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quand les Francais en ont ras le bol de leur pays et partent au Quebec, des Anglais en ayant ras le bol de leur pays viennent s'installer en France...

Comme quoi tout n'est qu'une question de perception...

Alors...l'herbe est elle toujours plus verte ailleurs...? Pas forcement...

Reportage

Nos villages à l'heure anglaise

LE MONDE | 22.06.05 | 13h50  ?  Mis à jour le 22.06.05 | 14h04 

DR

En Dordogne, "on voit maintenant des Anglais acheter des terrains pour construire du neuf, ce qu'ils ne faisaient pas avant".

Julian et Sarah Diprose en avaient tout simplement assez. Assez de travailler du matin au soir, assez de courir d'un endroit à l'autre, assez de l'Angleterre. Alors, il y a environ six mois, ils ont décidé de dire stop à cette "rubbish life" ("vie pourrie" ). Ils ont mis en vente leur petite maison de Melton Mowbray, non loin de Nottingham. Et ont quitté leur travail, à 31 et 37 ans. Lui avait un bon poste dans une compagnie d'assurances. Elle cumulait pas moins de trois emplois : un mi-temps à la mairie, un travail de serveuse le soir dans un restaurant, plus quelques heures de ménage par semaine afin d'arrondir les fins de mois. Julian et Sarah rêvaient d'une "vie plus simple", avec moins d'embouteillages sur les routes, des services publics de meilleure qualité, des remboursements d'emprunts moins importants, des rues avec moins de délinquance. Ils rêvaient aussi d'un "environnement plus sûr et plus sain" pour leurs enfants, Sam, 6 ans, et Freya, 2 ans.

Un matin de mars, la famille Diprose a pris la direction d'une contrée très prisée de leurs compatriotes : la Dordogne. Elle s'est installée au rez-de-chaussée d'un ancien moulin sur la commune de Nanteuil-Auriac, dans le nord-ouest du département. Poutres apparentes, rivière attenante et verdure à perte d'horizon : l'endroit rêvé pour une première halte. Ils y sont encore en location dans l'attente d'emménager dans une maison achetée non loin au prix de 84 000 euros.

"Une maison qui a besoin de beaucoup d'amour" , dit Sarah, sous ses longs cheveux blonds, pour souligner que d'importants travaux seront nécessaires. Sam a été inscrit à l'école d'un village voisin, Champagne-et-Fontaine. Les Diprose ont pour le moment peu d'amis ­ sinon des Britanniques vivant dans les parages. Et ils ne travaillent pas, vivant sur le bénéfice de la vente de leur maison en Angleterre. Sarah aimerait peindre des meubles et les vendre. En attendant mieux, Julian aide à entretenir le potager d'un voisin en échange de légumes.

Avec leurs deux enfants et leur irrépressible envie de se ressourcer au grand air, les Diprose sont loin d'être une exception sur la carte de l'immigration britannique en France. De plus en plus de familles anglaises viennent s'installer dans l'espoir d'y commencer une nouvelle vie. Souvent issus des classes moyennes, ces couples retrouvent sur place une génération d'expatriés plus âgés qu'eux, arrivés pour certains il y a plus de vingt ans.

Leur venue donne un coup de jeune à la communauté britannique, comme l'observe Miranda Neame, la rédactrice en chef du mensuel anglais French News, rédigé depuis Périgueux : "Autant les premières vagues d'expatriés étaient composées de retraités ou d'anciens colonels de l'armée des Indes qui avaient l'habitude de vivre à l'étranger, autant nous voyons arriver aujourd'hui des familles en quête d'une meilleure qualité de vie. Les premiers venaient s'installer pour les paysages et la gastronomie. Eux, recherchent des services publics qui fonctionnent, des écoles avec un semblant de discipline, un système de santé de qualité."

Ces nouveaux arrivants contribuent largement à l'accroissement de la diaspora. Le dernier recensement, en 1999, dénombrait 75 546 Britanniques vivant en France. L'Insee les évalue aujourd'hui à près de 100 000. Ils seraient 10 000 dans le grand Sud-Ouest (dont 5 000 en Dordogne), 7 500 dans le Limousin ou encore 5 000 en Bretagne. Sans compter tous ceux qui possèdent une résidence de vacances : au moins un demi-million.

