Habitués Nicolas Posté(e) 20 juin 2004 Habitués Posté(e) 20 juin 2004 Un dernier pour la route.Un pavé Et j'ai coupé des bouts...http://www.statcan.ca/Daily/Francais/030904/q030904a.htmEnquête longitudinale auprès des immigrants du Canada 2001 Les nouveaux arrivants au pays ont déjà développé un fort attachement au Canada et, d'après les premières données de l'Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada (ELIC), 98 % d'entre eux ont avoué que c'était la seule destination qu'ils avaient demandée lorsqu'ils ont décidé de quitter leur pays d'origine.Plusieurs personnes ont immigré pour des raisons économiques. Certains immigrants sont venus au Canada pour rejoindre leur famille et d'autres ont quitté leur pays pour des raisons politiques ou d'autres motifs personnels. Toutefois, la plupart avaient la même intention, c'est-à-dire de faire du Canada leur nouvelle patrie. La vaste majorité des immigrants (91 %) ont déclaré qu'ils voulaient s'y établir en permanence et acquérir la citoyenneté canadienne.Dans cette enquête, on étudie comment les nouveaux immigrants arrivent à s'adapter à la vie canadienne. Selon les données, ils s'intègrent assez bien à leur nouvelle vie au Canada. Ainsi, 7 immigrants sur 10 ont dit être satisfaits de leur nouvelle vie au pays.La plupart (85 %) s'étaient fait des amis depuis leur arrivée, plus particulièrement avec des personnes ayant les mêmes antécédents culturels. En fait, 63 % ont déclaré que la totalité ou la majeure partie de leurs nouveaux amis appartenaient au même groupe ethnique. En outre, 47 % ont révélé qu'ils voulaient faire venir les membres de leur parenté au Canada et parrainer leur demande d'immigration.Cependant, il leur a fallu affronter des obstacles pour entreprendre une nouvelle vie en sol canadien. La recherche d'un emploi constitue l'activité pour laquelle les immigrants ont été les plus nombreux à rapporter des difficultés : 70 % de ceux qui ont tenté de décrocher un emploi ont signalé au moins un problème tel que la non-transférabilité des titres de compétences acquis à l'étranger, le manque de contacts ou la barrière des langues.Par comparaison, 38 % des immigrants qui ont essayé de trouver un logement convenable et 40 % de ceux qui ont tenté de poursuivre des études ou de la formation se sont heurtés à au moins une difficulté. Ainsi, selon les nouveaux arrivants qui ont été à la recherche d'un logement convenable, les coûts élevés du logement et l'absence de garants ou de cosignataires ont été les principaux problèmes cités. Pour ce qui est de l'accès à la formation, la langue et l'argent ont constitué des obstacles. C'est dans l'accès aux services de santé que le moins d'immigrants (23 % seulement) ont dit avoir connu des difficultés. Parmi les problèmes évoqués, mentionnons les longues listes d'attente, les coûts élevés des soins dentaires et des médicaments d'ordonnance et la barrière des langues.Le réseau de parents et d'amis joue un rôle essentiel dans le processus initial d'établissementUn grand nombre d'immigrants (87 %) avaient déjà un certain réseau d'entraide au pays à leur arrivée. Plus de la moitié (54 %) avaient déjà des parents et amis qui habitaient au Canada; un autre tiers (33 %) n'avaient que des amis. La plupart des nouveaux arrivants (78 %) se sont établis dans la région où demeuraient leurs parents et amis. Ils se sont fréquemment tournés vers ce réseau d'entraide lorsqu'ils ont éprouvé des difficultés à s'établir et ont eu besoin d'aide.D'octobre 2000 à septembre 2001, les trois principales régions métropolitaines de recensement (RMR) du pays, à savoir Toronto, Vancouver et Montréal, ont attiré les trois quarts des nouveaux arrivants. Ce mode d'établissement est conforme aux tendances à long terme que dégagent les données de recensement et autres données d'enquête.Les données de l'ELIC indiquent nettement que le réseau de parents et d'amis a influé au moins autant que les facteurs économiques sur le choix d'une destination par l'immigrant, mais les autres grandes raisons de ce choix (le climat, la langue, la présence d'une communauté ethnique, entre autres) variaient de ville en ville.On aurait pu s'attendre à ce que les immigrants de la composante économique évoquent des facteurs économiques comme principale raison du choix d'une destination, mais tel n'a pas été