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  • Habitués
Posté(e)

Premièrement je parles de ceux qui savent dès le départ qu'ils passeront par la procédure Québécoise pour aboutir au Canada anglais. Ceux la se sont des crosseurs...ainsi que ceux qui les encourage a le faire.

jimmy

Sauf que personne ne parle de faire sauf toi. On parle du droit légitime à vivre où on veut au Canada et toi tu parles tout de suite de fraude avec ton flot habituel d'insultes :rolleyes: Tu vois un peu ta mentalité -_-

Et la modération ferme toujours les yeux....lazy.gif

  • Habitués
Posté(e)

Premièrement je parles de ceux qui savent dès le départ qu'ils passeront par la procédure Québécoise pour aboutir au Canada anglais. Ceux la se sont des crosseurs...ainsi que ceux qui les encourage a le faire.

jimmy

Sauf que personne ne parle de faire sauf toi. On parle du droit légitime à vivre où on veut au Canada et toi tu parles tout de suite de fraude avec ton flot habituel d'insultes :rolleyes: Tu vois un peu ta mentalité -_-

Et la modération ferme toujours les yeux....lazy.gif

La modération est composée de personnes bénévoles qui travaillent aussi, qui mangent aussi, qui dorment aussi (de temps en temps), bref qui vivent aussi comme vous.

Nous n'avons pas à intervenir dans des fils de discussion simplement parce certains s'échauffent un peu. Nous surveillons simplement le fil de discussion de façon à ce qu'il ne dégénère pas.

Posté(e)

Ca se passe très bien pour moi ici au Québec, pour l'instant!!!

Mais ca me tenterait bien d'essayer un autre endroit (Ontario ou Alberta), juste par curiosité! A ce moment là, je ferai le compte :) Sauf que j'adore vivre en français! Ce qui me manquera le plus, c'est ce côté là!!!

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

on devra se donner un délais de 3 mois pas plus pour trouver un emploi au quebec,

comme s est mentionné dans le d21; pour ne pas demander de l'aide sociale. au gouvernement du quebec; et etre un fardeaux excessif .

alors on doit changer de provence. malheureusement. si ils ne donnent pas du travail.

bye bye quebec. chose qu'on souhaitera plus arriver.

Modifié par devdel
  • Habitués
Posté(e)

on devra se donner un délais de 3 mois pas plus pour trouver un emploi au quebec,

comme s est mentionné dans le d21; pour ne pas demander de l'aide sociale. au gouvernement du quebec; et etre un fardeaux excessif .

alors on doit changer de provence. malheureusement. si ils ne donnent pas du travail.

bye bye quebec. chose qu'on souhaitera plus arriver.

La durée moyenne de la période de chômage pour l'ensemble des travailleurs du Québec était de 19 semaines consécutives (18,3 en Ontario et 12,6 en Alberta) en 2009.

StatCan

S'accorder seulement 12 semaines en tant qu'immigrant me semble très peu réaliste. Il faudrait mieux miser sur des réserves monétaires plus importantes afin de subsister par soi-même pour une période minimale de 6 mois.

  • Habitués
Posté(e)

on devra se donner un délais de 3 mois pas plus pour trouver un emploi au quebec,

comme s est mentionné dans le d21; pour ne pas demander de l'aide sociale. au gouvernement du quebec; et etre un fardeaux excessif .

alors on doit changer de provence. malheureusement. si ils ne donnent pas du travail.

bye bye quebec. chose qu'on souhaitera plus arriver.

Il faudrait mieux miser sur des réserves monétaires plus importantes afin de subsister par soi-même pour une période minimale de 6 mois.

Tu m'otes les caracteres du bout des doigts ... en plus avec le delais de carence en ce qui concerne la couverture maladie, pas interet de tomber malade.

  • Habitués
Posté(e)

La durée moyenne de la période de chômage pour l'ensemble des travailleurs du Québec était de 19 semaines consécutives (18,3 en Ontario et 12,6 en Alberta) en 2009.

