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rainbow21

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Tout ce qui a été posté par rainbow21

  1. rainbow21

    Marché d'emploi en IT

    C'est souvent le personnel administratif qui n'est pas formé aux outils, pas les informaticiens surtout dans le secteur manufacturier. On a dû souvent répéter de ne pas éteindre l'ordinateur si on voulait s'y connecter à distance. La souris fonctionne pas ah ben t'as oublié d'allumer le petit bouton en-dessous. Un message d'erreur sur un écran d'une machine de production et tout le monde panique mais personne est capable de faire une photo avec un cell et sont pas capables de donner les codes Teamviewer des heures et des heures à le répéter quoi faire ... (à l'époque licence teamviewer c'était trop chère :D) J'en ai vu des comportements de ce genre en région. Donc vu les pertes de temps massives, être sur place est indispensable au moins quelques jours par semaine. Puis les échanges courriels sont souvent pas clairs et faut respecter la chaine de décision donc ca peut prendre un temps interminable si t'es pas sur place évidemment dans une vraie boite de TI bien organisé t'as pas ce genre de choses. La confrontation techno et monde dans les shop c'est vraiment galère par moment. Les problèmes de communication sont tels qu'il vaut mieux qu'il te montre exactement ce qui se passe car chacun a son vocabulaire et souvent poser plein de questions suffit pas à comprendre car ils font tout de tête depuis des années. Tout cela pour dire non le télétravail pour certaines entreprises avec un petit département de TI à 100% ca marche pas. Tu programmes mais tu devais technicien sur place pour les problèmes quotidiens de base. Faut être sur place parce que ca établit un lien humain qui permet de rassurer les gens qui ont peur de la techno et y en a vraiment encore beaucoup !
  2. rainbow21

    Marché d'emploi en IT

    Le télétravail ca marche bien quand l'entreprise est bien organisée mais même en TI je peux dire que comme beaucoup d'entreprises qui n'ont qu'un département de base et pas une boite qui fait que du TI bah le télétravail ca marche pas car ils ne sont pas capables d'utiliser les outils encore malgré la pandémie car souvent il y a peu de gens qui maitrisent cela et encore des trentenaires j'en ai vu ... Des courriels pas clairs, des échanges téléphoniques souvent peu précis et incomplets pour des demandes. Vaut mieux se parler en vrai ...
  3. rainbow21

    Marché d'emploi en IT

    Par exemple en Beauce où je suis y a plein de demandes en TI des grosses boites basées ici comme Canam ou Pormerleau sont toujours en recherche.
  4. Tu peux faire une autre demande de permis de travail sur place mais cela n'a aucun intérêt de le faire s'il faut un EIMT car ils reprendront la demande de zéro et cela prendra des mois sans revenu au Canada c'est pas l'idéal. Attention au contrat que tu as signé, si tu ne veux pas travailler avec lui et qu'il te demande de rembourser ses frais de permis même si illégal ca se peut toujours.
  5. rainbow21

