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Vif plaidoyer de Luc Plamondon pour la langue française


jimmy

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Mise à jour: 07/05/2009 14:47

Québec

Vif plaidoyer de Luc Plamondon pour la langue française

(PC)

La langue française est en péril au Québec, tandis que les politiciens restent les bras croisés, selon le parolier Luc Plamondon.

L'auteur de Starmania a livré un vibrant plaidoyer pour la défense du français, aujourd'hui, alors qu'il recevait la Médaille d'honneur de l'Assemblée nationale, ce qui ne l'a pas empêché d'égratigner au passage les politiciens.

La ministre responsable de la loi 101, Christine St-Pierre, était au nombre des élus qui étaient présents, lors de cette cérémonie qui visait à souligner le 30e anniversaire de création de l'opéra rock Starmania, écrit par M. Plamondon et mis en musique par le musicien français Michel Berger, décédé depuis.

Durant son discours d'acceptation et par la suite en point de presse, l'auteur du Blues du businessman s'est dit très inquiet de l'avenir de la langue française, particulièrement à Montréal, où la langue de Molière cède la pas à celle de Shakespeare, un peu plus chaque jour, selon lui.

Les élus devraient faire davantage, a-t-il fait valoir, pour promouvoir l'usage du français auprès des immigrants, de même que le recours à un niveau de langue plus élevé chez les jeunes.

http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/ar...507-144756.html

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  • Habitués

Salut Jimmy

Merci pour cet article sur ce grand défenseur de la langue française et de la culture francophone.

C'est impressionnant de voir que 30 ans après Starmania n'est toujours pas démodé.

Concernant la lutte des langues, c'est un phénomène qui est de plus en plus sensible en France aussi avec des publicité par exemple qui ne sont même plus traduite mais sous-titrées ou avec des titres de film en anglais.

Lache pas la patate Jimmy

A+

Laurent

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  • Habitués
Mise à jour: 07/05/2009 14:47

Québec

Vif plaidoyer de Luc Plamondon pour la langue française

(PC)

La langue française est en péril au Québec, tandis que les politiciens restent les bras croisés, selon le parolier Luc Plamondon.

L'auteur de Starmania a livré un vibrant plaidoyer pour la défense du français, aujourd'hui, alors qu'il recevait la Médaille d'honneur de l'Assemblée nationale, ce qui ne l'a pas empêché d'égratigner au passage les politiciens.

(...)

très inquiet de l'avenir de la langue française, particulièrement à Montréal, où la langue de Molière cède la pas à celle de Shakespeare, un peu plus chaque jour, selon lui.

Les élus devraient faire davantage, a-t-il fait valoir, pour promouvoir l'usage du français auprès des immigrants, de même que le recours à un niveau de langue plus élevé chez les jeunes.

:good::yahoo: Bravo ! Pas assez de gens comme ça pour "l'ouvrir grande" ! et rappeler la 101! :rtfm:

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  • Habitués
Concernant la lutte des langues, c'est un phénomène qui est de plus en plus sensible en France aussi avec des publicité par exemple qui ne sont même plus traduite mais sous-titrées ou avec des titres de film en anglais.

N'exagérons pas ! la situation n'a rien de comparable... :)

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Exact, ça n'a rien de comparable, mais c'est un début tout de même. Il faut faire attention, sinon la langue se perd très vite. :wacko:

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  • Habitués

Salut

Je n'ai pas dit que la situation est comparable car n'etant pas allé au Québec depuis un certain temps, je ne peux pas faire de comparaison.

Je parle juste de ce que je vis en France ou la dernière pub pour Schweppes est en anglais sous-titré par exemple et de l'anglicisation rampante de la société francaise, il n'y a qu'a ecouté une radio de Djeunes comme NRJ pour s'en rendre compte

A+

Laurent

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Concernant la lutte des langues, c'est un phénomène qui est de plus en plus sensible en France aussi avec des publicité par exemple qui ne sont même plus traduite mais sous-titrées ou avec des titres de film en anglais.