StatCan

S'accorder seulement 12 semaines en tant qu'immigrant me semble très peu réaliste. Il faudrait mieux miser sur des réserves monétaires plus importantes afin de subsister par soi-même pour une période minimale de 6 mois.

c est une affaire de perte de temps plutot qu'une affaire d'argent , le temps c est la vie, d'ailleurs on a perdu beaucoup du temps.

un mois pour la paperasse et decouvrir le nouvel continent on pourra dire touristique. un autre mois mois pour la recherche du travail et du serieux.

au delà de ça c est inutile de rester dans le meme endroit. dans le proverbe algerien (bouji takol er-rouji) ( tu dois bouger pour manger le rouget).

manitoba ou bien alberta.....

  • Habitués
Posté(e)

La durée moyenne de la période de chômage pour l'ensemble des travailleurs du Québec était de 19 semaines consécutives (18,3 en Ontario et 12,6 en Alberta) en 2009.

StatCan

S'accorder seulement 12 semaines en tant qu'immigrant me semble très peu réaliste. Il faudrait mieux miser sur des réserves monétaires plus importantes afin de subsister par soi-même pour une période minimale de 6 mois.

c est une affaire de perte de temps plutot qu'une affaire d'argent , le temps c est la vie, d'ailleurs on a perdu beaucoup du temps.

Disons plutôt que c'est une question d'avoir des objectifs réalistes et de prendre aussi des moyens réalistes. Comme on dit ici: "C'est à toi les oreilles!" ;)

  • Habitués
Posté(e)

La durée moyenne de la période de chômage pour l'ensemble des travailleurs du Québec était de 19 semaines consécutives (18,3 en Ontario et 12,6 en Alberta) en 2009.

StatCan

S'accorder seulement 12 semaines en tant qu'immigrant me semble très peu réaliste. Il faudrait mieux miser sur des réserves monétaires plus importantes afin de subsister par soi-même pour une période minimale de 6 mois.

c est une affaire de perte de temps plutot qu'une affaire d'argent , le temps c est la vie, d'ailleurs on a perdu beaucoup du temps.

Disons plutôt que c'est une question d'avoir des objectifs réalistes et de prendre aussi des moyens réalistes. Comme on dit ici: "C'est à toi les oreilles!" ;)

on vas pas faire la guerre ; pour qu'on doit se doter de moyens aussi importants ( le stock de guerre que tu en parles ). on veut just tester notre chance. si ça n a pas marché , c est le retour au bout d une année à notre pays.

merci pour ta precision.

  • Habitués
Posté(e)

d'ailleur je tiens à remercie le quebec de nous avoir donnée cette chance.

mais on accepte pas de rester en prison ou dans une cage et puis il ne donne de la nourriture comme des oiseaux.

bonne chance .

  • Habitués
Posté(e)

Le titre de ce sujet est mensonger: tu n'aimes pas le Québec ? Fort bien, mais ce n'est pas une erreur de venir vivre ici.

Quel négativisme ! Ce n'est pas à cause des Québecois ou du Québec que tu as raté ton coup, c'est parce que tu ne t'y plaisais pas, que tu n'as pas fait assez d'efforts, que tu n'as pas été patient, que tu t'attendais à autre chose...

Le Québec n'a rien à voir dans ton échec !

  • Habitués
Posté(e)

d'ailleur je tiens à remercie le quebec de nous avoir donnée cette chance.

mais on accepte pas de rester en prison ou dans une cage et puis il ne donne de la nourriture comme des oiseaux.

bonne chance .

Au fait, tu n'es pas encore arrivé, n'est-ce pas? :whistlingb: Tes remerciements et ton négativisme sont prématurés.

  • Habitués
Posté(e)
Le titre de ce sujet est mensonger: tu n'aimes pas le Québec ? Fort bien, mais ce n'est pas une erreur de venir vivre ici.

Quel négativisme ! Ce n'est pas à cause des Québecois ou du Québec que tu as raté ton coup, c'est parce que tu ne t'y plaisais pas, que tu n'as pas fait assez d'efforts, que tu n'as pas été patient, que tu t'attendais à autre chose...

Le Québec n'a rien à voir dans ton échec !

Non mais n'importe quoi ! :lol:

  • Habitués
Posté(e)

il faut pas cacher le soleil avec le sas.

il faut aussi etre subjectif.

  • 4 weeks later...
Posté(e)

on devra se donner un délais de 3 mois pas plus pour trouver un emploi au quebec,

comme s est mentionné dans le d21; pour ne pas demander de l'aide sociale. au gouvernement du quebec; et etre un fardeaux excessif .

alors on doit changer de provence. malheureusement. si ils ne donnent pas du travail.

bye bye quebec. chose qu'on souhaitera plus arriver.

