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Tout ce qui a été posté par Zogu
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Deux mots qui feront frissonner d'horreur ceux qui ont vécu l'hiver ici, et qui stationnent dans la rue ou même dans leur propre parking: LA GRATTE
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Salut cam&leon! En effet, avec un budget de 3000 Euro, tu auras quelques difficultés à te trouver une voiture et à l'équiper convenablement. On trouve de bonnes occasions à partir de 4000$ environ. Mais il faut les équiper et les entretenir! Si tu penses habiter Montréal, Laval, Longueuil ou la Ville de Québec, peut-être serait-il plus sage de prendre le bus. En tout cas... pour te donner un exemple: j'ai habité Montréal les 10 dernières années, et j'ai acheté ma première voiture l'an dernier. Ca fait 9 ans à prendre le bus et le métro. Des fois, c'est pas pratique (surtout la nuit: 1 bus par heure et pas de métro). Mais l'hiver, je ne m'en plains vraiment pas!!!!! Pour l'achat d'une voiture, en ville (ou ailleurs), il faut considérer quelques détails qui augmentent sensiblement les coûts d'achat et d'entretien... 1. Une bonne voiture usagée qui passera l'hiver peut très bien te coûter en deça de ton budget, mais évidemment ici les voitures durent moins longtemps que dans les contrées chaudes. En Californie, ils réussissent à faire survivre leurs voitures 25 ans... alors qu'ici, rares sont les modèles qui résistent si longtemps aux assauts des saisons. Bref, les voitures s'usent plus vite, et il faut les remplacer plus souvent. 2. La rouille, la rouille, la rouille!!! Sans traitement anti-rouille annuel, la combinaison de sel, de gravillons et d'humidité aura raison de la carosserie de n'importe quelle voiture qui porte déjà son âge. Petite rouille deviendra grande. Rapidement! Donc, acheter une vieille caisse défoncée et croire qu'elle passera l'hiver, c'est prendre un pari risqué. Mais bon... tu peux très bien rafistoler une vieille Nissan pendant un an, quoique ça risque de coûter sa valeur en réparations. 3. Les trous dans les rues. Au printemps, ça ressemble à Sarajevo 1994. Non, vraiment. Les poches d'eau glacées sous la chaussée dégèlent, la chaussée s'affaise, et ça créée les fameux nids de poules. Qui peuvent t'esquinter une roue vite fait. Que veux-tu... c'est le climat et les mauvais matériaux de pavage qui font ça. Alors comme dirait Laurence, deux saisons ici: l'hiver et les travaux routiers. 4. Les assurances. Pour les filles, ça va, mais pour les gars, les assurances auto coûtent très cher. Si toi et ton copain voulez conduire tous les deux le même véhicule, le truc consiste à t'enregistrer comme premier chauffeur, et lui comme chauffeur occasionnel. Ca minimise les coûts. Mais attention aux fausses déclarations... si c'est lui qui conduit tout le temps, ça va se savoir. 5. La bagnole, faut la faire immatriculer. Faut la stationner (pas facile l'hiver, en ville). Si tu ne t'en sers pas souvent, et que tu habites Montréal, et que tu stationnes dans la rue... tu devras la déneiger et la changer de côté de rue tous les matins avant 9h00 !!! Eh oui... l'alternance des parkings, afin de permettre le déneigement des rues. Les règles nébuleuses et changeantes des parkings à Montréal rendraient fou même le grand Lao Tseu. 6. Déneiger son char (et le sortir de son tas de neige verglacée): jusqu'à 1 heure de plaisir. Répéter 2 fois par jour. 6. Les maudits accessoires. 2x4 pneus à alterner. Le balai-grattoir pour déneiger les vitres (alias Oskar). La pelle à neige en plastique. La pelle à neige en métal ou en fonte. Les tapis sauve-pantalons (je vous laisse deviner à quoi ils servent). Les traction-aids (indice: quand t'es pris dans la neige, il te faut... des rails). Le liquide dégèle-serrure. Le lave-vitre hivernal pour -30C. Le changement d'huile automnal (ça prend de l'huile différente l'hiver). Et ainsi de suite. Pour les paranos (comme moi): la couverture thermale d'urgence. La lampe de poche avec clignotant. Et ainsi de suite. -Hugo
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J'ai connu un parisien qui est arrivé à Montréal à l'automne 2000. En 4 mois d'hiver, il a détruit 3 fois sa voiture (accidents avec perte totale). A chaque fois, il rachetait une vieille bagnole pourrie et l'équipait avec des pneus les moins chers possibles. A chaque fois, il conduisait très très serré dans les bouchons de trafic le matin, et il finissait par perdre le contrôle et sa voiture finissait encastrée dans une bordure de béton. Sa conclusion: Les québécois sont de très mauvais conducteurs. A méditer. -Hugo PS: 4 bons pneus d'hiver, ça vous coûtera environ 375$ (pose comprise). Votre vie vaut-elle 400$ dollars bien placés? Je l'espère.
