Invité Posté(e) 11 novembre 2004 Posté(e) 11 novembre 2004 Salut à tous, Mythe ou réalité ? Je m?explique : Sur le forum dès que l?on aborde le sujet du premier travail pour le nouvel arrivant, une grande majorité des participants s?accordent à dire que pour le premier job, il faut souvent revoir ses prétentions à la baisse et que l?on doit recommencer peut-être pas à zéro, mais par un job en dessous de ses qualifications réelles afin d?obtenir cette fameuse expérience québécoise. Tout cela pour obtenir plus tard un job au niveau de son expérience pro et/ou de ses diplômes. J?ai souvent en ligne mon meilleur ami qui est à Montréal et selon lui ce n?est pas du tout vrai. En possédant une bonne expérience et/ou des diplômes, on peut trouver un job plus ou moins égal à celui que l?on avait avant de partir. Bien sur il ne faut pas sauter sur la première proposition venue et savoir attendre entre 1 et 3 mois si les finances le permettent. Plusieurs avis valant mieux qu?un, j?en ai discuté avec d?autres amis qui eux-mêmes ont consulté des amis, etc?. afin que l?on puisse avoir une idée. Et pour une très grande majorité, ils ont obtenu un job équivalent dès le premier coup. Tout cela dans des domaines comme l?informatique, marketing et finance. Attention, je n?affirme rien, je veux juste savoir entre ce que je lis et ce que l?on me dit où se trouve la réalité.Qu?en est-il exactement au final? Je vous remercie de partager vos avis et expérience.A+ Citer
Habitués piedalu Posté(e) 11 novembre 2004 Habitués Posté(e) 11 novembre 2004 Ben, tu sais, ça dépend de beaucoup de choses.Mais, je crois qu'il vaut mieux s'attendre à démarrer plus bas, plutôt que d'attendre Le poste que tu veux. Évidemment qu'on peut trouver de suite le poste idéal, mais ça dépend du domaine.Les finances ne permettent pas forcément d'attendre 2-3 mois pour faire la fine bouche ....Il vaut bien mieux être préparer à repartir à zéro, comme ça, si c'est la cas, ben on le savait !!!!! Citer
Habitués isseo17 Posté(e) 11 novembre 2004 Habitués Posté(e) 11 novembre 2004 Hello!Moi, je peux juste vous parler de l'expérience que nous sommes en train de vivre.Nous sommes arrivés depuis un mois, en Estrie.Mon mari est responsable de Qualité, responsable de production dans l'industrie agro-alimentaire,et responsable de site industriel, avec une expérience de 13 ans .Dès notre arrivée, il a eu des entretiens d'embauche, qui pour l'instant ne se sont pas concrétisés. Fort des conseils lus un peu partout sur le forum, il postulait jusqu'à présent à des postes de contrôleur qualité ou de contremaître, éventuellement sur ligne, pour "faire ses preuves" et se mettre dans "l'ambiance" québecoise.Or les entretiens montrent un grand intêret des entreprises pour son parcours professionnel, mais elle lui refusent les postes convoités pour " surqualification"!Certaines lui parlent d'une prochaine création de poste plus en rapport avec ses capacités réelles. Nous espèrons....Vivement que les budgets 2005 soient en place.Il a donc décidé de postuler aujourd'hui à des postes à responsabilités. La difficulté est que, pour ce genre de poste, le recrutement est généralement un peu plus long.Mais patience, patience... Notre bonne étoile nous a aidé à franchir sans emcombre le parcours de la "demande d'immigration", ce n'est pas pour nous laisser tomber maintenant.Des messages comme le tien, François, nous rassure plutôt, et nous soutiennent le moral.Un grand merci à toi!Amicalement Citer
Habitués Redflag Posté(e) 11 novembre 2004 Habitués Posté(e) 11 novembre 2004 Salut la gang, Le facteur chance ! Vous y avez pensé à celui-là ? Il peut faire la différence entre une job correcte sans plus et la super job à votre arrivée. Il faut être actif dans sa recherche d'emploi, ça c'est certain. Des fois ça paye moyen, des fois ça donne un bon coup. Ce que dit ton ami est possible. J'ai un collègue de travail qui est ici en travailleur temporaire et il est venu grâce à la politique "globale" de l'employeur, qui permet d'aller un peu partout dans le monde... résultat : super salaire et toute son expérience prise en compte. Globalement cependant, on démarre plus bas que ce que l'on a connu avant, surtout en terme de salaire. Mon amie par exemple pourrait facilement gagner 5000$ de plus si on prenait en compte toute son expérience. Mais elle a déjà un vrai salaire et un boulot dans son domaine avec plus de responsabilités, donc... patience. Elle sera récompensée bientôt. Redflag Citer
