Habitués Osquare Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 J'aime certaines lectureshttp://www.ledevoir.com/2008/09/17/206012.htmlCe que toute personne sensée pouvait prédire est en train de se passer, peu à peu (c'est encore plus plaisant comme ça) : le système économique américain s'effondre.Reste à voir combien de temps ça prendra aux canadiens de suivre cette piste.La forte dépendance du Canada envers ses exportations vers les Etats-Unis pose déjà quelques problèmes.
Habitués Lollioules Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 J'aime certaines lectureshttp://www.ledevoir.com/2008/09/17/206012.htmlCe que toute personne sensée pouvait prédire est en train de se passer, peu à peu (c'est encore plus plaisant comme ça) : le système économique américain s'effondre.Reste à voir combien de temps ça prendra aux canadiens de suivre cette piste.La forte dépendance du Canada envers ses exportations vers les Etats-Unis pose déjà quelques problèmes.Une amie qui bosse à la bourse de Paris m'a dit que c'est tout le système des retraites Nord Américaines qui est pret a s'écraser , notamment avec avec la faillite sauvée miraculeusement de AIG .Hors tout le monde connait le poids des retraités Américains sur l'économie mondiale , si tel etait le cas , Les USA deviendrait encore plus faible qu'en 1929 , seule la guerre les a sorti du trou , ensuite le Canada quasi dépendant des USA sur 70 % de son économie n'aurait que les petrole d'Alberta pour survivre à mon avis .Tristes perspectives
Habitués avanti Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 les rats vont quitter le navire...
Habitués Petit-Prince Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 Comme une ritournelle, véritable marronnier de journalistes qui veulent vendre leur feuille de choux, cela fait trente ans, oui, trente ans, que "l'on" prédit l'effondrement des États-Unis. Le vux pieux des anciens marxistes reconvertis en gogauche caviar et branchée, le sale tempérament qui n'a toujours fait que jalouser la réussite des autres, mais qui, comme il y a trente ans, ne savent même pas prendre le recul nécessaire pour véritablement jauger la situation :- Déjà, les États-Unis ont un taux de chômage de 5.7%, alors qu'il était de 5.4% sous Clinton, dans une période faste pour l'économie. On est loin de la situation de 1987, ou encore de 1929. - La croissance des États-Unis pourrait dépasser les 2% cette année (3.3% au troisième trimestre), ce qui est la croissance la plus forte des pays du G7 !- De 2001 à 2008, l'économie à connue une expansion de près de 20% (14% en France)... alors qu'il y a eu le 11 septembre.Et là, vous allez évidemment me parler de la dette... Il est vrai que le déficit budgétaire sest creusé : de 1.2 % du PIB en 2007, il passera à 2.9 % en 2008. Mais nest-il pas toujours inférieur au taux autorisé par les traités européens ? Car si vous trouvez la dette US préoccupante, c'est que vous ignorez totalement le niveau d'endettement de certains pays européens !!! En 1987, on entendait les mêmes arguments ! En 1999-2000, au moment de l'explosion de la bulle internet, on nous les a resortis... Pis ? Les crises en Amérique du Nord sont très courtes, six mois à un an au maximum. Pourquoi ? Parce que le marché "local", le dynamisme de la structure économique et des entreprises US ont toujours permis au pays de se redresser. De plus, l'on saute trop vite aux conclusions et vous réagissez en spéculateurs : en clair, la bourse s'effondre, c'est la panique... Mais c'est une réaction irrationnelle, puisqu'il s'agit d'une crise FINANCIÈRE. Cela n'a rien de comparable avec la crise de l'industrie des années 1973 et 1979, liée au choc pétrolier. Ici, il s'agit juste de certaines banques qui éprouvent des difficultés... Et encore !!! Cette année, on parle de la faillite de 11 ou 12 banques US... alors que "juste" pour l'année 1988, il y en avait eu 208 !!! Il faut donc relativiser, surtout qu'on parle d'un total d'avoirs de 78 milliards de dollars pour ces banques, alors qu'en 1991 par exemple, durant la crise de l'épargne, il s'agissait de plus de 800 milliards de dollars !!! Cela n'a donc rien à voir avec une dépression. Surtout que dans une dépression, on parle d'un taux de chômage de 25% minimum... on en est trèèèèèèès loin !En tout cas, si les États-Unis "s'écrasent la gueule" comme tu dis, la France et l'Italie sont dans le gouffre, car leur situation est bien pire !
