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Tout ce qui a été posté par Zogu
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Eh bien Phil, on dirait que Guy A Lepage abonde dans notre sens!!! Lorsqu'il parle des 1600 chansons produites au Québec pendant l'année... et des 86 chansons qu'on entend ad nauseam à la radio.
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Il y a du tennis intérieur à Montréal dans la plupart des centres sportifs: CEPSUM, centre Claude-Robillard, etc. Et il y a des centres privés qui offrent le tennis intérieur: par exemple le "Tennis 13" à Laval, qui est très gros. La plupart des villes, même les plus petites, ont des terrains de tennis extérieurs. Tiens... à Mascouche (25000 habitants) où j'habitais, il y avait 6 terrains avec des cours de perfectionnement et du tennis libre tous les soirs (pour les citoyens). Et au Bic (2900 habitants), où j'habite actuellement, il y a 2 terrains. Donc dans ton coin il doit au moins y avoir un parc qui a des terrains de tennis municipaux!!!
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C'est pas nouveau... et tu as absolument raison, Phil. Dans les années 80 et 90, il y avait un concours nommé "L'empire des futures stars". Eh bien, lors de la "sélection", ils rejetaient tous les groupes ou artistes qui ne faisaient pas dans la pop accessible, style Beau Dommage ou Luc de la Rochelière. Les gagnants: des groupes faciles à oublier comme "Les Parfaits Salauds" et des chanteuses pop-révoltées-radiophoniques comme Laurence Jalbert. Bon... ce concours a quand même découvert "Les Colocs". Mais je suppose qu'on les aurait connus de toute façon! Mais les musiciens qui avaient un son métal, techno, alternatif, punk, etc. étaient tenus à l'écart de ce concours. Ils ont même lancé un concours parallèle, "L'empire des refusés" (clin d'oeil au "Salon des refusés") qui a tenu la route pendant quelques années. La scène alternative a toujours été vivante à Montréal (mais surtout au début des années 90). Dommage que si peu d'espace médiatique soit laissée aux groupes qui ont un son vraiment original. On pourrait espérer que le gala de l'ADISQ leur donne au moins 1 ou 2 catégories. Mais trouveraient-ils des juges compétents?
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Je crois que tu aimerais le racquetball... il faut finesse, stratégie et précision! Et il faut bouger tout le temps!!! Aucune idée! C'est probablement américain. En passant, c'est un sport qui n'a pas une très bonne image médiatique... surtout à cause des films américains, qui présentent toujours les jours de racquetball comme des monsieurs dans la quarantaine, bedonnants, qui cherchent à perdre du poids et qui suent comme des cochons. Par contre, tous les jours que j'ai connus étaient athlétiques et certains jouaient aussi au tennis, au badminton ou au squash. Donc il y a forcément un décalage entre la caricature et la réalité. À Montréal on peut jouer au racquetball et louer de l'équipement (raquettes, balle, lunettes de protection) au CEPSUM et dans des centres sportifs privés...
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Le Québec s'est doté dès 1964 de législation visant à protéger les citoyens en cas de grève dans des "services essentiels". La grève de la police de Montréal en 1969 a accéléré le processus; cette grève a été catastrophique avec des émeutes, du pillage, des fusillades et quelques morts. Pour votre information, le gouvernement de Duplessis (farouchement anti-communiste, frôlant même la paranoïa) a empêché l'installation du syndicalisme au Québec (gève et répression sanglante dans le secteur de l'amiante, en 1949); la loi dite "du cadenas" visait à empêcher la syndicalisation. Dans la période post-Duplessis ("révolution tranquille"), avec l'installation durable du syndicalisme dans les années 1960 au Québec, la société a dû s'adapter et encadrer les syndicats; comme je le disais plus tôt, une "écologie du monde du travail" s'est installée. Voir aussi l'historique du Conseil des Services Essentiels du Québec: http://www.cses.gouv.qc.ca/legislation/
