Invité Posté(e) 29 janvier 2006 Posté(e) 29 janvier 2006 Petite enquête de société entre le Québec et les usa :Tout en ayant un revenu moyen par habitant plus élevé qu'au Québec, ils sont nettement plus pauvres car les services rendus ici par l'État à des prix raisonnables sont aux États-Unis inaccessibles à des millions d'individus parce qu'effectués justement par le privé et vendus à des prix exorbitants. Prenons le cas des soins de santé privés aux States qui sont deux fois plus élevés par habitant que partout ailleurs dans le monde et qui font que 44 millions d'Américains n'ont aucune couverture d'assurance en raison des prix inabordables du privé. De plus, des millions de personnes âgées ne prennent pas leurs médicaments pour soigner leur diabète et leur cancer. Aux U.S.A., il y a les collèges et les universités privés à plus de 25 000$ par année. http://www.unites.uqam.ca/cese/chroniques/...001/juil01.html
Habitués Curieuse Posté(e) 29 janvier 2006 Habitués Posté(e) 29 janvier 2006 Petite enquête de société entre le Québec et les usa :Tout en ayant un revenu moyen par habitant plus élevé qu'au Québec, ils sont nettement plus pauvres car les services rendus ici par l'État à des prix raisonnables sont aux États-Unis inaccessibles à des millions d'individus parce qu'effectués justement par le privé et vendus à des prix exorbitants. Prenons le cas des soins de santé privés aux States qui sont deux fois plus élevés par habitant que partout ailleurs dans le monde et qui font que 44 millions d'Américains n'ont aucune couverture d'assurance en raison des prix inabordables du privé. De plus, des millions de personnes âgées ne prennent pas leurs médicaments pour soigner leur diabète et leur cancer. Aux U.S.A., il y a les collèges et les universités privés à plus de 25 000$ par année. http://www.unites.uqam.ca/cese/chroniques/...001/juil01.htmlT'as encore oublié de changer ton pseudo Baptiste. Tu as mêlé ton style avec celui de Franklin. Les preuves sont faites...
Invité Posté(e) 29 janvier 2006 Posté(e) 29 janvier 2006 Baptiste-Franklin !Franklin-Baptiste !Dans la liste des membres utilisateurs figure le pseudo Franklin, mais pas celui de Baptiste.Il appartient donc à Baptiste de se connecter ,en mème temps que Franklin ,pour prouver qu'il n'utilise pas 2 pseudos.on pourra alors voir Baptiste et franklin figurant tous les 2 , en mème temps , parmi les membres utilisateurs !Allez chiche Baptiste !!!
Habitués Petit-Prince Posté(e) 29 janvier 2006 Habitués Posté(e) 29 janvier 2006 http://www.forum.immigrer.com/index.php?s=...ndpost&p=388073
Invité Posté(e) 29 janvier 2006 Posté(e) 29 janvier 2006 Baptiste-Franklin !Franklin-Baptiste !Dans la liste des membres utilisateurs figure le pseudo Franklin, mais pas celui de Baptiste.Il appartient donc à Baptiste de se connecter ,en mème temps que Franklin ,pour prouver qu'il n'utilise pas 2 pseudos.on pourra alors voir Baptiste et franklin figurant tous les 2 , en mème temps , parmi les membres utilisateurs !Allez chiche Baptiste !!!Voici Baptiste! lolCe que vs êtes cons!
Habitués Petit-Prince Posté(e) 29 janvier 2006 Habitués Posté(e) 29 janvier 2006 Ce qui, en passant, ne prouve absolument RIEN !
Invité Posté(e) 29 janvier 2006 Posté(e) 29 janvier 2006 Ce qui, en passant, ne prouve absolument RIEN ! Chapeau !Oui t'as raison ça ne prouve abolument rien!!Baptiste et Franklin figurent tous les 2 parmi les membres utilisateursJ'avoue que je me suis planté. !!Je pense que tout un chacun a le droit d'exprimer ses sentiments, mème si on est tenu de ne pas dépasser certaines limites, et tenir des propos, qui font fi de toutes considérations humaines.
Habitués Curieuse Posté(e) 29 janvier 2006 Habitués Posté(e) 29 janvier 2006 Je viens de relire les règlements du forum. Il n'y a aucune règle qui interdise les propos à caractère racistes. Il faut juste rester courtois. Tu as donc le champs libre cher Baptiste Franklin.Amuses toi bien.