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Lettre à mes amis africains par Monikebek
Zogu a répondu à un(e) sujet de Laurence Nadeau dans Québec
En effet! Je peux comprendre! C'est la même chose pour les gens qui élèvent des petits lapins dans un clapier, dans leur cour. C'est sûr qu'ils sont jolis, les petits lapins, mais à la fin on les mange. Par contre, pour les visiteurs qui viennent de familles où on a un joli hamster aux yeux doux, et où la viande provient d'un mystérieux animal sans visage appelé le "steak haché", le fait de tuer nos lapins est vu comme un vrai meurtre!!! Dans certaines cultures (en Corée par exemple) on les mange bien, les chiens. On en élève justement pour les manger. Et on en élève aussi pour être nos amis. Ce ne sont pas les mêmes chiens, tout simplement. Il serait mal vu de manger Rex. Et d'ailleurs, dans n'importe quelle ferme traditionnelle, on trouverait impensable d'élever et de nourrir des animaux si ce n'est pour les manger. Sinon, ce serait vu comme un véritable gaspillage de ressources! Pourquoi nourrir un chat quand on a tout juste assez de nourriture pour la famille? Forcément, on nourrit le chat pour ensuite le manger! Sinon ça n'a aucun sens. Nous avons passé trop de temps dans notre beau petit confort douillet et aseptisé... ça nous enlève notre capacité à comprendre ces réalités de la vie. -Hugo PS: Le cochon d'inde (un espèce de gros hamster) a déjà été à la base de l'alimentation des Incas. Il est encore, aujourd'hui, un met de choix dans les Andes. -
Hé là, c'est pas la brousse, c'est le Québec Secoue-toi le cocotier, mec, il faut te libérer de ces images romantiques du grand-nord !!!! N'importe quel véhicule tient bien la route (j'ai conduit une minuscule Hyundai Excel pendant 5 ans sans problème)... mais à condition de l'équiper de pneus d'hiver convenables! En effet, les pneus "toutes saisons" qui viennent avec un véhicule neuf, c'est pas mal poche, crois-moi. Le mieux c'est d'avoir 4 pneus d'été et 4 pneus d'hiver, sinon c'est le patinage assuré, peu importe le véhicule (4x4 compris)! Bref, l'important c'est pas le véhicule mais les pneus. Et si ça vous enchante... achetez-vous un gros 4x4 et flambez votre paye en faisant le plein d'essence... et de toute manière vous ne sortirez probablement jamais de la route avec votre gros monstre, alors à quoi bon? -Hugo, réaliste et vigoureusement anti-pollution
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Voici donc deux réponses pour le prix d'une 1. "Il vente à écorner les boeufs" (prononcer "beuh") Nos ancêtres agriculteurs, qui n'avaient pas sous la main des antibiotiques ou des désinfectants, devaient faire attention à leurs animaux de ferme. Donc, quand venait le temps de couper les cornes des boeufs (afin qu'ils ne se blessent pas entre eux), ils attendaient une journée de grands vents. Les grands vents gardaient les mouches loin des pauvres boeufs, ce qui réduisait de beaucoup les infections et les asticots dans la têtes de ces bêtes. L'expression est demeurée surtout à cause de son impact visuel (on imagine un vent si fort que les boeufs en perdent leurs cornes!) 2. "Échanger 4 trente sous pour une piastre" (prononcer "piass") Un peu d'éthymologie. "Piastre" vient de l'italien "piastra" et s'est glissé dans le vocabulaire français à la fin du XVIe siècle. Pour les italiens, "piastra" était le nom de la monnaie de plusieurs pays, en ayant l'acception littérale de "plaque de métal". Au Québec, "piastre", mot de langue populaire, s'est rapidement substitué au "Louis" français d'avant la conquête (interdit d'usage dès 1763) et au "dollar" anglais après la conquête. Une manière de protester contre la présence anglaise? (En passant... le mot "dollar" est une déformation the "thaler", qui vient du germanique "-thal" signifiant "vallée" comme dans "Neanderthal", "vallée du nouvel homme". Il s'agissait de pièces de monnaie pressées dans une vallée de Bohème.) Comme quoi, les mots voyagent beaucoup. Quant au "trente sous"... c'est encore un artefact de la conquête britannique. La Livre anglaise valait 120 sous, la pièce valant 1/4 de une Livre valait 30 sous. Comme elle avait approximativement la même forme que le 25 cents moderne, le nom est resté. Pour revenir à notre jolie expression "Échanger 4 trente sous pour une piastre". Sachant que 4 x 25 cents = 1 dollar. Cela signifie faire un échange complètement inutile; autrement dit "c'est du pareil au même". -Hugo, linguiste à seize heurts (hohoho ouch)
