Habitués Curieuse Posté(e) 14 mars 2006 Habitués Posté(e) 14 mars 2006 Euh...sans vouloir offenser personne, le film "J'en Suis" est loin d'être un grand film. Claude Fournier étant d'ailleurs reconnu pour être le pire cinéaste du Québec. C'est d'ailleurs lui qui se cache derrière les séries télévisées sur Félix Leclerc et René Lévesque. Les deux plus grands navets de la télé Québécoise...---------------------------------------------------------------------------------------------------Voici pour les infos manquantes:LA MORT D'UN BÛCHERON - Can. 1973. Comédie dramatique de Gilles Carle avec Carole Laure, Daniel Pilon et Denise Filiatrault. - Une jeune fille venue à Montréal pour retrouver son père est exploitée par un tenancier de cabaret. - Diffus mais soigné. Mise en scène vigoureuse et inventive. Personnages bien campés.MOURIR À TUE-TÊTE - Can. 1979. Drame social d'Anne-Claire Poirier avec Julie Vincent, Germain Houde et Monique Miller. - Bouleversée par un viol, une infirmière n'arrive pas à retrouver son équilibre. - Sujet vivement et crûment engagé. Illustration stylisée. Une certaine distanciation intellectuelle. Tendances démonstratives. Interprétation juste.Affiche Mourir à tue-tête:http://www.cinematheque.qc.ca/exposition/e...3_1988_0234.jpg[attachmentid=646]Désolé de la petitesse de l'image, c'est la seule que j'ai trouvé... Citer
Invité Posté(e) 14 mars 2006 Posté(e) 14 mars 2006 un grand merci curieuse n'hésite pas à mettre tes commentaires sur le blogrupert k. Citer
Habitués Marien Posté(e) 15 mars 2006 Habitués Posté(e) 15 mars 2006 Euh...sans vouloir offenser personne, le film "J'en Suis" est loin d'être un grand film. Claude Fournier étant d'ailleurs reconnu pour être le pire cinéaste du Québec. C'est d'ailleurs lui qui se cache derrière les séries télévisées sur Félix Leclerc et René Lévesque. Les deux plus grands navets de la télé Québécoise...Ouais...J'EN SUIS n'est peut-être pas un grand film mais simplement une comédie sans prétention qui m'a bien fait rigoler et qui mérite d'être vu.Claude Fournier, le pire cinéaste du Québec?.....C'est drôle comme les québecois ont tendance à ne se souvenir que du pire et non du meilleur. Voyez plutôt ici ses meilleures réalisations.Claude Fournier, un des pionniers du cinéma québécois, il travaille successivement pour Radio-Canada et l'Office national du film (ONF) avant de fonder sa propre compagnie de production en 1966. En 1972, il crée avec Marie-José Raymond la société Rose Films inc. Cette compagnie produira notamment «Deux femmes en or» (1970), un des plus grands succès de l'histoire du cinéma québécoise, «Bonheur d'occasion» (1984), «Les Tisserands du pouvoir» (1987), «Golden Fiddles» (1994) et «Ces enfants d'ailleurs» (1997). Sa dernière comédie, «J'en suis», lui vaudra un succès. Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 15 mars 2006 Habitués Posté(e) 15 mars 2006 Deux Femmes en Or? Sais-tu pourquoi ce film a été « un des plus grands succès de l?histoire du cinéma Québécois » ?Parce qu?il est considéré comme le tout premier film «porno» de l?histoire du cinéma Québécois. C?était en effet la première fois que les spectateurs pouvaient voir des seins nus sur grand écran, et ce, sans la censure omniprésente du clergé catholique. D?où sa forte audience à l?époque. Il s?inscrit, au niveau des m?urs, comme un des évènements de la Révolution Tranquille.C?est probablement le seul et unique intérêt de ce film bâclé?Après, une multitude d?autres ont suivis. Dont le non-moins célèbre « Valérie » avec Danielle Ouimet?Quant à Bonheur d?Occasion, Les Tisserands du Pouvoir et Ces Enfants d?ailleurs, c?est vrai que c?était de bonnes séries télé? Citer
