kaélan Posté(e) 9 septembre 2007 Posté(e) 9 septembre 2007 Bonjour à tous,Je réfléchi sérieusement à reprendre mes études ici au Québec pour la rentrée 2008. Après plusieurs recherches auprès des universités, mon choix s'est finalement porté sur un BACC en administration car je pense que c'est ce qui suit le plus mon BTS Assistant de gestion.Par contre je me demandai si il était mieux de faire ce fameux bacc dans une université anglophone ou francophone? Y en a t-il parmi vous qui pourraient me conseiller et me dire lequel serait le plus "vendable" sur le marché du travail?Par ailleurs, titulaire d'un BTS, dois je quand même suivre le cursus complet des 3 ans pour obtenir le bacc?Merci de me faire part de vos expériences et de vos conseils... Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 9 septembre 2007 Habitués Posté(e) 9 septembre 2007 Comme vous êtes français, un B.A. dans une école anglophone vous donnerait probablement un atout supplémentaire (preuve irréfutable que vous parlez anglais, pas comme le Gendarme à New York...)McGill est très réputée soit dit en passant. Et vous pouvez remettre vos travaux en français. Citer
kaélan Posté(e) 9 septembre 2007 Auteur Posté(e) 9 septembre 2007 Comme vous êtes français, un B.A. dans une école anglophone vous donnerait probablement un atout supplémentaire (preuve irréfutable que vous parlez anglais, pas comme le Gendarme à New York...)McGill est très réputée soit dit en passant. Et vous pouvez remettre vos travaux en français.Merci pour votre réponse. Ca peut aider ca les travaux en français. Mais j'ai entendu dire que l'entrée y était difficile, mais bon qui ne tente rien n'a rien !Merci en tout cas... Citer
Habitués quebecoisbound Posté(e) 9 septembre 2007 Habitués Posté(e) 9 septembre 2007 Bonjour à tous,Je réfléchi sérieusement à reprendre mes études ici au Québec pour la rentrée 2008. Après plusieurs recherches auprès des universités, mon choix s'est finalement porté sur un BACC en administration car je pense que c'est ce qui suit le plus mon BTS Assistant de gestion.Par contre je me demandai si il était mieux de faire ce fameux bacc dans une université anglophone ou francophone? Y en a t-il parmi vous qui pourraient me conseiller et me dire lequel serait le plus "vendable" sur le marché du travail?Par ailleurs, titulaire d'un BTS, dois je quand même suivre le cursus complet des 3 ans pour obtenir le bacc?Merci de me faire part de vos expériences et de vos conseils...Tres tres bonne idee! Si tu veux travailler et avancer dans ta carriere ici, c'est quand meme tres important de parler l'anglais. Le fait d'avoir etudie dans une ecole anglophone montre le fait que tu as bien approfondi la langue anglaise. Aussi, c'est vrai que McGill a des criteres difficiles pour l'admission. Par contre, tu as tes chances. Tu peux aussi considerer Concordia comme option. Tres bonne ecole, tres anime, moins difficile d'avoir l'admission mais comme j'ai dit une bonne ecole. Bonne courage! Ne te decourage pas. Citer
kaélan Posté(e) 9 septembre 2007 Auteur Posté(e) 9 septembre 2007 Tres tres bonne idee! Si tu veux travailler et avancer dans ta carriere ici, c'est quand meme tres important de parler l'anglais. Le fait d'avoir etudie dans une ecole anglophone montre le fait que tu as bien approfondi la langue anglaise. Aussi, c'est vrai que McGill a des criteres difficiles pour l'admission. Par contre, tu as tes chances. Tu peux aussi considerer Concordia comme option. Tres bonne ecole, tres anime, moins difficile d'avoir l'admission mais comme j'ai dit une bonne ecole. Bonne courage! Ne te decourage pas. Citer