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C'est pour cela que tant de personnes vont étudier en Communication... c'est agréable, ça permet d'approfondir ses qualités humaines, et ça ne mène nulle part en particulier. Sauf que, curieusement, la plupart se trouvent un bon emploi!!!! C'est l'un de ces mystères de la vie, comme le caramel mou dans la Caramilk. Faut croire que les gens heureux font de bons employés! Quant à ceux qui deviennent ingénieur civil ou actuaire après avoir lu un Guide de l'Emploi ou des statistiques de placement/salaire... j'en connais justement deux qui ont frappé un mur. L'un est en dépression sévère parce qu'il s'est rendu compte qu'il déteste son emploi, l'autre n'a jamais utilisé son diplôme et sa certification, car il s'est recyclé en informatique! -Hugo
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S'cusez, avant que quelqu'un (prof JayJay?) ne relève ma bourde: Je voulais écrire "VILLE LEMOYNE", j'ai écrit "Ville Emard"... oups! L'un est dans Longueuil, l'autre est dans Montréal. On l'aura constaté en consultant la carte municipale sur le site de Ville de Longueuil... Paix et rigueur, -Hugo
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Salut! En effet, je me rends compte qu'on a très peu de paperasse à signer ici lors d'une embauche. Généralement, on se fait remettre dans les jours qui suivre une lettre qui résume et confirme les clauses d'embauche (titre, heures, salaire, vacances, avantages sociaux). C'est plutôt après la période d'essai qu'on doit signer des trucs (papiers pour les assurances, etc). En fait, il faut donner son info personnelle pour la paie (adresse, etc.) mais un super-contrat, y'en a pas. Au ouais... aussi, lors de la mise à pied, il faut souvent signer des clauses de confidentialité et des promesses de ne pas aller vendre des infos à la concurrence... pourrait-on appeler cela le "contrat de débauche" (par opposition au contrat d'embauche) HOHOHO C'est drôle, étant québécois je ne m'étais jamais posé la question... mais le seul "contrat officiel" que j'aie eu à signer c'était en tant que consultant. Alors en France ils vous composent un machin super pompeux? -Hugo
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Houlala, faites bien attention de ne pas considérer les grosses villes comme Longueuil comme des entités uniformes!!!! Ces villes-régions (Longueuil, Laval, Montréal, Terrebonne, Gatineau, Saguenay, ...) sont issues de la fusion d'anciennes petites villes très hétérogènes. Par exemple, vous serez surpris que Greenfield Park est une enclave traditionnellement riche et anglophone, au sein d'une région pourtant largement francophone. En fait, chaque secteur de Longueuil est très différent des autres alors pour ceux qui demandent "c'est comment, Longueuil?" je réponds par une autre question: "de quel longueul parlez-vous exactement?" Dans le site web de la Ville de Longueuil, dans la section "statistique", il y a des données intéressantes sur les secteurs de la ville. Entre autres, les données de richesse et les données linguistiques. http://www.longueuil.ca/vw/asp/gabarits/Ga...5751&CAT_RAC=12 Quelques notes sur les secteurs... Vieux-Longueuil Densité de population élevée. La vieille-ville est jolie, le centre-ville contient de gros buildings. Les sections périphériques comptent plusieurs coins tranquilles avec de petites maisons. Un bon choix, vu la proximité des services et des transports. Boucherville Un secteur large et calme, à proximité de l'eau. Marina, parcs, piste cyclable. Le seul endroit de la région où les berges du fleuve ne sont pas gâchées par la route 132. Très largement francophone. Saint-Lambert Riche petit secteur peuplé de