N_a_t

@nolive, oui tu as raison, il y a beaucoup de cas où l'employeur ne prend pas la personne la plus cométente mais la personne qui connais le monde le plus interessant (de son point de vue).
 
Beaucoup d'emploi se font afficher (et envoyer aux chasseurs) alors que l'entreprise a déjà comblé le poste à l'interne (politique de l'entreprise oblige a démontrer que l'employeur a fait toutes les démarches). On s'entend que c'est pas logique ni équitable, ni..., ni....
 
Cependant, c'est ça le marché de l'emploi au Québec, qu'on soit d'accord ou pas. Ça m'a pris 5 ans pour retrouver un équivalent de ce que j'avais en France avant de partir. Lors oui, je me suis assise sur ma fierté, j'ai avalé, j'ai pris sur moi, et au final, en y repensant, je me suis fait de bons amis, j'ai mieux compris le fonctionnement, je me suis mise dans le moule... sans même m'en apercevoir.
Je crois que tous les immigrants passent par là, et que c'est ça le prix à payer quand on s'expatrie quelque part.
 
As tu un bon niveau d'Anglais qu ite permettrait d'ouvrir plus de porte ? Fais tu partie d'une association quelconque? Du sport en club? Bref fais toi un bon réseau et laisse savoir que tu cherche une job. Tu vas finir par avoir quelqu'un dans ton entourage pour te dire qu'il connait quelqu'un qui cherche.
 
Courage!!

@nolive, oui tu as raison, il y a beaucoup de cas où l'employeur ne prend pas la personne la plus cométente mais la personne qui connais le monde le plus interessant (de son point de vue).
 
Beaucoup d'emploi se font afficher (et envoyer aux chasseurs) alors que l'entreprise a déjà comblé le poste à l'interne (politique de l'entreprise oblige a démontrer que l'employeur a fait toutes les démarches). On s'entend que c'est pas logique ni équitable, ni..., ni....
 
Cependant, c'est ça le marché de l'emploi au Québec, qu'on soit d'accord ou pas. Ça m'a pris 5 ans pour retrouver un équivalent de ce que j'avais en France avant de partir. Lors oui, je me suis assise sur ma fierté, j'ai avalé, j'ai pris sur moi, et au final, en y repensant, je me suis fait de bons amis, j'ai mieux compris le fonctionnement, je me suis mise dans le moule... sans même m'en apercevoir.
Je crois que tous les immigrants passent par là, et que c'est ça le prix à payer quand on s'expatrie quelque part.
 
As tu un bon niveau d'Anglais qu ite permettrait d'ouvrir plus de porte ? Fais tu partie d'une association quelconque? Du sport en club? Bref fais toi un bon réseau et laisse savoir que tu cherche une job. Tu vas finir par avoir quelqu'un dans ton entourage pour te dire qu'il connait quelqu'un qui cherche.
 
Courage!!

Salut ! Mon message a dû se noyer dans la liste :), J'ai eu mon cérémonie ce matin !!! Donc pour moi tout est réglé ? (pour info on était 96 dans la cérémonie)
 
J'espère que â va aller vite pour les autres !!!

Garde toi un petit buffer de 2 ou 3 semaines, sinon, une fois les critères remplis, pourquoi attendre ?
 
Ne prends pas de chance, je parle en connaissance de cause : j'ai envoyé  ma demande de CSQ via PEQ , reçu mon CSQ et envoyé mon dossier au fédéral ) et quelques mois après (avant le fin de mon PTT et l'arrivée du CSQ), mon employeur a fait une restructuration et m'a licenciée.
J'aurai attendu, je ne remplissais plus les critères d'éligibilité....

Voila, c'est mon tour de partager mon bilan avec vous  
7 ans déjà... Enfin, l'aventure a commencée bien avant ! Il faut se préparer, préparer sa famille, ses amis, ses affaires. 
Donc nous sommes en octobre 2012, et en discutant avec un collègue autour de la machine à café, il me parle de l'offre d'emploi qu'il vient de recevoir pour aller au Québec, mais que finalement il va décliner, nouvelle copine dans sa vie, tout ça. Ni une, ni deux, je récupère le contact ! Et moi qui n’avais jamais envisagé de quitter ma France natale, me voilà embarqué dans cette histoire.
Un petit mail au fameux contact, qui me rappelle, tout se passe super bien et il me propose de venir rencontrer sa collègue à Paris lors des journées Québec. Je fais le tour du site internet, trouve plusieurs recruteurs qui recherche des profils comme le mien. Prépare un tas de CV et direction Paris ! Quelques semaines après, 2 réponses positives arrivent avec entretien par Skype et tout le toutim… J’ai donc 2 offres sur la table ! Basiquement, je prends la plus offrante des 2.
Et me voila en train de monter les dossiers de demandeurs temporaires, programmer le déménagement, planifier mon départ du travail. Les documents sont tous rassemblés et zou! À la poste, et là, l’attente commence. Mais ça laisse le temps de s’organiser, vendre ce qui ne voyagera pas, mettre les animaux en règle, regarder les différents bilans de ceux qui sont déjà là-bas. Et pan, drame, immigration Québec bloque les demandes de permis temporaires… finalement, le départ sera repoussé de 4 mois. 4 mois dans une maison qui se vide de plus en plus, 4 mois de camping, mais 4 mois de plus pour profiter de la famille et des amis ?
Fin aout 2012, voila c’est le départ, on a rendu les clés de la maison depuis une semaine, on campe chez des amis, le stress monte… Mais aussi l’impatience !
On est dans l’avion, on arrive à Montreal, et la course commence : récupérer la voiture de location pour la première semaine, récupérer les valises, passer à l’immigration, prendre possession du nouveau logement, le meubler, faire la paperasse… et commencer à travailler.
 
