à gauche, cest pour ça que le PQ ne peut pas gouverner à droite et en tout pas plus à droite que le PLQ. Visiblement, en ce moment, le PQ préfère perdre des gens de droite que des gens de gaucheen attendant que la question de la souveraineté redevienne dactualité. Tactiquement, on peut dire que le PQ a raison sur ce point car la gauche québécoise est souverainiste alors que les gens de droite sont partagés. Mais si les dissensions deviennent publiques et permanentes et les souverainistes se livrent une bataille à couteaux tirés, cest tout le projet de souveraineté qui risque dêtre discrédité pour longtemps. C'est un peu ça Petit Prince, non? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Kweli Posté(e) 30 juillet 2009 Habitués Share Posté(e) 30 juillet 2009 Ah ? Pourtant, durant DES ANNÉES, elle a fait croire au "bon petit peuple" qu'elle résidait dans un petit chalet. Elle insistait sur le fait qu'elle vivait comme tout le monde (cf. la vidéo ci-haut mentionnée de son entrevue à TVA). Qu'elle puisse avoir une fortune personnelle (qui n'est pas la sienne en passant...), c'est une chose, mais vouloir tromper VOLONTAIREMENT le contribuable en faisant passer un petit chalet pour sa demeure principale, c'est autre chose. Au fait... Et concernant La Gaspésia ? Et les 800 millions perdus de la SGF ? ... ce sont des détails aussi ? Des choses tout à fait normales ?Et pourquoi, à ton avis, les politiciens ont autant de cote de confiance que les vendeurs de chars d'occasion? Ce que je ne comprends pas, c'est plutôt qu'il se trouve du monde assez cons pour croire à toutes ses simagrées. Dans tous les cas, elle n'est pas la pire politicienne qu'il nous ait été donnée d'avoir dans ce beau pays et tu ferais mieux d'arrêter de tirer sur ta famille politique. On dirait que les souverainistes considèrent qu'ils n'ont pas suffisamment d'ennemis comme ça pour se battre entre eux aussi. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués kobico Posté(e) 30 juillet 2009 Habitués Share Posté(e) 30 juillet 2009 Ce n'est pas tout à fait vrai ce que tu avances. Même si les hauts-fonctionnaires ont accès à certains privilèges en cas de départ, ceux-ci n'étaient pas suffisamment importants pour Claude Blanchet. Il ne faut pas oublier un détail : dans un premier temps, et malgré la pression du Premier ministre de l'époque, Bernard Landry, Claude Blanchet REFUSAIT de démissionner. Claude Blanchet trouvait que les conditions de départ reliées à son contrat, qu'il avait pourtant signé, ne lui convenait pas. Il aura fallu que le gouvernement fasse voter une modification, concernant les avantages relié à son départ : donc, 300,000$ de prime en échange de sa démission, ainsi que 80,000$ de rente annuelle à vie, alors que son contrat, au départ, ne stipulait qu'environ la moitié.C'est au premier ministre Charest qu'il a remis sa démission....Encore une fois, il est de coutume chez les haut-fonctionnaires de renégocier les clauses contractuelles lors d'une démission ou d'un départ précipité.À la suite de négociations avec le secrétaire du Conseil exécutif, André Dicaire, Claude Blanchet a renoncé à toucher une somme de 234 000 $ à laquelle il avait droit, soit le préavis de trois mois et le boni payable en cas de résiliation de contrat. Par contre, il recevra toutes les autres sommes que son contrat prévoit en pareille circonstance: une année de salaire, soit 257 500 $, la portion du boni de 2002 non encore versée, soit 18 600 $, et une bonification de sa rente de retraite annuelle, qui passera de 47 000 $ à un peu moins de 80 000 $. Cette rente de retraite, que M. Blanchet, âgé de 56 ans, commencera à toucher dans trois mois, constitue son trésor de guerre. Elle vaut environ un million de dollars, selon un actuaire interrogé. Selon une source, M. Blanchet a bénéficié d'un contrat identique à celui que le gouvernement libéral avait accordé à son prédécesseur, Marc Fortier. le lien:http://www.ledevoir.com/2003/05/22/28146.html Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Silicon Posté(e) 30 juillet 2009 Auteur Habitués Share Posté(e) 30 juillet 2009 Ce n'est pas tout à fait vrai ce que tu avances. Même si les hauts-fonctionnaires ont accès à certains privilèges en cas de départ, ceux-ci n'étaient pas suffisamment importants pour Claude Blanchet. Il ne faut pas oublier un détail : dans un premier temps, et malgré la pression du Premier ministre de l'époque, Bernard Landry, Claude Blanchet REFUSAIT de démissionner. Claude Blanchet trouvait que les conditions de départ reliées à son contrat, qu'il avait pourtant signé, ne lui convenait pas. Il aura fallu que le gouvernement fasse voter une modification, concernant les avantages relié à son départ : donc, 300,000$ de prime en échange de sa démission, ainsi que 80,000$ de rente annuelle à vie, alors que son contrat, au départ, ne stipulait qu'environ la moitié.C'est au premier ministre Charest qu'il a remis sa démission....Encore une fois, il est de coutume chez les haut-fonctionnaires de renégocier les clauses contractuelles lors d'une démission ou d'un départ précipité.À la suite de négociations avec le secrétaire du Conseil exécutif, André Dicaire, Claude Blanchet a renoncé à toucher une somme de 234 000 $ à laquelle il avait droit, soit le préavis de trois mois et le boni payable en cas de résiliation de contrat. Par contre, il recevra toutes les autres sommes que son contrat prévoit en pareille circonstance: une année de salaire, soit 257 500 $, la portion du boni de 2002 non encore versée, soit 18 600 $, et une bonification de sa rente de retraite annuelle, qui passera de 47 000 $ à un peu moins de 80 000 $. Cette rente de retraite, que M. Blanchet, âgé de 56 ans, commencera à toucher dans trois mois, constitue son trésor de guerre. Elle vaut environ un million de dollars, selon un actuaire interrogé. Selon une source, M. Blanchet a bénéficié d'un contrat identique à celui que le gouvernement libéral avait accordé à son prédécesseur, Marc Fortier. le lien:http://www.ledevoir.com/2003/05/22/28146.htmlIl avait signé un contrat en béton grace a sa femme et les libéraux ont malheureusement été obligé d'en suivre les termes.Le tout en remerciement d'avoir mis $500 mm a la poubelle par sa gestion de broche a foin...A sa place je serais allé me cacher sur une ile deserte...On se croirait dans une république de bananes Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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