Habitués Marien Posté(e) 27 mars 2006 Habitués Posté(e) 27 mars 2006 Bonjour Rupert et cinéphiles,A signaler cette semaine 2 films de Denis Arcand1- RÉJEANNE PADOVANI: Drame social (1973) avec Jean Lajeunesse. Une réception offerte par un entrepreneur en construction est troublée par le retour de son ex-femme. 27 mars, minuit, Canal D2- GINA:Drame social (1975) avec Céline Lomez. L'agression d'une danseuse dans un motel en province occasionne un règlement de comptes et cause des sooucis a un groupe de cinéastes. 29 mars,minuit,Canal DEt aussiMAELSTROM; 2000 Drame phychologique de Denis Villeneuve avec Marie Josée Croze, Après avoir tué un homme avec sa voiture sans s'arrêter, une jeune femme rongée par la culpabilité rencontre le fils de la victime. 30 mars, 22.00h, Télé-QuébecLES FOUS DE BASSAN: 1986 Drame de Yves Simonneau avec Steve banner. Un homme se souvient des événements tragiques qui ont marqué son retour dans son village natal. 29 mars, 1.00h, ArtvBon cinéma Citer
Invité Posté(e) 28 mars 2006 Posté(e) 28 mars 2006 merci de l'info marien peu de temps en ce moment mais je veille Rupert k. Citer
Habitués kyris54 Posté(e) 29 mars 2006 Habitués Posté(e) 29 mars 2006 j'avais vu un autre film avec roy dupuis sur les soeurs Dionne, les premières quintuplées du Québec mais je ne sais pas si c'est un film ou un téléfilm??? le film m'a laissé assez angoissée, tragiques destins... Citer
Habitués Marien Posté(e) 29 mars 2006 Habitués Posté(e) 29 mars 2006 j'avais vu un autre film avec roy dupuis sur les soeurs Dionne, les premières quintuplées du Québec mais je ne sais pas si c'est un film ou un téléfilm??? C'était une télésérie et il n'y a eu aucune version pour le grand écran, si ma mémoire est bonne. Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 30 mars 2006 Habitués Posté(e) 30 mars 2006 j'avais vu un autre film avec roy dupuis sur les soeurs Dionne, les premières quintuplées du Québec mais je ne sais pas si c'est un film ou un téléfilm??? le film m'a laissé assez angoissée, tragiques destins...En fait, c'était pas des québécois mais des franco-ontariens qui provenaient d'un milieu rural très pauvre. Million dollar babies est disponible en DVD.[attachmentid=676] Citer
Habitués Marien Posté(e) 30 mars 2006 Habitués Posté(e) 30 mars 2006 En fait, c'était pas des québécois mais des franco-ontariens qui provenaient d'un milieu rural très pauvre. C'est vrai, et je crois que la télésérie a d'abord été tournée en anglais puis doublée en français.En fait, ya que Roy Dupuis de québecois la-dedans, non?Est-ce suffisant pour mettre ça dans le blog de Rupert? Citer
Habitués looleepop Posté(e) 30 mars 2006 Habitués Posté(e) 30 mars 2006 A propos, est-ce qu'on peut proposer des téléséries, voire des documentaires ? Citer
Habitués MIMOSA06 Posté(e) 30 mars 2006 Habitués Posté(e) 30 mars 2006 vu que michael moore a eté primé à CANNES , je crois que nous pouvons mettre le film-documentaire l'indifférence et le confort d'arcand (1980) whouaaouuu ! dans le docu de choc c'est fort .politisé ,mais trés fort.Je viens juste de l'acheter, mais à mon avis je vais le revoir quelques fois... Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 23 juin 2006 Habitués Posté(e) 23 juin 2006 Aujourd'hui, dans la Presse:Les trésors cachés du cinéma québécoisMarc-André LussierLa PresseLes Québécois sont tombés amoureux de leur cinéma national au cours des dernières années, mais il n'en a pas toujours été ainsi. Nous avons ainsi demandé à différents professionnels de choisir un film qui, selon eux, n'a pas été reconnu à sa juste valeur au moment de sa sortie, ou qui est trop vite retombé dans l'oubli. En leur compagnie, partons à la découverte du cinéma d'ici.Histoires d'hiver de François Bouvier (1999)Dans les années 60, un garçon collectionne des cartes de hockey... Avec Joël Drapeau-Dalpé, Denis Bouchard, Luc Guérin, Diane Lavallée.Selon Michel Coulombe, le très beau film de François Bouvier, tiré d'un roman de Marc Robitaille, est malheureusement arrivé trop tôt dans notre paysage cinématographique. «Ce film prendrait l'affiche aujourd'hui qu'il connaîtrait probablement un très grand succès populaire. Il s'agit d'un portrait d'époque d'une très grande finesse, extraordinairement juste, truffé de petits détails qui m'ont d'autant plus touché qu'ils faisaient écho à ce que les gens de ma génération ont vécu. À mon avis, il s'agit là de l'un des échecs les plus injustes de l'histoire du cinéma québécois.»Histoires d'hiver devrait être disponible en DVD en décembre 2006 (Films Séville).Ancien directeur des Rendez-vous du cinéma québécois, Michel Coulombe est le coauteur du Dictionnaire du cinéma québécois. Il a aussi créé Silence, on court! et agit à titre de chroniqueur cinéma à Radio-Canada.Le Nèg' de Robert Morin (2002)Dans un petit village, un jeune Noir détruit la statuette décorant la pelouse d'une dame âgée. Avec Robin Aubert, Emmanuel Bilodeau, René-Daniel Dubois, Béatrice Picard.