le cas. Dans les trois RMR, 44 % des demandeurs principaux admis dans la catégorie économique ont déclaré qu'ils ont choisi leur destination parce que leurs parents et amis habitaient déjà dans la ville choisie. Seulement 19 % ont dit s'être laissé influencer par les perspectives d'emploi. D'autres raisons mentionnées étaient le mode de vie (7 %), les possibilités d'études (6 %) et le prix du logement dans la ville de destination (6 %).La moitié des demandeurs principaux de cette catégorie ont choisi de s'établir à Toronto pour rejoindre des proches; moins du quart (23 %) l'ont fait à cause des perspectives d'emploi. D'autres facteurs importants dans le choix de Toronto ont été le mode de vie, le logement et la présence d'une communauté culturelle.À Vancouver, 41 % des demandeurs principaux de la composante économique ont dit avoir voulu s'y établir pour rejoindre leurs parents et amis. Les conditions climatiques suivaient en importance : elles ont été mentionnées par le cinquième des demandeurs principaux. Une faible proportion d'immigrants ont opté pour Vancouver à cause des perspectives d'emploi.À Montréal, la principale raison était aussi la présence de parents et d'amis. Ce facteur a été mentionné par 31 % des demandeurs principaux de la catégorie économique. Les facteurs qui suivaient en importance étaient la langue (19 %), les perspectives d'emploi (16 %) et les possibilités de formation (10 %).Environ le cinquième des nouveaux arrivants (21 %) se sont établis dans des RMR autres que celles de Toronto, de Vancouver et de Montréal et 4 % ont choisi de s'installer à l'extérieur d'une RMR.Presque la moitié des nouveaux arrivants avaient trouvé du travail six mois après leur arrivéeEn relativement peu de temps, 44 % (72 100) des nouveaux arrivants ont trouvé du travail. De ce nombre, 8 personnes sur 10 ont obtenu un emploi à temps plein et les autres, un emploi à temps partiel.Au moment de l'interview, environ 37 % (42 200) des nouveaux arrivants étaient toujours en quête d'un travail.Au total, 114 400 nouveaux immigrants appartenaient à la population active, ce qui représente un taux d'activité de 70 % pour l'ensemble des nouveaux arrivants. Le taux était encore plus élevé chez les nouveaux arrivants de 25 à 44 ans (78 %), mais demeurait légèrement inférieur à celui du groupe d'âge équivalent de toute la population canadienne selon les données de l'Enquête sur la population active (86 %).Le taux d'emploi était le plus élevé chez les immigrants du groupe d'âge de 25 à 44 ans. La moitié des membres de ce groupe d'âge travaillaient six mois après leur établissement, comparativement à 36 % des personnes de 15 à 24 ans et à 35 % de celles de 45 à 64 ans.De même, les nouveaux arrivants qui ont été admis comme demandeurs principaux de la composante économique présentaient un taux d'emploi plus élevé (59 %) que les immigrants de la catégorie de la famille (39 %) ou les conjoints et personnes à charge de la catégorie économique (34 %).La connaissance des langues officielles du pays avait aussi une incidence sur l'emploi chez les nouveaux arrivants. Plus de la moitié (52 %) des immigrants de 25 à 44 ans qui pouvaient parler en français ou en anglais avaient un emploi au moment de l'enquête. Par comparaison, le tiers seulement (33 %) de ceux qui ne connaissaient ni le français ni l'anglais avaient pu obtenir un emploi.Six nouveaux arrivants sur dix ont travaillé dans d'autres secteurs professionnels après l'immigrationSur dix nouveaux arrivants qui travaillaient au moment de l'enquête, six se trouvaient dans un secteur professionnel différent de celui qui avait précédé leur immigration.Les hommes et les femmes qui travaillaient environ six mois après leur arrivée se trouvaient en plus grand nombre dans le secteur de la vente et des services et dans celui de la transformation et de la fabrication. Il s'agit d'un important changement de répartition par rapport aux secteurs professionnels antérieurs à l'immigration. Avant l'arrivée en sol canadien, les deux groupes professionnels les plus fréquents chez les hommes étaient ceux des sciences naturelles et appliquées et de la gestion et, chez les femmes, ceux des affaires, des finances et de l'administration, des sciences sociales, de l'éducation, des services gouvernementaux et de l'activité religieuse.Pour beaucoup