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kabi

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  1. J'aime
    kabi a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Merci Fred0NB,
     
     
    Même si cela ne me surprend pas, relance les et pense à mettre la directrice en CC dans ton courriel en demandant si tu t'es bien adressé à la bonne personne sinon s'ils peuvent t'acheminer vers la personne approprié avec qui tu pourras communiquer. L'idée est de pousser un peu les choses et rester professionnel
     
    Pour Ignite Fredericton, essaie de contacter Julia Ramirez (elle parle anglais) elle parait active.
    Prend aussi en considération qu'il se peut que les personnes soit en congé (juin-juillet), même si normnalement il devrait avoir toujours une personne qui répondent.
     
    Bonne chance dans tes démarches.
     
     
     
  2. J'aime
    kabi a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Merci Wlido de ta réponse,
     
    Tu as mis le doit sur la bonne chose : l'emploi. Là où il y a de l'emploi, il y aura une bonne Iinstalation et un bon début de bonne vie.
  3. J'aime
    kabi a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Salut Wlido,
     
    Je viens de lire, quoique un peu en retard, ta visite exploratoire ainsi que ton passage à Fredericton. Félicitation un grande étape faite.
     
    Au fait as-tu contacter l'association d'aide aux immigrants L'AMCF?
    C'est qui t'a pris en charge? comment as tu trouvé le service comparativement aux autres associations de Moncton, St-John, etc...?
     
    Merci et bonne chance pour le reste de ta procédure.
     
     
  4. J'aime
    kabi a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Effectivement il a quitté et je pense qu'il y a deux personnes dont le nom revient souvent en tant qu'agent de liaison de la communauté-Francophone: Jessica jones et Charlotte Slaiby. (Au cas ou d'autres seront de passage à Fredericton, vous pouvez noter ces noms).
     
    PatouYaya ; Posted Friday at 05:03 PM
    « Bonjour Kabi, de mémoire, la personne qui avait -efficacement- regardé nos CV s'appelait Julie, je crois. Pas francophone. Je ne me souviens plus du nom de l'autre personne (un peu débordée par les dossiers syriens). Ciao “.
     
    Alors je crois que c'est Julie Little, Conseillère en emploi.
    Encore une fois ceux qui déposeront leur pied à Fredcericton prennez notes des noms et prenez les contacts du site de l'association: http://mcaf.nb.ca/fr/1069-2/
     
    D'autre part, pour ne pas encombrer ce topic, j'ai ouvert un autre topic pour une rencontre à Fredericton, dont voici le lien.
     
  5. J'aime
    kabi a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Merci inyama pour ton message. Nous sommes très content que tout s'est bien passé pour vous. 
     
     
    J'ai deux petites questions:
     
    - Comment c'est passé votre séjour à Fredericton? Qui vous a servi à l'association multiculturelle de la ville et comment avez vous trouver leur service?
    - Quel hotel y ètiez-vous logez? 
     
    Merci, et bonne chance pour le reste du parcour.
     
  6. J'aime
    kabi a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Bienvenu aux nouveaux, bonne chance pour ceux qui ont reçu leur document d'évaluation, félicitation pour ceux qui se sont installés et patience à ceux qui attendent leur AR (on pense à vous).
     
    Comme on s'intéresse au Nouveau-Brunswick  j'ai pensé qu'il serait utile de connaitre un peu la situation de cette province (cela pourra aussi aider ceux qui sont en cours de préparation de se faire une idée de la province).
     
    Aujourd'hui on parle de budget de la province, et voici un petit aperçu:
     
     

     
     
    Bonne chance.
     
  7. J'aime
    kabi a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Si vous projetter de passer à Fredericton, vous pourrez contacter Olivier Jacomelli  de la Multicultural Association of Fredericton Inc.        
     [email protected]
    28 Saunders Street, Fredericton,
    E3B 1N1,  New-Brunswick          
    Tel:     (506) - 454 - 8292
    Fax:    (506) - 450 - 9033
          
     Ou bien  Matthew Mark Johnson au : [email protected]       
     
    Pour les hotels, je recommande le   Howard Johnson Plaza Hotel ( autour de 79$ la nuitée). Il se trouve au 958 Prospect St, Fredericton, NB E3B 2T8
     
     J'ai aussi ouvert un sujet sur la ville de Fredericton ici:
        http://www.forum.immigrer.com/topic/145933-fredericton-la-victorienne-silencieuse/
      Bonne chance.  
  8. J'aime
    kabi a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Félicitation mial79,

    Bonne chance pour le reste.

    Je commence à penser à organiser une grande rencontre à Fredericton. je ne sais pas donc s'il y a des intéressés.

    Faites nous signe et on s'arrangera en conséquence.
  9. J'aime
    kabi a reçu une réaction de YAVEN55 dans Nouveau-Brunswick   
    Rebonjour,

    Et si vous créez un petit regroupement des immigrants (Immigrer.com) du Nouveau-Brunswick ?

    Il y a donc :
    Mady11 : êtes-vous déjà à Montréal ? sinon le départ pour NB sera quand ? quelle ville exactement ? Fred SCHAEFER: bienvenue au Canada. Comment étaient vos rendez-vous de Moncton et Fredericton ? Emb27, quand pensez vous être à Fredericton? Squaloe, alors les démarches, ça marches? Erispoe, bienvenu à l’équipe !!! Kabi
  10. J'aime
    kabi a reçu une réaction de immigrer.com dans Immigrer : un voyage initiatique à la rencontre des autres et de soi   
    Publié aux éditions David, « Histoires d’immigration » rassemble 40 témoignages d’auteurs et autrices originaires de 20 pays.
     
    De ces témoignages se dégage l’idée qu’il s’agit d’une extraordinaire aventure à la découverte des autres et de soi. Une démarche complexe qui permet à celles et ceux qui l’ont vécue d’embrasser l’inconnu, de repousser ses limites et d’en sortir grandis. Histoires d’immigration en donne 40 fois la preuve.
     
     
    Immigrer : un voyage initiatique à la rencontre des autres et de soi
     
  11. J'aime
    kabi a reçu une réaction de YAVEN55 dans Renseignement sur le titre CPA   
    Bonjour,
     
     
    Pour être admis au Programme de formation professionnelle (PFP) des CPA, vous devez détenir un diplôme de premier cycle et avoir suivi des cours couvrant les matières obligatoires.
     
    Je t’ai rapporté ici une des recommandations de CPACanada. Donc le point essentiel c’est ces fameuses “ matières obligatoires” que tu devrais prendre et seront acceptables selon CPACanada.
     
