Habitués hadi2727 Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 (modifié) Ce serait bien que tu vérifies l'exactitude de tes affirmations avant de les écrire. Tu sèmes le doute dans l'esprit des futurs immigrants ( 10 % du quota après 2 ans ou même 5 ans... ). Ça non plus, ce n'est pas souhaitable pour bâtir un pays....Je ne sème pas de doute dans un ésprit de tout immigrant non pas mon but .... de toute évidence chacun est vacciné et adulte pour prendre sa décision qu'il reste au Québec où partir loin c'est aussi un choix.Sinon, peux tu nous apporter une étude officielle du gouvernement du Québec sur le % des immigrants" francophones" qui restent au Québec. ( ça aussi c'est une mission du gouvernement et je me demande si les partis politiques au Québec s'engagent pour cette question !) Modifié 8 juillet 2009 par hadi2727 Citer
Habitués hadi2727 Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 (modifié) La question Monsieur Grizzli n'est pas dans le test de français mais c'est de savoir garder tes 45.000 immigrants " sur le territoire du Québec si on veut bâtir un Etat indépendant digne de son nom !On ne peux pas prévoir la création d'un etat si on se trouve avec 10 % du quota après 2 ans où même 5 ans, il faut prévoir à long terme.Garder des gens qui s'en foutent ? Bof, on peut très bien bâtir un état indépendant sans eux, tu sais... et au moins, après, ceux qui immigreront ici seront conscients du fait qu'ils immigrent au Québec, un pays francophone.ce n'est pas un ésprit "de" je m'enfoutisme". cela n'existe pas dans mon dico Mme ben.c'est une question logique que je pose si le Canada anglophone récupère indirectement les immigrants francophones à long terme...y a de qoui se poser les questions. y a un hIC quelque part !Juste une petite information ... lors de retrait de mon Visa de l'Ambassade, j'ai posé la même question à la belle Québecoise " pourqoui les immigrants quittent le Québec après un certain temps selon mes connaissances au canada..." elle m'a répondu "bah le Québec aussi c'est une belle province et il faut partir à la province qui t'as choisit ..." Modifié 8 juillet 2009 par hadi2727 Citer
Habitués Mowgli Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 La question Monsieur Grizzli n'est pas dans le test de français mais c'est de savoir garder tes 45.000 immigrants " sur le territoire du Québec si on veut bâtir un Etat indépendant digne de son nom !On ne peux pas prévoir la création d'un etat si on se trouve avec 10 % du quota après 2 ans où même 5 ans, il faut prévoir à long terme.Garder des gens qui s'en foutent ? Bof, on peut très bien bâtir un état indépendant sans eux, tu sais... et au moins, après, ceux qui immigreront ici seront conscients du fait qu'ils immigrent au Québec, un pays francophone.ce n'est pas un ésprit "de" je m'enfoutisme". cela n'existe pas dans mon dico Mme ben.c'est une question logique que je pose si le Canada anglophone récupère indirectement les immigrants francophones à long terme...y a de qoui se poser les questions. y a un hIC quelque part !Juste une petite information ... lors de retrait de mon Visa de l'Ambassade, j'ai posé la même question à la belle Québecoise " pourqoui les immigrants quittent le Québec après un certain temps selon mes connaissances au canada..." elle m'a répondu "bah le Québec aussi c'est une belle province et il faut partir à la province qui t'as choisit ..." Ben tu sais, vu que les critères financiers sont moins élevés au Qc que dans le Canada anglophone, et que la sélection est aussi plus facile (si on est francophone) que dans le reste du Canada, il y a pas mal de gens qui transitent également par le Québec mais avec comme rêve d'aller au Canada. Ou, comme mon collègue australien, qui pensent en allant au Qc qu'ils allaient au "Canada" et qui une fois sur place n'aiment pas la mentalité et la culture du Qc car leur rêve à eux, c'est l'Amérique, et le QC n'est pas assez "Canadien" pour eux. Citer
Habitués hadi2727 Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 (modifié) Ben tu sais, vu que les critères financiers sont moins élevés au Qc que dans le Canada anglophone,Merci Mme Mowgli pour la réponse !ça c'est vrai, au Québec on te demande juste 2657 $ ca si tu es célibataire et 10.000 $ pour le Canada anglophone !et que la sélection est aussi plus facile (si on est francophone) que dans le reste du Canada,pas pour tout le monde, au Maroc par exemple, le délai de traitement pour le Québec est de 5 ans, or pour le canada anglophone c'est 3 ans ! il y a pas mal de gens qui transitent également par le Québec mais avec comme rêve d'aller au Canada. Ou, comme mon collègue australien, qui pensent en allant au Qc qu'ils allaient au "Canada" et qui une fois sur place n'aiment pas la mentalité et la culture du Qc car leur rêve à eux, c'est l'Amérique, et le QC n'est pas assez "Canadien" pour eux. ben moi, j'ai convaincu mon ami sélectionné par l'Ontario de s'installer au Québec( Montréal où Québec ville peut être )..tu vois je bosse pour les beaux yeux du Québec gratuitement, Mais bon on sait jamais que se passera la bas :-) Modifié 8 juillet 2009 par hadi2727 Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 Ben tu sais, vu que les critères financiers sont moins élevés au Qc que dans le Canada anglophone, et que la sélection est aussi plus facile (si on est francophone) que dans le reste du Canada, il y a pas mal de gens qui transitent également par le Québec mais avec comme rêve d'aller au Canada.C'est clair que c'est au cur du problème... Citer