Invité Posté(e) 11 novembre 2004 Posté(e) 11 novembre 2004 au facteur chance je rajouterais le fameaux réseautage.c'est clair qu'avoir des amis sur place peut aider pour rechercher une job.mais comme les autres je crois qu'il vaut mieux s'attendre à repartir de plus bas.de même tout dépend du domaine d'activité! peut-être qu'une vendeuse en france trouvera facilement un poste équivalent.... Citer
Habitués La Féline Posté(e) 11 novembre 2004 Habitués Posté(e) 11 novembre 2004 Pour moi, il y a une autre réalité à laquelle je ne m'attendais pas. C'est sûr que lorsqu'on n'est pas sur le terrain, on se fit à ce qu'on lit ou ce qu'on entend. Et j'avais pris en compte les mêmes choses que toi au sujet d'être prêt à accepter un job sous-qualifié parfois dans un domaine qui n'a rien à voir avec notre formation initiale. D'une certaine façon, ça m'arrangeait car je voulais profiter de ce changement pour faire autre chose que du secrétariat, et pouvoir ainsi changer de voie sans être obligée de refaire des études. Mais quand je suis arrivée et que j'ai parlé de tout ça (aux associations d'aide à l'emploi, aux agences de placement...), on me conseille plutôt de postuler, pour un premier emploi, pour ce que je sais faire, à savoir, en ce qui me concerne, du travail de bureau. Pourtant, j'ai pensé plusieurs fois en voyant des annonces aux portes des magasins, à me lancer, bien que je n'ai jamais été vendeuse dans ma vie, même pour un petit job de vacances. Alors qui croire dans ces conditions ? Est-ce qu'on doit vraiment reprendre son boulot initial ? Est-ce que c'est vraiment mal vu de postuler pour un emploi jamais occupé ou est-ce que ça fait quand même preuve de bonne volonté ? Citer
Habitués fortsympa Posté(e) 11 novembre 2004 Habitués Posté(e) 11 novembre 2004 ben Celine rien ne t'interdit de rentrer dans le magasin et de postuler au job de vendeuse ... meme si tu te fais jeter ... juste pour essayer. Citer
Habitués LES L5 Posté(e) 11 novembre 2004 Habitués Posté(e) 11 novembre 2004 HEllo tous ,j'ajouterai simplement et brievement que cela depend du type d'emploi recherché . Pour ma part, etant dans le management et l'encadrement (direction de production industrielle) , je vois mal comment je pourrais postuler sur ce type de poste sans etre impreigné des us et coutumes professionnelles locales (legislation, conventions collectives, etc...) . Pour cette raison, je suis pret a redemarrer TRES TRES bas, pour me fondre vraiment dans l'ambiance professionnelle locale . Voili voila pour un autre avis sur le message .Bonne journee a tous,Les L5 Citer
Invité Posté(e) 11 novembre 2004 Posté(e) 11 novembre 2004 je crois qu'il est important, comme tu le dis L5, de faire comprendre à l'employeur, qu'accepter un travail "inférieur" est une base de départ indispensable pour s'imprégner de la culture professionnelle d'un pays que l'on ne connait pas. Je pense que c'est une bonne réponse à l'argument de "surqualification". Citer
Invité Posté(e) 11 novembre 2004 Posté(e) 11 novembre 2004 Perso, je suis analyste-programmeur en informatique(nouvelles technos, java,etc... ) et j'ai trouvé un poste à Québec pil poil dans mon domaine avec le même salaire que celui que j'avais en France et tout ça en 1 mois et demi et sans chercher très activement.Mais comme le dis Redflag, peut-être que j'ai eu de la chance, mais je ne pense pas car j'ai eu d'autres propositions fermes.En tout cas j'ai trouvé plus facilement en région qu'à Montréal.Dudus Citer