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PoM, je suis plutôt en accord avec tes opinions. Rien ne sert de faire l'autruche: il y a un problème de qualité du français, ici comme ailleurs. Nous constatons surtout une dégradation de la qualité de l'enseignement du français au Québec (par les écoles mais aussi par les médias, qui eux aussi nous "enseignent" en quelque sorte la langue). Nuance: la langue que nous parlons ici n'est pas pire que celle que nos grands-parents parlaient. Simplement, nous acquérons de nouvelles mauvaises habitudes et nous faisons de nouvelles fautes. Autres temps, autres travers... Sauf que, contrairement à nos grands-parents, nous avons tous les moyens (politiques, sociaux, économiques) pour protéger notre langue et pour bien l'enseigner... donc, nous n'avons plus d'excuse!!! Finie la domination politique par les anglais ou l'affichage unilingue sur les produits. Finie l'éducation des élites... les différences socio-économiques, bien que présentes au Québec, ont quand même été réduites depuis les années 1960 (accès dit "universel" à l'éducation... même si dans les faits, il y a de fortes inégalités... voir dans les milieux modestes ou dans les régions éloignées). Une première étape est donc d'accepter qu'il y a un problème de qualité dans la langue usuelle, donc, de ne pas se mettre la tête dans le sable. Et cela vaut pour tous les francophones, pas juste les québécois (comme nat92 l'a fait remarquer). La pression de l'anglais est forte; la "popularisation" des médias (prévue par Andy Warhol) a ouvert la porte à des modes d'expression "verbalement pauvres" (lignes ouvertes, télé-réalité, omniprésence de la langue populaire dans les émissions, valorisation d'un parler déficient). Une seconde étape est donc de prendre des dispositions. Rien ne sert de tomber dans le défaitisme ou dans le "j'suis nul, je reste nul". Personne ne naît avec une parfaite maîtrise de la langue et un Bescherelle à la place du coccyx. Il y a une volonté réelle d'améliorer la qualité de la langue... chez certaines personnes seulement. Les autres disent "cé pa grave tou le monde me compran anyway k k k ;0". Moi, ça me fait ch**r quand je me rends compte que j'ai fait des fautes dans un message écrit; des fois, j'aimerais que l'option "Modifier" dans ce forum nous permette de revenir éditer un message même une semaine plus tard... ne serait-ce que pour corriger des coquilles ou des fautes d'accord de verbe. Il me semble qu'un message rempli de fautes ou de phrases mal foutues est une bien piètre vitrine de nos idées et de nos convictions. Bref, il est de notre devoir, nous qui sommes conscients des lacunes dans l'enseignement de la langue et dans son usage, d'agir. Il faut talonner les médias qui utilisent la facilité comme argument de vente, harceler les commerçants qui massacrent la langue par laxisme ou en voulant économiser sur la rédaction, demander des comptes au ministère de l'éducation (NOUS sommes sa source de financement). Ce n'est pas en crucifiant un individu ou un petit groupe de personnes sur la place publique qu'on arrivera à quelque chose. Si le futur enseignant a obtenu son diplome sans être capable d'écrire une phrase complète, c'est surtout de la faute au monde de l'enseignement. S'il échoue parce qu'il est médiocre, c'est de SA faute... mais s'il réussit tout en étant médiocre alors c'est de la faute au MEQ. Franchement! Pourquoi en sommes-nous rendus là? Je crois que les médias, en tentant d'être un reflet de notre société, font fausse route. C'est sûr que ça vend, le populisme à deux sous... mais l'effet de rétroaction est insidieux et à force d'entendre des animateurs de radio parler comme des crétins, ou de lire des articles bâclés dans des journaux pourtant sérieux, le citoyen est contaminé par sa propre médiocrité, amplifiée par les médias. C'est ce qu'on appelle le nivellement par la base. Des exemples? Dans le journal La Presse la semaine dernière, un article qui contenait trois fois le verbe "réaliser", utilisé comme un calque de l'anglais. "Le ministre a réalisé qu'il avait tort." Dans une circulaire de Quincaillerie PRO, on annonce un "adapteur pour collecteur de poussière". Il faut écrire "adaptateur". À la radio, dans une publicité altermondiste, on annonce une pétition contre la "globalisation". Or, c'est un anglicisme; il faut dire "mondialisation". On peut toujours grincer des dents jusqu'aux gencives lorsqu'on relève ces fautes. À quoi ça sert? On se plaint, on en parle, on chiâle en groupe, on entend l'écho des béni-oui-oui ou la rengaine des iconoclastes... et rien ne change. Je dis: nous vivons à l'ère des communications. Rien ne nous empêche d'écrire un courriel à qui de droit, pour les encourager à corriger leurs fautes. Je le fais régulièrement; ça fait du bien... et parfois (je dis bien parfois) les choses finissent par changer.
