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Les Québécois sont ouverts aux immigrants


Laurent

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Ah oui! c'est quoi le problème au Québec actuellement d'après toi. La responsabilité d'appliquer la loi, elle incombe à la justice pas au gouvernement. Ce dernier promulgue des lois, en modifie et en abroge. Ce qu'a fait Charest, c'est d'avoir essayé de colmater une brèche qui sous-couvert de liberté de religion, tolère des situations qui remettent en cause l'égalité des sexes.
 

Je pense qu'il devient très utile de revenir aux bases.

Pourquoi une telle commission ? Que se passe t-il et que s'est-il passé pour qu'on en arrive là ? ... Un CLSC qui propose des cours prénataux en excluant les hommes et demandant aux parents d'aller dans un autre CLSC pour y être ensemble. Un mari qui refuse que sa femme se fasse soigner par un médecin homme. Une secte qui demande la présence d'un policier homme pour discuter en refusant de parler à la policière. etc.

Si le GOUVERNEMENT avait su prendre ses responsabilités, il aurait agit de sorte à ce que les principes d'égalité homme femme ne soient pas bafoués. C'était au ministre de la santé de dire : les cours prénataux sont nécessaires aux deux parents et il est nécessaire qu'ils puissent être présents s'ils le désirent. C'était au maire de Outremont d'aviser la secte qu'ils ne pouvaient exiger de faire givrer les vitres du gym. C'était au ministre de la sécurité publique de faire appliquer la loi déjà existante.

Tu me parles de la justice ? Mais tu oublies une chose, ça prend quelqu'un pour la saisir. Le gouvernement EST l'exécutif et c'est donc à lui de faire exécuter les lois. Le gouvernement ne fait pas les lois d'ailleurs, c'est le législatif, donc, le Parlement ! ... Exécutif (gouvernement), législatif (Parlement), judiciaire (justice).

Je ne sais pas quelles sont les motivations de M. Charest et je ne suis pas un sympathisant du parti libéral: Je n'ai jamais été de droite mais le peu d'informations que j'ai maintenant sur le sujet me permettent de dire qu'il y a une complexité au niveau des droits et libertés au Québec qui justifient la création de la commission et surtout l'ouverture de ce débat populaire et démocratique. On ne peut pas reprocher à la classe politique de ne pas écouter le peuple et quane le peuple parle on dit que c'est une farce.

Encore une fois, qu'as t-on appris de cette commission ? Rien ! Ce qu'il se dit, nous le savions déjà. Oui, ça nous permet de nous gargariser en se disant que l'on écoute la plèbe, mais dans le fond, ça ne sert que de prétexte.

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Pourquoi une telle commission ? Que se passe t-il et que s'est-il passé pour qu'on en arrive là ? ... Un CLSC qui propose des cours prénataux en excluant les hommes et demandant aux parents d'aller dans un autre CLSC pour y être ensemble. Un mari qui refuse que sa femme se fasse soigner par un médecin homme. Une secte qui demande la présence d'un policier homme pour discuter en refusant de parler à la policière. etc.
Ah oui? tout le déballage politique et médiatique qui dure depuis plus d'un an a pour origine les deux faits divers que tu cites? Il n'y a donc pas eu des accommodements tranchés par les tribunaux, d'ailleurs en faveur des plaignants(demandeurs), une garderie n'a pas été condamnée pour un morceau de jambon? et j'en passe sur le vote voilé,...etc. Il n'y a donc aucune ambiguité dans les chartes des droits du Québec et du Canada sur ce plan? Quel trouillard ce Charest? ;)

En poussant plus loin, le projet de loi de Mme Marois sur l'identité québecoise n'a donc pas sa raison d'être toi qui semble pourtant le défendre, du moins dans les grandes lignes?

Tu me parles de la justice ? Mais tu oublies une chose, ça prend quelqu'un pour la saisir. Le gouvernement EST l'exécutif et c'est donc à lui de faire exécuter les lois. Le gouvernement ne fait pas les lois d'ailleurs, c'est le législatif, donc, le Parlement ! ... Exécutif (gouvernement), législatif (Parlement), judiciaire (justice).

Non le parlement ne fait pas les lois, il les discute et les vote en fonction des rapports de force. C'est le gouvernement ou les partis qui les lui soumettent. Saisir la justice ne signifie d'ailleurs pas obtenir gain de cause. La justice est indépendante. D'ailleurs si c'est aussi simple, les citoyens ont aussi le droit de saisir la justice. Le problème est qu'il y a des ambiguités à lever, des choses à clarifier et d'autres à trancher.

Encore une fois, qu'as t-on appris de cette commission ? Rien ! Ce qu'il se dit, nous le savions déjà. Oui, ça nous permet de nous gargariser en se disant que l'on écoute la plèbe, mais dans le fond, ça ne sert que de prétexte.

Moi personnellement, j'y ai appris beaucoup de choses. J'ai confirmé la grosse manipulation du sondage de Leger-Marketing sur le supposé racisme des Québécois. J'ai confirmé que comme tout autre peuple, les Québécois pouvaient aussi diverger sur les questions de société, qu'il y a des défenseurs de la laïcité et ceux qui veulent redonner à l'église sa place d'antan,....etc. J'ai confirmé que la majorité des immigrants était hostille aux accommodements déraisonnables...etc. Enfin, je suis sur que les cinq millions dépensés sont plus justifiés que ceux qui vont être dépensés dans l'affaire mettant en cause l'ancien premier ministre canadien (Mulrooney).

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Pourquoi une telle commission ? Que se passe t-il et que s'est-il passé pour qu'on en arrive là ? ... Un CLSC qui propose des cours prénataux en excluant les hommes et demandant aux parents d'aller dans un autre CLSC pour y être ensemble. Un mari qui refuse que sa femme se fasse soigner par un médecin homme. Une secte qui demande la présence d'un policier homme pour discuter en refusant de parler à la policière. etc.

Ah oui? tout le déballage politique et médiatique qui dure depuis plus d'un an a pour origine les deux faits divers que tu cites? Il n'y a donc pas eu des accommodements tranchés par les tribunaux, d'ailleurs en faveur des plaignants(demandeurs), une garderie n'a pas été condamnée pour un morceau de jambon? et j'en passe sur le vote voilé,...etc. Il n'y a donc aucune ambiguité dans les chartes des droits du Québec et du Canada sur ce plan? Quel trouillard ce Charest? ;)

En poussant plus loin, le projet de loi de Mme Marois sur l'identité québecoise n'a donc pas sa raison d'être toi qui semble pourtant le défendre, du moins dans les grandes lignes?

Je t'invite à me relire. La fin de la phrase finissait par "etc.", contraction de l'expression latine "et cætera", signifiant : et tout le reste. Il n'y a eu aucune décision de tribunaux concernant le vote voilé. Concernant la garderie, j'aimerai que tu donnes tes sources, puisque je n'ai pas entendu parler de condamnation... de toute façon, entre-nous, chacun de nous mangeons du porc même sans le savoir... car la gélatine alimentaire est présente presque partout en alimentation et cette gélatine est faite exclusivement à base de porc... donc, on va se calmer le pompon là-dessus !

Concernant les chartes, les différents gouvernements, lorsqu'ils ont des couilles, ont toujours tenu tête lorsqu'il s'agissait de défendre la langue française, cela devrait (mais n'est pas) la même chose en ce qui concerne le droit des femmes. Comme pour beaucoup de choses, ça prend une volonté gouvernementale.

Tu me parles de la justice ? Mais tu oublies une chose, ça prend quelqu'un pour la saisir. Le gouvernement EST l'exécutif et c'est donc à lui de faire exécuter les lois. Le gouvernement ne fait pas les lois d'ailleurs, c'est le législatif, donc, le Parlement ! ... Exécutif (gouvernement), législatif (Parlement), judiciaire (justice).

