Invité Posté(e) 12 mai 2008 Posté(e) 12 mai 2008 Désolé pour les fautes, j'ai pas relu....macho, traditionnaliste, catho intégriste et en plus ignorant, beaucoup (trop) pour un seul homme :niark3:
Habitués cherry Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 Moi je pense que la confusion n'est pas que des sexes. Je suis une femme et ce qui m'agacent ce sont les ultra-féministes qui refusent de voir que bien qu'elles affirment et pensent le contraire (avec bonne foi sûrement), elles ne laissent pas la place à l'homme d'être lui-même (il lui offre des fleurs, c'est un macho, il lui paie le restaurant c'est un macho, il dit toujours oui à tout, c'est un mou, il regarde le hockey, c'est un débile... eh oh il peut faire quelque chose sans qu'on interprète son geste? Vous appréciez vous quand on dit qu'une femme qui sort tous les soirs est malheureuse dans son couple, qu'une femme qui se maquille est un pute ou qu'une femme qui paye pour un homme l'entretient? Bon ben regardez le miroir et vous verrez que les tords sont partagés crime!).Après, il y a effectivement des différences de cultures qui jouent dans les perceptions (du nom de "famille" par exemple - Nini pourquoi ne donnes-tu pas ton nom d'épouse partout où ton seul nom d'usage suffit et ne gardes-tu pas ton nom de jeune fille pour les situations officielles comme les élections, les papiers d'identité? Est-ce parce que cela n'est pas possible ou? Je demande ça parce que c'est bien ce que je compte faire moi, même si le fait que je sois la seule a priori au Québec-et au Canada- à porter mon nom de jeune-fille, je serais quand même fière de porter aussi mon nom d'épouse (et ça me fera un complet prénom/nom québécois en plus mdr).Mais effectivement c'est un raccourci de dire que le taux de suicide est dû à la libération de la femme. En revanche, perdre une identité peut y conduire. Et il y a des hommes (pas tous, comme il y a des jeunes, des immigrants, des femmes qui sortent d'une longue maladie etc.) qui ont peut-être perdu leurs repères identitaires suite à la libération de la femme mais ce sont à mon avis aussi des hommes qui ne sont pas toujours définis pour eux mais par rapport à leur place dans la société. Et cette perte d,identité, je l'ai dit plus haut, on la retrouve chez beaucoup de gens qui ont subi une remise en question d'eux-mêmes pour plein de motifs différents. Donc non le taux de suicide des hommes ne peut pas être directement imputable aux femmes.Autre fait aussi c'est que de nos jours, soyons honnêtes, il y a bien plus de structures de soutien et d'aides qui sont offertes aux femmes (seules, immigrantes, battues, monoparentales, alouette) que pour les hommes. Et ce qui peut-être autrefois servaient aux hommes d'exutoires, de soutien, est aujourd'hui dénigré par la société (les soirées de mecs devant le hockey à boire de la bière par exemple) - bon ok pas par toute la société mais combien de fois se moque-t-on du colon qui fait ce genre de soirée?-.Bref il peut y en avoir plein des causes au mal-être d'un homme suicidaire.Maintenant quid des rapports hommes-femmes?Personnellement, les québécois dans mon entourage ne veulent pas d'une québécoise, ils les trouvent castratrices (voir plus haut le fait notamment que d'avoir toujours à marcher sur des oeufs au risque de se faire traiter de ceci ou de cela, ça casse les couilles de tout le monde, homme ou femme en passant!). Les femmes québécoises ne veulent pas de québécois qu'elles trouvent soient trop machos, soient trop caramel mou dégoulinant. Moi ça m'inspire juste un truc: vous vous rejoignez pas, c'est qu'il y a donc bien un problème, et se mettre des oeillères n'aidera personne. Perso, le mâle québécois que j'ai me correspond, on se rejoint sur nos rôles respectifs dans un couple, même si on doit s'adapter l'un à l'autre. Les "je m'en fous si tu n,es pas capable de prendre ta place" ne sont pas de mises dans un couple pour moi et ce sont bien plus les "je dois apprendre à te laisser ta place" qui sont nécessaires. Et nous on travaille dessus parce qu'on est jeune et qu'on apprend encore de la vie.Bonjour Petitboudange.Je suis tout à fait d'accord avec ton message.Ce que tu appelles les ultra-féministes je les appele les féministes-extrémistes J'en connais. Nous en connaissons tous.De ces femmes qui croient vraiment contrôler leur vie parce qu'elles ont un boulot et qu'elles ont le contrôle sur leur vie sexuelle et par ricochet de leur "reproduction".Je suis d'accord également avec EGL à savoir que, pour elles les hommes sont devenus un "bien de consommation", au même titre que tous les biens qu'elles peuvent acquérir. Et comme nous sommes à l'ère du "jeter après usage" pas difficile de présumer ce qu'il adviendra du bonhomme après usage.De dire: a eux de prendrent leur place ! avec un mépris à peine déguisé reviens à dire: je m'en fou ... MOI je suis comme ça ... MOI je veux ça ... MOI ceci et cela.Dans les faits, nous sommes face à un grave déséquilibre. Et tant et aussi longtemps que les hommes et les femmes ne recentrerons pas leurs rapports vers des échanges plus respectueux et plus égalitaires il y aura des drames humains qui se joueront. Plusieurs y parviennent, fort heureusement. D'autres en viennent à dire des généralités épouvantables comme: tous les Québécois sont des mous où toutes les Québécoises sont castratrices.Et ne me dites pas que tout baigne dans cet univers féminin. Il suffit de voir dans quelle détresse psychologique sont certaines, la surconsommation d'anti-dépresseurs, les consultations cliniques en psychiatrie, etc. pour réaliser qu'on est loin du bonheur espérer.Sans parler de ceux qui exportent du bonheur en canne de l'étranger parce qu'il leur fera couler un bain le soir.On est pas loin du catalogue dont parlait EGL.Non Lili. On est dans les gros clichés bien épais, la dramatisation, la diabolisation des féministes (ou des femmes québécoises point), et la déresponsabilisation voire la victimisation des hommes. Tout ça en proclamant haut et fort la recherche d'équilibre, de respect et d'égalité, comme si ce n'était pas ce que les femmes recherchaient à la base en se libérant il y a une quarantaine d'années, une libération nécessaire et bienvenue.Tellement pathétique et facile... :zentil: On peut se dire féministe et avoir un désir d'enfants et de couple stable qui se respecte. C'est mon cas, et c'est le cas d'à peu près toutes les trentenaires que je connais, et même de filles dans la vingtaine. Ce n'est pas incompatible.
