-
Compteur de contenus
1 331 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Monikebek
-
Et moi, je me souviens très bien qu'il y aexactement 6 ans, nous courrions dans MTL nous aussi, et pour nous aussi, c'était niet parce qu'immigrants nouvellement arrivés et donc pas de job et en plus, on avait de très jeunes enfants (1 an et 2 ans 3/4)... presque la totale... on n'avait pas d'animal Mais à 100 km de là, Drummondville, on a été acceptés par le premier proprio qu'on a contacté : ils savaient que les nouveaux immigrants avaient forcément des sous, et avec nos métiers, ils pensaient bien qu'on n'allait pas rester sans job longtemps. Je sais que tous les métiers ne permettent pas de quitter la grande ville, mais dans notre cas, c'était bon. Monika
-
Salut darkness ! Neige : ben nous on s'est pris un beau 50 cm pour la fin de semaine de Pâques... mais pas "downtown", c'est fou, hein... juste notre uartier grosso modo, comme un orage quoi, très local. Bizarre ! Et en plus, ça a duré 36-48 h, et rien "en bas" dans le centre-ville... BREF ! Côté températures c'est du moins 5 la nuit et plus 4 la journée, avec des variantes. Chemin boueux = pas accès au terrain pour continuer de creuser. De toute façon, faut pas le faire quand ça mouille cause terre glaise. Au contraire, Pascal a recouvert le site de l'emplacement de la maison à venir avec de grandes bâches pour minimiser l'impact de l'eau (ouais, et maintenant il y a un pied de neige là-dessus, hahaha ! Prix de logement : une chambre, tout compris (sauf la bouffe bien évidemment) faut compter 450$. Un logement à 2 chambres avec salon, cuisine, salle de bains,... c'est vers 800$ non chauffé ou chauffé - ça dépend de l'état de la bicoque. Félicitations d'avoir "sauté le pas et lancé ta demande de visa ! Bonne journée de mercredi (moi, je vais à Faro, aller-retour dans la journée: 700 km au total... pour le boulot). Monika
-
Ti coucou de Monika à Daddy... Schumarette n'a pas d'ordi à la maison qu'elle loue, mais elle prendra sûrement bientôt le temps de vous raconter ses aventures. Monika
-
Ben, il a TRES BIEN réagi en fait : la correction est déjà faite sur le site PAYANT (accès vendu aux entreprises, ou carrément le soft, je ne sais plus), mais pour le test gratuit, faut patienter un petit peu encore... C'est une entreprise suisse. Voilà ! Monika
-
Je l'ai fait... je lui ai offert mes services pour arranger son site du côté texte en français. On va bien voir comment il va réagir... Monika
-
Ah que j'ai envie de lui écrire à celui-là pour lui proposer mes services pour arranger son site ! J'ai bien évidemment utilisé la version allemande, ma langue maternelle (le français est ma 3e langue). Benutzername monikebek Testdatum 08.04.2006 Französischtest Stufe 2 Testresultat 91.25 % richtig Kategorien Grammatik Vokabular Kommunikation Hörverständnis (capacité d'écoute) Leseverständnis (capacité lecture) 100.00% (pas mal fière de celle-là moé...) 87.50% 93.75% 87.50% 87.50% Monika
-
Il y a des cours d'anglais gratuits dans le Canada anglophone pour tout immigrant reçu. Même ici dans notre petit coin au nord.