Habitués Petit-Prince Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 Pour information, histoire de relativiser un peu le "catastrophisme" de certains médias :
Invité Posté(e) 17 septembre 2008 Posté(e) 17 septembre 2008 Comme une ritournelle, véritable marronnier de journalistes qui veulent vendre leur feuille de choux, cela fait trente ans, oui, trente ans, que "l'on" prédit l'effondrement des États-Unis. Le vux pieux des anciens marxistes reconvertis en gogauche caviar et branchée, le sale tempérament qui n'a toujours fait que jalouser la réussite des autres, mais qui, comme il y a trente ans, ne savent même pas prendre le recul nécessaire pour véritablement jauger la situation :- Déjà, les États-Unis ont un taux de chômage de 5.7%, alors qu'il était de 5.4% sous Clinton, dans une période faste pour l'économie. On est loin de la situation de 1987, ou encore de 1929. - La croissance des États-Unis pourrait dépasser les 2% cette année (3.3% au troisième trimestre), ce qui est la croissance la plus forte des pays du G7 !- De 2001 à 2008, l'économie à connue une expansion de près de 20% (14% en France)... alors qu'il y a eu le 11 septembre.Et là, vous allez évidemment me parler de la dette... Il est vrai que le déficit budgétaire sest creusé : de 1.2 % du PIB en 2007, il passera à 2.9 % en 2008. Mais nest-il pas toujours inférieur au taux autorisé par les traités européens ? Car si vous trouvez la dette US préoccupante, c'est que vous ignorez totalement le niveau d'endettement de certains pays européens !!! En 1987, on entendait les mêmes arguments ! En 1999-2000, au moment de l'explosion de la bulle internet, on nous les a resortis... Pis ? Les crises en Amérique du Nord sont très courtes, six mois à un an au maximum. Pourquoi ? Parce que le marché "local", le dynamisme de la structure économique et des entreprises US ont toujours permis au pays de se redresser. De plus, l'on saute trop vite aux conclusions et vous réagissez en spéculateurs : en clair, la bourse s'effondre, c'est la panique... Mais c'est une réaction irrationnelle, puisqu'il s'agit d'une crise FINANCIÈRE. Cela n'a rien de comparable avec la crise de l'industrie des années 1973 et 1979, liée au choc pétrolier. Ici, il s'agit juste de certaines banques qui éprouvent des difficultés... Et encore !!! Cette année, on parle de la faillite de 11 ou 12 banques US... alors que "juste" pour l'année 1988, il y en avait eu 208 !!! Il faut donc relativiser, surtout qu'on parle d'un total d'avoirs de 78 milliards de dollars pour ces banques, alors qu'en 1991 par exemple, durant la crise de l'épargne, il s'agissait de plus de 800 milliards de dollars !!! Cela n'a donc rien à voir avec une dépression. Surtout que dans une dépression, on parle d'un taux de chômage de 25% minimum... on en est trèèèèèèès loin !En tout cas, si les États-Unis "s'écrasent la gueule" comme tu dis, la France et l'Italie sont dans le gouffre, car leur situation est bien pire !Il y a du vrai dans ce que tu dis mais je trouve que comparaison n'est pas raison pour ce coup là. Contrairement aux dernières paniques boursières du type éclatement de la bulle internet, la situation est beaucoup plus préoccupante.En effet, les USA ont connu ces derniers temps une croissance économique certaine avant tout tiré par la consommation qui elle même était produite par l'endettement des ménages. Cet endettement a été lui même basé sur les prêts hypotécaires rechargeables. Aujourd'hui, avec l'effondrement des valeurs immobilière ce mécanisme ne fonctionne plus. Or il intervient pour au moins les 2/3 de la croissance US et peut être même plus.Parallèlement à cela, les revenus des ménages ont stagné suite aux pressions salariales et à la déconfiture de l'industrie US. Le crédit a servi a dissimulé cette crise qui plombe l'américain moyen. En d'autre terme, on s'est servi du crédit pour maintenir le niveau de vie de salariés affectés par la concurrence salariale asiatique et pour maintenir le taux de profit des compagnies US. Pour caricaturer exagérément, le chômeur achète à crédit l'écran extra plat que Wal Mart a importé de Chine.Le masque vient en quelque sorte de tomber sur la nature de la croissance US. Mais pire que cela, le taux d'épargne des ménages et entreprise n'est guère supérieur à 1%, pas de quoi faire face à un remboursement des créances bancaires sur une grande échelle.Bien sûr la réserve fédérale intervient. Mais l'injection de fonds à laquelle elle procède par l'intermédaires de rachat de créances plus que douteuses s'apparente à de la création monétaire sans contrepartie. Et là ça devient carrément dangereux.C'est dangereux car si le gouvernement américain en reste là, cela se traduira par de l'inflation et par une stagnation mondiale. Mais c'est aussi dangereux car tout le monde sait bien que si les USA veulent résoudre ce problème, il faudra donner aux ménages américains les moyens de rembourser en remettant en selle les classes moyennes par des augmentations de revenu et la façon la plus simple d'y parvenir (tout au moins sur le papier) c'est de retourner à la protection des emplois par le renforcement des barrières douanières. Et ça, ça nous ramène à ce qui dit Obama sur l'Alena.Bref dans un cas le canada perd et dans l'autre aussi. Entre temps, l'Europe aura perdu beaucoup plus et beaucoup plus vite car la BCE procède exactement au même type de refinancement des banques espagnoles, plombée elles aussi par l'effondrement immobilier, sans le dire et sans même ouvrir le débat sur la façon de gérer le problème.Donc les deux économies (US et Européennes) avec des fondamentaux minés en même temps, cela ne laisse augurer rien de bon. Je ne pense pas que ce soit produit bien souvent ces 25 dernières années.