Habitués Lapin Posté(e) 11 novembre 2004 Habitués Posté(e) 11 novembre 2004 Profession:papa au foyer et informaticien au foyer ;-)Deja Francois_83, laisses moi te dire que je trouve ta profession vraiment super le fun..... Mais quand je suis arrivée et que j'ai parlé de tout ça (aux associations d'aide à l'emploi, aux agences de placement...), on me conseille plutôt de postuler, pour un premier emploi, pour ce que je sais faire, à savoir, en ce qui me concerne, du travail de bureau. Pourtant, j'ai pensé plusieurs fois en voyant des annonces aux portes des magasins, à me lancer, bien que je n'ai jamais été vendeuse dans ma vie, même pour un petit job de vacances. Alors qui croire dans ces conditions ? Est-ce qu'on doit vraiment reprendre son boulot initial ? Est-ce que c'est vraiment mal vu de postuler pour un emploi jamais occupé ou est-ce que ça fait quand même preuve de bonne volonté ?Pourquoi travailles-tu ? - pour faire du cash meme si tu es arrivée avec des économies ? au moins tu dilapideras pas tes économies... bon point....- pour te faire une première expérience québécoise ? est-ce absolument nécessaire ? j'avoue que ce n'est pas un facteur qui semble vraiment marquant..... en plus si les formateurs de Club de recherche d'emplois et autres associations te disent que ce n'est pas si important, alors autant passer la majorité de son temps a continuer dans sa carrière.....- pour faire changement, essayer d'Autres types de jobs, parce que ton boulot jusqu'ici te plaisait mais sans plus.... la je dis très bien pour toi, tes gouts et ton développement, mais danger pour ta carrière si jamais tu souhaites y revenir..... ne pas trop passer de mois sans être dans son domaine... ca c'est important, vraiment important....- pour occuper 100% de ton temps parce que t'as pas d'amis (naaaan je dégonne bien sur)... c'est surtout le 100% que je veux mettre en avant.... a prendre un petit boulot qui sera surement très sympa et ou tu rencontreras du monde le fun, beh plutot le prendre a temps partiel, parce qu'une recherche d'emploi, c'est une job a temps quasi plein.... donc si tu as une jobine qui te prend 40h par semaine, tu n'auras plus le temps de te chercher autre chose plus en rapport avec tes diplomes...Des fois effectivement, il peut etre intéressant de procéder par étape, mais la ligne droite reste une bonne méthode pour arriver au but.Lap' Citer
Invité Posté(e) 11 novembre 2004 Posté(e) 11 novembre 2004 Merci à vous tous pour vos contributions en tout cas. c'est bien ce que je pensais, en fait il n'y a pas radicalement un cas où l'autre. Avec un peu de chance, etc.... on peut espérer pourvoir travailler à son niveau et sinon il y a toujours les solutions d'urgence. en fait chacun a sa propre expérience. Et bien une fois là-bas, nous verrons sur place.Oui lapin, j'ai une grande chance. en fait je suis administrateur réseau et exchange/lotus. Plutôt je l'étais durant 5 ans quand je vivais en belgique, où je bossais pour une grosse firme pharmatieutique. ici, comme je ne suis pas blond aux yeux bleues, avec un nom ne se finissant pas en "sson", impossible d'avoir un boulot équivalent, même en parlant la langue. donc, plutôt que de m'emmerder à refaire comme à mes débuts de la réparation/configuration, sachant que je ne resterai pas ici définitivement, j'ai donc décidé de le faire pour mon propre compte. j'ai une raison sociale, l'équivalent d'une EURL en france. je passe mon temps libre avec mon gamin et le reste du temps, je suis soit un peu en clientèle, soit surtout dans mon garage. c'est bien les garages en scaninavie pour cela, très bien chauffé et aussi confortable que la salle de séjour! je configure et j'installe des petits réseaux, je fais des sites webs tout ce qu'il ya de plus simple, un peu de help desk téléphonique, etc... pour des PME locale. cela fait tout juste vivre son homme, mais au moins j'ai cette fantastique chance d'avoir du temps pour mon gamin, de l'accompagner dans les premières années de sa vie. voilou, voili.A+ Citer