Habitués cherry Posté(e) 9 septembre 2007 Habitués Posté(e) 9 septembre 2007 Comme vous êtes français, un B.A. dans une école anglophone vous donnerait probablement un atout supplémentaire (preuve irréfutable que vous parlez anglais, pas comme le Gendarme à New York...)McGill est très réputée soit dit en passant. Et vous pouvez remettre vos travaux en français.Merci pour votre réponse. Ca peut aider ca les travaux en français. Mais j'ai entendu dire que l'entrée y était difficile, mais bon qui ne tente rien n'a rien !Merci en tout cas...Officiellement tu peux remettre tes travaux en français, mais officieusement c'est pas tout à fait le cas d'après ce que j'ai compris. Beaucoup de profs refusent ça. De toute façon, tous tes livres vont être en anglais, alors aussi bien se mettre à l'écrit aussi. Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 9 septembre 2007 Habitués Posté(e) 9 septembre 2007 Officiellement tu peux remettre tes travaux en français, mais officieusement c'est pas tout à fait le cas d'après ce que j'ai compris. Beaucoup de profs refusent ça. De toute façon, tous tes livres vont être en anglais, alors aussi bien se mettre à l'écrit aussi.Ça varie peut-être d'une faculté à l'autre ou d'un prof à l'autre. Ma fille vient de finir ses études à McGill et la première année en tout cas, elle remettait la plupart de ses travaux en français. Par contre je ne pourrais pas dire si ça a parfois eu un impact sur ses notes (par ex. si un prof n'aime pas les francophones ou a de la difficulté à lire le français). Citer
Habitués Opal Posté(e) 9 septembre 2007 Habitués Posté(e) 9 septembre 2007 Effectivement c'est une bonne idee, et Mc Gill jouit d'une excellente reputation mondiale notamment acquise grace aux sciences, Concordia se targue d'etre meilleure en business management. Tu as plusieurs mois de toute facon pour approfondir la question.Cependant, je trouve l'idee de remettre ses travaux en francais dans une universite anglophone completement saugrenue. Autant aller dans une universite francophone directement non? En fin de cursus le diplome de l'universite anglophone indique a tout recruteur portentiel que tu sais communiquer, notamment a l'ecrit dans la langue de Shakespeare, non pas que tu n'as fait qu'y acquerir les enseignement techniques de ta profession, tout en ecrivant en francais. Ca ne serait pas tres ethique n'est-ce-pas? Citer
Habitués JayJay Posté(e) 9 septembre 2007 Habitués Posté(e) 9 septembre 2007 Cependant, je trouve l'idee de remettre ses travaux en francais dans une universite anglophone completement saugrenue. Autant aller dans une universite francophone directement non? En fin de cursus le diplome de l'universite anglophone indique a tout recruteur portentiel que tu sais communiquer, notamment a l'ecrit dans la langue de Shakespeare, non pas que tu n'as fait qu'y acquerir les enseignement techniques de ta profession, tout en ecrivant en francais. Ca ne serait pas tres ethique n'est-ce-pas?C'est peut-être saugrenu, mais la seule langue officielle au Québec est le français, et les universités sont obligées, les pauvres, d'accepter les travaux en français. Alors si un prof d'université au Québec n'est pas assez intelligent pour comprendre le français... c'est son problème. En 1è année, à Concordia, j'ai remis TOUS mes travaux en français sans impact sur mes notes sauf en histoire avec le professeur Graeme Decarie, un espèce de raciste confirmé. Mais quelques profs m'ont dit qu'ils ne me pénaliseraient pas si je décidais de remettre mes travaux en anglais et qu'il y avait des petites fautes de style (je ne faisais pas de fautes de grammaire ni d'orthographe, c'est sûr). Donc peu à peu je me suis sentie à l'aise de rédiger en anglais. J'étais bien sûr dans une filière universitaire où la production de texte est énorme. Citer