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Ben des grèves il y en a toujours eu ici. Heureusement, depuis les années 1960, on peut faire la grève sans se faire battre à mort par la (défunte) escouade anti-syndicale. J'ai été touché personnellement par des journées de grève de la STM (autobus de Montréal) en 1994 et en 2002. Dans le premier cas j'ai été obligé de marcher 4 km sur l'avenue du Parc parce qu'il n'y avait plus de service. Dans le second cas, la flotte d'autobus perturbait la circulation au centre-ville et j'ai été pris pendant des heures dans des bouchons. Je ne crois pas qu'il y ait plus de grèves qu'avant (ou moins, en l'occurence)... qu'on pense à la longue, l'interminable grève des infirmières en 2001. Ou à la grève des chargés de cours d'université (en quelle année déjà, 1998?) Ou aux quelques grèves de professeurs de la dernière décennie. Les grèves font partie de l'écologie du monde du travail Il y aura peut-être des remboursements après la grève. C'est déjà arrivé à Montréal: en 2003 on a eu droit à un remboursement pour 1 semaine sans service (février 2003... me souviens plus pourquoi le service avait été suspendu).
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Ce qui me fait vraiment rigoler c'est qu'il y a des tonnes de fautes d'orthographe dans ce fil de discussion...
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Je ne peux pas répondre à ta question sur les 6 mois de travail. Comme ce n'est pas du travail rémunéré, j'imagine que c'est moins évident. Par contre je peux te parler du merveilleux monde de l'édition et de la distribution de livres au Québec. Il n'est pas évident d'assurer des canaux de distribution outre-Atlantique. Et cela marche dans les deux sens! Si tu as signé avec une maison d'édition qui distribue elle-même, et que celle-ci a un bureau au Québec, alors c'est sûr que tu sera distribuée ici. Mais que se passe-t-il si tu as signé avec une petite maison d'édition? Ton livre ne traversera pas l'Atlantique... et ça sera très difficile de le faire rééditer ici. C'est que, vois-tu, les maisons d'édition québécoises sont assez pauvres financièrement et elles dépendant des subventions fouvernementales pour leur survie. La plupart refuseront carrément d'éditer un livre qui a été écrit hors-Canada, ou qui a été écrit par une personne ne résidant pas ici. Pourquoi? Eh bien, elles n'auront pas un rond de la part des gouvernements! Cela fait une sacré différence: le gouvernement paie les taxes sur l'impression et la reliure du livre (15%). Et il majore de 20% les intrants déclarés pour la vente du livre. Donc pour un livre avec un budget de 7000$ (disons un tirage de 2000 exemplaires), vendu à 16$ l'unité (retour sur vente de 12$) x 1000 unités (donc 1000 exemplaires vendus), et dont les coûts d'impression étaient de 2000$ (taxes incluses), le gouvernement retourne à l'éditeur 260$+2400 = 2660$. Cela réduit donc les coûts de production d'autant, et cela génère donc une entrée d'argent de 12000$ (retour ventes) + 2660$ (subventions) = 14660$. Par conséquent, si ton éditeur français ou belge ne distribue pas le livre au Québec, ce sera à toi d'obtenir le droit (auprès de ton éditeur) de le faire imprimer et distribuer ici par une maison d'édition québécoise... mais bonne chance, ce n'est vraiment pas évident! Certaines maisons d'édition québécoises établissent plus volontiers des ententes avec les maisons européennes, par exemple, les éditions Stanké. En passant... si tu écris un second livre qui sera édité au Québec, tu pourras faire partie de l'UNEQ et être reconnue comme auteure québécoise, avec tous les avantages que cela apporte. (PS: Il y a une coquille sur ta page web: "Edtitions de la Page")
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C'est qu'il y a des gens qui disent vraiment (mais alors vraiment) n'importe quoi pour critiquer le Québec. Alors forcément, à la longue, on devient moins tolérant envers les critiques tout azimut. Par exemple, quelqu'un qui chiâlait à propos du prix des restaurants supposément plus élevés qu'à Paris, un autre qui se plaignait qu'il ne trouvait que des hamburgers, un autre qui trouve que le canadiens n'ont rien à dire et qu'ils sont des tarés obsédés par leur barbecue, sans compter les dizaines de personnes qui disent que les québécois sont aculturés. Je le répète: à la longue c'est éreintant cette avalanche de critiques souvent de mauvaise foi et mal renseignées... et ça nous enlève le goût d'aider les immigrants. Pourquoi aider ceux qui crachent dans la soupe?
