Zogu

Les gens en ont marre de la sauce. Au restaurant français "La colombe" (très cher), tout le monde de mon groupe a été déçu parce que tout baignait dans la sauce. Étant donné le prix payé, nous nous attentions à mieux que ça côté finesse. Et je peux vous dire: malgré les très fortes différences dans les goûts de chacun, nous étions unanimes sur ce point en particulier. Quand ils vont dans des grands restaurants, les gens veulent que les plats soient fraîchement préparés. Des légumes mous et détrempés paraissent très mal. Les gens veulent de la variété, des tas de couleurs, de goûts et de textures... dans un même service! Finies les assiettes monolithiques avec un tas de viande et de légumes noyés. Une mode actuellement, c'est la "trilogie" dans les entrées et dans les desserts. Le chef de "Derrière les fayots" (à Laval) me confiait que depuis qu'il sert des trilogies, les clients sont ravis. Une trilogie, c'est trois variations sur un thème, servies dans la même assiette (généralement rectangulaire). Exemple: trois mini crèmes brûlées, l'une à la cardamome et à la mangue, l'autre au poivre et fromage de chèvre, la troisième simplement pralinée à l'érable et avec une feuille de thé passée au blanc d'oeuf et sucre. Les légumes semi-cuits ou crus ont la cote. Les assemblages et les tuiles font fureur. Ainsi que les petits fruits. L'assiette doit contenir un joli montage. Exemple: sur un fond de riz basmati moulé, déposer des aiguillettes de canard passées à la poêle, une jetée de chanterelles, un peu de réduction de fond de veau au marsala pour mouiller le tout, et on finit avec des gadelles ou des groseilles déposées sur le dessus. Pour faire bonne mesure, on accompagne de carottes râpées (crues) avec un peu de vinaigre à l'érable et d'une fleur d'aïl pour décorer. De plus en plus de restaurants offrent des salades tièdes: foie de canard au vinaigre de framboise sur mesclun, etc. Les pâtes sont de moins en moins populaires. Tout me monde en a marre. Trop de mauvais restaurants italiens où tout le monde va quand personne ne sait où aller entre amis. Des pâtes trop salées, sauce tomate trop sucrée. Des pâtes en accompagnement à la viande. Des pâtes partout. Et pas les meilleures pâtes, oh non. Aaaargh. Les cuisines du jour (tendances depuis 5-10 ans): sushi, tapas, thaï, vietnamienne, indienne, du terroir, du marché, marocaine. Hélas, beaucoup de restaurants qui font vraiment n'importe quoi et pas bien du tout (surtout en banlieue; voir le resto à sushi de Saint-Jérôme ou le resto cambodgien de Mascouche... oulala). Mais beaucoup de bons restaurants authentiques, aussi. Les modes des années 90 (en très forte perte de vitesse maintenant): les pizza à croûte mince, les restaurants italiens branchés, la cuisine thaï "de luxe", le séchouanais, la cuisine grecque.

Si vous voulez tenter votre chance à Terrebonne (malgré la quasi-saturation du marché), voici quelques liens touristiques et alimentaires: L'île des Moulins http://www.ile-des-moulins.qc.ca/ Une auberge 4 étoiles: http://www.aubergelestandre.ca/ Le Vieux-Terrebonne: http://www.vieux-terrebonne.com/ Un bistro: http://www.vieux-terrebonne.com/accoutumee.htm Une fromagerie: http://www.vieux-terrebonne.com/fromagerie.htm Un resto steakerie: http://www.vieux-terrebonne.com/steakerie.htm Une boucherie-salaisons: http://www.vieux-terrebonne.com/limoges.htm Chocolaterie: http://www.vieux-terrebonne.com/sandra.htm Restaurant français: http://www.vieux-terrebonne.com/etangdesmoulins.htm Pub irlandais: http://www.vieux-terrebonne.com/stpatrick.htm Dans les bons restaurants, il y a aussi Chez Fabien, Le Jardin des fondues, le Folichon (qui n'ont pas de site web). Quelques restaurants de Lanaudière (page en anglais hélas): http://www.restoquebec.com/en/lanaudiere.html