d'immigrants, l'emploi occupé les premiers mois ayant suivi l'immigration pourrait avoir été transitoire. Un certain nombre d'immigrants étaient toujours en quête d'un emploi dans la profession à laquelle ils étaient formés au départ.Sur le nombre de nouveaux arrivants qui avaient un emploi au moment de l'enquête, 42 % étaient à la recherche d'un nouvel emploi. Ceux qui travaillaient dans un groupe professionnel autre que celui qui avait précédé l'immigration étaient plus susceptibles de chercher un nouvel emploi (52 %) que les personnes dont le secteur professionnel n'avait pas changé à la suite de l'immigration (30 %).De grandes entraves pour décrocher un emploi étaient le manque d'expérience au Canada et les difficultés de transférabilité des titres de compétences acquis à l'étrangerUn facteur clé de l'accès à l'emploi est d'avoir acquis dans le pays d'origine des titres de compétences ou un niveau de scolarité (diplôme ou grade) qui sont reconnus par le pays de destination. Dans des études antérieures, on a constaté que les immigrants ayant une formation professionnelle à leur arrivée dans les années 1990 avaient eu de la difficulté à faire reconnaître leurs titres de compétences acquis à l'étranger. Cette constatation valait particulièrement pour ceux qui avaient reçu leur formation dans un système éducatif différent du système canadien.D'après les données de l'enquête, 76 % (ou 124 700) des nouveaux arrivants avaient acquis au moins un titre de compétences à l'étranger. (Les titres de compétences désignent les titres plus élevés qu'un diplôme d'études secondaires, y compris les titres professionnels ou techniques ainsi que tous les autres grades, diplômes ou certificats décernés à l'étranger.)Pour ces immigrants, les plus grandes entraves pour décrocher un emploi étaient le manque d'expérience sur le marché du travail canadien et la difficulté de faire reconnaître leurs titres acquis dans le pays d'origine. Chacun de ces obstacles a été évoqué par 26 % des nouveaux arrivants qui avaient acquis des titres à l'étranger et signalaient au moins un problème pour ce qui est de décrocher un emploi.Une autre proportion de 22 % ont indiqué la barrière des langues et 9 %, le manque de postes comme première difficulté pour ce qui est de décrocher un emploi.Six mois environ après leur arrivée, 26 % des immigrants ayant une formation professionnelle avaient pu faire vérifier au moins un de leurs titres de compétences par un employeur, un établissement d'enseignement ou l'organisme de réglementation de leur profession au Canada. Une autre proportion de 13 % avaient fait vérifier leurs titres par des sources à l'étranger ou par des agents d'immigration et 61 % n'avaient pas encore entrepris de démarches en vue de faire reconnaître leurs titres.Sur dix nouveaux arrivants qui avaient fait reconnaître un de leurs titres par un employeur, un établissement d'enseignement ou un organisme professionnel au Canada, cinq ont dit qu'au moins un organisme d'agrément avait intégralement accepté leurs titres; 22 % des autres avaient eu droit à une reconnaissance partielle et environ 15 % attendaient toujours les résultats de l'évaluation de leurs titres par un tel organisme. Enfin, 13 % avaient vu au moins un de leurs titres refusé par un organisme d'agrément.La barrière des langues représente une difficulté importante en ce qui a trait à l'établissementÀ leur arrivée au Canada, 18 % des nouveaux arrivants ont dit être incapables de parler dans l'une ou l'autre des langues officielles du pays, ce qui s'explique par la forte proportion d'immigrants en provenance de pays qui ne sont ni francophones ni anglophones. Les immigrants incapables de s'exprimer dans une des langues officielles canadiennes à leur arrivée étaient généralement plus âgés et étaient le plus souvent admis dans la catégorie de la famille ou des réfugiés. De plus, les immigrantes étaient moins susceptibles que les immigrants de connaître le français ou l'anglais.Dans l'ensemble, 22 % des immigrants qui ont évoqué au moins un problème pour ce qui est de décrocher un emploi ont mentionné le manque de maîtrise de l'une ou l'autre des langues officielles comme le plus grand obstacle qu'ils aient dû affronter sur ce plan. Ceux qui ne pouvaient parler ni en français ni en anglais risquaient plus que ceux qui