Je suis tout à fait d'accord.

Je suis nouveau au Québec, et bien que étant toujours à la recherche d'un emploi, je ne peux pas encore me prononcer sur l'accueil des québecois et c'est vrai que j'entends pas mal de gens qui parlent de racisme, et d'autres gens disent le contraire. De toute façon, je comprends tout à fait que les gens subissant du racisme veuillentt s'installer dans une autre province, et je pense que c'est ce que je ferais si je me trouverais dans ce cas(heureusement que je n'y suis pas encore), et j'aurais la conscience plus que tranquille au niveau des démarches d'immigration, parce que considèrerai que le choix que j'aurais fait s'est basé sur des choses qui se seraient avérés fausses, et ce n'est pas normal de sacrifier ma carrière en travaillant des emplois à 180 degrés de mon profil parce qu'on me refuserait dans les entreprises québecoises à cause de mon statut d'immigrant si j'ai la chance d'aller évoluer mieux ailleurs.

Ceci étant dit, et ayant vécu aussi dans d'autres pays, je salue les efforts du gouvernement québecois pour intégrer les immigrants, parce qu'ils nous assistent pas mal, mais il me semble qu'il y a un manque au niveau de l'action du gouvernement au niveau des employeurs québecois. En effet, il serait judicieux de faire des campagnes d'informations auprès des employeurs sur le statut des immigrants et les avantages qu'ils peuvent apporter à leur entreprises, de la même manière qu'il fait des sessions d'informations à travers le monde pour attirer les immigrants...

  • Habitués
Posté(e)

on devra se donner un délais de 3 mois pas plus pour trouver un emploi au quebec,

comme s est mentionné dans le d21; pour ne pas demander de l'aide sociale. au gouvernement du quebec; et etre un fardeaux excessif .

alors on doit changer de provence. malheureusement. si ils ne donnent pas du travail.

bye bye quebec. chose qu'on souhaitera plus arriver.

Je suis tout à fait d'accord.

Je suis nouveau au Québec, et bien que étant toujours à la recherche d'un emploi, je ne peux pas encore me prononcer sur l'accueil des québecois et c'est vrai que j'entends pas mal de gens qui parlent de racisme, et d'autres gens disent le contraire. De toute façon, je comprends tout à fait que les gens subissant du racisme veuillentt s'installer dans une autre province, et je pense que c'est ce que je ferais si je me trouverais dans ce cas(heureusement que je n'y suis pas encore), et j'aurais la conscience plus que tranquille au niveau des démarches d'immigration, parce que considèrerai que le choix que j'aurais fait s'est basé sur des choses qui se seraient avérés fausses, et ce n'est pas normal de sacrifier ma carrière en travaillant des emplois à 180 degrés de mon profil parce qu'on me refuserait dans les entreprises québecoises à cause de mon statut d'immigrant si j'ai la chance d'aller évoluer mieux ailleurs.

Ceci étant dit, et ayant vécu aussi dans d'autres pays, je salue les efforts du gouvernement québecois pour intégrer les immigrants, parce qu'ils nous assistent pas mal, mais il me semble qu'il y a un manque au niveau de l'action du gouvernement au niveau des employeurs québecois. En effet, il serait judicieux de faire des campagnes d'informations auprès des employeurs sur le statut des immigrants et les avantages qu'ils peuvent apporter à leur entreprises, de la même manière qu'il fait des sessions d'informations à travers le monde pour attirer les immigrants...

bonjour mon frère.

le gouvernement du québec fournie des efforts si importants pour réussir l'intégration des immigrants. mais les employeurs restent libres dans leurs chois, c est la démocratie. et le gouvernement ne peut obliger les employeurs à recruter des immigrants. sauf s'il adopte une politique dans ce sens , par exemple,

- accorder quelque avantages fiscaux, et parafiscaux.