À l'instar de Michel Coulombe, René Homier-Roy estime aussi très injuste le sort réservé à Histoires d'hiver de François Bouvier. «Des histoires d'hiver qui sont sorties au printemps, ce qui constituait déjà un crime de lèse marketing punissable d'insuccès», dit-il. Le grand amateur de cinéma s'est aussi pris de passion pour Le Nèg' de Robert Morin. «Un remarquable pastiche de film noir, habité par des interprètes hallucinants de justesse, d'intensité et, parfois, de drôlerie. Mais qui n'a pas été appuyé par une vraie campagne de publicité, ce qui en fait un des meilleurs films québécois les moins connus.»Le Nèg' est disponible en DVD (Christal Films)René Homier-Roy est à la barre de C'est bien meilleur le matin à la Première chaîne de Radio-Canada. Pendant la saison estivale, il anime, dès samedi, Attendez qu'on se souvienne.Gina de Denys Arcand (1975)L'équipe de tournage d'un documentaire loge dans un hôtel de province où travaille une strip-teaseuse. Avec Céline Lomez, Claude Blanchard, Frédérique Collin.Quand on demande au cinéaste Robert Morin de creuser un peu dans ses souvenirs, le premier titre qui lui vient spontanément à l'esprit est Le Bonhomme, un moyen métrage de Pierre Maheu qu'il n'a pas revu depuis les années 70. «Je me souviens avoir grandement été impressionné par les propos du bonhomme en question! lance Morin. Le réalisateur de Yes Sir, madame pense aussi aux premiers films de fiction de Denys Arcand, notamment Réjeanne Padovani («pour la finesse du propos politique») et Gina, le «premier film de fiction québécois vraiment bien maîtrisé» selon lui.Gina et Réjeanne Padovani sont disponibles en DVD (Christal Films). Le Bonhomme est également disponible en DVD (ONF).Le cinéaste Robert Morin compte plusieurs films marquants à son actif. Que Dieu bénisse l'Amérique est son plus récent long métrage.Mon oncle Antoine de Claude Jutra (1971)Dans une petite ville minière, un adolescent est initié au monde des adultes. Avec Jacques Gagnon, Jean Duceppe, Olivette Thibault.Bien entendu, ce classique de Claude Jutra fait partie des oeuvres les plus célébrées du cinéma québécois. Serge Losique estime quand même qu'il est impératif de faire découvrir Mon oncle Antoine aux plus jeunes. «Sans contredit l'un des plus grands films québécois réalisés jusqu'à maintenant. Pourtant, on néglige de le montrer aux générations montantes. On trouve dans ce film ce qu'est réellement le Québec.»Mon oncle Antoine est disponible en DVD (ONF).Serge Losique est le président-directeur général du Festival des films du monde de Montréal.Le Retour de l'immaculée Conception d'André Forcier (1971)De jeunes Québécois prennent conscience des problèmes économiques et culturels de la société dans laquelle ils vivent. Avec Julie Lachapelle, Jacques Chenail, Fernand Roy.Le critique Luc Perreault évoque plusieurs titres. Notamment À tout prendre de Claude Jutra ou, plus récemment, Histoires d'hiver de François Bouvier. Au bout du compte, c'est Le Retour de l'immaculée Conception, le premier long métrage d'André Forcier, qui, à son avis, mériterait d'être redécouvert aujourd'hui. «Portrait d'une jeunesse désabusée, d'un humour un peu potache, le film surprend aujourd'hui par sa liberté de ton absolument unique.»Le Retour de l'immaculée Conception n'est pas disponible en vidéo, ni en DVD.Luc Perreault a été journaliste à La Presse pendant 39 ans, dont 36 à titre de critique de cinéma.Manners of Dying de Jeremy Peter Allen (2004)Les dernières heures d'un condamné à mort. Avec Roy Dupuis, Serge Houde, Tony Robinow.Pour l'ancien critique de cinéma