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Le Mal du pays


Palmiers

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  • Habitués

Le mal du pays , pour vous c'est

Option 1 c'est inévitable

Option 2 c'est chronique

Option 3 c'est mauvais signe

Option 4 c'est du passé

Option 5 lui le plus fort

Option 6 c'est familial

Option 7 c'est guérissable 1 fois par an

Option 8 c'est jamais connu

Si vous pouvez argumenter cela serai sympa .

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  • Habitués

Option 9 c'est normal... tant que ça ne vous empêche pas de profiter aussi des choses autour de vous qui sont bien !

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  • Habitués

Ca vient de temps à autre, à l'occasion de détails : une odeur, un souvenir, une tournure de phrase, un copain hébergé qui s'en retourne chez lui...

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  • Habitués

Mal du pays ? pas vraiment. Plutôt des manques : comme certaines odeurs, des choses que je ne trouve pas ici, les petits villages, les vieilles pierres... et puis certains membres de la famille aussi !! Heureusement qu'il y a Internet !! :rolleyes:

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  • Habitués

Ca ne fait qu'un mois, trop tôt pour le dire, pour l'instant tout est génial !!!

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  • Habitués

Vaut mieux le mal du pays !Que mal en son pays !

Sinon pourquoi on s'en va !!!

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  • Habitués
Vaut mieux le mal du pays !Que mal en son pays !

Sinon pourquoi on s'en va !!!

Je suis entièrement d'accord avec toi. Je ne comprend pas trop ceux qui disent avoir avoir le uc entre 2 chaises. On quitte son bled pour voir quelque chose de différent si non on hiberne bien chez soi. Il n'y a quand même pas le feu en la demeure, nous ne sommes point des réfugiés, on quitte parce qu'on se sens en accord avec la mentalité, les murs et le style de vie du pays d'accueil. Je ne sors pas de ma guinée pour ensuite réclamer du maffé(au bonga fumé ou au poulet) à midi dans le resto du coin ni pour la flute pastorale ou le lait cru venant de la calebasse de ma bergère bien aimée. Je ne renie point mes spécificités culturelles qui sont d'une richesse extraordinaire mais quand on décide d'immigrer c'est qu'on accepte de faire violence sur soit même, de faire des concessions sur plein de choses pour en tirer bénéfice d'une nouvelle culture, d'une autre façon de faire et d'une autre vision des choses en général. Quand je vais à marrackech je vais plutôt demander un tounjia, un bon tadjin ou un bon plat de couscous, à bucharest je vais me chercher un sarmalé. Le mal du pays ce n'est pas trop pour moi, il y a bien bien sûr des amis et des membres de la familles qui vont nous manquer mais pas plus que ça.

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  • Habitués

Option 1 et 6 pour moi. C'est inévitable. Bien des choses me manquent. J'aimerais voir les deux bébés que ma soeur a eu pendant mon absence. Ma maman, qui a 60 ans l'an prochain. Mon papa, qui vieillit si bien et réussit à faire des bébés à 60 ans, alors que moi j'ai arrêté à 28. Mes 10 frères et soeurs. Fouler le sol de mon pays. Manger une brochette de chèvre avec les miens. Jaser avec une vieille sans rien comprendre à ce qu'elle dit, juste parce qu'elle est quelque part dans mon arbre généalogique. Acheter des niaiseries à mes neveux-nièces. Partager avec mes voisins un bol de bière de sorgho, au mépris des règles d'hygiène les plus élémentaires. Vivre au ralenti le temps de deux-trois semaines. La chaleur humaine. La proximité qui frise la promiscuité. Tant de choses qui font que chez soi, c'est chez soi ... Je regrette tout cela, mais ça ne m'empêche pas de vivre bien ici.

Si j'en avais les moyens, l'option 7 me ferait un gros bien. Une sorte de ressourcement. Faire le plein d'énergie auprès des miens. Puis profiter de ce séjour pour que mes enfants apprennent à parler un peu plus la langue de Grandma et Grandpa. Pour qu'ils fassent la connaissance de leur nombreuse parenté. Pour qu'ils connaissent leurs racines ...

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Pareil que Bendoudonc, Option 9. Je dirais aussi que le mal du pays me réconcilie même parfois avec lui. Il fait que seules les belles choses sont présentes quand on a la nostalgie alors que si on a quitté son pays c'est que tout n'allait pas si bien.

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  • Habitués

Une première interprétation me fait croire que le mal du pays est avant tout une histoire de liens avec les personnes de notre coeur .

Je serai personellement plutot du genre "Schmarette" , des odeurs , des architectures , des ressentiments materiels me ferait faire un bond virtuel !

Je reconnais que le "au revoir familial ou amical " sur le pas de la porte ou bien devant le controle bagages de l'aéroport peuvent être déchirant .

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