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Lisée: oui à un référendum, sans date précise


geez

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  • Habitués

Visiblement, ce ne sera pas pour tout de suite !

Le gouvernement québécois a réitéré dimanche sa volonté de tenir un référendum sur la question de la séparation du Québec du reste du Canada, sans préciser quand il se tiendrait.

Source : la presse.

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Maintenant avec la Charte, beaucoup d'anglophones et d'allophones (souvent fédéralistes) vont quitter le Québec. Alors il ne restera que les souverainistes. Belle tactique. Le Canada a intérêt à défendre ces minorités avant qu'il soit trop tard. :)

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  • Habitués

Entre l'idée de partir et le fait de partir réellement, il y a une grande différence !

Pas sûr que ceux qui le disent soient prêts à passer à l'acte, parce que ce serait une remise en cause de toute une vie ; un peu à la manière d'une immigration, d'ailleurs.

Et puis, pour le référendum en lui-même, le gouvernement actuel doit se douter qu'il n'aurait pas la majorité souhaitée, à l'heure actuelle.

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Entre l'idée de partir et le fait de partir réellement, il y a une grande différence !

Oui tout à fait d'accord avec ça!

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  • Habitués

Une estimation sortie d'un article datant de 2012 :

"De façon générale, l'appui au concept de souveraineté ou d'indépendance se maintient à un niveau comparable ces trente dernières années", explique François Gélineau. Il a longtemps oscillé entre 30 et 50 % pour se maintenir depuis 1995 à environ 40 %. Au regard des tout derniers sondages, les souverainistes seraient entre 30 et 32 %, soit "un appui en chute libre", analyse Claire Durand, sociologue à l'université de Montréal.

[...]

Chiffres à l'appui, Claire Durand montre que, depuis 1976, "traditionnellement, quand le PQ revient au pouvoir, l'appui à la souveraineté baisse".

Source : le monde.

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  • Habitués

Bon à savoir....

Le nombre d’anglophones ayant quitté le Québec pour aller s’installer dans une autre province ou dans un territoire n’a pas cessé de diminuer depuis 1981. La migration des anglophones hors du Québec a atteint un sommet pendant la période de 1976 à 1981 : environ 130 000 d’entre eux ont quitté le Québec vers d’autres provinces, alors que seulement 25 000 gagnaient la province depuis le reste du pays, pour une perte nette de plus de 100 000 personnes dans la population anglophone. Depuis, le nombre de départs a diminué à chaque période intercensitaire, exception faite d’une légère hausse entre 1996 et 2001, pour atteindre 34 000 départs entre 2001 et 2006. Depuis 1976, le nombre d’anglophones venus s’installer au Québec en provenance des autres provinces et territoires a fluctué entre 24 000 et 32 000 personnes. Le solde migratoire des anglophones au Québec est négatif pour chacun des lustres observés, toutefois la perte migratoire enregistrée entre 2001 et 2006 est nettement moins importante que celle des lustres précédents.

Toutefois, la plupart des migrants anglophones ayant quitté le Québec entre 2001 et 2006 ne sont pas originaires du Québec. Plus de la moitié d’entre eux sont nés dans une autre province tandis que 13 % sont nés à l’extérieur du Canada. En fait, de tous les anglophones ayant quitté le Québec, à peine un tiers y sont nés 57. En tenant compte de la province de destination, on constate que plus du tiers (35 %) des migrants anglophones quittant le Québec retournent en fait dans leur province de naissance 58.
La principale province d’où proviennent les anglophones ayant migré au Québec entre 2001 et 2006 est l’Ontario (63 %). Suivent dans l’ordre la Colombie-Britannique (12 %), l’Alberta (8 %), la Nouvelle-Écosse (6 %) et le Nouveau-Brunswick (4 %). De plus, 22 % d’entre eux sont nés au Québec, ce qui signifie qu’ils retournent dans leur province de naissance après un séjour ailleurs au Canada.



http://www.pch.gc.ca/fra/1357672477532/1357672616298

Modifié par kobico
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Lisée risque d'attendre longtemps avant de faire un référendum sur l'indépendance du Québec parce qu'il veut en faire un seulement s'il y a des condition gagnantes alors que c'est absolument pas le cas, une majorité de Québécois s'oppose à l'indépendance du Québec et préfèrent rester dans le Canada. :8):
Modifié par lesuisse
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  • Habitués

Même en admettant qu'il y ait 50 à 60% de Québécois francophones pure-souche et, disons, 50% d'immigrants naturalisés, en faveur de la souveraineté, ça prendrait un gros concours de circonstances pour que le oui l'emporte, à l'heure actuelle.

Mais, peut-être que je me trompe...

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  • Habitués

Visiblement, ce ne sera pas pour tout de suite !

Le gouvernement québécois a réitéré dimanche sa volonté de tenir un référendum sur la question de la séparation du Québec du reste du Canada, sans préciser quand il se tiendrait.

Source : la presse.

Ca se fera des qu'ils auront leur majorite parlementaire. On le sait tres bien.