Non le parlement ne fait pas les lois, il les discute et les vote en fonction des rapports de force. C'est le gouvernement ou les partis qui les lui soumettent. Saisir la justice ne signifie d'ailleurs pas obtenir gain de cause. La justice est indépendante. D'ailleurs si c'est aussi simple, les citoyens ont aussi le droit de saisir la justice. Le problème est qu'il y a des ambiguités à lever, des choses à clarifier et d'autres à trancher.

Hum... le gouvernement ou les partis dis-tu ? Ce n'est pas exact. Le gouvernement peut proposer un "projet de loi", mais celui-ci est soumis au vote et aux modifications du parlement, c'est donc le Parlement qui a TOUJOURS le dernier mot, MAIS, l'opposition ou N'IMPORTE QUEL député, peut faire ce que l'on appelle une "proposition de loi", qui, elle aussi, sera discutée au Parlement. Le parlement FAIT les lois, le gouvernement est chargé de les faire exécuter. Tu ne peux pas aller à l'encontre de cette norme, car c'est un principe fondamental dans ce qui a trait à la séparation des trois pouvoirs.

Encore une fois, qu'as t-on appris de cette commission ? Rien ! Ce qu'il se dit, nous le savions déjà. Oui, ça nous permet de nous gargariser en se disant que l'on écoute la plèbe, mais dans le fond, ça ne sert que de prétexte.

Moi personnellement, j'y ai appris beaucoup de choses. J'ai confirmé la grosse manipulation du sondage de Leger-Marketing sur le supposé racisme des Québécois. J'ai confirmé que comme tout autre peuple, les Québécois pouvaient aussi diverger sur les questions de société, qu'il y a des défenseurs de la laïcité et ceux qui veulent redonner à l'église sa place d'antan,....etc. J'ai confirmé que la majorité des immigrants était hostille aux accommodements déraisonnables...etc. Enfin, je suis sur que les cinq millions dépensés sont plus justifiés que ceux qui vont être dépensés dans l'affaire mettant en cause l'ancien premier ministre canadien (Mulrooney).

Pas besoin de commission pour voir que le sondage était une manipulation de chiffres, nous en avions très longuement parlé ici-même, alors que la commission n'existait même pas encore ! Mais si cela t'a appris quelque chose de fondamental et qui va aider la nation à trouver des solutions, tant mieux ! ... personnellement, j'en doute.

Modifié par Petit-Prince
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Je t'invite à me relire. La fin de la phrase finissait par "etc.", contraction de l'expression latine "et cætera", signifiant : et tout le reste. Il n'y a eu aucune décision de tribunaux concernant le vote voilé. Concernant la garderie, j'aimerai que tu donnes tes sources, puisque je n'ai pas entendu parler de condamnation... de toute façon, entre-nous, chacun de nous mangeons du porc même sans le savoir... car la gélatine alimentaire est présente presque partout en alimentation et cette gélatine est faite exclusivement à base de porc... donc, on va se calmer le pompon là-dessus !

Concernant les chartes, les différents gouvernements, lorsqu'ils ont des couilles, ont toujours tenu tête lorsqu'il s'agissait de défendre la langue française, cela devrait (mais n'est pas) la même chose en ce qui concerne le droit des femmes. Comme pour beaucoup de choses, ça prend une volonté gouvernementale.

Mes sources pour la garderie? tu veux peut être m'attaquer en diffamation ? Mes sources, ce sont peut être des médias poubelles qui nous ont pourri la vie pendant des mois. Je n'ai pas dit qu'il y avait d'affaires de voile traitées par les tribunaux, par contre, il y a eu grosse polémique la-dessus entre le DGE et la classe politique fédérale. La presse ne parlait que de ça pendant des semaines.

Hum... le gouvernement ou les partis dis-tu ? Ce n'est pas exact. Le gouvernement peut proposer un "projet de loi", mais celui-ci est soumis au vote et aux modifications du parlement, c'est donc le Parlement qui a TOUJOURS le dernier mot, MAIS, l'opposition ou N'IMPORTE QUEL député, peut faire ce que l'on appelle une "proposition de loi", qui, elle aussi, sera discutée au Parlement. Le parlement FAIT les lois, le gouvernement est chargé de les faire exécuter. Tu ne peux pas aller à l'encontre de cette norme, car c'est un principe fondamental dans ce qui a trait à la séparation des trois pouvoirs.

Polémique stérile puisque elle n'a rien à voir avec le sujet de discussion. Si le projet Marois devait être une loi un jour, on parlera de la loi Marois (comme chef du PQ) et non pas loi de tel ou tel député.

Pas besoin de commission pour voir que le sondage était une manipulation de chiffres, nous en avions très longuement parlé ici-même, alors que la commission n'existait même pas encore ! Mais si cela t'a appris quelque chose de fondamental et qui va aider la nation à trouver des solutions, tant mieux ! ... personnellement, j'en doute.

Eh bien, justement. Beaucoup ici justifiaient les résultats du sondage.

Modifié par rayan
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Je t'invite à me relire. La fin de la phrase finissait par "etc.", contraction de l'expression latine "et cætera", signifiant : et tout le reste. Il n'y a eu aucune décision de tribunaux concernant le vote voilé. Concernant la garderie, j'aimerai que tu donnes tes sources, puisque je n'ai pas entendu parler de condamnation... de toute façon, entre-nous, chacun de nous mangeons du porc même sans le savoir... car la gélatine alimentaire est présente presque partout en alimentation et cette gélatine est faite exclusivement à base de porc... donc, on va se calmer le pompon là-dessus !

Concernant les chartes, les différents gouvernements, lorsqu'ils ont des couilles, ont toujours tenu tête lorsqu'il s'agissait de défendre la langue française, cela devrait (mais n'est pas) la même chose en ce qui concerne le droit des femmes. Comme pour beaucoup de choses, ça prend une volonté gouvernementale.

Mes sources pour la garderie? tu veux peut être m'attaquer en diffamation ? Mes sources, ce sont peut être des médias poubelles qui nous ont pourri la vie pendant des mois. Je n'ai pas dit qu'il y avait d'affaires de voile traitées par les tribunaux, par contre, il y a eu grosse polémique la-dessus entre le DGE et la classe politique fédérale. La presse ne parlait que de ça pendant des semaines.

Hum... le gouvernement ou les partis dis-tu ? Ce n'est pas exact. Le gouvernement peut proposer un "projet de loi", mais celui-ci est soumis au vote et aux modifications du parlement, c'est donc le Parlement qui a TOUJOURS le dernier mot, MAIS, l'opposition ou N'IMPORTE QUEL député, peut faire ce que l'on appelle une "proposition de loi", qui, elle aussi, sera discutée au Parlement. Le parlement FAIT les lois, le gouvernement est chargé de les faire exécuter. Tu ne peux pas aller à l'encontre de cette norme, car c'est un principe fondamental dans ce qui a trait à la séparation des trois pouvoirs.
Polémique stérile puisque elle n'a rien à voir avec le sujet de discussion. Si le projet Marois devait être une loi un jour, on parlera de la loi Marois (comme chef du PQ) et non pas loi de tel ou tel député.

Pas besoin de commission pour voir que le sondage était une manipulation de chiffres, nous en avions très longuement parlé ici-même, alors que la commission n'existait même pas encore ! Mais si cela t'a appris quelque chose de fondamental et qui va aider la nation à trouver des solutions, tant mieux ! ... personnellement, j'en doute.

Eh bien, justement. Beaucoup ici justifiaient les résultats du sondage.

