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    naomi a reçu une réaction de vivi971 dans Nouveau-Brunswick   
    Bonjour,
     
    Pour les magasins de nourriture, Superstore est le moins cher. Comme tu indiques, il faut regarder les circulaires. Ils ont une carte de fidélité ( PC plus ) qui te donnes des points sur certains produits. Tu peux t'inscrire sur leur site et chaque semaine, tu recevras un courriel avec une liste de produits sur lesquels tu peux avoir des points. Attention que pour avoir les points, il faut les télécharger au préalable. 
     
    https://www.atlanticsuperstore.ca/en_CA/home/sign-in.html
     
    Costco est très bien mais il faut acheter la carte et la quantité est importante. Tu te retrouves vite à plusieurs centaines de dollars à la caisse. Si tu as une grande famille ou que tu achètes des produits qui se conservent longtemps, c'est très bien. Leurs légumes se conservent vraiment longtemps.
    Costco a le meilleur rapport qualité/prix. Les médicaments y sont également moins chers.
     
    IGA et Sobeys sont 2 magasins plus chers mais tu vas y trouver des produits de très bonne qualité mais je n'y ferais pas toutes mes courses. Mais cela dépend de vos habitudes alimentaires.
     
    Vous allez remarquer que le fromage coûte un bras ici.
     
    Il y a aussi Walmart pour certains produits pas cher.
     
    Pour les magasins comme Sears, et surtout Hudson Bay, il faut regarder les périodes de liquidation sinon, c'est très cher. Ici, il n'y a pas vraiment de soldes en juillet et janvier. C'est plutôt en début ou fin de saison que l'on trouve des prix réduits. Il faut donc guetter les circulaires.
     
     
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    naomi a reçu une réaction de SALIM MATINE dans Procédures Manitoba : Le guide   
    Effectivement, aujourd'hui, nous avons un beau ciel bleu et les températures qui remontent.



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    naomi a reçu une réaction de oliveetmarielo dans 2000 immigrants pour pourvoir des postes dans les provinces de l'Atlantique   
    Jimmy, 
     
    J'allais te citer mais je vois que tu es passé sur le fil. 
    Quand viens-tu au pays des moustiques ?
     
     
     
     
    Pour jobbank, il faut se méfier car les postes sont indiqués dans les 2 langues sur le site mais effectivement, la plupart demandent l'anglais. Ils se moquent royalement du français.
    Faire venir plus de francophones est de la vaste fumisterie.
     
  4. J'aime
    naomi a reçu une réaction de jimmy dans 2000 immigrants pour pourvoir des postes dans les provinces de l'Atlantique   
    Jimmy, 
     
    J'allais te citer mais je vois que tu es passé sur le fil. 
    Quand viens-tu au pays des moustiques ?
     
     
     
     
    Pour jobbank, il faut se méfier car les postes sont indiqués dans les 2 langues sur le site mais effectivement, la plupart demandent l'anglais. Ils se moquent royalement du français.
    Faire venir plus de francophones est de la vaste fumisterie.
     
  5. J'aime
    naomi a reçu une réaction de oliveetmarielo dans Nouveau-Brunswick   
    Ici, on appelle cela le printemps. 
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    naomi a réagi à juetben dans Les immigrants et le travail au Québec...   
    Je suis arrivé le 5 novembre 2002, le lendemain de mon arrivée je suis allé demandé mon NAS pour pouvoir finaliser mon dossier d'admission à l'examen de la commission de la construction du Québec pour la carte de compagnon charpentier. 
    Le 7 je suis allé remettre en main propre le dossier à la CCQ et m'inscrire à la ftq pour le cours de santé sécurité sur chantier qui se déroule sur 2 fins de semaine. 
    En attendant de passer l'examen mi décembre (100$!) je révise le contenu de l'examen avec un livre loué à la ftq. 
    Je passe l'examen mi décembre, les résultats prennent un mois donc je rentre en France pour les fêtes et à mon retour début février j'ai la confirmation de réussite à l'examen. Je vais chercher ma carte de compagnon le premier mardi de février (100$), le mercredi je contacte des employeurs avec lesquels j'etais en contact avant mon départ, rencontre avec quelques uns le vendredi, début de travail le lundi.
    Je suis resté pour cette entreprise plus de 2 ans, puis je suis parti avec un des 2 patrons lors de leur ''séparation''. J'y étais 10 ans avec en même temps que cet emploi des emplois ponctuels au seins d'autres entreprises. Puis depuis l'été 2015 quelques entreprises mais une stabilité depuis un an avec toujours encore des emplois ponctuels pour des entreprises en besoin de personnel (travail de nuit, fin de semaine.)
     
