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Divorce pendant procésus d'immigration et au Québec


nomercy0_0

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Donc faire constater par huissier, rester dans une maison avec un climat qui se désagrège et, en gros, se faire la guerre devant les enfants ça, pour vous, c'est ce qu'il fallait faire.

Les enfants ne voulaient pas partir au Québec au début mais là leurs avis ne comptait pas.

Et pour ce qui est de ne plus avoir à faire l'un avec l'autre, vous vous contredisez vous-même : vous dites plutôt dans le fil que nous devons dialoguer dans l'intérêt des enfants et je suis d'accord.

En plus vous posez un jugement sans connaître l'histoire en entier.

Vous ne comprenez pas du tout ce que je vous dis. Je vous dis que, lors d'une situation litigieuse dans un couple, en vue d'éventuels problèmes et pour blinder un dossier, il faut faire un constat d'huissier.

Il fallait, à l'époque où une personne étrangère s'est installée chez vous, le faire constater par huissier et faire valider une autorisation de quitter le domicile conjugal. Cela vous aurait protégé de ce que madame, dans la bagarre qui s'en vient, pourrait traiter d'abandon de famille.

Vous avez écrit :

Leur mère leur a demandé et ils veulent rester là bas

Le juge tiendra aussi compte de cela s'ils sont en âge de donner leur avis.

Ce que je voulais vous dire lorsque je vous parlais de collaborer était dans un accord pour le bien-être de vos enfants, pas que votre ex vous adopte et vous facilite la vie. Elle a aussi peut-être peur que vous la harceliez, compte tenu du ton que vous avez en écrivant ceci:

Quand nous serons devant un juge, elle craquera avant moi ça c'est une certitude

Je ne la connais pas, donc nous n'avons pas son point de vue. Juste un seul son de cloche, le votre. Et peut-être que vous lui faites peur.

Vous voyez bien que je ne porte aucun jugement, je m'interroge seulement.

De toute façon, quand votre jugement interviendra dans quelques années, vous devrez suivre les ordonnances du jugement. Pas d'autre choix.

Je n'avais aucune intention de livrer une bataille contre elle, voilà pq je suis parti. Elle m'a demandé de partir pour prendre du recul, elle disait avoir des sentiments d'amitiés très fort pour moi. Je ne veux tjrs pas lui faire d'ennuis.

Je ne lui demande pas de m'adopter, je n'ai pas toujours été sans revenus, j'ai payé la majorité des frais d'immigration et d'installation. Comme vous le dite plus loin la procédure peut prendre des années, je le sais mais elle ne l'a toujours pas compris, dans son esprit en juin il y aura un an de séparation et nous serons divorcé. Je lui demande juste de signer pour mon immigration pas de m'assumer, et si elle accepte, je suis près à presque toutes les concessions donc le divorce ira bcp plus vite (demande conjointe).

Quand je dis qu'elle craquera, c'est pcq elle supporte difficilement le stress c'est aussi pour ça que je ne voulais pas d'un divorce sans accords. Aussi dur à croire que cela puisse paraître, j'ai de l'affection pour elle et je ne lui veut aucun mal.

Quand tout ça à commencé, elle avait invité celui dont elle dit être tombée amoureuse (un coup de foudre) et une amie à elle (son ancienne psy) cette dernière ayant assisté à tout ne veut même plus lui adresser la parole, elle est bcp plus dure que moi vis à vis de mon épouse et m'a aussi confié qu'elle veut me quitter depuis 7 ans (raison pour laquelle elle consultait : un psy pas un avocat). Selon son amie elle est manipulatrice (je ne veux pas y croire). Mon épouse lors de nos derniers contacts m'a dit ne pas m'avoir quitté pcq elle n'en n'avait pas les moyens ( je gagnais plus qu'elle). Nous avons été séparé 3 fois avant celle-ci et c'est tjrs elle qui est revenue (apparemment pour l'argent) mais pour nos enfants c'était mieux donc j'ai tjrs accepté.

Si elle m'avait dit tt ça 11 mois plutôt j'avais mon boulot et je ne vivais pas encore au Québec.

Je crois vraiment qu'elle a peur mais il n'y a aucunes raisons : reconnaissez que si j'avais voulu lui faire des ennuis je n'avais que l'embarras du choix, rien que de rester dans notre maison, rien ne dit que ce n'est pas elle qui aurait dû en partir. Je lui donné ma voiture avant de partir. Je ne sais pas pq elle a peur, dans toutes nos séparation j'ai toujours continué à l'aider au maximum (sans jamais le lui faire remarquer). Quand vous dites dans un autre message qu'il lui restera son salaire, elle a dépensé 20k de plus que ce dernier dans sa première année au Québec et j'ai payé tout les frais d'instalation en sus (meuble, electro, taxe de bienvenue, etc). Donc de nous deux c'est elle qui aura du mal moi perdre 100k euros ds un divorce ne m'empêchera pas de dormir.

Mon point de vue c'est que nous avons tous les deux tout à gagner à nous entendre et que signer pour ma rp n'est pas un grand sacrifice pour elle. Cela sera p-ê même moins long qu'un divorce sans accords.

Mes questions ici concernaient uniquement les procédures d'immigrations, pcq selon mon épouse je pouvais continuer seul et ce n'est pas le cas.

Je voudrais juste qu'elle comprenne qu'un divorce ça peut être vraiment dur si nous ne négocions pas et que de refuser tout en bloc et camper sur ses positions ce n'est pas négocier. Si elle accepte pour la rp et vraie garde alternée des enfants je lui offre son divorce sur un plateau. Je ne trouve pas que cela soit un mauvais deal pour elle. Maintenant pour lui ouvrir les yeux il faudra p-ê entamer les procédures (elle a refuse d'aller en médiation je crois qu'elle n'avait pas compris ce que c'est elle a confondu avec une thérapie de couple).

Donc que faire de qqn qui veut divorcer mais qui consulte des psys et non des avocats, qui croit que pour divorcer il sufffit de signer un ou deux papiers et qui refuse tt dialogue, il faudra quand même bien qu'elle aterrisse un jour non?

Je ne suis pas contre le divorce, je veux même bien l'aider autant que possible, je veux juste la chance d'élever mes enfants comme j'ai élevé les siens ( elle avait 2 enfants qd je l'ai rencontrée et je les ai élevés comme les miens).