    Donc en optant pour un Baccalauréat essaie de voir s’il contient ces matières. Bien sûre il serait judicieux de communiquer aussi bien avec l’université qu’avec le CPACanada pour confirmer que tu optes pour le bon cheminement.
     
    Essaie de voir ce lien qui traite aussi delà reconnaissance des diplômes értrangers:
    https://www.cpacanada.ca/fr/devenir-cpa/reconnaissance-des-titres-etrangers
     
     
    Je te remets aussi ici un lien, que je trouve pertinent, dans lequel tu y trouveras la grille de compétences des CPA qui pourra t’aider :
    https://www.cpacanada.ca/fr/devenir-cpa/voies-dacces-au-titre-de-cpa/ressources-nationales-en-formation/la-grille-de-competences-des-cpa
     
     
    Bonne chance et revient nous avec tes nouvelles.
     
    Cordialement.
     
  12. J'aime
    kabi a reçu une réaction de immigrer.com dans Les élections à travers les lentilles des immigrants   
    Je sirotais tranquillement mon thé à la menthe tout en regardant le déroulement de l’élection fédérale télévisé; bien que la politique ne soit pas ma tasse de thé, mais depuis que j'ai fait mes premiers pas dans ce beau pays, je me suis senti impliqué, par la force des choses, dans son débat, sa politique, ses projets de Lois, etc….
     
    A sa constitution en tant que pays, suite à la création de la confédération, le Parti conservateur et son chef John A. Macdonald dominent la vie politique. De 1867 à 1895 ils se sont fait élire sauf pour 4 ans 1874-1878, pendant lesquels le Parti libéral, dirigé par Alexander Mackenzie avait pris le pouvoir.
     
    Les 20 années suivantes (1896-1917) ont été marquées par l’accentuation du Canada sur sa politique étrangère, pendant lesquelles le Parti libéral de Wilfrid Laurier fût élu et forma un gouvernement majoritaire 4 fois de suite.
    Deux camps se tiraillaient: d'un côté, les anglophones prônent un soutien actif du Canada au Royaume-Uni alors que de l'autre les Canadiens français réclament un plus grand isolationnisme du pays dans la conduite de ses affaires extérieures.
     
    J’ose dire que depuis, toute les élections qui ont suivit (cela fera presque 100 ans, tout un siècle ) l’alternance Libéral, Conservateur est la norme. CEs années 80-95 étaient marquée par :
    l'adoption du drapeau unifolié en 1965, la montée des 2 premiers. ministres les plus emblèmatiques Pierre Elliott Trudeau et Brian Mulroney, et surtout les débat constitutionnel :
    - référendum sur la souveraineté du Québec en 1980,
    - rapatriement de la Constitution en 1982
    - Les échecs des Lac Meech et de Charlottetown,
    - le référendum sur la souveraineté du Québec de 1995
     
    Ces 20 dernières années je les qualifierais d'années de reconfiguration de la carte politique, étant marqués par un changement de l'image du parti d'opposition ( Jack Layton et son parti NPD réussissant une percée lors des élections 2011).
     
     
    En tant que citoyen canadien, on a la conviction que le vote est un devoir nationale et est considéré comme la représentation de ses valeurs et sa vision du Canada de demain.
    La majorité des personnes immigrantes que j’ai eu le plaisir de rencontrer s’accordent pour dire que leur perception sur les élections, en particulier le vote et en général sur la politique , a drastiquement changé, et leur façon de voir le Canada, et surtout son futur, a grimpé en importance.
    Ce sentiment de croire qu’ils sont écoutés et font partie du futur et de la carte politique de leur pays d’adoption y en est pour beaucoup.
     
    Je m’intéresse toujours à la lentille à travers laquelle les immigrants perçoivent les élections .
    Alors comment vous la voyez ?
     
    En ce moment d’écrire ces lignes, les Libéraux mènent la barque du presque le double 132 contre 70 pour leur rivaux les  conservateurs .
    Les médias viennent d’annoncer qu’on s’attend à un gouvernement libérale, minoritaire.
     
    La nuit ne sera pas si longue !
  13. J'aime
    kabi a reçu une réaction de Bouclette dans Immigration francophone hors Québec : le bilinguisme canadien est-il un mirage?   
    Un sujet, dont je ne cesserais pas de m’en lasser.
     
    Donc pour répondre tout court à la question ‘’le bilinguisme canadien est-il un mirage? ‘’, la réponse est sans équivoque : OUI !!! je dirais même super-giga-méga oui.
     
    Puisque le sujet touche l’immigration francophone hors Québec, je vais vous raconter mes découvertes au Nouveau-Brunswick.
     
    Pendant mon séjour de quelques années dans cette belle province, je me rappelais -parmis tant de récit et de faits- de l'histoire de cette francophone immigrante Charlotte Slaiby avec la police de la ville de Fredericton : se faisant arrêter en conduisant sa voiture, les policiers s'adressaient à elle en anglais. Quand elle demanda de se faire servir en français le ton des policiers monta (ces derniers étaient unilingues anglophones). Il a fallu l'intervention de la passagère qui accompagna Slaiby pour faire respecter son droit linguistique, puis un autre policier francophone (en civile) fut appelé à la rescousse. La passagère était une avocate (certains disaient qu’elle était une des conseillères  juridiques au commissariat aux langues officielles de la province) exclusif profilage racial à fredericton Acadienouvelle.com 2017/06/18.
     
     
    Lors des élections provinciales de 2018, Les médias de la province ont annoncé qu'un nouveau parti, l'Alliance des gens, s’est opposé à plusieurs services francophones de la province, estimant qu’il faudrait abolir le Réseau de santé francophone et éliminer le Commissariat aux langues officielles. Encore plus grave, le nouveau gouvernement provincial élu, le parti conservateur -dont son chef Blaine Higgs ne parle lui-même que l’anglais- a proposé de pourvoir des postes bilingues par des personnes unilingues en promettant que celles-ci apprendront le français par la suite.
    Il élimine entre autre l'exigence de bilinguisme pour les ambulanciers paramédicaux dans certaines régions unilingues de la province la seule officiellement bilingue au pays.
    https://www.lapresse.ca/actualites/national/201812/18/01-5208499-ambulanciers-bilingues-au-nouveau-brunswick-les-regles-assouplies.php
     
     
    Ce 25 janvier dernier, un préposé au stationnement de la Ville de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, a été congédié mardi parce qu'il aurait dit à une dame qui tentait de contester une contravention en français de revenir lorsqu'elle pourra parler anglais. ‘’ ...cet individu n'aura plus aucun rôle à la Ville”, a déclaré le Maire M. Darling.
     
