Le Québec, paradis des chauffards

[Nicolas]

Lisez surtout la fin de l'article

http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national/ar...725-200128.html

Mise à jour: 25/07/2005 20h01

Vacances de la construction

Les policiers peu présents sur les routes du Québec

Les policiers de la Sûreté du Québec sont habituellement très visibles aux abords des routes pendant les vacances de la construction.

Cette année, ils seraient toutefois moins nombreux... sauf près des chantiers routiers. Les négociations ont peut-être quelque chose à y voir. Pourtant, une présence accrue de la SQ sur les autoroutes avait été promise et annoncée ce printemps.

Si les phares rouges et bleus sont rares, les phares rouges et bleus allumés le sont encore plus. C'est que les policiers de la SQ sont en pleine négociation. Et le port du jeans n'est pas leur seul moyen de pression.

Disons qu'ils ont le seuil de tolérance assez élevé. En se postant à côté d'un patrouilleur avec un radar, notre équipe a pu constater que des excès de vitesse dépassant de 30 km/h la vitesse maximale permise ne faisait même pas broncher le policier. Il en fallait bien plus.

La Sûreté du Québec s'est plainte d'une baisse de 25% à 30% du nombre de billets d'infraction au cours des dernières semaines. Bien assis dans leurs véhicules, les policiers n'ont pas l'intention de bouger, à moins que les automobilistes ne leur donnent pas le choix.

Donc, si vous êtes malchanceux, vous apercevrez une voiture de police de la SQ, et si vous êtes vraiment malchanceux, vous recevrez une contravention plutôt qu'un avertissement.

[Boris]

J'ai écouté cela sur LCN cet après-midi en gros c'est pareil mais avec des images.

Le coup des jean's je trouve cela génial plutot que de faire la greve totale !

Modifié 26 juillet 2005 par Boris

[camarguais001]

Lisez surtout la fin de l'article 

http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national/ar...725-200128.html

Mise à jour: 25/07/2005 20h01

Vacances de la construction

Les policiers peu présents sur les routes du Québec

Les policiers de la Sûreté du Québec sont habituellement très visibles aux abords des routes pendant les vacances de la construction.

Cette année, ils seraient toutefois moins nombreux... sauf près des chantiers routiers. Les négociations ont peut-être quelque chose à y voir. Pourtant, une présence accrue de la SQ sur les autoroutes avait été promise et annoncée ce printemps.

Si les phares rouges et bleus sont rares, les phares rouges et bleus allumés le sont encore plus. C'est que les policiers de la SQ sont en pleine négociation. Et le port du jeans n'est pas leur seul moyen de pression.

Disons qu'ils ont le seuil de tolérance assez élevé. En se postant à côté d'un patrouilleur avec un radar, notre équipe a pu constater que des excès de vitesse dépassant de 30 km/h la vitesse maximale permise ne faisait même pas broncher le policier. Il en fallait bien plus.

La Sûreté du Québec s'est plainte d'une baisse de 25% à 30% du nombre de billets d'infraction au cours des dernières semaines. Bien assis dans leurs véhicules, les policiers n'ont pas l'intention de bouger, à moins que les automobilistes ne leur donnent pas le choix.

Donc, si vous êtes malchanceux, vous apercevrez une voiture de police de la SQ, et si vous êtes vraiment malchanceux, vous recevrez une contravention plutôt qu'un avertissement.

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résultat 25 morts depuis les vacances

deux solutions :

- on annule ces vacances ( c'est dingue quand meme de tout arreter, alors qu'il y a 4 mois de vacances par an aux bahamas )

- on appelle sarko

[cherry]

À ton article Nicoco, j'ajouterais celui-ci, qui parle du côté délinquant des Québécois au volant:

Le lundi 18 juillet 2005

Conduite automobile : Montréal, le Naples d'Amérique?

Frank Fiorito

collaboration spéciale, La Presse

Le civisme des automobilistes montréalais dérape parfois de manière inquiétante. Sommes-nous vraiment obligés d'accélérer aux feux jaunes? Quand Montréal prend des allures napolitaines.

«Si je ralentis au lieu d'accélérer au feu jaune, je vais me faire foncer dedans!» s'exclame Yves Réjean, chauffeur de taxi. Et selon cet homme qui sillonne les rues de Montréal depuis six ans, la situation va de mal en pis: «Ici, on roule de plus en plus collés les uns aux autres. Accélérer au feu jaune est devenu une habitude!»