    A part pour mon cours de sécurité, aucune formation obligatoire pour devoir travailler. Je fais toutefois des formations sur une base personnelle pour du perfectionnement dans mon domaine pour avoir des certifications supplémentaires. Les formations sont gratuites et je reçois une allocation pour y participer, alors pourquoi pas en profitez! J'ai donc pu faire 4 permis pour des engins et machinerie, formation de secouriste, novoclimat, leed, gestion équipe équipe travail, maisons écologiques, restauration de bâtiments, perfectionnement en syteme intérieur, soudure...
     
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    naomi a reçu une réaction de Othmac dans 2000 immigrants pour pourvoir des postes dans les provinces de l'Atlantique   
    Démographie, impôts, taxes, pour les futures pensions, etc. 
    Encore faut-il avoir un emploi bien payé pour participer à la consommation. Sinon, c'est plutôt de la survie.
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    naomi a réagi à Automne dans immigrant sur aide sociale au Québec   
    En 2017 maintenant, c'est inconcevable pour moi que ces gens là ( pour qui ça prend 3-4-5 ans immigrer), ne savent pas déjà ça. Avec internet maintenant, tout est accessible. Toutes les infos. Pas juste ce forum mais les études ( comme celui du sujet) , les articles dans les médias ( combien de fois on peu voir des histoires d'immigrants avec des problèmes ou autre ), des blogs etc..
    Je peux pas croire que quand on décide d'immigrer, qu'on fasse pas un maximum de recherches avant. Qu'on sait pas que son diplôme ne sera pas reconnu, qu'on devra peut être recommencer en bas de l'échelle, retourner aux études, qu'on sera victime de discrimination ou de racisme etc..Qu'on devra mettre son orgueil de côté et peut être aller laver la vaisselle en attendant pour pas finir sur le bs..
     
    Bref tout ça, c'est bien documenté sur le web. 
     
     
    Dans l'étude, ils disent qu'ils vont sur le bs vers le 6ième mois ou vers la fin de la première année. 
    Ils ont quand même eu le temps de chercher... Là on parle de prendre une jobine juste avant de tomber dans le bs. 
     
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    naomi a reçu une réaction de Automne dans immigrant sur aide sociale au Québec   
    Bonjour,
     
    Je ne sais pas te concernant mais dans notre cas, lorsque nous avions rencontré les agents de l'immigration, ils nous avaient clairement dit que nous devrions très certainement recommencer en bas de l'échelle. Ils ne l'ont pas caché. Effectivement, tu es sélectionné en partie grâce à ta scolarité et/ou ton expérience professionnelle mais sur place, il faut parfois commencer plus bas que son niveau actuel. Ce serait le même cas de figure si tu immigrais en France ou dans un autre pays. Les diplômes ou expériences professionnels ne sont généralement pas reconnus. Il est préférable de prendre un boulot au salaire minimum dans un premier temps que de rester à la maison et de déprimer. De plus, cela t'aide à découvrir ta société d'accueil et de t'intégrer. Sinon, tu vas voir la vie en noir et te dire que tu as été floué et te renfermer.
  10. J'aime
    naomi a reçu une réaction de bencoudonc dans immigrant sur aide sociale au Québec   
    Bonjour,
     
    Je ne sais pas te concernant mais dans notre cas, lorsque nous avions rencontré les agents de l'immigration, ils nous avaient clairement dit que nous devrions très certainement recommencer en bas de l'échelle. Ils ne l'ont pas caché. Effectivement, tu es sélectionné en partie grâce à ta scolarité et/ou ton expérience professionnelle mais sur place, il faut parfois commencer plus bas que son niveau actuel. Ce serait le même cas de figure si tu immigrais en France ou dans un autre pays. Les diplômes ou expériences professionnels ne sont généralement pas reconnus. Il est préférable de prendre un boulot au salaire minimum dans un premier temps que de rester à la maison et de déprimer. De plus, cela t'aide à découvrir ta société d'accueil et de t'intégrer. Sinon, tu vas voir la vie en noir et te dire que tu as été floué et te renfermer.
  11. J'aime
    naomi a reçu une réaction de Othmac dans immigrant sur aide sociale au Québec   
    Bonjour,
     