Invité Posté(e) 29 janvier 2006 Posté(e) 29 janvier 2006 Petite enquête de société entre le Québec et les usa :Tout en ayant un revenu moyen par habitant plus élevé qu'au Québec, ils sont nettement plus pauvres car les services rendus ici par l'État à des prix raisonnables sont aux États-Unis inaccessibles à des millions d'individus parce qu'effectués justement par le privé et vendus à des prix exorbitants. Prenons le cas des soins de santé privés aux States qui sont deux fois plus élevés par habitant que partout ailleurs dans le monde et qui font que 44 millions d'Américains n'ont aucune couverture d'assurance en raison des prix inabordables du privé. De plus, des millions de personnes âgées ne prennent pas leurs médicaments pour soigner leur diabète et leur cancer. Aux U.S.A., il y a les collèges et les universités privés à plus de 25 000$ par année. http://www.unites.uqam.ca/cese/chroniques/...001/juil01.htmlT'as encore oublié de changer ton pseudo Baptiste. Tu as mêlé ton style avec celui de Franklin. Les preuves sont faites...Pas du tout quel intérêt ? Je suis à Paris il est présentement 2.55 du matin demander à l'administrateursystème de vérifier .Envoyez lui un mp !Petit conseil si vous n'apprenez pas à penser par vous même d'autres personnes le feront à votre place.
Invité Posté(e) 29 janvier 2006 Posté(e) 29 janvier 2006 Je viens de relire les règlements du forum. Il n'y a aucune règle qui interdise les propos à caractère racistes. Il faut juste rester courtois. Tu as donc le champs libre cher Baptiste Franklin.Amuses toi bien.Vous savez la courtoisie ça s'apprend tout comme la sagesse.Vous ne saviez pas que tous les êtres humains possèdent 23 paires de chromosomes ? Alors je suis surpris que des personnes parlent encore de races moi ça me choque!Je l'ai pourtant précisé sur un autre fil vous devriez savoir que l'on devrait pourtant parlerd'espèce humaine avec des variétés ethniques tout comme on le fait pour les animaux .N'oubliez pas l'espèce est unique et la critique est facile mais l'art est difficile .Le fil concernait une comparaison de sociétés qui est très utile pour les immigrants et les futurs.
Habitués Curieuse Posté(e) 29 janvier 2006 Habitués Posté(e) 29 janvier 2006 Vous savez la courtoisie ça s'apprend tout comme la sagesse.Vous ne saviez pas que tous les êtres humains possèdent 23 paires de chromosomes ? Alors je suis surpris que des personnes parlent encore de races moi ça me choque!Je l'ai pourtant précisé sur un autre fil vous devriez savoir que l'on devrait pourtant parlerd'espèce humaine avec des variétés ethniques tout comme on le fait pour les animaux .N'oubliez pas l'espèce est unique et la critique est facile mais l'art est difficile .Le fil concernait une comparaison de sociétés qui est très utile pour les immigrants et les futurs.Les masques à la longue collent à la peau. L'hypocrisie finit par être de bonne foi. - Edmond et Jules de Goncourt
Invité Posté(e) 29 janvier 2006 Posté(e) 29 janvier 2006 Franklin ,il n'y a pas d'espèce humaine !!Il faut croire en l'homme quel qu'il soit.L'homme a certes subit des transformations radicales.Il a subit l'influence de la nature,qui l'a façonné, l'influence du milieu dans lequel il a vécu, l'influence de la langue, ,de la culture, etc...On dit en terminologie botanique ou zoologique, une race est une sous -espèce mais nous les hommes nous sommes sapiens sapiens.Il n'y a pas de races humaines, il y a une race humaine.Les populations ayant subit l'influence du milieu et de l'environnement , diffèrent par leurs diversités, par leurs spécifités etc...Mais le mélange de l'homme au niveau des tissus, des cellules, au niveau de la molécule,, etc.. ces distinctions n'ont aucun sens.Je voulais ecrire franklin ,il n'y as pas d'especes humaines, il y a une seule espèce humaine !!
Habitués be_CONST_ructive Posté(e) 29 janvier 2006 Habitués Posté(e) 29 janvier 2006 Pourriez vous s'il vous plait ne pas dévier du sujet initial. Merci.Les prochains messages n'ayant pas rapport seront effacés sans préavis.La Modération.