Pour l'avis des enfants, je ne veux pas les forcer mais qd tt ça à commencé, ma fille de 8 ans a dit à sa mère qu'elle voulait rentrer avec moi. Mon fils de 14 qu'il voulait rester pcq le niveau scolaire est plus facile au Québec (et oui ), et celui de 9 ans tant qu'il a sa ps4.... Donc l'avis des enfants ne me semble pas vraiment fixé, après tout ils ne voulaient pas partir au Québec il y a deux ans.

Enfon je sais que cela reste mon son de cloche mais croyez-moi je suis le plus objectif possible et c'est beaucoup plus nuancé que l'avis de gens qui ont suivi de l'extérieur y compris sa propre amie.

Merci

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Donc faire constater par huissier, rester dans une maison avec un climat qui se désagrège et, en gros, se faire la guerre devant les enfants ça, pour vous, c'est ce qu'il fallait faire.

Les enfants ne voulaient pas partir au Québec au début mais là leurs avis ne comptait pas.

Et pour ce qui est de ne plus avoir à faire l'un avec l'autre, vous vous contredisez vous-même : vous dites plutôt dans le fil que nous devons dialoguer dans l'intérêt des enfants et je suis d'accord.

En plus vous posez un jugement sans connaître l'histoire en entier.

Vous ne comprenez pas du tout ce que je vous dis. Je vous dis que, lors d'une situation litigieuse dans un couple, en vue d'éventuels problèmes et pour blinder un dossier, il faut faire un constat d'huissier.

Il fallait, à l'époque où une personne étrangère s'est installée chez vous, le faire constater par huissier et faire valider une autorisation de quitter le domicile conjugal. Cela vous aurait protégé de ce que madame, dans la bagarre qui s'en vient, pourrait traiter d'abandon de famille.

Vous avez écrit :

Leur mère leur a demandé et ils veulent rester là bas

Le juge tiendra aussi compte de cela s'ils sont en âge de donner leur avis.

Ce que je voulais vous dire lorsque je vous parlais de collaborer était dans un accord pour le bien-être de vos enfants, pas que votre ex vous adopte et vous facilite la vie. Elle a aussi peut-être peur que vous la harceliez, compte tenu du ton que vous avez en écrivant ceci:

Quand nous serons devant un juge, elle craquera avant moi ça c'est une certitude

Je ne la connais pas, donc nous n'avons pas son point de vue. Juste un seul son de cloche, le votre. Et peut-être que vous lui faites peur.

Vous voyez bien que je ne porte aucun jugement, je m'interroge seulement.

De toute façon, quand votre jugement interviendra dans quelques années, vous devrez suivre les ordonnances du jugement. Pas d'autre choix.

Je n'avais aucune intention de livrer une bataille contre elle, voilà pq je suis parti. Elle m'a demandé de partir pour prendre du recul, elle disait avoir des sentiments d'amitiés très fort pour moi. Je ne veux tjrs pas lui faire d'ennuis.

Je ne lui demande pas de m'adopter, je n'ai pas toujours été sans revenus, j'ai payé la majorité des frais d'immigration et d'installation. Comme vous le dite plus loin la procédure peut prendre des années, je le sais mais elle ne l'a toujours pas compris, dans son esprit en juin il y aura un an de séparation et nous serons divorcé. Je lui demande juste de signer pour mon immigration pas de m'assumer, et si elle accepte, je suis près à presque toutes les concessions donc le divorce ira bcp plus vite (demande conjointe).

Quand je dis qu'elle craquera, c'est pcq elle supporte difficilement le stress c'est aussi pour ça que je ne voulais pas d'un divorce sans accords. Aussi dur à croire que cela puisse paraître, j'ai de l'affection pour elle et je ne lui veut aucun mal.

Quand tout ça à commencé, elle avait invité celui dont elle dit être tombée amoureuse (un coup de foudre) et une amie à elle (son ancienne psy) cette dernière ayant assisté à tout ne veut même plus lui adresser la parole, elle est bcp plus dure que moi vis à vis de mon épouse et m'a aussi confié qu'elle veut me quitter depuis 7 ans (raison pour laquelle elle consultait : un psy pas un avocat). Selon son amie elle est manipulatrice (je ne veux pas y croire). Mon épouse lors de nos derniers contacts m'a dit ne pas m'avoir quitté pcq elle n'en n'avait pas les moyens ( je gagnais plus qu'elle). Nous avons été séparé 3 fois avant celle-ci et c'est tjrs elle qui est revenue (apparemment pour l'argent) mais pour nos enfants c'était mieux donc j'ai tjrs accepté.

Si elle m'avait dit tt ça 11 mois plutôt j'avais mon boulot et je ne vivais pas encore au Québec.

Je crois vraiment qu'elle a peur mais il n'y a aucunes raisons : reconnaissez que si j'avais voulu lui faire des ennuis je n'avais que l'embarras du choix, rien que de rester dans notre maison, rien ne dit que ce n'est pas elle qui aurait dû en partir. Je lui donné ma voiture avant de partir. Je ne sais pas pq elle a peur, dans toutes nos séparation j'ai toujours continué à l'aider au maximum (sans jamais le lui faire remarquer). Quand vous dites dans un autre message qu'il lui restera son salaire, elle a dépensé 20k de plus que ce dernier dans sa première année au Québec et j'ai payé tout les frais d'instalation en sus (meuble, electro, taxe de bienvenue, etc). Donc de nous deux c'est elle qui aura du mal moi perdre 100k euros ds un divorce ne m'empêchera pas de dormir.

Mon point de vue c'est que nous avons tous les deux tout à gagner à nous entendre et que signer pour ma rp n'est pas un grand sacrifice pour elle. Cela sera p-ê même moins long qu'un divorce sans accords.

Mes questions ici concernaient uniquement les procédures d'immigrations, pcq selon mon épouse je pouvais continuer seul et ce n'est pas le cas.