Habitués Opal Posté(e) 9 septembre 2007 Habitués Posté(e) 9 septembre 2007 C'est peut-être saugrenu, mais la seule langue officielle au Québec est le français, et les universités sont obligées, les pauvres, d'accepter les travaux en français. Alors si un prof d'université au Québec n'est pas assez intelligent pour comprendre le français... c'est son problème. En 1è année, à Concordia, j'ai remis TOUS mes travaux en français sans impact sur mes notes sauf en histoire avec le professeur Graeme Decarie, un espèce de raciste confirmé. Mais quelques profs m'ont dit qu'ils ne me pénaliseraient pas si je décidais de remettre mes travaux en anglais et qu'il y avait des petites fautes de style (je ne faisais pas de fautes de grammaire ni d'orthographe, c'est sûr). Donc peu à peu je me suis sentie à l'aise de rédiger en anglais. J'étais bien sûr dans une filière universitaire où la production de texte est énorme.Parce que parler le francais releve de l'intelligence? Au moins autant que ce genre d'affirmation pleine de fiel Citer
Habitués Angela Posté(e) 9 septembre 2007 Habitués Posté(e) 9 septembre 2007 Cependant, je trouve l'idee de remettre ses travaux en francais dans une universite anglophone completement saugrenue. Autant aller dans une universite francophone directement non? En fin de cursus le diplome de l'universite anglophone indique a tout recruteur portentiel que tu sais communiquer, notamment a l'ecrit dans la langue de Shakespeare, non pas que tu n'as fait qu'y acquerir les enseignement techniques de ta profession, tout en ecrivant en francais. Ca ne serait pas tres ethique n'est-ce-pas?Bon, Opal, ce n'est pas si saugrenu que ça. Avec mon niveau intermédiaire acquis à Concordia, je ne suis pas bonne pour un texte fouillé de 15 pages en anglais! Avec références End-Notes et tout le tremblement! Tu oublies un peu que nous parlons, nous écrivons mieux en français mais le plus important, nous PENSONS en français. Le temps que j'acquière suffisamment de langue pour PENSER en anglais, les universités anglos font des accomodements raisonnables aux francophones que nous sommes: rédiger nos travaux dans la langue dans laquelle nous pensons ...La plupart des étudiants francophones sont capables de rédiger correctement en deuxième ou troisième année, alors on les accomode le temps d'une ou deux sessions. Après tout, le choix est clair: accomoder les francophones, ou les voir attirés pas des universités du RoC ou des USA. La concurrence est rude là aussi, tsé! Citer
Habitués JayJay Posté(e) 10 septembre 2007 Habitués Posté(e) 10 septembre 2007 C'est pas plein de fiel, c'est juste raisonnable qu'un professeur d'université parle la langue du pays où il se trouve, c'est tout. Et 99,8% de mes profs à Concordia comprenaient très bien le français, y compris ma prof originaire de l'Inde, Mme Reeta Chowdary-Tremblay. Le français est la seule langue officielle du Québec, point à la ligne. Et j'ai eu plusieurs profs américains, notamment M. McFalls à l'UdeM, qui parlait un français irréprochable et qui était d'ailleurs un ardent défenseur du français à l'université. Citer
Habitués Opal Posté(e) 10 septembre 2007 Habitués Posté(e) 10 septembre 2007 Cependant, je trouve l'idee de remettre ses travaux en francais dans une universite anglophone completement saugrenue. Autant aller dans une universite francophone directement non? En fin de cursus le diplome de l'universite anglophone indique a tout recruteur portentiel que tu sais communiquer, notamment a l'ecrit dans la langue de Shakespeare, non pas que tu n'as fait qu'y acquerir les enseignement techniques de ta profession, tout en ecrivant en francais. Ca ne serait pas tres ethique n'est-ce-pas?Bon, Opal, ce n'est pas si saugrenu que ça. Avec mon niveau intermédiaire acquis à Concordia, je ne suis pas bonne pour un texte fouillé de 15 pages en anglais! Avec références End-Notes et tout le tremblement! Tu oublies un peu que nous parlons, nous écrivons mieux en français mais le plus important, nous PENSONS en français. Le temps que j'acquière suffisamment de langue pour PENSER en anglais, les universités anglos font des accomodements raisonnables aux francophones que nous sommes: rédiger nos travaux dans la langue dans laquelle nous pensons ...La plupart des étudiants francophones sont capables de rédiger correctement en deuxième ou troisième année, alors on les accomode le temps d'une