Si vous voulez vous installer dans Lanaudière, ce serait bien. Ça manque beaucoup de bons restaurants et surtout de tables champêtres. Par contre, sachez que dans cette région, il y a beaucoup de variations régionales dans l'économie et dans la culture (banlieue dans le sud, agriculture dans le centre, forêt et sports dans le nord)... Et pour ouvrir une table champêtre, mieux vaut être associé à une auberge (ou à un B&B), et surtout connaître les produits régionaux (fromage de chèvre, produits de l'érable, fraises, framboises, etc.) De toute manière si vous voulez offrir à vos clients une cuisine fraîche et originale, vous n'aurez pas le choix de connaître les produits locaux. Autant débuter vos recherches le plus rapidement possible. Cela ouvre les yeux quant aux possibilités. Vous connaissez la chicoutai, le beurre d'érable, les bleuets, la Fine-sève, l'hydromel à la framboise, les gadelles, les cerises de terre, l'agneau de prés salés, l'émeu, le bison, le cerf rouge, l'orignal, les patates bleues, l'amélancher, les herbes salées, le Pied-de-vent, le Mi-carême, le D'Iberville, la truite mouchetée, le saumon fumé à froid, les gourganes, les bourgots, les capelans, la pintade, le crabe des neiges, la crevette nordique, le canard du lac Brome...? Voici quelques villes de Lanaudière facilement accessibles par l'autoroute et pas trop loin de Montréal. Terrebonne: Ville avec un centre historique, assez touristique (île des Moulins). Déjà saturé de restaurants de tous les genres, dont certains classés 4 étoiles (sur 5). Déjà deux restaurants de fondue ("Le jardin des fondues" et un autre qui est nul.) Lachenaie: Possibilités intéressantes sur le bord de l'eau (route 344). Par contre, les nouveaux secteurs manquent franchement de charme. Trouvez une vieille maison style "canadienne" en pierre des champs et faites-en un superbe restaurant. Lavaltrie/Lanoraie: Assez peu développé. Bassin de population limité, peu de touristes. Bord de l'eau intéressant; développer en tandem avec une auberge. Mascouche: Ville assez conventionnelle. Marché peu développé. Des possibilités dans les secteurs plus calmes et boisés (sur le côteau près des jardins Moore et du manoir, par exemple). Les mascouchois n'ont pas l'habitude d'aller au resto dans leur propre ville. À vous de changer cela. Le bassin de population est bien suffisant pour faire vivre un bon resto. Repentigny: Une ville de banlieue plutôt orientée vers le fast food. Trop gros et trop asphalté. Franchement, pas intéressant. Joliette: Marché peu développé. Quelques restaurants intéressants, sans plus. Dans le centre de la vieille ville, il y a encore de la place pour un resto de raclette ou quelque chose d'original. Sinon allez vous installer du côté de Saint-Jacques, c'est très joli et champêtre. Ailleurs dans Lanaudière: Si vous ouvrez une restaurant dans les secteurs moins urbanisés (village, centre de villégiature), essayez de l'associer avec une auberge ou avec une activité sportive (ski, lac).

Si t'arrêtes pas d'lui tordre le cou à ton chevreuil, Nat, y va dev'nir violet pis tomber dans l'coma. Attention j'va appeler Greenpeace lô!! Y sont dans l'secteur actuellement, à cause des bébé phoques qu'on fait cuire vivants en brochettes sur un tas de pneus qui brûlent, à Saint-Amable.

Bah c'est Montréal, après tout, une ville "à l'échelle humaine": il n'y a pas de séparation nette entre richesse et pauvreté. Autrement dit, à part si tu habites dans des petits secteurs très cossus, comme Westmount ou Outremont, tu auras toujours cette alternance de rues super jolies et de racoins déconcrissés. De là, la réponse à la question: "Tel quartier, tel arrondissement est-il (bien, beau, vert, résidentiel, en bon état)?" La réponse sera toujours: à quelle intersection?

Disons que tous les secteurs ne sont pas "chic" dans cet arrondissement... c'est une vraie mosaïque. Voir les messages récents et les commentaires de JayJay sur NDG (... au sud du chemin de fer, etc.)