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La racquetball est moins éreintant que le squash: il suffit de taper légèrement sur la balle pour qu'elle parte à rebondir dans toutes les directions. C'est moins dur physiquement... mais bon dieu que ça aiguise les réflexes!!!!!! C'est que la balle est plus grosse et faite d'un caoutchouc bleu déformable, donc, ça rebondit en titi! Didtrezegol, si tu aimes le squash, je te recommande d'essayer le racquetball. Je connais des gens qui jouent aux deux sports; ça leur permet de varier entre la force physique et la rapidité.
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Cycle normal dans l'immobilier: après une période de disette économique, l'immobilier s'essoufle car les gens manquent d'argent. Surtout que les taux d'intérêt ont monté un tout petit peu... et chose incroyable, ça a suffi pour mettre des gens à la rue. Des fois je me demande... si on a la capacité de payer une hypothèque de 2000$/mois sur une gigantesque maison, ce n'est pas absolument obligatoire de le faire! Sinon à la moindre hausse des taux, bang! on ne peut plus payer! Sinon eh bien, à Montréal on continue à construire des unités de condo et à convertir des appartements en condo... alors le marché devient un peu saturé. Mais comme je l'ai écrit, il y aura ajustement du marché, mais pas de baisses draconiennes. Ca va juste être un peu morose pendant quelques temps.
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C'était prévisible... j'ai bien profité de la vague lorsque j'ai vendu mon condo. Mais ça ne redescendra pas aux niveaux pré-2001.
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Dommage... les profs qui m'ont enseigné pendant 6 ans à l'UdeM écrivaient tous dans un français impeccable. Même l'ineffable Paul "yard of ale" Bratley, d'origine écossaise et avec l'accent qui va avec, écrivait sans faire de fautes! Dommage, donc, que la nouvelle génération de profs écrive si mal.
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Lisou, le racquetball est un sport d'intérieur qui ressemble au squash. Ca se joue à deux joueurs (parfois à 4 joueurs ) dans un court fermé, et tous les murs font partie du jeu. En gros, ça se joue comme la balle au mur (pelote basque) mais avec des murs latéraux et un mur de fond. La balle est élastique et l'espace est confiné, alors tu peux imaginer... c'est très rapide, stratégique et intense. Après avoir joué au racquetball, je trouve le badminton si lent! C'est un sport qui peut être spectaculaire. Certains joueurs sont littéralement capables de grimper sur un mur pour frapper une balle qui arrive sous eux. Voici les règlements: http://www.racquetball.ca/en/technical/reglements.html
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Quand je suis "sportif de salon" (ce qui est assez rare), j'aime bien écouter les sports suivants à la TV: - le hockey de la LNH - les grandes séries de hockey, genre Canada-Russie - finales de soccer/football Sinon, du côté des sports "en personne", que j'aime pratiquer: - volleyball (sur surface dure -ou- volley de plage) - racquetball - badminton - quilles (les grosses) - équitation - randonnée Facile de pratiquer ces sports au Québec...
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En fait, pour comprendre l'argument des fédéralistes, il faut changer l'argument de côté: en cas d'indépendance du Québec, c'est probablement le CANADA qui ne serait plus viable économiquement!!!
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Si ton employeur a correctement géré tes retenues à la source, et si tu as eu une seule source de revenu stable pendant l'année, alors tu n'auras pas à payer de supplément. Mieux encore: avec les REER et divers programmes fiscaux, tu pourrais en récupérer un peu.