ou deux sessions. Après tout, le choix est clair: accomoder les francophones, ou les voir attirés pas des universités du RoC ou des USA. La concurrence est rude là aussi, tsé!Bel effort Angela, et je t'en sais gre de fournir cette explication logique dans le contexte du Quebec. Mais justement, dis-moi cela ne ressemble-t-il pas a un accomodement d'enfants gates? Tu as vu comme moi beaucoup de tes compatriotes partir etudier avec des bourses a Moscou, Cuba, Londres, aux USA, en Allemagne ou en Italie par exemple: comme partout ailleurs, ils devaient etudier dans la langue de l'universite sans regime de faveur, faisaient une annee ou plus de langue et sautaient dans le bain sans bouee, et reussissaient pour la plupart brillamment sinon ils auraient perdu leurs bourses. Les Quebecois francophones ne doivent-ils pas passer le TOEFL pour integrer ces universites anglophones? Si oui, c'est que lorsqu'ils y sont admis ils ont le niveau necessaire pour etudier en anglais sans faveur? Si non, eh bien je me demandes bien pourquoi j'ai du le passer moi pour integrer Concordia (tiens oui moi aussi, nous sommes donc nombreux ici hein?).Et je maintiens mon avis sur le voile que cela peut jeter sur l'honnetete intellectuelle d'un diplome d'une de ces universites qui y aurait travaille en Francais, mais se vendrait comme parfait bilingue...Quid de la difficulte de ces universites alors a attirer les meilleurs profs dans la competition farouche entre toutes les universites nord-americaines: ces profs aussi brillants soient-ils se heurtent inevitablement a une barriere a l'entree pour venir au Quebec, a moins d'apprendre le francais a un niveau suffisant pour corriger des devoirs universitaires. Citer
Habitués JayJay Posté(e) 10 septembre 2007 Habitués Posté(e) 10 septembre 2007 Au fait il est rarissime que les profs titulaires/associés corrigent eux-mêmes les devoirs. Ils le font éventuellement pour les étudiants de troisième/quatrième année, les petites classes. Les devoirs sont le plus souvent corrigés par les auxiliaires d'enseignement. Les auxiliaires d'enseignement sont le plus souvent bilingues, parce qu'à ce niveau-là, on commence à l'être, je pense. Je ne pense pas qu'on peut se "vendre" parfait bilingue en ne l'étant pas; il y a forcément un moment où on est testé lors d'un recrutement, et où l'employeur a la possibilité de vérifier le niveau de bilinguisme. De plus j'irais jusqu'à dire que faire son bac dans une langue seconde ne garantit pas forcément qu'on ait du talent dans cette langue. Au fait, les professeurs d'universités américains sont pratiquement tous bilingues. Eh oui, parce qu'il est obligatoire aux niveaux supérieurs des universités américaines qui se respectent d'apprendre une deuxième et même une troisième langue. C'est incroyablement discriminatoire, n'est-ce pas, c'est une barrière infranchissable pour tous ces étudiants brillants qui n'arrivent pas à apprendre une langue seconde mais qui feraient de si bons profs... Citer
Habitués jimmy Posté(e) 10 septembre 2007 Habitués Posté(e) 10 septembre 2007 Au fait, les professeurs d'universités américains sont pratiquement tous bilingues. Eh oui, parce qu'il est obligatoire aux niveaux supérieurs des universités américaines qui se respectent d'apprendre une deuxième et même une troisième langue. C'est incroyablement discriminatoire, n'est-ce pas, c'est une barrière infranchissable pour tous ces étudiants brillants qui n'arrivent pas à apprendre une langue seconde mais qui feraient de si bons profs...Il y a 4 ans j'ai pris un cour a l'université du Québec sur l'histoire des États-Unis (oui j'aime bien me renseigner sur les pays que je méprise ) et mon prof était un états-uniens qui parlait parfaitement le francais.jimmyps. ca me drôle de lire ce fil quand je me rappelle que dans mes belles jeunes années j'ai participé a une manifestation monstre a Montréal ou nous réclamions que McGill soit.....francais Citer