N'exagérons pas ! la situation n'a rien de comparable... :)

non c'est de pire en pire,

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Salut

Je n'ai pas dit que la situation est comparable car n'etant pas allé au Québec depuis un certain temps, je ne peux pas faire de comparaison.

Je parle juste de ce que je vis en France ou la dernière pub pour Schweppes est en anglais sous-titré par exemple et de l'anglicisation rampante de la société francaise, il n'y a qu'a ecouté une radio de Djeunes comme NRJ pour s'en rendre compte

A+

Laurent

Vous vous rappelez pas la Loi Toubon (mister Allgood) ? Z'êtes jeunes, hein... En France, la défense du français, c'est conservateur, rétrograde, vieux... Les djeunes placent des anglicismes (souvent mal assimilés) à la place des mots français qu'ils connaissent justement parce que les vieux comprennent pas. C'est le verlan des snobs, quoi.

Ici, ça n'a rien à voir : ce sont les gens les moins éduqués qui emploient le plus d'anglicismes, et les Québécois qui parlent un bon français passent pour snobs auprès du petit peuple (comme dirait Denise Bombardier). C'est le poids de l'Histoire, et c'est justement pour ça qu'une évolution est possible et doit être encouragée par ceux qui influencent le plus les masses populaires : les artistes.

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  • Habitués

Ce qui est encore bien gênant dans le message de Plamondon, c'est, qu'encore une fois, il s'attend à ce que cela soit l'état et le gouvernement qui, d'un coup de baguette magique, règle le problème.

Ce qui est paradoxal, car ses mêmes personnes ne font absolument pas confiance aux politiciens et sont les premiers à les dénoncer ! Quand on voit que même le Parti Québécois, lorsqu'il était au pouvoir, s'en est prit à l'enseignement classique et à la loi 101, je ne vois absolument pas qu'est-ce que l'on pourrait attendre de l'état.

Le GROS problème ne vient pas de là. Le PRINCIPAL problème, ce sont tous ces individus, y compris (et je dirait même principalement) les Québécois de souche, qui n'ont aucun problème à se laisser servir en anglais à Montréal. Qui ne chialeront jamais lorsqu'ils se trouvent en face d'un unilingue dans leur province.

À mon travail, par exemple, je suis atterré de voir que des Québécois francophones s'adressent, en partant, en anglais lorsqu'ils sont en face d'un anglophone pourtant bilingue. Et je vous le dit, c'est SYSTÉMATIQUE ! Je suis un des rares à partir du principe que je m'adresse en français à tous ceux qui travaillent au Québec... un des rares !

Certes, lorsque je parle avec mes collègues de Toronto, évidemment je parlerais en anglais, cela va de soit...

Alors ça me fait bien rire de voir les Jimmy et autres Plamondon rejeter le problème sur les autorités alors que leurs semblables agissent comme des carpettes anglaises !

Le changement de mentalité doit venir de la population, le pouvoir n'est là que pour donner les moyens. Mais ça, même après des décennies, on dirait que certains ne le comprennent toujours pas !

C'est pourtant clair : à quelqu'un qui vit au Québec (je ne parle pas d'un touriste Ontarien par exemple), on s'adresse en FRANÇAIS. C'est simple, clair et net... pas besoin d'autorité et de gouvernement pour ça ! Pas possible de se faire servir en français ? On va ailleurs !

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Je n'ai pas dit que la situation est comparable car n'etant pas allé au Québec depuis un certain temps, je ne peux pas faire de comparaison.

Je parle juste de ce que je vis en France ou la dernière pub pour Schweppes est en anglais sous-titré par exemple et de l'anglicisation rampante de la société francaise, il n'y a qu'a ecouté une radio de Djeunes comme NRJ pour s'en rendre compte

Je ne crois pas qu'il faille s'inquiéter de nos jeunes. Au québec comme ailleur, ils sont très américanisés mais je crois que cela tant à s'atténuer avec l'age. On fini par rechercher la différence, et cela passe souvent par nos racines. Ado, je considérais la musique francophone comme complètement "Kétaine". Puis, j'ai finalement acheté mon premier disque de LiliFatale : Panavision (album francophone) à l'age de 23 ans. Les albums francophones font maintenant environ 5% de ma collection, ce qui est quand même une nette amélioration! Aussi, avec le temps, le langage change! Parlé "fran-glais" à 15 ans, c'est In. à 25, c'est plutot Out et cela dénote comme dit plus haut, un manque d'éducation.