Sauf que là, mon nouvel employeur a “oublié” que j’arrivais… Premiers jours un peu dans mon coin, je connais personne, je parle pas anglais dans cette entreprise plutôt anglophone, j’ai pas de bureau, pas d’ordi… À la maison rien ne va plus entre monsieur et moi… Bref premières semaines un peu cauchemardesque. On se sépare officiellement après quelques semaines. Au bureau, je tente de faire profil bas, on m’a recrutée pour un profil particulier mais l’entreprise ne va pas trop bien, donc on me propose autre chose qui ne me plait pas. Je persiste, il faut bien manger, hein, et surtout mon permis temporaire ne me permet pas de changer d’employeur comme je veux.
 
2 ans plus tard, l’entreprise va de mal en pis et coupe le tiers de ses effectifs… j’en fais partie… Heureusement, ma demande de RP est en cours et devrait aboutir sous peu (enfin j’espère). Entre temps, je me fais contacter par LinkedIn pour la job que j’avais refusée 2 ans plus tôt… C’est un signe ! Go go go !!! Je mentionne mon statut temporaire, pas de problème, l’employeur fait tous les papiers et me voila partie pour Lacolle pour faire le tour du poteau. En rentrant chez moi, je découvre ma brune dans la boite à lettre !!! Wouhouhou ! Zut…je reviens juste d’un tour du poteau… pas grave on y retourne 2 semaines après. Cette fois je suis résidente permanente !
Puis une petite routine s’installe, nouvel appartement, nouveau chum qui, lui est québécois. Visite de la famille, sortie entre amis, nouvelles têtes dans l’entourage, les amis vont et viennent. Encore 2 ans, changement de boulot, changement de lieu de vie. La demande de citoyenneté est envoyée, examen passé, tout roule, jusqu’au lock down en mars dernier.
On vient d’emménager dans notre nouvelle maison, 2 chats, un chien… Quelques amis seulement, mais qui comptent, tous ou presque issu de l’immigration, pas un seul vrai français à l’horizon. Mais je commence à en revenir, moi qui les ai fuis comme la peste pendant les dernières années, je commence tout juste à en refréquenter. Mon accent s’est fait aussi, je suis full bilingue québéco/français, mon vocabulaire aussi d’ailleurs. J'ai l'impression que tout ça c'était hier, mais en même temps, tout ce chemin parcouru (3 jobs, 4 lieux de résidence, une citoyenneté en cours, un anglais qui s'il n'est pas bilingue me permet de soutenir une conversation, un salaire confortable, un chéri, des vrais amis) 
Au final, un bilan très mitigé au départ, mais après 7 ans, je ne rentrerai pour rien au monde. Mon chez moi est ici, au Québec.
 
 

Voila, c'est mon tour de partager mon bilan avec vous  
7 ans déjà... Enfin, l'aventure a commencée bien avant ! Il faut se préparer, préparer sa famille, ses amis, ses affaires. 
Donc nous sommes en octobre 2012, et en discutant avec un collègue autour de la machine à café, il me parle de l'offre d'emploi qu'il vient de recevoir pour aller au Québec, mais que finalement il va décliner, nouvelle copine dans sa vie, tout ça. Ni une, ni deux, je récupère le contact ! Et moi qui n’avais jamais envisagé de quitter ma France natale, me voilà embarqué dans cette histoire.
Un petit mail au fameux contact, qui me rappelle, tout se passe super bien et il me propose de venir rencontrer sa collègue à Paris lors des journées Québec. Je fais le tour du site internet, trouve plusieurs recruteurs qui recherche des profils comme le mien. Prépare un tas de CV et direction Paris ! Quelques semaines après, 2 réponses positives arrivent avec entretien par Skype et tout le toutim… J’ai donc 2 offres sur la table ! Basiquement, je prends la plus offrante des 2.
Et me voila en train de monter les dossiers de demandeurs temporaires, programmer le déménagement, planifier mon départ du travail. Les documents sont tous rassemblés et zou! À la poste, et là, l’attente commence. Mais ça laisse le temps de s’organiser, vendre ce qui ne voyagera pas, mettre les animaux en règle, regarder les différents bilans de ceux qui sont déjà là-bas. Et pan, drame, immigration Québec bloque les demandes de permis temporaires… finalement, le départ sera repoussé de 4 mois. 4 mois dans une maison qui se vide de plus en plus, 4 mois de camping, mais 4 mois de plus pour profiter de la famille et des amis ?
Fin aout 2012, voila c’est le départ, on a rendu les clés de la maison depuis une semaine, on campe chez des amis, le stress monte… Mais aussi l’impatience !
On est dans l’avion, on arrive à Montreal, et la course commence : récupérer la voiture de location pour la première semaine, récupérer les valises, passer à l’immigration, prendre possession du nouveau logement, le meubler, faire la paperasse… et commencer à travailler.
 
