Habitués sarbacan Posté(e) 17 janvier 2010 Habitués Posté(e) 17 janvier 2010 Un exemple : un medecin grec ou espagnol peut s'installer en France sans problème ! Il y a un accord de reconnaissance des diplomes qui fait que leurs diplomes sont reconnus et pourtant l'UE n'est pas un pays ! Aux USA , un medecin qui a étudié au Massachusset peut s'installer en Californie . Normalement au Canada , un diplomé de Vancouver devrait pouvoir s'installer au Québec et vis-versa ...Ce sont des arguments de maternelle car c'est normalement une logique de maternelle . Et maintenant tu crois au Père Noel...lorsque je suis parti de france, le seul successeur que j'ai trouvé, était Espagnol...Effectivement, comme il venait de l'union Européenne, le conseil lui a demandé 2 choses : son diplome de médecin et parler français . Seulement voilà, il avait appris le français en lisant Astérix....il s'est installé tout de même, et maintenant il rame, aucun soutien du conseil de l'ordre, aucun aide particulière... Si, un Ontarien veut s'installer ici, on lui demande des choses identiques, et il s'installera sans problème, il sera soutenu par le CMQ et les agence de santé...pour la langue, il aura le programme Québécois de remise à niveau. Je te répète, il n'y a pas de protectionnisme inter-provincial, mais le Canada est une fédération, ainsi il faut harmoniser certaine loi, pour permettre une installation correcte, sans mauvaise surprise. Il me semblait bien aussi avoir vu un nombre incalculable de reportage concernant la difficulté des médecins etrangers à s'installer en France Guiness , etrangers en France signifie étranger extra-communautaire ! Avec la pénurie qui s'installe dans les deserts médicaux , on va chercher les médecins roumains et autres de l'Union Européenne à coup de primes pour qu'ils s'installent dans les zones rurales et les régions comme le Centre qui sont snobées par les autochtones qui préfèrent la Cote D'Azur ou le Languedoc Citer
Habitués Equinox Posté(e) 18 janvier 2010 Habitués Posté(e) 18 janvier 2010 [Guiness , etrangers en France signifie étranger extra-communautaire ! Avec la pénurie qui s'installe dans les deserts médicaux , on va chercher les médecins roumains et autres de l'Union Européenne à coup de primes pour qu'ils s'installent dans les zones rurales et les régions comme le Centre qui sont snobées par les autochtones qui préfèrent la Cote D'Azur ou le Languedoc en attendant ces considérations climatologiques nous éloignent du sujet.... Guinness a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Guinness Posté(e) 18 janvier 2010 Habitués Posté(e) 18 janvier 2010 Guiness , etrangers en France signifie étranger extra-communautaire ! Avec la pénurie qui s'installe dans les deserts médicaux , on va chercher les médecins roumains et autres de l'Union Européenne à coup de primes pour qu'ils s'installent dans les zones rurales et les régions comme le Centre qui sont snobées par les autochtones qui préfèrent la Cote D'Azur ou le Languedoc Etrangers, en France, cela veut dire non français, bien que les citoyens de l'union européénne sont peut-être un peu moins etrangers que les autres newcomer, kyo et E-Logisticien ont réagi à ceci 3 Citer
Invité Posté(e) 18 janvier 2010 Posté(e) 18 janvier 2010 (modifié) heuuuuuuuu, je donnais juste une info. Pensais pas que ça allait engendrer une guerre Modifié 18 janvier 2010 par tarbais Citer
L'étranger Posté(e) 23 janvier 2010 Posté(e) 23 janvier 2010 Etrangers, en France, cela veut dire non français, bien que les citoyens de l'union européénne sont peut-être un peu moins etrangers que les autres Étrangers ? Comme moi ? Vous avez un message privé. Citer
Habitués Equinox Posté(e) 23 janvier 2010 Habitués Posté(e) 23 janvier 2010 Etrangers, en France, cela veut dire non français, bien que les citoyens de l'union européénne sont peut-être un peu moins etrangers que les autres Étrangers ? Comme moi ? Vous avez un message privé. Ah bon sangue, le sudouesce c'est là ou qui zont un assent d'estrangerse ! Citer