Biztalk.

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Je n'ai pas dit que la situation est comparable car n'etant pas allé au Québec depuis un certain temps, je ne peux pas faire de comparaison.

Je parle juste de ce que je vis en France ou la dernière pub pour Schweppes est en anglais sous-titré par exemple et de l'anglicisation rampante de la société francaise, il n'y a qu'a ecouté une radio de Djeunes comme NRJ pour s'en rendre compte

Je ne crois pas qu'il faille s'inquiéter de nos jeunes. Au québec comme ailleur, ils sont très américanisés mais je crois que cela tant à s'atténuer avec l'age. On fini par rechercher la différence, et cela passe souvent par nos racines. Ado, je considérais la musique francophone comme complètement "Kétaine". Puis, j'ai finalement acheté mon premier disque de LiliFatale : Panavision (album francophone) à l'age de 23 ans. Les albums francophones font maintenant environ 5% de ma collection, ce qui est quand même une nette amélioration! Aussi, avec le temps, le langage change! Parlé "fran-glais" à 15 ans, c'est In. à 25, c'est plutot Out et cela dénote comme dit plus haut, un manque d'éducation.

Biztalk.

C'est vrai... et d'ailleurs, je ne pense pas que le problème soit véritablement l'ajout de certains termes anglais dans notre vocabulaire, tant que cela reste raisonnable.

Le problème, comme je l'expliquais un peu avant, c'est vraiment d'encourager les unilingues anglais au Québec en acceptant le fait qu'ils ne puissent pas s'exprimer en français. Il est là le drame.

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  • Habitués
(...)

Je suis un des rares à partir du principe que je m'adresse en français à tous ceux qui travaillent au Québec... un des rares !

(...)

Le changement de mentalité doit venir de la population, le pouvoir n'est là que pour donner les moyens. Mais ça, même après des décennies, on dirait que certains ne le comprennent toujours pas !

C'est pourtant clair : à quelqu'un qui vit au Québec (je ne parle pas d'un touriste Ontarien par exemple), on s'adresse en FRANÇAIS. C'est simple, clair et net... pas besoin d'autorité et de gouvernement pour ça ! Pas possible de se faire servir en français ? On va ailleurs !

Je suis tellement d'accord avec tout ce que tu dis !! Et non, tu n'est pas le seul à te "battre" sur le terrain ! Je fais de même et j'ai parfois le sentiment que je pourrais devenir (avec délectation) quelque peu terroriste ! :) ...

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Le GROS problème ne vient pas de là. Le PRINCIPAL problème, ce sont tous ces individus, y compris (et je dirait même principalement) les Québécois de souche, qui n'ont aucun problème à se laisser servir en anglais à Montréal. Qui ne chialeront jamais lorsqu'ils se trouvent en face d'un unilingue dans leur province.

À mon travail, par exemple, je suis atterré de voir que des Québécois francophones s'adressent, en partant, en anglais lorsqu'ils sont en face d'un anglophone pourtant bilingue. Et je vous le dit, c'est SYSTÉMATIQUE ! Je suis un des rares à partir du principe que je m'adresse en français à tous ceux qui travaillent au Québec... un des rares !

Certes, lorsque je parle avec mes collègues de Toronto, évidemment je parlerais en anglais, cela va de soit...

Alors ça me fait bien rire de voir les Jimmy et autres Plamondon rejeter le problème sur les autorités alors que leurs semblables agissent comme des carpettes anglaises !

Le changement de mentalité doit venir de la population, le pouvoir n'est là que pour donner les moyens. Mais ça, même après des décennies, on dirait que certains ne le comprennent toujours pas !

