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Affichage des résultats pour « cegep ».
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Je viens de recevoir un refus du cégep, ils m'ont dit que mon niveau au test de langue est insuffisant PS : j'ai eu un B1+ brightlanguage Du coup je passe au 3eme tour. Ma question est : est-ce qu'il un cégep qui accepte mon tcf ou bien je repasse le test en espérant avoir une meilleur note sur ce dernier ?
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Peut-on revenir étudier après un refus de renouvellement de CAQ ?
tle_marec a répondu à un(e) sujet de CyprienBKB dans Québec
Salut, Je suis dans la même situation que toi. J’ai voulu renouveler mon CAQ et malheureusement vu que je n’ai pas fais de mes études ma principale activité, il a été refusé. Jai été au cégep de 2021 a 2023, mais ai uniquement travaillé de 2023 a 2024, pour me remettre en question sur ma profession souhaité. Je suis inscrit pour un programme en janvier 2025 prochain, et je ne sais pas comment faire car mes papiers expirent demain, j’ai une copine depuis un an bientôt ici, et je me sens tellement mal à l’idée de ne pas pouvoir rester à cause de ça. Si quelqu’un peut maider ou a des suggestions à me faire part, ça me ferais plaisir s’il vous plais. D’un français qui veut VRAIMENT vivre ici, et qui ferait tout pour être exemplaire pour la suite. -
Étudiants étrangers « Nous avons cru à ce rêve québécois »
immigrer.com a posté un sujet dans Études et stages
Étudiants étrangers Un élève dépité, son cégep « préoccupé » Simon ne comprend pas. Ses parents ne comprennent pas. Son cégep ne comprend pas. Mais s’il n’en tient qu’au gouvernement du Québec, cet étudiant en soins infirmiers devra retourner en France après trois années d’études conclues avec de très bonnes notes. Publié à 5h00 Suzanne Colpron La Presse Pourquoi ? Parce qu’il est victime des efforts du gouvernement québécois pour réduire le nombre d’étudiants étrangers. « J’ai le moral dans les chaussettes », confie Simon Moreau, au bout du fil, à Matane. Cet étudiant de 22 ans, originaire de Nantes, en France, étudie au cégep de Matane, en Gaspésie, depuis 2021. En mars, il a entrepris des procédures pour prolonger son permis d’études, qui était de trois ans. Pour ce faire, il a demandé au ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) un nouveau certificat d’acceptation du Québec (CAQ), un document préalable à la délivrance du permis d’études par le fédéral, réservé aux étrangers souhaitant étudier au Québec. Mais, surprise, le MIFI a refusé de le lui accorder parce qu’il n’avait pas fait des études sa principale activité pendant toute la période de validité de son premier CAQ. À la session d’automne, Simon a suivi trois cours. Il aurait dû en suivre au moins quatre pour répondre aux exigences, selon le MIFI. Résultat : à moins d’une décision contraire, il ne pourra pas terminer son DEC en soins infirmiers et devra quitter sa résidence du cégep d’ici la mi-septembre. Le problème, c’est que Simon ignorait qu’il devait faire au moins quatre cours par session pour obtenir un nouveau CAQ. Même son cégep n’était pas au courant ! « Ce refus est une première pour nous », affirme Francis Turcotte, coordonnateur au service des communications et du développement international du cégep de Matane. « Il faut savoir qu’on accueille des étudiants étrangers depuis plus de 20 ans. On est parmi les cégeps, au Québec, qui accueillent le plus grand nombre d’étudiants étrangers. » suite et source : https://www.lapresse.ca/actualites/education/nous-avons-cru-a-ce-reve-quebecois/2024-09-09/etudiants-etrangers/un-eleve-depite-son-cegep-preoccupe.php -
Je te rejoins pour le fait que cela tue l'innovation. Le salaire faisant partie intégrante des coûts et dans certains secteurs c'est même la majorité des coûts ca a un impact quand même. J'ai eu quelques cours de macroéconomie et l'augmentation de salaire fait partie des choses qui poussent l'inflation parmi d'autres surtout pour des bas salaires sur des métiers essentiels pour des services que tout le monde utilise dans la vie quotidienne ou durant une partie de sa vie. En Belgique le coût moyen d'épicerie est 30% plus cher qu'en France à cause d'un salaire moyen plus élevé dans l'alimentation et de plus larges avantages sociaux et différentes problématiques un peu semblable à ce qui existe au Canada avec une concurrence faible entre des gros acteurs souvent étrangers. Pour le métier dont on parle pour les garderies dans mon pays d'origine non c'est l'équivalent d'un DEP. En Belgique pour la petite enfance même les institutrices ce ne sont pas des universitaires c'est comme une formation au CEGEP peut-être un équivalent DEC si c'est 4 ans, d'ailleurs ils ne peuvent pas enseigner au Québec les enseignants belges exceptés les universitaires (qui enseignent dans les 3 dernières années du secondaire). J'ai regardé le salaire médian du métier d'auxiliaire de la petite enfance dans une garderie c'est moins de 50000 $ / an en Belgique c'est bien en-dessous du seuil des 57000 $.