Habitués Guinness Posté(e) 24 janvier 2010 Habitués Posté(e) 24 janvier 2010 Etrangers, en France, cela veut dire non français, bien que les citoyens de l'union européénne sont peut-être un peu moins etrangers que les autres Étrangers ? Comme moi ? Vous avez un message privé. Ah bon sangue, le sudouesce c'est là ou qui zont un assent d'estrangerse ! Il parle du sudouesce de la perfide albion Ce gars là m'impressionne, il a réussit à me retracer sur immigrer.com pour me poser une question sur une passion commune (les montres bracelets) et sur un post sur un forum horloger datant d'il y a plus d'un an ! Un vrai détective privé du net. kyo et newcomer ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués jugmez Posté(e) 24 janvier 2010 Habitués Posté(e) 24 janvier 2010 17 décembre 2009 Signature de l'ARM : une fausse réciprocité entre médecins québécois et français par Daniel Jagodzinski* Peu de Québécois se souviennent aujourd'hui qu'il y a quelques dizaines d'années, les médecins de famille se rendaient en visite au domicile des patients. Depuis la création de l'assurance maladie en 1970, la médecine est devenue fonctionnarisée et le Collège des médecins du Québec poursuit une politique essentiellement syndicaliste de maintien et d'amélioration des avantages acquis. Le système trouve actuellement ses limites en raison de coûts de fonctionnement phénoménaux accompagnés d'une relative difficulté d'accès aux soins qui tend à s'aggraver. La longueur des délais de consultation et la pénurie de médecins est aggravée par le blocus imposé par le Collège des médecins du Québec à l'intégration de médecins étrangers du fait de la non-reconnaissance de leurs diplômes (qui les oblige à refaire leurs études avant de pouvoir s'installer). Les Québécois ont donc pu se réjouir de la signature récente des Arrangements en vue de la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles des médecins (ARM) le 27 novembre dernier par le président du Conseil de l'Ordre des médecins français, le président du Collège des médecins du Québec et la ministre française de la Santé, en présence du premier ministre Jean Charest. La possibilité d'installation de médecins français au Québec et celle de médecins québécois en France, dans une harmonieuse réciprocité, semblait ainsi a priori accordée En pratique, qu'est-ce que cela a changé? Malheureusement, pratiquement rien. En effet, depuis la signature de l'ARM, les médecins québécois ayant un permis d'exercice québécois en règle - c'est-à-dire tous - peuvent directement aller exercer en France sans aucune contrainte, si ce n'est quelques démarches administratives simples (s'inscrire à l'Ordre français, ne pas avoir de casier judiciaire). Ils arrivent, posent leur valise, font deux jours de démarches et peuvent pratiquer en ville ou à l'hôpital, où et comme ils le veulent. Ce qui est loin d'être le cas des médecins français désireux de s'installer au Québec. En effet, il ressort des exigences actuelles du Collège des médecins québécois que le médecin français qui veut exercer au Québec doit se soumettre à une semaine d'observation (300$) préalable à un stage d'évaluation de trois mois (12 000$). Si le stage obtient sa validation, le médecin doit exercer pendant un an dans un cadre universitaire ou réglementé avec un permis restrictif, avant de subir un examen de fin d'études. Cet examen est en fait l'examen de fin d'études de la spécialité (c'est-à-dire celui que doivent passer les étudiants québécois au bout de cinq années d'études en spécialité). Autant dire que le diplôme français ne vaut rien au Québec. Vous avez dit «réciprocité»? Ceux qui échouent à cet examen ou ne s'y soumettent pas doivent pratiquer 4 ans supplémentaires de «service médical» dans les conditions du permis restrictif. Bien sûr, le terme de «permis restrictif» n'est jamais utilisé par le Collège des médecins québécois, qui le remplace par celui de «permis 35» (permis d'exercer la médecine dans un établissement au sens de la Loi sur les services de santés et les services sociaux en vertu de l'article 35 de la Loi médicale), alors qu'il constitue dans les faits une pièce centrale du dispositif