-
Salut superunknown (tu vas finir par être connu toi ) Je ne suis pas une vraie Française (Allemande immigrée en France en 1978 puis au Canada en 2000), mais mon accent est teinté très fortement par mes 20 ans en Bourgogne. Je n'ai JAMAIS eu le moindre problème par rapport au fait de mon "accin" français de France, ni au Québec ni ici dans le ROC. Dans "mon " village en Estrie, le monde se salue, qu'on soit anglo- ou francophone ou allophone comme nous. Je n'ai jamais reçu un porte dans la face non plus, et toujours au moins un sourire lorsque moi, je la tenais à quelqu'un d'autre. Ici dans le coin extrême nord-ouest de ce pays immense, il y a des parfaits inconnus qui me sourient et me disent bonjour même dans la rue principale de la ville (22 000 habitants), et ce autant de la part de "blancs" que d'autochtones ou autres. C'est certain qu'on est très nombreux à être immigrants ou au moins migrants ici, mais il y a un respect de l'autre ici que j'ai aussi remarqué en Alberta et au BC. Et même au cours de nos divers périples au travers du pays, je n'ai jamais ressenti quoi que ce soit de négatif, même avec un accent allemand pas mal prononcé quand je parle en anglais (mais pas d'accent alelmand quand je parle en français). Oh, il y a du monde qui doit rigoler dans mon dos, c'est certain. Mais bien plus à cause de mon attitude de femme qui tient compte de son mari (au lieu de ne pas en tenir compte) voir l'écoute, quelle horreur ! mais c'est uniquement de la part de femmes franco-canadiennes, pas les femmes anglophones. Mais peut-être sommes nous trop loin d'une image typique d'une appartenance d'un pays en particulier - trop Allemande pour être une vraie Française - trop Française pour passer pour une Allemande - trop Européenne pour être une Canadienne, et je ne parle même pas de Québécoise parce que je ne me sens aucunement ni même comme une "ancienne Québécoise". On est un mélange, mon mari et moi, et on a du mal à nous mettre dans des cases traditionnelles. On bientôt dire très officiellement que "il est fou ce Belge !" parce qu'on construit notre maison nous-mêmes, avec nos mains et sans engins style pelleteuse etc. mais avec une pelle à la main... Mais ce sera affectueux, pas péjoratif. Je ne vois pas non plus que les "vrais" Français se fassent mal recevoir ici ni ailleurs dans le ROC. Votre accent est tellement mignon quand vous parlez français qu'on ne peut que tomber sous le charme ! Les gens sont curieux de ce qui vous a amené au Canada, au ROC, au Yukon. Ils aiment ça, les histoires. Et qui n'aime pas la raconter, son histoire ?! Je pense qu'il y a toutes sortes de gens partout, et si vous ne vous plaisez pas là où vous êtes, ben partez ! Changez d'endroit ! Parfois il suffit de changer d'une rue à l'autre, et ce n'est pas propre au Québec ou au Canada, c'est ainsi n'importe où dans le monde. Quand je vivais à Dijon (pendant 20 ans...), il paraît que les gens y sont moroses et bourgeois. Et qu'est-ce qui m'oblige à les fréquenter ceux-là ? RIEN ni PERSONNE ! Si moi, je suis l'élément qui ne plaît pas aux autres et que ça me gêne ou me fait souffrir et que je ne peux rien faire pour changer qui je suis, je m'en vais voir ailleurs ! Faut pas attendre que le quartier entier, ou même juste la rue, va changer pour faire plaisir à moi qui arrive ici comme le cheveu sur la soupe. Bien sûr que je sais qu'il ne faut pas généraliser, mais j'ai roulé ma petite bosse un peu, et c'est ça mon expérience personnelle. Monika
-
Félicitations Maya ! Et quel bonheur de revoir ton nom ici ! Je me souviens très bien de toi. Monika
-
Yukonette et Yukonika, ah quelle équipe explosive
-
Je confirme : nous sommes au mileu des grizzlis et autres meutes de loup avec Schumarette & Co. On ne les voit pas ici en ville, mais on fait des efforts pour que les coyotes au moins se montrent Monika
-
Vous z'inquiétez pas, sa chambre est prête... Normalement 2 de ses enfants sont déjà ici depuis ce matin 4 h 30 (sont arrivés par Greyhound et un ami les a accueillis). Grande réunion familiale chez nous ce soir. Maman Yuki
-
Goede middag Pingo, Je suis passée à Thunder Bay à plusieurs reprises lors de nos raversées du Canada, et c'est une ville assez grande avec toutes les aménités. Il y a un grand port avec de vrais bateaux énormes. Je n'ai aucune idée du marché de l'emploi, du prix du logement etc. mais le paysage alentours vaut le détour comme tout le nord des Grands Lacs. Le seul point que je remarquais en passant, c'est que le prochain aéroport international est LOIN ! Mais ça vient du fait que nous sommes immigrants et avons bien évidemment des voyageurs qui viennent nous voir... Tiens, je vais aller surfer un peu pour voir Thunder Bay... J'espère que d'autres pourront te renseigner mieux que moi !
-
Contre le gîte, je viens donner un coup de main en août Pas de problème, tous ceux qui donnent la main contre le gîte sont les bienvenus !
