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O'Hana

Chroniqueur(e) immigrer.com
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Tout ce qui a été posté par O'Hana

  1. Ton CAP-BEP devrait correspondre au DEP en mécanique automobile au Québec : c'est un Diplôme d'Études Professionnelles de niveau secondaire professionnel débouchant sur une profession dite spécialisée (mécanicien). Pour ton brevet de technicien en mécanique automobile, il n'y a pas à ma connaissance d'équivalent car la formation scolaire la plus poussée en mécanique automobile est justement le DEP au Québec. Au pire, ça pourrait se rapprocher de la Technique en Génie Mécanique ou TGM (niveau collégial = équivalent du lycée et du BTS en France). Mais la TGM concerne la mécanique au sens général, pas juste de l'auto. Pour ton certificat en qualification professionnelle (CQP), je le connais un peu mais je ne trouve pas d'équivalent précis au Québec ... Peut-être un AEC (attestation d'études collégiales) ou un AFP (attestation de formation professionnelle) ou un ASP (attestation de spécialisation professionnelle au niveau secondaire). Ces trois diplômes sont différents mais ont cela de commun qu'ils s'adressent à une clientèle adulte (déjà sur le marché du travail) qui désire une reconnaissance de qualification ou se spécialiser dans leur domaine. Le Québec a aussi un CQP mais il s'adresse pour quelques professions particulières comme électricien par exemple. C'est une certification à renouveler régulièrement et permet une garantie de compétences pour le public et les employeurs. Pour le CAP-BEP en secrétariat, son équivalent québécois devrait être le DEP en secrétariat : donc formation professionnelle de niveau secondaire. Il existe une technique en bureautique qui est la formation en secrétariat au niveau collégial (équivalent du Bac Pro / BTS en France). Pour le DAEU, je ne crois pas qu'il y ait d'équivalent au Québec. En effet, le seul diplôme généralement reconnu pour accéder à des études universitaires est le diplôme d'études collégiales ou DEC (équivalent du Bac / BTS en France). Le Québec n'a pas prévu de voie de substitution comme la France avec le DAEU. Ceci étant, sur la base d'une expérience professionnelle pertinente et d'avoir au moins 25 ans, une personne peut se voir accepter à l'université sur étude de son dossier et si elle n'a pas de DEC ou son équivalent. Au plaisir, O'Hana
  2. Je crois que cela fait partie de la réforme des programmes scolaires de l'école québécoise. Ci-après, un document sur la sexualité du MELS sous la direction de Francine Duquet, professeur au département de sexologie à l'UQÀM : l'éducation à la sexualité dans le contexte de réforme de l'éducation (format PDF). Par ailleurs, le niveau secondaire suit le mouvement car le cours "formation personnelle et sociale" dont l'objectif était d'initier les élèves, notamment, à la sexualité sera supprimé dès l'année prochaine, si ce n'est à la rentrée prochaine. Ce cours doit donc être révisé pour justement s'adapter aux nouvelles réalités de la société québécoise. O'Hana
  3. Rien d'étonnant à cela : rien qu'avec Internet, ils ont désormais accès à un univers de connaissances inimaginables. Et lorsqu'ils se font battre par un de leurs parents, ils ont aujourd'hui la possibilité de faire appel à la DPJ. Et lorsqu'ils ne se trouvent pas d'emploi, ils disposent d'un service d'aide à la recherche d'emploi spécifiquement adaptés à leur réalité (le réseau des carrefours jeunesse-emploi du Québec pour la clientèle de 16 à 30 ans). Comment leur en vouloir en toute sincérité ? Surtout que nous, adultes, faisons la promotion d'une société québécoise ouverte, multiculturelle, tolérante, indulgente proposant une structure complète de droits pour chaque individu dans sa particularité (enfants, adolescents, adulte, aînés, handicapés, immigrants, etc). Personnellement, mes parents ne m'ont jamais appris ni fait sentir que le monde dans lequel je rentrais ne faisait pas de cadeaux. Ils m'ont appris à compter sur moi, sur les autres et les autres sur moi pour vivre ma vie. O'Hana
  4. O'Hana