Pourtant, le Code de la sécurité routière est clair: à moins qu'il ne soit engagé dans la voie, le véhicule doit s'immobiliser avant la ligne d'arrêt ou le passage pour piétons. Mais avouons-le, nous avons tous déjà pesé sur la pédale lorsque le vert tourne au jaune. Et depuis quelques années, on dirait qu'à Montréal c'est devenu la règle.

Cette délinquance motorisée s'explique peut-être par la certitude de ne pas se faire prendre. Et ce risque est effectivement minime. En 2004, 22 669 constats ont été remis à Montréal pour avoir brûlé un feu rouge, contre 3079 pour un jaune, selon des statistiques compilées par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). En 2003, cette proportion était de 25 119 pour le premier délit contre 3481 pour le deuxième. Bref, cette infraction est relativement impunie.

Et les quelques malchanceux qui se font arrêter pour un feu jaune brûlé peuvent dormir en paix. Bien que l'amende soit la même que pour un feu rouge (151 $ avec les frais d'administration), aucun point d'inaptitude ne sera comptabilisé au dossier.

Laxisme?

«Nous sommes conscients du problème», convient le chef de la sécurité routière au SPVM, Jean-François Pelletier. Il admet du même souffle recevoir des plaintes de citoyens ulcérés par ces feux jaunes de plus en plus invisibles. «Mais il faut rappeler que le bilan routier de Montréal s'améliore et généralement, lorsqu'il y a accident, c'est parce que l'automobiliste n'a pas respecté un feu rouge. Le jaune est rarement en cause», précise-t-il.

Du côté de la Société d'assurance automobile du Québec (SAAQ), on parle d'une question de «perception». «Il n'y a pas d'enquêtes qui permettent de démontrer qu'il y a un non-respect des feux jaunes. Nous insistons plutôt sur l'observance du Code de la sécurité routière», affirme Monique Dufour, chef du service à la sécurité routière à la SAAQ, jointe à Québec. Ni le SPVM ni la SAAQ ne prévoient de faire de campagne de sensibilisation relative aux feux ambrés.

Les conducteurs ne sont pourtant pas tous devenus daltoniens. À Montréal, la durée de ces zones-tampons entre le rouge et le vert est au minimum de quatre secondes et dans la majorité des cas, de six. Une période bien courte pour tenter de rattraper le temps perdu dans le trafic.

Cette chasse aux secondes a inévitablement des répercussions. Pour Lynda Piché, chroniqueuse circulation à Info 690, le manque de courtoisie des automobilistes est à la source de bien des retards: «Il suffit de deux ou trois voitures qui ne respectent pas la signalisation pour, en quelques minutes, créer un bouchon qui prendra un temps fou à se résorber», dit-elle.

Le cas classique est l'automobiliste pressé de prendre le pont, qui étire son feu jaune et se retrouve coincé en pleine intersection, bloquant ainsi le trafic dans l'autre sens. Résultat: on klaxonne et on peste. Un exutoire bien inutile car, en principe, l'automobiliste parasitaire agit de son plein droit: le feu était jaune après tout.

Solution new-yorkaise

La Ville de New York a mis en place dans les années 90 une mesure béton pour calmer les allergiques au jaune: la règle du don't block the box (ne bloquez pas le carrefour), en vertu de laquelle tout automobiliste pris au milieu d'une intersection alors que les feux changent (et qui crée ainsi ce qu'on appelle un gridlock, ou obstruction ) se voit coller une amende de 115 $ US, et ce, peu importe la raison.

En d'autres mots, l'automobiliste a le devoir de dégager le carrefour, peu importe les circonstances et doit prévoir s'il est sage (ou pas) de s'engager dans l'intersection. Les succès new-yorkais ont fait des petits. Philadelphie vient d'adopter une loi semblable et les autorités de Miami y songent sérieusement.

«C'est une idée de prime abord géniale, mais je ne suis pas certain qu'elle soit la meilleure pour nous», affirme le chef de la section de la sécurité routière au Service de police de la Ville de Montréal, Jean-François Pelletier. «Que ferait-on en hiver lorsque la neige cache les lignes d'arrêt et rend le freinage difficile?» poursuit-il. Selon lui, il ne faut pas chercher de solutions magiques.