connaissaient au moins une langue officielle de mentionner la barrière des langues comme difficulté première pour ce qui est de décrocher un emploi (69 % contre 16 %).La langue était aussi un des obstacles les plus fréquemment déclarés par les nouveaux arrivants pour les autres aspects de l'établissement. Une proportion de 15 % des immigrants qui ont évoqué des problèmes d'accès aux services de santé ont dit que la langue avait représenté une barrière. De même, 27 % de ceux qui ont eu de la difficulté à compléter leur formation ont mentionné la langue comme principale difficulté.La plupart des nouveaux arrivants voulaient compléter leur formationPlusieurs nouveaux arrivants ont dit qu'il était important de poursuivre leur formation pour réussir au Canada. Bon nombre de nouveaux arrivants (67 %) avaient l'intention de s'inscrire à un programme de formation une fois arrivés au pays. Les études universitaires, auxquelles songeaient 40 % des nouveaux arrivants, étaient la formation la plus couramment visée.Même les immigrants ayant obtenu un diplôme universitaire avant leur arrivée comptaient parmi ceux qui prévoyaient poursuivre leurs études postsecondaires dans une université du pays. En fait, les deux tiers d'entre eux ont dit avoir l'intention de continuer leurs études dans une université canadienne.Environ six mois après avoir obtenu leur droit d'établissement, 45 % des nouveaux arrivants s'étaient déjà inscrits à des cours. Comme la langue constituait une préoccupation majeure pour un grand nombre d'immigrants, les cours de langue étaient la formation la plus recherchée dans les premiers mois qui suivaient l'arrivée.Du nombre d'immigrants qui avaient entrepris une certaine formation, 58 % avaient suivi au moins un cours d'anglais et 1 personne sur 10 avait reçu une certaine formation en français. La plupart des nouveaux arrivants qui ont suivi des cours d'anglais dans les premiers mois suivant leur arrivée habitaient à l'extérieur du Québec (93 %), et la majorité des gens qui avaient pris des cours de français demeuraient au Québec (95 %).De plus, 28 % des immigrants avaient suivi un ou plusieurs cours menant à un grade ou à un certificat et 12 % s'étaient inscrits à des cours, des ateliers ou des séminaires liés à l'emploi. Citer
Benito Posté(e) 20 juin 2004 Posté(e) 20 juin 2004 S'il te plait fait un résumé. J'suis pas très courageux pour lire ça un dimanche matin bien que ce soit un sujet très intéressant Citer
Habitués apacha Posté(e) 20 juin 2004 Habitués Posté(e) 20 juin 2004 j'ai mal aux yeux,sinon franchement j'ai pas la volonté de tout lire quelqu 'ún peut il me dire en bref de quoi on parle dans ce topic à moins que ça soit un cour sur l'immigration...apacha Citer
Invité Posté(e) 20 juin 2004 Posté(e) 20 juin 2004 Salut, Tu peux pas nous crisser la paix avec tes messages dominicaux, aujourd'hui c'est dimanche et jour de prière seulement Byyyyyyyyyyyyyyyyyyyyeeeeeeeeeeeeeee Citer
Habitués Nicolas Posté(e) 20 juin 2004 Auteur Habitués Posté(e) 20 juin 2004 Fainéants Imprimez-le...Ca résume toutes les raisons qui poussent un immigrant à venir au Canada.Ca explique toute les difficultés qu'il trouve sur son chemin une fois là-bas (logement, travail, liens sociaux culturels).On résume pas un résumé Citer
Habitués Nicolas Posté(e) 20 juin 2004 Auteur Habitués Posté(e) 20 juin 2004 Salut, Tu peux pas nous crisser la paix avec tes messages dominicaux, aujourd'hui c'est dimanche et jour de prière seulement ByyyyyyyyyyyyyyyyyyyyeeeeeeeeeeeeeeeTu n'as qu'à zapper ma cocotte. Citer
Habitués apacha Posté(e) 20 juin 2004 Habitués Posté(e) 20 juin 2004 voilaaaaa,après ce brief apercu de ta part (nicoco) je pense que je prendre mon temps à lire ce topic tranquiloooo quoi, merci pour la lecture dominicale.apacha Citer
Benito Posté(e) 20 juin 2004 Posté(e) 20 juin 2004 Le problème c'est qu'en imprimant j'utilise du papier inutilement. Faut pensez à nos forêt.Benito l'écolo Citer
Habitués fortsympa Posté(e) 20 juin 2004 Habitués Posté(e) 20 juin 2004 ben moi j'ai tout lu.. et c'est tres tres interessant .. je conseille à tous de TOUT lireca me reconforte dans mon integration future Citer