- octroi de subventions pour l'investissement.

il faut changer de province au bout de quelque mois si ça bouge pas. parce que les frais de la vie n'attendent pas.

comme le pecheur qui pèche dans une bassine.

et je te conseille de faire des effort pour perfectionner ton l'anglais. c est la clé de réussite pour le reste du canada.

bonne chance mon frère,

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour,

Des fois on a la malchance de tomber sur un employeur raciste, mais faut pas toujours croire que nos difficultés

viennent de là. Il y a d'autres facteurs qui jouent contre :

1. Manque d'expérience canadienne

2. Manque de contacts professionnels

3. Niveau insuffisant de langue à l'oral ou à l'écrit ou les deux (en français ou en anglais ou les deux selon les cas)

4. Manque de préalables administratifs comme le fait de ne pas être inscrit dans un ordre professionnel provincial

5. Manque de connaissance de la culture locale.

Par exemple, la ponctualité.

Si nous sommes invités à une entrevue à 9:00 au Canada, l'employeur s'attend à qu'on arrive entre 8:55 et 9:05.

Au Mexique ou au Brésil, arriver une heure en retard c'est pas grave. Leur idée de ponctualité est bien différente!

Même chose pour les codes vestimentaires, les odeurs corporelles, le langage corporel, la façon d'exprimer

le désaccord, comment négocier les avantages sociaux, de quoi on peut parler lors de l'entrevue (et de quoi on

ne peut pas!), etc.

6. Expectatives démesurées

Posté(e)

Bonjour,

Des fois on a la malchance de tomber sur un employeur raciste, mais faut pas toujours croire que nos difficultés

viennent de là. Il y a d'autres facteurs qui jouent contre :

1. Manque d'expérience canadienne

2. Manque de contacts professionnels

3. Niveau insuffisant de langue à l'oral ou à l'écrit ou les deux (en français ou en anglais ou les deux selon les cas)

4. Manque de préalables administratifs comme le fait de ne pas être inscrit dans un ordre professionnel provincial

5. Manque de connaissance de la culture locale.

Par exemple, la ponctualité.

Si nous sommes invités à une entrevue à 9:00 au Canada, l'employeur s'attend à qu'on arrive entre 8:55 et 9:05.

Au Mexique ou au Brésil, arriver une heure en retard c'est pas grave. Leur idée de ponctualité est bien différente!

Même chose pour les codes vestimentaires, les odeurs corporelles, le langage corporel, la façon d'exprimer

le désaccord, comment négocier les avantages sociaux, de quoi on peut parler lors de l'entrevue (et de quoi on

ne peut pas!), etc.

6. Expectatives démesurées

Bonjour,

Je suis tout à fait d'accord avec toi pour les points 3 et 4, 5,mais pour les autres, pas tout à fait d'accord...

1-Expérience canadienne: Souvent les immigrants sont assez experimentés que les canadiens et des fois plus pour le poste en question, de part leur expérience dans leur pays d'origine, ceci est particulièrement vrai pour les postes techniques, et moins vrai pour les postes où il y a forte interaction avec le client, mais dans ce dernier cas je pense que l'adaptation serait assez facile pour les immigrants francophones. Pour les autres, c'est au gouvernement de les assister dans leur intégration vu qu'il les admet en sachant qu'ils ont des problèmes de langue.

2-Manque de contacts professionnels: Sans compter les contacts dans le pays d'origine, c'est vrai, mais ce n'est pas vraiment un handicap, sachant que les diplômés quebecois n'en ont pas plus... D'autre part, les contacts professionnels dans le pays d'origine pourraient aider l'entreprise à aller chercher des marchés là bas

3- Comme dans 1-, le gouvernement qui admet des gens ne sachant ni le français ni l'anglais devrait les rendre "acceptables" au marché de travail, et il me semble que le gouvernement fait pas mal en ce sens, en offrant des cours de français gratuits

4- Dans ce cas, je suis d'accord que la solution ne vient pas des employeurs, mais il faut que le gouvernement informe les candidats avant de faire leur choix de venir ici des délais que ça peut prendre pour s'inscrire à l'ordre, parce que pour certains c'est une frustration des fois. D'autre part, on manque de médecins au Québec et il y a beaucoup de médecins qui font chauffeur de taxi ou vendeur, ou call center... cherchez l'erreur... A ceux qui disent qu'ils n'ont pas le niveau, si on admet ça( ce qui n'est pas vrai), je préfèrerai être à moitié soigné que ne pas trouver de médecin du tout et avoir des complications...