Invité Posté(e) 29 janvier 2006 Posté(e) 29 janvier 2006 The Montreal Economic Institute (MEI) Il est temps de démystifier le système de santé américainLe Droit (Ottawa), p. 23 / Norma Kozhaya, June 16, 2005En ouvrant la porte aux assurances santé privées, la décision récente de la Cour suprême a relancé un débat où le système américain sert souvent d?épouvantail. Il est vrai que le système de santé des États-Unis souffre de plusieurs problèmes et est loin d?être parfait. Mais les causes de ces problèmes ne sont pas celles qu?on pense et une perspective plus réaliste sur le système de nos voisins du sud conduirait à des débats plus pertinents que la répétition de mythes sans fondement. Un grand nombre de non-assurés?Premier mythe non fondé: celui du grand nombre de non assurés qui n?auraient accès à aucun soin.Il est vrai qu?un grand nombre d?Américains, soit 45 millions, ne sont pas assurés pour leurs soins de santé mais il faut mettre cette situation en perspective. Ce nombre ne représente qu?une minorité (15,6%) par rapport à la population totale de 288 millions d?habitants. Le fait de ne pas avoir d?assurance santé est bien souvent une situation temporaire causée par des changements d?emploi ou de situation familiale. Une portion non négligeable des non-assurés auraient par ailleurs les moyens financiers de se payer une assurance mais choisissent volontairement de ne pas le faire.De plus, et contrairement à une idée répandue, même les non-assurés ont accès à des soins de santé gratuits offerts par les hôpitaux publics, les centres de santé communautaires, les hôpitaux universitaires, etc., où les conditions sont similaires à celles des établissements de santé au Canada.Il y a donc un filet de sécurité pour les Américains qui ne sont pas officiellement assurés.Deuxième mythe sans fondement: celui d?un marché entièrement privé où règnerait le «capitalisme sauvage». Même si la plupart des établissements de santé américains sont privés, il existe aux États-Unis d?importants régimes publics d?assurance maladie: Medicare pour les 65 ans et plus et Medicaid pour les faibles revenus.Les dépenses publiques de santé par habitant sont dans les faits plus élevées aux États-Unis (2364$US) qu?au Canada (2048$US). Parmi les 30 pays de l?OCDE, les États-Unis sont au neuvième rang (6,6%), juste derrière le Canada (6,7%), pour ce qui est du ratio de dépenses publiques de santé sur le PIB.Effets pervers de la réglementationContrairement aux idées reçues, le marché américain des soins de santé est lourdement réglementé. Cette réglementation est en partie responsable des difficultés qu?éprouvent de nombreux Américains à se payer des assurances privées puisqu?elle a pour effet de limiter la mise en marché de polices d?assurances moins chères et plus accessibles.Le fait que les assurances comprennent peu de co-paiements (frais fixe par services reçus) ou de co-assurance (pourcentage du coût des services à la charge de l?assuré) explique aussi l?escalade des coûts de santé aux États-Unis. Les assurés ont peu d?incitatif à rechercher le traitement optimal à meilleur prix, ce qui fait gonfler les primes d?assurance et les rend inaccessibles aux moins bien nantis.La politique fiscale à l?égard des polices d?assurance fait aussi grimper les coûts. En effet, l?assurance achetée par l?employeur est exempte d?impôt pour l?employé ce qui même à une surconsommation d?assurance de la part de ceux qui en bénéficient.Les amendes élevées imposées par les tribunaux dans les poursuites de responsabilité professionnelle sont un autre phénomène propre aux États-Unis qui contribue à hausser le prix des soins de santé dans ce pays.Bref, les problèmes dont souffre le système de santé américain sont bien plus liés aux effets pervers de la réglementation qu?au «capitalisme sauvage» qui règnerait dans le marché américain des soins de santé. Les groupes qui brandissent le spectre du système américain pour s?opposer à l?apport du secteur privé au système de santé québécois, devraient donc mettre cet épouvantail au rancart.Il serait également souhaitable que le gouvernement du Québec, qui aura la tâche d?appliquer le récent jugement de la Cour suprême, évite les pièges dans lesquels sont tombées les autorités américaines dans la réglementation des assurances santé privées.--------------------------------------------------------------------------------Norma Kozhaya is an Economist at the Montreal Economic Institute and author of the Economic Note entitled Two myths about the U.S. health care system.