Habitués hadi2727 Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 (modifié) Ben tu sais, vu que les critères financiers sont moins élevés au Qc que dans le Canada anglophone, et que la sélection est aussi plus facile (si on est francophone) que dans le reste du Canada, il y a pas mal de gens qui transitent également par le Québec mais avec comme rêve d'aller au Canada.C'est clair que c'est au cur du problème...oui c'est question de moral " contrat moral signé pour le Québec " mais cela n'empêche pas qu'il y a une responsabilité des partis politiques, associations, ONG, gouvernement, de se rapprocher des immigrants pour leur faciliter l'intégration...pourqoui pas faire une étude sur ce fleau ! Modifié 8 juillet 2009 par hadi2727 Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 mais cela n'empêche pas qu'il y a une responsabilité des partis politiques, associations, ONG, gouvernement, de se rapprocher des immigrants pour leur faciliter l'intégration...pourqoui aps faire une étude sur ce fleau ! Mais il y en a plein... et plein d'associations...et plein de mesures... A un moment donné, il faut se poser d'autres questions aussi ! Les critères de sélection en particulier, mais aussi les normes financières... Citer
Habitués Kweli Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 Ben tu sais, vu que les critères financiers sont moins élevés au Qc que dans le Canada anglophone, et que la sélection est aussi plus facile (si on est francophone) que dans le reste du Canada, il y a pas mal de gens qui transitent également par le Québec mais avec comme rêve d'aller au Canada.C'est clair que c'est au cur du problème...oui c'est question de moral " contrat moral signé pour le Québec " mais cela n'empêche pas qu'il y a une responsabilité des partis politiques, associations, ONG, gouvernement, de se rapprocher des immigrants pour leur faciliter l'intégration...pourqoui aps faire une étude sur ce fleau ! L'intégration est la responsabilité de l'immigrant avant tout, et le maternage des immigrants ne peut que leur nuire. Le mot-clé en Amérique pour réussir sa vie est "autonomie".Petite demande personnelle: Est-ce que tu pourrais écrire sans utiliser le gras, et de préférence avec une police "Arial" comme tout le monde? Tu as des interventions intéressantes mais j'ai de la misère à te lire Citer
Habitués hadi2727 Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 (modifié) mais cela n'empêche pas qu'il y a une responsabilité des partis politiques, associations, ONG, gouvernement, de se rapprocher des immigrants pour leur faciliter l'intégration...pourqoui aps faire une étude sur ce fleau !Mais il y en a plein... et plein d'associations...et plein de mesures... A un moment donné, il faut se poser d'autres questions aussi ! Les critères de sélection en particulier, mais aussi les normes financières...il y a plein d'associations par immigrant alors oui là tu commences à poser les questions qui dérangent, peut être ni le gouvernement du Québec ni les partis politques posent comme débat.Quel immigrant pour le Québec ?Quel profil " faut recruter le profil qui respecte les besoins du marché québecois ... Modifié 8 juillet 2009 par hadi2727 Citer
Habitués hadi2727 Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 (modifié) L'intégration est la responsabilité de l'immigrant avant tout, et le maternage des immigrants ne peut que leur nuire. Le mot-clé en Amérique pour réussir sa vie est "autonomie".oui, je suis tout à fait d'accord avec toi, je l'avais déja dis sur un autre FIL que la responsabilité de l'immigrant est de 80 % voir même 90 %..on ne jamais tout coller au gouvernement du Québec / Canada..on t'offre des études, recyclage formation à distance, mode de vie moderne qui dira mieux, juste il faut savoir s'adapter et avoir une" motivation" tout se joue sur la motivation !mais d'autre point, faut 'adapter les profils recrutés par rapport au marché d'emploi du Québec.".Petite demande personnelle: Est-ce que tu pourrais écrire sans utiliser le gras, et de préférence avec une police "Arial" comme tout le monde? Tu as des interventions intéressantes mais j'ai de la misère à te lire ".Eh là tu demandes trop kweli je plaisante avec toi, c'est bon maintenant, on peux tourner le film " on ne vit pas deux fois" à la James Bond Modifié 8 juillet 2009 par hadi2727 Citer