    image du canada dans le monde

    Oui, c'est sûr qu'en comparant, on se console Ceci étant, combien parmi ces 160 pays ont une culture de portée internationale ? Je serai curieux de connaître les 19 pays devançant le Canada à ce chapitre. O'Hana
  5. En effet, il y a un chercheur à un congrès de l'ACFAS (association canadienne-française pour l'avancement des sciences) qui avait étudié les difficultés à l'emploi de certains gestionnaires français dans des organisations québécoises. Il mettait cela sur le compte des stéréotypes culturelles (du côté des québécois) et du raccourci que faisaient les gestionnaires dans leurs têtes : on parle la même langue, donc aucun problème. Cela ne veut pas dire que tous les français ont de la difficulté à s'insérer professionnellement ici : cela signifie simplement qu'une certaine image du français précède l'immigrant français lorsqu'il arrive au Québec. Image qu'elle soit bonne ou mauvaise, image pareille qui influence l'employeur. Dès lors, il appartient à l'immigrant français de s'ajuster par rapport à cette image sur laquelle il n'a aucun contrôle et rétablir les faits lorsque c'est le cas (ex : c'est pas vrai que tous les français sont des chialeux ...). D'où la relation étroite entre langue et culture, en particulier au Québec. Relation qui n'est parfois pas si évidente pour les français dans la mesure où leur culture n'est pas en dynamique de survie. O'Hana
  6. Nicolas, Faut suivre un peu : http://www.forum.immigrer.com/index.php?showtopic=28825 O'Hana
  7. O'Hana

    image du canada dans le monde

    Salut, Je suis quand même surpris de voir l'Australie arrivée en tête ... Tête de pont des États-Unis dans la zone Asie-Pacifique (l'Australie est activement engagé dans le conflit en Irak), politique culturelle à l'égard des Aborigènes pas très avancée. Politique d'immigration restrictive. Le Canada s'en sort mieux à ce niveau quant à moi. Peut-être est-ce l'éloignement, l'idée d'une terre encore vierge : mettez-y quelques kangourous, une pincée de désert et une grande barrière de corail Par contre, que le Canada se classe 20ème au niveau de la culture m'inquiète franchement. O'Hana
  8. Salut la gang, Ça serait cool si on tentait de ne pas trop charger la mule de ces pauvres parents Au 18ème siècle au fin fond de la campagne, je ne dis pas : l'essentiel de l'éducation de l'enfant se faisait via le modèle parental. Mais aujourd'hui, c'est différent. La prise en charge de l'éducation d'un enfant se fait au travers de plusieurs vecteurs officiels (État, système scolaire, garderie, famille) et non-officiels (médias, fréquentations de l'enfant, lectures, etc). Les stimulis sont devenus tellement nombreux qu'il est devenu pratiquement impossible pour un parent de veiller constamment sur ce qui influence ou pas l'éducation de son enfant. Non PP, je ne suis pas en train de dire que les parents ne doivent pas être tenus responsables et que tout repose sur la société Quoique ... L'approche orientante établie par le Ministère de l'Éducation se plaît à rappeler le proverbe africain ci-dessous pour rappeler sa philosophie éducative :"ça prend tout un village pour éduquer un enfant". O'Hana
  9. Raisonnement incorrect quant à moi : on te demande de t'intégrer pas de t'assimiler. Seul le temps pourra t'aider : il n'y a rien de pire que de placer une expression québécoise de manière inappropriée dans une conversation lorsqu'on essaie de "bien faire". Je comprend cependant ton désir de rendre tes futures relations interpersonnelles les plus harmonieuses possibles avec les québécois. Fais-leur cependant confiance : c'est davantage la façon dont tu penses que l'accent avec lequel tu parleras qui fera la différence O'Hana
  10. Dans ce cas, il faut agir dans les deux sens : travailler aussi auprès des hommes qui n'ont pas toujours conscience de la difficulté qu'ils peuvent avoir à contrôler leurs hormones O'Hana
  11. O'Hana