Je voudrais juste qu'elle comprenne qu'un divorce ça peut être vraiment dur si nous ne négocions pas et que de refuser tout en bloc et camper sur ses positions ce n'est pas négocier. Si elle accepte pour la rp et vraie garde alternée des enfants je lui offre son divorce sur un plateau. Je ne trouve pas que cela soit un mauvais deal pour elle. Maintenant pour lui ouvrir les yeux il faudra p-ê entamer les procédures (elle a refuse d'aller en médiation je crois qu'elle n'avait pas compris ce que c'est elle a confondu avec une thérapie de couple).

Donc que faire de qqn qui veut divorcer mais qui consulte des psys et non des avocats, qui croit que pour divorcer il sufffit de signer un ou deux papiers et qui refuse tt dialogue, il faudra quand même bien qu'elle aterrisse un jour non?

Je ne suis pas contre le divorce, je veux même bien l'aider autant que possible, je veux juste la chance d'élever mes enfants comme j'ai élevé les siens ( elle avait 2 enfants qd je l'ai rencontrée et je les ai élevés comme les miens).

Pour l'avis des enfants, je ne veux pas les forcer mais qd tt ça à commencé, ma fille de 8 ans a dit à sa mère qu'elle voulait rentrer avec moi. Mon fils de 14 qu'il voulait rester pcq le niveau scolaire est plus facile au Québec (et oui ), et celui de 9 ans tant qu'il a sa ps4.... Donc l'avis des enfants ne me semble pas vraiment fixé, après tout ils ne voulaient pas partir au Québec il y a deux ans.

Enfon je sais que cela reste mon son de cloche mais croyez-moi je suis le plus objectif possible et c'est beaucoup plus nuancé que l'avis de gens qui ont suivi de l'extérieur y compris sa propre amie.

Merci

Je pense que tu dois faire intervenir une personne proche pour vous aider, certains personnes de ce forum sont juste des donneurs de leçon, essaye de la résonne avec une personne proche à elle

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Je voudrais juste qu'elle comprenne qu'un divorce ça peut être vraiment dur si nous ne négocions pas et que de refuser tout en bloc et camper sur ses positions ce n'est pas négocier. Si elle accepte pour la rp et vraie garde alternée des enfants je lui offre son divorce sur un plateau. Je ne trouve pas que cela soit un mauvais deal pour elle. Maintenant pour lui ouvrir les yeux il faudra p-ê entamer les procédures (elle a refuse d'aller en médiation je crois qu'elle n'avait pas compris ce que c'est elle a confondu avec une thérapie de couple).

De toute façon, tant qu'on a pas été dans une affaire de divorce, on n'a aucune idée de la difficulté que cela va représenter. Les avocats et enfin le juge sont là pour rappeler ce qu'il faut faire, ce qui pourrait arriver, ce qui risque d'arriver.

C'est souvent là qu'on tombe de haut.

Il y a aussi des avocats plus doués que d'autres pour trouver le petit détail qui va remporter l'affaire parce qu'ils connaissent la jurisprudence sur le bout des doigts . Apparemment, vous êtes partis pour une bataille qui va durer des années, mais personne ne peut dire ici qui va se retrouver satisfait du résultat. Peut-être que le juge va s'arranger pour vous satisfaire juste à moitié tous les deux.

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Donc faire constater par huissier, rester dans une maison avec un climat qui se désagrège et, en gros, se faire la guerre devant les enfants ça, pour vous, c'est ce qu'il fallait faire.

Les enfants ne voulaient pas partir au Québec au début mais là leurs avis ne comptait pas.

Et pour ce qui est de ne plus avoir à faire l'un avec l'autre, vous vous contredisez vous-même : vous dites plutôt dans le fil que nous devons dialoguer dans l'intérêt des enfants et je suis d'accord.

En plus vous posez un jugement sans connaître l'histoire en entier.

Vous ne comprenez pas du tout ce que je vous dis. Je vous dis que, lors d'une situation litigieuse dans un couple, en vue d'éventuels problèmes et pour blinder un dossier, il faut faire un constat d'huissier.

Il fallait, à l'époque où une personne étrangère s'est installée chez vous, le faire constater par huissier et faire valider une autorisation de quitter le domicile conjugal. Cela vous aurait protégé de ce que madame, dans la bagarre qui s'en vient, pourrait traiter d'abandon de famille.

Vous avez écrit :

Leur mère leur a demandé et ils veulent rester là bas

Le juge tiendra aussi compte de cela s'ils sont en âge de donner leur avis.

Ce que je voulais vous dire lorsque je vous parlais de collaborer était dans un accord pour le bien-être de vos enfants, pas que votre ex vous adopte et vous facilite la vie. Elle a aussi peut-être peur que vous la harceliez, compte tenu du ton que vous avez en écrivant ceci:

Quand nous serons devant un juge, elle craquera avant moi ça c'est une certitude

Je ne la connais pas, donc nous n'avons pas son point de vue. Juste un seul son de cloche, le votre. Et peut-être que vous lui faites peur.

Vous voyez bien que je ne porte aucun jugement, je m'interroge seulement.

De toute façon, quand votre jugement interviendra dans quelques années, vous devrez suivre les ordonnances du jugement. Pas d'autre choix.

Je n'avais aucune intention de livrer une bataille contre elle, voilà pq je suis parti. Elle m'a demandé de partir pour prendre du recul, elle disait avoir des sentiments d'amitiés très fort pour moi. Je ne veux tjrs pas lui faire d'ennuis.

Je ne lui demande pas de m'adopter, je n'ai pas toujours été sans revenus, j'ai payé la majorité des frais d'immigration et d'installation. Comme vous le dite plus loin la procédure peut prendre des années, je le sais mais elle ne l'a toujours pas compris, dans son esprit en juin il y aura un an de séparation et nous serons divorcé. Je lui demande juste de signer pour mon immigration pas de m'assumer, et si elle accepte, je suis près à presque toutes les concessions donc le divorce ira bcp plus vite (demande conjointe).

Quand je dis qu'elle craquera, c'est pcq elle supporte difficilement le stress c'est aussi pour ça que je ne voulais pas d'un divorce sans accords. Aussi dur à croire que cela puisse paraître, j'ai de l'affection pour elle et je ne lui veut aucun mal.

