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Posté(e)

Je pense qu'au contraire, il ne faut pas s'amuser à essayer de comparer ou a trop réflechir. Certes, il faut savoir à quoi s'attendre, surtout si on est dans une catégorie d'emploi protégé (médecin, architecte ...). Par contre, pas de soucis du côté de la restauration :).

Si on se référe à la théorie de Maslow (psychologue 1908-1970) sur la motivation, on touche à ce qui est lié au besoin de sécurité (emploi garanti, appartement ...). Par contre, jusqu'où tu ressens un sentiment d'accomplissement dans ta vie ? Je pense que la bonne question (si il y en a une :huh:) est "Oseras-tu vivre cette aventure ?". De vivre bien sûr les bons et les mauvais côtés ?

SOURCE : Pyramide des besoins de Maslow

(y a pas de honte 50% des Français rentrent au bout de 5 ans)

J'ai un énorme doute sur ce chiffre ... tu as les sources ?

"On peut de prime abord croire que le recours à l'immigration francophone pourrait encourager les nouveaux arrivants à rester au Québec. Or, les immigrants des pays francophones ne semblent guère manifester une propension plus élevée à s'établir au Québec, bien au contraire. Selon une étude du démographe Marc Termote de l'Institut national de la recherche scientifique, la perte moyenne parmi l'ensemble des immigrants arrivés entre 1976 et 1986, c'est-à-dire après une durée moyenne de cinq ans de séjour, est de 28 %; cette perte s'élève à 30 % pour les Libanais, les Marocains et les Belges, à 40 % pour les Suisses, à 44 % pour les Algériens et à 47 % pour les Français. On imagine le taux des départs après 10, 15 ou 20 ans. Dans ces conditions, toute politique visant à attirer plus d'immigrants francophones ne récoltera qu'un succès limité."

C'est le point 3 sur ce lien

http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amnord/quebecdefi.htm

Posté(e)

Ouais je le vois arriver avec ces gros sabots....typique des propos des visiteurs du site moutarde.

Pour un gars en processus, je le trouve bien déprimant, vous ne trouvez pas....?

J'ai de la peine à croire à la sincérité de ses propos...

Voyons sa réaction à la non publication de sa réponse.

C'est typique des trolls de jaune moutarde...."Ah 50 % des Français retournent"...j'ai ententu la chanson plus d'une fois...et clap ils te prennent lorsque tu dis : c'est quoi les sources ? Typique.

Faut savoir que Marc Termote c'est le maître à penser de Takvorian ! Il se couche le soir en lui faisant une prière !

Posté(e)

Je pense qu'au contraire, il ne faut pas s'amuser à essayer de comparer ou a trop réflechir. Certes, il faut savoir à quoi s'attendre, surtout si on est dans une catégorie d'emploi protégé (médecin, architecte ...). Par contre, pas de soucis du côté de la restauration :).

Si on se référe à la théorie de Maslow (psychologue 1908-1970) sur la motivation, on touche à ce qui est lié au besoin de sécurité (emploi garanti, appartement ...). Par contre, jusqu'où tu ressens un sentiment d'accomplissement dans ta vie ? Je pense que la bonne question (si il y en a une :huh:) est "Oseras-tu vivre cette aventure ?". De vivre bien sûr les bons et les mauvais côtés ?

SOURCE : Pyramide des besoins de Maslow

(y a pas de honte 50% des Français rentrent au bout de 5 ans)

J'ai un énorme doute sur ce chiffre ... tu as les sources ?

Les sources :http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amnord/quebecdefi.htm

Le point 3

"On peut de prime abord croire que le recours à l'immigration francophone pourrait encourager les nouveaux arrivants à rester au Québec. Or, les immigrants des pays francophones ne semblent guère manifester une propension plus élevée à s'établir au Québec, bien au contraire. Selon une étude du démographe Marc Termote de l'Institut national de la recherche scientifique, la perte moyenne parmi l'ensemble des immigrants arrivés entre 1976 et 1986, c'est-à-dire après une durée moyenne de cinq ans de séjour, est de 28 %; cette perte s'élève à 30 % pour les Libanais, les Marocains et les Belges, à 40 % pour les Suisses, à 44 % pour les Algériens et à 47 % pour les Français. On imagine le taux des départs après 10, 15 ou 20 ans. Dans ces conditions, toute politique visant à attirer plus d'immigrants francophones ne récoltera qu'un succès limité."

  • Habitués
Posté(e)

Même message posté ce matin (voir ci-dessus).

  • Habitués
Posté(e)

On peut leur faire dire ce que l'on veut aux statistiques :

L'immigration au Québec en quelques chiffres ...

Que sont devenus les immigrants de 1995-2004 ?

Sur l'ensemble des 332000 immigrants admis au Québec entre 1995 et 2004, 80,3% sont présents en 2006 au Québec (toute catégorie confondue : immigration économique, regroupement familial, réfugiés, autres). Ce taux est de 83,8% pour les travailleurs qualifiés.

On ne note pas de différences quant à la présence au Québec selon le sexe de la population immigrante.

Selon le groupe d'âge des immigrants, les immigrants qui montrent la plus forte présence sont les très jeunes enfants, soit les moins de cinq ans, et les jeunes adultes âgés de 25 à 34 ans, et la plus faible présence est remarquée chez les personnes âgées entre 45 et 64 ans.

La présence diffère selon la connaissance ou non du français au moment de l'admission. La présence la plus importante s'observe chez les immigrants connaissant le français (87,0 %); chez les immigrants connaissant uniquement l'anglais ou ne connaissant ni le français ni l'anglais, elle s'établit à 75 % (75,0 % et 74,8 % respectivement).

Parmi les immigrants présents au Québec en 2006, 78,8 % d'entre eux résidaient dans la région métropolitaine de Montréal (RMM), tandis que 17,5 % habitaient une région hors de la RMM.

D'où viennent-ils ? 10,3% viennent de France, 7,5% de Chine, 6% d'Algérie, 5,9% du Maroc et 4,8% de Roumanie. 81,5% des français, 66,2% des chinois, 94,7% des alégriens, 92,7% des Marocains et 84,3% des roumains qui ont immigrés entre 1995 et 2004 sont présents au Québec en 2006..

L'immigration économique représente 49,2% des immigrants, le regroupement familial 28,2% et les réfugiés 22,1%.

SOURCE : Statistiques sur le lieu d'établissement des immigrants

  • Habitués
Posté(e)

Ce ne sont que des chiffres en effet.

Concernant le % de Français faisant le chemin inverse après x années, même le ministère des Affaires étrangères Français est incapable de le dire de manière précise.

J'ai relu récemment le livre de Valérie Lion (qui vaut ce qu'il vaut sur certains points), et les chiffres qu'elle donne, à priori sérieux également, sont à l'opposé de ceux déjà cités. Comme quoi, personne n'est réellement d'accord.

Est-ce que l'on doit se baser sur ce type de chiffres et/ou statistiques pour savoir si un projet d'immigration est viable ou non ? Je ne pense pas.

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