    Sondages

    + 1 O'Hana
  12. O'Hana

    Sondages

    Sur quoi ou qui te bases-tu pour classer ainsi les forumistes Freeman ? O'Hana
  13. Salut Cynderella, Extrêmement plaisant de voir une revenante hanter de nouveau les corridors du forum C'est vrai que ça faisait une secousse : je vois que ça se passe bien pour vous trois (désormais) ! Au plaisir, O'Hana
  14. Sans oublier que ce ne sont que les quatre dernières années à partir du jour du dépôt de demande de citoyenneté qui sont prises en compte. Ex : dépôt fait en avril 2005. CIC ne traitera les jours de résidence (avant RP et après RP) que jusqu'en avril 2001. Et ce, même si la personne réside au Canada depuis bien avant cette date. O'Hana
  15. O'Hana

    Le passeport

    J'abonde dans le même sens que Rotur74. J'ai dû renouveler mon passeport entre mon CSQ et le dossier au fédéral, sans toutefois en avertir le BIQ de New York et je n'ai aucun problème. D'ailleurs, de mémoire, le n° de passeport n'est indiqué nulle part sur le CSQ. En tout cas, tu n'as rien à perdre à prévenir le BIQ de ton changement de passeport. O'Hana
  16. O'Hana

    Hotel à Sherbrooke 1nuit

    Salut Acropole, J'avais passé une nuit à l'Holiday Inn sur la rue King Ouest à mon arrivée à Sherbrooke : très correct mais j'avais payé autour de 60 dollars je crois (c'était il y a plus de six ans ...). Ça dépend de ton budget. T'arrives quand exactement ? O'Hana
  17. O'Hana

    Racisme au Quebec

    Désolé Tarlisrin, je me suis mal exprimé : je faisais de l'ironie tout simplement. Ironie maladroite mais ironie pareille. Ce que je voulais dire c'est que si les français sont réellement indésirables à Sherbrooke, mes amis sherbrookois ont vraiment une drôle de manière de me faire sentir indésirable Si la profonde amitié qu'ils me portent est un signe de rejet parce que je suis français, alors je veux tout le temps me faire rejeter par eux hi hi Sérieusement, je connais quelques français installés à Sherby et tout se passe très bien pour eux, notamment dans leurs relations interpersonnelles avec les québécois en l'occurence. Tu n'as pas à t'inquiéter avec cela ! Mea culpa O'Hana
  18. Ce n'est malheureusement pas aussi simple que cela ... Il ne faut pas oublier, que de manière générale, un enfant élève ses parents ou tout autre personne significative dans sa jeune vie sur un piedestal. Car il a besoin d'amour. Cette personne devient alors littéralement le centre de son petit univers. De ce fait, l'enfant peut en conclure que cette façon torturante de recevoir de l'affection est la seule façon de continuer à en recevoir. Surtout si c'est la seule qu'il connaisse pour en recevoir. Je ne sous-entend pas que cela se passe systématiquement ainsi. Je dis seulement que pour en arriver à devenir un prédateur sexuel, il y a tout un cheminement affectif derrière cela. Et je ne crois pas que la meilleure façon d'aider une personne à ne pas passer à l'acte ou, pire, à ne plus récidiver serait de l'enfoncer davantage en la mettant clairement au ban de la société sans lui fournir un support thérapeutique pour la réhabiliter. La réhabilitation, à mon sens, c'est comme une pierre que l'on jette dans une mare : juste punir la personne, c'est ne se concentrer que sur les effets sur l'eau de la pierre. Tenter de la réhabiliter, c'est travailler sur la cause. Pour qu'il n'y ait plus de vies détruites : que ce soit celle de la victime ou celle du bourreau. O'Hana
  19. Hi hi "Orientateur", c'est de l'argot québécois, terme utilisé essentiellement qu'entre conseillers en orientation Cela vient du langage populaire d'ici car les gens nous appelle des orienteurs plutôt que notre titre officiel qui est conseiller en orientation (c.o.). C'est donc un peu de l'auto-dérision car "orienteur", c'est supposer qu'on a un peu une boule de cristal et qu'on va donc dire à nos clients où ils doivent aller dans leurs carrières professionnels. Or, on ne fait que conseiller sur les orientations professionnels ou scolaires possibles sur la base de différents éléments (ex : counseling et tests psychométriques). Le c.o. ici est différent du cop en France (conseillers d'orientation psychologues) car le Québec différencie le c.o. du psychologue, même si souvent, ces deux professions jouent dans les mêmes carrés de sable. Par ailleurs, le champ d'activité du c.o. est très large : le milieu scolaire bien entendu (primaire, secondaire, collégial et universitaire) mais aussi la réadaptation (personnes accidentées, judiciarisées), le conseil en ressources humaines auprès des entreprises, les clientèles spécialisées (immigrants, femmes, handicapés, jeunes, etc) ou encore la planification à la retraite (bien préparer sa fin de carrière, mentorat, relève). O'Hana
  20. O'Hana