Habitués Kweli Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 (modifié) L'intégration est la responsabilité de l'immigrant avant tout, et le maternage des immigrants ne peut que leur nuire. Le mot-clé en Amérique pour réussir sa vie est "autonomie". oui, je suis tout à fait d'accord avec toi, je l'avais déja is sur un autre FIL que la responsabilité de l'immigrant est de 80 % voir même 90 %..on ne jamais tout coller au gouvernement du Québec / Canada..on t'offre des études, recyclage formation à distance, mode de vie moderne qui dira mieux, juste il faut savoir s'adapter et avoir une" motivation" tout se joue sur la motivation !mais d'autre point, faut 'adapter les profils recrutés par rapport au marché d'emploi du Québec.".Petite demande personnelle: Est-ce que tu pourrais écrire sans utiliser le gras, et de préférence avec une police "Arial" comme tout le monde? Tu as des interventions intéressantes mais j'ai de la misère à te lire ".Eh là tu demandes trop kweli je plaisante avec toi, c'est bon maintenant, on peux tourner le film " on ne vit pas deux fois" à la James Bond Bon voilà, maintenant je te lis mieux.Merci Modifié 8 juillet 2009 par Kweli Citer
Habitués hadi2727 Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 L'intégration est la responsabilité de l'immigrant avant tout, et le maternage des immigrants ne peut que leur nuire. Le mot-clé en Amérique pour réussir sa vie est "autonomie".oui, je suis tout à fait d'accord avec toi, je l'avais déja is sur un autre FIL que la responsabilité de l'immigrant est de 80 % voir même 90 %..on ne jamais tout coller au gouvernement du Québec / Canada..on t'offre des études, recyclage formation à distance, mode de vie moderne qui dira mieux, juste il faut savoir s'adapter et avoir une" motivation" tout se joue sur la motivation !mais d'autre point, faut 'adapter les profils recrutés par rapport au marché d'emploi du Québec.".Petite demande personnelle: Est-ce que tu pourrais écrire sans utiliser le gras, et de préférence avec une police "Arial" comme tout le monde? Tu as des interventions intéressantes mais j'ai de la misère à te lire ".Eh là tu demandes trop kweli je plaisante avec toi, c'est bon maintenant, on peux tourner le film " on ne vit pas deux fois" à la James Bond Bon voilà, maintenant je te lis mieux.Merci oui mais maintenant, je vois mal avec cette police( j'ai un problème de vue ...) faut m'acheter des lunettes made in Gucci. et envoyer la facture au immigrer.com Citer
Habitués Baker & Hattaway Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 ??? rien compris.m'enfin pour faire simple.... mais il s'agit bien la d'exception pour ne pas discriminer des citoyen de longue date et non par pour arranger les nouveau arrivant.apres concernant tes test linguistiques, tu me fait rire avec ton "Rien d'insurmontable" il y a environ 250000 immigrant chaque année au canada soit preque 10% de la population, tu te vois faire passer un test de langue a 10% de ta population chaque année ?imagine juste la logistique pour ca, et les cout.oui c'est insurmontable !!!et pour en revenir a ton 1er point,ici aussi il y a des cours de langue en primaire, et ce des la 1er année de primaire soit a 6 ans.ps: ici tu pourra meme voir les matchs de baseball commentés en francais par roger brulotte sur RDS.et je te promet, ca vaut son pesant de cacahuetes.Pour ce que tu n'as pas compris :Article 84 : Aucun certificat de fin d'études secondaires ne peut être délivré à l'élève qui n'a du français, parlé et écrit, la connaissance exigée par les programmes du ministère de l'Éducation.Donc, un enfant qui fait sa scolarité en anglais ne pourra pas obtenir de certificat à moins de passer deux fois les tests. Si j'ai bien compris, hein ?!Et comme tu le soulignes, c'est pour arranger les citoyens de longue date, discriminant ainsi les nouveaux arrivants ! Et je ne parle pas que de mon cas mais d'autres parents venants de pays anglophones.Ca ressemble à de la préférence nationale, ce qui est pour le moins bizarre de la part d'une province qui est en demande d'immigrants.Concernant les tests, c'est également un projet en France et je t'assure qu'il y a plus de 250 000 personnes à tester.Après il faut savoir ce que l'on veut et quel est le but véritable de l'acceptation d'immigrants. Est-ce juste économique et démographique ou y a t-il une réelle volonté d'intégrer les nouveaux arrivants ??Pour les cours en primaire, je suis au courant. Mais quel en est le niveau et la fréquence ?Une rébellion? Cite-moi d'autres pays où les immigrants peuvent scolariser leurs enfants dans une langue autre que la langue officielle, et aux frais de l'État... C'est une règle universelle, et donc les écoles anglophones sont bien un privilège spécifique à ce pays, pour des raisons historiques.Est-ce que tu es vraiment sûr que tu rendras service à tes enfants en les scolarisant en anglais?Les immigrants français commencent à avoir droit à la gratuité dans les écoles françaises à l'étranger. Pour les terminales et les premières pour l'instant, je crois.Il doit bien y avoir des restrictions mais bon, ça commence à être mis en place ...Concernant l'école francophone, je suis à l'écoute des témoignages que je lis ou entend deci-delà. Pas de problème donc. Et ton