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Bonjour tout le monde

Je lance un petit topic parce que je me pose beaucoup de questions sur les possibilités d'insertion professionnelle au Québec pour les jeunes diplômés.

La plupart des forumistes qui veulent immigrer ont (me semble t-il) pour la plupart quelques années d'expérience dans leur domaine de travail. Cependant, je me pose beaucoup de questions pour l'accès à l'emploi pour les jeunes diplômés( comme moi ^^) qui n'ont pas encore une grande expérience et qui arrivent au Québec avec des diplômes étrangers.

Il y a certes, une procédure d'équivalence de diplômes mais j'aimerais savoir si concrètement on est susceptible de rencontrer beaucoup plus de difficultés pour trouver un travail. (Des témoignages seraient les bien venus)

Serait-il plus judicieux de chercher un stage d'abord pour commencer?

J'avoue que je m'inquiète un peu. J'ai commencé à étudier un peu le marché, ce ne sont pas vraiment les offres mais je suis consciente que je ne cumule pas que des atouts (pas beaucoup d'expérience + diplômes étrangers).

Tout avis pour m'éclairer sur le sujet sera le bienvenu !

Merci à tous!

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Bonjour tout le monde

Je lance un petit topic parce que je me pose beaucoup de questions sur les possibilités d'insertion professionnelle au Québec pour les jeunes diplômés.

La plupart des forumistes qui veulent immigrer ont (me semble t-il) pour la plupart quelques années d'expérience dans leur domaine de travail. Cependant, je me pose beaucoup de questions pour l'accès à l'emploi pour les jeunes diplômés( comme moi ^^) qui n'ont pas encore une grande expérience et qui arrivent au Québec avec des diplômes étrangers.

Il y a certes, une procédure d'équivalence de diplômes mais j'aimerais savoir si concrètement on est susceptible de rencontrer beaucoup plus de difficultés pour trouver un travail. (Des témoignages seraient les bien venus)

Serait-il plus judicieux de chercher un stage d'abord pour commencer?

J'avoue que je m'inquiète un peu. J'ai commencé à étudier un peu le marché, ce ne sont pas vraiment les offres mais je suis consciente que je ne cumule pas que des atouts (pas beaucoup d'expérience + diplômes étrangers).

Tout avis pour m'éclairer sur le sujet sera le bienvenu !

Merci à tous!

Ici comme ailleurs, il faut bien commencer un jour.

Comme partout, tu démarreras avec une expérience zéro et tu avanceras doucement.

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wink.gifVoici un petit article du Devoir, datant de l'automne dernier, et qui devrait vous donner une petite idée. Bien sûr, il faut garder en tête que l'on parle des gens qui ont fait leurs études ici. Néanmoins, cela vous donnera un petit éclairage. Pour le conseil, le commentaire de Tarbais est tout à fait approprié.

http://www.ledevoir.com/societe/education/128832/des-bancs-d-ecole-au-marche-du-travail-le-taux-de-chomage-des-diplomes-universitaires-est-de-3-a-4-inferieur-a-celui-de-l-ensemble-des-quebecois

Des bancs d'école au marché du travail - Le taux de chômage des diplômés universitaires est de 3 à 4 % inférieur à celui de l'ensemble des Québécois

Les diplômés universitaires en sciences de la santé tirent particulièrement bien leur épingle du jeu

Brigitte Saint-Pierre 26 septembre 2009 21h25 Éducation Après des années sur les bancs d'école, les diplômés universitaires partent à la recherche d'un emploi. Comment se déroule leur insertion sur le marché du travail? Si leur taux de chômage est inférieur à celui de l'ensemble de la population, certaines formations sont plus en demande que d'autres. Gros plan sur le placement des diplômés universitaires.

Un taux de chômage de 1 %. C'était, en janvier 2005, la réalité des personnes ayant obtenu en 2003 un baccalauréat en sciences de la santé d'une université québécoise. À titre de comparaison, le taux de chômage était de 9 % au Québec à la même époque.

«Les titulaires d'un diplôme universitaire en sciences infirmières se placent presque à 100 %. Le taux de placement en ergothérapie, en physiothérapie, en orthophonie, en audiologie et en pharmacie est également excellent», mentionne la coordonnatrice du secteur emploi du Centre de soutien aux études et de développement de carrière (CSEDC) de l'Université de Montréal, Lorraine Gauthier.

Selon la relance du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) auprès des diplômés universitaires, ceux qui avaient obtenu en 2003 un baccalauréat en sciences de la santé avaient mis cinq semaines en moyenne à se trouver un emploi, comparativement au double pour l'ensemble des disciplines.

Richard Legris, économiste au Centre d'étude sur l'emploi et la technologie d'Emploi-Québec, confirme que la conjoncture est bonne pour les professionnels de la santé. L'agence gouvernementale où il travaille qualifie de très favorables les perspectives professionnelles de 2007 à 2010 des médecins, des infirmières, des dentistes, des pharmaciens, des optométristes et des ergothérapeutes.