Habitués Lilideslacs Posté(e) 13 mai 2008 Auteur Habitués Posté(e) 13 mai 2008 (modifié) Moi je pense que la confusion n'est pas que des sexes. Je suis une femme et ce qui m'agacent ce sont les ultra-féministes qui refusent de voir que bien qu'elles affirment et pensent le contraire (avec bonne foi sûrement), elles ne laissent pas la place à l'homme d'être lui-même (il lui offre des fleurs, c'est un macho, il lui paie le restaurant c'est un macho, il dit toujours oui à tout, c'est un mou, il regarde le hockey, c'est un débile... eh oh il peut faire quelque chose sans qu'on interprète son geste? Vous appréciez vous quand on dit qu'une femme qui sort tous les soirs est malheureuse dans son couple, qu'une femme qui se maquille est un pute ou qu'une femme qui paye pour un homme l'entretient? Bon ben regardez le miroir et vous verrez que les tords sont partagés crime!).Après, il y a effectivement des différences de cultures qui jouent dans les perceptions (du nom de "famille" par exemple - Nini pourquoi ne donnes-tu pas ton nom d'épouse partout où ton seul nom d'usage suffit et ne gardes-tu pas ton nom de jeune fille pour les situations officielles comme les élections, les papiers d'identité? Est-ce parce que cela n'est pas possible ou? Je demande ça parce que c'est bien ce que je compte faire moi, même si le fait que je sois la seule a priori au Québec-et au Canada- à porter mon nom de jeune-fille, je serais quand même fière de porter aussi mon nom d'épouse (et ça me fera un complet prénom/nom québécois en plus mdr).Mais effectivement c'est un raccourci de dire que le taux de suicide est dû à la libération de la femme. En revanche, perdre une identité peut y conduire. Et il y a des hommes (pas tous, comme il y a des jeunes, des immigrants, des femmes qui sortent d'une longue maladie etc.) qui ont peut-être perdu leurs repères identitaires suite à la libération de la femme mais ce sont à mon avis aussi des hommes qui ne sont pas toujours définis pour eux mais par rapport à leur place dans la société. Et cette perte d,identité, je l'ai dit plus haut, on la retrouve chez beaucoup de gens qui ont subi une remise en question d'eux-mêmes pour plein de motifs différents. Donc non le taux de suicide des hommes ne peut pas être directement imputable aux femmes.Autre fait aussi c'est que de nos jours, soyons honnêtes, il y a bien plus de structures de soutien et d'aides qui sont offertes aux femmes (seules, immigrantes, battues, monoparentales, alouette) que pour les hommes. Et ce qui peut-être autrefois servaient aux hommes d'exutoires, de soutien, est aujourd'hui dénigré par la société (les soirées de mecs devant le hockey à boire de la bière par exemple) - bon ok pas par toute la société mais combien de fois se moque-t-on du colon qui fait ce genre de soirée?-.Bref il peut y en avoir plein des causes au mal-être d'un homme suicidaire.Maintenant quid des rapports hommes-femmes?Personnellement, les québécois dans mon entourage ne veulent pas d'une québécoise, ils les trouvent castratrices (voir plus haut le fait notamment que d'avoir toujours à marcher sur des oeufs au risque de se faire traiter de ceci ou de cela, ça casse les couilles de tout le monde, homme ou femme en passant!). Les femmes québécoises ne veulent pas de québécois qu'elles trouvent soient trop machos, soient trop caramel mou dégoulinant. Moi ça m'inspire juste un truc: vous vous rejoignez pas, c'est qu'il y a donc bien un problème, et se mettre des oeillères n'aidera personne. Perso, le mâle québécois que j'ai me correspond, on se rejoint sur nos rôles respectifs dans un couple, même si on doit s'adapter l'un à l'autre. Les "je m'en fous si tu n,es pas capable de prendre ta place" ne sont pas de mises dans un couple pour moi et ce sont bien plus les "je dois apprendre à te laisser ta place" qui sont nécessaires. Et nous on travaille dessus parce qu'on est jeune et qu'on apprend encore de la vie.Bonjour Petitboudange.Je suis tout à fait d'accord avec ton message.Ce que tu appelles les ultra-féministes je les appele les féministes-extrémistes J'en connais. Nous en connaissons tous.De ces femmes qui croient vraiment contrôler leur vie parce qu'elles ont un boulot et qu'elles ont le contrôle sur leur vie sexuelle et par ricochet de leur "reproduction".Je suis d'accord également avec EGL à savoir que, pour elles les hommes sont devenus un "bien de consommation", au même titre que tous les biens qu'elles peuvent acquérir. Et comme nous sommes à l'ère du "jeter après usage" pas difficile de présumer ce qu'il adviendra du bonhomme après usage.De dire: a eux de prendrent leur place ! avec un mépris à peine déguisé reviens à dire: je m'en fou ... MOI je suis comme ça ... MOI je veux ça ... MOI ceci et cela.Dans les faits, nous sommes face à un grave déséquilibre. Et tant et aussi longtemps que les hommes et les femmes ne recentrerons pas leurs rapports vers des échanges plus respectueux et plus égalitaires il y aura des drames humains qui se