témoignage est très intéressant.D'ailleurs, il y a de fortes chances que nos mômes aillent en école publique francophone. Et ce n'est pas que dans l'éventualité d'un retour en France, c'est aussi par volonté d'intégration.Mais comme tu le dis, si l'anglais qui y est enseigné est un peu léger, ça nous emmerde un peu parceque nous ne voudrions pas que nos gamins perdent leur acquis en anglais. C'est pourquoi nous envisageons une installation à Gâtineau, plus proche de l'Ontario ou bien si ça se fait à Montréal, nous chercherons à nous domicilier dans un quartier anglophone.Ce n'est que récemment qu'on nous a dit qu'on pourrait éventuellement les scolariser dans une école anglophone publique, en demandant une dérogation auprès de la commission scolaire.Et je précise pour ceux qui pensent que je voudrais le Québec en anglais, que ce n'est pas du tout notre optique. Nous serions fiers de parler et de promouvoir le français. C'est juste que dans la vie, le bilinguisme est utile et qu'il faut le cultiver si on ne veut pas le perdre.J'ai fait 11 ans d'allemand et Hattaway parlait très bien l'espagnol, et bien à force de ne pas pratiquer, j'ai quasiment tout perdu de mon allemand (surtout parlé et écrit) et ma douce a paumé une grosse partie de son espagnol. On n'a pas envie que ça se produise avec nos enfants. Citer
Habitués kobico Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 Ce serait bien que tu vérifies l'exactitude de tes affirmations avant de les écrire. Tu sèmes le doute dans l'esprit des futurs immigrants ( 10 % du quota après 2 ans ou même 5 ans... ). Ça non plus, ce n'est pas souhaitable pour bâtir un pays....Je ne sème pas de doute dans un ésprit de tout immigrant non pas mon but .... de toute évidence chacun est vacciné et adulte pour prendre sa décision qu'il reste au Québec où partir loin c'est aussi un choix. Sinon, peux tu nous apporter une étude officielle du gouvernement du Québec sur le % des immigrants" francophones" qui restent au Québec. ( ça aussi c'est une mission du gouvernement et je me demande si les partis politiques au Québec s'engagent pour cette question !)Cette question du pourcentage d'immigrants quittant le Québec après 2 ou 5 ans te taraude depuis longtemps. Pourquoi ne cherches-tu pas par toi-même les statistiques? Le mot clé est "transferts migratoires" entre les provinces canadiennes. Tu verras qu'on est très loin d'un taux de rétention de seulement 10%... Et puis, on au-delà des chiffres, il faut regarder les motivations initiales des candidats à l'immigration (Mowgli a bien expliqué que le Québec sert souvent de tremplin pour une immigration au Canada anglais). Je crois également que les raisons sont multiples et très variées et qu'il ne s'agit pas nécessairement (toujours) d'un problème structurel de la société québécoise.Sais-tu le pourcentage d'immigrants au Canada anglais qui retournent dans leur pays natal ou qui se dirigent vers les USA? Citer
Habitués Éric70 Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 Article 84 : Aucun certificat de fin d'études secondaires ne peut être délivré à l'élève qui n'a du français, parlé et écrit, la connaissance exigée par les programmes du ministère de l'Éducation.Donc, un enfant qui fait sa scolarité en anglais ne pourra pas obtenir de certificat à moins de passer deux fois les tests. Si j'ai bien compris, hein ?!Non tu n'as pas comprit, tu peux aussi avoir la connaissance de la langue française comme langue seconde exigée par les programmes du ministère. D'ailleurs les francophones aussi pour avoir un diplôme d'étude secondaire doivent réussir un cours d'anglais langue seconde.Cet article est écrit puisqu'avant la loi 101, beaucoup d'écoles anglaises n'enseignaient même pas le français au Québec.Alors je persiste tu peux envoyer tes enfants à l'école anglaise, mais entièrement à tes frais ! Citer
Habitués Éric70 Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 Ce serait bien que tu vérifies l'exactitude de tes affirmations avant de les écrire. Tu sèmes le doute dans l'esprit des futurs immigrants ( 10 % du quota après 2 ans ou même 5 ans... ). Ça non plus, ce n'est pas souhaitable pour bâtir un pays....Je ne sème pas de doute dans un ésprit de tout immigrant non pas mon but .... de toute évidence chacun est vacciné et adulte pour prendre sa décision qu'il reste au Québec où partir loin c'est aussi un choix. Sinon, peux tu nous apporter une étude officielle du gouvernement du Québec sur le % des immigrants" francophones" qui restent au Québec. ( ça aussi c'est une mission du gouvernement et je me demande si les partis politiques au Québec s'engagent pour cette question !)Cette question du pourcentage d'immigrants quittant le Québec après 2 ou 5 ans te taraude depuis longtemps. Pourquoi ne cherches-tu pas par toi-même les statistiques? Le mot clé est "transferts migratoires" entre les provinces canadiennes. Tu verras qu'on est très loin d'un taux de rétention de seulement 10%... Et puis, on au-delà des chiffres, il faut regarder les motivations initiales des candidats à l'immigration (Mowgli a bien expliqué que le Québec sert souvent de tremplin pour une immigration au Canada anglais). Je crois également que les raisons sont multiples et très variées et qu'il ne s'agit pas nécessairement (toujours) d'un problème structurel de la société québécoise.Sais-tu le pourcentage d'immigrants au Canada anglais qui retournent dans leur pays natal ou qui se dirigent vers les USA?Des commentaires de personnes qui nous disent que presque tous les immigrants du Québec quittent le Québec est de la propagande des sites anti-Québec.