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Tout ce qui a été posté par Zogu
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De la mâche? À prime abord, les laitues et chicorées n'ont aucun problème à pousser ici. Surtout que la mâche est considérée comme rustique. Les laitues qui poussent en feuilles (comme la frisée) permettent plusieurs récoltes pendant l'été. Celles qui poussent en pomme devraient être protégées la nuit si la température descend sous les 5 degrés, sans quoi les feuilles extérieures pourraient mourir. L'essentel est surtout de ne PAS planter trop tôt, sans quoi les jeunes plants pourraient mourir. Attendez à la mi-juin pour planter, quand la température ne descend plus sous les 7 degrés la nuit. Ne vous laissez pas entourlouper par une semaine de beau temps: "Plantez en mai, tout va crever." (proverbe gaspésien que je viens d'inventer à l'instant) Assurez-vous aussi que le sol ne soit pas trop acide. C'est un problème courant dans l'est du Québec. Évitez la terre noire, la terre avec conifères ou la terre qui reçoit un ruissellement provenant d'un sous-bois. Plantez au soleil, dans de la belle terre brune bien drainée.
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Avis aux immigrants qui aimeraient s'installer dans la région du Bas-Saint-Laurent! Une page web compile, à tous les mercredis, les offres parues dans les divers journaux et centres d'emploi de la région. http://bas-saint-laurent.org/p_emplois1.asp En outre, le Bas-Saint-Laurent présente un dossier très étoffé aux futurs immigrants: http://www.bas-saint-laurent.org/texte.asp?id=442 Une belle vie en santé sur le bord de l'océan, quelqu'un?
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Toujours perdu dans les rues montréalaises?
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Ça ne lui prend pas grand chose pour débander, le pauvre vieux, il a le hochet fragile. C'est sa femme qui doit pas être heureuse.
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En effet! Et si tu ne t'incorpores pas, il est bon de prendre une assurance de pratique professionnelle. Comme ça, si tu fais une erreur professionnelle grave qui coûte quelques millions de $ à un de tes clients... tu vas être couvert. T'es mieux d'avoir une assurance qui protège ta pratique, car aussitôt que tu fais des affaires, tu peux potentiellement faire des gaffes coûteuses. Notez que les membres des Ordres et Corporations professionnelles n'ont pas les mêmes enjeux. (Exemple: ingénieurs et pharmaciens) Ils ont certaines protections contre les poursuites personnelles liées à la pratique. Par exemple, un ingénieur qui établit un tracé dangereux pour une bretelle d'autoroute, et qui provoque une douzaine de morts, ne pourra pas être poursuivi personnellement. L'Ordre des ingénieurs du Québec va dédommager les familles et ouvrir une enquête sur la pratique de l'ingénieur fautif.
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Je me demande à quel point les modèles socio-économiques sont transposables, ou exportables. Il y a plusieurs bonnes solutions à un même problème de société, tout est de trouver la solution qui passera la mieux au vu des mentalités, du peuple et de ses traditions. Comme il y a plusieurs sortes de démocratie, ou de structures de gouvernement, ou de manières de dire les choses... Je trouve quand même intéressant de voir la France s'inspirer de nos expériences sociales. Et pourquoi pas! Nous nous sommes inspirés de leurs modèles longtemps, avec un profond respect des réalisations françaises; mais maintenant, depuis un demi-siècle, l'élève est devenu adulte, il peut échanger ses idées librement avec le maître. (Je dis tout cela de manière imagée.) Cela montre que la France n'est pas une société complètement cristallisée; qu'elle est encore capable de bouger, de changer, d'avancer. J'y vois aussi un respect de la société québécoise, qui se développe lentement. Les Français vont évacuer lentement l'image folklorique qu'ils avaient de nous... échanger un peu de rêve, pour développer de l'affection réelle...