Au Québec, et au Canada, contrairement à la France, les lois ne portent pas le nom de leur auteur... mais des numéros. Sais-tu que le critique en matière d'environnement du PQ dépose aussi des propositions de loi, ce n'est pas Marois qui fait cela. Même chose au niveau du critique en matière de santé... etc. Sache bien une chose Rayan : ce n'est pas parce qu'on en parle pas, ou que tu l'ignores, que cela n'existe pas ! ;)

Pour ce qui est du sondage, il y a eu un débat, effectivement... mais à force de te lire, j'ai l'impression que tu n'aimes pas ça le débat.

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Je t'invite à me relire. La fin de la phrase finissait par "etc.", contraction de l'expression latine "et cætera", signifiant : et tout le reste. Il n'y a eu aucune décision de tribunaux concernant le vote voilé. Concernant la garderie, j'aimerai que tu donnes tes sources, puisque je n'ai pas entendu parler de condamnation... de toute façon, entre-nous, chacun de nous mangeons du porc même sans le savoir... car la gélatine alimentaire est présente presque partout en alimentation et cette gélatine est faite exclusivement à base de porc... donc, on va se calmer le pompon là-dessus !

Concernant les chartes, les différents gouvernements, lorsqu'ils ont des couilles, ont toujours tenu tête lorsqu'il s'agissait de défendre la langue française, cela devrait (mais n'est pas) la même chose en ce qui concerne le droit des femmes. Comme pour beaucoup de choses, ça prend une volonté gouvernementale.

Mes sources pour la garderie? tu veux peut être m'attaquer en diffamation ? Mes sources, ce sont peut être des médias poubelles qui nous ont pourri la vie pendant des mois. Je n'ai pas dit qu'il y avait d'affaires de voile traitées par les tribunaux, par contre, il y a eu grosse polémique la-dessus entre le DGE et la classe politique fédérale. La presse ne parlait que de ça pendant des semaines.

Hum... le gouvernement ou les partis dis-tu ? Ce n'est pas exact. Le gouvernement peut proposer un "projet de loi", mais celui-ci est soumis au vote et aux modifications du parlement, c'est donc le Parlement qui a TOUJOURS le dernier mot, MAIS, l'opposition ou N'IMPORTE QUEL député, peut faire ce que l'on appelle une "proposition de loi", qui, elle aussi, sera discutée au Parlement. Le parlement FAIT les lois, le gouvernement est chargé de les faire exécuter. Tu ne peux pas aller à l'encontre de cette norme, car c'est un principe fondamental dans ce qui a trait à la séparation des trois pouvoirs.
Polémique stérile puisque elle n'a rien à voir avec le sujet de discussion. Si le projet Marois devait être une loi un jour, on parlera de la loi Marois (comme chef du PQ) et non pas loi de tel ou tel député.

Pas besoin de commission pour voir que le sondage était une manipulation de chiffres, nous en avions très longuement parlé ici-même, alors que la commission n'existait même pas encore ! Mais si cela t'a appris quelque chose de fondamental et qui va aider la nation à trouver des solutions, tant mieux ! ... personnellement, j'en doute.

Eh bien, justement. Beaucoup ici justifiaient les résultats du sondage.

Au Québec, et au Canada, contrairement à la France, les lois ne portent pas le nom de leur auteur... mais des numéros. Sais-tu que le critique en matière d'environnement du PQ dépose aussi des propositions de loi, ce n'est pas Marois qui fait cela. Même chose au niveau du critique en matière de santé... etc. Sache bien une chose Rayan : ce n'est pas parce qu'on en parle pas, ou que tu l'ignores, que cela n'existe pas ! ;)

Pour ce qui est du sondage, il y a eu un débat, effectivement... mais à force de te lire, j'ai l'impression que tu n'aimes pas ça le débat.

Encore une fois, c'est une polémique stérile qui n'a pas de rapport avec l'utilité ou pas de la commission Bouchard mais puisqu'on y est, continuons. Le fait que ça soit le critique d'environnement du PQ qui dépose une proposition de loi ne veut pas dire que c'est une loi du député ou du groupe parlementaire. Le Chef du PLQ c'est Jean Charest chef du gouvernement et c'est lui qui conduit la politique que la majorité (le premier groupe) des électeurs a voulue. Il ne fait pas qu'exécuter. La preuve il propose chaque année une loi de finances que les députes discutent ensuite.

Que Pauline Marois ou la direction du PQ s'appuie sur certains de ses députés pour propose des lois n'y change rien. Parlementer veut dire à l'origine discuter, négocier. Il discute de ce qu'on lui soumet. Que les lois ne portent pas ici les noms de leurs auteurs, ok Petit Prince, merci pour l'information.

Pour ce qui est du sondage, il y a eu un débat, effectivement... mais à force de te lire, j'ai l'impression que tu n'aimes pas ça le débat.

Je ne sais pourquoi tu dis cela parce que ce n'est pas vrai. Par contre, je pense qu'on ne mène pas de débat sur un sujet comme a-t-on le droit d'être raciste par exemple? Cela peut sembler anti-démocratique pour certains mais pas à moi. On peut expliquer pourquoi il y a montée du racisme et tenter d'enrayer les raisons et les racines du mal mais on ne peut se revendiquer raciste. Cela doit être un délit puni par la loi.

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Je suis tout à fait d'accord avec Petit-Prince.

Selon moi, l'immobilisme de Charest face aux premiers cas d'accommodements raisonnables a fait que cela a pris des proportions que ça n'aurait jamais dû prendre. Les médias ont comblé le vide en multipliant les articles sur le sujet et les réactions des gens mais c'était au gouvernement de faire respecter dès le départ certains principes existants dans la loi : l'égalité homme-femme, etc.

Inutile de créer une commission dont on connaît le résultat. Cette commission, c'est comme si le gouvernement de Charest voulait se défaire de son rôle et créer un pseudo-débat démocratique. Cela ne fait que retarder l'échéance.

Les médias, les gens s'attardent alors sur les commentaires les plus virulents. Qu'est-ce qu'on essaie de démontrer ?

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Je suis tout à fait d'accord avec Petit-Prince.

Selon moi, l'immobilisme de Charest face aux premiers cas d'accommodements raisonnables a fait que cela a pris des proportions que ça n'aurait jamais dû prendre. Les médias ont comblé le vide en multipliant les articles sur le sujet et les réactions des gens mais c'était au gouvernement de faire respecter dès le départ certains principes existants dans la loi : l'égalité homme-femme, etc.

Inutile de créer une commission dont on connaît le résultat. Cette commission, c'est comme si le gouvernement de Charest voulait se défaire de son rôle et créer un pseudo-débat démocratique. Cela ne fait que retarder l'échéance.

Les médias, les gens s'attardent alors sur les commentaires les plus virulents. Qu'est-ce qu'on essaie de démontrer ?

Il faut mettre ses culottes mesdames et messieurs les politiques, sauf qu'il y a des tentatives de vouloir islamiser la société canadienne et commission ou pas faut mettre fin a ce délire ici même en Amérique du nord.

Le blasphème et lapostasie démystifiés par un avocat torontois

Lavocat canadien à la retraite Syed Mumtaz Ali réclame moins de liberté dexpression pour les non-musulmans et davantage de liberté pour les musulmans qui croient que le blasphème et lapostasie méritent la mort.

Mumtaz Ali a dabord senti le besoin de vulgariser, pour un public de non-musulmans, les préceptes du droit islamique se rapportant au blasphème et à lapostasie Il réclame ensuite une plus grande ouverture des Canadiens à la perspective islamique sur le sujet. Son exposé vise à dissiper lignorance et à favoriser la compréhension et la bonne entente entre citoyens « dans le contexte du multiculturalisme canadien ».