-
Je pense, moi, que si, nous avons tous besoin e la tolérance d'autrui et être tolérants nous-mêmes. Jusqu'à un certain point, je suis d'accord. Mais tolérance et respect vont de pair dans ma petite tête de linotte, et si nous ne pouvons pas respecter autrui, nous sommes condamnés. Qu'on appele ça religion ou culture ou éducation ou je ne sais quoi, le respect des autres devrait faire partie intégrante de notre quotidien. Or, ce n'est plus vraiment le cas en nos pays occidentaux, et je trouve cela très regrettable pour utiliser un mot faible. Les jeunes sont devenus beaucoup trop individualistes et sans aucun regard pour ceux qui les entourent. Malheureusement, je pense que ma génération a beaucoup à se reprocher dans ce domaine car nous avons voulu élever nos enfants plus "librement", avec moins de contraintes parentales, et aujourd'hui ces mêmes jeunes sont parfois d'un égoisme incroyable et "Je veux tout et tout de suite parce que je le mérite", "J'ai le droit de..." et "J'ai droit à..." Nous, nous avons rejetéla religion en général, et nous avons élevé nos enfants dans cet esprit, et je regrette aujourd'hui d'avoir accepté que mon mari rejette la religion très fortement et que je me sois éloignée de ce style de vie. Je l'ai retrouvé, ce style de vie, ici au Canada, au Québec, et bien que je ne voudrais jamais l'imposer à qui que ce soit parce que c'est quelque chose de très personnel, j'essaie de montrer le côté positif, et le fait que notre curé francophone (Québécois) soit aussi dynamique, donne aussi une vision différente de ce que nous avons connu comme "l'eglise" quand nous avions 14 ans. Je sais que pour moi, tout d'un coup je peux prendre l'avion avec beaucoup plus de sérénité parce que je m'en remets à une puissance supérieure. Ce qui est hors de mon contrôle, j'ai appris à ne plus gaspiller mon énergie à essayer à tout prix à prendre le contrôle. Peu importe le nom que l'on veut mettre sur une divinité ou une puissance supérieure, ça peut être l'amour, une fleur, un grizzly ou une libellule. Mais tout d'un coup, on a le dos moins courbé parce que de faux soucis sont partis. Connaissez-vous cette petite prière ? "Mon Dieu, donnez-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne puis changer, le courage de changer les choses que je peux et la sagesse d'en connaître la différence" Pas forcément liée à une religion ou (un) DIeu, mais je la trouve très pertinente pour notre état d'esprit tellement encombré de choses inutiles, hors de notre contrôle. La spiritualité et / ou la religion nous donne ces mêmes options. Mais essayez donc de parler de spiritualité à des gens dans les grandes villes... Je suis persuadée que c'est incomparablement plus facile de vivre en paix dans les petites communautés, proche de la nature où la vie peut plus facilement trouver un rythme de vie naturel. Mais je m'égare... Bonne journée à vous tous ! Monika (moins 37 degrés Celius ce matin... oui, chu complètement gelée...)
-
Pardon ? Ils distribuent des capotes dans les écoles primaires ici à Whitehorse ???? Désolée, mais moi, je n'encouragerai pas les relations sexuelles au primaire ! Est-ce que je suis déconnectée de la réalité des enfants à ce point-là sans le savoir, tout en ayant des enfants au primaire moi-même ? Jamais je n'ai entendu parler de capotes à l'école française ici non plus (primaire et secondaire). D'ailleurs tu es le premier à aborder le sujet depuis que je suis ici, et au Québec, je n'en ai jamais entendu parler non plus. Peux-tu m'éclairer STP ? Je dois t'avouer que je suis très fortement intriguée là...
-
Bravo Benito, chronique absolument superbe ! J'ADORE !