Ça fait plusieurs fois que je donne les statistiques à ce sujet. 80% des immigrants restent au Québec. Les immigrants francophones et ceux connaissant le français demeurent beaucoup plus au Québec. Le MICC fait une étude annuellement.http://www.micc.gouv.qc.ca/fr/recherches-s...immigrants.html Citer
Habitués Kweli Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 C'est pourquoi nous envisageons une installation à Gâtineau, plus proche de l'Ontario ou bien si ça se fait à Montréal, nous chercherons à nous domicilier dans un quartier anglophone.Ce n'est que récemment qu'on nous a dit qu'on pourrait éventuellement les scolariser dans une école anglophone publique, en demandant une dérogation auprès de la commission scolaire.Juste pour info: t'a-t-on dit que les enfants habitant à Gatineau pourraient fréquenter gratuitement une école en Ontario? Ça m'intéresse.Pour ce qui est de la dérogation, tu peux toujours tenter mais il y a de peu de chances que tu l'obtiennes. À moins que tu renonces à la RP car les résidents temporaires sont admissibles. Voir ici: http://www.mels.gouv.qc.ca/daasa/rens/banq...hes/F95.htm#03a Citer
Habitués kobico Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 Pour ce que tu n'as pas compris :Article 84 : Aucun certificat de fin d'études secondaires ne peut être délivré à l'élève qui n'a du français, parlé et écrit, la connaissance exigée par les programmes du ministère de l'Éducation.Donc, un enfant qui fait sa scolarité en anglais ne pourra pas obtenir de certificat à moins de passer deux fois les tests. Si j'ai bien compris, hein ?!Et comme tu le soulignes, c'est pour arranger les citoyens de longue date, discriminant ainsi les nouveaux arrivants ! Et je ne parle pas que de mon cas mais d'autres parents venants de pays anglophones.Ca ressemble à de la préférence nationale, ce qui est pour le moins bizarre de la part d'une province qui est en demande d'immigrants.Concernant les tests, c'est également un projet en France et je t'assure qu'il y a plus de 250 000 personnes à tester.Après il faut savoir ce que l'on veut et quel est le but véritable de l'acceptation d'immigrants. Est-ce juste économique et démographique ou y a t-il une réelle volonté d'intégrer les nouveaux arrivants ??Pour les cours en primaire, je suis au courant. Mais quel en est le niveau et la fréquence ?Les immigrants français commencent à avoir droit à la gratuité dans les écoles françaises à l'étranger. Pour les terminales et les premières pour l'instant, je crois.Il doit bien y avoir des restrictions mais bon, ça commence à être mis en place ...Concernant l'école francophone, je suis à l'écoute des témoignages que je lis ou entend deci-delà. Pas de problème donc. Et ton témoignage est très intéressant.D'ailleurs, il y a de fortes chances que nos mômes aillent en école publique francophone. Et ce n'est pas que dans l'éventualité d'un retour en France, c'est aussi par volonté d'intégration.Mais comme tu le dis, si l'anglais qui y est enseigné est un peu léger, ça nous emmerde un peu parceque nous ne voudrions pas que nos gamins perdent leur acquis en anglais. C'est pourquoi nous envisageons une installation à Gâtineau, plus proche de l'Ontario ou bien si ça se fait à Montréal, nous chercherons à nous domicilier dans un quartier anglophone.Ce n'est que récemment qu'on nous a dit qu'on pourrait éventuellement les scolariser dans une école anglophone publique, en demandant une dérogation auprès de la commission scolaire.Et je précise pour ceux qui pensent que je voudrais le Québec en anglais, que ce n'est pas du tout notre optique. Nous serions fiers de parler et de promouvoir le français. C'est juste que dans la vie, le bilinguisme est utile et qu'il faut le cultiver si on ne veut pas le perdre.J'ai fait 11 ans d'allemand et Hattaway parlait très bien l'espagnol, et bien à force de ne pas pratiquer, j'ai quasiment tout perdu de mon allemand (surtout parlé et écrit) et ma douce a paumé une grosse partie de son espagnol. On n'a pas envie que ça se produise avec nos enfants.Bonjour Baker,Tu le dis très bien: une langue qui n'est pas pratiquée devient une langue oubliée, morte. Imagine-toi que c'est cela qui nous arrivait au Québec avant l'avènement des différentes lois linguistiques dont la loi 101 est la plus importante. Imagine toi tout un peuple qui ne sait plus s'exprimer correctement dans sa langue, qui doit en taire son usage public ("speak white"), qui est dominé par une petite élite anglophone qui