    Racisme au Quebec

    C'est là le cercle vicieux du racisme quelqu'il soit : la généralisation va dans les deux sens, creusant indéfiniment les malentendus et les clivages. En tant que français, mes amis sherbrookois me font alors bizarrement sentir mon statut de persona non grata O'Hana
  21. Tu sais bien que c'est une question à laquelle il m'est impossible de répondre Pour les raisons suivantes : - il serait très facile pour moi de dire que je l'aurai fait, démontrant ainsi bravoure et courage, alors que je n'ai jamais été mis dans ce contexte - le tuer pour sauver des millions des personnes ? Dilemne profond. Car je ne vois aucune cause pour laquelle je tuerai un être humain de manière préméditée - et justement parce qu'il n'est pas le seul responsable, en conclure qu'il faut le tuer est illogique : un autre aurait repris sa place. Une solution collective et diplomatique m'apparaît donc comme étant la seule option Tout à fait. Tout dépend de la conception qu'on a de l'être humain et, surtout, de la confiance fondamentale qu'on lui accorde O'Hana
  22. re-salut la gang Bien sûr que c'est un débat entre tenants de la responsabilité sociétale et tenants de la responsabilité individuelle. Je pars simplement de l'idée que la société est une entité où tout est interrelié : je reconnais donc sans peine ma propre responsabilité dans l'affaire Homolka par exemple. Je fais référence ici non pas une responsabilité pénale mais à une responsabilité abstraite à titre de citoyen dont mes actes influencent ceux des autres et inversement. Un peu comme les battements des ailes du papillon en Amérique du Sud contribuant au tsunami au Japon. On ne peut tenir formellement responsable le papillon bien entendu mais reconnaître que tout est interrelié. J'ai déjà travaillé dans ma courte pratique professionnelle avec un délinquant sexuel et un homme qui avait battu sa femme auprès d'OPEX, l'organisme québécois spécialisé dans la réinsertion professionnelle des personnes judiciarisées. Si personne ne leur tend la main, qui le fera ? Et pour pouvoir travailler ou plutôt pour pouvoir aider ces deux personnes, cela m'a demandé une remise en question de mes valeurs. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : je ne suis pas pour laisser ces personnes complètement lâchées dans la nature. Comme on ne laisse pas sans encadrement une personne ayant eu un infractus. Oui, car le délinquant sexuel comme la personne ayant eu un infractus, je les place tous les deux au même niveau dans un certain sens : des personnes malades. PP, concernant spécifiquement la responsabilité individuelle, peux-tu raisonnablement dire qu'Hitler était le seul responsable de l'horreur commise auprès des Juifs ? Si tu es objectif et surtout sachant que tu connais beaucoup mieux l'Histoire que moi, la réponse est évidemment non. O'Hana PS : j'y pense. J'avais entendu parler de jeunes en France qui avait été condamnés pour avoir peint des tags nazis je crois sur des tombes juives. Le juge a eu l'idée éclairante de les comdamner à passer quelques jours dans un village où il y avait eu une rafle de juifs durant l'Occupation. En compagnie de survivants de l'Holocauste pour les sensibiliser à l'absurdité de leur geste. Voilà un exemple de peine réhabilitante, pédagogique, interpellant la réflexion et non l'amertume de la punition chez le prévenu
  23. Salut la gang, Entièrement d'accord avec Bill Boquet. Pour moi, il y a deux victimes dans de telles tragédies : l'une subit des atrocités et l'autre n'est pas en mesure de contrôler ses propres atrocités. J'ai attentivement suivi la libération de Karla Homolka - ainsi que l'historique des crimes qu'elle a commis - et je ne peux m'empêcher de constater que le système pénitencier canadien lui a fait subir sa peine jusqu'à son terme, lui ayant refusé toute possibilité de remise en liberté conditionnelle. Notre société a une mission de répression de ses pairs pour éviter l'impunité des crimes. Mais elle a aussi une mission de réhabilitation. Où est la tolérance lorsqu'on préconise oeil pour oeil, dent pour dent justement ? Enfin, bref ... O'Hana
  24. O'Hana