On se souviendra que Mumtaz Ali, qui préside le Canadian Society of Muslims, est à lorigine de la campagne visant à introduire des tribunaux de la charia en Ontario (initiative qui a failli être couronnée de succès en 2004). Il a été honoré à deux reprises en 2001 par la communauté musulmane de Toronto en reconnaissance de sa contribution exceptionnelle à lislam

Le blasphème et lapostasie expliqués par Mumtaz Ali

Blasphème (Kufr) cacher (la vérité)

Selon le dictionnaire Webster, le terme blasphème réfère aux propos méprisants ou irrévérencieux envers dieu ou le souverain.

En droit islamique, ceci inclut le déni de lun quelconque des préceptes essentiels de lislam. Un musulman reconnu coupable de blasphème est condamné à mort dans les pays musulmans. (Dictionary of Islam par T.P. Hughes, Lahore, Pakistan, Premier Book House)

Apostasie

En droit islamique, lapostat de sexe masculin qui sobstine dans son égarement est passible de la peine de mort. La femme, elle, est plutôt emprisonnée jusquà ce quelle se rétracte. Si le mari ou la femme apostasie, les époux sont automatiquement divorcés. Lépouse peut conserver sa dot mais aucun jugement de divorce nest requis. Si le mari et lépouse apostasient conjointement, leur mariage peut généralement être maintenu, quoique limam Zufar enseigne que si le mari ou la femme retourne à lislam, le mariage est alors dissous.

Selon Abu Hanifah, lapostat de sexe masculin ne peut vendre ou autrement disposer de ses biens. Mais Abu Yusuf et limam Muhammad divergent dopinion sur ce point. Ils considèrent quun apostat de sexe masculin conserve la capacité dexercer tous ses droits comme sil était encore musulman.

Si un garçon mineur abjure sa foi, il ne doit pas être mis à mort mais plutôt incarcéré jusquà sa majorité. Sil persiste alors dans son rejet de lislam, il doit être exécuté. Les fous et les ivrognes ne sont pas tenus responsables de leur apostasie. Si un homme renonce à lislam sous la contrainte, sa femme nest pas divorcée et ses terres ne sont pas confisquées. Si un homme se convertit à lislam sous la contrainte, et apostasie par la suite, il ne doit pas être exécuté.

Le testament dun apostat de sexe masculin est invalide, mais pas celui de la femme apostat.

Ikrimah relate que certains apostats ont été amenés au calife Ali, qui les a brûlé vifs. Mais Ibn Abbas en a eu vent et a déclaré que laction du calife nétait pas juste puisque Mahomet a dit « Ne punissez pas au moyen de la punition divine (i.e. le feu), mais tuez quiconque change de religion avec lépée. »

Appel à la compréhension et à louverture

En conclusion de son exposé, Mumtaz Ali souligne que les lois canadiennes ne tiennent pas compte des droits de la minorité musulmane et de sa conception de la liberté dexpression, de la diffamation, du libelle, du sacrilège, du blasphème et de lapostasie. Selon lui, les tribunaux canadiens et la société ont une obligation constitutionnelle de se pencher sur la question du blasphème et de lapostasie à la lumière des préceptes du droit islamique. Mumtaz Ali souligne que les croyances religieuses des canadiens de confession musulmane et leur mode de vie font partie intégrante du patrimoine multiculturel du Canada. Compte tenu de leurs croyances distinctes, les musulmans devraient être traités comme une « communauté protégée » au sein de la société. Mumtaz Ali emploie ici une terminologie quil avait utilisée pour décrire les droits des minorités protégées en terre dIslam. Ces minorités (juifs, chrétiens, etc.) avaient leurs propres tribunaux et appliquaient leurs propres lois.

Mumtaz Ali ne va pas jusquà demander que les tribunaux canadiens appliquent les sanctions prescrites par le droit islamique pour les délits de blasphème et dapostasie. Il demande toutefois que les tribunaux tiennent compte des sensibilités de la communauté musulmane au complet (la « oumma ») lorsque vient le temps de circonscrire les limites du droit à la liberté dexpression garantie par la constitution.

Quand on scrute les écrits de Mumtaz Ali avec attention, on constate que son article sur le blasphème et lapostasie sinscrit parfaitement dans sa vision dun Canada multiculturel « reconstruit ». Il milite pour la reconnaissance dune « nation musulmane » au pays dont les autorités négocieraient avec le Canada de gouvernement à gouvernement (à lexemple des nations amérindiennes). La « nation musulmane » serait libre dadopter ses propres lois (y compris la peine de mort) et dinstaurer ses propres tribunaux Voir le mémoire

Source The Review of the Ontario Civil Justice System The Reconstruction of the Canadian Constitution and the case for Muslim Personal/Family Law , 1994 - http://muslim-canada.org/submission.pdf

Je sais fort bien que ce tristre individu n'est pas représentatif de tous les musulmans vivant au Canada (pour Riyan et Aslan) Mais ceux qui partage ses idées et millitent dans ce sens sont hostille envers nous et cela est inaceptable.

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Laura-Julie Perreault

La Presse

Gérard Bouchard et Charles Taylor ont-ils mis des lunettes roses?

Plusieurs se posaient la question hier après que les deux commissaires, chargés d'étudier la question des accommodements raisonnables, eurent brossé un portrait très positif de leur tournée de consultation dans les régions du Québec.

Interrogés par La Presse hier, des membres du comité de sages qui conseillent Gérard Bouchard et Charles Taylor ont avoué un certain malaise à l'égard du bilan quelque peu «jovialiste» des commissaires.

Dans leur déclaration commune, à la fin des audiences publiques qui ont eu lieu à Laval cette semaine, MM. Bouchard et Taylor ont affirmé que leur tournée provinciale, loin d'avoir été un «freak show» ou une «séance de défoulement», comme le prétendent certains critiques, leur a permis de voir que l'écrasante majorité des Québécois qu'ils ont entendus ont une «grande ouverture» face aux immigrés et une volonté équivalente de participer à leur intégration dans la société québécoise.

Charles Taylor a reconnu que «des choses dures ont été dites sur les minorités religieuses» lors des audiences publiques et des forums populaires qui les ont accompagnées, mais il a ajouté que ces propos avaient été tenus «par une minorité de personnes».

Pierre Bosset, un des 15 intellectuels qui siègent au comité conseil de la «Commission de consultation sur les pratiques d'accommodement reliées aux différences culturelles», ne voit pas les choses du même oeil. «Ce que les commissaires ont rapporté n'est pas complètement fidèle à ce que nous avons entendu. L'antisémitisme et l'islamophobie auraient dû être décriés dans leur bilan», remarque le professeur à la faculté de sciences politiques et de droit de l'Université du Québec à Montréal.

Membre du même club sélect, le sociologue Jacques Beauchemin arrive au même constat. «Les commissaires doivent parler davantage d'islamophobie. Ils doivent intervenir de manière encore plus énergique» à l'égard des manifestations d'intolérance, notait hier celui qui dirige la chaire de recherche du Canada en mondialisation, citoyenneté et démocratie.

Directeur de la Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes, qui regroupe une centaine d'organismes, Stephan Reichhold se montrait lui aussi étonné. «On a vraiment entendu des choses lourdes au cours des dernières semaines. En général, les forums sont assez anti-immigration et beaucoup de commentaires islamophobes reviennent à répétition», a noté M. Reichhold.

Il attend avec impatience les statistiques qu'ont promis de fournir les commissaires sur les propos entendus lors des audiences publiques. Charles Taylor et Gérard Bouchard croient que les médias ont accordé trop d'attention à certaines interventions spectaculaires plutôt qu'à la «majorité modérée».

Or, cette semaine, à Laval, les deux commissaires ont dû intervenir à maintes reprises pour nuancer les propos d'individus venus présenter des témoignages et des mémoires, notamment à l'égard des femmes qui portent le voile islamique au Québec et des coûts liés à la certification casher des aliments.