Habitués Nicolas Posté(e) 20 juin 2004 Auteur Habitués Posté(e) 20 juin 2004 Le problème c'est qu'en imprimant j'utilise du papier inutilement. Faut pensez à nos forêt.Benito l'écoloJe pleurerai bien mais si je le fais je vais utiliser des kleenex et ça fera un arbre de sauvé de moins ben moi j'ai tout lu.. et c'est tres tres interessant .. je conseille à tous de TOUT lireca me reconforte dans mon integration future Exactement ! Tous ces témoignages d'immigrants répondent à 90% des questions posées sur ce forum (au sujet des craintes liées à l'immigration). Puis les chiffres sont les chiffres, c'est objectif (du moins si les réponses ont été honnêtes ).Lisez tout, y'a interro demain, et Phil90c n'aura pas le droit de tricher Citer
Habitués Nanne Posté(e) 20 juin 2004 Habitués Posté(e) 20 juin 2004 Ouf, j'suis arrivée au bout....Ben moi j'ai trouvé ça pas mal intéressant aujourd'hui c'est dimanche et jour de prière seulement C'est dommage, je crois que le pré-apéro et l'apéro et le BBQ chez Alain c'est justement un dimanche Citer
Invité Posté(e) 20 juin 2004 Posté(e) 20 juin 2004 Salut, C'est dommage, je crois que le pré-apéro et l'apéro et le BBQ chez Alain c'est justement un dimanche Oui mais l'inspiration pour la prière est meilleure lorsque tu as une bière dans chaque main.Si Nicoco vaulait bien nous sortir ces stats là, plus intéressante que celles de ce matin, cela me permettrait de prier un peu plus et plus souvent Byyyyyyyyyyyyeeeeeeeeeeeeee Citer
Habitués Nicolas Posté(e) 20 juin 2004 Auteur Habitués Posté(e) 20 juin 2004 Oui mais l'inspiration pour la prière est meilleure lorsque tu as une bière dans chaque main.Si Nicoco vaulait bien nous sortir ces stats là,Notre bière qui est en futQue ta mousse soit sanctifiéeQue ton verre vienneQue ta distribution soit faiteSur la table comme au barDonne nous aujourd'huiNotre houblon quotidienPardonne nous nos gueules de boisComme nous pardonnons aussiA ceux qui boivent du cocaSoumets nous à la tentationEt délivre nous de la soifCar c'est à toi qu'appartiennentLes bulles l'arôme et la fraîcheurPour les siècles des sièclesAMER http://vlafon.free.fr/Biere/biere_survie.html Citer
Habitués Nanne Posté(e) 20 juin 2004 Habitués Posté(e) 20 juin 2004 MDR il me semble que tu as toujours une réponse à tout, phil;) Citer
Invité Posté(e) 21 juin 2004 Posté(e) 21 juin 2004 Il a dû falloir en faire des hautes études pour découvrir que les immigrants vont de préférence aux endroits où ils ont de la famille ou des amis.........S Citer
Habitués Nicolas Posté(e) 21 juin 2004 Auteur Habitués Posté(e) 21 juin 2004 Il a dû falloir en faire des hautes études pour découvrir que les immigrants vont de préférence aux endroits où ils ont de la famille ou des amis.........S Comme c'est précisé, ces infos ressortent d'une enquête auprès des immigrés Néanmoins j'ai été surpris, je pensais que les gens partaient comme ça à l'aventure, alors que pour beaucoup d'entre eux ils ont déjà des "connaissances" sur place. Citer
Habitués Lizzie Posté(e) 21 juin 2004 Habitués Posté(e) 21 juin 2004 Sigognac, j'allais le dire!!!!Lizzie Citer
Habitués Nicolas Posté(e) 21 juin 2004 Auteur Habitués Posté(e) 21 juin 2004 Il a dû falloir en faire des hautes études pour découvrir que les immigrants vont de préférence aux endroits où ils ont de la famille ou des amis.........S Comme c'est précisé, ces infos ressortent d'une enquête auprès des immigrés Néanmoins j'ai été surpris, je pensais que les gens partaient comme ça à l'aventure, alors que pour beaucoup d'entre eux ils ont déjà des "connaissances" sur place. Je m'auto-quote Ca veut donc dire que c'est fini l'immigration de grand-papa, où on part dans un pays un peu comme à l'aventure, ne connaissant rien ou quasi sur place... Citer
Habitués Lizzie Posté(e) 21 juin 2004 Habitués Posté(e) 21 juin 2004 ben pour moi, c'est un peu l'immigration de grand-papa...j'ai décidé de partir là-bas seule et sans connaître personne au Québec et sans y avoir jamais mis les pieds. Je sais, on va me prendre pour une inconsciente.Mais j'ai rencontré plein de personnes grâce à ce forum et depuis, ben c'est encore plus cool!!Lizzie Citer
Invité Posté(e) 21 juin 2004 Posté(e) 21 juin 2004 D'habitude, les stat me gonflent car ils donnent un aspect généralisé de la réalité. mais là, j'ai apprécié la masse d'info. quoique sur le forum, on est pa mal au courant des obstacles à l'arrivée, avec tranches de vie à l'appui Merci Nico. Nina Citer
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