Habitués Regression Posté(e) 29 juin 2014 Habitués Posté(e) 29 juin 2014 (modifié) Le taux de rétention des DHQ varie entre 54 et 96 % selon leur provenance Cinq ans après l’obtention d’un permis au Québec, 96 % des diplômés provenant d’Amérique latine ou des Caraïbes et 86 % de ceux issus d’Afrique sont toujours membres de l’OIIQ. À titre de comparaison, le taux de rétention de la relève infirmière diplômée au Québec est de 93 %6. Le graphique 3 montre que, parmi les titulaires d’un permis délivré depuis les dix dernières années, le taux de rétention dans la profession au Québec est plus élevé chez les diplômés d’Amérique latine ou des Caraïbes7, soit 96 % après cinq ans, ou encore d’Afrique, soit 86 %. Quant aux diplômés de l’Asie ou de l’Océanie, 75 % sont toujours membres de l’OIIQ cinq ans après l’obtention de leur permis, tandis que cette proportion descend à 68 % chez les infirmières et infirmiers qui ont reçu leur formation dans un pays d’Europe8. Ce taux de rétention sur cinq ans n’inclut pas les I.D.E. ayant bénéficié de l’ARM puisque les premiers sont arrivés au Québec il y a seulement trois ans (2010-2011). Enfin, à peine plus de 50 % des infirmières et infirmiers d’une autre province canadienne ou des États-Unis9 exercent toujours la profession au Québec cinq ans après leur arrivée. 6. Portrait de la relève infirmière 2012-2013, graphique 10, page 25. 7. 70 % de ces diplômés sont Haïtiens. 8. 83 % des diplômés européens sont Français. 9. 95 % de ces diplômés sont Canadiens. http://www.oiiq.org/uploads/periodiques/infostats/vol06no03/index.htm Modifié 29 juin 2014 par Regression Citer
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