Habitués Osquare Posté(e) 17 septembre 2008 Auteur Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 Petit-Prince ...La crise du crédit hypothécaire, en as-tu entendu parler ?Tous ces gens endettés qui ont acheté des maisons à des prix largement supérieurs à ceux qu'ils sont maintenant ?Et les taux d'intérêt faibles, voulus par la Réserve Fédérale pour éviter que ces problèmes d'endettement s'aggravent ... mais qui ne font qu'affaiblir le dollar ??Tous ces dollars fabriqués par la Réserve Fédérale (ils ne donnent plus les montants, tant c'est devenu embarrassant) à tour de bras, pour créer du crédit facile, c'est cela que tu appelles le "succès" de ces gens là, pourris-gâtés, ignares, incapables de saisir une calculette et de s'apercevoir qu'ils vivent complètement au-dessus de leurs moyens, en important des tas de marchandises bon marché, en Chine et ailleurs. Ils profitent de leur sacro-saint Dollar tant que celui-ci est pris au sérieux, à travers le monde."C'est notre monnaie et votre problème". On verra bien combien ça dure.Toutes ces masses de billets verts amassés par les pays tels que la Chine, continueront-ils longtemps d'avoir de la valeur ?De plus en plus de gens retiendront leur souffle.
Habitués Osquare Posté(e) 17 septembre 2008 Auteur Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 Entre temps, l'Europe aura perdu beaucoup plus et beaucoup plus vite car la BCE procède exactement au même type de refinancement des banques espagnoles, plombée elles aussi par l'effondrement immobilier, sans le dire et sans même ouvrir le débat sur la façon de gérer le problème.Donc les deux économies (US et Européennes) avec des fondamentaux minés en même temps, cela ne laisse augurer rien de bon. Je ne pense pas que ce soit produit bien souvent ces 25 dernières années."Fondamentaux" ... Quels fondamentaux ?C'est le chômage qui est le gros problème de l'Europe.La BCE choisit des taux d'intérêts élevés. Cette politique monétariste donne des résultats. L'euro est fort. C'est mauvais pour les exportations et donc pour l'emploi, mais la priorité N°1 de la BCE est respectée : le contrôle de l'inflation. Cette priorité est stupide, pourrait-on remarquer, à la fois parce qu'elle traduit surtout la traditionnelle politique des "élites" européennes : créer du chômage, mais aussi, parce qu'aujourd'hui ... l'inflation est mondiale. Eh oui. Vous n'avez pas envie de vous en apercevoir, ni egl ni Petit-Prince, mais (c'est bête à dire, hein ?) on a une seule planète et ses ressources se trouvent de plus en plus franchement en état d'épuisement, qu'il s'agisse du pétrole ou d'autres choses.C'est cette inflation qui amènera les Etats-Unis au chaos. C'est un juste retour des choses. Ce sont eux qui ont organisé le saccage des ressources.L'inflation qui monte, le dollar qui descend ... Les américains sont pris en étau. Ils n'y peuvent plus rien. The game is over.