Membre de l'organisation Présence musulmane et journaliste à la télévision communautaire, Lamine Foura croit que les deux commissaires ont embelli quelque peu la réalité pour calmer le jeu après plusieurs semaines de controverse. «S'ils avaient dit autre chose, ils auraient en quelque sorte annoncé l'échec de leur démarche. Ils veulent sauver les meubles», avance M. Foura.

Plusieurs observateurs notent cependant qu'il est un peu tôt pour faire le procès de la consultation publique de la Commission. Mardi soir prochain, les deux commissaires siégeront pour la première fois à Montréal, dans le quartier Côte-des-Neiges, un des plus multiculturels au pays. La semaine suivante, après un saut de trois jours à Sherbrooke, ils s'installeront au Palais des congrès de Montréal pour un ultime tour de piste dans la métropole québécoise, qui accueille à elle seule plus de 75% des nouveaux arrivants.

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Je suis tout à fait d'accord avec Petit-Prince.

Selon moi, l'immobilisme de Charest face aux premiers cas d'accommodements raisonnables a fait que cela a pris des proportions que ça n'aurait jamais dû prendre. Les médias ont comblé le vide en multipliant les articles sur le sujet et les réactions des gens mais c'était au gouvernement de faire respecter dès le départ certains principes existants dans la loi : l'égalité homme-femme, etc.

Inutile de créer une commission dont on connaît le résultat. Cette commission, c'est comme si le gouvernement de Charest voulait se défaire de son rôle et créer un pseudo-débat démocratique. Cela ne fait que retarder l'échéance.

Les médias, les gens s'attardent alors sur les commentaires les plus virulents. Qu'est-ce qu'on essaie de démontrer ?

Il faut mettre ses culottes mesdames et messieurs les politiques, sauf qu'il y a des tentatives de vouloir islamiser la société canadienne et commission ou pas faut mettre fin a ce délire ici même en Amérique du nord.

Le blasphème et lapostasie démystifiés par un avocat torontois

Lavocat canadien à la retraite Syed Mumtaz Ali réclame moins de liberté dexpression pour les non-musulmans et davantage de liberté pour les musulmans qui croient que le blasphème et lapostasie méritent la mort.

Mumtaz Ali a dabord senti le besoin de vulgariser, pour un public de non-musulmans, les préceptes du droit islamique se rapportant au blasphème et à lapostasie Il réclame ensuite une plus grande ouverture des Canadiens à la perspective islamique sur le sujet. Son exposé vise à dissiper lignorance et à favoriser la compréhension et la bonne entente entre citoyens « dans le contexte du multiculturalisme canadien ».

On se souviendra que Mumtaz Ali, qui préside le Canadian Society of Muslims, est à lorigine de la campagne visant à introduire des tribunaux de la charia en Ontario (initiative qui a failli être couronnée de succès en 2004). Il a été honoré à deux reprises en 2001 par la communauté musulmane de Toronto en reconnaissance de sa contribution exceptionnelle à lislam

Le blasphème et lapostasie expliqués par Mumtaz Ali

Blasphème (Kufr) cacher (la vérité)

Selon le dictionnaire Webster, le terme blasphème réfère aux propos méprisants ou irrévérencieux envers dieu ou le souverain.

En droit islamique, ceci inclut le déni de lun quelconque des préceptes essentiels de lislam. Un musulman reconnu coupable de blasphème est condamné à mort dans les pays musulmans. (Dictionary of Islam par T.P. Hughes, Lahore, Pakistan, Premier Book House)

Apostasie

En droit islamique, lapostat de sexe masculin qui sobstine dans son égarement est passible de la peine de mort. La femme, elle, est plutôt emprisonnée jusquà ce quelle se rétracte. Si le mari ou la femme apostasie, les époux sont automatiquement divorcés. Lépouse peut conserver sa dot mais aucun jugement de divorce nest requis. Si le mari et lépouse apostasient conjointement, leur mariage peut généralement être maintenu, quoique limam Zufar enseigne que si le mari ou la femme retourne à lislam, le mariage est alors dissous.

Selon Abu Hanifah, lapostat de sexe masculin ne peut vendre ou autrement disposer de ses biens. Mais Abu Yusuf et limam Muhammad divergent dopinion sur ce point. Ils considèrent quun apostat de sexe masculin conserve la capacité dexercer tous ses droits comme sil était encore musulman.

Si un garçon mineur abjure sa foi, il ne doit pas être mis à mort mais plutôt incarcéré jusquà sa majorité. Sil persiste alors dans son rejet de lislam, il doit être exécuté. Les fous et les ivrognes ne sont pas tenus responsables de leur apostasie. Si un homme renonce à lislam sous la contrainte, sa femme nest pas divorcée et ses terres ne sont pas confisquées. Si un homme se convertit à lislam sous la contrainte, et apostasie par la suite, il ne doit pas être exécuté.

Le testament dun apostat de sexe masculin est invalide, mais pas celui de la femme apostat.

Ikrimah relate que certains apostats ont été amenés au calife Ali, qui les a brûlé vifs. Mais Ibn Abbas en a eu vent et a déclaré que laction du calife nétait pas juste puisque Mahomet a dit « Ne punissez pas au moyen de la punition divine (i.e. le feu), mais tuez quiconque change de religion avec lépée. »

Appel à la compréhension et à louverture

En conclusion de son exposé, Mumtaz Ali souligne que les lois canadiennes ne tiennent pas compte des droits de la minorité musulmane et de sa conception de la liberté dexpression, de la diffamation, du libelle, du sacrilège, du blasphème et de lapostasie. Selon lui, les tribunaux canadiens et la société ont une obligation constitutionnelle de se pencher sur la question du blasphème et de lapostasie à la lumière des préceptes du droit islamique. Mumtaz Ali souligne que les croyances religieuses des canadiens de confession musulmane et leur mode de vie font partie intégrante du patrimoine multiculturel du Canada. Compte tenu de leurs croyances distinctes, les musulmans devraient être traités comme une « communauté protégée » au sein de la société. Mumtaz Ali emploie ici une terminologie quil avait utilisée pour décrire les droits des minorités protégées en terre dIslam. Ces minorités (juifs, chrétiens, etc.) avaient leurs propres tribunaux et appliquaient leurs propres lois.

Mumtaz Ali ne va pas jusquà demander que les tribunaux canadiens appliquent les sanctions prescrites par le droit islamique pour les délits de blasphème et dapostasie. Il demande toutefois que les tribunaux tiennent compte des sensibilités de la communauté musulmane au complet (la « oumma ») lorsque vient le temps de circonscrire les limites du droit à la liberté dexpression garantie par la constitution.

Quand on scrute les écrits de Mumtaz Ali avec attention, on constate que son article sur le blasphème et lapostasie sinscrit parfaitement dans sa vision dun Canada multiculturel « reconstruit ». Il milite pour la reconnaissance dune « nation musulmane » au pays dont les autorités négocieraient avec le Canada de gouvernement à gouvernement (à lexemple des nations amérindiennes). La « nation musulmane » serait libre dadopter ses propres lois (y compris la peine de mort) et dinstaurer ses propres tribunaux Voir le mémoire

Source The Review of the Ontario Civil Justice System The Reconstruction of the Canadian Constitution and the case for Muslim Personal/Family Law , 1994 - http://muslim-canada.org/submission.pdf

Je sais fort bien que ce tristre individu n'est pas représentatif de tous les musulmans vivant au Canada (pour Riyan et Aslan) Mais ceux qui partage ses idées et millitent dans ce sens sont hostille envers nous et cela est inaceptable.