Quand tout ça à commencé, elle avait invité celui dont elle dit être tombée amoureuse (un coup de foudre) et une amie à elle (son ancienne psy) cette dernière ayant assisté à tout ne veut même plus lui adresser la parole, elle est bcp plus dure que moi vis à vis de mon épouse et m'a aussi confié qu'elle veut me quitter depuis 7 ans (raison pour laquelle elle consultait : un psy pas un avocat). Selon son amie elle est manipulatrice (je ne veux pas y croire). Mon épouse lors de nos derniers contacts m'a dit ne pas m'avoir quitté pcq elle n'en n'avait pas les moyens ( je gagnais plus qu'elle). Nous avons été séparé 3 fois avant celle-ci et c'est tjrs elle qui est revenue (apparemment pour l'argent) mais pour nos enfants c'était mieux donc j'ai tjrs accepté.

Si elle m'avait dit tt ça 11 mois plutôt j'avais mon boulot et je ne vivais pas encore au Québec.

Je crois vraiment qu'elle a peur mais il n'y a aucunes raisons : reconnaissez que si j'avais voulu lui faire des ennuis je n'avais que l'embarras du choix, rien que de rester dans notre maison, rien ne dit que ce n'est pas elle qui aurait dû en partir. Je lui donné ma voiture avant de partir. Je ne sais pas pq elle a peur, dans toutes nos séparation j'ai toujours continué à l'aider au maximum (sans jamais le lui faire remarquer). Quand vous dites dans un autre message qu'il lui restera son salaire, elle a dépensé 20k de plus que ce dernier dans sa première année au Québec et j'ai payé tout les frais d'instalation en sus (meuble, electro, taxe de bienvenue, etc). Donc de nous deux c'est elle qui aura du mal moi perdre 100k euros ds un divorce ne m'empêchera pas de dormir.

Mon point de vue c'est que nous avons tous les deux tout à gagner à nous entendre et que signer pour ma rp n'est pas un grand sacrifice pour elle. Cela sera p-ê même moins long qu'un divorce sans accords.

Mes questions ici concernaient uniquement les procédures d'immigrations, pcq selon mon épouse je pouvais continuer seul et ce n'est pas le cas.

Je voudrais juste qu'elle comprenne qu'un divorce ça peut être vraiment dur si nous ne négocions pas et que de refuser tout en bloc et camper sur ses positions ce n'est pas négocier. Si elle accepte pour la rp et vraie garde alternée des enfants je lui offre son divorce sur un plateau. Je ne trouve pas que cela soit un mauvais deal pour elle. Maintenant pour lui ouvrir les yeux il faudra p-ê entamer les procédures (elle a refuse d'aller en médiation je crois qu'elle n'avait pas compris ce que c'est elle a confondu avec une thérapie de couple).

Donc que faire de qqn qui veut divorcer mais qui consulte des psys et non des avocats, qui croit que pour divorcer il sufffit de signer un ou deux papiers et qui refuse tt dialogue, il faudra quand même bien qu'elle aterrisse un jour non?

Je ne suis pas contre le divorce, je veux même bien l'aider autant que possible, je veux juste la chance d'élever mes enfants comme j'ai élevé les siens ( elle avait 2 enfants qd je l'ai rencontrée et je les ai élevés comme les miens).

Pour l'avis des enfants, je ne veux pas les forcer mais qd tt ça à commencé, ma fille de 8 ans a dit à sa mère qu'elle voulait rentrer avec moi. Mon fils de 14 qu'il voulait rester pcq le niveau scolaire est plus facile au Québec (et oui ), et celui de 9 ans tant qu'il a sa ps4.... Donc l'avis des enfants ne me semble pas vraiment fixé, après tout ils ne voulaient pas partir au Québec il y a deux ans.

Enfon je sais que cela reste mon son de cloche mais croyez-moi je suis le plus objectif possible et c'est beaucoup plus nuancé que l'avis de gens qui ont suivi de l'extérieur y compris sa propre amie.

Merci

Je pense que tu dois faire intervenir une personne proche pour vous aider, certains personnes de ce forum sont juste des donneurs de leçon, essaye de la résonne avec une personne proche à elle

Merci pour l'idée, mais je crois que toutes les personnes ayant essayé de raisonner avec elle, elle ne les écoute plus. Elle dit elle même quand nous parlions encore, être "la mauvaise".

Elle me disait n'avoir aucun soutient, je crois que mis à part son nouvel amoureux, personne ne la soutient et que tous ceux qui ont essayé de la mettre face à ses responssabilités et aux conséquences (pour les enfants et financières) elle les a supprimé de ses contacts.

Ses parents ont essayé au début de la raisonner mais rien n'y a fait.

Enfin merci, si je trouve qqn qu'elle écoute j'y penserai.

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Je voudrais juste qu'elle comprenne qu'un divorce ça peut être vraiment dur si nous ne négocions pas et que de refuser tout en bloc et camper sur ses positions ce n'est pas négocier. Si elle accepte pour la rp et vraie garde alternée des enfants je lui offre son divorce sur un plateau. Je ne trouve pas que cela soit un mauvais deal pour elle. Maintenant pour lui ouvrir les yeux il faudra p-ê entamer les procédures (elle a refuse d'aller en médiation je crois qu'elle n'avait pas compris ce que c'est elle a confondu avec une thérapie de couple).

De toute façon, tant qu'on a pas été dans une affaire de divorce, on n'a aucune idée de la difficulté que cela va représenter. Les avocats et enfin le juge sont là pour rappeler ce qu'il faut faire, ce qui pourrait arriver, ce qui risque d'arriver.

C'est souvent là qu'on tombe de haut.

Il y a aussi des avocats plus doués que d'autres pour trouver le petit détail qui va remporter l'affaire parce qu'ils connaissent la jurisprudence sur le bout des doigts . Apparemment, vous êtes partis pour une bataille qui va durer des années, mais personne ne peut dire ici qui va se retrouver satisfait du résultat. Peut-être que le juge va s'arranger pour vous satisfaire juste à moitié tous les deux.

N'ayant rien pour l'instant, cela ne peut pas être pire pour moi, j'espère quand même que mon épouse comprendra que nous n'avons rien à gagner à nous faire la guerre et que nous arriverons à nous arranger à l'amiable. Il y a tout de même des certitudes dans un divorce, le patrimoine doit être diviser et même ça elle n'a pas l'air de le comprendre (elle croit qu'elle garde la maison au Québec et moi celle dans notre pays : ce qui est impossible la banque ne veut pas mettre l'hypothèque à mon nom dans notre pays donc cette maison sera vendue de toute façon et en fonction du prix de vente elle devra ou non me verser une différence pour garder sa maison) Je ne sais pas au Québec, mais dans notre pays la sortie d'indivision se fait par vente publique et comme elle refuse actuellement de communiquer c'est vers cela que nous nous dirigeons et ça pourrait nous faire perdre beaucoup.