discriminatoire. Quid dans ces conditions de «l'effectivité de la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles», qui faisait pourtant partie des principes directeurs de l'accord, au même titre que «le respect des normes relatives à la langue française» ou «la réciprocité, l'équité et la transparence»? Le Collège tente de trouver une équité dans cet accord en soutenant que la liberté d'installation en France du médecin québécois est assortie de l'obligation de se constituer une clientèle (sans pourtant mentionner l'existence de nombreux postes hospitaliers disponibles), tandis que la soi-disant garantie de revenus du médecin français au Québec justifierait le véritable parcours du combattant qui lui est imposé. La fameuse équivalence des diplômes, pourtant but premier de l'accord, disparaît dans cette subtile rhétorique. Pour Yves Bolduc, ministre de la Santé du Québec, ces dispositions sont légalement fondées puisque les ententes sur la reconnaissance réciproque des diplômes professionnels sont signées entre les ordres professionnels et non pas entre les autorités gouvernementales. À quoi rime alors le déplacement en grande pompe de M. Charest, venu en France pour parrainer un accord qui ne le concernait pas? Ceci dit, comment expliquer la signature d'un accord qui semble désavantager l'une des parties signataires? 1) La position du Collège des médecins du Québec est protectionniste et, de ce strict point de vue, compréhensible. Elle entend préserver, grâce à la pénurie relative de médecins, les avantages d'une médecine essentiellement fonctionnarisée et au demeurant fort bien rémunérée. Cette interprétation n'est sans doute pas partagée par la majorité des citoyens québécois qui croient souvent fermement que, dans l'intérêt évident des patients, le Collège se bat à la fois pour préserver une excellente qualité de soins et réduire la pénurie de praticiens. 2) On comprend moins pourquoi l'Ordre des médecins français et la ministre française de la Santé ont signé cet accord. En fait, dans ce domaine, la France est moins protectionniste que le Québec car elle va également manquer de médecins dans les années à venir, tant dans son secteur public que privé (lequel compte près de 70 000 médecins en exercice). De plus, alors que les diplômes de médecins français sont maintenant et depuis des années valables dans toute l'Union européenne, sans restriction d'installation, la mobilité professionnelle n'est pas au rendez-vous au sein de l'Europe, sans doute à cause des barrières linguistiques. Barrière qui n'existe pas avec le Québec. On peut (cyniquement) imaginer qu'un tel accord freinera la fuite des médecins français vers le Québec, ou (c'est plus que possible) tabler sur l'indifférence des autorités françaises aux termes de l'accord qui n'a qu'une finalité politique destiné à illustrer les bons rapports entre nos deux pays. Ce qui vaut pour les médecins vaut pour d'autres professions de santé (vétérinaires, pharmaciens, etc.) soumises au bon vouloir des ordres professionnels. Il appartient aux Québécois de prendre connaissance de ces faits et de faire connaître leur opinion, dans leur propre intérêt. *L'auteur est un médecin français installé à Montréal mais qui ne pratique pas la médecine. voir aussi http://www.newswire.ca/en/releases/archive/December2009/09/c9497.html Grave mésentente France-Québec sur la reconnaissance des diplômes: Vive indignation de médecins français voulant travailler au Québec, alors que l'installation de leurs collègues québécois devient très facile en France/ Renseignements: François Lubrina, (514) 232-2234; Dr Anne-Marie Jouan, cardiologue, (514) 466-1143; Dr Daniel Jagodzinski, dermatologue, (514) 509-1189; Source: ASSEMBLÉE DES FRANÇAIS DE L'ÉTRANGER Citer