Ce phénomène n'est pas sans rapport avec la flambée de l'immobilier au Royaume-Uni. Après avoir vendu à bon prix leur logement, de nombreux couples préfèrent ainsi tenter une aventure à l'étranger plutôt que de racheter une résidence plus grande en Grande-Bretagne. Leur pécule leur permet généralement d'acheter cash une ancienne grange en France, d'y faire quelques travaux, puis d'y vivre, sans travailler, pendant un nombre variable d'années.

Ainsi Phillip et Marcelle Williamson, installés en septembre 2003 dans un hameau de cinq maisons, non loin de Saint-Sulpice-le-Dunois (Creuse). Ces parents de quatre enfants ­ âgés de 5 à 11 ans ­ ont fait leurs calculs : "Nous avons cinq ans devant nous." Eux aussi ont tout plaqué. Lui son poste dans une agence de bookmakers de Londres, elle son métier de liquidateur judiciaire. "Notre vie était trop stressante. On ne se voyait plus" , raconte Marcelle, dont la superbe peau métisse rappelle ses origines indiennes. Entre le jardin, le potager et la fermette qu'ils n'ont pas fini de retaper, les Williamson ont désormais tout le temps à eux. "Cela fait dix-huit ans que nous sommes en couple, et c'est la première fois que nous passons vraiment du temps ensemble" , s'amuse Phillip devant une tasse de thé ­ avec un nuage de lait. Le gaillard caresse le projet de monter une petite société d'import-export : "Il y a plein de choses qui ne sont pas chères ici, comme les meubles et les cannes à pêche. Le but n'est pas de faire fortune. Mais simplement d'avoir de quoi vivre."

De quoi vivre : toute la question est bien là. Si la France "chic et cheap" n'en finit pas d'envoûter les candidats au voyage, la réalité rattrape parfois douloureusement ces actifs potentiels dépourvus de revenu fixe. Leur faible pratique du français leur permet rarement de postuler à un emploi. Et, sans emploi, les cagnottes se vident vite. "Il y a un mythe assez répandu en Grande-Bretagne qui est de croire que l'herbe est toujours plus verte de l'autre côté de la clôture. Beaucoup déchantent rapidement en arrivant en France" , souligne Tim Williams, sur la terrasse de sa maison de Nabinaud (Charente).

Cet ancien patron d'une entreprise de marketing s'est posé là en 2001, après avoir tout vendu. Il a créé trois gîtes qu'il loue à des compatriotes pendant les vacances, et retourne de temps en temps en Angleterre pour animer des séances de consulting destinées aux Britanniques désireux de s'installer en France : "Beaucoup veulent faire comme moi : ouvrir des gîtes. Le problème, c'est que les gîtes, ici, sont vides entre octobre et mai. Je leur explique aussi que, s'ils ne parlent pas le français, ils auront du mal à trouver un boulot. Le taux de chômage est aujourd'hui de 10 % en France, et plus important encore dans les campagnes. Un patron va toujours donner la priorité à un Français."

Que faire alors ? Pas grand-chose, sinon compter sur les largesses de la communauté britannique. "Nous avons une blague entre nous, poursuit Tim Williams. Elle dit qu'un Anglais qui débarque en France ne peut exercer que trois métiers : agent immobilier pour les Anglais qui arrivent, cuisinier pour les touristes anglais ou artisan pour les Anglais qui doivent faire des travaux." De nombreuses agences immobilières britanniques ont ainsi ouvert des bureaux ces dernières années dans des villages reculés. Et beaucoup de maçons, jardiniers et autres menuisiers se sont installés à leur compte, comme en Dordogne, où plus de 170 artisans britanniques sont recensés.