    Je ne sais pas te concernant mais dans notre cas, lorsque nous avions rencontré les agents de l'immigration, ils nous avaient clairement dit que nous devrions très certainement recommencer en bas de l'échelle. Ils ne l'ont pas caché. Effectivement, tu es sélectionné en partie grâce à ta scolarité et/ou ton expérience professionnelle mais sur place, il faut parfois commencer plus bas que son niveau actuel. Ce serait le même cas de figure si tu immigrais en France ou dans un autre pays. Les diplômes ou expériences professionnels ne sont généralement pas reconnus. Il est préférable de prendre un boulot au salaire minimum dans un premier temps que de rester à la maison et de déprimer. De plus, cela t'aide à découvrir ta société d'accueil et de t'intégrer. Sinon, tu vas voir la vie en noir et te dire que tu as été floué et te renfermer.
  12. J'aime
    naomi a reçu une réaction de thelleli dans 2 semaines après la visite exploratoire   
    Bonsoir,

    Je vous remercie pour vos messages.
    Effectivement, la visite exploratoire est super importante car rien de tel que de voir où l'on va aller vivre.
    Mais comme vous dites, il suffit de chercher le bon coin et au pire ( si je puis dire ), c'est de changer de province vu que la carte de RP est valable dans tout le canada.

    Je pense que nous allons aller faire valider nos visas et prendre le temps de nous préparer correctement pour le grand saut.

    Merci
    Cdlt


  13. J'aime
    naomi a reçu une réaction de Demina47 dans Lecteur DVD dézonné   
    Bonjour,
     
    Selon ce que tu indiques, tu n'as pas dézoné le DVD mais changé la zone.
  14. J'aime
    naomi a reçu une réaction de bencoudonc dans Lecteur DVD dézonné   
    Bonjour,
     