joueront. Plusieurs y parviennent, fort heureusement. D'autres en viennent à dire des généralités épouvantables comme: tous les Québécois sont des mous où toutes les Québécoises sont castratrices.Et ne me dites pas que tout baigne dans cet univers féminin. Il suffit de voir dans quelle détresse psychologique sont certaines, la surconsommation d'anti-dépresseurs, les consultations cliniques en psychiatrie, etc. pour réaliser qu'on est loin du bonheur espérer.Sans parler de ceux qui exportent du bonheur en canne de l'étranger parce qu'il leur fera couler un bain le soir.On est pas loin du catalogue dont parlait EGL.Non Lili. On est dans les gros clichés bien épais, la dramatisation, la diabolisation des féministes (ou des femmes québécoises point), et la déresponsabilisation voire la victimisation des hommes. Tout ça en proclamant haut et fort la recherche d'équilibre, de respect et d'égalité, comme si ce n'était pas ce que les femmes recherchaient à la base en se libérant il y a une quarantaine d'années, une libération nécessaire et bienvenue.Tellement pathétique et facile... :zentil: On peut se dire féministe et avoir un désir d'enfants et de couple stable qui se respecte. C'est mon cas, et c'est le cas d'à peu près toutes les trentenaires que je connais, et même de filles dans la vingtaine. Ce n'est pas incompatible. Oui c'est ce que recherchais les femmes il y a 40 ans. Sauf qu'on est loin de l'équilibre tant espéré à mon humble avis.On a basculé dans l'autre extrême ... la société matriarcale ... avec les mêmes inégalités que l'on décriait à l'époque de la société patriarcale (comme quoi on est pas mieux qu'eux hein ?).Et puis j'en ai un peu marre aussi d'entendre dire qu'a l'époque de nos grands-mères, ces pauvres êtres subissaient sans mot dire ... qu'elles n'avaient ni droits ni ceci ni cela.Oeuvrant avec "Les petits frères des pauvres" je discute régulièrement avec des femmes de 75-98 ans.Je leur ai posé la question un jour. Étaient-elles si malheureuses ? Étaient-elles exploités ? Esclaves ? etc. Réponse: Non.La plupart d'entres elles, m'ont dit que c'est elles qui menaient la maisonnée. Leurs maris déposaient sa paye sur la table et c'est elles qui s'occupaient du reste. C'est elles qui dans les faits décidaient de tout mais devant les autres il ne fallait pas le montrer. L'homme de la maison avait son orgueil tout de même.Quand je leur ai dis: oui mais ... si vous tombiez sur un mauvais mari ... vous deviez l'endurer vu que le divorce à l'époque était mal vu.Je me rappellerai toujours de ce que ma veille amie, Hermina 98 ans, m'a dit. Bof ! tu sais. Lui ou un autre ils ont tous des défauts et des qualités. Mon mari avait des qualités en plus grande quantité que des défauts fa que ... j'ai fais avec ce que j'avais pis lui avec ... je n'étais pas parfaite non plus.Lorsque je lui ai dis ... vous avez eu plusieurs enfants ... vos filles ont plus de choix que vous ... elles peuvent faire carrière etc. sa réponse a été encore une fois très claire ... et ? Qu'est-ce que ça lui donne de plus ? Faut tout de même qu'elle fasse son ménage, s'occupe des enfants, etc. Elle a juste plus d'ouvrage et tout ça pour quoi ? Pour un voyage dans le sud une fois par année ?Sa plus jeune fille en est à son 5ième conjoint. Ça se termine toujours de la même manière. Naaaaaa c'était pas ça ! Il était trop ceci. Pas assez cela.Coudonc ... c'est pas une pizza que tu commandes avec plus de fromage, moins de piment, plus de ceci et moins de cela.Et Hermina de me dire. J'aime ma fille mais par moment je trouve curieux qu'elle me dise qu'elle veut qu'on l'accepte comme elle est alors qu'elle veut constamment changer ses conjoints.C'est une sage Hermina. Modifié 13 mai 2008 par Lilideslacs
Habitués Azarielle Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 Décidemment, il y a des personnes sur ce forum que je n'arrive pas à cerner.
Habitués rolokimy Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 Décidemment, il y a des personnes sur ce forum que je n'arrive pas à cerner.
Habitués petiboudange Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 Non Lili. On est dans les gros clichés bien épais, la dramatisation, la diabolisation des féministes (ou des femmes québécoises point), et la déresponsabilisation voire la victimisation des hommes. Tout ça en proclamant haut et fort la recherche d'équilibre, de respect et d'égalité, comme si ce n'était pas ce que les femmes recherchaient à la base en se libérant il y a une quarantaine d'années, une libération nécessaire et bienvenue.Tellement pathétique et facile... :zentil: On peut se dire féministe et avoir un désir d'enfants et de couple stable qui se respecte. C'est mon cas, et c'est le cas d'à peu près toutes les trentenaires que je connais, et même de filles dans la vingtaine. Ce n'est pas incompatible. Cherry tu parles de la déresponsabilisation des hommes, mais définis ce qu'est un homme responsable alors.C'est quoi donc un homme responsable aujourd'hui au Québec ?