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La devise "Je me souviens" a été écrite par Taché en 1880. Il voulait ainsi que les québécois n'oublient jamais leur nature et leur origine. Donc la pemière version de la devise, la seule qui soit juste, existait en elle-même (sans un d'autres phrases ou vers). Taché a "recyclé" cette devise dans deux phrases commémoratives (une pour une oeuvre sculptée et une pour une médaille de la ville de Québec): 1908: "Née sous les lis, Dieu aydant, l??uvre de Champlain a grandi sous les roses" 1908: "Née dans les lis, je grandis dans les roses" Cela n'enlève en rien le sens original de la devise. Quant à ce tryptique: "Je me souviens / Que né sous le lys / Je croîs sous la rose" Il est introuvable dans les archives nationale et n'a probablement aucune valeur historique; en gros, il a été "inventé" par le président de la United Empire Loyalists? Association of Canada, en 1994 pour justifier le NON au référendum national. Il est dommage que le "je me souviens" ait été détourné de son sens original pour devenir un acte de soumission au colonialisme britannique. L'interprétation suivante est bien entendu incorrecte: "je me souviens que, sorti du giron français, j?ai grandi sous la protection de l?Angleterre" (sic) Voir cet excellent article: http://pages.infinit.net/histoire/mythe.html
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As-tu appelé l'OIQ pour prendre contact et poser des questions, comme cela t'a été suggéré par plusieurs personnes déjà (dans d'autres fils de discussion)?
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Trudeau est atrocement laid (l'aéroport, pas le politicien), exiguë, vétuste et débordé. Mais il a l'avantage d'être situé très proche du centre-ville de Montréal.
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En passant... les comparaisons avec la Corse, la Bretagne ou le pays Basque sont éculées (et franchement insignifiantes). Si l'on voulait faire trouver des situations un peu plus similaires au niveau des peuples, des cultures, du pouvoir politique, il faudrait plutôt regarder: - la Catalogne - l'Écosse
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Beaucoup de pistes de ski de fond autour de Montréal. Et même SUR l'île de Montréal (même si les pistes sont assez limitées). On dit "ski de fond" ou "ski de randonnée" (si ça peut t'aider dans tes recherches). Étant un gars de la rive-nord, je peux te donner quelques réseaux de pistes intéressants. La région de Lanaudière (juste au nord de Montréal) est idéale pour le ski de fond: de plaines, des coteaux, des pentes douces. Quand j'étais enfant, j'ai fait souvent les pistes de la ville de Mascouche (40 km de pistes, dont une traversée de la rivière sur la glace et un sentier qui passe près du vieux manoir seigneurial)... mais je ne sais pas si ces sentiers existent encore. Il faudrait appeler au service des loisirs de la Ville de Mascouche. Sinon voici plusieurs liens vers des pistes à faible distance de Montréal: Montréal: http://www.bonjourquebec.com/francais/cms/...ts/5967417.html http://www.bonjourquebec.com/francais/cms/...ts/5967173.html http://www.bonjourquebec.com/francais/cms/...ts/5966739.html http://www.bonjourquebec.com/francais/cms/...ts/5963883.html Laval: http://www.bonjourquebec.com/francais/cms/...ts/5925400.html Lanaudière: http://www.bonjourquebec.com/francais/cms/...ts/5905104.html http://www.bonjourquebec.com/francais/cms/...ts/5903247.html Montérégie: http://www.bonjourquebec.com/francais/cms/...ts/5961146.html
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Ce sujet a déjà amplement été discuté dans des fils de discussion passés. Veuillez faire une recherche sur immigrer.com et vous trouverez des tas d'opinions, quelques analyses et assez peu d'information. En général, certaines personnes finissent par dire des niaiseries disgracieuses et le sujet vire en engueulade. L'indépendance du Québec se fera, ou ne se fera pas... c'est une belle lapalissade mais ça résume tout. Et peu importe le résultat, ce sont les citoyens québécois (au moment du choix) qui décideront. Bref ça sent encore la discussion stérile. Pour ma part, j'ai assez donné.
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Le vent le plus glacial que j'aie connu, c'est celui qui remonte la côte de la rue McGill, au sud de René-Lévesque. Atroce!!! Et dire que j'ai travaillé en bas de cette côte pendant 3 hivers...... 1 km de marche, de la station Square-Victoria jusqu'à la porte de mon bureau. Heureusement, je pouvais arrêter prendre un café au Cartet, à mi-chemin. Mais sérieusement, on se les gèle en titi dans le Vieux-Montréal et dans le Vieux Port, quand le vent vient du fleuve.