    Source : radio-canada.ca/nouvelle
     
     
     
    à Ottawa maintenant, la capitale : en février 2019 l'ex-député fédéral d'Acadie-Bathurst Yvon Godin a exigé que les commissaires de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et des langues officielles comparaissent devant un comité fédéral pour qu'ils expliquent pourquoi des agents de la police nationale, en poste sur la colline du Parlement, ne sont pas en mesure de s'exprimer en français.
     
    Imaginez, si une personne dit à un agent qu'il vient de voir une personne en bas de la colline avec un fusil et que la réponse est ''I'm sorry, I don't speak French'' [...] Ce n'est pas le temps de ''I don't speak French'', c'est le temps d'agir!
     
     
    Lors de mes entretiens téléphoniques avec un ami vivant au Saskatchewan, les choses ne sont pas aussi pires que le Nouveau-Brunswick (à la rigueur la province est déclaré anglophone) mais pas aussi réjouissante : il existe une petite communauté appelée ``Fransaskoise``, qui ne cesse de se battre et de s’imposer du mieux qu’elle peut au milieu de cet océan d’anglophone.
     
    On y enregistre plus de bilingues, mais un recul du français en Saskatchewan. Selon Statistique Canada, le taux de bilinguisme « atteint de nouveaux sommets » avec une augmentation de 5,1 % durant ces 15 dernières années. L’agence fédérale estime aussi que la proportion de personnes parlant le français comme première langue officielle a baissé de 12,7 % dans cette province.
    Dans un certains ordre d’idée c’est comme si le bilinguisme est reposé sur les épaules des francophones.
     
    Nous comprenons certainement que cela est dû au fait que, l’anglais est la principale langue officielle de travail ainsi que de communication avec le public et de prestation des services dans cette province, comme nous savons qu’il n’y a pas assez d’emplois en français ou bilingues dans la province, néanmoins la population change constamment et une portion de francophones -notamment de l’Afrique francophone- commence à s’y établir ces 10 dernières années. Cela va demander encore beaucoup d’année pour possiblement pallier la perte des francophones de souche. Espérons !
     
     
    Ce qui ressort le plus souvent c’est ce manque d’imputabilité vis à vis de ces responsables (en haut de la hiérarchie) qui fait en sorte à ce que ce bilinguisme reste encore sous le mode ‘’mirage’’. Le jours où ils commencent à rendre compte, les choses changeront pour le mieux.
     
    D’ici là on continue à se battre !
     
    Il me revient souvent , dans ce contexte, cette citation de quelqu'un qui j'ai oublié le nom qui stipule plus ou moins ce sens :
    Un francophone qui parle anglais .... ça c'est un bilingue !
    Un anglophone qui parle français... ça c'est un miracle !
     
    Cordialement.
  14. J'aime
    kabi a reçu une réaction de jimmy dans Immigration francophone hors Québec : le bilinguisme canadien est-il un mirage?   
    Un sujet, dont je ne cesserais pas de m’en lasser.
     
    Donc pour répondre tout court à la question ‘’le bilinguisme canadien est-il un mirage? ‘’, la réponse est sans équivoque : OUI !!! je dirais même super-giga-méga oui.
     
    Puisque le sujet touche l’immigration francophone hors Québec, je vais vous raconter mes découvertes au Nouveau-Brunswick.
     
    Pendant mon séjour de quelques années dans cette belle province, je me rappelais -parmis tant de récit et de faits- de l'histoire de cette francophone immigrante Charlotte Slaiby avec la police de la ville de Fredericton : se faisant arrêter en conduisant sa voiture, les policiers s'adressaient à elle en anglais. Quand elle demanda de se faire servir en français le ton des policiers monta (ces derniers étaient unilingues anglophones). Il a fallu l'intervention de la passagère qui accompagna Slaiby pour faire respecter son droit linguistique, puis un autre policier francophone (en civile) fut appelé à la rescousse. La passagère était une avocate (certains disaient qu’elle était une des conseillères  juridiques au commissariat aux langues officielles de la province) exclusif profilage racial à fredericton Acadienouvelle.com 2017/06/18.
     
     
    Lors des élections provinciales de 2018, Les médias de la province ont annoncé qu'un nouveau parti, l'Alliance des gens, s’est opposé à plusieurs services francophones de la province, estimant qu’il faudrait abolir le Réseau de santé francophone et éliminer le Commissariat aux langues officielles. Encore plus grave, le nouveau gouvernement provincial élu, le parti conservateur -dont son chef Blaine Higgs ne parle lui-même que l’anglais- a proposé de pourvoir des postes bilingues par des personnes unilingues en promettant que celles-ci apprendront le français par la suite.
    Il élimine entre autre l'exigence de bilinguisme pour les ambulanciers paramédicaux dans certaines régions unilingues de la province la seule officiellement bilingue au pays.
    https://www.lapresse.ca/actualites/national/201812/18/01-5208499-ambulanciers-bilingues-au-nouveau-brunswick-les-regles-assouplies.php
     
     
    Ce 25 janvier dernier, un préposé au stationnement de la Ville de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, a été congédié mardi parce qu'il aurait dit à une dame qui tentait de contester une contravention en français de revenir lorsqu'elle pourra parler anglais. ‘’ ...cet individu n'aura plus aucun rôle à la Ville”, a déclaré le Maire M. Darling.
     
    Source : radio-canada.ca/nouvelle
     
     
     
    à Ottawa maintenant, la capitale : en février 2019 l'ex-député fédéral d'Acadie-Bathurst Yvon Godin a exigé que les commissaires de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et des langues officielles comparaissent devant un comité fédéral pour qu'ils expliquent pourquoi des agents de la police nationale, en poste sur la colline du Parlement, ne sont pas en mesure de s'exprimer en français.
     
    Imaginez, si une personne dit à un agent qu'il vient de voir une personne en bas de la colline avec un fusil et que la réponse est ''I'm sorry, I don't speak French'' [...] Ce n'est pas le temps de ''I don't speak French'', c'est le temps d'agir!
     
     
    Lors de mes entretiens téléphoniques avec un ami vivant au Saskatchewan, les choses ne sont pas aussi pires que le Nouveau-Brunswick (à la rigueur la province est déclaré anglophone) mais pas aussi réjouissante : il existe une petite communauté appelée ``Fransaskoise``, qui ne cesse de se battre et de s’imposer du mieux qu’elle peut au milieu de cet océan d’anglophone.
     
