Habitués futurquébecois Posté(e) 22 mars 2013 Habitués Posté(e) 22 mars 2013 (modifié) Avec le vieillissement de la population, la demande pour les soins de santé augmentera considérablement au cours des prochaines années. Pour pallier un éventuel manque de personnel soignant, beaucoup d'immigrants suivent des formations, ici, au Québec. Zahia Meraked, une jeune mère de famille qui est arrivée d'Algérie il y a neuf mois, complète une formation de six semaines comme préposée aux bénéficiaires. Dans son pays, elle a travaillé pendant plus de 10 ans comme infirmière, dans un hôpital universitaire. «J'étais beaucoup plus spécialisée pour la pédiatrie, néonatalogie», raconte-t-elle. Elle ne peut pas encore pratiquer comme infirmière au Québec et devra suivre des cours avant d'obtenir l'autorisation de l'Ordre des infirmières. Sid Ali Benabitalla était infirmier en santé mentale en Algérie. Il est arrivé à Montréal il y a un an et demi. «Il faut connaître la culture pour aller vers l'approche thérapeutique», affirme l'étudiant. L'Agence de la santé de Montréal l'a compris et vient de créer un projet-pilote pour intégrer ces nouveaux arrivants dans le réseau de la santé. Une vingtaine d'étudiants viennent de compléter un stage de six semaines à l'école, à l'hôpital et en CHSLD. «Ça leur permet de voir vraiment la réalité du travail dans les établissements de la santé», de dire Jeanne-Évelyne Turgeron, directrice associée à l'Agence de la santé de Montréal. Cela leur permettra d'avoir un salaire de préposé en attendant de passer, dans quelques mois, leurs examens et redevenir probablement infirmiers. Source : http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2013/03/20130321-202914.html Modifié 22 mars 2013 par futurquébecois Citer
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