-
Avoir une paroisse vivante ou mourante dépend pour BEAUCOUP du prêtre, à mon avis. Nous avons eu la chance d'avoir un curé très jeune à Waterloo (Québec), jeune en âge (il est de 1964) et en esprit. L'eglise est pleine dans les deux paroisses (env. 15 km entre les deux) pour une population au total de pas plus de 5 000 personnes, tous âges confondus. J'ai assisté à unemesse de minuit dans un village voisin par un "vieux" curé, et lui n'aurait jamais pu réussir à nous faire aimer une communauté religieuse, même de notre religion de naissance et éducation. Je sais aussi qu'en Europe c'est très galère, pas d'ouverture pour les jeunes. Au Québec et au Canada en général, l'ouverture est beaucoup plus grande. Ici on ne doit pas avoir honte de dire qu'on va à la messe. Les jeunes sont impliqués dans le bénévolat, et ce n'est pas forcément par des activités à caractère religieux. J'ai eu du mal à dire au revoir à ma paroisse au Québec car je sais que c'est assez exceptionnel comme climat, mais j'ai eu la chance inouie de trouver ici dans le Grand Nord quelque chose de très semblable, avec un petit curé Québécois de mon âge et lui aussi, l'esprit tellement ouvert que certains de nos amis ne savaient même pas qu'ils parlaient à un prêtre ! La communauté catholique ici est certes petite en nombre mais assez forte en tant que rassemblement de personnes. C'est difficile d'aller chercher les jeunes une fois qu'ils sont ados car c'est là que ça devient plus difficile de ne pas se faire exclure parce qu'on va à la messe. On a eu la visite d'un conseiller du Québec pour nous donner des outils, donc je peux vous dire qu'ils savent en plus hautes instances que ça va mal et qu'il faut se réinventer pour pouvoir continuer. L'eglise de nos jours n'a plus son mot à dire dans innombrables domaines du quotidien. Elle n'a plus le pouvoir sur nos vies comme lorsque l'information n'était pas à un clic de souris... L'éducation des gens a eu comme effet d'enlever ce pouvoir abusif de l'église en général, et les gens se prennent en charge sans demander l'avis du curé. L'eglise ne détient plus la connaissance à elle seule, ou en combine avec le docteur du village. Aujourd'hui, tout le monde peut vérifier des énoncés et les contredire. L'eglise n'a pas su prévoir cela et doit aujourd'hui s'ajuster énormément si elle veut rester un minimum présente. Je ne sais pas ce qu'il en est au Québec, mais ici, dans une ville de 22 000 habitants, nous avons deux écoles primaires catholiques dont une sera à immersion française dès la rentrée scolaire prochaine, une combinaison jamais vue ici auparavant, et une école secondaire catholique (pas à immersion mais ils sont très francophiles déjà). Voilà. J'ai essayé de ne pas donner trop de matière à polémique... Monika
-
Quelle bonne idée ! Je vais faire une demande de subvention pour le B & B tout de suite !!! La construction commence dès que le sol n'est plus trop dur pour pelleter la terre (ouais je sais, on est fous nous, on fait ça avec une pelle à la main alorsqu'il y a des engins pour le faire...) - le permis de construire est entre nos mains depuis quelques jours !
-
Bon 'scusez, mais il est sur la route à l'heure qu'il est... Mais s'il n'a pas vu, je veux bien lui dire J'ai commis un crime ce soir à une réunion... j'ai dit que je ne m'identifiais pas comme appartenant à une minorité.... ah non, frappez pas !!! Par contre, je continued'apporter mon support à la minorité francophone ici parce que j'AIME la langue française, na ! Paraît qu'il y a 3 000 germanophones icitte (10% de la population du territoire tout de même)... me demande ben où ils se cachent ceux-là... ne parlent plus l'allemand probablement... assimilés quoi... HA ! v'là un mot pour jimmy ! Bonne nuit, les Amis de l"Est ! J'vous aime quand même Non, j'ai pas bu...hips ! Mais qu'est-ce qu'y z'ont encor' mis dans ma tisane à la camomille là, hein ???
-
On va devoir commencer des statistiques là, hein... Vincent ! combien tu en as convaincus comme ça ???? Bon OK, dans le cas de Bobinette, on n'y était pour rien, ni toi ni moi. Mais nous, Leslie, le Colonel Higgins, maintenant Schumarette... et j'avoue, oui, dans les deux derniers cas, j'ai mis mon grain de sel moi aussi Schumarette, on vous attend bien évidemment à bras ouverts, et on va essayer d'obtenir quelques aurores boréales spécialement pour toi le 18 au soir ! Et hop, basculement sur la page du ROC pour toi aussi...
