Habitués hachette Posté(e) 7 décembre 2006 Auteur Habitués Posté(e) 7 décembre 2006 Sauf que le joual n'est pas une langue, c'est une façon de parler au même titre que le langage des banlieues parisiennes ou le slang new-yorkais !! le joual manque de vocabulaire : le simple mot joual vient du mot cheval que les classes ouvrières n'arrivaient pas à prononcer; c'est le langage des pauvres francophones! les mots sont tronqués, approximatifs! Et c'est une erreur de penser que tous les québecois parlent tt le temps le joual, le plus souvent ils font bien la distinction! Ce qui est inquietant c'est de ne pouvoir parler autre chose que ce parler-là (quel qu'il soit!) C'est de ne pouvoir communiquer dans ta propre langue, de ne pouvoir en saisir toutes les nuances et les subtilités; mais à ce sujet, le débat est le même en France et au Québec! Merci de me reprendre..c'est vrai que je ne suis pas encore là depuis assez longtemps pour me rendre contre des subtilités ou plutôt des non-subtilités du joual ... Citer
Habitués JayJay Posté(e) 7 décembre 2006 Habitués Posté(e) 7 décembre 2006 Et sans aller jusqu'au joual, certaines tournures m'arrachent encore les oreilles, comme les "j'ai pas vu personne" pour dire "je n'ai vu personne". Moi c'est les liaisons impertinentes impliquant un "n". "Je vais n'en faire". Il y a de l'espoir. Mon p'tit gars est actuellement en lutte pour déterminer son identité. Il passe lentement du français de France au Québécois ("ça te tente-tu?") et ça le rend très fier, car il devient "comme les autres". L'autre jour cependant, j'ai dit "Je vais me retrouver sans rien". Il m'a dit "Maman, sans rien, c'est avec quelque chose. Sans rien, c'est comme si tu mets 2 négatifs, alors ça donne un positif". SIX ANS!!! J'ai dit "Mais où t'as appris ça?" "Ben je sais pas, c'était dans ma tête". L'imprécision, l'approximation, l'invention de termes ou d'expression tuent notre langue. Mais le pire, c'est dans l'Outaouais... C'est fou ce que la proximité avec l'anglais peut faire. Citer
Habitués PHIL_H Posté(e) 7 décembre 2006 Habitués Posté(e) 7 décembre 2006 Moi, quand je regarde un film américain doublé en français, il n'y a rien qui m'énerve plus que l'accent parisien et l'argot français. Ça détonne tellement avec l'action, avec l'ambiance américaine, avec les personnages américains, c'est tellement pas réaliste car les Français sont aux antipodes des Américains, que je décroche complètement. Voir un cowboy crier "Putain, mon flingue!", non désolée, mais ça ne passe pas du tout! Il est la le fond du problème, ce n'est un langage dont tu as l'habitude, lorsqu'il est sorti de son contexte il choque. Pour extrpoler ce que je viens de dire : lorsque je regarde un péplum en français (dont l'action se situe sous l'empire romain), ça passe pour moi comme une lettre à la poste, en revanche quand il passe en VO en anglais, ça me fait rire de voir des légionnaires romains anglophones avec l'accent du Texas Citer
Habitués Redflag Posté(e) 7 décembre 2006 Habitués Posté(e) 7 décembre 2006 L'imprécision, l'approximation, l'invention de termes ou d'expression tuent notre langue. Mais le pire, c'est dans l'Outaouais... C'est fou ce que la proximité avec l'anglais peut faire.Lis ce qui suit, tu va capoter... Je travaille en ce moment sur des formulaires de consentement que des patients malades signeront pour participer à une étude clinique qui teste un nouveau médicament. Des trucs tout simples comme l'emploi de pronoms "le, "la", ne choquent apparemment pas... Extrait de ce que je reçois : Étude randomisée de XXXX comparativement à Vancomycin, et XXX comparativement à Metronidazole, pour les patients... Vancomycine prend un e à la fin en français....Métronidazole s'écrit avec un -é-J'ai modifié en "la Vancomycine" et " au Métronidazole". La majuscule reste discutable mais je l'ai laissée. Comme le médicament XXXX, on devrait écrire "du XXXX", mais celui-ci je l'ai laissé passer aussi. Bref, y'a du boulot !Redflag Citer