Invité Posté(e) 29 janvier 2006 Posté(e) 29 janvier 2006 The Montreal Economic Institute (MEI) Il est temps de démystifier le système de santé américainLe Droit (Ottawa), p. 23 / Norma Kozhaya, June 16, 2005En ouvrant la porte aux assurances santé privées, la décision récente de la Cour suprême a relancé un débat où le système américain sert souvent d?épouvantail. Il est vrai que le système de santé des États-Unis souffre de plusieurs problèmes et est loin d?être parfait. Mais les causes de ces problèmes ne sont pas celles qu?on pense et une perspective plus réaliste sur le système de nos voisins du sud conduirait à des débats plus pertinents que la répétition de mythes sans fondement. Un grand nombre de non-assurés?Premier mythe non fondé: celui du grand nombre de non assurés qui n?auraient accès à aucun soin.Il est vrai qu?un grand nombre d?Américains, soit 45 millions, ne sont pas assurés pour leurs soins de santé mais il faut mettre cette situation en perspective. Ce nombre ne représente qu?une minorité (15,6%) par rapport à la population totale de 288 millions d?habitants. Le fait de ne pas avoir d?assurance santé est bien souvent une situation temporaire causée par des changements d?emploi ou de situation familiale. Une portion non négligeable des non-assurés auraient par ailleurs les moyens financiers de se payer une assurance mais choisissent volontairement de ne pas le faire.De plus, et contrairement à une idée répandue, même les non-assurés ont accès à des soins de santé gratuits offerts par les hôpitaux publics, les centres de santé communautaires, les hôpitaux universitaires, etc., où les conditions sont similaires à celles des établissements de santé au Canada.Il y a donc un filet de sécurité pour les Américains qui ne sont pas officiellement assurés.Deuxième mythe sans fondement: celui d?un marché entièrement privé où règnerait le «capitalisme sauvage». Même si la plupart des établissements de santé américains sont privés, il existe aux États-Unis d?importants régimes publics d?assurance maladie: Medicare pour les 65 ans et plus et Medicaid pour les faibles revenus.Les dépenses publiques de santé par habitant sont dans les faits plus élevées aux États-Unis (2364$US) qu?au Canada (2048$US). Parmi les 30 pays de l?OCDE, les États-Unis sont au neuvième rang (6,6%), juste derrière le Canada (6,7%), pour ce qui est du ratio de dépenses publiques de santé sur le PIB.Effets pervers de la réglementationContrairement aux idées reçues, le marché américain des soins de santé est lourdement réglementé. Cette réglementation est en partie responsable des difficultés qu?éprouvent de nombreux Américains à se payer des assurances privées puisqu?elle a pour effet de limiter la mise en marché de polices d?assurances moins chères et plus accessibles.Le fait que les assurances comprennent peu de co-paiements (frais fixe par services reçus) ou de co-assurance (pourcentage du coût des services à la charge de l?assuré) explique aussi l?escalade des coûts de santé aux États-Unis. Les assurés ont peu d?incitatif à rechercher le traitement optimal à meilleur prix, ce qui fait gonfler les primes d?assurance et les rend inaccessibles aux moins bien nantis.La politique fiscale à l?égard des polices d?assurance fait aussi grimper les coûts. En effet, l?assurance achetée par l?employeur est exempte d?impôt pour l?employé ce qui même à une surconsommation d?assurance de la part de ceux qui en bénéficient.Les amendes élevées imposées par les tribunaux dans les poursuites de responsabilité professionnelle sont un autre phénomène propre aux États-Unis qui contribue à hausser le prix des soins de santé dans ce pays.Bref, les problèmes dont souffre le système de santé américain sont bien plus liés aux effets pervers de la réglementation qu?au «capitalisme sauvage» qui règnerait dans le marché américain des soins de santé. Les groupes qui brandissent le spectre du système américain pour s?opposer à l?apport du secteur privé au système de santé québécois, devraient donc mettre cet épouvantail au rancart.Il serait également souhaitable que le gouvernement du Québec, qui aura la tâche d?appliquer le récent jugement de la Cour suprême, évite les pièges dans lesquels sont tombées les autorités américaines dans la réglementation des assurances santé privées.--------------------------------------------------------------------------------Norma Kozhaya is an Economist at the Montreal Economic Institute and author of the Economic Note entitled Two myths about the U.S. health care system.