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Des infirmières et infirmiers formés en Afrique de l’Ouest et recrutés par le Québec font face à des difficultés après avoir été retirés du programme de formation d’appoint de la province. Ils dénoncent le fait qu’un échec unique dans leur parcours de formation les exclut du programme, une possibilité dont ils disent n’avoir jamais été informés avant leur arrivée au Québec. C’est seulement après la pause des fêtes, lorsqu’une consœur n’est pas revenue en classe, qu’André* et ses camarades ont découvert qu’un échec signifiait leur exclusion du programme. L’enseignante, incapable de supporter la situation, a demandé une pause pour que les élèves puissent se défouler, se souvient André. “C’était des pleurs”, raconte-t-il. À la mi-juin, après près d’un an d’études au Cégep Beauce-Appalaches à Saint-Georges, André a appris qu’il avait échoué à la section pratique de l’avant-dernier module de sa formation. Cette nouvelle a entraîné une série de conséquences, notamment la perte de sa bourse d’études de 500 $ par semaine, de sa couverture d’assurance maladie et de son droit de travailler. Il se demande maintenant s’il ne rêve pas, espérant se réveiller de ce cauchemar. André est formel : s’il avait su que l’échec entraînerait de telles conséquences, il n’aurait pas quitté son emploi en Afrique ni déménagé sa famille au Québec. Il est maintenant confronté à des options limitées : rentrer chez lui ou travailler comme préposé aux bénéficiaires (PAB) au CISSS de Chaudière-Appalaches. Selon Mireille Gaudreau du CISSS de Chaudière-Appalaches, en cas d’échec, ils évaluent si la personne peut occuper un poste de PAB. Si c’est le cas et que la personne est intéressée, des démarches d’immigration sont entreprises pour obtenir un permis de travail fermé. Cependant, ce permis ne permet plus d’étudier au Québec. Le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) a déclaré qu’il pourrait également trouver un autre employeur prêt à entreprendre les démarches nécessaires pour obtenir un permis de travail. André, épuisé par cette situation, peine à subvenir aux besoins de sa famille. Radio-Canada a parlé à plusieurs autres participants du programme dans la même situation qu’André. Deux d’entre eux ont accepté de témoigner anonymement. Simon*, un autre participant, se sent trahi et explique qu’il avait l’impression de participer à une course où à tout moment, quelqu’un pouvait tomber. Le MIFI réfute ces accusations et assure que les partenaires du projet font tout leur possible pour aider les étudiants à réussir. En 2022, le gouvernement Legault a mis en place un programme pour recruter 1000 infirmiers et infirmières à l’étranger afin de combler les besoins de main-d’œuvre dans le secteur de la santé. Ce projet, nécessitant un investissement de 65 millions de dollars, implique trois ministères : le MIFI, le ministère de l’Enseignement supérieur (MES) et le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). Les infirmiers et infirmières recrutés devaient suivre une formation d’appoint et obtenir une attestation d’études collégiales (AEC) de neuf à quatorze mois. Bien qu’ils aient assumé les frais de déménagement, plusieurs coûts d’immigration ont été annulés et ils ont bénéficié d’exemptions de frais de scolarité, d’allocations hebdomadaires et d’accompagnement pour trouver un logement et une garderie. Cependant, la formation s’est révélée plus difficile que prévu. Guillaume Boivin, directeur général de l’organisme Le Tremplin à Lévis, constate que la formation d’appoint a été mal expliquée aux participants. Ces derniers s’attendaient à une simple formalité, pensant qu’ils feraient le même travail qu’ils faisaient dans leur pays d’origine. Depuis les échecs, les participants se sentent floués et trompés. Ils rencontrent également des difficultés pour trouver un logement, une garderie ou un emploi pour leurs conjoints, ce qui ajoute au stress. Les participants ont été informés qu’ils devaient réussir leur formation d’appoint pour exercer en tant qu’infirmiers au Québec. En cas d’échec, ils peuvent reprendre le cours échoué, mais cela doit se faire dans le même cégep ou dans un cégep de la même région. Cependant, André et ses camarades n’ont pas la possibilité de réintégrer une cohorte avant l’expiration de leur permis d’études le 30 novembre 2024. Le MIFI envisage de lancer