    Selon ce que tu indiques, tu n'as pas dézoné le DVD mais changé la zone.
  15. J'aime
    naomi a réagi à Cherrybee dans Des atterrissages difficiles - Le choc du retour   
    « C’est plus facile de quitter le Canada pour s’installer dans un pays étranger que de revenir dans son pays. »
    Marie-Claude – qui préfère qu’on ne révèle pas son nom de famille pour pouvoir parler plus librement – a beaucoup bourlingué. Enseignante en anglais, elle a travaillé 12 ans à l’étranger, au Koweït, en Azerbaïdjan, en Russie et au Japon.
    Voilà maintenant quatre ans qu’elle est rentrée au Canada. Elle ne le regrette pas, mais entre les embêtements administratifs et le choc du retour, l’atterrissage n’a pas été facile.
    « La retraite, le prix de l’essence, la météo, le hockey, leur visite au Costco… Je trouvais que les gens avaient des sujets de conversation plutôt déprimants et qu’ils consommaient beaucoup pour des choses matérielles [leur maison, leur voiture] et qu’il leur en restait très peu pour les sorties culturelles ou les voyages.
    « Aussi, je trouvais que les gens n’en avaient que pour la famille et qu’ils étaient peu ouverts à rencontrer d’autres gens. J’étais étonnée de voir qu’ici, c’était métro-boulot-dodo et que les gens ne prenaient pas le temps d’aller prendre un verre après le travail, comme c’est beaucoup le cas à l’étranger. »
    Et c’est sans compter sur la difficulté à se réhabituer aux règlements ! 
    « Ici, il y a des règlements partout et pour tout ! J’ai reçu beaucoup de contraventions de stationnement à mon retour ! »
    — Marie-Claude
    Tous ne vivent pas ce blues du retour. Certains, comme Marie-France Perreault, qui a notamment vécu trois ans en Suède, sont au contraire ravis de rentrer. « Certaines choses me manquent de la Suède, mais revenir à Montréal m’a fait le plus grand bien. On laisse toujours un peu de nous partout où on habite pour une période prolongée. Si je voulais revenir ici pour de bon, c’est précisément parce que je voulais m’enraciner et arrêter de bâtir des bouts de vie qui ne vont qu’être détruits quelques années après. »
    GUIDES POUR « IMPATRIÉS »
    N’empêche, ce coup de blues est si commun aux « impatriés » de retour au pays que le secrétariat d’État américain a rédigé tout un guide pour aider ses diplomates.
    « Vos proches ne seront pas aussi désireux de vous entendre parler de votre expérience à l’étranger que vous le serez de tout raconter, met en garde le secrétariat d’État. Et vous ne serez pas aussi désireux d’entendre parler de ce qui s’est passé en votre absence qu’ils ne le seront de vous le dire. »
    Vous vous ennuierez de votre vie d’« avant, du traitement royal qu’on vous réservait, de votre style de vie, du statut social que vous aviez acquis ».
    « Vous vous ennuierez de votre statut de célébrité que vous procurait le fait d’être un Américain à l’étranger. »
    — Extrait du guide du secrétariat d’État américain
    C’est vrai pour les travailleurs comme pour les étudiants qui partent longtemps à l’étranger. L’Université du Delaware le sait bien et a aussi préparé un petit guide à l’intention de ses ouailles.
    « Votre famille, et tout particulièrement vos parents, sera ravie de vous revoir et fière de votre parcours. Mais soyez patient avec vos amis, dont les réactions peuvent être plus négatives. Peut-être seront-ils vite agacés de vous entendre parler de voyage, peut-être se sentiront-ils même menacés de votre perspective plus cosmopolite. »
    Les personnes interviewées dans le cadre de ce reportage l’ont presque tous dit. Ils avaient envie de se raconter, mais très vite, on n’avait plus envie de les entendre, que ce soit par indifférence ou par jalousie. À l’étranger, ils avaient ce petit « je ne sais quoi » qui les faisait ressortir du lot. De retour chez eux, ils ne sont plus qu’une personne parmi tant d’autres.
    REMISES EN QUESTION
    « Ce n’est pas qu’ils sont égocentriques, c’est qu’ils sont en deuil, dit Marcel Bernier, psychologue. Comme une personne en deuil ou en peine d’amour, les personnes qui rentrent au pays ont un grand besoin de parler de ce qu’ils ont perdu, un peu pour le garder en eux encore un peu plus longtemps. »
    Marcel Bernier connaît bien ce choc du retour. Psychologue à l’Université Laval où les étudiants sont souvent appelés à faire un ou deux trimestres à l’étranger, il a été à même de documenter ce décalage entre les attentes au retour et la réalité. « Ce que j’entends le plus, au retour ici, c’est des remises en question. Les gens revisitent leur choix amoureux, leur choix de carrière, leur façon de vivre… »
    « Au retour ici, poursuit-il, surtout quand on est allé en Afrique ou en Amérique du Sud, la vie nous apparaît souvent monotone, trop portée sur la consommation. Cela nous frappe aussi de voir que l’on ne parle même pas à nos voisins quand on revient d’un pays où la vie communautaire est plus riche que dans nos grandes villes qui nous apparaissent plus impersonnelles. »
    « À l’étranger, même s’il était souhaitable que les gens s’intègrent surtout à la vie locale, les expatriés se retrouvent souvent entre eux et se construisent ensemble une vie sociale », dit Paul Wittes, directeur des services cliniques nationaux et internationaux chez Morneau Shepell, société de services-conseils en ressources humaines qui, entre autres choses, aident les entreprises et les employés à préparer leur atterrissage, lequel, confirme-t-il, est souvent difficile.
    « La vie dans le pays d’origine a continué sans eux, le monde a changé et l’expatrié qui revient, qui s’est senti spécial et privilégié pendant des années se sent maintenant incompris, et c’est le cas. Ceux qui ne se sont pas expatriés ne peuvent pas comprendre l’essence de cette vie-là. »
    http://plus.lapresse.ca/screens/d1caf459-89a5-4c4e-8360-a5efeea2530f|QYpsle5D6EOC.html
     