5- C'est vrai, mais il faut donner la chance à l'immigrant pour prouver qu'il connait la culture locale...

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour,

1.

C'est vrai que les immigrants arrivons -très souvent- avec une longue expérience professionnelle dans notre domaine, mais elle

n'est pas reconnue ici! C'est une réalité, c'est decevant, je l'ai vécu en personne mais on peut s'en sortir en se tissant un nouveau

réseau de contacts professionnels locaux.

Par exemple, mon premier emploi au Québec a été du bénévolat.

Je me suis inscrit au Centre Local d'Emploi de Verdun puis ils m'ont donné la possibilité de faire du bénévolat pour des organismes

communautaires d'ici.

J'ai fait trois mois pour un organisme d'insertion pour les Algériens, puis ces gens-là m'ont recommandé à un Libanais qui cherchait

un DBA pour travailler les nuits. J'ai eu mon premier emploi payant, j'ai travaillé 2 ans avec le Libanais puis m'a recommandé pour entrer

dans une compagnie plus grosse.

(*) Je suis Argentin, pas Algérien; mais pour les employés du CLE de Verdun on est tous pareils.

2. Les jeunes Québécois ont déjà leurs contacts professionnels.

Faut pas oublier que leur parents connaissent des collègues au bureau ou dans le quartier, ça aide les enfants.

Puis les étudiants se font des contacts au Cégep ou à l'université, etc. Un peu comme dans nos pays d'origine!

Par contre, quand nous arrivons ici nous ne connaissons absolument personne. Faut repartir notre carrière pratiquement dès le debut!

3. C'est un point polémique.

C'est à qui la responsabilité de nos compétences linguistiques?

À nous? Au gouvernement?

Si j'immigre en Chine, c'est le gouvernement chinois qui devrait me donner un cours de mandarin 101?

Ou bien, je devrais l'apprendre par moi-même avant de partir?

Ou pire encore... je devrais arriver là-bas puis apprendre la langue par preuve et erreur (comme les jeunes enfants)?

À mon avis, mes compétences linguistiques sont ma responsabilité.

Par contre, la responsabilité du gouvernement est de bien évaluer les compétences linguistiques des candidats.

Mais c'est juste mon opinion.

4. Je connais pas les cas de tout le monde.

Mais dans mon cas, l'employée de la Délégation du Québec en Argentine nous a averti de ton ferme que mon diplôme d'ingénieur argentin

était plus au moins du "papier toilette" au Québec. Elle a été très claire à ce sujet.

D'autres pays, comme l'Australie, éxigent que tu fasses toute la papérasse des Ordres Professionnelles Australiens avant de démarrer ta

procédure d'immigration. Donc, tu arrives en Australie puis tu es en mésure (théoriquement) de faire ton métier là-bas.

J'aimerais savoir comment ça se passe en réalité.

5. Absolument d'accord.

Tu sais... j'ai envoyé 70 CVs dès mon arrivée puis absolument personne m'a répondu.

Faut absolument bâtir un réseautage, te trouver une job dans ton domaine (même bénévole).

Faut bouger, participer dans les sites et forums professionnels québécois, mettre le profil dans Linkedin, aller aux Salons de l'Emploi, etc.

Aujourd'hui, 8 ans plus tard, je reçois des offres d'emploi à tous les mois.

Bonjour,

Des fois on a la malchance de tomber sur un employeur raciste, mais faut pas toujours croire que nos difficultés

viennent de là. Il y a d'autres facteurs qui jouent contre :

1. Manque d'expérience canadienne

2. Manque de contacts professionnels

3. Niveau insuffisant de langue à l'oral ou à l'écrit ou les deux (en français ou en anglais ou les deux selon les cas)

4. Manque de préalables administratifs comme le fait de ne pas être inscrit dans un ordre professionnel provincial

5. Manque de connaissance de la culture locale.

Par exemple, la ponctualité.

Si nous sommes invités à une entrevue à 9:00 au Canada, l'employeur s'attend à qu'on arrive entre 8:55 et 9:05.

Au Mexique ou au Brésil, arriver une heure en retard c'est pas grave. Leur idée de ponctualité est bien différente!