Mais c'est ça ce délire Mr hdelmondo ,chaque sujet tu l'orienntes vers un autre qui parles de l'islam , on parle sur les accommodements raisonnables pour une meilleur intégration des immigrants et tu nous parles sur Le blasphème et lapostasie , il faut que tu ne donnes des leçons sur l'islam et tu es loin d'être la personne convonable , je dirai même moi ( un musulman ) je suis loin de donner des leçons sur l'islam

pour tu répondre ; le FIS n'as pas peut islamiser notre société algérienne qui est musulmane depuis des siécles et ce monsieur Mumtaz Ali comme tu dis "un triste individu et qui n'est pas représentatif va pouvoir islamiser l'Amérique de Nord, tu ne voix pas que sa c'est " délire "

Les gens polémiquent sur un sujet lorsqu'ils ont des préjugés et qu'ils sont mal informés.

Les gens ont des préjugés sur l'Islam car c'est une image violente de l'islam que les médias en Occident véhiculent à travers quelques fanatiques frustrés qui n'ont rien compris à l'islam, au coran et aux enseignements du prophète. Certains médias et les gens de mauvaise foi sortent certains versets de leur contexte historique ou théologique pour attaquer une religion qu'ils ne connaissent qu'à travers une centaines de fanatiques égarés qu'on trouve dans toutes les religions.

Si on lit dans le coran juste : "Il n'y a de Dieu" on dirait que les musulmans ne croient pas en Dieu, mais si on continue le verset pour lire : "Il n'y a de Dieu que Dieu", on comprend que les musulmans croient en l'existance d'un Dieu unique qui est le même Dieu que les chrétiens et les juifs. Pour cela, avant de polémiquer, je conseil aux gens de lire le Coran et les explications historiques et théologiques adoptées et appliquées par les vrais musulmans, et non pas de se focaliser sur les réportages médiatiques (dont le but est de faire du chiffre ou gagner des élections ou autre ....) et sur les quelques fanatiques mis en avant.

Je tu conseil Mr hdelmondo de revoir tes références sur lislam (les livres et autres..) et darrêter ce délire que tu le fait chaque fois par connaissance ou méconnaissance ce nest pas à moi de te juger

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  • Habitués
Pourquoi une telle commission ? Que se passe t-il et que s'est-il passé pour qu'on en arrive là ? ... Un CLSC qui propose des cours prénataux en excluant les hommes et demandant aux parents d'aller dans un autre CLSC pour y être ensemble. Un mari qui refuse que sa femme se fasse soigner par un médecin homme. Une secte qui demande la présence d'un policier homme pour discuter en refusant de parler à la policière. etc.

Ah oui? tout le déballage politique et médiatique qui dure depuis plus d'un an a pour origine les deux faits divers que tu cites? Il n'y a donc pas eu des accommodements tranchés par les tribunaux, d'ailleurs en faveur des plaignants(demandeurs), une garderie n'a pas été condamnée pour un morceau de jambon? et j'en passe sur le vote voilé,...etc. Il n'y a donc aucune ambiguité dans les chartes des droits du Québec et du Canada sur ce plan? Quel trouillard ce Charest? ;)

En poussant plus loin, le projet de loi de Mme Marois sur l'identité québecoise n'a donc pas sa raison d'être toi qui semble pourtant le défendre, du moins dans les grandes lignes?

Je t'invite à me relire. La fin de la phrase finissait par "etc.", contraction de l'expression latine "et cætera", signifiant : et tout le reste. Il n'y a eu aucune décision de tribunaux concernant le vote voilé. Concernant la garderie, j'aimerai que tu donnes tes sources, puisque je n'ai pas entendu parler de condamnation... de toute façon, entre-nous, chacun de nous mangeons du porc même sans le savoir... car la gélatine alimentaire est présente presque partout en alimentation et cette gélatine est faite exclusivement à base de porc... donc, on va se calmer le pompon là-dessus !

Concernant les chartes, les différents gouvernements, lorsqu'ils ont des couilles, ont toujours tenu tête lorsqu'il s'agissait de défendre la langue française, cela devrait (mais n'est pas) la même chose en ce qui concerne le droit des femmes. Comme pour beaucoup de choses, ça prend une volonté gouvernementale

Ta source PP:

Nouveau cas d'accommodement dans un CPE

Presse Canadienne

Montréal

Un autre cas d'accommodement raisonnable touche cette fois un Centre de la petite enfance.

Selon TQS, le CPE Gros Bec, dans l'est de Montréal, doit modifier son menu pour satisfaire un petit musulman qui n'a pas droit de manger de viande non halal.

Dans le cadre d'une activité à la cabane à sucre organisée par le CPE, l'enfant musulman a mangé de la saucisse non halal, au grand dam du père. Non halal est une expression qui signifie que l'animal n'a pas subi l'abattage rituel.

La Commission des droits de la personne demande CPE de verser 4000 $ en dédommagement.

Après étude de la plainte, la Commission des droits de la personne a déterminé qu'il y avait eu discrimination basée sur la religion.

Par ailleurs, le CPE Gros Bec devra à tout prix éviter de servir du porc à l'enfant, une nourriture que l'on sert à l'occasion de Noël dans l'établissement: la religion musulmane interdit de consommer cette viande.

L'établissement a jusqu'au 2 avril pour se conformer aux recommandations de la Commission.

En cas de contestation, l'affaire se retrouvera devant le Tribunal des droits de la personne.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070320...19/CPACTUALITES

Bref, 2000$ pour l'enfant, 2000$ pour le père, et des maux de tête en prime pour le CPE. Wow! Ça donne envie de se convertir et de faire exprès pour se faire «discriminer», histoire de toucher le pactole après! :angry:

La Commission des droits de la personne, qui se fie sur l'ésotérique charte des droits québécoise, prend très souvent de mauvaises décisions comme celle-là. Chaque fois ou presque, elle fait dans l'angélisme et penche pour le plaignant, même si ça dépasse le «raisonnable». On devrait entre autre l'encadrer elle de façon plus serrée, car elle fait partie du problème. C'est à se demander pour qui la Commission travaille tant le point de vue du Québécois moyen n'est pas écouté. Cette Commission est liée au gouvernement, mais on dirait qu'elle se prend pour un gouvernement parallèle tant elle a des pouvoirs, tant elle est autonome. Ce n'est pas une instance judiciaire comme le Tribunal des droits de la personne, mais elle se permet de juger et de donner des amendes en plus.

D'ailleurs, c'est cette même Commission qui a, sans qu'un avis formel lui soit demandé, tranché que le projet de loi de Marois était discriminatoire. Quand c'est rendu qu'une Commission se permet de juger dans les médias un projet de loi qui n'a pas encore été discuté en Chambre et ce, avant même qu'on l'approche, c'est qu'elle se croit vraiment au-dessus de tout. Je me demande si Charest n'a pas fait un petit téléphone avant, car ça sent la manoeuvre politique... et ça pue. :ouafouaf:

Modifié par cherry
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Merci pour la source Cherry. Je commençais à craindre un procès. C'est très utile tes informations.