Habitués cam&leon Posté(e) 11 novembre 2004 Habitués Posté(e) 11 novembre 2004 Je pense vraiment que ça dépend... du hasard, de ta branche et de ta façon de te vendre...Mon chum est dans l'informatique : premier job au même niveau de responsabilité qu'à Paris, pour un salaire supérieur.Je suis dans le marketing : c clairement plus bouché dans le sens qu'il y a bcp de monde au portillon. Autre élément, la connaissance culturelle québecoise est plus à prendre en compte en marketing que dans une autre branche (argument terrible pour la négo salariale lol). Bref, pour ma part, un poste plus large qu'à Paris, payé au même salaire.En espérant que nos expériences respectives pourront t'aiguiller ! Citer
O'Hana Posté(e) 11 novembre 2004 Posté(e) 11 novembre 2004 Salut la gang,Dans le même sens que RedFlag, je crois que c'est simplement une question de timing. Comme en marketing : la bonne personne au bon poste au bon moment.Essayer de trouver une recette ou des règles de succès d'insertion professionnelle à titre d'immigrant, c'est nier, à mon sens, le caractère très volatile et proactif du marché du travail et celui nord-américain en particulier (en partant de l'idée qu'une règle, c'est chercher à mettre absolument de la rigidité uniformément comme un standard susceptible de s'appliquer n'importe où et dans n'importe quelles conditions).Bien évidemment, il y a certaines règles à suivre (c.v., présentation en entrevue, réseau de contacts) mais cela est vrai jusqu'à une certaine limite. Tout simplement parce qu'on parle de recherche d'emploi et que dans ce processus, l'élément principal reste d'abord et avant tout le chercheur d'emploi, i.e. un être humain avec toute l'incertitude - mais aussi toute la richesse imprévisible - que ce dernier représente.Comme conseiller en orientation, le jour funeste où quelqu'un réussira à trouver la recette du succès de l'insertion professionnelle, je quitte ma profession car cela voudra dire qu'on aura été capable de catégoriser même l'être humain O'Hana Citer
Habitués filniz Posté(e) 11 novembre 2004 Habitués Posté(e) 11 novembre 2004 Bonjour,Informaticien, j?ai mis plusieurs mois à trouver un poste sous-évalué par rapport à celui que j?avais en France (Je m?y attendais). Je suis arrivé avec un profil de Chef de projets qui n?est pas idéal car surdimensionné pour des postes techniques et sans expérience locale pour encadrer d?emblée du personnel. Depuis peu, j?ai retrouvé dans la même compagnie un poste similaire à celui que j?avais en France. C?est une évolution assez classique pour les immigrants. Bien sur le facteur chance peut jouer et accélérer cette évolution, mais cela reste rare, il faut refaire ses preuves?Patrick Citer
Habitués Lyra Posté(e) 11 novembre 2004 Habitués Posté(e) 11 novembre 2004 Bonjour à tous !Ça fait un mois que je suis arrivée et je me suis mise à chercher un travail immédiatement dans mon domaine.Malheureusement, le fait que j'ai été responsable localisation en France (c'est en gros être à la tête d'un service de traduction dans le mode du logiciel) est plutôt un inconvénient qu'un avantage.Même pour des postes en-dessous de ma qualification, les gens sont très réticents à m'embaucher. "Vous êtes trop qualifiée pour ce poste", "Comment pouvez-vous passer d'une position de Responsable à celle d'un simple agent d'un centre d'appel", et je vous passe le reste.Il est vrai que peut-être je n'ai pas eu de chance pour le moment, mais les finances commecent à fondre et c'est un peu désespérant si fait que je suis prête à accepter à peu près n'importe quel poste... Citer