Georges Privet, cette remarquable adaptation du roman de Yann Martel aurait dû être mieux reçue. «Il s'agit d'un exercice de style qui fonctionne aussi sur le plan émotif, ce qui est rare. Roy Dupuis n'a jamais été aussi bon. Mais le film a été mal lancé, massacré à vrai dire, et le soutien critique n'a pas été à la hauteur. Pourtant, Manners of Dying est, à mon avis, l'un des meilleurs films québécois des récentes années.»Manners of Dying (L'Exécution) est disponible en DVD (Christal Films)Depuis la fin d'Écran libre, Georges Privet se consacre à l'écriture d'une série documentaire sur le cinéma québécois.Familia de Louise Archambault (2005)Fuyant ses problèmes de joueuse compulsive, une mère monoparentale se réfugie chez une amie d'enfance. Avec Macha Grenon, Sylvie Moreau, Juliette Gosselin.Quand il est monté sur scène pour accepter l'un des 13 Jutra qu'a obtenu son film C.R.A.Z.Y., Jean-Marc Vallée a tenu à souligner le travail de quelques collègues, dont celui de Louise Archambault. En toute logique, le cinéaste propose ainsi Familia, un film qui, à son avis, aurait dû être reconnu à sa plus juste valeur. «Ce ne sont pas toujours les meilleurs films qui obtiennent les plus grands succès. Personne ne peut expliquer pourquoi. Je comprends mal que Familia, un excellent film, n'ait pas obtenu plus d'une seule nomination aux Jutra.»Familia est disponible en DVD (Christal Films)Jean-Marc Vallée est le réalisateur de C.R.A.Z.Y.Au clair de la lune d'André Forcier (1982)Un «Albinos d'Albinie» fait la connaissance d'un homme sandwich, ancien champion de bowling. Avec Michel Côté, Guy L'Écuyer, Robert Gravel.En bon «trippeux» professionnel, Claude Chamberlan ne peut évidemment passer sous silence ce film étonnant, chargé de poésie. Qui, dans un autre temps, aurait très certainement pu connaître une carrière plus glorieuse. Le deuxième long métrage de Micheline Lanctôt, Sonatine, mériterait aussi d'être redécouvert, selon lui. Le film qui frappe toutefois le plus l'imagination de Chamberlan n'est toutefois connu que de très rares initiés. «Au début des années 70, j'ai eu l'occasion de découvrir un long métrage tourné en Super 8 qui m'avait complètement renversé. Je me souviens du titre, Contre le cinéma, mais je n'arrive pas à retrouver le cinéaste, ni à me rappeler de son nom! Mais je ne désespère pas, je continue mes recherches!»Au clair de la lune n'est pas encore disponible en DVD. On prévoit sortir éventuellement Sonatine en DVD (Films Séville).Claude Chamberlan est le directeur de la programmation du Festival du nouveau cinéma de Montréal.Entre la mer et l'eau douce de Michel Brault (1967)Un jeune artiste, parti de Charlevoix, connaît du succès à Montréal. Avec Claude Gauthier, Geneviève Bujold, Denise Bombardier, Robert CharleboisLe cinéaste Denis Chouinard avait déjà évoqué ce célèbre film de Michel Brault dans L'Ange de goudron. Pour Chouinard, Entre la mer et l'eau douce est rien de moins qu'une oeuvre emblématique. «Ce premier film urbain sur l'immigration réunissait les artistes les plus révélateurs de la culture québécoise de l'époque, estime-t-il en faisant notamment référence au scénario que Brault a écrit en collaboration avec Denys Arcand, Gérald Godin, Marcel Dubé et Claude Jutra. Je me rends pourtant compte que peu de gens de mon entourage l'ont vu!»Entre la mer et l'eau douce est disponible en DVD dans un coffret consacré aux oeuvres de Michel Brault (ONF).Denis Chouinard est le réalisateur de Délivrez-moi. Il est aussi le président des Rendez-vous du cinéma québécois.On est loin du soleil de Jacques Leduc (1970)Des aspects caractéristiques du Frère André sont incarnés par différents personnages. Avec Esther Auger, Reynald Bouchard.Le conservateur Pierre Jutras estime que ce film de fiction de Jacques Leduc, tourné à l'orée des années 70, est marquant à plus d'un titre, notamment sur le plan formel et narratif. Il y voit aussi la métaphore d'un Québec abandonné. Pierre Jutras tient aussi à mentionner Le Soleil se lève en retard, un long métrage réalisé en 1976 par André Brassard, qui avait