Habitués Lilideslacs Posté(e) 13 mai 2008 Auteur Habitués Posté(e) 13 mai 2008 Non Lili. On est dans les gros clichés bien épais, la dramatisation, la diabolisation des féministes (ou des femmes québécoises point), et la déresponsabilisation voire la victimisation des hommes. Tout ça en proclamant haut et fort la recherche d'équilibre, de respect et d'égalité, comme si ce n'était pas ce que les femmes recherchaient à la base en se libérant il y a une quarantaine d'années, une libération nécessaire et bienvenue.Tellement pathétique et facile... :zentil: On peut se dire féministe et avoir un désir d'enfants et de couple stable qui se respecte. C'est mon cas, et c'est le cas d'à peu près toutes les trentenaires que je connais, et même de filles dans la vingtaine. Ce n'est pas incompatible. Cherry tu parles de la déresponsabilisation des hommes, mais définis ce qu'est un homme responsable alors.C'est quoi donc un homme responsable aujourd'hui au Québec ?Un mec capable de mettre sa capote comme il faut ?
Habitués cherry Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 Non Lili. On est dans les gros clichés bien épais, la dramatisation, la diabolisation des féministes (ou des femmes québécoises point), et la déresponsabilisation voire la victimisation des hommes. Tout ça en proclamant haut et fort la recherche d'équilibre, de respect et d'égalité, comme si ce n'était pas ce que les femmes recherchaient à la base en se libérant il y a une quarantaine d'années, une libération nécessaire et bienvenue.Tellement pathétique et facile... :zentil: On peut se dire féministe et avoir un désir d'enfants et de couple stable qui se respecte. C'est mon cas, et c'est le cas d'à peu près toutes les trentenaires que je connais, et même de filles dans la vingtaine. Ce n'est pas incompatible. Oui c'est ce que recherchais les femmes il y a 40 ans. Sauf qu'on est loin de l'équilibre tant espéré à mon humble avis.On a basculé dans l'autre extrême ... la société matriarcale ... avec les mêmes inégalités que l'on décriait à l'époque de la société patriarcale (comme quoi on est pas mieux qu'eux hein ?).Et puis j'en ai un peu marre aussi d'entendre dire qu'a l'époque de nos grands-mères, ces pauvres êtres subissaient sans mot dire ... qu'elles n'avaient ni droits ni ceci ni cela.Oeuvrant avec "Les petits frères des pauvres" je discute régulièrement avec des femmes de 75-98 ans.Je leur ai posé la question un jour. Étaient-elles si malheureuses ? Étaient-elles exploités ? Esclaves ? etc. Réponse: Non.La plupart d'entres elles, m'ont dit que c'est elles qui menaient la maisonnée. Leurs maris déposaient sa paye sur la table et c'est elles qui s'occupaient du reste. C'est elles qui dans les faits décidaient de tout mais devant les autres il ne fallait pas le montrer. L'homme de la maison avait son orgueil tout de même.Quand je leur ai dis: oui mais ... si vous tombiez sur un mauvais mari ... vous deviez l'endurer vu que le divorce à l'époque était mal vu.Je me rappellerai toujours de ce que ma veille amie, Hermina 98 ans, m'a dit. Bof ! tu sais. Lui ou un autre ils ont tous des défauts et des qualités. Mon mari avait des qualités en plus grande quantité que des défauts fa que ... j'ai fais avec ce que j'avais pis lui avec ... je n'étais pas parfaite non plus.Lorsque je lui ai dis ... vous avez eu plusieurs enfants ... vos filles ont plus de choix que vous ... elles peuvent faire carrière etc. sa réponse a été encore une fois très claire ... et ? Qu'est-ce que ça lui donne de plus ? Faut tout de même qu'elle fasse son ménage, s'occupe des enfants, etc. Elle a juste plus d'ouvrage et tout ça pour quoi ? Pour un voyage dans le sud une fois par année ?Sa plus jeune fille en est à son 5ième conjoint. Ça se termine toujours de la même manière. Naaaaaa c'était pas ça ! Il était trop ceci. Pas assez cela.Coudonc ... c'est pas une pizza que tu commandes avec plus de fromage, moins de piment, plus de ceci et moins de cela.Et Hermina de me dire. J'aime ma fille mais par moment je trouve curieux qu'elle me dise qu'elle veut qu'on l'accepte comme elle est alors qu'elle veut constamment changer ses conjoints.C'est une sage Hermina.Bon, c'est bien cute tout ça, mais bien franchement, moi j'ai pas envie d'être en cloque en permanence et d'avoir autant de mômes qu'à la bonne vieille époque (une moyenne de 8 enfants par femme, donc parfois 15 voire plus), et de passer tout mon temps à torcher tout ce beau monde, mari inclus, en restant enfermée entre quatre murs. Si toi tu y vois quelque chose de romantique, moi j'y vois une méchante limitation dans ce que la vie peut m'apporter et un gaspillage de ce rare et précieux temps que j'ai sur Terre, de mon intelligence et de mes capacités. Si pour ta sage Hermina de 98 ans, la libération de la femme se résume à un minable voyage dans le Sud en plus dans l'année, c'est qu'elle est vraiment trop déconnectée pour comprendre ou qu'elle souffre d'un début d'Alzheimer. Et si pour toi, la vie idéale se résume aussi à ce vieux modèle, à endurer ton homme même s'il te fait ch**r au cube, à pondre ou à faire le ménage, ben fais donc ce que tu veux, rien ne t'en empêche. Tu es LIBRE.Il n'y a PAS de solution miracle pour trouver l'équilibre, mais ce n'est pas en dictant des règles rigides comme par le passé, avec la religion culpabilisante bien présente en plus, qu'on va y arriver. Fais confiance à l'humanité et à la biologie, ça nous changera des films à l'eau de rose auxquels tu sembles t'abreuver. Contrairement à toi, je vois au contraire une tendance vers le milieu, une redéfinition constante de ce que peut être une femme et un homme. Ce n'est pas figé dans l'espace et le temps, et c'est tant mieux. À tous tes exemples de couples qui marchent mal, je peux te citer des couples qui fonctionnent bien. À tous tes exemples de femmes qui se magasinent une "pizza", je peux aussi te citer des gars qui se magasinent une "pizza". Tout n'est pas noir et blanc, et il y a toute une gamme de gris entre les deux pôles, des gris qui sont DÉJÀ là. Nous ne sommes plus dans les années 80, Lili. Le féminisme radical que tu dénonces, qui a bel et bien existé et qui existe encore marginalement, ne fait plus partie des moeurs. On est rendu ailleurs. Ça serait le fun que tu t'y rendes toi aussi... :haouais:
Habitués Lilideslacs Posté(e) 13 mai 2008 Auteur Habitués Posté(e) 13 mai 2008 Non Lili. On est dans les gros clichés bien épais, la dramatisation, la diabolisation des féministes (ou des femmes québécoises point), et la déresponsabilisation voire la victimisation des hommes. Tout ça en proclamant haut et fort la recherche d'équilibre, de respect et d'égalité, comme si ce n'était pas ce que les femmes recherchaient à la base en se libérant il y a une quarantaine d'années, une libération nécessaire et bienvenue.Tellement pathétique et facile... :zentil: On peut se dire féministe et avoir un désir d'enfants et de couple stable qui se respecte. C'est mon cas, et c'est le cas d'à peu près toutes les trentenaires que je connais, et même de filles dans la vingtaine. Ce n'est pas incompatible. Oui c'est ce que recherchais les femmes il y a 40 ans. Sauf qu'on est loin de l'équilibre tant espéré à mon humble avis.On a basculé dans l'autre extrême ... la société matriarcale ... avec les mêmes inégalités que l'on décriait à l'époque de la société patriarcale (comme quoi on est pas mieux qu'eux hein ?).Et puis j'en ai un peu marre aussi d'entendre dire qu'a l'époque de nos grands-mères, ces pauvres êtres subissaient sans mot dire ... qu'elles n'avaient ni droits ni ceci ni cela.Oeuvrant avec "Les petits frères des pauvres" je discute régulièrement avec des femmes de 75-98 ans.Je leur ai posé la question un jour. Étaient-elles si malheureuses ? Étaient-elles exploités ? Esclaves ? etc. Réponse: Non.La plupart d'entres elles, m'ont dit que c'est elles qui menaient la maisonnée. Leurs maris déposaient sa paye sur la table et c'est elles qui s'occupaient du reste. C'est elles qui dans les faits décidaient de tout mais devant les autres il ne fallait pas le montrer. L'homme de la maison avait son orgueil tout de même.Quand je leur ai dis: oui mais ... si vous tombiez sur un mauvais mari ... vous deviez l'endurer vu que le divorce à l'époque était mal vu.Je me rappellerai toujours de ce que ma veille amie, Hermina 98 ans, m'a dit. Bof ! tu sais. Lui ou un autre ils ont tous des défauts et des qualités. Mon mari avait des qualités en plus grande quantité que des défauts fa que ... j'ai fais avec ce que j'avais pis lui avec ... je n'étais pas parfaite non plus.Lorsque je lui ai dis ... vous avez eu plusieurs enfants ... vos filles ont plus de choix que vous ... elles peuvent faire carrière etc. sa réponse a été encore une fois très claire ... et ? Qu'est-ce que ça lui donne de plus ? Faut tout de même qu'elle fasse son ménage, s'occupe des enfants, etc. Elle a juste plus d'ouvrage et tout ça pour quoi ? Pour un voyage dans le sud une fois par année ?Sa plus jeune fille en est à son 5ième conjoint. Ça se termine toujours de la même manière. Naaaaaa c'était pas ça ! Il était trop ceci. Pas assez cela.Coudonc ... c'est pas une pizza que tu commandes avec plus de fromage, moins de piment, plus de ceci et moins de cela.Et Hermina de me dire. J'aime ma fille mais par moment je trouve curieux qu'elle me dise qu'elle veut qu'on l'accepte comme elle est alors qu'elle veut constamment changer ses conjoints.C'est une sage Hermina.Bon, c'est bien cute tout ça, mais bien franchement, moi j'ai pas envie d'être en cloque en permanence et d'avoir autant de mômes qu'à la bonne vieille époque (une moyenne de 8 enfants par femme, donc parfois 15 voire plus), et de passer tout mon temps à torcher tout ce beau monde, mari inclus, en restant enfermée entre quatre murs. Si toi tu y vois quelque chose de romantique, moi j'y vois une méchante limitation dans ce que la vie peut m'apporter et un gaspillage de ce rare et précieux temps que j'ai sur Terre, de mon intelligence et de mes capacités. Si pour ta sage Hermina de 98 ans, la libération de la femme se résume à un minable voyage dans le Sud en plus dans l'année, c'est qu'elle est vraiment trop déconnectée pour comprendre ou qu'elle souffre d'un début d'Alzheimer. Et si pour toi, la vie idéale se résume aussi à ce vieux modèle, à endurer ton homme même s'il te fait ch**r au cube, à pondre ou à faire le ménage, ben fais donc ce que tu veux, rien ne t'en empêche. Tu es LIBRE.Il n'y a PAS de solution miracle pour trouver l'équilibre, mais ce n'est pas en dictant des règles rigides comme par le passé, avec la religion culpabilisante bien présente en plus, qu'on va y arriver. Fais confiance à l'humanité et à la biologie, ça nous changera des films à l'eau de rose auxquels tu sembles t'abreuver. Contrairement à toi, je vois au contraire une tendance vers le milieu, une redéfinition constante de ce que peut être une femme et un homme. Ce n'est pas figé dans l'espace et le temps, et c'est tant mieux. À tous tes exemples de couples qui marchent mal, je peux te citer des couples qui fonctionnent bien. À tous tes exemples de femmes qui se magasinent une "pizza", je peux aussi te citer des gars qui se magasinent une "pizza". Tout n'est pas noir et blanc, et il y a toute une gamme de gris entre les deux pôles, des gris qui sont DÉJÀ là. Nous ne sommes plus dans les années 80, Lili. Le féminisme radical que tu dénonces, qui a bel et bien existé et qui existe encore marginalement, ne fait plus partie des moeurs. On est rendu ailleurs. Ça serait le fun que tu t'y rendes toi aussi... :haouais:Parce qu'une femme de 98 ans a des propos qui ne te conviennent pas tu la soupçonnes de souffrir d'Alzheïmer ???? :biohazar: Donc. Pour résumer tes opinions en général jusqu'ici ... si nous ne pensons pas comme toi ... nous sommes soit endoctrinés ... soit trop romantiques ... soit Alzheïmers. Wow ... édifiant.