Je ne veux pas la ruiner mais cela risque d'arriver, je lui ai envoyé un mail en lui proposant de mettre la maison en europe en vente afin d'éssayer, et ce en fonction du prix de vente, de sauver celle de Québec mais elle ne répond pas et je ne peux pas prendre le risque de procéder à la vente sans son accord donc nous sommes bloqué. Ce serrait pourtant aller dans le sens qu'elle veut : supprimer tout lien entre nous...

Je pense aussi que ma demande pour favoriser mon immigration n'est pas exagérée, elle dit qu'elle veut couper les ponts et que ce serait ajouter des liens mais comme vous le dite si bien un divorce prends des années donc la RP serrait acquise bien avant le pronnoncé du divorce.

Je crois que si elle comprends ça, il y a de l'espoir pour une entente minimum future et ça c'est quand même dans l'intérêt des enfants.

Merci

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  • Habitués

Il y a tout de même des certitudes dans un divorce, le patrimoine doit être diviser et même ça elle n'a pas l'air de le comprendre (elle croit qu'elle garde la maison au Québec et moi celle dans notre pays : ce qui est impossible la banque ne veut pas mettre l'hypothèque à mon nom dans notre pays donc cette maison sera vendue de toute façon et en fonction du prix de vente elle devra ou non me verser une différence pour garder sa maison) Je ne sais pas au Québec, mais dans notre pays la sortie d'indivision se fait par vente publique et comme elle refuse actuellement de communiquer c'est vers cela que nous nous dirigeons et ça pourrait nous faire perdre beaucoup.

De toute façon, si elle décide de présenter sa demande de divorce au Québec, le juge ne prendra en compte que les avoirs au Québec. Il y aurait trop de paramètres à prendre en compte ( régime matrimonial lors du mariage en France par exemple, qui ne s'applique pas au Québec). Et donc, au Québec, lors d'un divorce, tous les avoirs sont mis en commun et partagés à parts égales. Son avocat l'informera lorsque le moment sera venu.

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Il y a tout de même des certitudes dans un divorce, le patrimoine doit être diviser et même ça elle n'a pas l'air de le comprendre (elle croit qu'elle garde la maison au Québec et moi celle dans notre pays : ce qui est impossible la banque ne veut pas mettre l'hypothèque à mon nom dans notre pays donc cette maison sera vendue de toute façon et en fonction du prix de vente elle devra ou non me verser une différence pour garder sa maison) Je ne sais pas au Québec, mais dans notre pays la sortie d'indivision se fait par vente publique et comme elle refuse actuellement de communiquer c'est vers cela que nous nous dirigeons et ça pourrait nous faire perdre beaucoup.

De toute façon, si elle décide de présenter sa demande de divorce au Québec, le juge ne prendra en compte que les avoirs au Québec. Il y aurait trop de paramètres à prendre en compte ( régime matrimonial lors du mariage en France par exemple, qui ne s'applique pas au Québec). Et donc, au Québec, lors d'un divorce, tous les avoirs sont mis en commun et partagés à parts égales. Son avocat l'informera lorsque le moment sera venu.

Au Québec, ce sont seulement les biens considérés "patrimoine familial" qui sont automatiquement partagés à parts égales. Les biens exclus du patrimoine familial seront partagés selon les dispositions du régime matrimonial inscrit au contrat de mariage.

https://www.educaloi.qc.ca/capsules/les-regimes-matrimoniaux-les-regles-dadministration-et-de-partage-des-biens-des-epoux

Tous les biens détenus à l'étranger qui ne sont pas désignés "patrimoine familial" seront régis par le régime matrimonial en vigueur selon la loi du domicile commun au moment du mariage des époux.

http://informelle.osbl.ca/public/chronique-juridique_rupture-immigration.html

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Pour l'avis des enfants, je ne veux pas les forcer mais qd tt ça à commencé, ma fille de 8 ans a dit à sa mère qu'elle voulait rentrer avec moi. Mon fils de 14 qu'il voulait rester pcq le niveau scolaire est plus facile au Québec (et oui ), et celui de 9 ans tant qu'il a sa ps4.... Donc l'avis des enfants ne me semble pas vraiment fixé, après tout ils ne voulaient pas partir au Québec il y a deux ans.

Dans tous les cas, quel que soit l'avis des enfants, elle ne peut pas déposer une demande de résidence permanente pour les enfants sans ton accord.

Tant qu'il n'y aura pas d'autorisation signée de ta part pour que le Canada accorde la résidence permanente à TES enfants, elle pourra toujours demander sa propre RP, mais pas la leur. À moins qu'un juge lui octroie une garde complète avant. C'est quand même assez rare qu'un juge québécois enlève les droits parentaux à un parent sans motif grave.

Bref, ta femme aurait tout intérêt à accepter la médiation. C'est presque gratuit, rapidement accessible et la majorité des gens sont très satisfaits du résultat.

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Il y a tout de même des certitudes dans un divorce, le patrimoine doit être diviser et même ça elle n'a pas l'air de le comprendre (elle croit qu'elle garde la maison au Québec et moi celle dans notre pays : ce qui est impossible la banque ne veut pas mettre l'hypothèque à mon nom dans notre pays donc cette maison sera vendue de toute façon et en fonction du prix de vente elle devra ou non me verser une différence pour garder sa maison) Je ne sais pas au Québec, mais dans notre pays la sortie d'indivision se fait par vente publique et comme elle refuse actuellement de communiquer c'est vers cela que nous nous dirigeons et ça pourrait nous faire perdre beaucoup.

De toute façon, si elle décide de présenter sa demande de divorce au Québec, le juge ne prendra en compte que les avoirs au Québec. Il y aurait trop de paramètres à prendre en compte ( régime matrimonial lors du mariage en France par exemple, qui ne s'applique pas au Québec). Et donc, au Québec, lors d'un divorce, tous les avoirs sont mis en commun et partagés à parts égales. Son avocat l'informera lorsque le moment sera venu.