contrôle entièrement l'économie. Peux-tu imaginer que même à l'Assemblée nationale (le parlement du Québec), toutes les lois étaient rédigées en anglais pour ensuite être maladroitement traduites en français? Peux-tu imaginer que tous les ministres des finances de la province (poste clé, s'il en est un...) ainsi que tous les haut-fonctionnaires étaient nécessairement anglophones ( les Canadiens-français n'ont pas la "bosse des affaires"... ) et que cela a été la règle absolue jusque dans les années soixante? Peux-tu imaginer que je me souvienne, étant jeune, du visage strictement anglophone de la ville de Montréal? Que toute la documentation en provenance du gouvernement fédéral était strictement rédigée en anglais ou parfois traduite dans un français plus qu'approximatif?Tu affirmes que tes droits individuels sont discriminés par certaines dispositions de la loi 101 alors que les droits collectifs de tout un peuple ont été bafoués durant quelques siècles et le seraient encore n'eût été des lois linguistiques mise de l'avant pour protéger et promouvoir le fait français au Québec. Mettre sur le même pied d'égalité le français et l'anglais mènent directement à l'assimilation pure et simple des francophones comme cela est actuellement le cas au Canada anglais et comme cela était auparavant au Québec alors que 90% des immigrants choisissaient l'anglais.Un petit rappel historique de la situation socio-linguistique et économique à l'origine des premières lois linguistiques au Québec:1.4 L'évolution démographique des francophones L'avenir démographique des francophones est une autre question qui souleva bien des inquiétudes au cours de la décennie 1960. Grâce à leur surfécondité (8,3 enfants par femme aux XVIIIeet XIXe siècles), les francophones avaient réussi à compenser le jeu des mouvements migratoires favorables aux anglophones; ils avaient ainsi toujours maintenu leur équilibre démographique, qui oscillait autour de 80 % au Québec. Or, le recensement de 1961 révéla que cet équilibre traditionnel se trouvait rompu avec la fin de la surnatalité des francophones. De plus, l'immigration canadienne favorisait une augmentation des anglophones dans une proportion de 23 % contre 1 % seulement en faveur des francophones. Étant donné que l'immigration continuait de grossir le groupe anglophone au Québec, la question linguistique se présentait désormais sous un nouvel angle. En effet, quelque quinze ans plus tard, les démographes Charbonneau, Henripin et Légaré déclaraient qu'il était possible qu'en l'an 2000 le pourcentage de francophones puisse tomber à 71 % pour l'ensemble du Québec et à 53 % pour la région métropolitaine de Montréal. Montréal pourrait perdre ainsi sa majorité francophone! En 1967, le Rapport du Comité interministériel sur l'enseignement des langues aux Néo-Canadiens révélait que «la communauté franco-québécoise n'avait pratiquement aucun pouvoir assimilateur» auprès des immigrants venant s'installer sur son territoire. Entre 1946 et 1966, le Québec avait accueilli environ 500 000 immigrants; de ce nombre, 50 000 étaient francophones. Or, les immigrants optaient dans une proportion de 90 % pour la langue dominante, l'anglais. Dans le rapport interministériel, on constatait également que les Néo-Québécois et les francophones constituaient environ 80 % des effectifs scolaires du secteur anglo-catholique de la CECM (à lépoque: la Commission des écoles catholiques de Montréal) et ceux du PSBGM (à lépoque: le Protestant School Board of the Greater Montreal). Les immigrants contribuaient ainsi à l'anglicisation du Québec et amorçaient même un processus de minorisation de la majorité francophone, d'après ce même rapport: À moins d'attendre un hypothétique miracle, on doit bien convenir qu'une immigration nombreuse jouant à 90 % ou à 95 % en faveur de la minorité anglophone ne peut aboutir qu'à réduire constamment l'importance de la langue française au Québec et à amorcer un processus de «minorisation» de la communauté francophone au Québec. Toute cette question relative au problème scolaire allait être à l'origine de la première loi linguistique votée à l'Assemblée nationale, en 1969. En attendant, la question alimentait les controverses et les revendications des francophones. 1.5 La domination socio-économique de l'anglais La Commission royale d'enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme (Commission Laurendeau-Dunton), instituée par le gouvernement fédéral, publia un Rapport préliminaire en 1965, après avoir reçu au-delà de 400 mémoires; les autres tranches du rapport s'échelonnèrent jusqu'en 1970. Certaines révélations eurent l'effet d'une véritable douche froide sur les francophones. Tout le monde savait que l'anglais était la véritable langue du travail au Québec, de même que celle de la promotion sociale, du commerce, des affaires et de l'affichage: la Commission ne révéla rien de neuf à ce sujet. Mais on ignorait que: - 83 % des administrateurs et cadres du Québec étaient anglophones; - les francophones du Québec avaient un revenu