    On y enregistre plus de bilingues, mais un recul du français en Saskatchewan. Selon Statistique Canada, le taux de bilinguisme « atteint de nouveaux sommets » avec une augmentation de 5,1 % durant ces 15 dernières années. L’agence fédérale estime aussi que la proportion de personnes parlant le français comme première langue officielle a baissé de 12,7 % dans cette province.
    Dans un certains ordre d’idée c’est comme si le bilinguisme est reposé sur les épaules des francophones.
     
    Nous comprenons certainement que cela est dû au fait que, l’anglais est la principale langue officielle de travail ainsi que de communication avec le public et de prestation des services dans cette province, comme nous savons qu’il n’y a pas assez d’emplois en français ou bilingues dans la province, néanmoins la population change constamment et une portion de francophones -notamment de l’Afrique francophone- commence à s’y établir ces 10 dernières années. Cela va demander encore beaucoup d’année pour possiblement pallier la perte des francophones de souche. Espérons !
     
     
    Ce qui ressort le plus souvent c’est ce manque d’imputabilité vis à vis de ces responsables (en haut de la hiérarchie) qui fait en sorte à ce que ce bilinguisme reste encore sous le mode ‘’mirage’’. Le jours où ils commencent à rendre compte, les choses changeront pour le mieux.
     
    D’ici là on continue à se battre !
     
    Il me revient souvent , dans ce contexte, cette citation de quelqu'un qui j'ai oublié le nom qui stipule plus ou moins ce sens :
    Un francophone qui parle anglais .... ça c'est un bilingue !
    Un anglophone qui parle français... ça c'est un miracle !
     
    Cordialement.
  15. J'aime
    kabi a reçu une réaction de bencoudonc dans Immigration francophone hors Québec : le bilinguisme canadien est-il un mirage?   
    Un sujet, dont je ne cesserais pas de m’en lasser.
     
    Donc pour répondre tout court à la question ‘’le bilinguisme canadien est-il un mirage? ‘’, la réponse est sans équivoque : OUI !!! je dirais même super-giga-méga oui.
     
    Puisque le sujet touche l’immigration francophone hors Québec, je vais vous raconter mes découvertes au Nouveau-Brunswick.
     
    Pendant mon séjour de quelques années dans cette belle province, je me rappelais -parmis tant de récit et de faits- de l'histoire de cette francophone immigrante Charlotte Slaiby avec la police de la ville de Fredericton : se faisant arrêter en conduisant sa voiture, les policiers s'adressaient à elle en anglais. Quand elle demanda de se faire servir en français le ton des policiers monta (ces derniers étaient unilingues anglophones). Il a fallu l'intervention de la passagère qui accompagna Slaiby pour faire respecter son droit linguistique, puis un autre policier francophone (en civile) fut appelé à la rescousse. La passagère était une avocate (certains disaient qu’elle était une des conseillères  juridiques au commissariat aux langues officielles de la province) exclusif profilage racial à fredericton Acadienouvelle.com 2017/06/18.
     
     
    Lors des élections provinciales de 2018, Les médias de la province ont annoncé qu'un nouveau parti, l'Alliance des gens, s’est opposé à plusieurs services francophones de la province, estimant qu’il faudrait abolir le Réseau de santé francophone et éliminer le Commissariat aux langues officielles. Encore plus grave, le nouveau gouvernement provincial élu, le parti conservateur -dont son chef Blaine Higgs ne parle lui-même que l’anglais- a proposé de pourvoir des postes bilingues par des personnes unilingues en promettant que celles-ci apprendront le français par la suite.
    Il élimine entre autre l'exigence de bilinguisme pour les ambulanciers paramédicaux dans certaines régions unilingues de la province la seule officiellement bilingue au pays.
    https://www.lapresse.ca/actualites/national/201812/18/01-5208499-ambulanciers-bilingues-au-nouveau-brunswick-les-regles-assouplies.php
     
     
    Ce 25 janvier dernier, un préposé au stationnement de la Ville de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, a été congédié mardi parce qu'il aurait dit à une dame qui tentait de contester une contravention en français de revenir lorsqu'elle pourra parler anglais. ‘’ ...cet individu n'aura plus aucun rôle à la Ville”, a déclaré le Maire M. Darling.
     
    Source : radio-canada.ca/nouvelle
     
     
     
    à Ottawa maintenant, la capitale : en février 2019 l'ex-député fédéral d'Acadie-Bathurst Yvon Godin a exigé que les commissaires de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et des langues officielles comparaissent devant un comité fédéral pour qu'ils expliquent pourquoi des agents de la police nationale, en poste sur la colline du Parlement, ne sont pas en mesure de s'exprimer en français.
     
    Imaginez, si une personne dit à un agent qu'il vient de voir une personne en bas de la colline avec un fusil et que la réponse est ''I'm sorry, I don't speak French'' [...] Ce n'est pas le temps de ''I don't speak French'', c'est le temps d'agir!
     
     
    Lors de mes entretiens téléphoniques avec un ami vivant au Saskatchewan, les choses ne sont pas aussi pires que le Nouveau-Brunswick (à la rigueur la province est déclaré anglophone) mais pas aussi réjouissante : il existe une petite communauté appelée ``Fransaskoise``, qui ne cesse de se battre et de s’imposer du mieux qu’elle peut au milieu de cet océan d’anglophone.
     
    On y enregistre plus de bilingues, mais un recul du français en Saskatchewan. Selon Statistique Canada, le taux de bilinguisme « atteint de nouveaux sommets » avec une augmentation de 5,1 % durant ces 15 dernières années. L’agence fédérale estime aussi que la proportion de personnes parlant le français comme première langue officielle a baissé de 12,7 % dans cette province.
    Dans un certains ordre d’idée c’est comme si le bilinguisme est reposé sur les épaules des francophones.
     
    Nous comprenons certainement que cela est dû au fait que, l’anglais est la principale langue officielle de travail ainsi que de communication avec le public et de prestation des services dans cette province, comme nous savons qu’il n’y a pas assez d’emplois en français ou bilingues dans la province, néanmoins la population change constamment et une portion de francophones -notamment de l’Afrique francophone- commence à s’y établir ces 10 dernières années. Cela va demander encore beaucoup d’année pour possiblement pallier la perte des francophones de souche. Espérons !
     
     
    Ce qui ressort le plus souvent c’est ce manque d’imputabilité vis à vis de ces responsables (en haut de la hiérarchie) qui fait en sorte à ce que ce bilinguisme reste encore sous le mode ‘’mirage’’. Le jours où ils commencent à rendre compte, les choses changeront pour le mieux.
     