une nouvelle formation au Cégep de Thetford, mais la date de début n’est pas encore confirmée. Cyndia Lacasse du Cégep Beauce-Appalaches souligne que, bien que la rigueur soit nécessaire pour assurer la sécurité des patients, la situation actuelle est déplorable. Avec un taux d’échec de 27 % au campus de Saint-Georges et de 20 % au Cégep de Lévis, les participants ne comprennent pas pourquoi ils ne peuvent pas intégrer une autre région. L’OIIQ avait stipulé que les participants pouvaient reprendre leur formation en cas d’échec. Les participants de la phase 3 du programme ont un taux de réussite plus faible que les phases précédentes. Guillaume Boivin estime qu’il est crucial de mieux communiquer les réalités du Québec et les détails de la formation aux prochaines cohortes pour assurer le succès du programme. André, qui a quitté son pays pour répondre à la pénurie d’infirmiers au Québec, espère maintenant obtenir une seconde chance pour reprendre sa formation et atteindre son objectif. * Noms fictifs pour préserver l’identité de ces personnes. D’après le texte de Radio-Canada
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Une bonne idée pour se faire reconnaître ces équivalences dans un CEGEP du Québec ---------------- Une 2e cohorte menant à une AEC en soins infirmiers avec diplômés internationaux est lancée au Collège de Rosemont! Montréal, le 27 mai 2024 – Le Collège de Rosemont lance aujourd’hui une 2e cohorte de l’attestation d’études collégiales (AEC) en soins infirmiers avec diplômés internationaux et participe ainsi à la phase 4B du projet Infirmier(ère)s diplômé(e)s hors Canada (IDHC) du gouvernement du Québec. Dix-neuf étudiantes et étudiants ont participé ce lundi 27 mai 2024 à une journée d’accueil – première activité faisant partie de deux semaines d’intégration avant le début des cours – avec nos partenaires du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, des centres intégrés universitaires de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l’Est-de-l’Île-de-Montréal et du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal ainsi que du Carrefour d’aide aux nouveaux arrivants (CANA). Les étudiantes et les étudiants réaliseront leur stage de programme dans ces CIUSSS et y exerceront leur profession par la suite. Très prochainement, les formations de Réanimation cardiorespiratoire (RCR) et de Principes pour le déplacement sécuritaire des bénéficiaires (PDSB) leur seront données, ce qui permettra aux CIUSSS de les employer pendant leurs études en tant que préposées ou préposés aux bénéficiaires. Concernant CANA, son rôle est de soutenir les membres du groupe afin de favoriser leur intégration au Québec, par exemple dans la recherche d’un logement ou d’un service de garde. Une offre collégiale incontournable dans les sciences de la santé au Québec Le catalogue de formations du Collège de Rosemont dans le domaine des sciences de la santé comprend une offre diversifiée : trois attestations d’études collégiales (AEC) dédiées aux professionnel(le)s de l’international; un programme préuniversitaire en sciences de la nature; 7 programmes techniques menant à un diplôme d’études collégiales (DEC); 2 AEC spécialisées en cytologie; de la reconnaissance des acquis et des compétences en Techniques de pharmacie; des cours de perfectionnement en thanatologie et des activités de perfectionnement en acupuncture. source : https://www.crosemont.qc.ca/formation-continue/attestations-etudes-collegiales/une-2e-cohorte-menant-une-aec-en-soins-infirmiers-avec-diplomes-internationaux-est-lancee-au-college-de-rosemont/
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(Avec une réponse formulée de cette façon, tout porte à croire que celle-ci provient de l'IA. Il y a encore du travail à faire pour que les réponses de l'IA soient en lien avec le contexte. ) Ça n'a rien à voir avec le sujet (qui est d'ailleurs dans la section études du forum). Ce sont des organismes qui gèrent les admissions dans le réseau collégial, c'est-à-dire les cégeps. Le territoire québécois est divisé en 3 grands secteurs et chacun des organismes s'occupe des admissions de ce territoire. Le SRAM est le Service Régional d'Admission de Montréal et le SRACQ est le Service régional d'admission au collégial de Québec. Il y a aussi un autre organisme qui gère les admissions au cégep pour le Saguenay et le Lac St-Jean, c'est le SRASL.