Sauf que là, mon nouvel employeur a “oublié” que j’arrivais… Premiers jours un peu dans mon coin, je connais personne, je parle pas anglais dans cette entreprise plutôt anglophone, j’ai pas de bureau, pas d’ordi… À la maison rien ne va plus entre monsieur et moi… Bref premières semaines un peu cauchemardesque. On se sépare officiellement après quelques semaines. Au bureau, je tente de faire profil bas, on m’a recrutée pour un profil particulier mais l’entreprise ne va pas trop bien, donc on me propose autre chose qui ne me plait pas. Je persiste, il faut bien manger, hein, et surtout mon permis temporaire ne me permet pas de changer d’employeur comme je veux.
 
2 ans plus tard, l’entreprise va de mal en pis et coupe le tiers de ses effectifs… j’en fais partie… Heureusement, ma demande de RP est en cours et devrait aboutir sous peu (enfin j’espère). Entre temps, je me fais contacter par LinkedIn pour la job que j’avais refusée 2 ans plus tôt… C’est un signe ! Go go go !!! Je mentionne mon statut temporaire, pas de problème, l’employeur fait tous les papiers et me voila partie pour Lacolle pour faire le tour du poteau. En rentrant chez moi, je découvre ma brune dans la boite à lettre !!! Wouhouhou ! Zut…je reviens juste d’un tour du poteau… pas grave on y retourne 2 semaines après. Cette fois je suis résidente permanente !
Puis une petite routine s’installe, nouvel appartement, nouveau chum qui, lui est québécois. Visite de la famille, sortie entre amis, nouvelles têtes dans l’entourage, les amis vont et viennent. Encore 2 ans, changement de boulot, changement de lieu de vie. La demande de citoyenneté est envoyée, examen passé, tout roule, jusqu’au lock down en mars dernier.
On vient d’emménager dans notre nouvelle maison, 2 chats, un chien… Quelques amis seulement, mais qui comptent, tous ou presque issu de l’immigration, pas un seul vrai français à l’horizon. Mais je commence à en revenir, moi qui les ai fuis comme la peste pendant les dernières années, je commence tout juste à en refréquenter. Mon accent s’est fait aussi, je suis full bilingue québéco/français, mon vocabulaire aussi d’ailleurs. J'ai l'impression que tout ça c'était hier, mais en même temps, tout ce chemin parcouru (3 jobs, 4 lieux de résidence, une citoyenneté en cours, un anglais qui s'il n'est pas bilingue me permet de soutenir une conversation, un salaire confortable, un chéri, des vrais amis) 
Au final, un bilan très mitigé au départ, mais après 7 ans, je ne rentrerai pour rien au monde. Mon chez moi est ici, au Québec.
 
 

Voila, c'est mon tour de partager mon bilan avec vous  
7 ans déjà... Enfin, l'aventure a commencée bien avant ! Il faut se préparer, préparer sa famille, ses amis, ses affaires. 
Donc nous sommes en octobre 2012, et en discutant avec un collègue autour de la machine à café, il me parle de l'offre d'emploi qu'il vient de recevoir pour aller au Québec, mais que finalement il va décliner, nouvelle copine dans sa vie, tout ça. Ni une, ni deux, je récupère le contact ! Et moi qui n’avais jamais envisagé de quitter ma France natale, me voilà embarqué dans cette histoire.
Un petit mail au fameux contact, qui me rappelle, tout se passe super bien et il me propose de venir rencontrer sa collègue à Paris lors des journées Québec. Je fais le tour du site internet, trouve plusieurs recruteurs qui recherche des profils comme le mien. Prépare un tas de CV et direction Paris ! Quelques semaines après, 2 réponses positives arrivent avec entretien par Skype et tout le toutim… J’ai donc 2 offres sur la table ! Basiquement, je prends la plus offrante des 2.
Et me voila en train de monter les dossiers de demandeurs temporaires, programmer le déménagement, planifier mon départ du travail. Les documents sont tous rassemblés et zou! À la poste, et là, l’attente commence. Mais ça laisse le temps de s’organiser, vendre ce qui ne voyagera pas, mettre les animaux en règle, regarder les différents bilans de ceux qui sont déjà là-bas. Et pan, drame, immigration Québec bloque les demandes de permis temporaires… finalement, le départ sera repoussé de 4 mois. 4 mois dans une maison qui se vide de plus en plus, 4 mois de camping, mais 4 mois de plus pour profiter de la famille et des amis ?
Fin aout 2012, voila c’est le départ, on a rendu les clés de la maison depuis une semaine, on campe chez des amis, le stress monte… Mais aussi l’impatience !
On est dans l’avion, on arrive à Montreal, et la course commence : récupérer la voiture de location pour la première semaine, récupérer les valises, passer à l’immigration, prendre possession du nouveau logement, le meubler, faire la paperasse… et commencer à travailler.
 