consultants et de managers. L'anglais ne domine pas mais fait pression. Maisons très coûteuses, ambiance stressée, klaxons, épiceries new-age et soins du caniche. Ville-Émard Petit secteur anciennement ouvrier, situé (ironiquement) juste à côté de Saint-Lambert. On peut imaginer les ouvriers pauvres qui vivaient à 2 rues de leurs patrons. Assez déprimant comme coin. Greenfield Park Enclave traditionnellement anglophone et fière de l'être. Même s'ils sont désormais minoritaires, les anglos en imposent. Aristocratique... mais heureusement, le brassage des populations favorise l'usage du français. Saint-Bruno Comme Boucherville, moins le fleuve, plus les champs. Bucolique, mais commence à être pas mal peuplé. Gros centre commercial. Saint-Hubert Aéroport civil-militaire ayant une importance stratégique. Contrairement aux autres secteurs adjacents, cette ville a un secteur industriel développé et donc ne dépend pas nécessairement de sa proximité à Montréal pour exister. Moins "banlieue" que le reste. -Hugo (qui a une blonde de Boucherville et une Blanche de Chambly hoho)
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Ca décoiffe, croyez-moi! Le printemps, LE VRAI, vient d'arriver en COUP DE VENT! Il fait 23 degrés sur Montréal et le ciel est d'un bleu profond, devenant de plus en plus foncé en cette superbe fin de soirée (idéal dit-on pour observer ces deux comètes qui se voient très bas vers l'est en début de soirée, dans la constellation Cassopée). http://www.skynewsmagazine.com/pages/maycomets.html Mais là, ce soir... Il vente à écorner les boeufs! (10 points bonus à celui ou à celle qui sait les origines de cette expression... moi je sais ) De gros tourbillons de poussière, avec des rafales à 75 km/h, qui soulève quelques vieux papiers journaux et des feuilles mortes de l'automne passé. Mon manteau s'en va chez le nettoyeur à sec... et puis je le range pour 6 mois! BON DÉBARRAS!!! Soyez heureux, hein, là!!! -Hugo
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INFOS DE LA PLUS HAUTE IMPORTANCE sur Radio Québec Libre Putsch sur la Grande Allée: le Conseil Révolutionnaire de Québec déclare la guerre au Labrador. On annonce une charge d'orignaux imperméables sur la forteresse de Goose Bay. La SQ abat 12 avions CF-18 au moyens de matraques et de poivre de cayenne. Charest en fuite, probablement réfugié à Sigmaringen. Autres informations à venir... Je répète... Putsch sur la Gr... *crrrrrrrrr*
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WINDOWS: Will Install Needless Devices Over Whole System Mais je suis conscient que nous nous éloignons du sujet de cette discussion... en rigolant.
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Trouvez-vous une bonne banque canadienne côté placements (Banque Nationale, Banque Royale, CIBC) et surtout, prenez rendez-vous avec un conseiller financier. Il/elle va vous expliquer les types de portefeuilles disponibles au Canada. Souvent il existe des comptes de placement sans frais de gestion. C'est très avantageux! Chaque portefeuille est classé selon son degré de risque (1 à 9)... ils vont faire votre profil de risque et vous expliquer comment diversifier votre portefeuille. En tout cas, à la CIBC, j'ai toujours eu un excellent service. Et un signe qui ne trompe pas: la rentabilité annuelle de mon portefeuille est toujours au-dessus de 15%. Merci madame B., ma conseillère!!!! Sans elle j'aurais probablement investi dans Enron ou dans Bombardier... -Hugo PS: Il est bon de placer entre 1000$ et 7000$ dans vos REER à chaque année, si votre salaire est au-dessus d'un certain seuil minimal. Cela vous permet de placer cet argent hors-impôts (donc de réduire votre masse salariale imposable). Vous pouvez utiliser votre REER lors de l'achat d'une maison (RAP) comme un prêt à vous-même... et de toute manière les REER servent à préparer votre rente de retraite. Ma blonde m'a expliqué tout cela, moi qui ne comprenais rien à l'argent.
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Toi, on va te gaver dès ton arrivée... Tu ne pourras même plus gravir le mont Saint-Bruno!!!!!