C'est pas une surprise

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  • Habitués

, disons, 50% d'immigrants naturalisés, en faveur de la souveraineté,

Je dirais au moins 90% d'immigrants naturalisés votent pour le Canada. Le séparatisme n'a jamais été populaire auprés des minorités

Modifié par OuestCanadien
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  • Habitués

Une estimation sortie d'un article datant de 2012 :

"De façon générale, l'appui au concept de souveraineté ou d'indépendance se maintient à un niveau comparable ces trente dernières années", explique François Gélineau. Il a longtemps oscillé entre 30 et 50 % pour se maintenir depuis 1995 à environ 40 %. Au regard des tout derniers sondages, les souverainistes seraient entre 30 et 32 %, soit "un appui en chute libre", analyse Claire Durand, sociologue à l'université de Montréal.

[...]

Chiffres à l'appui, Claire Durand montre que, depuis 1976, "traditionnellement, quand le PQ revient au pouvoir, l'appui à la souveraineté baisse".

Source : le monde.

"En virant", les fameux vote ethniques et les anglo. Ca sera du tout cuit!!!

, disons, 50% d'immigrants naturalisés, en faveur de la souveraineté,

Je dirais au moins 90% d'immigrants naturalisés votent pour le Canada. Le séparatisme n'a jamais été populaire auprés des minorités

Il faudrait qu'ils votent car le taux de participation semble si bas!

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  • Habitués

Ca se fera des qu'ils auront leur majorite parlementaire. On le sait tres bien.

C'est pas une surprise

Même avec la majorité pour gouverner et malgré la pression de leur base, ils sont bien conscients que ce n'est pas le bon moment et qu'ils auraient toutes les chances de se planter.

Le ministre le sait très bien, comme le souligne l'article :

Et à la question de la journaliste: «Vous ne ferez pas un troisième référendum si vous n'êtes pas certain de le gagner?», le ministre a répondu: «Vous pouvez dire ça comme ça, parce qu'on veut faire gagner le Québec».

Mais bon, avec les élections qui arrivent, on devrait être fixé sur la question assez rapidement, parce que les autres partis risquent de s'en servir comme argument.

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  • Habitués

Visiblement, ce ne sera pas pour tout de suite !

Le gouvernement québécois a réitéré dimanche sa volonté de tenir un référendum sur la question de la séparation du Québec du reste du Canada, sans préciser quand il se tiendrait.

Source : la presse.

Ca se fera des qu'ils auront leur majorite parlementaire. On le sait tres bien.

C'est pas une surprise

Je ne pense pas. Ils ont trop de chance de le perdre - comme disait quelqu'un d'autre, l'appui à la souveraineté est stable à environ 40 %. C'est trop peu pour l'ignorer mais pas assez pour être sur de gagner. Les gens qui votent PQ ne sont pas tous en faveur d'un Québec libre - certains votent parce qu'ils sont désabusés des libéraux, parce qu'ils sont à gauche économiquement, etc. D'autres ne votent juste pas mais voteraient sans doute pour un référendum.

Simplement, comme le PQ reste un parti basé sur l'idée de souveraineté, ils peuvent difficilement annoncer qu'ils n'ont pas la moindre intention de tenir un référendum dans un avenir proche. D'où l'annonce assez vague.

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  • Habitués

En tout cas, ils commencent à tâter le terrain.

« Il y a un appétit au sein du Parti québécois [de relancer le débat constitutionnel]. C’est drôle, je sens la même chose aussi au sein de la population », souligne le candidat du PQ dans la circonscription montréalaise de Laurier-Dorion, Pierre

[...]

La première ministre Pauline Marois serait mal avisée de se contenter de l’élaboration d’un livre blanc si elle se voit confier les rênes d’un gouvernement majoritaire à l’issue des prochaines élections. Des militants indépendantistes ne lui pardonneraient pas.

Source : le devoir.

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  • Habitués

En tout cas, ils commencent à tâter le terrain.

« Il y a un appétit au sein du Parti québécois [de relancer le débat constitutionnel]. C’est drôle, je sens la même chose aussi au sein de la population », souligne le candidat du PQ dans la circonscription montréalaise de Laurier-Dorion, Pierre

[...]

La première ministre Pauline Marois serait mal avisée de se contenter de l’élaboration d’un livre blanc si elle se voit confier les rênes d’un gouvernement majoritaire à l’issue des prochaines élections. Des militants indépendantistes ne lui pardonneraient pas.

Source : le devoir.

Moui, que des militants péquistes soient en faveur d'un référendum ne me surprend pas. Mais il me semble qu'en dehors de la frange militante, beaucoup de gens se disent que non, c'est pas le moment. J'ai des amis souverainistes et ils ne veulent pas de référendum maintenant, parce qu'ils se disent que s'ils en perdent un 3e ça commence à être compliqué d'y croire. Donc ils attendent le moment propice... Enfin, je peux me tromper.

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  • Habitués

C'est surtout qu'avec un gouvernement majoritaire (si leurs calculs sont justes), ça deviendra compliqué de retenir la base la plus radicale sur la question de souveraineté.

Ça risque d'être animé, surtout si ça fonctionne comme ce que dit l'article :
« Nous serrons les coudes durant la campagne électorale. L’idée de tenir un livre blanc n’est pas mauvaise si on veut faire prendre la sauce au lendemain de l’élection d’un gouvernement majoritaire », explique un militant de longue date de la formation politique au Devoir, avant d’ajouter : « Mais, nous ne nous satisferons pas d’un livre blanc. Nous avons déjà joué dans ce film-là. Pauline Marois n’est pas sans savoir que le Parti québécois a la réputation de “ manger ses chefs ”. »

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