Habitués la cage aux sports Posté(e) 24 janvier 2010 Habitués Posté(e) 24 janvier 2010 [Guiness , etrangers en France signifie étranger extra-communautaire ! Avec la pénurie qui s'installe dans les deserts médicaux , on va chercher les médecins roumains et autres de l'Union Européenne à coup de primes pour qu'ils s'installent dans les zones rurales et les régions comme le Centre qui sont snobées par les autochtones qui préfèrent la Cote D'Azur ou le Languedoc en attendant ces considérations climatologiques nous éloignent du sujet.... perso je bosse sur la côte d'azur , mais suis largement prêt à franchir le pas pour m'installer au québec seul l'article ci dessus sur " une fausse réciprocité entre médecins québécois et français " m'interpelle . ceci étant , pour equinox , je te confirme notre arrivée le 25 janvier ! je te tel de là bas . il nous taaaaaaaaaaaaaaaaarde !!!!!!!!!!!!!!!!:lol::lol: Citer
Habitués Equinox Posté(e) 24 janvier 2010 Habitués Posté(e) 24 janvier 2010 En pratique, qu'est-ce que cela a changé? Malheureusement, pratiquement rien. En effet, depuis la signature de l'ARM, les médecins québécois ayant un permis d'exercice québécois en règle - c'est-à-dire tous - peuvent directement aller exercer en France sans aucune contrainte, si ce n'est quelques démarches administratives simples (s'inscrire à l'Ordre français, ne pas avoir de casier judiciaire). Ils arrivent, posent leur valise, font deux jours de démarches et peuvent pratiquer en ville ou à l'hôpital, où et comme ils le veulent. Ce qui est loin d'être le cas des médecins français désireux de s'installer au Québec. 2 jours de formalités administratives : si ce monsieur a quitté la France, il ne doit pas être au courant de la lenteur française...c'est délirant d'être aussi partial. Mon successeur en 2004, Espagnol de nationalité, à mis 1 mois, et parce que je connaissais bien le secrétaire du conseil qui a fait passé son dossier sur le dessus de la pile, à la DDASS, à la préfecture, à la mairie et au conseil de l'ordre. De plus, un québécois qui va arriver en France sera parachuté en pleine campagne avec un sonore "Débrouillez vous". Je ne vous raconte pas la déconvenue, lorsqu'il va devoir travailler 80 heures par semaine, faire du "léchage de bottes à la clientèle et de la surenchère aux examens pour garder cette clientèle.....je ne vous donne pas de détail sur toutes les formalité bureaucratique de la vie française. En effet, il ressort des exigences actuelles du Collège des médecins québécois que le médecin français qui veut exercer au Québec doit se soumettre à une semaine d'observation (300$) préalable à un stage d'évaluation de trois mois (12 000$). Si le stage obtient sa validation, le médecin doit exercer pendant un an dans un cadre universitaire ou réglementé avec un permis restrictif, avant de subir un examen de fin d'études. Cet examen est en fait l'examen de fin d'études de la spécialité (c'est-à-dire celui que doivent passer les étudiants québécois au bout de cinq années d'études en spécialité). Autant dire que le diplôme français ne vaut rien au Québec. Vous avez dit «réciprocité»? Ceux qui échouent à cet examen ou ne s'y soumettent pas doivent pratiquer 4 ans supplémentaires de «service médical» dans les conditions du permis restrictif. Bien sûr, le terme de «permis restrictif» n'est jamais utilisé par le Collège des médecins québécois, qui le remplace par celui de «permis 35» (permis d'exercer la médecine dans un établissement au sens de la Loi sur les services de santés et les services sociaux en vertu de l'article 35 de la Loi médicale), alors qu'il constitue dans les faits une pièce centrale du dispositif discriminatoire. Ceci est archi faux !!! Ce monsieur n'y connait strictement rien et fait un joyeux mélange entre le permis restrictif et les évaluations en vu d'obtenir un permis régulier du Québec. Actuellement le parrainage est assorti d'une convention financière, qui permet au candidat de ne rien payer moyennant un contrat de 4 ans avec l'établissement parraineur dans le cadre du permis restrictif. Au bout de 5 ans ce permis restrictif est converti en régulier du Québec moyennant 250 $ !!! Bien entendu, le médecin étranger qui désire avoir de suite un permis régulier, est soumis à une évaluation par un maitre de stage, dans une faculté de médecine et ensuite autorisé à s'inscrire en Résidence pour suivre le cursus habituel des étudiants québécois ! Je vous renvoie encore une fois sur le site du CMQ, rubrique médecins à diplômes hors Canada et États-Unis Citer