Il cite en exemple les provinces de l'Ouest qui ont installé des feux «tout rouges», c'est à dire qui restent rouges de tous les côtés pendant quelques secondes, question de forcer la discipline et d'éviter les collisions. «Les conducteurs ont découvert le stratagème et savent qu'ils ont quelques secondes de plus pour passer. On crée ainsi un comportement déviant», ironise Pelletier.

Du côté du CAA-Québec, on prône plutôt l'installation de caméras de surveillance. «C'est la meilleure façon de revenir à nos bonnes vieilles attitudes. C'est une question de sécurité», clame Claire Roy, porte-parole de l'organisme.

Une campagne de sensibilisation serait-elle appropriée? «Peut-être mais l'éducation a ses limites. Environ 40 % des conducteurs y adhéreraient de façon volontaire, pour les autres, il faudrait sévir», conclut l'inspecteur Pelletier. Alors avant que l'État s'en mêle, cessons d'accélérer aux feux jaunes!

Source: http://www.cyberpresse.ca/actuel/article/a...005,1104477.php

J'habite près de l'entrée du Pont Jacques-Cartier. Je suis piétonne et cycliste. À tous les jours, je suis témoin d'infractions au code la route. Les banlieusards pressés de rentrer chez eux sont une belle gang de malaaaaaaaaaades!!!! J'ai tellement vu d'accidents dans le coin que je n'ai plus assez de mes dix doigts pour les compter! Suite à un énième accident mortel impliquant une jeune piétonne de 20 ans, frappée suite au non-respect du feu jaune, j'ai failli aller planter une pancarte avec l'inscription: CECI EST UNE ZONE RÉSIDENTIELLE: RALENTISSEZ CIBOIRE!

C'était ma montée de lait. Ça m'a fait du bien.

[Boris]

On est voisins ! C'est toi qui fait tout ce rafus au dessus de chez moi ?

Vraiment intéressant ton article Chérie oops Cherry

A NYC je ne pensais que c'était aussi simple que ca que de se faire delester de 115 $ en restant (comme un gros *** de parisien) en plein milieu de carrefour en période de congestions... ^^

Au moins aux USA je reconnais que les policiers sont respectés par le quidam.

Au Canada c'est vraiment le top et au Québec c'est le paradis !!! Ils font grêve des tickets de vitesse Trêve de plaisanterie. Pour avoir conduit dans bcp de capitales europeenes et à Montréal et NYC.

Voici mon avis : les plus fous ici sont les taxis drivers de NYC des dignes descendant des kamikazes japonais de la 2nde guerre mondiale. En seconde position les taxis de Montreal et ensuite les conducteurs montrealais (surtout les banlieusards et toc ! lol) qui conduisent avec autant de concentration que pendant que je fais du pop corn...

Mais franchement comparées aux villes latines européennes c'est une concentration du 3eme âge quasiment sur les routes tant c'est lent (à part les départs aux lumières merci les BVA et les V6 etc) par rapport aux villes italiennes ou Paris !

Las bas ca correspond presque à une guerre civile sur les routes. J'ai vu de ces choses !!!!

Donc tout est relatif car ici en Amérique je trouve que globalement la petite delinquance est vraiment rare et les gens ont un comportement correcte.

Qu'on se le dise, le coté fucké des quebecois au volant ca vient de vos origines francaises

[Nicolas]

Oui ici feu orange = grouille toi de passer

J'ai du mal à me souvenir si c'est comme ça en France (mais il me semble que non) mais ici le feu orange dure plus longtemps, et surtout, à la seconde près où toi tu as le rouge l'autre a le vert... donc ceux qui grillent l'orange prennent une chance... c'est pour ça que quand ça passe au vert pour moi et que je suis premier de la file je fais comme si c'est un stop et je regarde des deux côtés.

Mais ce qui m'énerve le plus c'est les cyclistes

La fête à neuneu... et vas-y que je te passe des boulevards en plein feu rouge, que je prends des sens interdits, que je roule du mauvais côté de la route, que je prends le trottoir aux piétons... les cyclistes sont partout pareils mais ici je les trouve fous

Sans compter que lorsque je fais régulièrement mes Laval-Québec... limitation à 100... parfois je peux être à 110 ou 120 et je ne double pas un seul camion, ce sont même eux qui me doublent

Je sais pas ce qu'ils ont sous le capot mais ça carbure...

[camarguais001]

si çà passe au rouge et que t'as quelqu'une derriere toi fonce sinon.... achète toi un nouveau pare choc

on s'y habitue, c'est le fun

80 en ville, tu doubles de partout, tu roule à 50 au milieu de l'autoroute, tu zigzagues entre les voitures à 120 pour atteindre ta bretelle de sortie.

t'as des entrées d'autoroutes mortuaires

au fait, l'hivers c'est comme çà aussite ?