    D’ici là on continue à se battre !
     
    Il me revient souvent , dans ce contexte, cette citation de quelqu'un qui j'ai oublié le nom qui stipule plus ou moins ce sens :
    Un francophone qui parle anglais .... ça c'est un bilingue !
    Un anglophone qui parle français... ça c'est un miracle !
     
    Cordialement.
  16. J'aime
    kabi a reçu une réaction de Passagere2021 dans Équivalence de Master 2 privé en RH / Nouveau Brunswick   
    Bonjour Passagere2021,
     
    Abstraction faite du niveau de reconnaissance que tu pourrais recevoir vis à vis de tes diplômes , si je peux me permettre de donner un conseil , une foils que tu mets tes premiers pas au NB, cherche à valoriser ton expérience auprès des employeurs.
     
    Mets beaucoup plus le point sur ce dont tu es capable de délivrer, car ici les employeurs on tendance à donner plus de valeur à l’expérience plutot que le diplôme.
     
    Bonne chance
  17. J'aime
    kabi a reçu une réaction de bencoudonc dans Équivalence de Master 2 privé en RH / Nouveau Brunswick   
    Bonjour Passagere2021,
     
    Abstraction faite du niveau de reconnaissance que tu pourrais recevoir vis à vis de tes diplômes , si je peux me permettre de donner un conseil , une foils que tu mets tes premiers pas au NB, cherche à valoriser ton expérience auprès des employeurs.
     
    Mets beaucoup plus le point sur ce dont tu es capable de délivrer, car ici les employeurs on tendance à donner plus de valeur à l’expérience plutot que le diplôme.
     
    Bonne chance
  18. J'aime
    kabi a reçu une réaction de Valimate dans Équivalence de Master 2 privé en RH / Nouveau Brunswick   
    Bonjour Passagere2021,
     
    Abstraction faite du niveau de reconnaissance que tu pourrais recevoir vis à vis de tes diplômes , si je peux me permettre de donner un conseil , une foils que tu mets tes premiers pas au NB, cherche à valoriser ton expérience auprès des employeurs.
     
    Mets beaucoup plus le point sur ce dont tu es capable de délivrer, car ici les employeurs on tendance à donner plus de valeur à l’expérience plutot que le diplôme.
     
    Bonne chance
  19. J'aime
    kabi a reçu une réaction de immigrer.com dans Renseignement sur le titre CPA   
    Bonjour,
     
     
    Pour être admis au Programme de formation professionnelle (PFP) des CPA, vous devez détenir un diplôme de premier cycle et avoir suivi des cours couvrant les matières obligatoires.
     
    Je t’ai rapporté ici une des recommandations de CPACanada. Donc le point essentiel c’est ces fameuses “ matières obligatoires” que tu devrais prendre et seront acceptables selon CPACanada.
     
    Donc en optant pour un Baccalauréat essaie de voir s’il contient ces matières. Bien sûre il serait judicieux de communiquer aussi bien avec l’université qu’avec le CPACanada pour confirmer que tu optes pour le bon cheminement.
     
    Essaie de voir ce lien qui traite aussi delà reconnaissance des diplômes értrangers:
    https://www.cpacanada.ca/fr/devenir-cpa/reconnaissance-des-titres-etrangers
     
     
    Je te remets aussi ici un lien, que je trouve pertinent, dans lequel tu y trouveras la grille de compétences des CPA qui pourra t’aider :
    https://www.cpacanada.ca/fr/devenir-cpa/voies-dacces-au-titre-de-cpa/ressources-nationales-en-formation/la-grille-de-competences-des-cpa
     
     
    Bonne chance et revient nous avec tes nouvelles.
     
    Cordialement.
     
  20. Merci
    kabi a reçu une réaction de Alex2020 dans Une immigrante du Maroc fait la promotion de l'Acadie   
    Un texte de Sophie Désautels ; PUBLIÉ LE MARDI 4 AVRIL 2017
     
    Laila Agherbi filme divers événements à Moncton pour faire connaître la culture et la vie en Acadie.
     
    Une immigrante du Maroc arrivée à Moncton il y a six mois a trouvé une façon originale et efficace d'informer les personnes intéressées à immigrer en Acadie. Avec sa chaîne YouTube et sa page Facebook, elle offre des informations sur l'immigration au Canada et présente des capsules vidéo sur des événements culturels et d'intérêt public.
    Laila Agherbi et son mari Ahmed Boussebbat sont originaires de Casablanca au Maroc. Ils ont immigré au Canada pour donner un avenir meilleur à leur enfant. Les tensions, le manque de sécurité les ont convaincus de tout quitter pour déménager ici.
     
    La jeune femme de 28 ans a eu l'idée de ce vlogue pour convaincre d'autres personnes comme elle de s'établir à Moncton au Nouveau-Brunswick. « Depuis notre arrivée, il n'y a eu que de bonnes choses. On a rencontré beaucoup de gens qui nous ont aidés, surtout l'association CAFI. » Le Centre d’accueil et d’accompagnement francophone des immigrants du Sud-Est du Nouveau-Brunswick offre de l'aide au niveau de l'accueil et de l'intégration aux nouveaux arrivants.
     
    À écouter : L'entrevue de Laila Agherbi à l'émission L'heure de pointe Acadie
    L'entrevue de Laila Agherbi à l'émission L'heure de pointe Acadie
     
    Elle s'est donc munie d'un téléphone cellulaire, d'un appareil photo et d'un logiciel de montage pour présenter de courtes vidéos sur son site. « Sur ma chaîne Youtube j'ai 1110 abonnés et 21 444 vues et la vidéo la plus populaire c'est celle où il est question de la différence entre le programme d'immigration Entrée express et le programme projet Québec », souligne Laila Agherbi, qui s'est rendue à l'évidence que ce qu'elle offre comble un besoin.
     
    Depuis trois mois, Mme Agherbi a mis en ligne une quinzaine de vidéos sur toutes sortes d'événements qui se passent à Moncton, tels qu'une partie de hockey, les marchés de Dieppe et Moncton et bien sûr la cabane à sucre. Plusieurs vidéos expliquent la marche à suivre pour immigrer ici et comment se préparer pour le départ, mais également ce qui attend les immigrants dans leur nouvelle terre d'accueil. Son objectif est de mettre en ligne une nouvelle vidéo chaque semaine.
     