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Pour que chacun se fasse une idée réaliste de la situation des piscines au Québec, je vous encourage à aller jeter un coup d'oeil aux photos satellites haute-définition sur ce site: http://maps.google.ca/ Une fois sur le site, cliquez sur le lien intitulé "satellite" et zoomez sur le Québec. Notez que l'imagerie haute-définition n'est disponibles que pour certains secteurs, dont environ 30% de l'île de Montréal, la Montérégie, Laval, une partie de la Rive-Nord, la ville de Québec, ainsi que quelques villes hors des zones métro. Les zones haute-définition sont identifiées par des rectangles couleur brune-gris foncé; les zones à résolution moyenne sont couleur plus pâle; les zones basse-définition sont en vert. Hé oui, on peut compter les piscines par satellite! Pour une banlieue typique comme Boucherville, on constate des disparités dans les quartiers. Dans la majorité des quartiers, environ 50% des maisons unifamiliales ont des piscines. Les piscines hors-terre (rondes) dominent, les piscines creusées (carrées ou ovales) sont plus rares. Dans les quartiers récents, on trouve plus de piscines creusées, mais globalement moins de piscines. Probablement parce que les nouveaux terrains sont plus petits. Si Totof nous donne son code postal, on va pouvoir regarder son voisinage
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De plus en plus, trois villes gaspésiennes concentrent la richesse de la région. Il s'agit de Matane, Sainte-Anne-des-Monts/Cap-Chat et Gaspé. Cet article de La Presse dresse un portrait de Gaspé, qui est en plein "boom" économique depuis 5 ans. Notez que la croissance devrait se poursuivre, avec l'industrie de l'éolienne qui se développe. Gaspé verra sous peu la construction d'une usine de pièces. (PS: Gaspé est situé tout au bout de la Gaspésie, à 10 heures de voiture de Montréal. On peut s'y rendre par train de nuit, aussi. La ville est située dans un havre très joli, avec des plages et un parc national à quelques km.) ======================================== Gaspé est en pleine santé économique Geneviève Gélinas et Gilles Gagné 17 mai 2005 - 08h52 Source: Cyberpresse.ca Aujourd'hui, plusieurs municipalités du Québec ont les yeux tournés vers Gaspé, une ville qui respire pleine santé économique. Nos deux journalistes dans cette région dressent un portrait de ce dynamisme qui anime Gaspé depuis maintenant deux ans. Nous publions aujourd'hui un premier volet en deux textes et demain, un troisième texte complétera ce reportage. La ville de Gaspé connaît un boom économique d'une rare vigueur depuis deux ans. Ses succès font bien sûr l'envie des autres localités gaspésiennes, mais aussi de bien des villes québécoises de même taille. Le taux de vacance des logements est par exemple passé de 16,4 % en 1999 à 1,1% en 2004. Il manque de logements de toutes sortes, note l'agent immobilier Marc Carbonneau. «C'est rendu qu'on achète une maison plus vite qu'une paire de souliers, tellement on a peur que ça parte (...) Depuis quatre ou cinq mois, à chaque maison, on a deux ou trois acheteurs et on joue dans les offres. Au centre-ville, s'il y avait 15 à 20 maisons qui se construisaient, elles trouveraient preneurs en une semaine», assure-t-il. Son compétiteur Lewis Annett rappelle qu'il y avait 300 maisons à vendre à Gaspé il y a cinq ans. L'économie déclinait, comme le moral de plusieurs des 15 000 citoyens de la ville. «Mais il y a eu une création soutenue d'emplois depuis ce temps. Le marché pourrait aisément absorber de 40 à 50 maisons neuves d'ici la fin de 2005, et de 30 à 40 appartements de bonne qualité», estime M. Annett. Line Desrosiers, notaire depuis 21 ans à Gaspé, constate que les gens sont tellement confiants de vendre leur maison qu'ils transigent souvent sans agent immobilier pour épargner la commission. «Plus besoin d'afficher »à vendre«. Des acheteurs m'appellent pour savoir si je connais des gens qui vendent leur maison sans l'afficher». L'arpenteur-géomètre Christian Roy a aussi remarqué une effervescence peu commune depuis un an. «Ça fait 30 ans que je fais de l'arpentage à Gaspé et je n'ai jamais vu ça. D'habitude, c'est plus tranquille en janvier, février, mars, mais cette année, on n'a pas ralenti». M. Roy a vu des prix de terrains doubler en un an. L'inflation ne touche pas seulement le centre-ville. Elle déborde les limites du «Grand Gaspé», cette entité mesurant plus de 100 kilomètres de bout en bout, créée par la fusion forcée de 11 municipalités en 1970 afin de faciliter la négociation menant à la création du controversé