Habitués Lachtite Posté(e) 7 décembre 2006 Habitués Posté(e) 7 décembre 2006 Il est la le fond du problème, ce n'est un langage dont tu as l'habitude, lorsqu'il est sorti de son contexte il choque. Pour extrpoler ce que je viens de dire : lorsque je regarde un péplum en français (dont l'action se situe sous l'empire romain), ça passe pour moi comme une lettre à la poste, en revanche quand il passe en VO en anglais, ça me fait rire de voir des légionnaires romains anglophones avec l'accent du Texas Le pire du pire pour moi c'est de regarder Marie-Antoinette en VO en anglais Ou pire certains films, tournés en anglais mais qui bénéficient de subventions françaises!!! Citer
Habitués JayJay Posté(e) 8 décembre 2006 Habitués Posté(e) 8 décembre 2006 J'ai tellement envie de vous refiler une "traduction" reçue au sein de mon groupe au gouvernement... mais je n'ai pas le droit, hélas. C'est un message pour encourager les gens à participer à une oeuvre de charité, ça fait des années que la même "traduction" est envoyée à tous. Elle a supposément été faite par un francophone. Ils ont traduit "cans of juice" par "bidons de jus" et "just pops" (dans le sens de "seulement des boissons gazeuses") par... "juste bruit". Trois paragraphes de babelfish. Il y a un manque total de respect du français, et les francophones, pas chiants, ne disent rien (lorsqu'ils s'en rendent compte, ce qui n'est pas toujours évident). Aujourd'hui j'étais en entrevue avec des dircom du gouvernement. L'une d'elle m'a avoué qu'elle avait été longtemps perçue comme une "maudite séparatisse" à cause de son souci de la langue française (l'ironie étant qu'elle n'a jamais résidé au Québec de sa vie). Lorsqu'elle mentionnait la mauvaise qualité d'une traduction, on se moquait, on l'envoyait balader (je signale que nos traductions se retrouvent sur le "théâtre des opérations", comme on dit, et avec le paquet de soldats qui partent de Valcartier, francophones et maîtrisant encore mal l'anglais, il est essentiel que les traductions soient compréhensibles). Peu à peu, cette attitude contribue à notre propre manque de respect, voire notre honte, de notre langue. C'est impossible dans ces conditions d'espérer une amélioration de la langue parlée. Même à la SRC d'Ottawa, les lecteurs de nouvelles répètent les erreurs lues dans les communiqués de presse rédigés par des incompétents, sans que quiconque songe qu'il serait peut-être pertinent de corriger ces erreurs. C'est lamentable. Ça m'écoeure, vous pouvez pas savoir, et il n'y a pas une loi au monde qui va pouvoir rattraper le coup de cette longue agonie de notre langue. Citer
Habitués cherry Posté(e) 8 décembre 2006 Habitués Posté(e) 8 décembre 2006 Même chose où je travaille. Un collègue, rédacteur sur le point de prendre sa retraite, m'a raconté qu'il était déprimé devant l'indifférence de certains, et même d'un chef de pupître! Il voit une faute, il le souligne, et on lui répond qu'on s'en fout, que c'est comme ça que les Québécois parlent et qu'ils vont donc comprendre! Même moi, qui ne suis qu'une pauvre technicienne, je passe mon temps à corriger les erreurs des journalistes. Double négation, mauvais choix de mot ou d'expression pour qualifier une réalité (ex: "ils sont au bord du gouffre" alors que la journaliste veut plutôt dire "ils sont dans un cul-de-sac"), mauvais temps de verbe, mauvais genre (féminin plutôt que masculin ou vice-versa), anglicismes, perronismes, etc. Pfffffffff... :biohazar: Citer