moyen inférieur de 35 % à celui des anglophones; - les francophones arrivaient au 12e rang dans l'échelle des revenus selon l'origine ethnique, avant les Italiens et les Amérindiens; - à instruction égale, les francophones gagnaient moins que tous les autres groupes linguistiques; - les anglophones unilingues gagnaient plus que les bilingues anglophones ou francophones; - même assimilé, un francophone ne réussissait pas mieux; - depuis 30 ans, la situation n'avait fait qu'empirer. Ces faits étalés et révélés par une enquête fédérale furent considérés comme une véritable provocation chez les francophones, qui constataient que le Québec représentait, au point de vue du revenu, un «paradis» pour les anglophones. Même le bilinguisme tant exalté ne paraissait pas avoir une forte influence sur les revenus. La connaissance du français ne présentait aucun avantage économique pour les anglophones; la connaissance de l'anglais, pour un francophone, entraînait un très faible avantage financier, et celui-ci était dû au fait que les bilingues étaient plus instruits et exerçaient des professions mieux rémunérées. Les termes bilinguisme et unilinguisme firent fureur au cours de la décennie 1960-1970. On considérait le bilinguisme pratiqué au Québec comme un suicide collectif parce qu'il était assumé par les seuls francophones et qu'il entraînait la contamination linguistique. La population revendiquait un «visage français» pour le Québec et certains n'hésitaient pas à parler d'unilinguisme, à exiger que le français devienne la langue du travail, de l'affichage, de la signalisation routière, des raisons sociales. De plus en plus, l'idée d'adopter des mesures législatives à cet égard se répandait dans la population. Mais les politiciens de la Révolution tranquille n'osèrent pas intervenir, jugeant que la question était beaucoup trop explosive.http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/francophonie...dernisation.htm Citer
Habitués grizzli Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 ??? rien compris.m'enfin pour faire simple.... mais il s'agit bien la d'exception pour ne pas discriminer des citoyen de longue date et non par pour arranger les nouveau arrivant.apres concernant tes test linguistiques, tu me fait rire avec ton "Rien d'insurmontable" il y a environ 250000 immigrant chaque année au canada soit preque 10% de la population, tu te vois faire passer un test de langue a 10% de ta population chaque année ?imagine juste la logistique pour ca, et les cout.oui c'est insurmontable !!!et pour en revenir a ton 1er point,ici aussi il y a des cours de langue en primaire, et ce des la 1er année de primaire soit a 6 ans.ps: ici tu pourra meme voir les matchs de baseball commentés en francais par roger brulotte sur RDS.et je te promet, ca vaut son pesant de cacahuetes.Pour ce que tu n'as pas compris :Article 84 : Aucun certificat de fin d'études secondaires ne peut être délivré à l'élève qui n'a du français, parlé et écrit, la connaissance exigée par les programmes du ministère de l'Éducation.Donc, un enfant qui fait sa scolarité en anglais ne pourra pas obtenir de certificat à moins de passer deux fois les tests. Si j'ai bien compris, hein ?!Et comme tu le soulignes, c'est pour arranger les citoyens de longue date, discriminant ainsi les nouveaux arrivants ! Et je ne parle pas que de mon cas mais d'autres parents venants de pays anglophones.Ca ressemble à de la préférence nationale, ce qui est pour le moins bizarre de la part d'une province qui est en demande d'immigrants.Concernant les tests, c'est également un projet en France et je t'assure qu'il y a plus de 250 000 personnes à tester.Après il faut savoir ce que l'on veut et quel est le but véritable de l'acceptation d'immigrants. Est-ce juste économique et démographique ou y a t-il une réelle volonté d'intégrer les nouveaux arrivants ??Pour les cours en primaire, je suis au courant. Mais quel en est le niveau et la fréquence ?Une rébellion? Cite-moi d'autres pays où les immigrants peuvent scolariser leurs enfants dans une langue autre que la langue officielle, et aux frais de l'État... C'est une règle universelle, et donc les écoles anglophones sont bien un privilège spécifique à ce pays, pour des raisons historiques.Est-ce que tu es vraiment sûr que tu rendras service à tes enfants en les scolarisant en anglais?Les immigrants français commencent à avoir droit à la gratuité dans les écoles françaises à l'étranger. Pour les terminales et les premières pour l'instant, je crois.Il doit bien y avoir des restrictions mais bon, ça commence à être mis en place ...Concernant l'école francophone, je suis à l'écoute des témoignages que je lis ou entend deci-delà. Pas de problème donc. Et ton témoignage est très intéressant.D'ailleurs, il y a de fortes chances que nos mômes aillent en école publique francophone. Et ce n'est pas que dans l'éventualité d'un retour en France, c'est aussi par volonté d'intégration.Mais comme tu le dis, si l'anglais qui y est enseigné est un peu léger, ça nous emmerde un peu parceque