asfour Posté(e) 13 mai 2008 Posté(e) 13 mai 2008 La je defends la cause des machos! ca nèmpeche que je respecte les femmes au plus haut point!Et qu'est ce quil y a de mal si l`homme se definit comme un complement a la femme? la femme que jaime est celle qui aime se faire offrir des fleurs, se faire chouchouter, a qui on offre tout notre amour... et on vit dans le respect mutuel. Je suis jaloux aussi (bcp le nient et peu se lavoue). Mais un macho nèst pas forcement kkun qui empechent la femme detre elle meme ou de sepanouir. Je crois ke ca depend de leducation, des valeurs, lexemple des parents et de linfluence de lenvrionnement. Je peux me faire dire ke je suis macho ou conservateur mais ca nempeche que jai enormement de respect pour la femme. Et pis celle qui a sorti le gros cliche plus haut , du genre "ton ideal c l'Islam!" , je nai jamais parle d'Islam jcomprends pas. Ce kon appelle negativement le "le machisme", ca n'a pas de religion ni de pays , c'est plus un trait de caractere chez les hommes. En ce qui concerne les valeurs et la morale, ca se transmet par les parents, a lecole, lentourage, la religion (pour ceux ki ont des liens)... certaines personnes et jen fait partie ont besoin dun modele! Je sais que je ne suis pas la mojorite des gens et je me rends compte tous les jours.je suis daccord avec celui ou celle qui a dit que les configurations de relations conjugales sont devenus plus variees qu'avant, et plus complexes. Ce n'est pas etonnant puiskon vit dans un monde de plus en plus complexes.Difficile aussi de sortir une generalite, c'est du cas par cas et pis chacun trouvera son bonheur selon sa situation.
Habitués cherry Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 (modifié) Parce qu'une femme de 98 ans a des propos qui ne te conviennent pas tu la soupçonnes de souffrir d'Alzheïmer ???? :biohazar: Donc. Pour résumer tes opinions en général jusqu'ici ... si nous ne pensons pas comme toi ... nous sommes soit endoctrinés ... soit trop romantiques ... soit Alzheïmers. Wow ... édifiant.Édifiant en effet... Modifié 13 mai 2008 par cherry
Habitués Nini Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 En tout cas, pour ma part, je suis bien content de ne pas venir en célibataire... :w00t: :w00t: :w00t: A toi aussi tu t'es fait cette réflexion ! :w00t: :w00t: :w00t: :w00t: Je suis un peu inquiète pour mes fils mais pas tant que cela, Montréal est très cosmopolite :w00t: :w00t: :w00t:
Habitués Biztalk Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 En tout cas, pour ma part, je suis bien content de ne pas venir en célibataire... :w00t: :w00t: :w00t: A toi aussi tu t'es fait cette réflexion ! :w00t: :w00t: :w00t: :w00t: Je suis un peu inquiète pour mes fils mais pas tant que cela, Montréal est très cosmopolite :w00t: :w00t: :w00t:T'inquiète pas pour tes enfants Nini, avec des commentaires du genre, on va se tanner bien assez vite et toute vous foutre dehors. :w00t: Biztalk.
