Habitués Sindhia Posté(e) 27 septembre 2008 Habitués Posté(e) 27 septembre 2008 Il y a des expériences qui vous laissent pantois et mal à l'aise. La semaine dernière, nous nous sommes rendus à notre entretien. Très bien préparés, avec des porte-documents bien rangés et organisés, contenant tous les papiers nécessaires et même plus au cas où, nous avons eu une surprise de taille. Tout ce que l'on a pu lire dans le forum sur le déroulement des entretiens s'est à peine vérifié. Arrivés avec presque une 1/2 heure d'avance à l'hôtel, nous avons attendu, nerveusement, notre tour prévu à 13 h 30. Vers 13 h 50, le conseiller (en provenance du Kenya), qui avait laissé sa porte ouverte, sort du bureau et s'étonne de nous voir. Il nous demande ce que l'on veut et nous lui avons dit que nous avions une convocation. Surpris, il nous fait entrer et nous demande ce que nous faisions fait là, sans nous demander à voir la lettre de convocation du BIQ !Nous répétons que nous avons été convoqués et il nous demande de prendre place, un peu à contrecur. Il veut voir nos passeports, les diplômes et leurs traductions et derniers certificats de travail. C'est tout. Beaucoup de temps passé sur l'ordinateur, pas une question, ou si peu. Une ambiance froide, silencieuse, désagréable quoi ! Dès que j'ai commencé à m'exprimer, il m'a demandé, d'une manière peu aimable, de me taire et de laisser parler la requérante principale. Vu son comportement, on a réalisé que la partie n'était pas gagnée et que nous allions rentrer chez sans les précieux documents.Autre information, pas de contrat d'autonomie financière à signer !À la fin, il nous a demandé si nous parlions l'anglais. Nous avons répondu « oui », étant absolument bilingues. Il a imprimé des documents, nous les a donné machinalement et nous a demandé de les contrôler. C'est à ce moment que l'on a compris que c'était les CSQ ! Il a insisté sur le fait que nous devions envoyer la demande fédérale à l'ambassade du Canada à Nairobi, on se demande bien pourquoi. Nous avons pris enfin congé du conseiller ; nous n'avons pas eu droit à un « Bienvenue au Québec », mais juste « Bonne chance ». Résultat : nous ne gardons pas de bons souvenirs de cet étrange entretien et nous avons toujours du mal à réaliser que nous avons bien en main les CSQ. Avec du recul, nous pensons que nous étions déjà acceptés par le BIQ de Paris ; ils voulaient juste voir quelques documents originaux. Quant au fédéral, c'est bien à Paris que nous devons envoyer les formulaires.C'est finalement décevant d'être reçu avec tant d'indifférence alors que toute la famille s'est déplacée, fortement motivée pour réussir cette étape cruciale. L'essentiel reste malgré tout les fameux certificats de sélection ! Citer
livai Posté(e) 29 septembre 2008 Posté(e) 29 septembre 2008 Rassure toi, ce n'est pas représentatif de la majorité des situations connues ni des mentalités de la population qui tu rencontreras au Canada. L'administration est rarement très accueillante mais je crois que ce que tu as vécu est assez rare donc ne t'en formalise pas Certains te diront même que tu as eu de la chance, puisque l'on ne t'as posé aucune question.Félicitation quand même pour l'entretien Citer
Habitués meuledor Posté(e) 29 septembre 2008 Habitués Posté(e) 29 septembre 2008 Il y a des expériences qui vous laissent pantois et mal à l'aise. La semaine dernière, nous nous sommes rendus à notre entretien. Très bien préparés, avec des porte-documents bien rangés et organisés, contenant tous les papiers nécessaires et même plus au cas où, nous avons eu une surprise de taille. Tout ce que l'on a pu lire dans le forum sur le déroulement des entretiens s'est à peine vérifié. Arrivés avec presque une 1/2 heure d'avance à l'hôtel, nous avons attendu, nerveusement, notre tour prévu à 13 h 30. Vers 13 h 50, le conseiller (en provenance du Kenya), qui avait laissé sa porte ouverte, sort du bureau et s'étonne de nous voir. Il nous demande ce que l'on veut et nous lui avons dit que nous avions une convocation. Surpris, il nous fait entrer et nous demande ce que nous faisions fait là, sans nous demander à voir la lettre de convocation du BIQ !Nous répétons que nous avons été convoqués et il nous demande de prendre place, un peu à contrecur. Il veut voir nos passeports, les diplômes et leurs traductions et derniers certificats de travail. C'est tout. Beaucoup de temps passé sur l'ordinateur, pas une question, ou si peu. Une ambiance froide, silencieuse, désagréable quoi ! Dès que j'ai commencé à m'exprimer, il m'a demandé, d'une manière peu aimable, de me taire et de laisser parler la requérante principale. Vu son comportement, on a réalisé que la partie n'était pas gagnée et que nous allions rentrer chez sans les précieux documents.Autre information, pas de contrat d'autonomie financière à signer !