parc national Forillon. «J'habite à 40 kilomètres du centre-ville de Gaspé et nos taxes municipales ont augmenté de 30% parce qu'il n'y a rien à vendre. Les gens cherchent des terrains et des maisons», explique Jean-Marie Thibault, résidant de l'arrondissement Saint-Georges-de-Malbaie, de la ville voisine de Percé. Le directeur général de Gaspé, Gaétan Lelièvre, avance qu'il coûte moins cher de construire une maison que d'en acheter une au centre-ville ou pas loin. Autre phénomène rare: les maisons se transigent à un prix supérieur à l'évaluation municipale. «En 2000, on pouvait acheter une maison pour 60 à 70% de l'évaluation municipale. En 2005, le prix est souvent 40% plus élevé que l'évaluation municipale ; il a donc doublé en cinq ans». Pascal Denis, copropriétaire de l'Auberge des commandants, confirme cette situation. «J'ai acheté mon bungalow 70 000 $ en 1999. J'y ai fait des améliorations de 30 000 $ et je suis certain que je pourrais le vendre 140 000 $. Mais je le garde parce que je vois tous mes amis qui sont revenus se chercher une maison, même un appartement». Mais «les gens de la ville qui déménagent ici ne trouvent pas ça cher», rappelle la notaire Desrosiers. Dans le secteur commercial, «mon année financière 2004-2005 sera sûrement ma meilleure depuis 18 ans», précise Claudine Roy, propriétaire du restaurant Brise-bise et de deux immeubles commerciaux : «Tout est loué, et les gens paient parce que leurs affaires vont bien. Et les gens cherchent, veulent louer des locaux commerciaux». Tout un revirement Il y a cinq ans, Gaspé se remettait du marasme qui avait, du reste, frappé bien plus fort Murdochville, en raison de la fermeture de la mine de cuivre, et Chandler, qui venait d'écoper la fermeture de la papeterie Gaspésia. Ces deux villes, situées à 100 kilomètres de Gaspé, venaient de perdre 900 emplois industriels bien rémunérés. «La situation a pris du mieux quand sont arrivés le centre d'appels du ministère de la Solidarité sociale (100 emplois en 2001) et le centre de gestion des prêts étudiants Desjardins (125 emplois en 2002). J'ai vendu beaucoup (de maisons) à des couples à qui (un emploi dans un de ces deux centres) a permis de solidifier la situation», précise Marc Carbonneau. Depuis, d'autres initiatives, de tailles diverses, animent l'économie. Transformant des crevettes à Rivière-au-Renard, Pêcheries Marinard donne dans la recherche biotechnologique en produisant du chitosane, un polymère aux usages multiples. Une firme de Lévis, Éocycle, s'est installée à Gaspé pour développer et produire des alternateurs éoliens de moyenne puissance. À Murdochville, la firme 3Ci est rendue à mi-chemin de l'érection de quatre parcs éoliens totalisant 360 millions $. Et ce qui se passe dans l'ancienne ville minière influence toujours Gaspé. Au moins cinq projets pointent à l'horizon afin de soutenir l'élan. Le Groupe GDS achève la construction d'une usine de produits du bois à valeur ajoutée, alors que la société danoise LM Glasfiber entamera sous peu la construction d'une usine de fabrication d'immenses pales éoliennes. La firme fournira les parcs éoliens (autres que ceux de Murdochville) qui seront installés en Gaspésie pour générer 1000 mégawatts d'énergie et d'autres clients nord-américains pour 1400 MW. L'un des parcs éoliens sera érigé pour 160 M $ à l'extrémité ouest de Gaspé, à l'Anse-à-Valleau De plus, un projet de carrière d'agrégats de construction par la firme Désourdy mijote depuis un an. Il créerait une trentaine d'emplois et activerait le port, comme LM Glasfiber et le Groupe GDS. Ces quatre projets devraient créer 200 emplois permanents. Enfin, la firme Amiska entame les démarches pour construire un centre commercial de 30 M $ avec de grandes surfaces, dont Wal-Mart, dit-on. Le projet irrite des gens craignant le développement anarchique d'une zone devant rester résidentielle, selon eux. Le conseil appuie le projet. Comment expliquer la croissance de Gaspé ? Le directeur municipal Gaétan Lelièvre, qui y vit depuis quatre ans, après 38 ans à Chandler, y voit un ensemble de facteurs. «Nous avons une masse critique, une reconnaissance, 15 000 voix qui ne parlent pas toujours ensemble mais qui l'ont fait quand c'était le temps, des services professionnels, un cégep, un bureau de l'Université du Québec à Rimouski, trois parcs industriels, des réseaux comme le Technocentre éolien, des services municipaux, trois rivières à saumons, le parc Forillon, les montagnes et la mer !» dit-il. Il aurait pu ajouter un climat de confiance qui alimente fort bien l'embellie économique, ces temps-ci.