  16. J'aime
    naomi a réagi à mady11 dans Nouveau-Brunswick   
    Bon je vais (encore dirons certains et pas grave) me faire l'avocat du diable mais pourquoi critiquer le message d' Aurelien uniquement sur la question des délais ? Il s'agit plus d'un constat que d'une plainte au sens propre. Les discours avant d'être vraiment installés peuvent en effet varier de la réalité et ça c'est une certitude. Il faut peut être prendre le témoignage dans son ensemble plutôt que de ne voir qu'une histoire de délai.
    Il y a bien du positif dans le sens où il y a une démission et une embauche presque dans la foulée.
    Obtenir un crédit peut être compliqué pour les canadiens, ça l'est d'autant plus pour les résidents permanents fraîchement débarqués avant 1 an d'ancienneté alors pour les autres.... cela peut miner le moral. La lune de miel prend fin et on voit la réalité en face avec les bons et les moins bons côtés. Et là il faut avoir les reins solides car parfois on peut être vite au sol. À sa décharge il ne faut pas oublier qu'il est seul, donc pas de conjoint pour contre balancer les baisses de moral et les petits coups durs de la vie qui vous le verrez parfois peuvent prendre des proportions différentes ici. Pourquoi? Parce que malgré que nous ayons choisi ce changement, on doit batailler plus car nos repères habituels dans ces moments délicats sont loin.
    Ce n'est pas le pays des bisounours encore une fois et on ne peut pas toujours poster de bonnes nouvelles et l'état d'esprit au moment de poster son message va influencer nos mots. Tout n'est qu' histoire d'interprétation de l'autre côté de l'écran.
    Je comprend son stress sur cette histoire d'acheter une 2e voiture sans avoir droit à un crédit car si j'ai un conseil à donner, prévoyez plus voire beaucoup plus que le minimum financier demandé. L'argent qui sort mais ne rentre pas les premiers 3 mois est gérable mais au bout d'un moment ce n'est pas suffisant. Nous (comme probablement la majorité ) n'étions pas riches en partant, n'avons pas eu la chance d'avoir une super maison à vendre en France qui allait nous rapporter une belle somme pour augmenter nos avoirs. L'argent part vite et ne rentre pas aussi vite.
    Il n'en reste pas moins que nous sommes bien, nos enfants aussi.
    Mais nous ne faisons pas d'extra encore. Nous vivons sur un salaire qui nous permet de payer les factures, les courses mais nos enfants ne font pas de sport pour cette année en dehors de l'école ce sera pour la prochaine rentrée. Cela prend du temps pour trouver un équilibre; il ne faut pas s'attendre à tout avoir de suite. Il ne faut pas non plus laisser des craintes guider cette nouvelle vie et choisir pour nous.
    Mais surtout selon le côté duquel on se trouve (attendeux ou installés ) les préoccupations ne sont absolument plus les mêmes et donc forcément on ne perçoit pas les retours d'expériences de la même façon.
    Bonne journée à tous et bienvenue aux nouveaux.
  17. J'aime
    naomi a reçu une réaction de Les Bouilles dans Nouveau-Brunswick   
    Attention que si tu utilises un poêle à bois, il doit être certifié et cela fera augmenter ta prime d'assurance incendie.
  18. J'aime
    naomi a reçu une réaction de Hägar Dünor dans Nouveau-Brunswick   
    Attention que si tu utilises un poêle à bois, il doit être certifié et cela fera augmenter ta prime d'assurance incendie.
  19. J'aime
    naomi a reçu une réaction de Valimate dans Nouveau-Brunswick   
    Attention que si tu utilises un poêle à bois, il doit être certifié et cela fera augmenter ta prime d'assurance incendie.
  20. J'aime
    naomi a réagi à Les Bouilles dans Nouveau-Brunswick   
    Le coup de la gazinière, je l'avais pas venu venir: nous ferons donc du mijoté sur les poêles a bois! Au niveau générateur, il va falloir voir ça dans le budget, Mr Bouille travaillant à la maison sur ses ordis... Bref, c'est a tout cela que l'on voit qu'il faut bien se préparer! Merci Maddy!
     
  21. J'aime
    naomi a réagi à Augustin44 dans Bilan - Après 1 an et demi   
    Bonjour à toutes et à tous, 
     
    Voilà longtemps que je ne suis pas venu sur ce forum, qui m'a bien aidé avant que je parte. Je vais aujourd'hui dresser un petit bilan, j'avais beaucoup débattu ici avant de partir pour le Québec! 
     
    Voilà maintenant 1 an et demi que je suis arrivé à Montréal, et que j'ai quitté mon pays dès mes 18 ans. Quitter à cet âge est surement la meilleure idée que j'ai eu! D'un point de vue personnel, mais aussi professionnel. Quitter mon pays à 18 ans a été une décision incroyable, et je m'en remercie tous les jours, je m'explique. 
     