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C'est le SRAM qui gère les demandes d'admission pour le Cégep de Sherbrooke.
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Les diplômes se valent, d'un CEGEP à l'autre. Ce sont donc plutôt des facteurs comme le milieu de vie (accès par les transports en commun, coût des logements à relative proximité etc.) qui seraient à prendre en considération, me semble-t-il.
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Bonjour, Je me permets de vous écrire car je suis à la recherche d'un CEGEP à Montréal ou bien sur Québec, le problème étant que je n'arrives pas à me décider quel CEGEP choisir, The liste est très longue... Pour ceux qui se sont déjà inscrit auparavant j'aimerai vous demander quels sont les facteurs qui vous ont pousser à choisir tel CEGEP à un autre ? Je vous remercie d'avoir pris le temps de me lire. Excellent Week-end à tout le monde.
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En attente d'inscription au cégep
Azarielle a répondu à un(e) sujet de Orlyte dans Salle d'attente - échanges de dates
Ce n'est pas une situation courante. Il est donc possible que le CIUSSS ait fait une entente particulière avec un cégep. Dans ce cas, il est difficile pour nous de répondre à vos questions puisque la formation peut être faite sur mesure, donc elle ne suivrait pas les modalités habituelles. Peut-être devriez-vous communiquer avec le CIUSSS pour avoir plus d'information. -
En attente d'inscription au cégep
Orlyte a répondu à un(e) sujet de Orlyte dans Salle d'attente - échanges de dates
Merci oui c'est le CIUSSS qui choisis notre CÉGEP. -
En attente d'inscription au cégep
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de Orlyte dans Salle d'attente - échanges de dates
Le SRAM est l'organisme québécois qui reçoit les demandes d'admission des CEGEPS publics du Québec dans la région de Montréal : https://www.sram.qc.ca/fr Le CEGEP fonctionne à plusieurs tours. Je ne sais pas si c'est le CIUSSS qui fait les démarches pour vous. -
En attente d'inscription au cégep
Orlyte a répondu à un(e) sujet de Orlyte dans Salle d'attente - échanges de dates
Bonjours à tous, je suis du projet journée Québec soins infirmiers et en attente d'inscription au cégep depuis Avril 2024 du Ciusss Est de Île de Montréal. J'aimerais savoir si quelqu'un a une idée des différentes dates de rentrée dans les cégeps de ce ciusss. Merci -
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Métier avec BTS Comptabilité et Gestion
PowerRanger a répondu à un(e) sujet de dorine dans Études et stages
Ici un BTS, ça ne répond à rien d'équivalent. Tu es entre la fin du CEGEP et le bac en comptabilité. Tu peux trouver un emploi mais ça va être très très très basique. Je te conseille de compléter une année pour avoir l'équivalent d'un bac en comptabilité. Tu pourras avoir un poste d'analyste, ce qui est bien mieux que commis. Ensuite, si tu as envie d'évoluer, tu pourras tenter le titre de CPA, indispensable pour les postes importants en compta ou en finance. Perso, j'ai repris ces études et ça a duré 4 ans pour finir avec le titre. Long mais payant au final -
j'aimerai savoir quel est le meilleur Cegep public a Montréal qui offre une formation de qualité en informatique ( réseau et sécurité )
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j'aimerai savoir quel est le meilleur Cegep public a Montréal qui offre une formation de qualité en informatique ( réseau et sécurité )
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Bonjour, Je suis étudiant au cégep et j'ai un projet portant sur le travail autonome. Je cherche des participants pour collecter des données dans le cadre de mon projet. https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfNZCCCCX2sjREexlx76UTohEM8HxLVQnyse5MVgN7mY6Q_4A/viewform?usp=sf_link Merci.