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Comment traite-t-on l'échec universitaire en France? Au Québec, si tu échoues "un peu trop", on te jette dehors de ton programme d'études et la porte est définitivement fermée. Ça c'est au bacc. Très important de maintenir ta moyenne. Par contre, au Cégep, tu as le droit à l'échec, à beaucoup d'échecs même (!) et tu peux reprendre tes cours.
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La Cité de la Santé (à Laval) a déjà perdu un de mes "échantillons" (une pierre de rein), ce qui m'a valu une demi-douzaine de tests qui m'ont pourri l'existence pendant 2 semaines. Ensuite, ils l'ont retrouvée. Voici mon palmarès personnel des hôpitaux... Les meilleurs - Rimouski - Pierre-Legardeur (à Repentigny) - Hôpital Juif de Montréal (Montreal's Jewish) Les "aigre-doux" - Maisonneuve-Rosemont - Saint-Luc Les pires - Hôpital Général de Montréal (...champion toutes catégories) - Sainte-Justine (...champion des équipements brisés) - Cité de la Santé de Laval (...là où les internes ne savent pas plâtrer) - Queen Mary
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Hihihi... Les "Portes de l'enfer" c'est un parc régional et, comme bien des parcs régionaux, son nom provient de l'époque du canotage et de la drave (flottage des billots de bois). Par exemple un autre parc, les chutes "Monte-à-peine", ont été nommées ainsi parce qu'il était très difficile de faire un portage de canot à cet endroit. Quant aux "Portes de l'enfer", c'est parce que la rivière Rimouski forme un gouffre profond sur quelques km, avec un dénivellé impressionnant. C'était très dangereux pour le canotage et pour le flottage du bois. Les billes de bois se coinçaient souvent et les draveurs devaient descendre dans ce véritable enfer d'eau pour les pousser. En passant... prudence sur les berges, et évitez de vous baigner dans cette rivière! Le courant est beaucoup trop puissant et vous risqueriez de vous faire démolir dans les rapides. Étant plutôt téméraire, et ayant l'habitude des rivières québécoises, j'ai "tenté le diable" dans la rivière Rimouski et j'ai bien failli y passer. Je vous dirais que le site est enchanteur, avec cette grosse rivière (d'origine glaciaire) qui fait des bouillons et les ruisseaux qui s'y jettent d'une hauteur qui atteint 100m. J'ai quelques photos ici: http://cf.pg.photos.yahoo.com/ph/hugo_dufort/my_photos Le site web est ici: http://www.canyonportesenfer.qc.ca/ Le camping est de type sauvage (2 étoiles), donc, incluant uniquement les services de base et pas trop d'aménagements. L'avantage: aucune grosse roulotte, aucun "camping car" pour vous empoisonner l'existence, juste la nature sauvage et des tentes.
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Sud du New Hampshire Le français aboli de l'affichage routier Presse Canadienne Washington Source: Cyberpresse.ca Le français sera aboli de l'affichage routier dans le sud du New Hampshire, à la frontière avec le Massachusetts, ce qui irrite la communauté francophone de l'État. Le Gouverneur du New Hampshire, John Lynch, entend faire installer de nouvelles affiches montrant un nouveau logo s'inspirant, dit-il, de l'héritage franco-américain, et qu'il croit plus attrayantes. L'affichage en français sera toutefois maintenu dans le nord de l'État, qui partage une frontière avec le Québec. Réal Gilbert, vice-président du Centre franco-américain du New Hampshire, dénonce qu'une telle décision envoie le message qu'il n'existe que l'anglais dans cette région des États-Unis. Il rappelle que les racines du tiers de la population de l'État sont francophones, et que 70 pour cent du commerce extérieur du New Hampshire se fait avec le Québec. Environ un million de Québécois francophones, souffrant du chômage et d'une grande pauvreté, ont émigré vers le nord-est des États-Unis entre 1860 et 1920, perpétuant la vitalité de la francophonie dans leur terre d'accueil.