    Le Grand Dérangement

    Oui, je m'en rappelle très bien Cherry de ce fil de discussion Par mon message, je tenais simplement à rappeler cet "anniversaire", surtout à l'attention des nouveaux immigrants ou ceux sur le départ pour le Québec. Histoire de leur souligner, une fois de plus, l'importance de justement connaître l'histoire du pays où ils vont immigrer : ce qui, je n'en doute pas, fera certainement plaisir à un des forumistes que tu cites dans ton message Exact. Ne pas perdre de vue que le Québec que tant d'immigrants vantent ou recherchent aujourd'hui est le fruit de luttes et de combats. Ne se limiter qu'à "apprendre des expressions rigolotes" et faire abstraction du reste pour reprendre Cherry dans un autre fil, c'est faire violence aux québécois à mon opinion. O'Hana
  25. O'Hana

    Des renseignements, SVP

    Oui, j'imagine fort bien ... Je ne sais pas quelles sont tes origines ethniques (descendant de bagnard, asiatique, polynésien, etc) mais si tu es de race caucasienne et à moins d'avoir un fort accent caldoche, les gens te confonderont probablement ici avec un français de Métropole. Peu ou pas du tout de personnes connaissent la Calédonie ici - ce qui est tout à fait normal - et devraient se montrer en général très intéressés à ce que tu leur parles de ce bout d'île, surtout qu'elle est francophone. Et, bien entendu, ils ne comprendront pas pourquoi tu as quitté un paradis (plages de sable blanc, douceur de la température, etc) pour venir vivre dans le froid et l'hiver Personnellement, je trouve que l'été, le Québec ressemble beaucoup à la Calédonie : chaleur, nature toujours à proximité et les agriculteurs québécois avec leur 4x4 me font beaucoup penser aux broussards Le côté nord-américain me fait ensuite rappeler à l'Australie : d'ailleurs Montréal ressemble étrangement à Sydney. Le Canada et le Québec en particulier partagent beaucoup de similitudes avec la Calédonie quand on y regarde de plus près : la francophonie bien entendu pour le Québec ; question de minorité toutes proportions gardées ; la question de l'indépendance qui domine le paysage politique québécois (de ce côté, tu ne seras pas vraiment dépaysé !) ; le mouvement de rééquilibrage avec les autochtones ; sans parler de FalconBridge et Inco, deux sociétés canadiennes, fortement implantées en Calédonie pour ses ressources en nickel ; l'Alliance Champlain pour la promotion du français en Calédonie qui a d'ailleurs été créée sous l'impulsion d'un québécois de passage en Calédonie en 1980. Pour ton entourage, c'est sûr que l'incompréhension sera de mise : c'est loin, c'est froid. Ce sont les deux principaux arguments que mon entourage me donnait régulièrement. Personne ne me donnait une chance au début : tout au mieux, O'Hana se payait un trip qui ne durera pas. C'est nier la capacité des calédoniens à s'exporter ! O'Hana
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