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Peut-être parce-que la culture anglophone est considérée comme plus ''sexy'' par l'imaginaire collectif ? ou que considérant que l'on est en Amérique du Nord, et surexposé à l'anglais, il valait mieux parler anglais que Français ? Quand j'habitais Montréal, arrondissement de Saint-Henri, précisément , je ressentais vraiment cette surexposition à l'anglais, les coiffeurs, les uber turques anglophones, les magasins de détails, tout était fait pour parler plus anglais que Français. Par contre, quand j'ai déménagé à Québec, c'était une autre histoire, il n'y avait presque pas d'influences anglophones, même le cégep anglophone Saint-Lawrence n'était pas très grand et avait peu d'étudiants.
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Ce point de vu est intéressant, pour la génération des parents, celle qui décide d'immigrer, ils s'en foutent un peu du Québec, tant que le frigo est rempli, et qu'ils peuvent se faire plaisir une fois de temps en temps. Mais pour leur enfants, c'est une autre histoire, car ils fréquentent l'école québécoise, le cégep, l'université etc... Donc le sentiment d'appartenance au Québec est bien plus grand que celui de leur parents. Socialement et culturellement, c'est clair que le Québec est infiniment plus proche de ses cousins Français, reste qu'au fil des générations, les petits franco-québécois deviennent plus québécois que Français, et dans le même ordre d'idée, le petit algéro-québecois est plus québecois que Français et n'a d'algérien, que ses parents. J'aimerais vraiment connaître l'opinion d'autres québécois à ce sujet.
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Quelle collège choisir pour DEC informatique
benalaya_80 a répondu à un(e) sujet de ASRAZ dans Québec
est-ce que les CEGEP public donne des cours de soir ? Aussi nombre d'années d'étude et combien ça coute une année pour résident permanent -
Bonjour, je poste ce message car j'ai une question suite à l'annonce du gouvernement de fin janvier, limitant la délivrance des permis de travail ouverts aux époux/ses d'étudiants internationaux. Mon époux est actuellement étudiant en Cegep pour un DEC. En fin d'année dernière, j'ai fait une demande de permis de travail ouvert. IRCC a validé hier ma demande de PTO. Mon époux finit ses études collégiales fin mai et il demandera par la suite un permis de travail post-diplôme. Depuis fin janvier, les époux/ses d'étudiants ayant obtenu un diplôme de niveau collégial ne sont plus admissibles à un PTO. J'aimerais savoir si mon PTO sera toujours valide une fois que mon époux demandera son PTPD suite à son permis d'études m'ayant permis d'obtenir un PTO, comme j'en ai fait la demande avant l'annonce, ou est-ce qu'il ne sera plus valide puisqu'il dépend d'un PTPD de niveau collégial ? (je ne sais pas si je suis très claire). Depuis l'annonce, j'ai recherché sur le site d'IRCC sans trouver de réponse et j'ai envoyé des messages à IRCC sans réponse également... Est-ce que parmi vous certain(e)s sont dans ma situation ? Avez-vous plus de précisions ? Merci d'avance.