Cette économie fermée a néanmoins ses limites. "De nombreux couples qui ne réussissent pas à trouver un travail repartent après une ou plusieurs années" , indique Lisa Parnoix, la présidente d'une association franco-britannique de la Creuse, L'Entente cordiale. Pour éviter ce scénario du retour, certains sont prêts à d'importants renoncements. Comme Louise Quick, 30 ans, qui vit elle aussi dans la Creuse avec ses garçons de 6, 8 et 9 ans. A Bournemouth, Louise était ingénieure électronique. La voilà devenue femme de ménage occasionnelle autour de Naillat, une bourgade de 650 âmes où elle a acheté une fermette en mauvais état. Son ex-mari lui envoie également une pension pour élever ses enfants. Louise ne se plaint pas. "Je me fiche de la carrière professionnelle que j'aurais pu faire en Angleterre. Je voulais une vie plus calme" , confie cette repentie du stress.

Paradoxalement, les difficultés qu'ont ces nouveaux migrants à trouver du travail leur procurent un avantage : celui d'être plutôt bien acceptés par les populations locales. "Nous ne prenons pas le boulot des Français, rappelle Tim Williams, avant d'aller piquer une tête dans sa piscine. Au contraire. Nous donnons du travail autour de nous. Et, si on nous reproche de faire monter les prix de l'immobilier, il ne faut pas oublier que l'argent des maisons vendues va dans les poches de Français."

Les contributions des Britanniques sur l'économie des régions où ils sont implantés pèsent effectivement d'un bon poids. L'association Welcome in Limousin évalue par exemple à 200 millions d'euros par an les retombées des consommateurs britanniques, touristes compris, dans la région. La création de nouvelles lignes aériennes par des compagnies à bas coût (Ryanair, Flybe) a également permis la réouverture de petits aéroports de province. Dans de nombreuses zones rurales, enfin, des villages qui tombaient à l'abandon ont ressuscité grâce à l'arrivée de familles britanniques. Et des écoles en déficit d'enfants ont évité la fermeture.

Derrière ce tableau tout en rose, des tensions existent. En février, la commune de Bourbriac (Côtes-d'Armor) a été le théâtre d'une scène étonnante : une centaine de personnes ont défilé à l'appel d'une association bretonne pour dénoncer la flambée des prix de l'immobilier et crier non au "colonialisme anglais" . A la rédaction de French News, à Périgueux, ce sont deux lettres franchement xénophobes qui sont arrivées, cette année, au courrier des lecteurs. Il n'est pas rare, non plus, d'entendre des hôteliers se plaindre de la présence massive de bed and breakfast, pas toujours enregistrés légalement.

Si le ton monte rarement, voire jamais, entre les deux communautés, les Britanniques n'en ont pas moins les oreilles qui sifflent. On leur reproche de ne pas chercher à s'intégrer, de ne vivre "qu'entre eux" , bref, d'être à peine plus sociables que les résidents néerlandais, lesquels ont la réputation d'importer leurs boîtes de conserve. Les "English" passent également pour des gens riches, bien plus aisés que les populations des départements ruraux dans lesquels ils vivent, des départements qui ont tous dit non à la Constitution européenne. "Mais tous les Anglais qui vivent en France ne sont pas riches !" , proteste Sarah Diprose, en expliquant que son mari et elle se sont donné un an pour trouver de quoi gagner leur vie : "Sinon on rentrera en Angleterre."

"Il y a même des Anglais qui se retrouvent sans argent et deviennent des cas sociaux. J'en connais un, dans ma commune, qui a rempli un dossier de RMI" , témoigne Alain Lucas, le maire de Vendoire, un bourg de 160 habitants dans le Périgord vert. Agriculteur de profession, M. Lucas est également le président d'une communauté de communes regroupant 14 villages, dont le plus important est Verteillac. Cette petite entité territoriale a pris une mesure inédite en octobre 2004 : embaucher une Franco-Britannique parfaitement bilingue afin de favoriser l'intégration des résidents étrangers. La jeune femme, Sally Jarron, oriente les nouveaux venus vers les administrations idoines, écrit pour eux des lettres, téléphone, donne des cours de conversation, arrange des rendez-vous. Et aide, tant bien que mal, certains à chercher du travail.