Désolé de vous contredire mais mais le régime matrimonial Belge s'applique au Québec. Et normalement les biens à l'étranger aussi car ils font partie du patrimoine commun.

Pour le régime matrimonial c'est écrit noir sur blanc dans la loi Québecoise.

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Pour l'avis des enfants, je ne veux pas les forcer mais qd tt ça à commencé, ma fille de 8 ans a dit à sa mère qu'elle voulait rentrer avec moi. Mon fils de 14 qu'il voulait rester pcq le niveau scolaire est plus facile au Québec (et oui ), et celui de 9 ans tant qu'il a sa ps4.... Donc l'avis des enfants ne me semble pas vraiment fixé, après tout ils ne voulaient pas partir au Québec il y a deux ans.

Dans tous les cas, quel que soit l'avis des enfants, elle ne peut pas déposer une demande de résidence permanente pour les enfants sans ton accord.

Tant qu'il n'y aura pas d'autorisation signée de ta part pour que le Canada accorde la résidence permanente à TES enfants, elle pourra toujours demander sa propre RP, mais pas la leur. À moins qu'un juge lui octroie une garde complète avant. C'est quand même assez rare qu'un juge québécois enlève les droits parentaux à un parent sans motif grave.

Bref, ta femme aurait tout intérêt à accepter la médiation. C'est presque gratuit, rapidement accessible et la majorité des gens sont très satisfaits du résultat.

Je suis tout à fait d'accord, je lui avait proposé la médiation et elle n'a pas voulu.

Donc, étant donné que le permis des enfants prend fin en mai et que mon épouse ne veut rien faire avant juin (cela fera un an de séparation de fait). Si elle veut que les enfants restent avec elle, elle a tout intérêt à m'aider pour ma rp sinon les enfants rentrent avec moi. J'espère vraiment qu'elle ouvrira les yeux.

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Je te conseille de lui faire parvenir un courrier d'avocat avec tes demandes (partage du patrimoine au quebec, pension alimentaire si tu y as droit, garde des enfants etc...) ça va la faire réagir.

Comme elle ne veut rien entendre ça risque de se passer par avocats interposés malheureusement.

Entre nous et à ta place il y a longtemps que le gars se serait pris mon pied au c** pis t'es chez toi elle n'a pas le droit de te mettre à la porte.

Merci, je suis parti pour éviter les conflits mais nous étions en bon termes par contre depuis que je suis loin elle abuse.

Je sais que je pourrais réintégrer notre domicile mais cela serrait interprèté par mon épouse comme un acte hostile.

J'avais bien pensé à un peu arranger son petit copain mais cela n'aurait pas servi mes intérêts, bagarre et police à la maison je serais passé pour qqn de violent.

Merci

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Il y a tout de même des certitudes dans un divorce, le patrimoine doit être diviser et même ça elle n'a pas l'air de le comprendre (elle croit qu'elle garde la maison au Québec et moi celle dans notre pays : ce qui est impossible la banque ne veut pas mettre l'hypothèque à mon nom dans notre pays donc cette maison sera vendue de toute façon et en fonction du prix de vente elle devra ou non me verser une différence pour garder sa maison) Je ne sais pas au Québec, mais dans notre pays la sortie d'indivision se fait par vente publique et comme elle refuse actuellement de communiquer c'est vers cela que nous nous dirigeons et ça pourrait nous faire perdre beaucoup.

De toute façon, si elle décide de présenter sa demande de divorce au Québec, le juge ne prendra en compte que les avoirs au Québec. Il y aurait trop de paramètres à prendre en compte ( régime matrimonial lors du mariage en France par exemple, qui ne s'applique pas au Québec). Et donc, au Québec, lors d'un divorce, tous les avoirs sont mis en commun et partagés à parts égales. Son avocat l'informera lorsque le moment sera venu.

Désolé de vous contredire mais mais le régime matrimonial Belge s'applique au Québec. Et normalement les biens à l'étranger aussi car ils font partie du patrimoine commun.

Pour le régime matrimonial c'est écrit noir sur blanc dans la loi Québecoise.

Excusez, je me suis mal exprimée. Le régime matrimonial européen s'applique au Québec mais n'est pas transposable pour les biens possédés au Québec.

Je m'explique: je suis mariée en France sous le régime de la séparation de biens.

Tous mes biens possédés justifiables avant mon arrivée au Québec restent ma propriété, mais tous les biens acquis au Québec après notre arrivée et/ou placements bancaires ( patrimoine, actions, RÉER, CELI, etc) devraient être évalués dans un dossier commun et partagé en 2 en cas de divorce au Québec.

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Il y a tout de même des certitudes dans un divorce, le patrimoine doit être diviser et même ça elle n'a pas l'air de le comprendre (elle croit qu'elle garde la maison au Québec et moi celle dans notre pays : ce qui est impossible la banque ne veut pas mettre l'hypothèque à mon nom dans notre pays donc cette maison sera vendue de toute façon et en fonction du prix de vente elle devra ou non me verser une différence pour garder sa maison) Je ne sais pas au Québec, mais dans notre pays la sortie d'indivision se fait par vente publique et comme elle refuse actuellement de communiquer c'est vers cela que nous nous dirigeons et ça pourrait nous faire perdre beaucoup.

De toute façon, si elle décide de présenter sa demande de divorce au Québec, le juge ne prendra en compte que les avoirs au Québec. Il y aurait trop de paramètres à prendre en compte ( régime matrimonial lors du mariage en France par exemple, qui ne s'applique pas au Québec). Et donc, au Québec, lors d'un divorce, tous les avoirs sont mis en commun et partagés à parts égales. Son avocat l'informera lorsque le moment sera venu.

Au Québec, ce sont seulement les biens considérés "patrimoine familial" qui sont automatiquement partagés à parts égales. Les biens exclus du patrimoine familial seront partagés selon les dispositions du régime matrimonial inscrit au contrat de mariage.

https://www.educaloi.qc.ca/capsules/les-regimes-matrimoniaux-les-regles-dadministration-et-de-partage-des-biens-des-epoux

Tous les biens détenus à l'étranger qui ne sont pas désignés "patrimoine familial" seront régis par le régime matrimonial en vigueur selon la loi du domicile commun au moment du mariage des époux.

http://informelle.osbl.ca/public/chronique-juridique_rupture-immigration.html

Merci je savais déjà, dans mon cas la communauté réduite aux acquêts donc la même chose que le "patrimoine familial"

encore merci

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sinon les enfants rentrent avec moi. J'espère vraiment qu'elle ouvrira les yeux.

