Laurent Posté(e) 28 mai 2011 Posté(e) 28 mai 2011 Belle histoire ! Forger sa destinée Pascal LeBlanc 27 mai 2011 Faten El-Gharib est arrivée au Canada il y a environ cinq ans. Elle est aujourd'hui propriétaire de deux Pharmaprix. Alors que la plupart se seraient laissé écraser par le système, elle n'a jamais perdu son objectif de vue. Mme El-Gharib a étudié en pharmacie au Liban. Francophone, elle voulait s'installer à Montréal, mais son diplôme n'était pas reconnu au Québec. Elle avait donc deux options: retourner à l'école ou passer un examen qui lui permettrait de travailler dans les autres provinces canadiennes. Elle a choisi d'aller à Toronto, afin de faire les tests nécessaires. Entre-temps, les lois ont changé et elle a pu venir exercer son métier au Québec.«Plusieurs personnes vont blâmer les autres et ils ne vont jamais rien faire. Il y a toujours une solution. En faisant l'examen, je voulais me prouver que j'étais capable de réussir. Le destin m'a permis de poursuivre mon chemin», mentionne la pharmacienne. En arrivant à Montréal, Mme El-Gharib a rencontré d'autres embûches. «Cela n'a pas été facile de trouver un travail. Partout, on demandait de l'expérience canadienne, alors j'ai commencé comme assistante-technicienne. Cela a été très dur émotionnellement, car après avoir étudié si longtemps, je voyais les pharmaciens faire des erreurs et je ne pouvais rien faire.» N'acceptant pas son sort, Mme El-Gharib a continué à travailler d'arrache-pied, et en 2010, elle a acheté sa première pharmacie sur le boulevard Saint-Laurent. Il y seulement quelques semaines, elle a fait l'acquisition d'une deuxième, sur la rue Chabanel. «Quand on a un but et qu'on décide de le poursuivre, on finit par y arriver», philosophe-t-elle. source : http://www.courriera...r-sa-destinee/1 Citer
Habitués iding Posté(e) 28 mai 2011 Habitués Posté(e) 28 mai 2011 c'est jolie félicitations à elle Citer
Habitués rock79 Posté(e) 28 mai 2011 Habitués Posté(e) 28 mai 2011 la vie facile n'existe nul part mais si on est déterminé, les obstacles que nous rencontrons deviennent finalement des escaliers pour notre élévation. félicitation donc à Mme El-Gharib Citer
nguetta Posté(e) 21 août 2011 Posté(e) 21 août 2011 félicitation. votre parcours es remarquable et nous enseigne qu'il se battre pour obtenir ce que l'on veut Citer
Invité Posté(e) 21 août 2011 Posté(e) 21 août 2011 Belle histoire ! Forger sa destinée Pascal LeBlanc 27 mai 2011 Faten El-Gharib est arrivée au Canada il y a environ cinq ans. Elle est aujourd'hui propriétaire de deux Pharmaprix. Alors que la plupart se seraient laissé écraser par le système, elle n'a jamais perdu son objectif de vue. Mme El-Gharib a étudié en pharmacie au Liban. Francophone, elle voulait s'installer à Montréal, mais son diplôme n'était pas reconnu au Québec. Elle avait donc deux options: retourner à l'école ou passer un examen qui lui permettrait de travailler dans les autres provinces canadiennes. Elle a choisi d'aller à Toronto, afin de faire les tests nécessaires. Entre-temps, les lois ont changé et elle a pu venir exercer son métier au Québec.«Plusieurs personnes vont blâmer les autres et ils ne vont jamais rien faire. Il y a toujours une solution. En faisant l'examen, je voulais me prouver que j'étais capable de réussir. Le destin m'a permis de poursuivre mon chemin», mentionne la pharmacienne. En arrivant à Montréal, Mme El-Gharib a rencontré d'autres embûches. «Cela n'a pas été facile de trouver un travail. Partout, on demandait de l'expérience canadienne, alors j'ai commencé comme assistante-technicienne. Cela a été très dur émotionnellement, car après avoir étudié si longtemps, je voyais les pharmaciens faire des erreurs et je ne pouvais rien faire.» N'acceptant pas son sort, Mme El-Gharib a continué à travailler d'arrache-pied, et en 2010, elle a acheté sa première pharmacie sur le boulevard Saint-Laurent. Il y seulement quelques semaines, elle a fait l'acquisition d'une deuxième, sur la rue Chabanel. «Quand on a un but et qu'on décide de le poursuivre, on finit par y arriver», philosophe-t-elle. source : http://www.courriera...r-sa-destinee/1 Je me fais tout petit Pour poser cette question Par curiosité c'est quoi le prix d'une pharmacie a Montréal? Citer