    Marché d'emploi en IT

    Je suis dans les TI. Ca dépend des secteurs, oui il y a eu énormément de pertes d'emploi dans le secteur privé mais ils embauchent dans le secteur public et certaines entreprises sont en croissance en TI pour concurrencer les autres, j'ai encore toutes les 2 ou 3 semaines des chasseurs de tête qui essaient de me joindre via Linkedin. La pénurie est trop forte pour que la demande en TI disparaisse et franchement les gens qui sortent des CEGEP publics ont un niveau pas très bon pour en avoir vu (pénurie d'enseignants avec expérience et pandémie en cause) et peu en sortent, certains étudiants du CEGEP local se font montrer la porte en plein milieu de stage (du jamais vu) mais probablement qu'il faudra un bien meilleur CV que durant la pandémie. Il n'y a définitivement pas assez d'informaticiens au pays mais on va probablement moins garder longtemps les moins bons qu'avant. Si vous avez suffisamment d'expérience vous pourrez toujours trouver.
  6. Non pas s'il a le formulaire de la CPAM à remettre à la RAMQ qui permet d'éviter le délai de carence
  7. C'est long en ce moment 15 mois depuis l'étranger ! C'est plus rapide un permis de travail.
  8. Pour être dans le milieu de la construction, y a une vraie récession qui est pas visible pour la plupart des gens on a licencié la moitié de l'usine depuis plusieurs mois. Beaucoup de projets de construction sont à l'arrêt, ils attendent l'évolution des taux d'intérêt.
  9. Pour le PEQ cela ne joue aucunement puisqu'il n'y a pas de points à obtenir, il faut effectivement juste deux ans de travail. Vous devrez avoir un 2e permis avec EIMT pour rester le temps de la procédure. Dès que vous avez le CSQ avec le PEQ, la RP au niveau fédéral n'est souvent qu'une formalité excepté certains cas de maladies chroniques qui pourraient vous exclure et couteraient chers ici pour le système de santé mais ce sont de rares cas et aussi si problème niveau casier judiciaire style arrêté pour haut taux d'alcoolémie ailleurs qu'au Canada qui est une condition d'exclusion car c'est un délit pénal ici en plus des délits pénaux reconnus au Canada.
  10. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1989219/immigration-permis-travail-lenteur-rimouski Ils auraient dû bêtement rajouter un cours de 30 heures dans la formation pour le cas des étudiants étrangers et cela aurait causé moins de problèmes ... Le fédéral ne bougera pas sur cette règle elle existe depuis des années
  11. En étant français, ils sont clairement moins regardants pour les perspectives d'emploi au retour qui sont plus élevés. Pour le permis de travail, ils s'en foutent cela ne fait pas partie des critères.
  12. C'est à l'appréciation de l'agent, il n'y a jamais d'automatisme. Enormément de gens ont des refus même avec lettre d'admission et capacités financières solides tout dépend aussi de votre pays d'origine (plus de chance si vous êtes européens), il leur suffit juste de ne pas être certain que vous quittiez le territoire ce qui est un critère qui exclut d'office et le fait que vous soyiez déjà venus dans le passé ne plaide pas dans ce sens. Essayez aussi d'avoir une preuve qui prouve que vous auriez un emploi en revenant dans votre pays.
  13. Effectivement je ne connaissais pas cette nouvelle mesure, il faudrait clarifier cela avec des retours n'étant pas avocat je ne sais pas si cela fonctionne pour une procédure qui a été initiée alors que vous étiez en dehors du Canada. Le diable est souvent dans les détails. Je ne sais pas si le parrainage externe est clairement spécifiée dedans.
  14. Cela dépend si vous avez eu votre permis ouvert avant d'arriver et non une invitation à faire une demande au poste d'entrée. En venant d'un pays sans exception de visa, vous devriez l'avoir déjà avec le visa dans votre passeport donc si vous avez votre permis ouvert personnel en main vous pouvez rentrer seul.
  15. C'est valable deux ans Obtenir une attestation d’apprentissage des valeurs démocratiques et des valeurs québécoises | Gouvernement du Québec (quebec.ca)
  16. rainbow21

    CSQ EXPIRÉ

    Avec un CSQ expiré sans demande de résidence permanente en cours, vous n'avez d'autre choix que de tout recommencer à zéro soit par Arrima soit en essayant de trouver un emploi par un permis de travail et d'attendre deux ans avant de faire la demande ou de refaire des études.
  17. Il est malheureusement évident qu'ils en tiennent compte pour un futur permis. Il faudrait passer par un avocat en immigration pour vous conseiller sur comment convaincre l'agent qui va analyser votre demande car sans justificatifs valables, ils vont refuser surtout pour un permis d'études où vous êtes cessés convaincre que vous allez quitter le territoire ensuite.
  18. Impossible d'avoir un permis de travail ouvert pour un parrainage externe seulement possible pour un parrainage interne.
  19. Pas de tests linguistiques pour un permis de travail pour l'instant
  20. rainbow21