Sauf que là, mon nouvel employeur a “oublié” que j’arrivais… Premiers jours un peu dans mon coin, je connais personne, je parle pas anglais dans cette entreprise plutôt anglophone, j’ai pas de bureau, pas d’ordi… À la maison rien ne va plus entre monsieur et moi… Bref premières semaines un peu cauchemardesque. On se sépare officiellement après quelques semaines. Au bureau, je tente de faire profil bas, on m’a recrutée pour un profil particulier mais l’entreprise ne va pas trop bien, donc on me propose autre chose qui ne me plait pas. Je persiste, il faut bien manger, hein, et surtout mon permis temporaire ne me permet pas de changer d’employeur comme je veux.
 
2 ans plus tard, l’entreprise va de mal en pis et coupe le tiers de ses effectifs… j’en fais partie… Heureusement, ma demande de RP est en cours et devrait aboutir sous peu (enfin j’espère). Entre temps, je me fais contacter par LinkedIn pour la job que j’avais refusée 2 ans plus tôt… C’est un signe ! Go go go !!! Je mentionne mon statut temporaire, pas de problème, l’employeur fait tous les papiers et me voila partie pour Lacolle pour faire le tour du poteau. En rentrant chez moi, je découvre ma brune dans la boite à lettre !!! Wouhouhou ! Zut…je reviens juste d’un tour du poteau… pas grave on y retourne 2 semaines après. Cette fois je suis résidente permanente !
Puis une petite routine s’installe, nouvel appartement, nouveau chum qui, lui est québécois. Visite de la famille, sortie entre amis, nouvelles têtes dans l’entourage, les amis vont et viennent. Encore 2 ans, changement de boulot, changement de lieu de vie. La demande de citoyenneté est envoyée, examen passé, tout roule, jusqu’au lock down en mars dernier.
On vient d’emménager dans notre nouvelle maison, 2 chats, un chien… Quelques amis seulement, mais qui comptent, tous ou presque issu de l’immigration, pas un seul vrai français à l’horizon. Mais je commence à en revenir, moi qui les ai fuis comme la peste pendant les dernières années, je commence tout juste à en refréquenter. Mon accent s’est fait aussi, je suis full bilingue québéco/français, mon vocabulaire aussi d’ailleurs. J'ai l'impression que tout ça c'était hier, mais en même temps, tout ce chemin parcouru (3 jobs, 4 lieux de résidence, une citoyenneté en cours, un anglais qui s'il n'est pas bilingue me permet de soutenir une conversation, un salaire confortable, un chéri, des vrais amis) 
Au final, un bilan très mitigé au départ, mais après 7 ans, je ne rentrerai pour rien au monde. Mon chez moi est ici, au Québec.
 
 

Voila, c'est mon tour de partager mon bilan avec vous  
7 ans déjà... Enfin, l'aventure a commencée bien avant ! Il faut se préparer, préparer sa famille, ses amis, ses affaires. 
Donc nous sommes en octobre 2012, et en discutant avec un collègue autour de la machine à café, il me parle de l'offre d'emploi qu'il vient de recevoir pour aller au Québec, mais que finalement il va décliner, nouvelle copine dans sa vie, tout ça. Ni une, ni deux, je récupère le contact ! Et moi qui n’avais jamais envisagé de quitter ma France natale, me voilà embarqué dans cette histoire.
Un petit mail au fameux contact, qui me rappelle, tout se passe super bien et il me propose de venir rencontrer sa collègue à Paris lors des journées Québec. Je fais le tour du site internet, trouve plusieurs recruteurs qui recherche des profils comme le mien. Prépare un tas de CV et direction Paris ! Quelques semaines après, 2 réponses positives arrivent avec entretien par Skype et tout le toutim… J’ai donc 2 offres sur la table ! Basiquement, je prends la plus offrante des 2.
Et me voila en train de monter les dossiers de demandeurs temporaires, programmer le déménagement, planifier mon départ du travail. Les documents sont tous rassemblés et zou! À la poste, et là, l’attente commence. Mais ça laisse le temps de s’organiser, vendre ce qui ne voyagera pas, mettre les animaux en règle, regarder les différents bilans de ceux qui sont déjà là-bas. Et pan, drame, immigration Québec bloque les demandes de permis temporaires… finalement, le départ sera repoussé de 4 mois. 4 mois dans une maison qui se vide de plus en plus, 4 mois de camping, mais 4 mois de plus pour profiter de la famille et des amis ?
Fin aout 2012, voila c’est le départ, on a rendu les clés de la maison depuis une semaine, on campe chez des amis, le stress monte… Mais aussi l’impatience !
On est dans l’avion, on arrive à Montreal, et la course commence : récupérer la voiture de location pour la première semaine, récupérer les valises, passer à l’immigration, prendre possession du nouveau logement, le meubler, faire la paperasse… et commencer à travailler.
 