Habitués juetben Posté(e) 21 août 2011 Habitués Posté(e) 21 août 2011 félicitation. votre parcours es remarquable et nous enseigne qu'il se battre pour obtenir ce que l'on veut tu sais un article de ce type c'est bien beau... mais se battre avec les poches pleines c'est toujours plus facile que les poches vides!!! cette femme n'est certainement pas arrivée ici avec le minimum demandé pour subvenir à ses besoins!! bestial-warlust et Tline250 ont réagi à ceci 2 Citer
Invité Posté(e) 21 août 2011 Posté(e) 21 août 2011 Belle histoire ! Forger sa destinée Pascal LeBlanc 27 mai 2011 Faten El-Gharib est arrivée au Canada il y a environ cinq ans. Elle est aujourd'hui propriétaire de deux Pharmaprix. Alors que la plupart se seraient laissé écraser par le système, elle n'a jamais perdu son objectif de vue. Mme El-Gharib a étudié en pharmacie au Liban. Francophone, elle voulait s'installer à Montréal, mais son diplôme n'était pas reconnu au Québec. Elle avait donc deux options: retourner à l'école ou passer un examen qui lui permettrait de travailler dans les autres provinces canadiennes. Elle a choisi d'aller à Toronto, afin de faire les tests nécessaires. Entre-temps, les lois ont changé et elle a pu venir exercer son métier au Québec.«Plusieurs personnes vont blâmer les autres et ils ne vont jamais rien faire. Il y a toujours une solution. En faisant l'examen, je voulais me prouver que j'étais capable de réussir. Le destin m'a permis de poursuivre mon chemin», mentionne la pharmacienne. En arrivant à Montréal, Mme El-Gharib a rencontré d'autres embûches. «Cela n'a pas été facile de trouver un travail. Partout, on demandait de l'expérience canadienne, alors j'ai commencé comme assistante-technicienne. Cela a été très dur émotionnellement, car après avoir étudié si longtemps, je voyais les pharmaciens faire des erreurs et je ne pouvais rien faire.» N'acceptant pas son sort, Mme El-Gharib a continué à travailler d'arrache-pied, et en 2010, elle a acheté sa première pharmacie sur le boulevard Saint-Laurent. Il y seulement quelques semaines, elle a fait l'acquisition d'une deuxième, sur la rue Chabanel. «Quand on a un but et qu'on décide de le poursuivre, on finit par y arriver», philosophe-t-elle. source : http://www.courriera...r-sa-destinee/1 Je me fais tout petit Pour poser cette question Par curiosité c'est quoi le prix d'une pharmacie a Montréal? décidement quelle objectivité dans ces articles ,Pour parfaire ce sujet Il faudrait plutot expliquer le fonctionnement ancestral de la ''tontine'' Ce que la communauté Libanaise Opère a chaque investissement d'ampleur majeur..Et la nous serons dans le réel .. Citer
Habitués Lotus01 Posté(e) 30 octobre 2011 Habitués Posté(e) 30 octobre 2011 Bravo et félicitations. Le secret de sa réussite est la fléxibilité.... ça n'a pas marché au Québec (comme c'est souvent le cas), elle est partie ailleurs. Le Canada est immense. D'autres s'accrochent à cette province repliée sur elle-même et se victimisent ...... Elargissez vos horizons, revenez par la grande porte au de s'abonner à vie au BS (bien-aide-social)..... En 2008, les lois ont changé, on accepte à nouveau les examens du BEPC, les frais ont grimpé aussi et 50 M.ont été promis au Québec sur 4 ans.... disons donc qu'en 2012, si le fédéral ferme le robinet, l'ordre des pharmacies rétrécie à nouveau la porte. Bon courage à tous et ne baisser pas les bras. Citer
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.