    Destination Acadie au Maroc

    Par ailleurs, les Marocains peuvent ces jours-ci assister à des présentations pour en savoir davantage sur les procédures d'immigration dans les provinces maritimes. L'équipe de Destination Acadie, qui recrute des immigrants francophones en France, en Belgique et en Suisse depuis 2012, se trouve en ce moment au Maroc pour une seconde année consécutive. L'an dernier, près de 1000 personnes ont assisté aux conférences et 200 d'entre elles ont présenté une demande d'immigration. Devant ce succès on a décidé de réitérer l'expérience et même d'inclure d'autres villes dans les présentations.
     
    https://www.forum.immigrer.com/applications/core/interface/imageproxy/imageproxy.php?img=https://images.radio-canada.ca/w_635,h_357/v1/ici-info/16x9/immigration-destination-acadie.jpg&key=4b6a1a06f7423afb43750d85cb1d8128c1aa4121e5d3e8beadd83bd28c311fde
    Les kiosques installés à Tanger au Maroc par Destination Acadie offrent une foule d'information aux personnes intéressées à immigrer dans les provinces maritimes.   
     
    Des représentants des trois provinces maritimes, des universités francophones et des collègues sont à Tanger après avoir visité Cassablanca. D'autres présentations sont prévues à Rabat et à Marrakech. Les présentations se font par des conférences et des kiosques d'information. Selon le directeur du programme, François Émond, les intéressés visitent par la suite des kiosques où ils trouvent une foule d'informations sur les différents programmes d'immigration.
     
    Destination Acadie s'inscrit dans une démarche pour faire connaître l'existence de la francophonie en dehors du Québec. On présente les avantages de s'installer dans les provinces maritimes plutôt qu'ailleurs au Canada, en plus de fournir de l'information sur les différents programmes existants.
    Les artisans de ce projet travaillent main dans la main avec l'ambassade du Canada au Maroc. Leur but? Faire venir les francophones dans les provinces canadiennes où se trouvent les régions acadiennes. Des provinces où la population francophone est minoritaire et qui courtisent depuis peu les Marocains intéressés par un projet d'immigration vers le Canada.
     
    Des cibles difficiles à atteindre
     
    Une rencontre des ministres fédéraux, provinciaux et territoriaux responsables de la francophonie canadienne et de l'immigration a eu lieu la semaine dernière à Moncton. L'été dernier, ils s'étaient entendus pour demander au gouvernement fédéral de porter à 5 % le niveau d’immigration francophone à l’extérieur du Québec alors qu'il n'est que de 1,3 % actuellement.
    À l'issue du Forum, les ministres présents ont convenu de collaborer pour accroître les efforts visant les immigrants d'expression française et favoriser leur recrutement et leur intégration.
    Le Nouveau-Brunswick s'est donné comme objectif d'atteindre 33 % d'immigrants francophones d'ici 2020.
     
    Source : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1026230/une-immigrante-du-maroc-fait-la-promotion-de-lacadie
  21. J'aime
    kabi a reçu une réaction de Midou85 dans Ottawa-Toronto : Comparatif   
    Afin de répondre à ceux qui hésitent entre Toronto et Ottawa, je me suis permis de livrer sur ce post mes propres recherches sur ces deux villes; même si au fond de moi je défendrais rigoureusement ma ville préférée OTTAWA je préfère que le débat soit plus objectif donc je laisserais chacun de vous apporter son grain de sel au débat afin de le rendre plus constructif.

    Avant de vous dresser le tableau issue de mes recherches personnelles, je peux vous dire d'ores et déjà ce qui ressort à première vue une fois que l'on évoque Toronto ou Ottawa:

    Ottawa est très belle comme ville (bon ça commence bien ) : beaucoup de parc, de musées, de pistes cyclables, etc..

    Toronto est la plus multiculturelles des villes canadiennes : il y a beaucoup de brassage ce qui lui donne une certaine ampleur.

    Ottawa est plus billingue que Toronto : aussi bien grâce à sa proximité du Québec (un pont sépare Ottawa (Ontario) de Hull-Gatineau (Québec) ) que grâce à ses institutions gouvernementales ou le bilinguisme est exigé selon la loi (encore faut-il le trouver ).

    Toronto est plus dynamique que Ottawa (vie sociale) : plusieurs festivals et de célébrations.

    Ottawa est plus sécuritaire et plus propre : taux de crime moins élevé et son statut de Capitale nationale exige aux élus des municipalités à s'assurer de la propreté de la ville. en 2003 elle a été classée par Statistique Canada comme une des meilleurs places au Canada pour y fondre et élever sa famille .

    Toronto est le centre dynamique de l'économie du canada c'est le cur bancaire et financier du pays. Le développement des industries culturelles et informatique se fait à un rythme élevé.

    Ottawa est parmi les villes canadiennes, comprises dans l'enquête mondiale de 2006, où le coût de la vie est le plus bas concernant la qualité de vie.

    Voici un petit comparatif analytique bonne lecture:

    http://img112.imageshack.us/img112/9458/co...atorontoyk1.png

    Mes Sources:

    Moneysense magazine Meilleures villes ou vivre 2008
    http://list.canadianbusiness.com/ran...&df=bestcities


    MERCER Qualité de vie 2008
    http://www.citymayors.com/features/quality_survey.html


    MERCER (Chereté) Cout de la vie 2007
    http://www.mercer.com/referenceconte...ontent=1268475


    FORBES Ville la plus propre du monde 2007
    http://aendirect.com/articles/online...res-singapore/
  22. J'aime
    kabi a reçu une réaction de Mimye dans Saskatchewan: une aubaine pour les candidats à l'immigration   
    Bonsoir,

    Je partage avec vous cet article intéressant, sur les immigrants francophones qui ont choisit de s'établir au Saskatchewan.

    Cette province connait ces dernières années une croissance économique prospère, alors que le nombre d'habitant est à peine un million, ce qui cause un manque flagrant de ressources humaines.

    Les statistiques estiment qu'il va falloir 94 500 emplois de plus dans les années à venir. Certains secteurs tels le bâtiment ou les services sociaux, ainsi que certaines professions, telles mécaniciens, soudeurs, peintres industriels et camionneurs sont en manque constant de personnel; en conséquence, les sociétés font continuellement appel à la main-d'oeuvre en provenance de l'extérieur.

    En plus des départs à la retraite, c'est surtout le contexte économique bien plus favorable dans cette province qui en est la cause: L'agriculture est prospère, des personnes ont pu rembourser leur prêt d'achat de terrain avant leur date d'échéance grâce à des profits en augmentation, ainsi que d'énormes projets d'extension de capacité sont à venir (la construction de la future usine de l'allemand K+S, le leader mondial de la potasse, démarrera fin 2016).