Habitués kabi Posté(e) 12 novembre 2004 Habitués Posté(e) 12 novembre 2004 Bonne question ..Comme la plupart des forumistes je dirais que plusieurs facteurs entrent en jeu ..je reprends ceux de CAMELEON et les autres intervenants :* Le hasard ,ou la chance (repris par REDFLAG)* La branche, ou précisément le domaine de travail.* La façon de se vendre (comme l'a repris O'Hana)* Le réseautage (comme a dit ZHRA-TERRY).* Le hasard fait bien des choses entendons nous de temps en temps, et bien c'est vrai : on tombe sur une pesonne qui a eu l'occasion de visiter ton pays ou même qui sa femme (ou son mari ..si c'est une femme qui te parle) est nait dans ce pays, ou tout simplement une juxtaposition de ton "diplome-expérience-type de société pour qui tu as travaillé en dernier lieu" ont un point commun avec ton interlocuteur. Ajoutons à tous cela sa bonne humeur au moment ou tu lui parlais, ou même ta façon jovial de te vendre ... bref un mélange de circonstances qui fait que tu as été reçu positivement pour ton futur job.* Ton domaine : cherche à savoir si il est bien demander ou pas, et encore si il l'est aussi pour cette même société ou non. de ce fait tu saura si ça en vaut la peine de postuler pour ton même post ou pour un moindre.* La façon de se vendre : c'est ton attitude, le ton de ta voix, ta façon de regarder, tes gestes-verbaux, les mots choisis, et le type de réponses ... que tu utilises lors de ton embauche ..A vrai dire j'ai constaté qu'ici il faut mettre l'accent sur le fait de se faire vendre plus que le fait d'étaler son expérience et son savoir faire .. quoique je trouve un peu décevant si une personne vante trop ses qualités et une fois sur le terrain il fait montrer son manque de professionnalisme dans son travail..déjà il sera trop tard pour l'employeur de reprendre les choses à Zéro et re-embaucher d'autres alors qu'il en a raté quelques uns qui se sont vendu quand même mais avec un degrés de réalisme par rapport à l'autre..* le réseautge : ça j'en parlerais un plus longuement lors de mon bilan de un an ici au Québec .. je vais quand même y mettre une petite touche : si j'ai un conseil à donner aux nouveau immigrants qui vont venir c'est de mettre l'accent les 3 premiers mois sur la création d'un réseau au lieu de rechercher un boulot; d'ailleur en travaillant son réseautage vous investissez en recherche d'emploi d'une manière indirecte, mais que les membre du réseau soit des personnes qui travaillent.et en fin de compte, je n'omet pas un constat général : le fait de se dire s'abaisser pour un poste moindre à ses qualifications professionnelles signifie un léger retrait pour avancer encore plus fort à pas stable, donc à prendre ceci raisonablement ..Il est vrai qu'une personne issue des minorités visibles est obligé de recourir à un poste moindre en tout état de cause, mais là aussi à prendre cet effet d'une manière raisonable car un comptable Scibilandais ( de Scibilanda un pays de l'imagination de mon petit frère Ayoub .. le créateur du mot Extramadura que j'aime beaucoup ) ayant des notions de comptabilité Scibilandaise ne pourra rêver d'avoir un poste de "commis compte à recevoir" dans une boite québecoise, car justement il devrais faire une sorte de mise à niveau de sa comptabilité avec celle du Québec . Ce n'est pas la même comptabilité.Là je reprend le constat de François_83 lorsqu'il disait :" ici, comme je ne suis pas blond aux yeux bleues, avec un nom ne se finissant pas en "sson", impossible d'avoir un boulot équivalent, même en parlant la langue"Ainsi que celui de LES L5 en disant :" qu'accepter un travail "inférieur" est une base de départ indispensable pour s'imprégner de la culture professionnelle d'un pays que l'on ne connait pas. "Grossomodo rien n'oblige de s'attacher à ne postuler qu'à despostes dans son domaine, et rien empêche de postuler pour des jobs en dessus de ses capacités. Citer
Invité Posté(e) 12 novembre 2004 Posté(e) 12 novembre 2004 merci pour les nouvelles réponses. merci Kbi pour tes longues explications. O'hana, je ne peux-être qu'en accord avec tes propos.... si la recette miracle pour le boulot existait.... en fait comme je l'ai dit, ce qui m'intéressait c'était d'avoir les avis et experience de chacun et on a un avis et une experience differentes pour chaque réponse. ce qui prouve bien que chaque cas est à part... et bien nous verrons donc sur place. un jour là-bas, je vous enverrai peut-être un poste: "super! j'ai le boulot de mes rêves!" ou bien:"c'est la galère".....Bon week-end à tous Citer
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.