    Je suis aujourd'hui en deuxième année de mon baccalauréat en Economie et Politique à l'UdeM, formation qui n'existe pas dans mon pays d'origine. Je suis très satisfait de cette formation, elle me convient parfaitement. 
    Je suis arrivé au Québec en Aout 2015, 18 ans, fraîchement arrivé de France, le bac en poche 3 mois plus tôt! J'ai commencé par aller aux résidences de l'université de Montréal, j'y suis resté 3 mois. Après être arrivé à Montréal, j'ai très vite cherché du travail à temps partiel. J'ai trouvé une job de dishwasher dans un bon restaurant hotel en plein centre ville. J'ai trouvé cette job en 3 jours, puis très vite au bout de 3 semaines, j'ai demandé à passer busboy, car je m'en croyais capable même sans expérience. Ma manager m'a très vite fait confiance, puis après 3 jours de formation pratique avec un collègue, je me suis retrouvé busboy en charge des roomservices de 6heures à 16heures les fds dans un hôtel 5 étoiles du downtown. Je vous avoue que ça m'a fait tout drôle, qu'on me fasse confiance aussi vite, j'était impressionné. Moi qui n'avais jamais vécu à l'étranger, et qui n'avais fait que des petits boulots chez mes grands parents (très dur de trouver du travail en France lorsqu'on à moins de 18 ans), je me suis retrouvé à parler anglais 75% du temps, avec les clients et les collègues, exactement ce que je voulais ! étudier en français, mais être baigné dans l'univers anglophone au travail ! 
    Dès le mois d'octobre, je suis parti en roadtrip avec un ami et deux amies à travers le Québec, seulement trois jours, mais 3 jours de bonheur ! première fois tous les 4 qu'on sortait de l'île. Nous sommes allés à Québec, Charlevoix (magnifique), la Malbaie (MAGNIFIQUE), puis Tadoussac, Saguenay etc... vraiment, magnifique. 
    Je suis parti en colocation le 1er décembre avec un ami que j'avais justement rencontré aux résidences. Le rapport qualité prix des résidences n'est vraiment pas intéressant, sinon, la vie là bas est correct, c'est nice. J'ai donc déménagé au metro Jean Talon, très joli quartier, j'ai adoré vivre là bas! Ma première année a la fac s'est très bien passée, je me suis investi dans plusieurs mouvements étudiants dont mon association, pour rencontrer un maximum de personnes ! J'ai donc eu la chance de côtoyer beaucoup de Québécois, ce que je voulais! L'hiver 2016 s'est vraiment bien passé, bon.. oui je sais il n'était pas très dur selon certains de mes amis québécois, ça n'était même pas un hiver.. donc bon.. un peu déçu car je voulais vivre le grand nord canadien, j'en attend plus de cette année, mais pour l'instant j'avoue être déçu aussi par les températures haha, je veux du -30. 
    Bref, ma première année s'est terminée en Avril 2016, j'ai ensuite travaillé comme serveur dans le centre ville de Montréal, j'ai pu trouver ce travail en deux jours, je suis allé tout simplement déposé mon CV, on m'a dit reviens demain à midi, et le lendemain j'était embauché! J'ai travaillé là bas pendant 3 mois, comme serveur, les pourboires montent vite, j'ai pu m'acheter une moto qui m'a bien servi tout l'été et jusqu'à novembre. Je suis notamment allé a New York avec. Aller à NY à moto était pour moi un rêve, inimaginable un an lus tôt selon moi quand j'étais dans mes fiches de révision de bac, comme quoi, on ne sait pas ce que l'étranger nous réserve ! Je peux conduire ma moto au Québec sans repasser de permis, car mon permis moto français est valable durant toutes mes études, soit durant mes 3 ans de bacc, le bonheur !
    Je suis un rentré au mois d’août en France, puis je suis revenu en septembre pour ma deuxième année ! J'ai déménagé pour cette année à Côte des Neiges quartier que j'aime moins que Jean Talon, mais sympa quand même. 
    Ma deuxième année se passe toujours aussi bien, j'ai la grande chance en ce moment et ce, jusqu'au mois de mai, d'être en stage au bureau du député de Papineau, qui n'est autre que Justin Trudeau. J'ai encore du mal à réaliser que j'ai été pris en stage au bureau du député et PM. J'aurai eu du mal à le croire si on m'avait dit ça avant que je parte pour le Québec! 
     