Sauf que là, mon nouvel employeur a “oublié” que j’arrivais… Premiers jours un peu dans mon coin, je connais personne, je parle pas anglais dans cette entreprise plutôt anglophone, j’ai pas de bureau, pas d’ordi… À la maison rien ne va plus entre monsieur et moi… Bref premières semaines un peu cauchemardesque. On se sépare officiellement après quelques semaines. Au bureau, je tente de faire profil bas, on m’a recrutée pour un profil particulier mais l’entreprise ne va pas trop bien, donc on me propose autre chose qui ne me plait pas. Je persiste, il faut bien manger, hein, et surtout mon permis temporaire ne me permet pas de changer d’employeur comme je veux.
 
2 ans plus tard, l’entreprise va de mal en pis et coupe le tiers de ses effectifs… j’en fais partie… Heureusement, ma demande de RP est en cours et devrait aboutir sous peu (enfin j’espère). Entre temps, je me fais contacter par LinkedIn pour la job que j’avais refusée 2 ans plus tôt… C’est un signe ! Go go go !!! Je mentionne mon statut temporaire, pas de problème, l’employeur fait tous les papiers et me voila partie pour Lacolle pour faire le tour du poteau. En rentrant chez moi, je découvre ma brune dans la boite à lettre !!! Wouhouhou ! Zut…je reviens juste d’un tour du poteau… pas grave on y retourne 2 semaines après. Cette fois je suis résidente permanente !
Puis une petite routine s’installe, nouvel appartement, nouveau chum qui, lui est québécois. Visite de la famille, sortie entre amis, nouvelles têtes dans l’entourage, les amis vont et viennent. Encore 2 ans, changement de boulot, changement de lieu de vie. La demande de citoyenneté est envoyée, examen passé, tout roule, jusqu’au lock down en mars dernier.
On vient d’emménager dans notre nouvelle maison, 2 chats, un chien… Quelques amis seulement, mais qui comptent, tous ou presque issu de l’immigration, pas un seul vrai français à l’horizon. Mais je commence à en revenir, moi qui les ai fuis comme la peste pendant les dernières années, je commence tout juste à en refréquenter. Mon accent s’est fait aussi, je suis full bilingue québéco/français, mon vocabulaire aussi d’ailleurs. J'ai l'impression que tout ça c'était hier, mais en même temps, tout ce chemin parcouru (3 jobs, 4 lieux de résidence, une citoyenneté en cours, un anglais qui s'il n'est pas bilingue me permet de soutenir une conversation, un salaire confortable, un chéri, des vrais amis) 
Au final, un bilan très mitigé au départ, mais après 7 ans, je ne rentrerai pour rien au monde. Mon chez moi est ici, au Québec.
 
 

Voila, c'est mon tour de partager mon bilan avec vous  
7 ans déjà... Enfin, l'aventure a commencée bien avant ! Il faut se préparer, préparer sa famille, ses amis, ses affaires. 
Donc nous sommes en octobre 2012, et en discutant avec un collègue autour de la machine à café, il me parle de l'offre d'emploi qu'il vient de recevoir pour aller au Québec, mais que finalement il va décliner, nouvelle copine dans sa vie, tout ça. Ni une, ni deux, je récupère le contact ! Et moi qui n’avais jamais envisagé de quitter ma France natale, me voilà embarqué dans cette histoire.
Un petit mail au fameux contact, qui me rappelle, tout se passe super bien et il me propose de venir rencontrer sa collègue à Paris lors des journées Québec. Je fais le tour du site internet, trouve plusieurs recruteurs qui recherche des profils comme le mien. Prépare un tas de CV et direction Paris ! Quelques semaines après, 2 réponses positives arrivent avec entretien par Skype et tout le toutim… J’ai donc 2 offres sur la table ! Basiquement, je prends la plus offrante des 2.
Et me voila en train de monter les dossiers de demandeurs temporaires, programmer le déménagement, planifier mon départ du travail. Les documents sont tous rassemblés et zou! À la poste, et là, l’attente commence. Mais ça laisse le temps de s’organiser, vendre ce qui ne voyagera pas, mettre les animaux en règle, regarder les différents bilans de ceux qui sont déjà là-bas. Et pan, drame, immigration Québec bloque les demandes de permis temporaires… finalement, le départ sera repoussé de 4 mois. 4 mois dans une maison qui se vide de plus en plus, 4 mois de camping, mais 4 mois de plus pour profiter de la famille et des amis ?
Fin aout 2012, voila c’est le départ, on a rendu les clés de la maison depuis une semaine, on campe chez des amis, le stress monte… Mais aussi l’impatience !
On est dans l’avion, on arrive à Montreal, et la course commence : récupérer la voiture de location pour la première semaine, récupérer les valises, passer à l’immigration, prendre possession du nouveau logement, le meubler, faire la paperasse… et commencer à travailler.
 