Habitués Equinox Posté(e) 24 janvier 2010 Habitués Posté(e) 24 janvier 2010 perso je bosse sur la côte d'azur , mais suis largement prêt à franchir le pas pour m'installer au québec seul l'article ci dessus sur " une fausse réciprocité entre médecins québécois et français " m'interpelle . ceci étant , pour equinox , je te confirme notre arrivée le 25 janvier ! je te tel de là bas . il nous taaaaaaaaaaaaaaaaarde !!!!!!!!!!!!!!!!:lol::lol: Ben oui, vous auriez dû arrivé hier, nous avons un temps superbe depuis 2 jours, soleil et - 3c, parfait pour le ski Alpin. Demain il pleut. enfin à mourial, peut-être pas chez moi !!! N'hésitez pas à appeler ! Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 24 janvier 2010 Habitués Posté(e) 24 janvier 2010 En pratique, qu'est-ce que cela a changé? Malheureusement, pratiquement rien. En effet, depuis la signature de l'ARM, les médecins québécois ayant un permis d'exercice québécois en règle - c'est-à-dire tous - peuvent directement aller exercer en France sans aucune contrainte, si ce n'est quelques démarches administratives simples (s'inscrire à l'Ordre français, ne pas avoir de casier judiciaire). Ils arrivent, posent leur valise, font deux jours de démarches et peuvent pratiquer en ville ou à l'hôpital, où et comme ils le veulent. Ce qui est loin d'être le cas des médecins français désireux de s'installer au Québec. 2 jours de formalités administratives : si ce monsieur a quitté la France, il ne doit pas être au courant de la lenteur française...c'est délirant d'être aussi partial. Mon successeur en 2004, Espagnol de nationalité, à mis 1 mois, et parce que je connaissais bien le secrétaire du conseil qui a fait passé son dossier sur le dessus de la pile, à la DDASS, à la préfecture, à la mairie et au conseil de l'ordre. De plus, un québécois qui va arriver en France sera parachuté en pleine campagne avec un sonore "Débrouillez vous". Je ne vous raconte pas la déconvenue, lorsqu'il va devoir travailler 80 heures par semaine, faire du "léchage de bottes à la clientèle et de la surenchère aux examens pour garder cette clientèle.....je ne vous donne pas de détail sur toutes les formalité bureaucratique de la vie française. En effet, il ressort des exigences actuelles du Collège des médecins québécois que le médecin français qui veut exercer au Québec doit se soumettre à une semaine d'observation (300$) préalable à un stage d'évaluation de trois mois (12 000$). Si le stage obtient sa validation, le médecin doit exercer pendant un an dans un cadre universitaire ou réglementé avec un permis restrictif, avant de subir un examen de fin d'études. Cet examen est en fait l'examen de fin d'études de la spécialité (c'est-à-dire celui que doivent passer les étudiants québécois au bout de cinq années d'études en spécialité). Autant dire que le diplôme français ne vaut rien au Québec. Vous avez dit «réciprocité»? Ceux qui échouent à cet examen ou ne s'y soumettent pas doivent pratiquer 4 ans supplémentaires de «service médical» dans les conditions du permis restrictif. Bien sûr, le terme de «permis restrictif» n'est jamais utilisé par le Collège des médecins québécois, qui le remplace par celui de «permis 35» (permis d'exercer la médecine dans un établissement au sens de la Loi sur les services de santés et les services sociaux en vertu de l'article 35 de la Loi médicale), alors qu'il constitue dans les faits une pièce centrale du dispositif discriminatoire. Ceci est archi faux !!! Ce monsieur n'y connait strictement rien et fait un joyeux mélange entre le permis restrictif et les évaluations en vu d'obtenir un permis régulier du Québec. Actuellement le parrainage est assorti d'une convention financière, qui permet au candidat de ne rien payer moyennant un contrat de 4 ans avec l'établissement parraineur dans le cadre du permis restrictif. Au bout de 5 ans ce permis restrictif est converti en régulier du Québec moyennant 250 $ !!! Bien entendu, le médecin étranger qui désire avoir de suite un permis régulier, est soumis à une évaluation par un maitre de stage, dans une faculté de médecine et ensuite autorisé à s'inscrire en Résidence pour suivre le cursus habituel des étudiants québécois ! Je vous renvoie encore une fois sur le site du CMQ, rubrique médecins à diplômes hors Canada et États-Unis Ah ... tout de même ... merci Guiness de rectifier un peu les choses. Citer