[Boris]

Je me souviens avoir fait Montréal-Québec de nuit l'hiver dernier et pareil les camions dépassaient 99% des autos malgré la neige qui tombait, visibilité. quasi nulle, chaussée enneigée et autoroute défoncée...

Aleluya !

PS : Je confirme nico ici les feux oranges sont plus longs.

[fortsympa]

À ton article Nicoco, j'ajouterais celui-ci, qui parle du côté délinquant des Québécois au volant:

Le lundi 18 juillet 2005

Conduite automobile : Montréal, le Naples d'Amérique?

Frank Fiorito

collaboration spéciale, La Presse

Le civisme des automobilistes montréalais dérape parfois de manière inquiétante. Sommes-nous vraiment obligés d'accélérer aux feux jaunes? Quand Montréal prend des allures napolitaines.

«Si je ralentis au lieu d'accélérer au feu jaune, je vais me faire foncer dedans!» s'exclame Yves Réjean, chauffeur de taxi. Et selon cet homme qui sillonne les rues de Montréal depuis six ans, la situation va de mal en pis: «Ici, on roule de plus en plus collés les uns aux autres. Accélérer au feu jaune est devenu une habitude!»

Pourtant, le Code de la sécurité routière est clair: à moins qu'il ne soit engagé dans la voie, le véhicule doit s'immobiliser avant la ligne d'arrêt ou le passage pour piétons. Mais avouons-le, nous avons tous déjà pesé sur la pédale lorsque le vert tourne au jaune. Et depuis quelques années, on dirait qu'à Montréal c'est devenu la règle.

Cette délinquance motorisée s'explique peut-être par la certitude de ne pas se faire prendre. Et ce risque est effectivement minime. En 2004, 22 669 constats ont été remis à Montréal pour avoir brûlé un feu rouge, contre 3079 pour un jaune, selon des statistiques compilées par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). En 2003, cette proportion était de 25 119 pour le premier délit contre 3481 pour le deuxième. Bref, cette infraction est relativement impunie.

Et les quelques malchanceux qui se font arrêter pour un feu jaune brûlé peuvent dormir en paix. Bien que l'amende soit la même que pour un feu rouge (151 $ avec les frais d'administration), aucun point d'inaptitude ne sera comptabilisé au dossier.

Laxisme?

«Nous sommes conscients du problème», convient le chef de la sécurité routière au SPVM, Jean-François Pelletier. Il admet du même souffle recevoir des plaintes de citoyens ulcérés par ces feux jaunes de plus en plus invisibles. «Mais il faut rappeler que le bilan routier de Montréal s'améliore et généralement, lorsqu'il y a accident, c'est parce que l'automobiliste n'a pas respecté un feu rouge. Le jaune est rarement en cause», précise-t-il.

Du côté de la Société d'assurance automobile du Québec (SAAQ), on parle d'une question de «perception». «Il n'y a pas d'enquêtes qui permettent de démontrer qu'il y a un non-respect des feux jaunes. Nous insistons plutôt sur l'observance du Code de la sécurité routière», affirme Monique Dufour, chef du service à la sécurité routière à la SAAQ, jointe à Québec. Ni le SPVM ni la SAAQ ne prévoient de faire de campagne de sensibilisation relative aux feux ambrés.

Les conducteurs ne sont pourtant pas tous devenus daltoniens. À Montréal, la durée de ces zones-tampons entre le rouge et le vert est au minimum de quatre secondes et dans la majorité des cas, de six. Une période bien courte pour tenter de rattraper le temps perdu dans le trafic.

Cette chasse aux secondes a inévitablement des répercussions. Pour Lynda Piché, chroniqueuse circulation à Info 690, le manque de courtoisie des automobilistes est à la source de bien des retards: «Il suffit de deux ou trois voitures qui ne respectent pas la signalisation pour, en quelques minutes, créer un bouchon qui prendra un temps fou à se résorber», dit-elle.

Le cas classique est l'automobiliste pressé de prendre le pont, qui étire son feu jaune et se retrouve coincé en pleine intersection, bloquant ainsi le trafic dans l'autre sens. Résultat: on klaxonne et on peste. Un exutoire bien inutile car, en principe, l'automobiliste parasitaire agit de son plein droit: le feu était jaune après tout.