Financé par un organisme européen (Leader Plus), le projet répond à une réalité mathématique : "20 % de la population du canton et 10 % des enfants scolarisés sont britanniques" , indique M. Lucas. Un village comme Bouteilles-Saint-Sébastien est composé pour moitié de Français et moitié d'Anglais. Et le mouvement ne donne pas l'impression de s'arrêter. Car si les granges à rénover se font de plus en plus rares en Dordogne, "on voit maintenant des Anglais acheter des terrains pour construire du neuf, ce qu'ils ne faisaient pas avant" , observe M. Lucas. On en voit aussi beaucoup s'installer ailleurs, dans des régions où la diaspora britannique est moins dense et où les prix n'ont pas encore flambé. Le Berry, le Sancerrois, la Nièvre, l'Allier sont autant de territoires non défrichés. Et très à la mode.

Où s'arrêtera cette tranquille conquête ? Ce phénomène augure-t-il une Europe totalement ouverte au principe de libre installation ? En plein milieu de la campagne creusoise, Marcelle Williamson en est persuadée : "Nous sommes des pionniers" , lâche-t-elle fièrement.

En reconnaissant qu'elle se languit, parfois, de Londres, où vivent ses proches et ses amis.

Frédéric Potet

Article paru dans l'édition du 23.06.05

  • Habitués
Posté(e)

Moui on a pleins de reportages chaque année sur ces anglais qui viennent en France... mais ce sont des retraités, pour eux la vie est moins cher et plus douce chez nous.

Nous on émigre mais on est pas retraités tongue.gif

Si j'étais retraité et riche j'avoue que je sais pas si je serai allé au Québec...

  • Habitués
Posté(e)
Moui on a pleins de reportages chaque année sur ces anglais qui viennent en France... mais ce sont des retraités, pour eux la vie est moins cher et plus douce chez nous.

Nous on émigre mais on est pas retraités  tongue.gif

Si j'étais retraité et riche j'avoue que je sais pas si je serai allé au Québec...

Faux, y'en a plein qui immigrent à un âge de travailler

Et n'oublions pqs ceux qui achètent aussi des maisons pour les vacances et y vont tous les ans pendant un mois....

Qu'est-ce que j'en ai rencontré en Angleterre qui étaient tout fiers de me baragouiner 3 mots de français parce qu'ils allaient en Dordogne en vacances

Lizzie

  • Habitués
Posté(e)

Des jeunes anglais qui viennent bosser en France ? huh.gif

Enfin faudrait que je remette la main sur ces chiffres, mais les Anglais qui émigrent en France c'est une minorité... si on parle d'émigration hein.

  • Habitués
Posté(e)

Salut la gang,

l'herbe n'est jamais plus verte ailleurs, elle est simpleemnt d'un vert différent...

ciao

Ben

  • Habitués
Posté(e)

En cherchant l'info (que j'ai toujours pas) je suis tombé sur un tableau avec le taux d'émigration par pays pour les 15 ans et +. ici

2.29 % pour les Français.

4 % pour les Canadiens.

6.4 % pour les Anglais.

  • Habitués
Posté(e)

J'ai travaillé 20 ans dans le 47, proche de la Dordogne. Au début, les Anglais ont acheté des maisons de vacances en Dordogne, puis dans le Lot et enfin dans le Lot et Garonne.

C'était en grande majorité des retraités, puis il a fallu restaurer les maisons achetées (souvent des ruines payées au prix fort), le prix de la main d'oeuvre française étant exorbitant et la ponctualité une qualité exceptionnelle en france.

Ces retraités ont d'abord fait venir des artisans du R.Uni (ce qui leur revenait moins cher, car ils arrivaient avec toute la matière première : moins chère chez les britanniques) et la restauration se faisait au gout du client.

Et depuis 6 ans, les maçons, électriciens, plombiers etc... sont jeunes et anglais, ils s'installent en france,et vivent en france et .... travaillent uniquement pour les Anglais.

C'est pas toujours une histoire de couleur d'herbe.