nous ne voudrions pas que nos gamins perdent leur acquis en anglais. C'est pourquoi nous envisageons une installation à Gâtineau, plus proche de l'Ontario ou bien si ça se fait à Montréal, nous chercherons à nous domicilier dans un quartier anglophone.Ce n'est que récemment qu'on nous a dit qu'on pourrait éventuellement les scolariser dans une école anglophone publique, en demandant une dérogation auprès de la commission scolaire.Et je précise pour ceux qui pensent que je voudrais le Québec en anglais, que ce n'est pas du tout notre optique. Nous serions fiers de parler et de promouvoir le français. C'est juste que dans la vie, le bilinguisme est utile et qu'il faut le cultiver si on ne veut pas le perdre.J'ai fait 11 ans d'allemand et Hattaway parlait très bien l'espagnol, et bien à force de ne pas pratiquer, j'ai quasiment tout perdu de mon allemand (surtout parlé et écrit) et ma douce a paumé une grosse partie de son espagnol. On n'a pas envie que ça se produise avec nos enfants.sur plusieurs points on t'a repondu a ma place, et c'est tres bien,moi je repondrais a un point.il est vrai que les francais on le droit a la gratuité pour la 1er et terminale dans les etablisements francais hors-france.mais on en revient toujours au meme point:il s'agit d'etablissement privé pas de d'etablissement public.au privé pas de probleme fait comme tu veux. mais la on parle de public, et le public c'est dans la langue du pays.apres concernant le niveau de l'anglais a l'ecole,perso je le trouve pas mal,mieux qu'en france en tout cas... m'enfin tu me dira c'est pas difficile mais par ex mon gars qui vient de finir son secondaire 1, y cause par pire en englishy se rend meme plus compte si le cartoon qu'il regarde a la tv est en francais ou anglais.pas pire pour un djeun qui a fait que 3 ans d'english. Citer
Habitués Baker & Hattaway Posté(e) 8 juillet 2009 Habitués Posté(e) 8 juillet 2009 Non tu n'as pas comprit, tu peux aussi avoir la connaissance de la langue française comme langue seconde exigée par les programmes du ministère. D'ailleurs les francophones aussi pour avoir un diplôme d'étude secondaire doivent réussir un cours d'anglais langue seconde.Cet article est écrit puisqu'avant la loi 101, beaucoup d'écoles anglaises n'enseignaient même pas le français au Québec.Alors je persiste tu peux envoyer tes enfants à l'école anglaise, mais entièrement à tes frais !Merci de m'éclairer, je n'avais effectivement pas saisi toute la nuance ! Concernant l'école anglophone, nous l'envisagerons peut-être plus tard si nous réussissons notre installations et que nous nous serons bien "intégrés", sûr de rester un bon moment.Juste pour info: t'a-t-on dit que les enfants habitant à Gatineau pourraient fréquenter gratuitement une école en Ontario? Ça m'intéresse.Non, personne ne me l'a dit et d'ailleurs je doute que ce soit possible.Néanmoins il est toujours possible d'habiter Ottawa ou sa région ontarienne et de travailler à Gâtineau. Enfin j'espère qu'il n'y a pas de loi québécoise qui empêche d'habiter en Ontario et de bosser au Québec ...Nous ne renoncerons pas à la RP et quant à la dérogation, cela doit être exceptionnelle et surtout fastidieux de l'obtenir.Mais bon, comme cette idée n'était justement qu'une probabilité pour laquelle nous nous sommes renseignés, ce n'est pas bien grave et d'ailleurs l'inscription dans une école publique francophone sera privilégié au départ (ce que femme veut, elle le veut ...).Pour finir, merci aussi à Kobico pour ce cours d'histoire. Je connaissais un peu les difficultés rencontrés par le français auparavant, mais là c'est détaillé et très instructif.Comme je le clame, je suis POUR l'emploi du français au Québec et participerais à sa défense si nous concrétisons notre projet.Et sans dire que mes droits sont bafoués (trop fort comme expression), ce n'est pas parcequ'il y a eût brimades de la part des anglos par rapport au Québec qu'il faut qu'il y ai un "juste retour des choses" qui prend des airs de revanche parfois.Sinon, je le répète encore, je suis POUR une loi qui protège la langue officielle du Québec, même si certains textes sont un peu trop extrémistes à mon goût.Et je persiste à dire aussi qu'il n'y a pas que cette loi 101 qui me semble parfois "trop", d'autres lois ou décrets passent à mes yeux comme du protectionnisme exagéré ou bien comme je l'ai dit plus haut à de la revanche.Je ne suis pas sûr que ça invite les nouveaux arrivants francophones, une fois installés, à se ranger au côté des indépendantistes et à leur donner leur voix une fois la citoyenneté obtenue.Enfin, il y a tant de choses à connaître et à apprendre et nous n'en sommes qu'au début ! Ca viendra avec le temps et puis personne ne nous met le flingue sur la tempe pour remplir les papiers ... on le fait en connaissance de cause et en acceptant. Ca n'empêche qu'on peut emettre des critiques. Ce n'est pas parcequ'elles sont parfois négatives que nous devons être considérés comme des putschistes potentiels. Citer
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