Habitués Lachtite Posté(e) 9 décembre 2006 Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Mais pensez-vous que la faute est uniquement imputable au joual ?? Je me fais peut-etre l'avocat du diable mais le joual est aussi une expression culturelle, là je viens de lire les belles-soeurs de Michel Tremblay et honnetement sans le joual en français international ben ça ferait pas de bon sens!!! Je suis la première à défendre le français, un beau français, et à dire que si le Québec veut défendre le français ça signifie défendre un français de qualité ! Mais faut-il forcément en passer par la mort du joual pour y parvenir ??Je sais pas si je peux faire le parrallèle mais je connais des bretons (ou parfois leur parent) qui ont vu le français imposé par la force, le breton est en train de renaitre chez les jeunes via les écoles diwan par exemple et dans plusieurs régions de France on tente de revenir en arrière, les cours de langue régionales sont prisés dans plein de région! Je pense pour ma part que le joual est une richesse tant que c'est un plus!!! Tout comme le langage des banlieues, oui, si tu sais aussi être compris en dehors de ton microcosme! Peut-etre que le jour où on en sortira de l'inféodation de la langue Jayjay, ce n'est pas qd le joual sera remisé; mais qd ce sera une fierté, non ? Citer
Habitués JayJay Posté(e) 9 décembre 2006 Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Mais pensez-vous que la faute est uniquement imputable au joual ?? Ça dépend du sens que tu donnes au joual. Tremblay n'a pas eu tort de faire parler ses personnes en joual, car il l'a fait dans un dessein de réalisme. C'était la 1è fois dans la littérature que les personnages étaient "vrai". Le joual est en partie le patois 17è, mais a été teinté par l'anglais, par les mauvaises traductions, par les impropriétés. Ces erreurs existent à cause de notre manque de fierté, de notre prétendu anti-snobisme de la langue. On en vient à parler une langue approximative. Le traiteur près de chez moi annonce "mets à emporter". Ce ne sont pas des "mets", ce sont des "plats", zut. Ces imprécisions sont partout, ce qui rend la communication entre les personnes de plus en plus difficile (ce n'est pas vrai qu'on se comprend entre nous!!!). Une langue difficile à comprendre, parce mal utilisée. Dans la vie de tous les jours, ce n'est pas très grave. Mais lisez un manuel d'instruction, et vous allez trouver ça moins drôle. Essayez d'exprimer vos idées, quand votre connaissance de la grammaire, du vocabulaire, est déficiente, et c'est moins drôle. À tel point que ça en devient le cauchemar des professionnels qui sont obligés d'écrire. Le débat se poursuivra à TéléQuébec, à "Il va y avoir du sport" vendredi prochain. Citer
Habitués tartan Posté(e) 9 décembre 2006 Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Mais pensez-vous que la faute est uniquement imputable au joual ?? Je me fais peut-etre l'avocat du diable mais le joual est aussi une expression culturelle, là je viens de lire les belles-soeurs de Michel Tremblay et honnetement sans le joual en français international ben ça ferait pas de bon sens!!! Je suis la première à défendre le français, un beau français, et à dire que si le Québec veut défendre le français ça signifie défendre un français de qualité ! Mais faut-il forcément en passer par la mort du joual pour y parvenir ??Je sais pas si je peux faire le parrallèle mais je connais des bretons (ou parfois leur parent) qui ont vu le français imposé par la force, le breton est en train de renaitre chez les jeunes via les écoles diwan par exemple et dans plusieurs régions de France on tente de revenir en arrière, les cours de langue régionales sont prisés dans plein de région! Je pense pour ma part que le joual est une richesse tant que c'est un plus!!! Tout comme le langage des banlieues, oui, si tu sais aussi être compris en dehors de ton microcosme! Peut-etre que le jour où on en sortira de l'inféodation de la langue Jayjay, ce n'est pas qd le joual sera remisé; mais qd ce sera une fierté, non ?d'accord avec toi toute culture ou langue a ses richesses... et pour allonger ce que tu dits on ne parle pas de la meme magniere a ses amis comme on parle a un inconnu on fait plus attention. Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 9 décembre 2006 Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Le joual est en partie le patois 17è, mais a été teinté par l'anglais, par les mauvaises traductions, par les impropriétés. Ces erreurs existent à cause de notre manque de fierté, de notre prétendu anti-snobisme de la langue. Euh.peut-être que 200 ans sous domination anglaise peut laisser des traces? Et si ce « manque de fierté » nous avait guidé, cela ferait longtemps que nous serions déjà assimilés à la langue anglophone...Cest justement par fierté de nos racines et de notre attachement à la langue qui fait que nous parlons encore le français. Un français rocailleux, certes, mais du français quand même!Et puis toutes les nations du monde ont 2 langues. La langue officielle et le language familier: En Angleterre, cest le cockney, en France, largot, au Etats-Unis, le slang, en Australie, le aussie slang, en Écosse, le jockney etc etcLe jour où le français officiel sera remplacé par le joual dans les médias et les institutions officielles, alors il y aura lieu de se désespérer, de se taper dessus et de faire son mea culpa. Mais cest présentement loin dêtre le casMême si parallèlement à tout ça, on est en droit de se poser des questions sur la perte de qualité de notre langue. Je crois qu'au Québec, nous sommes encore fiers d'avoir conservé notre langue et de pouvoir la parler encore. Contrairement à certains francophones des autres provinces qui eux, en ont honte.J'espère qu'on en arrivera jamais là... Citer
Habitués Zhu Posté(e) 9 décembre 2006 Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Dans une autre catégorie, nous à l'école de langue, on se demande toujours quoi enseigner : France "de France", expressions québécoises, français de l'Outaouais... Pas toujours facile de s'y retrouver !On a des étudiants qui, quand je leur dit que je suis Française, sautent de joie : "ah, du vrai Français !".On a aussi la version inverse : "ben non, moi je ne veux pas de prof français parce que je ne veux pas apprendre une langue que les québécois ne parlent pas".Sans compter ceux (une minorité hein...) qui pensent que, parce que tel ou telle prof est du maghreb ou de l'Afrique Noire, que son français n'est pas bon. Tout un combat pour leur montrer que leur français est suberbe !Autant je donne systématiquement l'équivalent français-québécois (quand je le connais !) pour plein de mots (parking-stationnement, interview-entretien etc.), autant je tique plus pour la "grammaire locale". Quand tu passes deux jours sur les pronoms relatifs (qui, que, dont, où etc.), que tu lis un journal et que tu vois une faute par phrase ("ce ce que j'ai discuté"), ça fout mal. Certains journaux sont bourrés de fautes, dont Le Droit. C'est pas une question de ne pas respecter les usages locaux de langue, c'est juste que pour moi, c'est grammaticalement incorrect. Et je ne dis pas que les Français ne font pas de fautes, pas plus que je relève toutes les expressions locales : je parle de grammaire massacrée...Je pense qu'il y a moyen d'avoir la richesse du vocabulaire québécois (et autres formes de français...), l'accent et aux particularités avec une grammaire correcte. Maintenant, pour ce qui est des films, je regarde systématiquement en VO. Mais si je vais voir un film québécois, je m'attends à avoir l'accent et les expressions avec, de même que je ne vois pas un film sur un quartier parisien sans l'argot, et un film du sud sans l'accent ! Mais je n'aime pas cette manie de doubler, et au pire, je vote pour lesa sous-titres ! Citer