Même chose pour les codes vestimentaires, les odeurs corporelles, le langage corporel, la façon d'exprimer

le désaccord, comment négocier les avantages sociaux, de quoi on peut parler lors de l'entrevue (et de quoi on

ne peut pas!), etc.

6. Expectatives démesurées

Bonjour,

Je suis tout à fait d'accord avec toi pour les points 3 et 4, 5,mais pour les autres, pas tout à fait d'accord...

1-Expérience canadienne: Souvent les immigrants sont assez experimentés que les canadiens et des fois plus pour le poste en question, de part leur expérience dans leur pays d'origine, ceci est particulièrement vrai pour les postes techniques, et moins vrai pour les postes où il y a forte interaction avec le client, mais dans ce dernier cas je pense que l'adaptation serait assez facile pour les immigrants francophones. Pour les autres, c'est au gouvernement de les assister dans leur intégration vu qu'il les admet en sachant qu'ils ont des problèmes de langue.

2-Manque de contacts professionnels: Sans compter les contacts dans le pays d'origine, c'est vrai, mais ce n'est pas vraiment un handicap, sachant que les diplômés quebecois n'en ont pas plus... D'autre part, les contacts professionnels dans le pays d'origine pourraient aider l'entreprise à aller chercher des marchés là bas

3- Comme dans 1-, le gouvernement qui admet des gens ne sachant ni le français ni l'anglais devrait les rendre "acceptables" au marché de travail, et il me semble que le gouvernement fait pas mal en ce sens, en offrant des cours de français gratuits

4- Dans ce cas, je suis d'accord que la solution ne vient pas des employeurs, mais il faut que le gouvernement informe les candidats avant de faire leur choix de venir ici des délais que ça peut prendre pour s'inscrire à l'ordre, parce que pour certains c'est une frustration des fois. D'autre part, on manque de médecins au Québec et il y a beaucoup de médecins qui font chauffeur de taxi ou vendeur, ou call center... cherchez l'erreur... A ceux qui disent qu'ils n'ont pas le niveau, si on admet ça( ce qui n'est pas vrai), je préfèrerai être à moitié soigné que ne pas trouver de médecin du tout et avoir des complications...

5- C'est vrai, mais il faut donner la chance à l'immigrant pour prouver qu'il connait la culture locale...

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour,

1.

C'est vrai que les immigrants arrivons -très souvent- avec une longue expérience professionnelle dans notre domaine, mais elle

n'est pas reconnue ici! C'est une réalité, c'est decevant, je l'ai vécu en personne mais on peut s'en sortir en se tissant un nouveau

réseau de contacts professionnels locaux.

Par exemple, mon premier emploi au Québec a été du bénévolat.

Je me suis inscrit au Centre Local d'Emploi de Verdun puis ils m'ont donné la possibilité de faire du bénévolat pour des organismes

communautaires d'ici.

J'ai fait trois mois pour un organisme d'insertion pour les Algériens, puis ces gens-là m'ont recommandé à un Libanais qui cherchait

un DBA pour travailler les nuits. J'ai eu mon premier emploi payant, j'ai travaillé 2 ans avec le Libanais puis m'a recommandé pour entrer

dans une compagnie plus grosse.

(*) Je suis Argentin, pas Algérien; mais pour les employés du CLE de Verdun on est tous pareils.

2. Les jeunes Québécois ont déjà leurs contacts professionnels.

Faut pas oublier que leur parents connaissent des collègues au bureau ou dans le quartier, ça aide les enfants.

Puis les étudiants se font des contacts au Cégep ou à l'université, etc. Un peu comme dans nos pays d'origine!

Par contre, quand nous arrivons ici nous ne connaissons absolument personne. Faut repartir notre carrière pratiquement dès le debut!

3. C'est un point polémique.

C'est à qui la responsabilité de nos compétences linguistiques?

À nous? Au gouvernement?

Si j'immigre en Chine, c'est le gouvernement chinois qui devrait me donner un cours de mandarin 101?

Ou bien, je devrais l'apprendre par moi-même avant de partir?

Ou pire encore... je devrais arriver là-bas puis apprendre la langue par preuve et erreur (comme les jeunes enfants)?

À mon avis, mes compétences linguistiques sont ma responsabilité.

Par contre, la responsabilité du gouvernement est de bien évaluer les compétences linguistiques des candidats.