Habitués sarbacan Posté(e) 24 janvier 2010 Habitués Posté(e) 24 janvier 2010 Oui mais grosso modo mème si l'ordre des médecins français est tres lent , ça va mettre 1ans grand max , alors que de l'autre coté , tu auras quand 5 ans pendant lesquels le médecin ne sera pas libre d'exercer totalement son métier sans compter les frais ... Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 24 janvier 2010 Habitués Posté(e) 24 janvier 2010 Guiness ???? Ohhhh désolé Equinox Merciiiii Equinox (2 bisous pour me faire pardonner) Citer
Habitués Equinox Posté(e) 24 janvier 2010 Habitués Posté(e) 24 janvier 2010 Oui mais grosso modo mème si l'ordre des médecins français est tres lent , ça va mettre 1ans grand max , alors que de l'autre coté , tu auras quand 5 ans pendant lesquels le médecin ne sera pas libre d'exercer totalement son métier sans compter les frais ... NON ! encore une fois c'est faux ce que tu dis. J'ai absolument les mêmes privilèges et conditions d'exercice, ainsi que le même salaire que mes collègues Québécois ! Revises tes renseignements, avant de dire ça !!!! La restriction n'existe que sur la géographie, tu exerces dans le même établissement pendant 5 ans ! Citer
Habitués Equinox Posté(e) 25 janvier 2010 Habitués Posté(e) 25 janvier 2010 Guiness ???? Ohhhh désolé Equinox Merciiiii Equinox (2 bisous pour me faire pardonner) Dis ainsi ! je t'excuse ! et tu peux te tromper souvent, moi, j'aime les bisous !!! Citer
Habitués sarbacan Posté(e) 25 janvier 2010 Habitués Posté(e) 25 janvier 2010 Oui mais grosso modo mème si l'ordre des médecins français est tres lent , ça va mettre 1ans grand max , alors que de l'autre coté , tu auras quand 5 ans pendant lesquels le médecin ne sera pas libre d'exercer totalement son métier sans compter les frais ... NON ! encore une fois c'est faux ce que tu dis. J'ai absolument les mêmes privilèges et conditions d'exercice, ainsi que le même salaire que mes collègues Québécois ! Revises tes renseignements, avant de dire ça !!!! La restriction n'existe que sur la géographie, tu exerces dans le même établissement pendant 5 ans ! Si un établissement hospitalier trouve un interet à te parrainer et donc à te subventionner de 15000¨$ , ça veut dire qu il n a pas trouvé de médecins québecois et donc soit les conditions salariales ne sont pas terribles , soit la région où se trouve cet établissement n'est pas tres attirante ! Citer
Habitués Equinox Posté(e) 25 janvier 2010 Habitués Posté(e) 25 janvier 2010 (modifié) Si un établissement hospitalier trouve un interet à te parrainer et donc à te subventionner de 15000¨$ , ça veut dire qu il n a pas trouvé de médecins québecois et donc soit les conditions salariales ne sont pas terribles , soit la région où se trouve cet établissement n'est pas tres attirante ! AHAHAHAHHAHAHAAH ! mais tu vis où ! Sarbacan....tu es parti avec la fléchette, vraiment c'est la meilleure de la soirée !!!!! Pour te ramener sur terre : - As tu jamais entendu parlé de PÉ-NU-RIE : Une pénurie désigne une situation où une collectivité manque d'un ou de plusieurs produits ou services. il peut y avoir pénurie de médecins ... Modifié 25 janvier 2010 par Equinox Citer
Habitués jugmez Posté(e) 25 janvier 2010 Habitués Posté(e) 25 janvier 2010 , je vois que le Collège des médecins québécois a des avocats sur ce forum. En tout les cas, je ne veux pas entrer dans une polémique stérile, mais j'ai juste à dire que les grands perdants de ce protectionnisme forcené et hypocrite de ce collège sont les patients québécois. Rassurez moi, c'est pas la médecine française qui est si médiocre, sinon elle aurait pas eu 11 prix Nobel !!!! Citer
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