À la fin, il nous a demandé si nous parlions l'anglais. Nous avons répondu « oui », étant absolument bilingues. Il a imprimé des documents, nous les a donné machinalement et nous a demandé de les contrôler. C'est à ce moment que l'on a compris que c'était les CSQ ! Il a insisté sur le fait que nous devions envoyer la demande fédérale à l'ambassade du Canada à Nairobi, on se demande bien pourquoi. Nous avons pris enfin congé du conseiller ; nous n'avons pas eu droit à un « Bienvenue au Québec », mais juste « Bonne chance ». Résultat : nous ne gardons pas de bons souvenirs de cet étrange entretien et nous avons toujours du mal à réaliser que nous avons bien en main les CSQ. Avec du recul, nous pensons que nous étions déjà acceptés par le BIQ de Paris ; ils voulaient juste voir quelques documents originaux. Quant au fédéral, c'est bien à Paris que nous devons envoyer les formulaires.C'est finalement décevant d'être reçu avec tant d'indifférence alors que toute la famille s'est déplacée, fortement motivée pour réussir cette étape cruciale. L'essentiel reste malgré tout les fameux certificats de sélection !Notre expérience CSQ ressemble beaucoup a la votre, en pire je dois dire. Je n'entrerai pas dans les détails, mais je pense qu'il y a encore beaucoup de travail a faire dans cette administration. Nous avons passe l'entretien pour la CSQ a Montréal dans la plus grande douleur et humiliation ( après 2 ans de résidence dans la ville) . Il a fallut dire a cette personne au bout de deux heures que si c'était cela le Quebec, ce n'était pas pour nous, mais que nous allons prendre son nom et décrire "l'entretien" a la Presse de ce pas. Des lors et montre en main, nous avons eu nos CSQ en 5 minutes! Qui nous ont jamais servi d'ailleurs :-) Le quebec n'étant définitivement pas pour nous et vis versa, et pour le Bienvenu ....Pour livai, je suis content que pour certain ça se passe bien, car je ne souhaite pas cette expérience a d'autre. Mais peut-etre sommes nous maudis, mais je n'ai jamais eu de bonne expérience administrative québécoise. Alors que ça existe dans le reste du Canada :-) Citer
Habitués Sindhia Posté(e) 29 septembre 2008 Auteur Habitués Posté(e) 29 septembre 2008 Rassure toi, ce n'est pas représentatif de la majorité des situations connues ni des mentalités de la population qui tu rencontreras au Canada. L'administration est rarement très accueillante mais je crois que ce que tu as vécu est assez rare donc ne t'en formalise pas Certains te diront même que tu as eu de la chance, puisque l'on ne t'as posé aucune question.Félicitation quand même pour l'entretien Je te remercie ! Mais c'est sûr que l'on a vécu doit être rare sur l'ensemble des entretiens. Pour la petite histoire, c'est notre 2e CSQ ! Le premier projet d'immigration (qui date de pas mal d'années) n'a pu hélas se concrétiser. Cette fois, on ne laissera pas passer cette chance. Reste plus que que visa ! Citer
Habitués akabaraka Posté(e) 29 septembre 2008 Habitués Posté(e) 29 septembre 2008 Bonne chance a vous les amis. J'ai cependant une rapide question, avez-vous deposer la demande federal deja? Si oui combien de temps entre cela et le visas de resident permanent?Merci Citer
Habitués Sindhia Posté(e) 30 septembre 2008 Auteur Habitués Posté(e) 30 septembre 2008 Bonne chance a vous les amis. J'ai cependant une rapide question, avez-vous deposer la demande federal deja? Si oui combien de temps entre cela et le visas de resident permanent?MerciJ'attends les certificats de police que l'on devrait recevoir bientôt et on envoie le dossier au Fédéral. En ce qui concerne le temps qu'il faut, on préfère tabler sur 1 bonne année, vu les délais injustifiés pour le CSQ. Citer
Habitués Michoko2 Posté(e) 30 septembre 2008 Habitués Posté(e) 30 septembre 2008 Pour les délais, jette un oeil à la rubrique du même nom en haut de cette page, tu auras un meilleure idée de ce qui t'attend. L'attente varie selon les pays, les dossiers, etc. Citer
Habitués feyrouz Posté(e) 30 septembre 2008 Habitués Posté(e) 30 septembre 2008 ca merite des felicitations quand meme!! En fait il n y a pas un prototype de la procedure d'immigration, c'est une experience qui differe d'une personne a l'autre, les intervenants dans ce processus apportent leurs touchees! mais, Il faut se concentrer sur le resultat et oublier ses details.Je m'excuse pour l'absence des accents, je ne les ai pas sur mon clavier! Citer
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