    CSQ REFUS

    Faut demander à un spécialiste, essayez de poser la question sur un groupe tenu par un cabinet d'avocats. https://www.facebook.com/groups/576225505874737 Si je lis ca apparemment si le stage fait partie de la validation des études, il semble obligatoire mais faut valider avec un avocat https://www.hec.ca/etudiants/etudiants-etrangers/pour-travailler-au-canada/demander-permis-de-travail-coop/
  21. La démarche est plus longue qu'en Ontario pour obtenir la RP et non garantie en plus car vous n'êtes pas au Québec vous devez passer par Arrima qui demande des critères de sélection particulier et qui a des rondes de sélection seulement sur des métiers bien précis et qui favorisent les gens qui vont habiter en région au Québec. Donc cela ne vaut pas la peine de demander la RP au Québec.
  22. Comme dit plus haut à part de très très rares exemptions c'est impossible malheureusement, la loi impose d'être sur le sol canadien. Faudrait se renseigner auprès d'un avocat en immigration.
  23. Il faut vous renseigner d'abord avec l'ordre professionnel : https://www.opq.org/ parce qu'il va falloir faire une équivalence de diplôme.
  24. Il devrait y avoir un ombusman pour ces cas.
  25. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1978631/immigration-quebec-famille-belge-mifi-peq À l’heure où le gouvernement Legault veut plus que jamais prioriser l’immigration francophone, ses propres fonctionnaires menacent de rejeter la demande d’une famille belge pour une raison qui ne figure nulle part dans les critères de sélection du Québec : la paie du père est traitée dans une autre province. J'ai un sentiment de rejet, comme si le Québec ne voulait pas de nous, tout simplement, déplore Corentin Lienart, 33 ans. Sept mois après avoir déposé une demande d’immigration en vertu du Programme de l’expérience québécoise (PEQ), M. Lienart, sa femme et leurs deux fils restent plongés dans l’incertitude. Le délai de traitement de ce genre de dossier est pourtant de 47 jours en moyenne. Malgré des tonnes de preuves envoyées au ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI), M. Lienart n’est pas parvenu à convaincre les fonctionnaires qu’il travaille bel et bien au Québec. C’est pourtant le cas. D’origine belge, la famille Lienart s’est installée dans la région de Montréal il y a bientôt trois ans et n’a pas bougé depuis. Je travaille dans les hôpitaux du Québec, je paye mes impôts au Québec et je vis au Québec, résume le père, spécialiste clinique dans le domaine médical. Corentin Lienart est spécialiste clinique dans le domaine médical. PHOTO : CORENTIN LIENART Son permis de travail, ses talons de paie, ses avis de cotisation, les multiples lettres rédigées par son employeur : tout confirme sa version des faits. Or, l’État québécois en doute, car son employeur, Abbott Medical Canada, traite la paie de son personnel à partir de l’Ontario. Une adresse de Mississauga apparaît donc sur les feuillets fiscaux de M. Lienart. Des intentions de rejet Au début de sa demande de sélection auprès du MIFI, les choses se dessinaient plutôt bien pour M. Lienart. Quand on a soumis notre demande de CSQ [certificat de sélection du Québec], en octobre 2022, les premières communications ont été quand même très, très rapides. On a rapidement eu la demande de passer le test des valeurs québécoises, qu'on a réussi. Dès le départ, une lettre de son employeur indiquait noir sur blanc que M. Lienart travaille dans la province du Québec, comme l’exigent les critères du PEQ pour le volet des travailleurs qualifiés. C’est en décembre dernier que ses ennuis ont commencé, lorsque le MIFI lui a signalé une première intention de rejeter son dossier en raison de documents manquants ou transmis dans un format illisible. S’est alors amorcée une longue série de communications écrites, la plus récente étant datée du 16 mars dernier, dans lesquelles le MIFI a constamment exigé la transmission de nouveaux documents. L’entreprise Abbott Medical a pourtant transmis d’autres lettres au ministère dans lesquelles elle a indiqué être basée au Québec et fourni son numéro au registraire des entreprises. Dans sa plus récente missive, Abbott Medical a même ajouté l’adresse de son siège montréalais, auquel M. Lienart est rattaché. On a soumis ça le 20 mars et c'est un silence radio depuis quasi deux mois, alors que les preuves sont assez évidentes, je trouve, déplore M. Lienart. Il remplit les conditions, assure une avocate C’est également l’avis de Laurence Trempe, une avocate spécialisée en droit de l’immigration, qui a épluché les communications entre le MIFI et M. Lienart ainsi que les preuves fournies par ce dernier. M. Lienart remplit les conditions. Il occupe légalement un emploi au Québec avec les critères requis [pour le PEQ], donc 24 mois sur 36 mois, dans un emploi qualifié. Pour moi, c'est hors de tout doute, tranche-t-elle en faisant référence à l’article 34 du Règlement sur l’immigration au Québec. Me Laurence Trempe, associée chez Exeo et membre du conseil d'administration de l'Association québécoise des avocats et avocates en droit de l'immigration PHOTO : CAPTURE D'ÉCRAN / ZOOM Me Trempe confirme également avoir déjà traité des dossiers semblables à celui de M. Lienart et qu’ils ont été acceptés par le MIFI. C'est marqué noir sur blanc que c'est le lieu où s'est exercé le travail qui est pris en considération et non la source de rémunération, rappelle Me Trempe, selon qui M. Lienart doit se battre jusqu’au bout. Mauvaise foi Interrogé par Radio-Canada au sujet des critères qu'il applique pour les travailleurs qualifiés qui veulent obtenir un CSQ en vertu du PEQ, le ministère a simplement répondu qu’il vérifie que le candidat habite bien au Québec et qu’il répond à un besoin de main-d’œuvre d’un employeur situé au Québec. Une réponse dont s’insurge Me Trempe, car la notion de besoin ainsi que la localisation de l’employeur ne figurent ni dans le Règlement sur l’immigration au Québec ni dans le Guide des procédures d’immigration. Ce n'est pas ça, les critères du Programme de l'expérience québécoise! On invente des critères! Me Trempe juge la situation décourageante pour les candidats à l’immigration comme M. Lienart. Sans nouvelles du MIFI depuis bientôt deux mois, M. Lienart craint la suite des choses. Ce n’est pas en Belgique qu’il souhaite faire sa vie mais bien au Québec. Et dans le contexte politique actuel, il s’explique mal l’hésitation de sa province d’accueil. On est une famille francophone, insiste-t-il. Notre langue maternelle, c'est le français. On est établis ici depuis septembre 2020. On travaille. On participe au développement économique du Québec. Nos enfants vont à la garderie. [...] Visiblement, c'est comme si les preuves qu'on apportait n'étaient pas assez convaincantes. Pour une fois article bien traité par le journaliste, les personnes ont tout respecté et là c'est totalement aberrant de la part du MIFI.
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