coécrit le scénario avec Michel Tremblay. «Un film qui, comme celui de Leduc, a parfaitement su capter l'esprit québécois de l'époque, explique-t-il. Les oeuvres marquantes des années 70 ont malheureusement souffert de la vague de mauvais films d'exploitation, tournés au même moment. Il a fallu beaucoup de temps avant que le public ne reprenne confiance.»On est loin du soleil est disponible sur DVD (ONF). On prévoit sortir éventuellement Le Soleil se lève en retard en DVD (Films Séville).Pierre Jutras est directeur, conservation et programmation à la Cinémathèque québécoise.Parlez-nous d'amour de Jean-Claude Lord (1976)Les coulisses d'une émission de variétés populaire. Avec Jacques Boulanger, Benoît Girard.Finalement, l'auteur de ces lignes ira lui aussi de sa suggestion. Décrié au moment de sortie, boudé par un public qui n'avait pas envie de se reconnaître dans le miroir qu'on lui tendait, le brûlot de Jean-Claude Lord sur le milieu de la «variété télévisuelle» reste encore pertinent aujourd'hui. Le film se distingue notamment par les dialogues explosifs de Michel Tremblay.Un projet de coffret des films de Jean-Claude Lord en DVD serait en chantier (Films Séville).http://www.cyberpresse.ca/article/20060623...6/1043/CPARTS01 Citer
Habitués Zogu Posté(e) 24 juin 2006 Habitués Posté(e) 24 juin 2006 (modifié) Dans ta liste, il manque "La liberté d'une statue" (1991) d'Olivier Asselin. Ce film, hélas quasi introuvable, qualifié d'"ovni dans l'histoire du cinéma québécois", devrait être être présenté à tous les amateurs de cinéma qui ont aimé Meliès et le Woody Allen des débuts. Il passe parfois (rarement) à Télé Québec tard le soir.Article sur le cinéaste:http://www.iforum.umontreal.ca/Forum/Archi...article3826.htm Modifié 24 juin 2006 par Zogu Citer
Habitués Zogu Posté(e) 24 juin 2006 Habitués Posté(e) 24 juin 2006 Il faudrait ajouter aussi l'excellent (mais hélas peu médiatisé) "Histoires d'hiver" (1999).http://www.cinemamontreal.com/aw/crva.aw/p...es_d_hiver.htmlJ'ai craqué pour ce film, qui présente une tranche de vie du Québec des années 1960. Le jeune garçon qui voue un véritable culte au joueur de hockey Maurice Richard, le père qui invite son patron juif anglophone à souper (et qui se met les pieds dans les plats, c'est le cas de le dire), l'oncle ringard mais tendre, etc. Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 24 juin 2006 Habitués Posté(e) 24 juin 2006 (modifié) Il faudrait ajouter aussi l'excellent (mais hélas peu médiatisé) "Histoires d'hiver" (1999).http://www.cinemamontreal.com/aw/crva.aw/p...es_d_hiver.htmlJ'ai craqué pour ce film, qui présente une tranche de vie du Québec des années 1960. Le jeune garçon qui voue un véritable culte au joueur de hockey Maurice Richard, le père qui invite son patron juif anglophone à souper (et qui se met les pieds dans les plats, c'est le cas de le dire), l'oncle ringard mais tendre, etc.Histoires d'hiver est déjà dans la liste. Par contre, la liberté d'une statue, ça, je ne connaissait pas...Peut-être est-il disponible du côté de la boîte noire... Modifié 24 juin 2006 par Curieuse Citer
Habitués kyris54 Posté(e) 28 juin 2006 Habitués Posté(e) 28 juin 2006 franchement, bien ton blog, Rup! il s'étoffe de mois en mois! c'est génial je ne dirai qu'une chose:le blog de Rupert K., moi, j'aaaaaaaaaaaime! Citer
Habitués Marien Posté(e) 30 juin 2006 Habitués Posté(e) 30 juin 2006 Allo tout l'mondeMon top du top dans le cinéma québecois est un film dont on parle trop peu souvent et qui selon moi figure parmi les classiques du Québec. Il s'agit d'un film de Francis Mankiewicz, d'après une nouvelle de Réjean Ducharme et qui s'intitule "Les bons débarras" avec Marie Tifo, Germain Houde et l'étonnante Charlotte Laurier qui en était à son premier rôle au cinéma. A noter aussi la présence de Michel Brault à la photographie. La crème de la crème quoi!Le film n'est toujours pas sorti en DVD mais on peut encore le voir en VHSBon cinéma http://www.thecanadianencyclopedia.com/ind...s=f1ARTf0011665 Citer
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