Habitués samanta66 Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 (modifié) [quote name='cherry' date='12-05-2008 à 20:28' post='738455]Parce qu'une femme de 98 ans a des propos qui ne te conviennent pas tu la soupçonnes de souffrir d'Alzheïmer ???? :biohazar: Donc. Pour résumer tes opinions en général jusqu'ici ... si nous ne pensons pas comme toi ... nous sommes soit endoctrinés ... soit trop romantiques ... soit Alzheïmers. Wow ... édifiant.Édifiant en effet... [/quotEst ce que tu es d'accord sur le fait que l'église d'il y a 50 ans, forçait les femmes à avoir plus d'enfants, à être des machines productrices de mômes, en interdisant ( avec l'apparition des méthodes de contraception) l'utilisation de la contraception en la traitant de péché, empêchant la femme d'avoir des choix pour sa vie ou sur ce qu'elle peut aimer ou détester, l'obligeant à jouer le rôle de la maman comme la seule destinée de la femme, se mêle de la vie privée des couples et des familles, est ce normal cela?Si ta réponse est non et je suis sûr que c'est le cas en te connaissant à travers tes nombreuses contributions dans ce forum (dailleurs tu m'étonne aujourd'hui avec ce poste, bref) alors la madame de 98 ans doit souffrir de la maladie d'Alzheimer étant donné qu'elle glorifie cette époque dont la dernière parti sous Duplessis est nommée époque de la grande noirceur Pour répondre à Nini, concernant le choix du nom, si tu veux que tes enfants aient le même nom de famille que leurs mère il suffit de leurs donner ton nom de famille à toi, si ton mari réclame la même chose , au Québec et je ne sais pas ailleurs, il ya la solution des enfants qui portent les deux noms de familles des deux parents avec un trait d'union entre les deux , n'est ce pas beau le Québec, si un pays comme le Québec n'existait pas ,ça aurait était bein invivable. Histoire véridique`En partant l'été passé en visite vers l'Algérie, pendant l'attente de l'avion j'ai rencontré une femme la quarantaine, avec sa fille de 2 ans environ, au cours de la discussion et en abordant le sujet du droit de la femme, au canada, de donner son nom de jeune fille à ses enfants selon un commun accord dans le couple, elle m'a informé que ses 3 enfants qu'elle a fait au Québec portent son nom à elle, par choix du couple car le nom de son mari est trop dur à prononcer alors que le sien passe mieux au Québec, j'ai salué la position de son mari car c'est quelque chose pour nous Modifié 13 mai 2008 par samanta66
Habitués Tyrone Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 T'inquiète pas pour tes enfants Nini, avec des commentaires du genre, on va se tanner bien assez vite et toute vous foutre dehors. :w00t:Le truc qu'il faut que tu comprennes, c'est que si un jour on part du Québec, c'est que nous le voudrons bien.Ce n'est ni toi ni personne qui nous renverra chez nous, tu comprends ça?
Habitués Lilideslacs Posté(e) 13 mai 2008 Auteur Habitués Posté(e) 13 mai 2008 Est ce que tu es d'accord sur le fait que l'église d'il y a 50 ans, forçait les femmes à avoir plus d'enfants, à être des machines productrices de mômes, en interdisant ( avec l'apparition des méthodes de contraception) l'utilisation de la contraception en la traitant de péché, empêchant la femme d'avoir des choix pour sa vie ou sur ce qu'elle peut aimer ou détester, l'obligeant à jouer le rôle de la maman comme la seule destinée de la femme, se mêle de la vie privée des couples et des familles, est ce normal cela?Si ta réponse est non et je suis sûr que c'est le cas en te connaissant à travers tes nombreuses contributions dans ce forum (dailleurs tu m'étonne aujourd'hui avec ce poste, bref) alors la madame de 98 ans doit souffrir de la maladie d'Alzheimer étant donné qu'elle glorifie cette époque dont la dernière parti sous Duplessis est nommée époque de la grande noirceurSamantha66 ou as-tu vu que Hermina glorifiait cette époque ??? :biohazar: Elle a seulement dit qu'elle n'était pas malheureuse. Comme d'autres me l'ont dit aussi. Est-ce une ôde au Duplessisme que tu vois là ???Bien sur qu'a cette époque tout n'était pas rose. L'influence de la religion dans les chambres à coucher, les naissances multiples etc. Est-ce plus rose maintenant qu'il n'y a plus aucune limite ? La quête du plaisir à tout prix a aussi un prix. Dans d'autres messages une personne à dit ... maintenant les femmes ont plusieurs choix.Est-ce à dire que les femmes qui optent pour des choix, que vous trouver rétrogrades, sont nécessairement connes ou Alzheïmer.Est-il honteux d'être heureux de simplement prendre soin de sa famille ?Faut-il absolument avoir à la boutonnière le FF pour être heureuse ?Je maintiens ce que je dis à savoir que les changements de société que nous avons vécu depuis l'étatisme, le féminisme etc. n'a pas apporté que des changements positifs.Qu'ils sont en partis responsable de bien des maux que nous vivons aujourd'hui.Est-ce que j'ai dis ... ouaisssssssssss revenons en arrière et mettons nous à pondre des enfants jusqu'a ce que nos entrailles n'en peuvent plus ? Revenons à la société patriarcale ? Je crois simplement qu'en rejettant le passé d'un bloc nous avons jetté le bébé avec l'eau du bain.Que nous avons rejetté des valeurs importantes telles: la famille, l'entraide, le partage, la collectivité etc. Tout n'était pas mauvais dans ces temps-là. Et tout n'est pas bon dans ces temps-ci.Je crois simplement que lorsqu'on admet qu'il y a un problème ... c'est déja une partie de la solution que l'on tient.Individuellement et collectivement.Mais bien sur certaines préfèrent dire ... ils n'ont qu'a s'adapter ... ce qui reviens à dire ... marche ou crève ... et moi je ne peux pas être d'accord avec ça.