Solution new-yorkaise

La Ville de New York a mis en place dans les années 90 une mesure béton pour calmer les allergiques au jaune: la règle du don't block the box (ne bloquez pas le carrefour), en vertu de laquelle tout automobiliste pris au milieu d'une intersection alors que les feux changent (et qui crée ainsi ce qu'on appelle un gridlock, ou obstruction ) se voit coller une amende de 115 $ US, et ce, peu importe la raison.

En d'autres mots, l'automobiliste a le devoir de dégager le carrefour, peu importe les circonstances et doit prévoir s'il est sage (ou pas) de s'engager dans l'intersection. Les succès new-yorkais ont fait des petits. Philadelphie vient d'adopter une loi semblable et les autorités de Miami y songent sérieusement.

«C'est une idée de prime abord géniale, mais je ne suis pas certain qu'elle soit la meilleure pour nous», affirme le chef de la section de la sécurité routière au Service de police de la Ville de Montréal, Jean-François Pelletier. «Que ferait-on en hiver lorsque la neige cache les lignes d'arrêt et rend le freinage difficile?» poursuit-il. Selon lui, il ne faut pas chercher de solutions magiques.

Il cite en exemple les provinces de l'Ouest qui ont installé des feux «tout rouges», c'est à dire qui restent rouges de tous les côtés pendant quelques secondes, question de forcer la discipline et d'éviter les collisions. «Les conducteurs ont découvert le stratagème et savent qu'ils ont quelques secondes de plus pour passer. On crée ainsi un comportement déviant», ironise Pelletier.

Du côté du CAA-Québec, on prône plutôt l'installation de caméras de surveillance. «C'est la meilleure façon de revenir à nos bonnes vieilles attitudes. C'est une question de sécurité», clame Claire Roy, porte-parole de l'organisme.

Une campagne de sensibilisation serait-elle appropriée? «Peut-être mais l'éducation a ses limites. Environ 40 % des conducteurs y adhéreraient de façon volontaire, pour les autres, il faudrait sévir», conclut l'inspecteur Pelletier. Alors avant que l'État s'en mêle, cessons d'accélérer aux feux jaunes!

Source: http://www.cyberpresse.ca/actuel/article/a...005,1104477.php

J'habite près de l'entrée du Pont Jacques-Cartier. Je suis piétonne et cycliste. À tous les jours, je suis témoin d'infractions au code la route. Les banlieusards pressés de rentrer chez eux sont une belle gang de malaaaaaaaaaades!!!! J'ai tellement vu d'accidents dans le coin que je n'ai plus assez de mes dix doigts pour les compter! Suite à un énième accident mortel impliquant une jeune piétonne de 20 ans, frappée suite au non-respect du feu jaune, j'ai failli aller planter une pancarte avec l'inscription: CECI EST UNE ZONE RÉSIDENTIELLE: RALENTISSEZ CIBOIRE!

C'était ma montée de lait. Ça m'a fait du bien.

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fallait le faire Cherry,

je comprends mieux pourquoi je me fais klaxonne les rares fois ou je viens à Montreal et que je respecte l'orange (ben.. oui je respecte )

[camarguais001]

désolé patou, prépare toi a des réparations couteuses sur ton char

[Petit-Lion]

Y'a que les Québécois pour se plaindre de la conduite à Montréal. Quand on vient de France, et spécialement de Paris et de Lille, Montréal, c'est un village ! En tant que cycliste, je ne me suis jamais autant senti en sécurité en ville que dans les rues de Montréal. Elles sont larges, donc les autos et les camions peuvent doubler sans s'énerver, et aux intersections les gens ralentissent largement à l'avance pour nous laisser passer, à tel point que des fois on se demande ce qu'ils veulent !

Seul point négatif : aucun tomobiliste ne vérifie avant d'ouvrir sa portière. Toujours passer à au moins un mètre des autos en stationnement, ça me sauve au moins une fois par heure, surtout avec les ost*es de VUS dont le coin des portières est juste à la bonne hauteur pour les yeux.

P-L, survivant de la jungle urbaine.

[Invité]

Personnellement, ce qui me fatigue en ce moment, ce sont les petits cons en honda civic surbaissées avec une boite de cassoulet en guise de pot d'échappement....

Ils font des courses en pleine heure de pointe avec un autre con rencontré sur la route. Complétement irresponsables...