Sauf que là, mon nouvel employeur a “oublié” que j’arrivais… Premiers jours un peu dans mon coin, je connais personne, je parle pas anglais dans cette entreprise plutôt anglophone, j’ai pas de bureau, pas d’ordi… À la maison rien ne va plus entre monsieur et moi… Bref premières semaines un peu cauchemardesque. On se sépare officiellement après quelques semaines. Au bureau, je tente de faire profil bas, on m’a recrutée pour un profil particulier mais l’entreprise ne va pas trop bien, donc on me propose autre chose qui ne me plait pas. Je persiste, il faut bien manger, hein, et surtout mon permis temporaire ne me permet pas de changer d’employeur comme je veux.
 
2 ans plus tard, l’entreprise va de mal en pis et coupe le tiers de ses effectifs… j’en fais partie… Heureusement, ma demande de RP est en cours et devrait aboutir sous peu (enfin j’espère). Entre temps, je me fais contacter par LinkedIn pour la job que j’avais refusée 2 ans plus tôt… C’est un signe ! Go go go !!! Je mentionne mon statut temporaire, pas de problème, l’employeur fait tous les papiers et me voila partie pour Lacolle pour faire le tour du poteau. En rentrant chez moi, je découvre ma brune dans la boite à lettre !!! Wouhouhou ! Zut…je reviens juste d’un tour du poteau… pas grave on y retourne 2 semaines après. Cette fois je suis résidente permanente !
Puis une petite routine s’installe, nouvel appartement, nouveau chum qui, lui est québécois. Visite de la famille, sortie entre amis, nouvelles têtes dans l’entourage, les amis vont et viennent. Encore 2 ans, changement de boulot, changement de lieu de vie. La demande de citoyenneté est envoyée, examen passé, tout roule, jusqu’au lock down en mars dernier.
On vient d’emménager dans notre nouvelle maison, 2 chats, un chien… Quelques amis seulement, mais qui comptent, tous ou presque issu de l’immigration, pas un seul vrai français à l’horizon. Mais je commence à en revenir, moi qui les ai fuis comme la peste pendant les dernières années, je commence tout juste à en refréquenter. Mon accent s’est fait aussi, je suis full bilingue québéco/français, mon vocabulaire aussi d’ailleurs. J'ai l'impression que tout ça c'était hier, mais en même temps, tout ce chemin parcouru (3 jobs, 4 lieux de résidence, une citoyenneté en cours, un anglais qui s'il n'est pas bilingue me permet de soutenir une conversation, un salaire confortable, un chéri, des vrais amis) 
Au final, un bilan très mitigé au départ, mais après 7 ans, je ne rentrerai pour rien au monde. Mon chez moi est ici, au Québec.
 
 

Je m'excuse j'aurai dû dire prudent au lieu de craintif. Je n'ai pas été confrontée à ce genre de situation, pour autant je n'ai plus de vie social depuis mars (et ça devient vraiment mais vraiment lassant)
 

Moi, c'est plus quand j'entends ma mère qui est en France que ça me révolte. Elle fait son petit marché toutes les semaines, va au restaurant avec des amis, fait tout plein d'activité de groupe sous prétexte "je fais attention, hein" "l'autre jour j'ai oublié mon masque...mais je suis allée pareil, tu comprends sinon j'aurais pas vu mes copines....". Ce que je constate au Québec (ça dépend certaienement des places), mais les gens ont plus tendance à fuir les autres, à éventuellement recevoir dans son jardin quelques amis, mais je n'ai rien vu de plus personnelement. En revanche, il suffut de regarder n'importe quel émission française pour s'apercevoir que dans "je fais attention" on a clairement pas tous la même définition.