Ca, ce ne sera pas automatique. Ce sera évalué et déterminé par un juge.

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Il y a tout de même des certitudes dans un divorce, le patrimoine doit être diviser et même ça elle n'a pas l'air de le comprendre (elle croit qu'elle garde la maison au Québec et moi celle dans notre pays : ce qui est impossible la banque ne veut pas mettre l'hypothèque à mon nom dans notre pays donc cette maison sera vendue de toute façon et en fonction du prix de vente elle devra ou non me verser une différence pour garder sa maison) Je ne sais pas au Québec, mais dans notre pays la sortie d'indivision se fait par vente publique et comme elle refuse actuellement de communiquer c'est vers cela que nous nous dirigeons et ça pourrait nous faire perdre beaucoup.

De toute façon, si elle décide de présenter sa demande de divorce au Québec, le juge ne prendra en compte que les avoirs au Québec. Il y aurait trop de paramètres à prendre en compte ( régime matrimonial lors du mariage en France par exemple, qui ne s'applique pas au Québec). Et donc, au Québec, lors d'un divorce, tous les avoirs sont mis en commun et partagés à parts égales. Son avocat l'informera lorsque le moment sera venu.

Désolé de vous contredire mais mais le régime matrimonial Belge s'applique au Québec. Et normalement les biens à l'étranger aussi car ils font partie du patrimoine commun.

Pour le régime matrimonial c'est écrit noir sur blanc dans la loi Québecoise.

Excusez, je me suis mal exprimée. Le régime matrimonial européen s'applique au Québec mais n'est pas transposable pour les biens possédés au Québec.

Je m'explique: je suis mariée en France sous le régime de la séparation de biens.

Tous mes biens possédés justifiables avant mon arrivée au Québec restent ma propriété, mais tous les biens acquis au Québec après notre arrivée et/ou placements bancaires ( patrimoine, actions, RÉER, CELI, etc) devraient être évalués dans un dossier commun et partagé en 2 en cas de divorce au Québec.

Dans mon cas un avocat m'a dit à peu près le contraire : si je n'avais pas résider matrimonialement au Québec, et que la règle du patrimoine familial ne s'appliquait pas, c'est le régime matrimonial qui aurait prévalu.

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sinon les enfants rentrent avec moi. J'espère vraiment qu'elle ouvrira les yeux.

Ca, ce ne sera pas automatique. Ce sera évalué et déterminé par un juge.

Par contre, un juge dans un litige familial (divorce) n'a aucune compétence pour déterminer la légalité du statut des enfants au Canada.

Le statut des enfants va expirer en mai. Dès lors, si le permis n'est pas renouvelé, les enfants seront dans un statut illégal ... donc obligés de retourner là où leur statut est légal, en Belgique (le CSQ n'est pas un statut légal). Sinon ils ne pourront même pas commencer l'année scolaire en septembre, sans permis.

Ce qu'il faut aux enfants, c'est que les deux parents reviennent à la raison et trouvent un terrain d'entente, sinon ils n'auront pas le choix de rentrer en Belgique.

À mon avis, le papa a plus de pouvoir de contrainte qu'il ne le pense. La maman est la grande perdante mais elle n'a pas l'air de le comprendre.

Modifié par Kweli
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Il y a tout de même des certitudes dans un divorce, le patrimoine doit être diviser et même ça elle n'a pas l'air de le comprendre (elle croit qu'elle garde la maison au Québec et moi celle dans notre pays : ce qui est impossible la banque ne veut pas mettre l'hypothèque à mon nom dans notre pays donc cette maison sera vendue de toute façon et en fonction du prix de vente elle devra ou non me verser une différence pour garder sa maison) Je ne sais pas au Québec, mais dans notre pays la sortie d'indivision se fait par vente publique et comme elle refuse actuellement de communiquer c'est vers cela que nous nous dirigeons et ça pourrait nous faire perdre beaucoup.

De toute façon, si elle décide de présenter sa demande de divorce au Québec, le juge ne prendra en compte que les avoirs au Québec. Il y aurait trop de paramètres à prendre en compte ( régime matrimonial lors du mariage en France par exemple, qui ne s'applique pas au Québec). Et donc, au Québec, lors d'un divorce, tous les avoirs sont mis en commun et partagés à parts égales. Son avocat l'informera lorsque le moment sera venu.

Désolé de vous contredire mais mais le régime matrimonial Belge s'applique au Québec. Et normalement les biens à l'étranger aussi car ils font partie du patrimoine commun.

Pour le régime matrimonial c'est écrit noir sur blanc dans la loi Québecoise.

Excusez, je me suis mal exprimée. Le régime matrimonial européen s'applique au Québec mais n'est pas transposable pour les biens possédés au Québec.

Je m'explique: je suis mariée en France sous le régime de la séparation de biens.

Tous mes biens possédés justifiables avant mon arrivée au Québec restent ma propriété, mais tous les biens acquis au Québec après notre arrivée et/ou placements bancaires ( patrimoine, actions, RÉER, CELI, etc) devraient être évalués dans un dossier commun et partagé en 2 en cas de divorce au Québec.

Dans mon cas un avocat m'a dit à peu près le contraire : si je n'avais pas résider matrimonialement au Québec, et que la règle du patrimoine familial ne s'appliquait pas, c'est le régime matrimonial qui aurait prévalu.

Oui. En fait ce n'est pas le contraire, c'est une information complémentaire. Tout simplement parce qu'on s'est mariés dans un pays étranger au Canada avec un régime matrimonial étranger, mais au Québec, ce sont les Lois de l'endroit où on habite qui prévalent. C'est quand même très important, car cela est déterminant si on revient habiter dans le pays d'origine d'où on pourra poser une demande de divorce. Et là, ce seront aussi les lois du pays dans lequel on sera revenu qui s'appliqueront.

Informations reçues de notre notaire.