Modifié par rayan
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Mais c'est ça ce délire Mr hdelmondo ,chaque sujet tu l'orienntes vers un autre qui parles de l'islam , on parle sur les accommodements raisonnables pour une meilleur intégration des immigrants et tu nous parles sur Le blasphème et lapostasie , il faut que tu ne donnes des leçons sur l'islam et tu es loin d'être la personne convonable , je dirai même moi ( un musulman ) je suis loin de donner des leçons sur l'islam

pour tu répondre ; le FIS n'as pas peut islamiser notre société algérienne qui est musulmane depuis des siécles et ce monsieur Mumtaz Ali comme tu dis "un triste individu et qui n'est pas représentatif va pouvoir islamiser l'Amérique de Nord, tu ne voix pas que sa c'est " délire "

C'est pas si délirant que ça Papillon, car même si les Québécois et la majorité des musulmans voient bien que ce type de personne est extrémiste, les Canadiens anglais du ROC eux, sont un peu plus tartes. Je ne dis pas qu'un jour, nous auront droit à la totale comme cet illuminé d'avocat le préconise, mais quand je vois comment les Canadiens anglais s'y prennent pour élaborer leurs stratégies d'intégration des minorités - en demandant notamment et surtout l'avis des puissants lobbys et des chefs religieux - je me dis que ça ne tourne vraiment pas rond dans leur petite tête. C'est comme si le sacro-saint multiculturalisme canadian leur avait brûlé des neurones, éliminant toute forme de logique et de modération. C'est notamment à cause de ça qu'on est passé à un cheveu d'avoir des tribunaux parallèles basés sur la charia en Ontario. Ça donne lieu à de réels délires, comme le récent rapport de la Fédération canadienne des étudiantes et étudiants (FCÉÉ) sur les besoins des étudiants musulmans, basé sur une vision très rigoriste de l'islam. Cette fédération, qui représente des centaines de milliers d'étudiants à travers le Canada, recommande carrément aux universités de se comporter comme si nous étions dans un pays islamique, et même pire! Il y a donc des illuminés qui préconisent l'islamisation mais le pire, c'est que des organismes laïques et STUPIDES les écoutent !!!!!! :biohazar:

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Bref, 2000$ pour l'enfant, 2000$ pour le père, et des maux de tête en prime pour le CPE. Wow! Ça donne envie de se convertir et de faire exprès pour se faire «discriminer», histoire de toucher le pactole après!

La Commission des droits de la personne, qui se fie sur l'ésotérique charte des droits québécoise, prend très souvent de mauvaises décisions comme celle-là. Chaque fois ou presque, elle fait dans l'angélisme et penche pour le plaignant, même si ça dépasse le «raisonnable». On devrait entre autre l'encadrer elle de façon plus serrée, car elle fait partie du problème. C'est à se demander pour qui la Commission travaille tant le point de vue du Québécois moyen n'est pas écouté. Cette Commission est liée au gouvernement, mais on dirait qu'elle se prend pour un gouvernement parallèle tant elle a des pouvoirs, tant elle est autonome. Ce n'est pas une instance judiciaire comme le Tribunal des droits de la personne, mais elle se permet de juger et de donner des amendes en plus.

Ce qui veut dire qu'il n'y a pas une loi de séparation du culte et de l'état au Québec si non la validité des recettes ou non en CPE sont déterminées par le département de la santé et/ou de l'éducation. Je ne comprends pas pourquoi on permet à la commission des droits de la personne de s'exprimer sur la composition des repas car même s'il y avait intoxication ou mise en danger des consommateurs ce n'est pas à son personnel de s'en occuper. Je trouve qu'il y a juste de l'auto-flagellation et <<baissage de froque>> de la part de cette commission. La logique voudrait qu'on tiennes compte des conséquences des différents ingrédients sur la santé de l'enfant, pas des supposés interdits d'une hypothétique croyance. Bof, pas vraiment couillus vos politicards

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Bref, 2000$ pour l'enfant, 2000$ pour le père, et des maux de tête en prime pour le CPE. Wow! Ça donne envie de se convertir et de faire exprès pour se faire «discriminer», histoire de toucher le pactole après!

La Commission des droits de la personne, qui se fie sur l'ésotérique charte des droits québécoise, prend très souvent de mauvaises décisions comme celle-là. Chaque fois ou presque, elle fait dans l'angélisme et penche pour le plaignant, même si ça dépasse le «raisonnable». On devrait entre autre l'encadrer elle de façon plus serrée, car elle fait partie du problème. C'est à se demander pour qui la Commission travaille tant le point de vue du Québécois moyen n'est pas écouté. Cette Commission est liée au gouvernement, mais on dirait qu'elle se prend pour un gouvernement parallèle tant elle a des pouvoirs, tant elle est autonome. Ce n'est pas une instance judiciaire comme le Tribunal des droits de la personne, mais elle se permet de juger et de donner des amendes en plus.

Ce qui veut dire qu'il n'y a pas une loi de séparation du culte et de l'état au Québec si non la validité des recettes ou non en CPE sont déterminées par le département de la santé et/ou de l'éducation. Je ne comprends pas pourquoi on permet à la commission des droits de la personne de s'exprimer sur la composition des repas car même s'il y avait intoxication ou mise en danger des consommateurs ce n'est pas à son personnel de s'en occuper. Je trouve qu'il y a juste de l'auto-flagellation et <<baissage de froque>> de la part de cette commission. La logique voudrait qu'on tiennes compte des conséquences des différents ingrédients sur la santé de l'enfant, pas des supposés interdits d'une hypothétique croyance. Bof, pas vraiment couillus vos politicards

Diallo, nos politiques sont d'une lâcheté abyssal ! :dodotime:

Je t'expliquerai pourquoi ils sont comme ça.

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  • Habitués

A ce que je sache la garderie a porté la cause en appel.

A ce que j'avais lu l'enfant a pris un morceau de porc (une oreille de crisse) sur un plateau qui circulait ou dans l'assiette de son voisin.

Evidemment le père a du^plaider le manque de surveillance.

Aprés ça certain viendront se plaindre que les délais d'attente sont long pour une place en garderie pour certaines personnes, pourquoi une garderie devrait t'elle risquer des problèmes alors qu'elle peut les éliminer facilement en gérant la liste d'attente.

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Bref, 2000$ pour l'enfant, 2000$ pour le père, et des maux de tête en prime pour le CPE. Wow! Ça donne envie de se convertir et de faire exprès pour se faire «discriminer», histoire de toucher le pactole après!

La Commission des droits de la personne, qui se fie sur l'ésotérique charte des droits québécoise, prend très souvent de mauvaises décisions comme celle-là. Chaque fois ou presque, elle fait dans l'angélisme et penche pour le plaignant, même si ça dépasse le «raisonnable». On devrait entre autre l'encadrer elle de façon plus serrée, car elle fait partie du problème. C'est à se demander pour qui la Commission travaille tant le point de vue du Québécois moyen n'est pas écouté. Cette Commission est liée au gouvernement, mais on dirait qu'elle se prend pour un gouvernement parallèle tant elle a des pouvoirs, tant elle est autonome. Ce n'est pas une instance judiciaire comme le Tribunal des droits de la personne, mais elle se permet de juger et de donner des amendes en plus.

Ce qui veut dire qu'il n'y a pas une loi de séparation du culte et de l'état au Québec si non la validité des recettes ou non en CPE sont déterminées par le département de la santé et/ou de l'éducation. Je ne comprends pas pourquoi on permet à la commission des droits de la personne de s'exprimer sur la composition des repas car même s'il y avait intoxication ou mise en danger des consommateurs ce n'est pas à son personnel de s'en occuper. Je trouve qu'il y a juste de l'auto-flagellation et <<baissage de froque>> de la part de cette commission. La logique voudrait qu'on tiennes compte des conséquences des différents ingrédients sur la santé de l'enfant, pas des supposés interdits d'une hypothétique croyance. Bof, pas vraiment couillus vos politicards

L'idée qu'un organisme public comme la Commission des droits de la personne du Québec joue sur tous les fronts, tant au niveau politique que judiciaire, m'énerve au plus haut point, d'autant plus qu'on n'a pas élu leurs membres et qu'on ne les a pas nommé juges. Si ce n'était que de moi, j'abolirais carrément cette Commission. Ils ont fait ça en Colombie Britannique, redirigeant les plaignants directement vers le Tribunal des droits de la personne. Non seulement on économiserait ainsi du fric et du temps en éliminant un pallier, mais on aurait alors affaire à de vrais juges, et non à des gens qui se prennent pour des juges et qui jugent très mal de surcroît, ayant déjà un très fort parti-pris. Je ne dis pas que le fameux Tribunal prendrait de meilleures décisions, mais au moins, la répartition des pouvoirs serait claire: d'un côté les parlementaires qui font les lois et dictent les règles, de l'autre le judiciaire qui examinent les plaintes. Pour pallier à l'abolition de la Commission, un OSBL pourrait aider et guider les gens qui se posent des questions de droit, mais celui-ci n'aurait AUCUN pouvoir décisionnel, comme en Colombie Britannique. Naturellement, la Commission québécoise a très peur qu'on les suive sur cette voie, donc elle fait tout pour justifier son existence en se mettant le nez partout, en prenant la parole même quand un avis n'est pas demandé et en se targuant d'être indépendante.