Habitués Petit-Prince Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 @eglAu niveau des salaires, je ne suis pas d'accord avec toi. Daprès létude annuelle du Census Bureau (lorganisme statistique officiel américain) qui vient dêtre rendue publique, le revenu médian a connu en 2007 une troisième hausse consécutive dépassant les 50,000 dollars/an. Et toujours daprès la même étude, les inégalités baissent : le «quintile» composé des plus hauts revenus a baissé de 0.8 % tandis que le troisième et le quatrième «quintile» ont augmenté de 0.3 et, respectivement, 0.4 %.Certes, tu as raison quand à l'endettement de CERTAINS ménages relié à la crise hypothécaire... mais cela concerne quoi ? 700,000 personnes ? Allez, disons un millions pour arrondir un peu. Oui, c'est beaucoup, mais comparativement à la masse, cela n'aura pas un impact énorme sur l'économie, surtout que même endettés, ces personnes ont encore du travail (cf. le taux de chômage), ce qui n'était pas le cas au début des années 80.Bien sûr la réserve fédérale intervient. Mais l'injection de fonds à laquelle elle procède par l'intermédaires de rachat de créances plus que douteuses s'apparente à de la création monétaire sans contrepartie. Et là ça devient carrément dangereux.Oui et personnellement, je suis contre ce genre d'interventionnisme. Cela aurait peut-être eu un gros effet négatif à court terme, mais on aurait sans doute moins joué avec le feu. Sauf qu'en pleine campagne électorale, le gouvernement fédéral a préféré colmater au plus vite... Mais c'est aussi dangereux car tout le monde sait bien que si les USA veulent résoudre ce problème, il faudra donner aux ménages américains les moyens de rembourser en remettant en selle les classes moyennes par des augmentations de revenu et la façon la plus simple d'y parvenir (tout au moins sur le papier) c'est de retourner à la protection des emplois par le renforcement des barrières douanières. Et ça, ça nous ramène à ce qui dit Obama sur l'Alena.Yep... c'est ce que je me suis tué à dire dans un autre fil. Il va falloir s'attendre à un serrage de boulons aux frontières. Sauf que je reste beaucoup moins pessimiste que toi. Car la crise reste essentiellement financière. Les jobs sont là, le marché est à la sortie des usines, l'économie s'est métamorphosée depuis les années 80 et se repose moins sur des industries fragiles aux fluctuations des prix et même de l'inflation. Ça fera mal (peut-être), mais je suis de l'avis de certains économistes, cela repartira au deuxième semestre 2009. Bref, en 2002, je m'étais pris le bec, ici-même, avec du monde qui voyait la mort des États-Unis suite au 11 septembre et aux milliers d'emplois perdus. C'était soit-disant le début de la fin.... puis finalement, on est revenu au même niveau qu'avant le 11 septembre, avec le taux de chômage le plus bas parmi les pays occidentaux. Franchement, on a vu pire !
Habitués Petit-Prince Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 Petit-Prince ...La crise du crédit hypothécaire, en as-tu entendu parler ?Tous ces gens endettés qui ont acheté des maisons à des prix largement supérieurs à ceux qu'ils sont maintenant ?Et les taux d'intérêt faibles, voulus par la Réserve Fédérale pour éviter que ces problèmes d'endettement s'aggravent ... mais qui ne font qu'affaiblir le dollar ??Tous ces dollars fabriqués par la Réserve Fédérale (ils ne donnent plus les montants, tant c'est devenu embarrassant) à tour de bras, pour créer du crédit facile, c'est cela que tu appelles le "succès" de ces gens là, pourris-gâtés, ignares, incapables de saisir une calculette et de s'apercevoir qu'ils vivent complètement au-dessus de leurs moyens, en important des tas de marchandises bon marché, en Chine et ailleurs. Ils profitent de leur sacro-saint Dollar tant que celui-ci est pris au sérieux, à travers le monde."C'est notre monnaie et votre problème". On verra bien combien ça dure.Toutes ces masses de billets verts amassés par les pays tels que la Chine, continueront-ils longtemps d'avoir de la valeur ?De plus en plus de gens retiendront leur souffle.Vu que j'ai déjà répondu à cela, je ne vais donc pas en ajouter. On fait des gros titres sur un problème humain dramatique, certes, mais qui, comparativement à la population des États-Unis, est ridiculement peu élevé. Surtout que, comme je l'ai déjà dit, on parle de personnes endettées, certes, mais qui ne sont pas au chômage... sacré changement comparativement aux autres crises où les endettés n'avait AUCUN salut.
Habitués cyber_cow Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 je vois pas la rejouissance d'attendre l'effondrement economique d'un pays car il y a des gens impliqués et qui n'ont rien demandé eu que bush et sont gouvernement soit des cons c est une choses mais pas impliquer l'americain moyen dedans.
