Habitués kabi Posté(e) 25 octobre 2017 Habitués Posté(e) 25 octobre 2017 En Atlantique, les immigrants représentent 4,8 % de la population. C'est cinq fois moins que la proportion nationale, qui s'établit à 21,9 %, selon les plus récentes données de Statistique Canada. Au Canada, plus d’une personne sur cinq est née à l’extérieur du pays. En Atlantique, c’est plutôt moins d’une personne sur 20. Cette proportion varie selon les quatre provinces de l’Atlantique, mais elles font tout de même toutes partie des cinq provinces et territoires avec le plus faible taux d’immigrants au Canada. Terre-Neuve-et-Labrador est la province canadienne avec la plus faible proportion d’immigrants au sein de sa population (2,4 %). Elle est suivie du Nunavut (2,6 %), du Nouveau-Brunswick (4,6 %), de la Nouvelle-Écosse (6,1 %) et de l’Île-du-Prince-Édouard (6,4 %). L’Ontario est la province avec la plus forte proportion d’immigrants. Près du tiers de sa population, soit 29,1 %, est né à l’étranger. Peu de changements en cinq ans La proportion des immigrants dans les provinces de l’Atlantique n’a presque pas changé. Elle un peu augmenté au Nouveau-Brunswick, à l’Île-du-Prince-Édouard et à Terre-Neuve-et-Labrador. Le taux des immigrants au sein de la population a baissé en Nouvelle-Écosse : il est passé de 6,4 % en 2011 à 6,1 % en 2016. Statistique Canada faisait état plus tôt cette année de la faible croissance des populations de la Nouvelle-Écosse, de l'Île-du-Prince-Édouard et de Terre-Neuve-et-Labrador. Le Nouveau-Brunswick a quant à lui connu une baisse de sa population de 0,5 % entre 2011 et 2016. Statistique Canada associait alors cette tendance à la migration interprovinciale et des taux d'immigration et de natalité plus faibles. Source : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1063346/immigration-statistique-canada-recensement-taux-proportion-atlantique Citer
Invité Posté(e) 25 octobre 2017 Posté(e) 25 octobre 2017 Il y a 3 heures, Valimate a dit : On arrive !!! Facile à dire 'On arrive"....Dans ces provinces là, le boulot ne court pas les rues... Citer
Habitués Valimate Posté(e) 26 octobre 2017 Habitués Posté(e) 26 octobre 2017 Il y a 7 heures, Ivy Bijou a dit : Facile à dire 'On arrive"....Dans ces provinces là, le boulot ne court pas les rues... C'est une façon de parler, d'autant qu'on est pas prêt d'arriver, vu l'état d'avancement de notre dossier. Ceci-dit, même, si le Nouveau-Brunswick n'est pas la province la plus favorable au niveau emploi, cela correspond à notre choix et nous espérons y trouver un emploi. Nous recherchons une qualité de vie et non pas une vraie réussite professionnelle. L'emploi reste cependant pour nous notre préoccupation principale et nous sommes bien conscients que ce ne sera pas facile. Nous comptons sur notre polyvalence et notre adaptabilité. On verra. Citer
Habitués kabi Posté(e) 26 octobre 2017 Auteur Habitués Posté(e) 26 octobre 2017 Il y a 20 heures, Ivy Bijou a dit : Facile à dire 'On arrive"....Dans ces provinces là, le boulot ne court pas les rues... Comme l’a expliqué Valimate, c’est une façon de parler. Pour le côté emploi, certes qu’au Nouveau-Brunswick nous avons l’impression que le marché joue sur une corde sinusoïdale ; tantôt des créations d’emplois tantôt des fermetures de boîtes etc… : - La firme américaine Stafford Communications prévoit créer jusqu'à 31 emplois à temps plein, sur une période de trois ans, à son centre de services d'affaires nouvellement établi à Rothesay, au Nouveau-Brunswick. (JEUDI 12 OCTOBRE 2017) - Fermeture de Sears : plusieurs centaines (146) de Néo-Brunswickois perdront leur emploi (MARDI 10 OCTOBRE 2017) - Bell Canada entend créer jusqu'à 150 emplois à Fredericton (VENDREDI 6 OCTOBRE 2017) - Une réorganisation majeure dans l'industrie laitière en Atlantique mènera à la perte de 346 emplois. (ICI.Radio-Canada.ca-Jan 11, 2017) - L'agrandissement de 65 M$ de la chaîne de production de McCain Foods de Florenceville-Bristol, au Nouveau-Brunswick, est maintenant ouvert. En plus des 40 nouveaux emplois créés, la construction a stimulé l'activité économique de la région. (CNW Telbec Oct 19, 2017) Mais il faut se dire qu’il y a des gens qui travaillent, qui eux aussi ont des postes « alléchants » avec salaire « confortable », sinon comment expliquer les milliers d’employés fédéraux, provinciaux et municipaux dans toutes les villes du Nouveau-Brunswick (je n’ai pris que ces 3 exemples). Dans un autre volet je dirais que la différence, par exemple, entre le marché d’emploi du NB et du Québec, c’est que au NB il n’y en a pas assez d’opportunité d’emploi (oui je le répète), au Québec il y en a plus, mais elles ne s’offrent pas adéquatement. Radio-Canada stipule que toutes les statistiques le confirment : les immigrants québécois ont plus de difficulté à décrocher un emploi que les immigrants qui vivent ailleurs en Amérique du Nord. Et, quand ils trouvent du travail, ils sont bien souvent surqualifiés pour le poste qu'ils occupent. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1016838/integration-immigrants-marche-travail-emploi-etude-montreal-diplome-economie Citer
Habitués kabi Posté(e) 27 octobre 2017 Auteur Habitués Posté(e) 27 octobre 2017 (modifié) Voici un article de l'Acadie-Nouvelle, qui aborde dans le même sens : Modifié 27 octobre 2017 par kabi Citer
Habitués erictribalie Posté(e) 27 octobre 2017 Habitués Posté(e) 27 octobre 2017 Le 25/10/2017 à 20:50, Ivy Bijou a dit : Facile à dire 'On arrive"....Dans ces provinces là, le boulot ne court pas les rues... Omniscient... Citer
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