Voila, c'est mon tour de partager mon bilan avec vous  
7 ans déjà... Enfin, l'aventure a commencée bien avant ! Il faut se préparer, préparer sa famille, ses amis, ses affaires. 
Donc nous sommes en octobre 2012, et en discutant avec un collègue autour de la machine à café, il me parle de l'offre d'emploi qu'il vient de recevoir pour aller au Québec, mais que finalement il va décliner, nouvelle copine dans sa vie, tout ça. Ni une, ni deux, je récupère le contact ! Et moi qui n’avais jamais envisagé de quitter ma France natale, me voilà embarqué dans cette histoire.
Un petit mail au fameux contact, qui me rappelle, tout se passe super bien et il me propose de venir rencontrer sa collègue à Paris lors des journées Québec. Je fais le tour du site internet, trouve plusieurs recruteurs qui recherche des profils comme le mien. Prépare un tas de CV et direction Paris ! Quelques semaines après, 2 réponses positives arrivent avec entretien par Skype et tout le toutim… J’ai donc 2 offres sur la table ! Basiquement, je prends la plus offrante des 2.
Et me voila en train de monter les dossiers de demandeurs temporaires, programmer le déménagement, planifier mon départ du travail. Les documents sont tous rassemblés et zou! À la poste, et là, l’attente commence. Mais ça laisse le temps de s’organiser, vendre ce qui ne voyagera pas, mettre les animaux en règle, regarder les différents bilans de ceux qui sont déjà là-bas. Et pan, drame, immigration Québec bloque les demandes de permis temporaires… finalement, le départ sera repoussé de 4 mois. 4 mois dans une maison qui se vide de plus en plus, 4 mois de camping, mais 4 mois de plus pour profiter de la famille et des amis ?
Fin aout 2012, voila c’est le départ, on a rendu les clés de la maison depuis une semaine, on campe chez des amis, le stress monte… Mais aussi l’impatience !
On est dans l’avion, on arrive à Montreal, et la course commence : récupérer la voiture de location pour la première semaine, récupérer les valises, passer à l’immigration, prendre possession du nouveau logement, le meubler, faire la paperasse… et commencer à travailler.
 
Sauf que là, mon nouvel employeur a “oublié” que j’arrivais… Premiers jours un peu dans mon coin, je connais personne, je parle pas anglais dans cette entreprise plutôt anglophone, j’ai pas de bureau, pas d’ordi… À la maison rien ne va plus entre monsieur et moi… Bref premières semaines un peu cauchemardesque. On se sépare officiellement après quelques semaines. Au bureau, je tente de faire profil bas, on m’a recrutée pour un profil particulier mais l’entreprise ne va pas trop bien, donc on me propose autre chose qui ne me plait pas. Je persiste, il faut bien manger, hein, et surtout mon permis temporaire ne me permet pas de changer d’employeur comme je veux.
 
2 ans plus tard, l’entreprise va de mal en pis et coupe le tiers de ses effectifs… j’en fais partie… Heureusement, ma demande de RP est en cours et devrait aboutir sous peu (enfin j’espère). Entre temps, je me fais contacter par LinkedIn pour la job que j’avais refusée 2 ans plus tôt… C’est un signe ! Go go go !!! Je mentionne mon statut temporaire, pas de problème, l’employeur fait tous les papiers et me voila partie pour Lacolle pour faire le tour du poteau. En rentrant chez moi, je découvre ma brune dans la boite à lettre !!! Wouhouhou ! Zut…je reviens juste d’un tour du poteau… pas grave on y retourne 2 semaines après. Cette fois je suis résidente permanente !
Puis une petite routine s’installe, nouvel appartement, nouveau chum qui, lui est québécois. Visite de la famille, sortie entre amis, nouvelles têtes dans l’entourage, les amis vont et viennent. Encore 2 ans, changement de boulot, changement de lieu de vie. La demande de citoyenneté est envoyée, examen passé, tout roule, jusqu’au lock down en mars dernier.
On vient d’emménager dans notre nouvelle maison, 2 chats, un chien… Quelques amis seulement, mais qui comptent, tous ou presque issu de l’immigration, pas un seul vrai français à l’horizon. Mais je commence à en revenir, moi qui les ai fuis comme la peste pendant les dernières années, je commence tout juste à en refréquenter. Mon accent s’est fait aussi, je suis full bilingue québéco/français, mon vocabulaire aussi d’ailleurs. J'ai l'impression que tout ça c'était hier, mais en même temps, tout ce chemin parcouru (3 jobs, 4 lieux de résidence, une citoyenneté en cours, un anglais qui s'il n'est pas bilingue me permet de soutenir une conversation, un salaire confortable, un chéri, des vrais amis) 
Au final, un bilan très mitigé au départ, mais après 7 ans, je ne rentrerai pour rien au monde. Mon chez moi est ici, au Québec.
 
 

En fait pendant qu'on attendait pour la cérémonie, tu peux disparaitre de la caméra. Il faut que tu sois bien visible quand tu es avec ton agent pour l'identification, à un moment donné, ils présentent le juge et à partir de là ta caméra doit te montrer jusqu'à ce qu'il te dise félicitations. Après tu a la signature de ton serment et le découpage de ta carte en face cam avec ton agent.
 