Mais c'est juste mon opinion.

4. Je connais pas les cas de tout le monde.

Mais dans mon cas, l'employée de la Délégation du Québec en Argentine nous a averti de ton ferme que mon diplôme d'ingénieur argentin

était plus au moins du "papier toilette" au Québec. Elle a été très claire à ce sujet.

D'autres pays, comme l'Australie, éxigent que tu fasses toute la papérasse des Ordres Professionnelles Australiens avant de démarrer ta

procédure d'immigration. Donc, tu arrives en Australie puis tu es en mésure (théoriquement) de faire ton métier là-bas.

J'aimerais savoir comment ça se passe en réalité.

5. Absolument d'accord.

Tu sais... j'ai envoyé 70 CVs dès mon arrivée puis absolument personne m'a répondu.

Faut absolument bâtir un réseautage, te trouver une job dans ton domaine (même bénévole).

Faut bouger, participer dans les sites et forums professionnels québécois, mettre le profil dans Linkedin, aller aux Salons de l'Emploi, etc.

Aujourd'hui, 8 ans plus tard, je reçois des offres d'emploi à tous les mois.

Bonjour,

Des fois on a la malchance de tomber sur un employeur raciste, mais faut pas toujours croire que nos difficultés

viennent de là. Il y a d'autres facteurs qui jouent contre :

1. Manque d'expérience canadienne

2. Manque de contacts professionnels

3. Niveau insuffisant de langue à l'oral ou à l'écrit ou les deux (en français ou en anglais ou les deux selon les cas)

4. Manque de préalables administratifs comme le fait de ne pas être inscrit dans un ordre professionnel provincial

5. Manque de connaissance de la culture locale.

Par exemple, la ponctualité.

Si nous sommes invités à une entrevue à 9:00 au Canada, l'employeur s'attend à qu'on arrive entre 8:55 et 9:05.

Au Mexique ou au Brésil, arriver une heure en retard c'est pas grave. Leur idée de ponctualité est bien différente!

Même chose pour les codes vestimentaires, les odeurs corporelles, le langage corporel, la façon d'exprimer

le désaccord, comment négocier les avantages sociaux, de quoi on peut parler lors de l'entrevue (et de quoi on

ne peut pas!), etc.

6. Expectatives démesurées

Bonjour,

Je suis tout à fait d'accord avec toi pour les points 3 et 4, 5,mais pour les autres, pas tout à fait d'accord...

1-Expérience canadienne: Souvent les immigrants sont assez experimentés que les canadiens et des fois plus pour le poste en question, de part leur expérience dans leur pays d'origine, ceci est particulièrement vrai pour les postes techniques, et moins vrai pour les postes où il y a forte interaction avec le client, mais dans ce dernier cas je pense que l'adaptation serait assez facile pour les immigrants francophones. Pour les autres, c'est au gouvernement de les assister dans leur intégration vu qu'il les admet en sachant qu'ils ont des problèmes de langue.

2-Manque de contacts professionnels: Sans compter les contacts dans le pays d'origine, c'est vrai, mais ce n'est pas vraiment un handicap, sachant que les diplômés quebecois n'en ont pas plus... D'autre part, les contacts professionnels dans le pays d'origine pourraient aider l'entreprise à aller chercher des marchés là bas

3- Comme dans 1-, le gouvernement qui admet des gens ne sachant ni le français ni l'anglais devrait les rendre "acceptables" au marché de travail, et il me semble que le gouvernement fait pas mal en ce sens, en offrant des cours de français gratuits

4- Dans ce cas, je suis d'accord que la solution ne vient pas des employeurs, mais il faut que le gouvernement informe les candidats avant de faire leur choix de venir ici des délais que ça peut prendre pour s'inscrire à l'ordre, parce que pour certains c'est une frustration des fois. D'autre part, on manque de médecins au Québec et il y a beaucoup de médecins qui font chauffeur de taxi ou vendeur, ou call center... cherchez l'erreur... A ceux qui disent qu'ils n'ont pas le niveau, si on admet ça( ce qui n'est pas vrai), je préfèrerai être à moitié soigné que ne pas trouver de médecin du tout et avoir des complications...

5- C'est vrai, mais il faut donner la chance à l'immigrant pour prouver qu'il connait la culture locale...

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