**********************************************************************Lisez plutôt cette analyse :*********La crise chroniquedu système de santé américainCatherine SAUVIAT *IntroductionLa configuration et le fonctionnement du système de santé américainsont singuliers à plus d?un titre. La santé y est d?abord un marché, n?ayant jamaisacquis la qualité d?un bien public. En l?absence d?une couverture obligatoireet universelle, ce système repose en effet de façon centrale sur le secteurprivé, tant en matière de financement (employeurs et assureurs) qu?enmatière de fourniture de soins (réseaux d?hôpitaux et de médecins) et de médicaments(industrie pharmaceutique échappant à tout contrôle des prix).L?assurance publique, instaurée tardivement, n?est accessible qu?aux laisséspour compte de l?assurance privée, les pauvres (Medicaid) et les personnesâgées (Medicare). De ce fait, la grande majorité des Américains dépend d?uneassurance volontaire liée à l?emploi et 45 millions d?Américains sont dépourvusde toute couverture maladie, dont une sur-représentation des travailleurspauvres et des ménages à faible revenu. Le coût du système de santé desEtats-Unis est également l?un des plus élevés des pays industrialisés. Il représenteaujourd?hui 15 % du PIB, soit près du double de celui des autres paysde l?OCDE, alors que la qualité des soins y est hétérogène et que les indicateurssur l?état de santé des Américains offrent en comparaison internationaledes performances médiocres (OMS, 2000 et OCDE, 2002). Enfin, laprogression des coûts de l?assurance maladie, notable depuis les années1970, a connu une accélération ces dernières années, expliquant selon cer-Chercheure 1. à l?IRES.tains l?atonie du marché du travail américain entre 2001 et 2003 1 et s?affirmantcomme l?obstacle majeur à une reprise de l?emploi en 2004. En conséquence,le système de protection sociale d?entreprise est de plus en plusremis en cause par les employeurs eux-mêmes, qui transfèrent une partie descoûts de l?assurance maladie à leurs salariés ou ferment leurs régimes de prévoyance.La crise de l?entreprise providence est ainsi intimement liée à la remiseen cause des marchés internes d?entreprise et plus largement aux transformationsdu marché du travail américain.Ce système a en même temps remarquablement résisté depuis une quarantained?années aux différentes tentatives de réforme globale et de contrôledes coûts. Le président Clinton avait fait de la création d?une assurancemaladie universelle l?enjeu central de son premier mandat électoral, sans toutefoisremettre en cause le rôle pivot attribué au marché et au secteur privé.Malgré le soutien de l?AFL-CIO, il n?a pu mener cette réforme à bien et affronterle très puissant lobby de la santé àWashington D.C. Dix ans après, G.W. Bush est parvenu à réformer partiellement le système d?assurance publiquedestiné aux personnes âgées, en signant la loi de modernisation deMedicare en décembre 2003. Cette loi est cependant loin d?être à la hauteurdes enjeux auxquels le système de santé américain est confronté (Sauviat,2004b). La stratégie de contrôle des coûts et de concurrence régulée entreréseaux de soins intégrés connue sous le nom de managed care (MC), si elle aassurément obtenu des résultats dans les années 1990, ne paraît pas non plusen mesure de lutter contre l?inflation des coûts médicaux sur le long terme.Le système de santé américain présente donc tous les symptômes d?une crisepermanente.La suite .......http://www.ires-fr.org/files/publications/revue/R46/R461.pdf*******************Il est vrai qu?un grand nombre d?Américains, soit 45 millions, ne sont pas assurés pour leurs soins de santé mais il faut mettre cette situation en perspective. Ce nombre ne représente qu?une minorité (15,6%) par rapport à la population totale de 288 millions d?habitants. Le fait de ne pas avoir d?assurance santé est bien souvent une situation temporaire causée par des changements d?emploi ou de situation familiale. Parce que 15.6 % ce n'est pas beaucoup mon cher analyste ! Et la précarité de l'emploi sans assurance c'est une bonne chose aussi n'est ce pas ? Ah la
Invité Posté(e) 30 janvier 2006 Posté(e) 30 janvier 2006 Parce que 15.6 % ce n'est pas beaucoup mon cher analyste ! Et la précarité de l'emploi sans assurance c'est une bonne chose aussi n'est ce pas ? Ah laTu devrais prendre le temps de tout relire plus lentement il me semble que certaine chose t'on échappe.Sinon bien sur que le système américain a des carences il en a d'ailleurs suffisamment pour qu'on est pas besoin d'en rajouter.
Invité Posté(e) 31 janvier 2006 Posté(e) 31 janvier 2006 Parce que 15.6 % ce n'est pas beaucoup mon cher analyste ! Et la précarité de l'emploi sans assurance c'est une bonne chose aussi n'est ce pas ? Ah laTu devrais prendre le temps de tout relire plus lentement il me semble que certaine chose t'on échappe.Sinon bien sur que le système américain a des carences il en a d'ailleurs suffisamment pour qu'on est pas besoin d'en rajouter.Combien le gouvernement us dépense-t-il en armement pour massacrer des populations sans défense ainsique son peuple ?
Habitués Fred Posté(e) 31 janvier 2006 Habitués Posté(e) 31 janvier 2006 Je ferme ce sujet. Merci d'avoir participer à ce sujet.Si vous souhaitez des explications concernant cette fermeture, n'hésitez pas à me contacter.
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