    Comme tout immigrant, les premiers pas ne sont pas faciles, il faut se familiariser avec son nouvel entourage, les routes, le matériel, le climat, mais le majeur obstacle des immigrants francophones reste l'anglais.

    Pour y remédier, beaucoup tente l'expérience du bénévolat, ce qui est bénéfique pour plusieurs; de plus la tension sur le marché du travail rend attractif le secteur des emplois communautaires et comme il existe une communauté grandissante de francophones au Saskatchewan, (Ils seraient 10000 à Regina sur une population totale de 250000) le fait de parler français devient un atout à l'embauche dans cette communauté et par extension, l'amélioration de l'anglais au fil des jours -à force de côtoyer le quotidien anglophone- réduit cette barrière à la mobilité professionnelle.


    L'article finit par une note douce sur la vie dans cette province. Au Saskatchewan, la vie va plus doucement. Si la vie sociale parait limitée pour une personne seule, ou célibataire, le cadre de cette province lui est adapté à la vie de famille. La froideur du climat glacial est néanmoins chaleureuse car on y vit comme dans un grand village, créant ce qu'on appelle un ''esprit des Prairies''; et comme disait un des immigrants Francophone: au Saskatchewan on y trouve un "accélérateur de carrière, en termes de salaire et de responsabilités''.

    Canada: le Saskatchewan, une aubaine pour les candidats à l'immigration Par Jean-Michel Demetz, publié le 17/11/2014 à 11:00 Source: http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/canada-le-saskatchewan-une-aubaine-pour-les-candidats-a-l-immigration_1622637.html

    Bonne lecture!

  23. J'aime
    kabi a reçu une réaction de voix_off dans Immigration: L'ambassade du Canada au Maroc organise deux sessions d'information   
    Le 21 février prochain, l’ambassade du Canada au Maroc propose une session d’information pour les Marocains qui souhaitent immigrer pour motif économique dans le pays du continent américain. Elle reviendra sur les modalités du processus “Entrée Express” et son système de sélection. Une autre session est prévue à Casablanca au moins de mars. 
     
    Ce sytème est destiné aux travailleurs qualifiés. C’est “un processus entièrement électronique impliquant le gouvernement fédéral, les gouvernements provinciaux, et les employeurs”, précise le site visa pour le Canada. Trois programmes permettent d’obtenir l’“Entrée Express”. Le candidat doit, au préalable, vérifier son éligibilité au processus. Une autre session d’information est d’ores et déjà programmée à Casablanca le 13 mars prochain.
     
    En octobre dernier, le gouvernement canadien annonçait vouloir ouvrir grand ses portes aux migrants économiques. Le plan pluriannuel des niveaux d’immigration 2019-2021 prévoit d’atteindre un taux d’admission de 350.000 personnes en 2021, soit près de 1% de la population canadienne.
    “En nous appuyant sur les bases solides établies l’année dernière et en poursuivant l’augmentation des niveaux d’immigration économique, nous aidons le Canada à demeurer compétitif et à attirer des talents du monde entier”, avait déclaré Ahmed Hussen, ministre canadien de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté.
     
    Pour accompagner les immigrants, le gouvernement canadien a récemment annoncé son souhait d’ouvrir, au printemps prochain, un bureau qui servira au mieux “les immigrants francophones déjà sélectionnés qui voudraient s’établir dans une province où le français est en situation minoritaire”. Il sera installé au Maroc.
     
    Source : https://www.huffpostmaghreb.com/entry/lambassade-du-canada-au-maroc-organise-deux-sessions-dinformations-pour-tout-connaitre-de-limmigration-economique-dans-le-pays_mg_5c6554b6e4b0233af9721426
     
  24. Merci
    kabi a reçu une réaction de Alex2020 dans Gatineau plus attrayante qu'Ottawa   
    Je la nomerais la ville stratégique pour les immigrants fraichement débarquant au Camada: Gatineau.
    C'est la seule région ou on passe d'une province francophone à une autre Anglophone ou vice versa, en traversant un pont. Pour ceux qui ont encore de la misère avec leur niveau d'anglais et qui préfèrent commencer par la province de Québec c'est donc un choix judicieux,
    Et enfin les résident de la région bénéficient de l'attrait du travail avec le gouvernement du Canada qui est le 1er et grand pourvoyeur de job dans la région.


    Mise à jour le jeudi 19 mars 2009 à 17 h 11

    Gatineau semble plus attrayante que sa voisine Ottawa aux yeux des nouveaux arrivants. C'est ce qui ressort d'un rapport sur l'immigration dévoilé jeudi par la Fédération canadienne des municipalités (FCM).

    La FCM note que les nouveaux arrivants s'établissent pour la plupart d'abord à Ottawa, mais plusieurs d'entre eux déménagent par la suite à Gatineau. Entre 2001 et 2006, Ottawa a perdu près de 8 % de sa population immigrante, alors que Gatineau a connu une augmentation de près de 10 %.

    Selon l'organisme, ce n'est pas un phénomène exclusif à l'Outaouais. Partout au Canada, les immigrants sont de plus en plus nombreux à aller s'établir dans des plus petits centres.

    « Mais aussi, les familles des immigrants sont en moyenne plus grandes que les familles non immigrantes. Alors, leurs besoins ne sont pas satisfaits dans les villes, où on trouve les condos, qui sont abordables, mais petits. Alors, cela a du sens qu'ils trouvent dans les banlieues les maisons plus larges, plus abordables. Ça peut expliquer le phénomène », soutient le chef de la recherche à la Fédération canadienne

    Source: http://www.radio-canada.ca/regions/ottawa/2009/03/19/006-immigration-ottawa-gatineau_n.shtml]


  25. Triste
    kabi a reçu une réaction de Midou85 dans vie à Toronto   
    Salut Vivica,

    Joli nickname en passant

    Alors tu veux aller vers l'aventure !! c'est bien, ici au Canada ce genre d'aventures apporte souvent un nouvel élan à sa vie. Je l'avais fais aussi en passant de Montréal (3 ans et demi) à .. OTTAWA.

    Les différences ??? hummm il y en a beaucoup je t'en parlerais lors d'une prochaine fois. Je vais t'indiquer ici sur ce post quelques témoignages (2 pour le moment) sur la vie à Toronto vue par certains forumiste (j'ai collecté toute une armada de témoignages des FAQ que des messages reçus sur ma boite courreil personnel et je les ai classé. N'oublie pas certains datent de plus de 2 ans donc une petite mise à jours s'impose, exemple les prix du loyer ou de la carte de bus métro, tu ajoutes quelques dollars) .