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J'ai fait une mise en contexte, afin d'expliquer que cette certification est actuellement au centre d'un litige. Les faits que j'ai présentés sont ceux qui ressortent du dossier géré par la cour fédrale et par le Conseil des Ingénieurs du Canada. Si tu n'es pas d'accord, tu peux toujours leur dire à quel point tes opinions te sont importantes. Évidemment, tu as une meilleure compréhension qu'eux de ce dossier juriqique canadien. -Hugo
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Sacrilège!!!!! Vouloir remplacer le fromage qui fait "squick squick" par du vulgaire mozz... Ca ferait une purée abominable. Ce serait comme mettre des carottes au lieu des patates dans le gratin dauphinois, si vous voyez ce que je veux dire! SACRILÈGE!!!! LOL LOL
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En effet... je vois que tu ne t'es pas renseigné sur la réalité québécoise.
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En passant, dans la revue Jobboom du mois dernier, ils disent que la ville de Saint-Sauveur veut équiper son territoire de connections Internet haut débit, de fibre optique et de WiFi, afin de stimuler l'arrivée de travailleurs autonomes! Bref, le paradis... Évidemment la ville commence à être passablement défigurée, because les banlieusards du week-end exigent l'asphalte et le boulevard de McDo et La Cage Aux Sports... mais ça demeure un beau coin. Quant aux maisons/chalets au bord des lacs... oublie ça... les maisons sont hors de prix, et les chalets (même petits et pas isolés) sont rendus plus chers que votre futur bungalow familial. -Hugo
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Euh... j'ai quelques cordes à mon arc, mais je ne joue pas encore de la harpe. En toute modestie, -Hugo
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Bon, pour en finir avec les mots supposément irrespectueux, etc., etc., ... Voici deux livres (un essai humoristique et un roman) qui ont été écrits sur le sujet des "-oune" québécoises par Francine Allard. Madame Allard est une excellente écrivaine, et aussi une connaissance dans le domaine littéraire (elle m'a déjà remis un prix de poésie)... Madame Allard se proclamme elle-même à la fois toutoune ET poupoune. Si vous arrêtez pas de vous engueuler, elle va venir vous tapocher. MA BELLE PITOUNE EN OR Éditions Stanké, 1993 http://www.ratsdebiblio.net/allardfrancine.html DÉFENSE ET ILLUSTRATION DE LA TOUTOUNE QUÉBÉCOISE Éditions Stanké, 1992 http://felix.cyberscol.qc.ca/LQ/auteurA/al...f/defen_fa.html
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C'est un film drôle, profond et très joli à regarder. Les images sont à couper le souffle et la ville de Harrington Harbor a été à peine maquillée pour devenir "Sainte Marie la Mauderne". A ne pas manquer: la "maison laide". Personnages attachants, petites trouvailles rigolote (comme le billet de 5$ qui apparaît tous les soirs près du nain de jardin), situations hilarantes (tout le monde se souviendra du 'pied d'athlète galopant'... c'est passé dans nos expressions favorites). L'histoire se présente autant comme un conte léger que comme une histoire "réaliste". L'humour est tout en douceur, et s'il y a quelques bons sacres bien appuyés, en général c'est de très bon goût. Il y a bien quelques faiblesses et quelques longueurs, mais dans l'ensemble c'est une grande réussite! Quant à l'accent québécois (qui fait souvent peur aux français-qui-ont-l'oreille-rigide)... probablement pas plus prononcé que celui de n'importe quelle région de la francophonie, y compris Paris Pour plus de commentaires du public, allez voir sur CinemaMontreal.com : http://www.cinemamontreal.com/aw/crva.aw/p..._seduction.html et visionnez les 893 critiques (la plupart positives) laissées par les visiteurs -Hugo
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Faudrait que je dise ça à la Vénus de Milo à tiroirs de Dali.
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Les étudiants canadiens de plus en plus endettés
Zogu a répondu à un(e) sujet de Laurence Nadeau dans Québec
Toujours curieux, les rapprochements qu'on peut faire entre le Canada et l'Irlande... sur plein de niveaux autant sociaux qu'économiques. Par exemple, l'Irlande comme les Canada sont des hauts-lieux de l'industrie de la traduction. Ils sont autant nos cousins que les français, ces chers irlandais! -Hugo -
Montana parle des pitounes de bingo, je l'ai vu faire l'autre soir dans la salle paroissiale.