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Bonjour , je suis étudiante française . Je suis à l'étape ou je dois écrire une lettre explicative pour soumettre mon permis d'étude j'aimerais avoir des avis . Madame, Monsieur, Je me permets par la présente de vous adresser ma demande d'obtention d'un permis d'étude pour poursuivre mes études au Québec au Cégep de Jonquière en Travail social . Je suis actuellement étudiante en première année d'un programme similaire en France et bien que j'apprécie mes études, je suis consciente que celles-ci sont principalement théoriques. Ayant découvert que le système d'enseignement au Québec met davantage l'accent sur la pratique, je suis convaincue que ce type d'approche correspondrait mieux à mes besoins d'apprentissage. En envisageant mon retour en France après mes études au Québec, je me réjouis de pouvoir bénéficier de l'entente entre le Québec et la France qui permet la reconnaissance des compétences acquises. Étant donné que le travail social au Québec offre une expérience pratique enrichissante, je suis persuadée que cela me permettra d'apporter une valeur ajoutée à mon retour en France, où les études sont majoritairement théoriques. De plus, ayant des amis ayant étudié au Canada et étant revenus en France, j'ai eu l'opportunité d'entendre leurs éloges sur le système scolaire québécois. Leurs témoignages ont grandement influencé ma décision de poursuivre mes études dans cette province. Je tiens également à souligner que, en tant qu'étudiante française, je bénéficie de l'exemption des droits de scolarité grâce à l'entente entre le Québec et la France. Je suis entièrement responsable de mes dépenses et je suis prête à travailler pendant les périodes de vacances afin de me concentrer pleinement sur mes études. Bien que mes parents ne soient pas mes garants financiers, ils sont prêts à m'apporter un soutien financier si nécessaire, comme ils le font actuellement pour mes études en France. Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées. 2 ème : Madame, Monsieur, Je me permets par la présente de vous adresser ma demande d'obtention d'un permis d'étude pour poursuivre mes études au Québec au Cégep de Jonquière en Travail social. Je suis actuellement étudiante en première année d'un programme similaire en France et bien que j'apprécie mes études, je suis consciente que celles-ci sont principalement théoriques. Ayant découvert que le système d'enseignement au Québec met davantage l'accent sur la pratique, je suis convaincue que ce type d'approche correspondrait mieux à mes besoins d'apprentissage. En envisageant mon retour en France après mes études au Québec, je me réjouis de pouvoir bénéficier de l'entente entre le Québec et la France qui permet la reconnaissance des compétences acquises. Étant donné que le travail social au Québec offre une expérience pratique enrichissante, je suis persuadée que cela me permettra d'apporter une valeur ajoutée à mon retour en France, où les études sont majoritairement théoriques. De plus, ayant des amis ayant étudié au Canada et étant revenus en France, j'ai eu l'opportunité d'entendre leurs éloges sur le système scolaire québécois. Leurs témoignages ont grandement influencé ma décision de poursuivre mes études dans cette province. Je tiens également à souligner que, en tant qu'étudiante française, je bénéficie de l'exemption des droits de scolarité grâce à l'entente entre le Québec et la France. Je suis entièrement responsable de mes dépenses et je suis prête à travailler pendant les périodes de vacances afin de me concentrer pleinement sur mes études. Bien que mes parents ne soient pas mes garants financiers, ils sont prêts à m'apporter un soutien financier si nécessaire, comme ils le font actuellement pour mes études en France. De plus, je viens d'un quartier où règne beaucoup d'inégalité sociale, et mon ambition est de contribuer à changer cela à mon retour en France. Je suis convaincue que mon expérience acquise au Québec, avec son approche pratique et ses méthodes innovantes, me permettra d'apporter des solutions plus efficaces et pertinentes à ces défis sociaux. La perspective de mettre en pratique mes compétences dans un environnement différent et de découvrir de nouvelles approches pour résoudre les problèmes sociaux constitue une motivation supplémentaire pour mon choix d'étudier au Québec. Je vous remercie par avance pour l'attention que vous porterez à ma demande et je reste à votre disposition pour toute information complémentaire dont vous pourriez avoir besoin. Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.
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Bonjour Je suis Luego jhabite actuellement en France,j'ai 17ans et vient d'être admis au cegep de Matane pour 3 ans d'études en DEC Technique d'intégration multimédia. Je suis à la fois très excité et pleins de petites peur. Y a til des étudiants locaux ,des futur étudiants comme moi ou des habitants? Avez vous des recommandations ? Merci par avance