Taux d'emploi élevé en éducation et en administration

L'éducation est un autre secteur où le taux d'emploi des diplômés est élevé et où la durée de la recherche d'emploi (quatre semaines en moyenne) est moins longue que dans d'autres domaines. «Les diplômés en enseignement de l'anglais, des sciences et des technologies, et des mathématiques sont particulièrement en demande», affirme Mme Gauthier. Selon la relance du MELS, seulement 2 % des personnes ayant obtenu un baccalauréat en éducation en 2003 étaient au chômage en janvier 2005.

Les diplômés universitaires en administration s'intègrent eux aussi assez facilement au marché du travail. Selon qu'ils aient obtenu un baccalauréat ou une maîtrise, leur taux d'emploi était de 83 % ou 88 % en 2005 et leur taux de chômage n'était que de 4 % ou 5 %.

Les données du recensement révèlent que les gestionnaires sont plus nombreux (45 %) que l'ensemble des travailleurs (35 %) à être âgés de 45 ans ou plus. «Les besoins de remplacement risquent donc d'être plus importants en gestion que dans des secteurs où les travailleurs sont plus jeunes», fait remarquer M. Legris.

Des diplômés d'autres domaines tirent également bien leur épingle du jeu. Après une période moins favorable, l'avenir s'annonce par exemple plutôt rose pour les diplômés en informatique. «Il y a eu un "boom" avant l'an 2000, puis un creux. Depuis ce moment, moins d'étudiants choisissent cette discipline. Les diplômés en informatique intègrent maintenant facilement le marché du travail», affirme la coordonnatrice du secteur emploi du CSEDC de l'Université de Montréal.

Le taux de placement des diplômés en actuariat, en comptabilité, en génie chimique, en droit, en criminologie et en service social est également bon.

Des domaines plus difficiles

En revanche, les diplômés dans des domaines comme la biologie, l'histoire, la philosophie et l'histoire de l'art intègrent moins facilement le marché du travail. Le taux de chômage des personnes ayant obtenu en 2003 une maîtrise dans ces domaines variait entre 11 % et 21 % en 2005. Le taux d'emploi des titulaires d'un baccalauréat dans ces disciplines oscillait quant à lui entre 14 % et 38 % (un pourcentage significatif d'entre eux étaient toutefois toujours aux études).

La durée de la recherche d'emploi des bacheliers dans ces domaines est généralement plus longue que celle de l'ensemble des titulaires d'un diplôme de premier cycle. Leur salaire hebdomadaire moyen est moins élevé et leur emploi est moins souvent en rapport avec leur formation.

À titre d'exemple, deux ans après l'obtention d'un baccalauréat en histoire, moins de deux personnes sur cinq travaillaient en 2005. Parmi elles, moins d'une sur cinq occupait un emploi correspondant à sa formation. Après une maîtrise, plus d'une sur deux travaillait, mais dans plus de la moitié des cas, son emploi n'était pas relié à son domaine d'études.

«Ça ne veut pas dire que les diplômés de domaines comme la sociologie ou la philosophie n'arrivent pas à se placer, mais leur entrée sur le marché du travail est moins directe», dit Mme Gauthier. Elle précise que des études de 2e ou 3e cycle et de l'expérience de travail peuvent les aider à se trouver un emploi.

Situation globale favorable

Globalement, l'insertion sur le marché du travail des universitaires est néanmoins plus facile que celle des personnes moins instruites. Le taux de chômage des diplômés universitaires de 2003 était en 2005 de 3 à 4 % inférieur à celui de l'ensemble des Québécois.

Parmi les personnes ayant obtenu un baccalauréat en 2003, 68 % occupaient un emploi (correspondant à leurs études dans 80 % des cas, pour un salaire hebdomadaire brut moyen de 763 $) et 25 % étaient aux études en 2005. Parmi les titulaires d'une maîtrise, 74 % avaient un travail (relatif à leur formation à 84 %, pour un salaire hebdomadaire brut moyen de 1041 $) et 19 % poursuivaient leurs études.

«Les perspectives d'emploi pour les prochaines années sont favorables ou très favorables pour 60 % des professions nécessitant généralement un diplôme universitaire. À titre de comparaison, ce pourcentage n'est que de 26 % pour les professions techniques de niveau collégial ou secondaire professionnel», souligne en outre M. Legris. L'économiste explique que le taux de chômage est plus faible chez les universitaires que dans l'ensemble de la population. Les professionnels à la recherche d'un emploi sont donc en compétition avec moins de candidats que les chômeurs moins instruits, ajoute-t-il.

Collaboratrice du Devoir

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Oui, c'est ce que j'ai indiqué dans mon commentaire. C'est sûr que dans son cas, il devra faire comme les autres et peut-être passer par les petits boulots avant d'en arriver à ce qu'il veut vraiment ... et peut-être retourner sur les bancs d'école pour une formation d'appoint. Et même avec ça, il devra faire face à la concurrence.

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Oui, c'est ce que j'ai indiqué dans mon commentaire. C'est sûr que dans son cas, il devra faire comme les autres et peut-être passer par les petits boulots avant d'en arriver à ce qu'il veut vraiment ... et peut-être retourner sur les bancs d'école pour une formation d'appoint. Et même avec ça, il devra faire face à la concurrence.

merci Ensaimada

c'est tout à fait ce fait ce que j'avais compris et j'avoue que ça me fait peur!

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