Il y a deux jours, alors que je marquais un stop (arrêt pour les autochtones ), j'ai été doublé par 2 "fast and cretinous" qui roulaient au moins à 120 km/h (dans une zone à 70 kms...)

Vivement le retour des flics !

Modifié 26 juillet 2005 par totof06

[cherry]

Qu'on se le dise, le coté fucké des quebecois au volant ca vient de vos origines francaises

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Tu ris, mais c'est vrai! Par exemple, au Québec, les automibilistes ne respectent pas la priorité des piétons quand ils s'engagent sur un passage piétonnier (vous savez, les fameuses lignes jaunes qui ne servent à rien icitte! ). Au contraire, ils accélèrent, te klaxonnent pour que tu les laisser passer, comme si c'était toi qui était dans le tort!

Dans le ROC et aux USA, les automobilistes respectent le Code et s'arrêtent au passage piétonnier, ne font pas comme si ce réglement n'existait pas en se disant que de toute façon, les piétons rebrousseront chemin car ils sont plus forts qu'eux. D'ailleurs, faites le test: si quelqu'un s'arrête, regardez la plaque; il y a de fortes chances que l'automobiliste vienne de l'extérieur du Québec. La devise Je me souviens devrait être remplacée par Je ne me souviens pas du Code...

Plusieurs reportages ont été diffusés sur cette différence entre les Québécois et les autres. On a conclu que c'était dû à notre côté latin.

Or, j'avoues que c'est rien comparé à Paris: ils sont malaaaaaaaaaaaaades là-bas!

Modifié 26 juillet 2005 par cherry

[farok]

c'est quoi le Code???

Apparemmen t il n'y pas qu'en France ou c'est l'anarchie sur la route.

Vive le vélo et la marche à pied.

Bientot il faudra se munir d'un tank pour être en sécurité.

[Boris]

Le plus fou à Paris c'est la "ballade" en moto sur la selle passager... Prévoir sa couche...

Sinon pour les jeunes en Civic avec parfois plus de 300 CV aux roues (turbo et/ou swap moteur suffit d'entendre la valve de décharge qui fait pssschhiiiittt à chaque passage de rapport). Sur l'aspect "con" je dirais plus "adulescent" à mi-chemin entre l'adolescence et l'âge de raison... C'est partout comme cela. J'ai vu ces phénomenes aussi bien à Paris, Berlin, Londre, Bangkok, Miami ou NYC.

[Invité]

Sur l'aspect "con" je dirais plus "adulescent" à mi-chemin entre l'adolescence et l'âge de raison... C'est partout comme cela. J'ai vu ces phénomenes aussi bien à Paris, Berlin, Londre, Bangkok, Miami ou NYC.

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En attendant, à cause d'une course qui s'est terminée contre un arbre dimanche soir sur la rue Notre-Dame, il y a 2 adolescentes qui ne verront pas l'âge adulte...

Le con (car c'est ce que c'est) de 18 ans qui conduisait, lui, n'a rien...

[skydiver]

Bientot il faudra se munir d'un tank pour être en sécurité.

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ca existe dejà,

c'est le hummer

[farok]

kesako le hammer?

[farok]

Ah oui c'est une sacré boîte de conserve ce hummer.

[Boris]

Sur l'aspect "con" je dirais plus "adulescent" à mi-chemin entre l'adolescence et l'âge de raison... C'est partout comme cela. J'ai vu ces phénomenes aussi bien à Paris, Berlin, Londre, Bangkok, Miami ou NYC.

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En attendant, à cause d'une course qui s'est terminée contre un arbre dimanche soir sur la rue Notre-Dame, il y a 2 adolescentes qui ne verront pas l'âge adulte...

Le con (car c'est ce que c'est) de 18 ans qui conduisait, lui, n'a rien...

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J'ai vu cela aussi aux infos hier matin mais je trouve ton raccourci bien surprenant de ta part. Tu nous as habitué à mieux !

Tu peux être jeune avoir une auto de + de 500 CV sans pour autant boire de l'alcool avant de prendre le volant et tuer deux de tes amies dans la foulée...

Et petite correction : les policiers ne savent pas ce qui sait passer mais en revanche tu sais que c'était une course entre 2 ou plusieurs chars...

Contactes la police au plus vite ils recherchent des témoins.

La voiture était une Hyundai + chaussée mouillée + alcool au volant. Voilé l'équation morbide. Pas le fait d'avoir une CIVIC HONDA lol.

Modifié 26 juillet 2005 par Boris