Pendant ma cérémonie il y a plusieurs qui ont "disparus" des écrans pendant de longues minutes et personne leur a rien dit. Apres, moi, j'ai pas pris le risque. Mais si tu calles bien ton cell et que tu le branches, je penses pas qu'il y ait de souci. (ils ont même précisé que si tu perds internet et que tu disparait pendant le serment, ils vont t'appeler sur le numéro qu'ils ont)

Il me semble que dans l'invitation ils indiquent ordinateur, tablette ou cellulaire, donc pas de trouble !

@chamy, j'espère sincèrement pour toi que tu trouveras une solution.
 
Mais il faut aussi être lucide, immigrer au Québec veut dire immigrer au Canada, c'est le gouvernement fédéral qui a le dernier mot en matière d'immigration. Et comme tu le rappelles si bien, ces temps de pandémie sont difficile partout à travers le monde. Le Canada a "juste" doubler sa dette en offrant les aides en tout genre pour que ces citoyens/RP/autres passent au travers de la crise sans trop trop de dégâts. Les vraies conséquences de tout ça se verront plus tard. Mais si tu as quelqu'un de riche pour t'aider à monter ta business : go for it !!! Si c'est ta chance ne perd pas ton temps à tenter de bypasser le système.

Quand on a acheté, on a fait une liste de frais : (certains postes sont des one shot alors que d'autres seront mensuels
Notaire + Taxe de bienvenue Electros Meubles Déco Bouffe Autres Assurances Électricité Internet Transport Taxes Mun+Sco Hypothèque  
Tu te fais un estimé sur un an pour avoir une idée de ce que tu dépenses. Pour une idée de ton hypothèque, toutes les banques offrent une calculatrice hypothécaire en ligne, tu peux faire plein de simulations, il faut garder en tête que tous tes crédits ne doivent pas dépasser 40% de tes revenus - nous on est resté sur 30% parce qu'on est un peu frileux. Mais c'est un point de départ.
 

Demande recue le 13 Aout 2019,
Accusé de Sydney le 28 Octobre 2019
Test le 15 Janvier 2020
Decision Prise le 16 Janvier 2020
Invitation pour le serment le 11 Septembre 2020
Serment effectué le 16 Septembre 2020

Quand on a acheté, on a fait une liste de frais : (certains postes sont des one shot alors que d'autres seront mensuels
Notaire + Taxe de bienvenue Electros Meubles Déco Bouffe Autres Assurances Électricité Internet Transport Taxes Mun+Sco Hypothèque  
Tu te fais un estimé sur un an pour avoir une idée de ce que tu dépenses. Pour une idée de ton hypothèque, toutes les banques offrent une calculatrice hypothécaire en ligne, tu peux faire plein de simulations, il faut garder en tête que tous tes crédits ne doivent pas dépasser 40% de tes revenus - nous on est resté sur 30% parce qu'on est un peu frileux. Mais c'est un point de départ.
 

Une idée serait peut être de commencer par le commencement : immigrer au Canada en RP (ou autre) PUIS de voir si 1-on se sent bien avec la mentalité ici, 2-si on se voit rester au Canada, 3-partir sa propre business
 
Je dis ça comme ça... Parce qu'ici les règles du jeu sont pas franchement les même que en France/Maroc. Avant de partir une entreprise, il faut une étude de marché, un business plan, il faut s'assurer qu'on vise la bonne cible de clientèle, le bon spot, les bons fournisseurs.  

Garde toi un petit buffer de 2 ou 3 semaines, sinon, une fois les critères remplis, pourquoi attendre ?
 
Ne prends pas de chance, je parle en connaissance de cause : j'ai envoyé  ma demande de CSQ via PEQ , reçu mon CSQ et envoyé mon dossier au fédéral ) et quelques mois après (avant le fin de mon PTT et l'arrivée du CSQ), mon employeur a fait une restructuration et m'a licenciée.
J'aurai attendu, je ne remplissais plus les critères d'éligibilité....

Il y en a même qui ont des arbres de 500 ans derrière leur maison, hein mon chou ?

Et même plus que ça, quand j'ai validé ma RP en arrivant au Canada, on m'a dit de garder la confirmation de RP toute ma vie, même après l'obtention de la citoyenneté... 

Isa, c'est ta carte de RP qui expire pas ta RP, je sais que c'est frustrant mais la renouveler c'est une formalité tant que tu respectes les critères (et ça ne coute "que" 50$). Moi aussi ma carte expirait en avril 21 et je m'étais mis dans la tête que si en octobre j'avais pas de nouvelles (6 mois avant l'expiration), je renouvelais ma carte. Si tu dois sortir du pays et que ta carte est expirée, tu peux toujours demander un TVRP.

on se croise les doigts!!!!!!! La convocation est arrivée 1 semaine avant le cérémonie.... 

Encore un coup des Illuminati et de Bill Gates.  Quand ils n'essaient pas de créer des virus en laboratoire puis de t'injecter une puce avec le vaccin (pour te contrôler à distance grâce à la 5G), ils font faire des achats stupides aux gens.