Laurent Posté(e) 18 avril 2006 Posté(e) 18 avril 2006 Pour les travailleurs étrangers, seules les villes canadiennes offrent une qualité de vie comparable à celle de l'EuropeÀ part Vancouver, qui arrive au troisième rang, et Toronto, en 16e position, ce sont presque toutes des villes européennes qui se situent dans le top 20 des grandes agglomérations de la planète pour ce qui est de la qualité de vie des «expatriés», c'est-à-dire les cadres des grandes entreprises qui doivent aller vivre à l'étranger pour leur travail.Selon le sondage de Mercer Consultations en ressources humaines, qui chaque année présente les résultats d’une enquête fournissant des renseignements aux dirigeants des multinationales qui ont à établir la rémunération et les montants des primes à verser à leurs employés à l’étranger, Montréal arrive au 22e rang, le même résultat que l’an passé.Et Montréal ? La métropole arrive au 22e rang, comme l'an passé, selon le sondage de Mercer Consultations en ressources humaines, qui chaque année présente les résultats d'une enquête fournissant des renseignements aux dirigeants des multinationales qui ont à établir la rémunération et les montants des primes à verser à leurs employés à l'étranger. Le sondage est fait auprès des expatriés eux-mêmes, comme on les appelle chez Mercer, lequel ne donne toutefois pas le nombre des personnes interrogées. On mentionne simplement qu'en 2006 l'enquête sur la qualité de la vie ne portait que sur 215 villes, en comparaison de 350 dans les sondages précédents. Mercer explique que son analyse et son évaluation prennent en considération 39 facteurs de qualité de vie regroupés dans 10 catégories, à savoir l'environnement politique et social (stabilité politique, taux de criminalité, ordre), l'environnement économique (règlements sur le taux de change, services bancaires), l'environnement socioculturel (censure, limites aux libertés des personnes), les écoles et l'éducation, les services publics et les transports, les divertissements, les biens de consommation (disponibilité des aliments, autos, etc.), le logement et les services d'entretien, le milieu naturel (climat et antécédents de catastrophes naturelles). Ce sont deux villes suisses, Zurich et Genève, qui arrivent en tête. En troisième place, Vancouver devance Vienne. Toronto se situe au 16e rang. Ottawa, pour sa part, grimpe de la 21e à la 18e place; Calgary reste à la 25e. La première ville américaine à apparaître dans la liste est Honolulu, à Hawaii. San Francisco la suit de près, en 27e place, et Boston se trouve en 36e position. Chaque ville a une note, New York servant de référence avec une cote de 100. Par comparaison, Zurich, en première position, a une note de 108,2 et Montréal, de 104,3. Certains se demandent sans doute quelle ville arrive en queue de peloton ? Pour des raisons qui semblent évidentes, c'est Bagdad, avec une cote de 14,5. Sylvie St-Onge, qui travaille pour Mercer à ses bureaux de Montréal, souligne que le sondage est conçu de manière à établir quelles sont les villes qui non seulement attirent les gens, mais surtout les retiennent. Souvent les multinationales et même de plus petites entreprises connaissent beaucoup de difficultés à maintenir du personnel à l'étranger pour diverses raisons, dont la langue, la culture, l'alimentation, l'éloignement. Les compagnies offrent en revanche diverses mesures de compensations, diverses primes pour l'éloignement, pour les risques, pour le coût de la vie, pour la famille et même pour compenser la perte de salaire que l'épouse doit subir en quittant un emploi pour suivre son mari à l'étranger. Chaque cas est traité de façon personnelle, mentionne Mme St-Onge. On peut citer comme exemple le cas de Mexico, qui arrive au 128e rang dans la liste de Mercer. Mexico est devenu l'une des villes les plus populeuses de la planète, avec des rues extrêmement encombrées, une sécurité nettement moindre que dans la moyenne des villes occidentales et enfin un taux de pollution atmosphérique très élevé. Pour cette dernière raison, des entreprises offrent une fois par mois à leurs expatriés une fin de semaine hors de la capitale, dans des endroits de villégiature non pollués, et cela en plus des autres primes. Globalement, les villes d'Europe et du Moyen-Orient maintiennent leur position, à l'exception du Caire qui a perdu neuf places et se retrouve au 132e rang. Paris et Londres occupent respectivement les 33e et 39e places. Plusieurs villes de l'Europe orientale montent dans la liste. À part quelques villes de Nouvelle-Zélande et d'Australie dans le bloc des 20 premières, Singapour, en 34e position, occupe la première place parmi les villes d'Asie. Shanghai, en 103e position, vient au premiere rang des villes chinoises. http://www.ledevoir.com/2006/04/12/106588.htmlLe détails de l'étude en question : http://www.mercerhr.com/pressrelease/detai...Content=1216575 Citer
Invité Posté(e) 18 avril 2006 Posté(e) 18 avril 2006 (modifié) Toronto 16e, Ottawa 18e .. ah l'Ontario : Bon ok je sors, j'ai fini de niaser Mais le mieux est de le vivre pour se dire si cela vous convient ou pas, et aucune etude ne le saura ! Modifié 18 avril 2006 par yottawa Citer
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