    Juste avant je tiens à te conseiller vivement de travailler ton anglais, je répète ''travaille'' bien ton anglais et sache que les escaliers de 1000 marches commence toujours par la 1ère. Tu y arriveras in cha allah.

    LES TÉMOIGNAGES :


    premier Témoignage :

    Alors Toronto...y'a pleins de coins sympa, sympa, sympa...
    Y'a des quartiers un peu plus chers que d'autres mais finalement tout depend de ce que tu recherches. Si tu veux habiter seul ou en collocation, les prix sont tres different aussi.
    J'ai moi-meme demenage 8 fois en cinq ans et suis passee par pas trop cher en colloc et cher toute seule.
    Pour avoir une idee, va sur :www.viewit.ca, mais attention tout depend du quartier.

    Moi, aujourd'hui j'habite a High park, et je croyais que je payais cher pour mon appart mais j'ai une grande chambre, salon, grande cuisine et un bout de jardin .Une de mes amies habite Eglinton, et pour un petit bachelor paie 100$ de moins...hum..C'est partout pareil tu trouveras plus cher quelque part et moins cher ailleurs...Comme cela peut etre l'inverse, peut-etre un deux pieces coute moins cher a Eglinton qu'ou je suis..Il faut VRAIMENT CHERCHER PENDANT LONGTEMPS AVANT DE TROUVER LA PERLE RARE..Il m'a fallut 8 demenagements pour trouver mon coin , et je pense que j'ai essayer tous les coins de Toronto..

    La ou j'habite il y a le bus en face de ma porte. J'ai trois streetcars important de la ville qui ne passe pas tres loin...suis a 15minutes a pieds du subway Keele, le parc a deux minutes et le lac a 8 ...donc il faut bien choisir ton coin et voir par rapport a ce que tu recherches.

    Par exemple:J'ai habite dans little Italy, mais cela me prenait du temps pour aller au metro car je devais changer deux fois de bus/streetcar pour aller au metro.Mais le coin etait sympa et pas trop cher.Mais moi, ce que je voulais c'etait un endroit ou je pouvais avoir facile d'acces pour les transportations...

    Apres experience les coins a eviter pour habiter sont:parkdale, chinatown, (a moins que l'odeur ne te derange pas...), je n'ai moi-meme pas trop aime dufferin et bloor...
    mais c'est pas trop cher...

    Les coins sympa a voir: little Italy(college/entre bathurst and ossigton), greektown(danforth/brodview),bloorwest village, eglinton,les beaches(queen/woodbine)
    il y en a tellement...

    les coins sympa a habiter: tout endroit ou tu n'as pas a changer pleins de fois pour aller au metro, le mieux c'est etre pres d'un metro...un endroit ou tu peux aller faire tes courses sans avoir a prendre le bus...tout depends si tu veux etre pres de la ville, en ville , ou pas loin mais qui te donne toujours l'impression d'etre pres du centre.Un coin calme, facile d'acces...

    Les coins pas trop chers en dehors de toronto, je ne connais pas tellement, je peux juste te dire qu'il y a certains endroits plus a eviter pour habiter...comme evite Finch et jane, Scarborough, ...

    Je sais que Mississauga est assez sympa comme endoit,( mon ex venait de la-bas ), mais tu as aussi Markam, un peu plus loin Brampton...Je sais que Richmond Hill est un endroit sympa a vivre, mes amis habitent la-bas.Tu as les deux cotes de Yonge street, je ne sais plus lequel est tres cher, par contre l'autre l'est moins...va savoir pourquoi???Tu vas te rendre tres vite compte de cela, comme les gens qui habitent vers Royal york, le sud et nord sont differents. Acheter une maison au sud ou au nord est une grosse difference.

    Bref, en conclusion, chercher un logement a Toronto meme, c'est cher...Je ne te parles meme pas d'acheter une maison...Mais en faisant pas mal de recherches tu trouveras ce dont tu as envie.

    Pour trouver une maison c'est mieux et moins cher a l'exterieur de Toronto.Mais tout depend de ton boulot.Venir de l'exterieur pour aller travailler a Toronto, il faut aimer les embouteillages le matin et le soir pour repartir...et les parkings en ville sont tres chers. Le mieux si tu travailles en ville mais que tu habites a l'exterieur c'est le go train.www.gotrain.ca, je crois..

    Un coin pas trop cher et pas loin de la ville c'est south etobicoke, il y a des maisons pas trop chers, mais il faut faire un peu de renovations ...

    Voila..Bonne chance!!!
    Tu vas trouver ton bonheur j'en suis certaine...


    Deuxième Témoignage :

    - Une ville ou tu te sens pas du tt comme un etranger meme si c un peu le cas meme au QC

    - la famille "d'accueil" tres cool va peut etre quitter Toronto pour Montreal afin que les enfants apprennent le francais,

    - pour les loyers, Toronto c'est de la folie, 1 studio c'est 800 doll, 1 1/2 c'est au moins 900 dollars et j'exagere pas !!!

    -l'assurance auto en Ontoria, forget it !!!! c'est des malades, les Ontariens ont un probleme avec les voitures comme les talibans avec les femmes

    -pour l'anglais si tu es RP, c'est gratuit!!!

    -la carte de transport 100 doll minimum


    - des "bachelors" ou des "1 bedroom". Mais bon, j'arrive seul, alors...Pour un bachelor, tu peux trouver pour 850 $ je pense mais attention, il faut que tu regardes ce qui est inclus dans le loyer.

    - Vivre a Toronto c'est survivre, tout est plus cher, il faut gagner au moins 45000 doll par personne pour vivre correctement, beaucoup d'immigrants a Toronto vivent de l'aide sociale. Si tu veux trouver un job, faut parler anglais mais vraiment pas l'anglais de Montreal. Je suis a Toronto pour apprendre l'anglais et je vais essayer de me trouver un job en part time pour pratiquer. Sinon pour les jobines, c'est paye 7doll !!!! je sais pas comment on peut vivre avec ca. Je vis grace a mes quelques economies.
    D'une maniere generale je sais pas si je vais rester longtemps a Toronto mais d'une maniere generale au Canada. Peut etre que je vais rentrer a la fin de l'annee. Avoir une semaine de vacances par an !!!!! c'est la mort, tu profites de rien. En France j'avais un bon salaire et 5 semaines de vacances...mais bon c'est mon choix. Puis les gens a Toronto sont tres froids, les relations humaines sont superficielles.
    Voila, j'espere que j'ai repondu a tes questions,
    Bon courage pour la suite,



    Bonne chance, je te reviendrais avec d'autre témoignages .

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