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Je peux te dire que partout où j'ai voyagé récemment (Québec, Inde, Croatie, Hongrie), les prix étaient à peu près équivalents. Regarde chez Future Shop et Compusmart (ils ont des sites web), ça te donnera les prix les plus récents.
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Dans la version "hatchback", tu peux transporter des meubles et des gros écrans d'ordinateur sans te battre avec les portières.
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Égalité des sexes : 7 ième place pour le Canada
Zogu a répondu à un(e) sujet de Laurence Nadeau dans Québec
12% d'Indiens musulmans ça fait quand même 120 millions de personnes. L'Inde est l'un des plus grands pays musulmans du monde. Même si cette religion est minoritaire. L'Islam a une très grande importance historique pour le pays et continue d'influencer sa culture. Pensez-y... 120 millions de musulmans... toute une minorité, hein! (PS: J'étais en Inde en février 2005, j'ai pu constater sur place les différentes cultures de ce merveilleux et déroutant pays.) -
Fais un petit arrêt à La Malbaie/Pointe-au-Pic. Le Manoir Richelieu et ses environs valent bien quelques photos. De plus, certains des meilleurs restaurants de Charlevoix sont dans ce secteur. En particulier, le restaurant Le Charlevoix au dernier étage du Manoir, est coté 4 étoiles; c'est le meilleur restaurant de l'est de la province et ils servent des mets préparés avec les produits du terroir.
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Oui! Ainsi que les eiders, canards et autres volatiles qui aiment l'eau. Par contre, tu viens de manquer les oies. Les deux campings du parc du Bic ne sont pas nécessairement bien, en effet. Le premier camping est collé sur la route 132 et envahi par les grosses roulottes "tous services". L'autre camping est mieux, situé en plein dans le parc, mais il affiche presque toujours "complet". Dans la région, je connais quelques campings, mais ils sont un peu éloignés du parc. Camping Plage Trois-Pistoles, à 30 km du Bic. Les Portes de l'enfer, à 30 km aussi (dans les montagnes, près de Rimouski) Ainsi que quelques campings à Sainte-Luce et à Sainte-Flavie. Le meilleur camping que je connaisse dans la région est le Camping Annie à Métis. Il est organisé pour toute la famille et je crois qu'ils acceptent les chiens. Mais c'est loin du Bic, 1 heure vers l'est.
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Tu as raison, O'Hana. Les universités québécoises sont très intégrées. Intégrées comment? Ingégrées entre elles. Outre le réseau UQ (UQAM, UQAR, UQTR, ...), on rencontre beaucoup de projets de recherche communs. Par exemple, j'ai déjà participé en temps qu'étudiant en maîtrise en sciences cognitives/informatique à un projet de recherche sur la formation des radiologistes. Le but? Les aider, à l'aide d'un logiciel d'évaluation, à identifier plus précisément les cancers du sein. Puisque c'était un projet multi-disciplinaire et de grande ampleur, trois universités étaient impliquées: UdeM, McGill et Bishop. Aussi, certains projets en ingénierie sont intégrés de la sorte: un projet de voiture tout-terrain en matériaux composites de Sherbrooke a intégré des étudiants des HEC de Montréal et de l'école de design de l'UdeM. Intégrées "verticalement", à tous les niveaux d'études. Les projets de recherche universitaires sont vraiment stimulants. Mieux encore: souvent, des étudiants du bacc vont pouvoir y participer dans le cadre d'un cours à option dit "de projet" en 3e année. Dans les équipes de recherche, on retrouve souvent pêle-mêle des professeurs, étudiants post-doctoraux, étudiants au doctorat, chercheur libre (je l'ai été en 2001-2002), étudiant en maîtrise, étudiant "chanceux" au bacc, etc. On donne des responsabilités importantes: étudiant en maîtrise, je faisais la rédaction d'articles de recherche et j'ai même participé à un jury d'évaluation pour une conférence. Évidemment, grâce à l'intégration "verticale" du monde de l'enseigement au Québec, le parcours scolaire est compréhensible et logique; la continuité se fait bien entre le Cégep et le bacc par exemple. Pas de