-
Visa québecois (via CSQ); mais s'installer hors du Québec
Monikebek a répondu à un(e) sujet de raoulgaillard dans Québec
Soyons bien clairs à ce sujet : Le NAS = numéro d'assuré social ne sert en aucun cas aux soins médicaux, mais à identifier la personne, un peu comme une carte d'identité, style permis de conduire, et il n'est délivré dans un premier temps qu'aux adultes et ensuite aux enfants dès qu'ils entrent dans le monde du travail (16 ans par exemple). Il ne faut pas confondre avec la "sécurité sociale" telle que vous la connaissez d'en France qui elle sert à gérer entre autres le côté médical de ta vie Pour les soins médicaux, il ya une carte santé différente dans chaque province & Territoire, en l'occurence au Québec, ce sera la "Carte Soleil". Dans une autre province ou territoire, c'est un autre système, une autre nom (p.ex. Santé Yukon) et une autre carte. Vous ne pouvez pas avoir DEUX cartes (de 2 provinces/territoires différents), et en général, il y a une attente de 3 mois pour avoir droit aux soins dans l'autre province si vous déménagez. Pendant ces 3 mois, vous êtes couverts par votre système de santé de la province que vous venez de quitter. Donc, le NAS est valable pour tout le Canada, pour ses 10 provinces et 3 territoires, tandis que la carte de soins médicaux change en cas de déménagement dans une autre provicne/territoire. Juste au cas où... Pour le moment, il n'y a pas de visa Québécois encore. Le seul document vous désignant comme résident permanent sera le visa de résidence permanente du Canada. Donc si vous avez obtenu le CSQ, ce n'est qu'une étape (importante !) sur votre chemin vers la résidence permanente au Canada, et si votre choix est ainsi, au Québec. Vous ne pouvez pas immigrer avec seulement le CSQ. Par contre, il vous donne droit à l'éducation aux conditions et prix identiques à ce que les Québécois doivent acquitter. Je ne suis pas certaine, mais je crois qu'il faut résider un certain temps au Québec pour que le CSQ garde sa validité - quelqu'un peut confirmer ou infirmer SVP ? J'ai le chiffre 3 (ans) en tête, mais je ne sais pas d'où je tiens ça... c'est peut-être complètement faux. Ce qui est important de savoir aussi c'est que les Français (de France) et tout détenteur du CSQ de n'importe où ailleurs, paient le même prix que les vrais Québécois pour les frais d'université etc. qui sont extrêmement bas par rapport au reste du Canada. Difficile aussi d'envoyer vos enfants à l'école au Québec si vous n'avez PAS de CSQ (si vous avez immigré par le féd♪0ral uniquement) - dans ce cas, il faut faire les démarches sur place, et ce n'est pas si simple (du moins ça ne l'était pas pour une famille amie il y a 3 ou 4 ans qui avait suivi la procédure fédérale uniquement puis changé d'avis au dernier moment pour finalement choisir le Québec et non plus l'Ontario...). -
Merci beaucoup, Sliders ! C'est très gentil de ta part, surtout que je n'ai rien senti de spécial en cette journée...
-
Non, il est parti ce midi, arrive Dimanche matin (6 h...) là-bas, a son RVS le lundi avant midi et devrait sauter sur le bus retour le lundi soir - auquel cas il sera de retour jeudi matin aux aurores. Et si jamais il prendle bus du mercredi, il sera ici le vendredi matin, donc tu as raison : il n'y sera pas du tout le samedi matin, mais alors pantoute ! Quant à dormir à Vancouver, je n'ai pas pu le convaincre, mais on ne sait jamais ce qui va se passer sur place. Merci à vous, temerair, alphabet (si, c'est vrai, il rrrrrooooonfleeee ) et khutzeymateen pour vos gentils conseils qu'il garde tout de même dans un petit coin de sa mémoire... Je vous dirai dans une semaine ce que l'aventurier de service aura vécu dans "la grande ville"
-
Euh, non, pas d'accord, ce ne sont pas des clichés - j'en connais plusieurs personnellement de ces couples qui ont dû faire cette expérience. Faut pas oublier qu'il n'y a pas que des jeunes qui changent ed pays, nous les vieux, on fait ça aussi, et nous on a grandi sous d'autres "principes" que les jeunes d'aujourd'hui. Et le sud ne s'arrête pas au nord du Sahara pour moi non plus (voir ma chronique sur les immigrants de Côte d'Ivoire au printemps 2004... édifiant ! terrifiant !). et il inclut la France, l'Espagne, l'Italie etc par oppositon ed la Scandinavie, le Benelux, etc. Et je ne condamne pas du tout les us et coûtumes d'ailleurs, je veux seulement attirer l'attention sur la différence de certaines choses au quotidien dans cet autre pays. J'espère que je me suis faite comprendre cette fois-ci. Monika