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Nouveau cas d'accommodement dans un CPE

Presse Canadienne

Montréal

Un autre cas d'accommodement raisonnable touche cette fois un Centre de la petite enfance.

Selon TQS, le CPE Gros Bec, dans l'est de Montréal, doit modifier son menu pour satisfaire un petit musulman qui n'a pas droit de manger de viande non halal.

Dans le cadre d'une activité à la cabane à sucre organisée par le CPE, l'enfant musulman a mangé de la saucisse non halal, au grand dam du père. Non halal est une expression qui signifie que l'animal n'a pas subi l'abattage rituel.

La Commission des droits de la personne demande CPE de verser 4000 $ en dédommagement.

Après étude de la plainte, la Commission des droits de la personne a déterminé qu'il y avait eu discrimination basée sur la religion.

Par ailleurs, le CPE Gros Bec devra à tout prix éviter de servir du porc à l'enfant, une nourriture que l'on sert à l'occasion de Noël dans l'établissement: la religion musulmane interdit de consommer cette viande.

L'établissement a jusqu'au 2 avril pour se conformer aux recommandations de la Commission.

En cas de contestation, l'affaire se retrouvera devant le Tribunal des droits de la personne.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070320...19/CPACTUALITES

Bref, 2000$ pour l'enfant, 2000$ pour le père, et des maux de tête en prime pour le CPE. Wow! Ça donne envie de se convertir et de faire exprès pour se faire «discriminer», histoire de toucher le pactole après! :angry:

La Commission des droits de la personne, qui se fie sur l'ésotérique charte des droits québécoise, prend très souvent de mauvaises décisions comme celle-là. Chaque fois ou presque, elle fait dans l'angélisme et penche pour le plaignant, même si ça dépasse le «raisonnable». On devrait entre autre l'encadrer elle de façon plus serrée, car elle fait partie du problème. C'est à se demander pour qui la Commission travaille tant le point de vue du Québécois moyen n'est pas écouté. Cette Commission est liée au gouvernement, mais on dirait qu'elle se prend pour un gouvernement parallèle tant elle a des pouvoirs, tant elle est autonome. Ce n'est pas une instance judiciaire comme le Tribunal des droits de la personne, mais elle se permet de juger et de donner des amendes en plus.

D'ailleurs, c'est cette même Commission qui a, sans qu'un avis formel lui soit demandé, tranché que le projet de loi de Marois était discriminatoire. Quand c'est rendu qu'une Commission se permet de juger dans les médias un projet de loi qui n'a pas encore été discuté en Chambre et ce, avant même qu'on l'approche, c'est qu'elle se croit vraiment au-dessus de tout. Je me demande si Charest n'a pas fait un petit téléphone avant, car ça sent la manoeuvre politique... et ça pue. :ouafouaf:

Merci pour la source... j'avais entendu parler de cette histoire dans une CPE, mais je n'ai pas su (ou oublié) que la Commission des droits de la personne avait rendu une "décision". Pour le reste, je suis d'accord, ça va commencer à être un casse-tête s'il faut que les CPE accommode toutes les minorités.

Je trouve ça d'ailleurs pitoyable ! Dans le cas d'un enfant qui a une allergie, le CPE est au courant, bien sûr, mais ce sont les parents qui s'arrangent pour que leur enfant puisse avoir un régime particulier. Dans ce cas, c'est le CPE qui DOIT se plier aux jérémiades. Puis là, va donc falloir exclure les produits où il y a des traces de porc, c'est-à-dire, une pléthore d'aliments... finit les barres chocolatées, la plupart des plats pré-cuisinés... ça devient dingue !

Pis Rayan, qui te parle de procès toé ? Tu sais bien qu'on ne doit pas juger les "innocents" ! :lol:

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Bref, 2000$ pour l'enfant, 2000$ pour le père, et des maux de tête en prime pour le CPE. Wow! Ça donne envie de se convertir et de faire exprès pour se faire «discriminer», histoire de toucher le pactole après!

La Commission des droits de la personne, qui se fie sur l'ésotérique charte des droits québécoise, prend très souvent de mauvaises décisions comme celle-là. Chaque fois ou presque, elle fait dans l'angélisme et penche pour le plaignant, même si ça dépasse le «raisonnable». On devrait entre autre l'encadrer elle de façon plus serrée, car elle fait partie du problème. C'est à se demander pour qui la Commission travaille tant le point de vue du Québécois moyen n'est pas écouté. Cette Commission est liée au gouvernement, mais on dirait qu'elle se prend pour un gouvernement parallèle tant elle a des pouvoirs, tant elle est autonome. Ce n'est pas une instance judiciaire comme le Tribunal des droits de la personne, mais elle se permet de juger et de donner des amendes en plus.

Ce qui veut dire qu'il n'y a pas une loi de séparation du culte et de l'état au Québec si non la validité des recettes ou non en CPE sont déterminées par le département de la santé et/ou de l'éducation. Je ne comprends pas pourquoi on permet à la commission des droits de la personne de s'exprimer sur la composition des repas car même s'il y avait intoxication ou mise en danger des consommateurs ce n'est pas à son personnel de s'en occuper. Je trouve qu'il y a juste de l'auto-flagellation et <<baissage de froque>> de la part de cette commission. La logique voudrait qu'on tiennes compte des conséquences des différents ingrédients sur la santé de l'enfant, pas des supposés interdits d'une hypothétique croyance. Bof, pas vraiment couillus vos politicards

L'idée qu'un organisme public comme la Commission des droits de la personne du Québec joue sur tous les fronts, tant au niveau politique que judiciaire, m'énerve au plus haut point, d'autant plus qu'on n'a pas élu leurs membres et qu'on ne les a pas nommé juges. Si ce n'était que de moi, j'abolirais carrément cette Commission. Ils ont fait ça en Colombie Britannique, redirigeant les plaignants directement vers le Tribunal des droits de la personne. Non seulement on économiserait ainsi du fric et du temps en éliminant un pallier, mais on aurait alors affaire à de vrais juges, et non à des gens qui se prennent pour des juges et qui jugent très mal de surcroît, ayant déjà un très fort parti-pris. Je ne dis pas que le fameux Tribunal prendrait de meilleures décisions, mais au moins, la répartition des pouvoirs serait claire: d'un côté les parlementaires qui font les lois et dictent les règles, de l'autre le judiciaire qui examinent les plaintes. Pour pallier à l'abolition de la Commission, un OSBL pourrait aider et guider les gens qui se posent des questions de droit, mais celui-ci n'aurait AUCUN pouvoir décisionnel, comme en Colombie Britannique. Naturellement, la Commission québécoise a très peur qu'on les suive sur cette voie, donc elle fait tout pour justifier son existence en se mettant le nez partout, en prenant la parole même quand un avis n'est pas demandé et en se targuant d'être indépendante.

Moi des qu'on me parle de commission de droits de la personne , je fais de l'urticaire....... le droit de l'humain oui , les lois oui et pis voilà ..........pourquoi faire d'autres droits individuels? moi si je trouve que les casquettes portent préjudice à mon intrégrité , je porte plainte ????????? et on fait quoi de ceux qui portent des casquettes.........

Les lois protègent la société et on a besoin de réfléchir en société pas en tant qu'individualité

point .

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