mauvaise surprise ou de "sauts dans le vide". D'ailleurs, un projet-pilote en Beauce prévoit le suivi des étudiants du primaire jusqu'à l'université. Reste à voir ce que ça pourra donner. Intégrées au monde de la recherche. Les grands instituts de recherche d'ici comme l'IREQ collaborent beaucoup avec les universités. Évidemment on pense à l'ingénierie. Mais il n'y a pas que ça dans la vie. À toutes les conférences internationales où je suis allé (et à celles où j'ai été invité mais dont j'ai décliné l'invitation), il y avait une présence québécoise. Comment se fait-il que les québécois soient partout? Ce n'est pas le monde de la musique, quand même! Il semble que les chercheurs québécois prennent part volontiers à des projets de recherche internationaux. Ici, les idées circulent publiquement. On publie beaucoup et on lit beaucoup. Ça fait avancer la recherche. Intégrées à l'industrie. En maîtrise en informatique, le tiers de mes collègues faisaient un projet de recherche en partenariat avec une entreprise. Cela allait du développement de simulateurs d'appareils électroniques à des "agents intelligents", des personnalités informatiques qui aidents les utilisateurs d'un logiciel. Tous y ont à gagner. Et l'étudiant commence à mettre les pieds dans le fameux "monde réel" (qu'on relance constamment au visage des universitaires, souvent à tort) avant la fin de ses études. Une de mes amies qui étudiait en anthropologie faisait un projet de recherche en partenariat avec plusieurs gros acteurs (gouvernement, entreprises, ONG): mesurer des jeunes filles pour évaluer l'incidence de l'anorexie. Le monde réel? L'étudiant québécois est déjà, souvent, un véritable citoyen et un travailleur. Finalement, certaines personnes pourraient prétendre que le monde de la recherche québécois est trop proche de l'industrie, ce qui pénalise la recherche fondamentale. Or, c'est TOUT LE CONTRAIRE qui se produit. Le Québec produit des quantités phénoménales de nouvelles idées, de découvertes médicales, d'innovations, de brevets. L'argument ne tient tous simplement pas la route. Il semble que des labos de recherche bien financée finissent toujours par donner des fruits, peu importe l'odeur de l'argent. Intégrées à la société. Il y a un réel désir au Québec de faire profiter toutes les régions de la présence universitaire. Présence qui amène des jeunes, des idées, une vie culturelle, des services "jeunes" comme les cafés et les bars, etc. Ainsi, chaque région a au moins son Cégep. On a fait des efforts réels pour ouvrir des universités un peu partout, pas juste dans les grands centres: Abitibi, Saguenay, Bas-Saint-Laurent, etc.
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J'apprécie bien ton approche méthodique. C'est une garantie de succès.
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Salut Freeman! Mais non, je te taquine!!! Je voulais soulever le fait que les mentalités sont différentes au Québec et en France. Au Québec, un parc = une forêt. En France, un parc = un jardin. Quoique en France il y a bien des réserves et des parcs nationaux (zones de conservation, grandes forêts, marais, dunes). De quoi ça a l'air?
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Le Canada, la porte arrière des États-Unis?
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Zut, je viens de me rendre compte que je vais aussi souvent chez BMR que chez Quincaillerie Pro. Deux magasins très semblable côté qualité et conseils. Je vous recommande donc aussi Quincaillerie Pro. C'est un réseau de quincailleries franchisées. http://www.proquincaillerie.ca/
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Non, mais y'a une immense croix illuminée, un belvédère superbe et tout plein d'écureils qui vivent là librement. Sans compter les tam-tam du dimanche sous le monument J.E. Cartier
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On peut rediriger ce fil de discussion vers l'Agence Spatiale Canadienne. http://www.space.gc.ca/asc/fr/default.asp Qui connaît les innovations faites par le Canada depuis 40 ans? Qui connaît le gros Alouette et la petite Anik? Les grandes (et petites) réalisations? Les projets futurs?