C'est pourtant clair : à quelqu'un qui vit au Québec (je ne parle pas d'un touriste Ontarien par exemple), on s'adresse en FRANÇAIS. C'est simple, clair et net... pas besoin d'autorité et de gouvernement pour ça ! Pas possible de se faire servir en français ? On va ailleurs !

il est là le problème, des luc plamondons et des Jimmy il y en a très peu dans la population québécoise. Mon droit de m'établir ici est due en partie au fait que je sois francophone mais ce qui me désole c'est que la grande majorité des francophones pures laines qui m'abordent le font systématiquement en anglais. On présume que je parle anglais mais non j'ai pas la tête d'un anglophone.

En allant chercher des francophones pour le Québec le gouvernement fait sa part du travail il me semble mais la population fait tout pour nous tourner vers l'anglais. C'est à la population locale de maintenir le français en l'utilisant langue par défaut en s'adressant aux personnes dont on est pas sûr de l'origine linguistique, il faut donner l'impression aux autres que ça se passe en français ici pas pousser les francophones à apprendre l'anglais comme c'est le cas en ce moment.

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  • Habitués

Oui Diallo ! Tu as tout à fait raison !

Évidemment, il y a le discours très simplistes de certains, qui mettent l'anglicisation de la société québécoise sur le dos des immigrants. Facile comme raisonnement, mais quand les Québécois pure-laine ne sont même pas là pour donner l'exemple, QUI le fera ???

À mon ancien travail, je me suis battu durant des années pour l'utilisation de "planifié" à la place de "cédulé"... et à force, cela a finit par passer. Pour ça, je ne blâme pas les Québécois qui ont vécu durant des décennies avec des patrons unilingues anglophones, je peux vivre avec.

Mais quand je vois que les pures-laines sont les PREMIERS à s'adresser aux autres en anglais, j'avoue que le discours de Plamondon me fait vraiment rire ! Balaie devant TA cour pour commencer !

En cela, ça passe par :

- Retour de l'enseignement classique du français et de l'histoire (car, malheureusement, j'ai souvent observé que je connaissais mieux l'histoire du Québec que la plupart des Québécois...)

- Conscientisation de TOUS les Québécois, et en particulier des pures-laines, de s'exprimer en français aux personnes étant établies au Québec. (Il y a du travail !!!)

- Enseignement obligatoire du français aux immigrants.

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Juste un petit témoignage.

Dans une grande entreprise québécoise, un poste ou il faut être bilingue (car la compagnie compte 80% de clients fancophones, 20% d'anglophone), l'entrevue se déroule presque exclusivement en anglais. (génial pour évaluer le niveau d'anglais des francophones, mais pas évident d'évaluer comme ça le niveau de français des anglophones)

Dans la même compagnie, les dossiers des clients francophones doivent être écrits exclusivement en anglais. Les formations sont dispensées en français par des anglophones qui ne peuvent pas répondre aux questions qu'on leur pose en français (ils ne les comprennent pas).

Une jeune fille venant de l'ontario se fait embaucher car elle souhaite perfectionner son français. Dommage pour elle, tous les québécois francophones s'adresse à elle en anglais même quand elle insiste pour utiliser le français (le monde à l'envers).

Dans un groupe de travail, dés qu'il y a un anglophone, la langue de travail devient l'anglais même si l'anglophone est bilingue (et il l'est forcément, au moins en théorie, puisqu'il a été recruté pour ça)

Le CEO est anglophone mais communique en français approximatif. Petit problème, ses présentations powerpoint comptent jusqu'a 20 fautes par diapositive (j'ai compté)

Bref, ainsi va le français au beau pays de la loi 101

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  • Habitués
En cela, ça passe par :

- Retour de l'enseignement classique du français et de l'histoire (car, malheureusement, j'ai souvent observé que je connaissais mieux l'histoire du Québec que la plupart des Québécois...)

- Conscientisation de TOUS les Québécois, et en particulier des pures-laines, de s'exprimer en français aux personnes étant établies au Québec. (Il y a du travail !!!)