Posté(e)

Salut la gang,

C'est drôle mais toutes proportions gardées et à quelques exceptions près, cet article me fait penser aux anglophones que je côtoie dans mon travail et qui vivent du côté de Lennoxville à Sherbrooke wink.gif

O'Hana

  • Habitués
Posté(e)

Nico,

tu n'as pas fait un tour en Bretagne récemment car maintenant là bas il faut être trilingue

Français-breton-anglais laugh.giflaugh.giflaugh.gif

Des villages bretons revivent grâce à l'arrivée des anglais, surout en centre Bretagne, la région de Carhaix (pas juste pour les vielles charrues)

Mes parents ont vendus il y a 2 ans, une propriété en Trégor à 10 km de la plage à un jeune couple d'anglais (35ans) avec deux enfants. Lui travaille dans le design automobile à la Défense et elle reste en Bretagne et les enfants vont à l'école au village. Toute la famille est maintenant parfaitement bilingue.

Parati

  • Habitués
Posté(e)

Les Grands Bretons ont bien le droit de retourner dans leur petite Bretagne tongue.gif

Posté(e)
Les Grands Bretons ont bien le droit de retourner dans leur petite Bretagne  tongue.gif

tu vas te faire des copains là mmm.gifwow1.giflaugh.gif

  • Habitués
Posté(e)
Les Grands Bretons ont bien le droit de retourner dans leur petite Bretagne  tongue.gif

tu vas te faire des copains là mmm.gifwow1.giflaugh.gif

C'était pô méchant huh.gif

Mon épouse québécoise est originaire de bretagne alors je te jure que je fais pas de mauvais esprit tongue.gif

Posté(e)

Je sais que tu ne fais pas de mauvais esprit, c'est pas ton genre de dire des choses "mechament"

  • Habitués
Posté(e)

bah de toute façon la majorité des grands bretons ont du sang français.

N'oubliez pas que les normands ont envahie la GB (Hasting 1066, merci Guillaume le Conquérant), ils sont fort mes ancêtres.

Donc c'est un retour vers la mère patrie laugh.giflaugh.gif

Au lieu de chercher mes cousins au Canada, je devrais peut-être chercher du côté de la GB laugh.gif

Parati

Posté(e)
bah de toute façon la majorité des grands bretons ont du sang français.

N'oubliez pas que les normands ont envahie la GB (Hasting 1066, merci Guillaume le Conquérant), ils sont fort mes ancêtres.

Donc c'est un retour vers la mère patrie laugh.gif  laugh.gif

Au lieu de chercher mes cousins au Canada, je devrais peut-être chercher du côté de la GB laugh.gif

Parati

T,en as deja parlé avec un Briton ? blink.gifph34r.gifohmy.giflaugh.giflaugh.gif

Posté(e)
Salut la gang,

l'herbe n'est jamais plus verte ailleurs, elle est simpleemnt d'un vert différent...

ciao

Ben

En parlant d'herbe ...Ça me fait penser à la chèvre de Mr Seguin ....

Ouais je sais ça finit mal .... Mais quand même .... happy.gif

Posté(e)

Dans un autre fil on parle ded tabac, ca va degenerer aussi sur L'herbe ? tongue.gif

  • Habitués
Posté(e)
T,en as deja parlé avec un Briton ? blink.gif  ph34r.gif  ohmy.gif  laugh.gif  laugh.gif

Un briton ou un grand Briton???

  • Habitués
Posté(e)

J'ai quand même trouver l'herbe ici plutot blanche heureusement l'été est là et les pelouse ont retrouvé une belle couleur verte. biggrin.gifbiggrin.gif

Plus sérieusement, l'herbe est verte là où tu peux t'épanouir personnellement et professionnellement. Plus tu voyages, plus tu découvriras de pays, de cultures et tu trouveras ton coin de paradis.

J'aime bien le Canada (francophone et anglophone) mais ce n'est pas ici que je poserai mes valises pour m'établir.

Parati

Posté(e)

En parlant d'herbe toujours, y a de nouveaux condos pas loin de chez moi où ils en ont "roulé" ... Pour éviter d'attendre que le gazon pousse j'imagine et que cela fasse plus beau ...

Quand je dis "roulé" vous avez compris bien sûr .... laugh.gif

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