    Bref, je profite de l'expérience canadienne à fond, j'ai encore du temps pour réfléchir à mon avenir, mais plus j'avance dans mes études et plus je me dis que je me verrai bien faire am vie ici, je vous avoue que pour l'instant, c'est que du bonheur! 
     
    Je pense que certaines de mes aventures n'auraient pas pu m'arriver dans mon pays d'origine, comme trouver du travail si facilement, ou encore obtenir un stage comme celui que j'ai actuellement, impossible je pense si on est pas à "Science Po Paris, l'élite". 
    Néanmoins, ma vision sur la France est plus nuancée qu'à mon départ. Quand je suis parti j'étais très remonté contre le système français, et la mentalité globale. Je le suis toujours, mais ça ne me touche plus, donc je m'en fous. Il ne me reste que ma famille en France, et y reposer les pieds 2 mois par an dans ma Bretagne d'origine me fait du bien! Mais rentrer y vivre pour m'établir ou faire ma maîtrise n'est certainement pas dans mes projets ! Malgré tout, notre France a beaucoup de richesses, et ça fait plaisir de s'en rendre compte lorsqu'on la quitte !
     
    Aujourd'hui, j'ai tellement aimé débarquer dans un nouveau pays, que je veux tous les faire ! Je serai en Argentine l'année prochaine pour un échange lors de ma troisième année, mais je pense revenir à Montréal un jour, car cette ville va vite me manquer. 
     
    Il me manque le Canada anglophone à découvrir, donc cet été, je pense partir sur Toronto pour y travailler! Je compte également troquer ma moto contre une voiture, c'est une HONDA CBR, si ça en intéresse certains !
    La Colombie Britannique, ce sera pour l'été 2018, avec une traversée du Canada entre chums en voiture j'espère ! 
     
    Voilà pour ce court bilan, et voilà pourquoi je disais que partir dès 18 ans était la meilleure décision de ma vie, non pas parce que je viens de France, mais bien parce que le Canada est un pays fantastique, à mon goût. 
     
    Merci de m'avoir lu. 
     
     
  22. J'aime
    naomi a réagi à erispoe dans Nouveau-Brunswick   
    @salut à tous et toutes, petites vidéos du Cafi, toujours interessant! Selon chacun!
     
     
     
  23. J'aime
    naomi a reçu une réaction de CélineOnline dans Nouveau-Brunswick   
    Au passage, les sièges auto ont une date de validité. Si mes souvenirs sont bons, la durée est de 6 ans à partir de sa fabrication. Sur le siège, il y a une étiquette qui indique la date maximale d'utilisation. Cela n'empêche pas de l'utiliser si la date est dépassée mais en cas d'accident avec un enfant, ils vérifieront si la date d'utilisation n'est pas dépassée. Donc faites attention si vous achetez des sièges d'occasion. Et généralement, si vous avez eu un accident, il est préconisé de changer le siège auto de l'enfant.
  24. J'aime
    naomi a reçu une réaction de lalasa30 dans Nouveau-Brunswick   
    Au passage, les sièges auto ont une date de validité. Si mes souvenirs sont bons, la durée est de 6 ans à partir de sa fabrication. Sur le siège, il y a une étiquette qui indique la date maximale d'utilisation. Cela n'empêche pas de l'utiliser si la date est dépassée mais en cas d'accident avec un enfant, ils vérifieront si la date d'utilisation n'est pas dépassée. Donc faites attention si vous achetez des sièges d'occasion. Et généralement, si vous avez eu un accident, il est préconisé de changer le siège auto de l'enfant.
  25. J'aime
    naomi a reçu une réaction de Les Bouilles dans Nouveau-Brunswick   
    Au passage, les sièges auto ont une date de validité. Si mes souvenirs sont bons, la durée est de 6 ans à partir de sa fabrication. Sur le siège, il y a une étiquette qui indique la date maximale d'utilisation. Cela n'empêche pas de l'utiliser si la date est dépassée mais en cas d'accident avec un enfant, ils vérifieront si la date d'utilisation n'est pas dépassée. Donc faites attention si vous achetez des sièges d'occasion. Et généralement, si vous avez eu un accident, il est préconisé de changer le siège auto de l'enfant.
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