- Enseignement obligatoire du français aux immigrants.

Bon, je suis heureux de voir que l'État a quelque chose à faire dans ce dossier :P

Et j'ajouterai mon credo à moi : la généralisation de la loi 101 à toutes les entreprises. La clé, c'est le français au travail.

Modifié par Petit-Lion
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En cela, ça passe par :

- Retour de l'enseignement classique du français et de l'histoire (car, malheureusement, j'ai souvent observé que je connaissais mieux l'histoire du Québec que la plupart des Québécois...)

- Conscientisation de TOUS les Québécois, et en particulier des pures-laines, de s'exprimer en français aux personnes étant établies au Québec. (Il y a du travail !!!)

- Enseignement obligatoire du français aux immigrants.

Bon, je suis heureux de voir que l'État a quelque chose à faire dans ce dossier :P

Et j'ajouterai mon credo à moi : la généralisation de la loi 101 à toutes les entreprises. La clé, c'est le français au travail.

Sort ce que tu veux du contexte, tu as juste oublié l'essentiel de mon explication, comme d'habitude : SANS LA VOLONTÉ DES INDIVIDUS, RIEN NE CHANGERA !

D'ailleurs, en passant, le résultat de la totale inefficacité de l'état dans ce domaine est observable chaque jour... :P

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  • Habitués

Entièrement d'accord, non seulement les québécois pur laine ne se battent pas pour défendre le français dans la vie de tous les jours mais en plus on a droit à des remarques désagréables du style en France on utilise beaucoup de mots anglais comme "Week end", et quand on leur dit bin peut être mais "canceller" et "schéduler" c'est plutôt anglais, ils nous regardent avec des yeux ronds.

Il faut être d'origine française ici pour sortir d'un magasin parce qu'il y a personne pour servir en français.

Et j'ajouterai que j'aprécie beaucoup les anglophones de Montréal pour leurs efforts à parler en français !

Donc les donneurs de leçon sur le sujet feraient bien d'abord de balayer devant leur porte.

Et en plus comme le fait remarquer justement Diallo, les québécois pur souche on une facheuse tendance à ne pas utiliser le français lorsque l'interlocuteur n'a pas la peau franchement blanche où ne ressemble pas à un haitien !

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  • Habitués

Il y a un minuscule <_< détail que vous semblez oublier complètement les enfants.

Le Canada est un pays bilingue, bilingue ca veut dire que les DEUX langues ont droit de cité.

De plus le chef de l'état canadien est la reine d'angleterre.

Alors toi PP, toi Egl, toi Nini ou moi petit jimmy, membre d'une communauté minoritaire au Canada, nous allons allons dire a un anglophone canadien, sujet de sa majesté de absolument parler francais dans l'entreprise ?

J'ai des tites nouvelles pour vous autres, il a parfaitement le droit de parler la langue qu'il veut, y compris et surtout l'anglais, qui est entre autre, la langue du chef de l'état, tsé.

Tant que le Québec fera partie de ce pays, la situation linguistique sera non réglé.

Donc ?

jimmy

Modifié par jimmy
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  • Habitués

:lol::lol: Sauf que ce que tu n'as pas compris, (et pour cause ça ne peut jamais t'arriver) c'est que les anglophones sont heureux d'exercer leur français avec un français ou un francophone immigré ! Alors qu'ils n'ont aucune chance de parler français avec un québécois francophone pur laine qui parle anglais systhématiquement !

Et qu'en plus certains québécois pur laine font toujours une remarque désagréable parce qu'on ne parle pas exactement le même français !

Une petite nouvelle aussi pour toi, comme la majeure partie des français, pour moi défendre ma langue maternelle, c'est parfaitement naturel ce qui n'est pas le cas des québécois francophone pur laine. Donc quand Plamandon sonne l'alerte, c'est pas le gouvernement ni les immigrés qu'il faut aller voir, mais bien les québécois de base !

Dernier point, j'aime bien le côté bilingue du Canada, je trouve cela plutôt sympa, de toute manière je ne risque pas de perdre mon français :lol:

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