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sinon les enfants rentrent avec moi. J'espère vraiment qu'elle ouvrira les yeux.

Ca, ce ne sera pas automatique. Ce sera évalué et déterminé par un juge.

Par contre, un juge dans un litige familial (divorce) n'a aucune compétence pour déterminer la légalité du statut des enfants au Canada.

Le statut des enfants va expirer en mai. Dès lors, si le permis n'est pas renouvelé, les enfants seront dans un statut illégal ... donc obligés de retourner là où leur statut est légal, en Belgique (le CSQ n'est pas un statut légal). Sinon ils ne pourront même pas commencer l'année scolaire en septembre, sans permis.

Ce qu'il faut aux enfants, c'est que les deux parents reviennent à la raison et trouvent un terrain d'entente, sinon ils n'auront pas le choix de rentrer en Belgique.

À mon avis, le papa a plus de pouvoir de contrainte qu'il ne le pense. La maman est la grande perdante mais elle n'a pas l'air de le comprendre.

Les réponses des juges sont parfois surprenantes. On ne peut présumer de strictement rien . Un lien intéressant :

Les critères pour établir la garde des enfants
Le critère le plus important pour établir la garde des enfants est l'intérêt de chacun de ces enfants.
Depuis plusieurs années, on reconnaît qu'un enfant a besoin de ses deux parents. D'ailleurs, il faut préciser que la loi ne favorise pas la mère en matière de garde.
Pour déterminer la garde dans le meilleur intérêt de chaque enfant et analyser la situation, le juge tiendra compte de plusieurs facteurs, dont les suivants :
l'âge de l'enfant;
les besoins de l'enfant;
la capacité de chacun des parents de répondre aux besoins de l'enfant;
la relation entre l'enfant et chacun de ses parents;
la relation entre l'enfant et les membres de la famille;
la stabilité de l'enfant;
la santé physique et mentale de l'enfant;
la santé physique et mentale du parent qui désire en obtenir la garde;
la disponibilité de chaque parent;
les habitudes de vie des parents, si elles affectent directement l'enfant;
la situation des frères et des soeurs pour éviter de les séparer;
la volonté des parents que l'enfant conserve une relation avec l'autre parent;
l'opinion de l'enfant.
Je ne suis pas certaine que cela fonctionne aussi facilement. La première autorisation doit être signée par le père en mai prochain.
En admettant qu'il signe et autorise la poursuite du processus au fédéral pour les enfants en s'y impliquant, qu'est-ce qui empêche la maman, au dernier moment de le retirer de son processus. Tant que le visa n'est pas dans la poche, rien n'est jamais gagné.
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sinon les enfants rentrent avec moi. J'espère vraiment qu'elle ouvrira les yeux.

Ca, ce ne sera pas automatique. Ce sera évalué et déterminé par un juge.

Par contre, un juge dans un litige familial (divorce) n'a aucune compétence pour déterminer la légalité du statut des enfants au Canada.

Le statut des enfants va expirer en mai. Dès lors, si le permis n'est pas renouvelé, les enfants seront dans un statut illégal ... donc obligés de retourner là où leur statut est légal, en Belgique (le CSQ n'est pas un statut légal). Sinon ils ne pourront même pas commencer l'année scolaire en septembre, sans permis.

Ce qu'il faut aux enfants, c'est que les deux parents reviennent à la raison et trouvent un terrain d'entente, sinon ils n'auront pas le choix de rentrer en Belgique.

À mon avis, le papa a plus de pouvoir de contrainte qu'il ne le pense. La maman est la grande perdante mais elle n'a pas l'air de le comprendre.

Les réponses des juges sont parfois surprenantes. On ne peut présumer de strictement rien . Un lien intéressant :

Les critères pour établir la garde des enfants
Le critère le plus important pour établir la garde des enfants est l'intérêt de chacun de ces enfants.
Depuis plusieurs années, on reconnaît qu'un enfant a besoin de ses deux parents. D'ailleurs, il faut préciser que la loi ne favorise pas la mère en matière de garde.
Pour déterminer la garde dans le meilleur intérêt de chaque enfant et analyser la situation, le juge tiendra compte de plusieurs facteurs, dont les suivants :
l'âge de l'enfant;
les besoins de l'enfant;
la capacité de chacun des parents de répondre aux besoins de l'enfant;
la relation entre l'enfant et chacun de ses parents;
la relation entre l'enfant et les membres de la famille;
la stabilité de l'enfant;
la santé physique et mentale de l'enfant;
la santé physique et mentale du parent qui désire en obtenir la garde;
la disponibilité de chaque parent;
les habitudes de vie des parents, si elles affectent directement l'enfant;
la situation des frères et des soeurs pour éviter de les séparer;
la volonté des parents que l'enfant conserve une relation avec l'autre parent;
l'opinion de l'enfant.
Je ne suis pas certaine que cela fonctionne aussi facilement. La première autorisation doit être signée par le père en mai prochain.
En admettant qu'il signe et autorise la poursuite du processus au fédéral pour les enfants en s'y impliquant, qu'est-ce qui empêche la maman, au dernier moment de le retirer de son processus. Tant que le visa n'est pas dans la poche, rien n'est jamais gagné.

Raison de plus pour ne rien signer du tout.

Un juge peut bien octroyer la garde à un parent, il ne peut pas pour autant retirer les droits à l'autre parent sans motif raisonnable. Et il ne peut pas ordonner à un parent récalcitrant de signer les papiers d'immigration.

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sinon les enfants rentrent avec moi. J'espère vraiment qu'elle ouvrira les yeux.

Ca, ce ne sera pas automatique. Ce sera évalué et déterminé par un juge.

Si elle fait la demande attend pour passer devant un juge, ce n'est de toute façon pas mon but, je préfère que mes enfants aient leur deux parents et je suis prêt à reffaire ma vie au Québec si il le faut mais pour ça j'ai besoin de son appui.

Enfin, un juge tiendra compte de la situation, je viens d'un pays ou la couverture sociale est même meilleure qu'au Québec, j'élève mes enfants depuis toujours (lors d'une précédente séparation ils étaient même à ma charge car leur mère travaillais déjà à l'étranger et y passait 3 jours semaine).

Donc si on en arrive là c'est du 50/50 je pense avoir autant de chances qu'elle.

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