Habitués Petit-Prince Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 je vois pas la rejouissance d'attendre l'effondrement economique d'un pays car il y a des gens impliqués et qui n'ont rien demandé eu que bush et sont gouvernement soit des cons c est une choses mais pas impliquer l'americain moyen dedans.J'aimerai que tu nous expliques en quoi, Bush et son gouvernement, sont responsables de la crise hypothécaire. Je serai vraiment très intéressé de connaître ton argumentation. Je ne savais pas que c'était le gouvernement fédéral qui accordait les prêts ! Et la crise du crédit dans les années 1990, c'était Bush aussi ? ... La crise des NTI en 1999-2000, Bush ? ... Les deux chocs pétroliers, Bush sans hésitation ! ... Le Titanic ? Bush bien-sûr !
Habitués Petit-Lion Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 Ne vous inquiétez pas, les dirigeants d'AIG auront leur prime de rendement
Habitués Petit-Prince Posté(e) 17 septembre 2008 Habitués Posté(e) 17 septembre 2008 Ne vous inquiétez pas, les dirigeants d'AIG auront leur prime de rendement Ça c'est parce que tu le permets... mais c'est un autre sujet...
Habitués cyber_cow Posté(e) 18 septembre 2008 Habitués Posté(e) 18 septembre 2008 je vois pas la rejouissance d'attendre l'effondrement economique d'un pays car il y a des gens impliqués et qui n'ont rien demandé eu que bush et sont gouvernement soit des cons c est une choses mais pas impliquer l'americain moyen dedans.J'aimerai que tu nous expliques en quoi, Bush et son gouvernement, sont responsables de la crise hypothécaire. Je serai vraiment très intéressé de connaître ton argumentation. Je ne savais pas que c'était le gouvernement fédéral qui accordait les prêts ! Et la crise du crédit dans les années 1990, c'était Bush aussi ? ... La crise des NTI en 1999-2000, Bush ? ... Les deux chocs pétroliers, Bush sans hésitation ! ... Le Titanic ? Bush bien-sûr !je viens de relire mon texte et je vois pas ou j'ai dis que bush etait responsable de la crise hypotécaire. soit tu as mal interpreté mon intervention ou alors j'ai du mal me faire comprendre. je suis pas économiste mais je suis pas stupide au point de mettre ça sur le dos du gouvernement a lui seul je repond seulement a certaines interventions de personne qui ce rejouissent de l'hypotétique effondrement économique des états-unis voila ce que je dis, et je rajoute que meme si la politique et le gouvernement bush sont des cons on ne peut pas ce rejouir de la misere des gens (donc le peuples) de n'importe quel pays.
Habitués Osquare Posté(e) 18 septembre 2008 Auteur Habitués Posté(e) 18 septembre 2008 je viens de relire mon texte et je vois pas ou j'ai dis que bush etait responsable de la crise hypotécaire.La crise hypothécaire est le résultat d'une politique économique qui va, en effet, plus loin que Bush et compagnie même s'ils en sont partie prenante.soit tu as mal interpreté mon intervention ou alors j'ai du mal me faire comprendre. je suis pas économiste mais je suis pas stupide au point de mettre ça sur le dos du gouvernement a lui seul je repond seulement a certaines interventions de personne qui ce rejouissent de l'hypotétique effondrement économique des états-unis voila ce que je dis, et je rajoute que meme si la politique et le gouvernement bush sont des cons on ne peut pas ce rejouir de la misere des gens (donc le peuples) de n'importe quel pays.Je ne me réjouis pas, je trouve ça normal, c'est tout.
Habitués Petit-Prince Posté(e) 18 septembre 2008 Habitués Posté(e) 18 septembre 2008 je vois pas la rejouissance d'attendre l'effondrement economique d'un pays car il y a des gens impliqués et qui n'ont rien demandé eu que bush et sont gouvernement soit des cons c est une choses mais pas impliquer l'americain moyen dedans.J'aimerai que tu nous expliques en quoi, Bush et son gouvernement, sont responsables de la crise hypothécaire. Je serai vraiment très intéressé de connaître ton argumentation. Je ne savais pas que c'était le gouvernement fédéral qui accordait les prêts ! Et la crise du crédit dans les années 1990, c'était Bush aussi ? ... La crise des NTI en 1999-2000, Bush ? ... Les deux chocs pétroliers, Bush sans hésitation ! ... Le Titanic ? Bush bien-sûr !je viens de relire mon texte et je vois pas ou j'ai dis que bush etait responsable de la crise hypotécaire. soit tu as mal interpreté mon intervention ou alors j'ai du mal me faire comprendre. je suis pas économiste mais je suis pas stupide au point de mettre ça sur le dos du gouvernement a lui seul je repond seulement a certaines interventions de personne qui ce rejouissent de l'hypotétique effondrement économique des états-unis voila ce que je dis, et je rajoute que meme si la politique et le gouvernement bush sont des cons on ne peut pas ce rejouir de la misere des gens (donc le peuples) de n'importe quel pays.Parce que c'est pas mal le sujet : la crise hypothécaire !