Habitués brigit Posté(e) 10 septembre 2007 Habitués Posté(e) 10 septembre 2007 Au fait, les professeurs d'universités américains sont pratiquement tous bilingues. Eh oui, parce qu'il est obligatoire aux niveaux supérieurs des universités américaines qui se respectent d'apprendre une deuxième et même une troisième langue. C'est incroyablement discriminatoire, n'est-ce pas, c'est une barrière infranchissable pour tous ces étudiants brillants qui n'arrivent pas à apprendre une langue seconde mais qui feraient de si bons profs... selon mon souvenir, pas beaucoup de profs bilingues de mon temps... et même plus récemment à l'AUP (American University of Paris), quelques zozos persuadés de pouvoir survivre à Paris sans un mot de français.B :biohazar: Citer
Habitués cherry Posté(e) 10 septembre 2007 Habitués Posté(e) 10 septembre 2007 ps. ca me drôle de lire ce fil quand je me rappelle que dans mes belles jeunes années j'ai participé a une manifestation monstre a Montréal ou nous réclamions que McGill soit.....francaisJustement, c'est bien que tu en parles, parce que c'est grâce à ces manifs que les étudiants francophones peuvent maintenant remettre leurs travaux en français. Il faut que tu comprennes Opal qu'il fut un temps ou les francophones étaient très limités au niveau des universités francophones: si je ne me trompe pas, il n'y avait que l'UDM et l'Université Laval à Québec, le réseau de l'Université du Québec n'étant pas encore créé. Or les francophones étaient beaucoup plus nombreux que les anglophones et ils contribuaient à financer les universités anglophones. Ils ont donc exigé que McGill leur soit accessible pas le biais du mouvement McGill français.Une revue de l'événement 30 ans plus tard: http://news-archive.mcgill.ca/s99/demo.htm Citer
Habitués Opal Posté(e) 10 septembre 2007 Habitués Posté(e) 10 septembre 2007 OK, je vous assez taquine les Quebecois :original: Je comprends comment cela s'est passe et impose Cherry. Cela reste, comment dire...cocasse, vu de l'exterieur, cela-existe-t-il ailleurs dans le monde a votre connaissance ou est-ce unique a Montreal?JayJay, j'ai eu plus d'un prof a Concordia qui ne parlaient pas du tout francais ou alors juste quelques phrases, et comme le dit Brigit, je ne suis pas convaincu non plus qu'il ya ait beaucoup de profs etasuniens qui soient bilingues, sauf a avoir grandi avec une autre langue maternelle que l'anglais.Cela dit, je devine que ce n'est qu'en premiere annee que les etudiants doivent reellement profiter de cet avantage le temps de prendre confiance en leur capacite a ecrire en anglais, de l'avoir pratique quotidiennement sur le campus pendant toute l'annee et donc d'oser exposer leur style et leur syntaxe. Et aussi parce que cela devient finalement une gymnastique plus compliquee de devoir tout traduire en francais (notions, expressions, questions, reflexions, bref toutes les sources que l'on utiliser pour rediger un devoir, sachant que toute la matiere premiere est tout en anglais) plutot que de rendre ses travaux directement en anglais les doigts dans le nez. C'est donc surement des la deuxieme annee que l'etudiant francophone atteint ce seuil. Tiens il serait interessant de savoir si une etude a deja ete realisee sur le sujet?Et je reitere ma question: cela ne complique-t-il pas la competition pour attirer des sommites non francophones dans ces universites, tels que des prix Nobel ou des medailles Fields qui ne piperaient pas un mot de Francais? Faudrait user de subtilite pour leur faire comprendre que leurs etudiants de maitrise ou plus ou leurs thesards pourront compenser cette lacune et que de toute facon les etudiants malgre tout parlent couramment anglais, notamment apres le premier cycle ou on ne les verrait jamais eux. J'imagine ces discussions Pas etonnant que vos comiques soient si droles, avec toute la matiere qu'ils ont a disposition Opal taquin Citer
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