Habitués Lilideslacs Posté(e) 13 mai 2008 Auteur Habitués Posté(e) 13 mai 2008 En tout cas, pour ma part, je suis bien content de ne pas venir en célibataire... :w00t: :w00t: :w00t: A toi aussi tu t'es fait cette réflexion ! :w00t: :w00t: :w00t: :w00t: Je suis un peu inquiète pour mes fils mais pas tant que cela, Montréal est très cosmopolite :w00t: :w00t: :w00t:Franchement Nini !!! :biohazar:
Invité Posté(e) 13 mai 2008 Posté(e) 13 mai 2008 En tout cas, pour ma part, je suis bien content de ne pas venir en célibataire... :w00t: :w00t: :w00t: A toi aussi tu t'es fait cette réflexion ! :w00t: :w00t: :w00t: :w00t: Je suis un peu inquiète pour mes fils mais pas tant que cela, Montréal est très cosmopolite :w00t: :w00t: :w00t:T'inquiète pas pour tes enfants Nini, avec des commentaires du genre, on va se tanner bien assez vite et toute vous foutre dehors. :w00t: Biztalk. Ben qui va faire les petits québécois de demain ? C'est quoi la solution de rechange ? L'extinction de la race peut être...
Habitués Nini Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 En tout cas, pour ma part, je suis bien content de ne pas venir en célibataire... :w00t: :w00t: :w00t: A toi aussi tu t'es fait cette réflexion ! :w00t: :w00t: :w00t: :w00t: Je suis un peu inquiète pour mes fils mais pas tant que cela, Montréal est très cosmopolite :w00t: :w00t: :w00t:Franchement Nini !!! :biohazar:Et pourtant sans rire je ne veux pas que mes fils soient traités comme un bien de consommation jetable car ils ont un autre modèle du couple et des relations.Mais comme à Montréal il y a toutes les origines et toutes les nationalités ... De toute manière, ils vont s'en apercevoir tout seul.Les portuguais se marient entre eux, personne songe à les foutre dehors, faut sortir de chez toi Biztalk, les communautés se mélangent rarement aux québécois et restent bein implantées.Mis à part cela, je m'en fous pas mal que les québécois que je cotoie aient au maxi un enfant et refont leurs couples régulièrement, ils sont très gentils, agréables ... c'est l'essentiel. Les relations entre les québécois et les québécoises ne me concernent pas, le principal est que j'en tire un avantage direct en ayant ici une famille nombreuse : 2 enfants :w00t: :w00t: J'aimerai aussi rectifié une croyance populaire : les dérives de l'église catholique vis à vis des femmes sont spécifiques au Québec. CELA N'A JAMAIS ETE LE CAS EN FRANCE, où cela fait bien longtemps (plusieurs générations) que l'église ne joue PLUS DU TOUT UN ROLE SOCIAL, et heureusement !Pour le nom de famille : Qu'est ce que cela change que les enfants prennent le nom de la mère ? dans ce cas il y a toujours 2 noms dans la famille puisque le père a un autre nom.
Habitués sora Posté(e) 13 mai 2008 Habitués Posté(e) 13 mai 2008 Vos réponses m'agacent un peu depuis le début je m'étais abstenue de répondre, mais là trop c'est trop !J'aimerai d'abord rappeler à nos chers amis français qu'il a aussi des divorces en France et que les femmes changent également de partenaire tout comme les hommes ... Et que vous faites pas énormément plus d'enfants que nous ( 2,1 pour 1,6 au Québec ). Et je suis agacé de voir que vous généralisé sur les québécoise ! Toutes les femmes que je connais autour de moi sont mariées ou en couple depuis de nombreuse années ! Et elles ne changent pas de partenaire comme de chemise et elles sont en couple avec des québécois. Et ces hommes n'ont pas l'air d'être plus malheureux qu'un autre ! Certes elles ont moins d'enfants qu'avant ou tout simplement en ont plu tard vers leur 35ans. Moi même je suis mariée, mais je n'ai pas l'intention d'avoir des enfants avant quelques années encore le temps de bien m'installer dans ma carrière. Parce que bon faut être réaliste un peu, de nos jours avec un salaire c'est plus trop possible de vivre correctement avec des enfants ! Que des femmes décident de pas avoir d'enfants je crois que c'est un choix personnelle qui faut respecter ! Mais bon selon les chiffres les femmes de ma génération revienne aux sources d'ailleurs le nombre de naissance à légèrement repris du terrain c'est derrière année. Ils ont même parlé d'un mini-bébé-boom dans ma ville l'an dernier. Au passage en France, j'ai connu des couples qui ne voulaient pas avoir d'enfants parce qu'ils préféraient avoir plus de biens et faire des voyages ! Comme quoi ça n'existe pas qu'au Québec ! ( Et loin de moi de dire que les françaises sont toutes des féministes enragées ! )Pour ce qui est du problème de suicide chez les hommes ... Je crois pas que ça soit du au féminisme ... Selon les études, un des problème du Québec et que nous ne préparons pas nos jeunes à l'échec. Hors dans la vie on en rencontre pas mal ! À l'école, les profs ne peuvent plus dire que l'élève est mauvais en classe et même les parents le disent plus à leur progéniture. Évidemment ça fait tout un choc lorsqu'on rentre sur le marcher du travail ou qu'ils vivent leur première rupture amoureuse ... D'ailleurs je lisais dans le journal Le soleil de Vendredi je crois un article très intéressant sur l'échec scolaire des garçons. Dans le texte, on pouvait lire que selon les nouvelles études, les garçons n'échouent pas plus que les filles ( sauf pour le français). Apparemment les résultats sont assez similaire. Le problème sera des médias qui véhiculent le message que les garçons sont mauvais. Ça deux effets: chez les profs, ils attendent moins des garçons et ne les encouragent pas assez. Le deuxième est chez les garçons eux même qui se disent qu'ils sont mauvaises puisque c'est ce qu'on leur martèlent constamment. Il serait plus juste d'encourager également tous les jeunes. Dans le même texte, il disait également que de mettre les garçons tous ensemble qu'avec des profs masculins n'arrangent pas la situation.
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