Habitués Petit-Prince Posté(e) 18 septembre 2008 Habitués Posté(e) 18 septembre 2008 Je ne me réjouis pas, je trouve ça normal, c'est tout.Normal ? Y'a rien de vraiment "normal" là-dedans. Quand tu regardes les entreprises touchées, il y en a qui sont en excellente santé financière, avec des carnets de commandes pleins, en pleine embauche, mais qui subissent la panique des petits spéculateurs du dimanche, qui vendent à tour de bras leurs actions. Si tu vois quelque chose de rationnel là-dedans, explique vite tout ça parce que même les analystes économiques en sont incapables !Mais c'est toujours comme ça. Le scénario est le même depuis des lustres... et comme toujours, y'en a pour dire que c'est la fin pour le système et les États-Unis. J'ai tellement déjà entendu ça, que ça sent vraiment le réchauffé ! Là aussi, il y a un côté irrationnel. Une chose est certaine cependant : c'est le moment d'acheter ! ... Pas n'importe quoi, s'entend, mais il y a de très bonnes affaires à réaliser !
Laurent Posté(e) 18 septembre 2008 Posté(e) 18 septembre 2008 Le vœux pieux des anciens marxistes reconvertis en gogauche caviar et branchéeEh PP, arrête de voir des communistes partout J'aimerais bien que tu ai raison mais je crains que les US soient la première victime d'un système économique qui s'écroule, et ça n'a rien à voir avec quelque allégeance politique que ce soit.
Habitués Osquare Posté(e) 18 septembre 2008 Auteur Habitués Posté(e) 18 septembre 2008 Normal ? Y'a rien de vraiment "normal" là-dedans. Quand tu regardes les entreprises touchées, il y en a qui sont en excellente santé financière, avec des carnets de commandes pleins, en pleine embauche, mais qui subissent la panique des petits spéculateurs du dimanche, qui vendent à tour de bras leurs actions. Si tu vois quelque chose de rationnel là-dedans, explique vite tout ça parce que même les analystes économiques en sont incapables !"Normal", je disais : que ce système dans son ensemble soit pris en étau, entre 1°) l'inflation mondiale 2°) l'obligation de déprécier le dollar, par une politique anti-monétariste (taux d' intérêt très bas) étant donné que si les taux augmentaient, le nombre de personnes surendettées serait encore plus catastrophique3°) la dette commerciale américaine qui, quoi que tu en dises, est imposante (dizaines de milliers de milliards).Mais c'est toujours comme ça. Le scénario est le même depuis des lustres... et comme toujours, y'en a pour dire que c'est la fin pour le système et les États-Unis. J'ai tellement déjà entendu ça, que ça sent vraiment le réchauffé ! Là aussi, il y a un côté irrationnel.J'ai peut-être des problèmes de mémoire ou je suis trop jeune, mais je ne me souviens pas qu'on ait dit si souvent que tu le prétends.Et de toute façon, il y a un facteur nouveau et que tu refuses de tenir en compte, car comme tout esprit "pragmatique" tu penses qu'on a 150 planètes à épuiser devant nous : les matières premières vont se faire carrément rares et chères, ce qui ne peut qu'entraver un système tout entier construit sur l'hyper-consommation et la "croissance" infinie.Une chose est certaine cependant : c'est le moment d'acheter ! ... Pas n'importe quoi, s'entend, mais il y a de très bonnes affaires à réaliser !Oui ... C'est vrai que certaines entreprises sont injustement sous-évaluées. Ok.Avec des nerfs d'acier et un oeil constamment posé sur l'écran pour surveiller l'évolution des actions, il est encore possible de gagner de l'argent en bourse.Ceux qui craignent la crise cardiaque investiront plutôt dans les matières premières (métaux précieux etc.). Ou dans les monnaies fortes, comme l'euro.
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