Habitués Lachtite Posté(e) 9 décembre 2006 Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Et puis toutes les nations du monde ont 2 langues. La langue officielle et le language familier: En Angleterre, cest le cockney, en France, largot, au Etats-Unis, le slang, en Australie, le aussie slang, en Écosse, le jockney etc etcLe jour où le français officiel sera remplacé par le joual dans les médias et les institutions officielles, alors il y aura lieu de se désespérer, de se taper dessus et de faire son mea culpa. Mais cest présentement loin dêtre le casla grosse différence entre le joual et l'argot, ou le langage des banlieues ou le slang, c'est qu'ils sont créées pour ne pas être compris par autrui!!! alors que tous les québecois comprennent le joual! D'ailleurs l'argot en tant que tel, c'est une façon de se démarquer, c'est un marqueur social! d'ailleurs certains mots ne seront utilisés que dans certaines banlieues; le hic c'est qu'en voulant exclure autrui de son message l'argot peut aussi s'auto-exclure! çàd que je me reconnais dans cette langue mais tt le monde me reconnait aussi comme banlieusard! l'argot parisien qd à lui, n'a plus lieu d'être (en dehors des films d'Audiard bien sûr!) et personnellement je trouve ça dommage! Paris a perdu ses particularités linguistisques! Et qui peut se vanter de savoir ce qu'est un bleuet à Paris ? Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 9 décembre 2006 Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Heu....une myrtille? Citer
Habitués Lachtite Posté(e) 9 décembre 2006 Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Heu....une myrtille? et naaaaaaaan!!!!! un bleuet en titi parigot, c'est un billet de banque! A ne pas confondre avec un bleu c'est un kisdé, çàd un policier (on dit aussi un bleu pour dire que c'est un junior!) Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 9 décembre 2006 Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Alors donc, un bleu kisdé, par définition, ne possède pas beaucoup de bleuets pour sa tronche. tain, cest sa meuf qui doit râlerOui bon ok. On fait ce quon peut Citer
Habitués hachette Posté(e) 9 décembre 2006 Auteur Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Peut-etre que le jour où on en sortira de l'inféodation de la langue Jayjay, ce n'est pas qd le joual sera remisé; mais qd ce sera une fierté, non ?ah ben on est d'accord donc Et qui peut se vanter de savoir ce qu'est un bleuet à Paris ?Ben pour moi qui suis plutôt du quart sud/est de la France, un bleuet c'est une fleur et c'est tout , et en arrivant ici,pendant 2, 3 jours j'ai bien cru que les chocolats, bagels et autres yaourts étaient fait avec la plante :blushing: Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 9 décembre 2006 Habitués Posté(e) 9 décembre 2006 Il y a quelques semaines, jai loué le film Brick avec sa traduction faite au Québec. Et bien cétait une horreur. Pas parce que les personnages parlaient joual, mais parce que tout avait été traduit mot-à-mot de laméricain, au détriment même de la compréhension du film. Des expressions anglaises qui nont aucun sens en français étaient littéralement traduites. Jai dû mettre les sous-titres anglais pour en saisir le sens. Mais je dois dire que cest la première fois que je voyais une traduction aussi horrible. Dhabitude les films traduits au Québec sont de bonne qualité.Mais évidemment, rien ne vaut la version originale. Citer
Habitués Lachtite Posté(e) 10 décembre 2006 Habitués Posté(e) 10 décembre 2006 Par contre petite question à ceux qui ont vu "la grande séduction" est-ce moi ou le vocabulaire est très français international ? et l'accent il est pas un peu gommé ??? Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 10 décembre 2006 Habitués Posté(e) 10 décembre 2006 Par contre petite question à ceux qui ont vu "la grande séduction" est-ce moi ou le vocabulaire est très français international ? et l'accent il est pas un peu gommé ???La Grande Séduction? mais c'est en parfait québécois. Aucun gommage d'accent là-dedans...À moins... à moins qu'ils en ai fait une traduction pour la France? Citer
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