Salut! Eh non! La mouffette et le putois sont des animaux très différents. Un point bonus à ceux qui ont reconnu Fleur (dans Bambi) comme étant une mouffette Comme référence, on peut aussi donner, à la rigueur, Pépé Le Pew dans les dessins animés de Warner Brothers... Le caribou, on ne le retrouve pas dans le sud du Québec. Les endroits les plus "proches de la civilisation" pour les observer: - Au nord du Lac-Saint-Jean. - Le "troupeau perdu" du mont Jacques-Cartier, en Gaspésie. Troupeau éloigné de toutes les autres populations de caribou par au moins 500 km. Les caribous ont besoin de végétation de type toundra ou taïga dispersée pour vivre; en effet, ils se broutent le lichen au sol. Le chevreuil (qui est aussi mon totem personnel, mon wanaghi ). On trouve surtout le chevreuil dans le sud du Québec. Son autre nom est cerf de Virginie. Plus petit que ses cousins cervidés, il est vif et timide. Un bel endroit pour les observer est le secteur de Tremblant au début de l'automne. Ou, si vous avez plus de temps et de fric, sur l'ile Anticosti, qui a la plus forte concentration de cervidés au monde! L'orignal est un bel animal qu'on trouve un peu partout dans la forêt boréale mixte ou de conifères. Il préfère les marécages et les lacs eutrophiques (lacs avec beaucoup de matière organique et d'arbres morts). Il a besoin d'une forte concentration en sels minéraux dans l'eau qu'il boit, pour pouvoir développer correctement ses bois. On trouve de très gros troupeaux dans la péninsule gaspésienne. L'ours noir. Bel animal pas trop méchant! On trouve quand même beaucoup d'ours noirs au Québec. Ils aiment la forêt mixte et parfois, ils vont côtoyer l'être humain (à bonne distance, quand même). Dans les Laurentides, dans les secteurs de chalets, il faut protéger vos bacs à ordures contre les animaux sauvages. Lire: raton laveur et ours noir. Très intelligents, ils peuvent comprendre certains détails, comme par exemple: comment ouvrir un bac à ordures! Malgré leur puissance, les ours noirs peuvent faire preuve d'une étonnante délicatesse.

En espérant qu'une bande de bozo ne feront pas une autre campagne de peur dans la population ("Si ça explose, nous allons tous mourir" et autres délires). Ce qui est en train de tuer le projet à Beaumont, c'est cette peur véhiculée par des groupes de pression comme "Rabat-Joie". Pourtant, s'il y a une installation industrielle qui est peu dangereuse et peu polluante, c'est bien un terminal méthanier. On parle du transport d'un gaz liquéfié et congelé. En cas de fuite, pas de "nappe de pétrole dégueulasse" sur l'eau; ça s'évapore rapidement. Et c'est pas vraiment toxique, à moins d'avoir la tête dedans. M'enfin! Encore un cas du principe "NIMBY" ("Not In My BackYard", pas dans ma cour). De toute manière, j'ai vu des gens protester contre le terminal gazier alors même que leur maison est chauffée au gaz naturel. Un peu comme un activiste anti-fourrure qui porterait un manteau de vison pour manifester... Puisque ça nous prend un terminal gazier (puisque nous utilisons du gaz!), autant le faire en eau profonde (Beaumont ou Cacouna... quoique je préférerais Cacouna, un site plus en aval). Comme ça, on réduira le passage de ces gros cargos dans la voie maritime du Saint-Laurent. Un choix environnemental. Espérons! Ça ferait du bien de rapprocher nos deux belles grandes villes! Espérons aussi une diminution du trafic des bateaux cargo dans la voie maritime, au profit du transit par chemin de fer électrique/diésel. C'est en effet la solution la moins polluante en matière de transport des marchandises. Sans quoi, adieu aux milieux écologiques fragiles tout le long du fleuve... Voir #6 !!!!! Wow! Un p'tit verre de "breuvage laitier écrémé enrichi de calcium et d'oméga 3", tout l'monde? On comprendra qu'il s'agit d'essences de bois nobles

Pour les téléphones en cabine publique, utilise les cartes prépayées "La Puce" de Bell Canada. Elles sont en vente dans les dépanneurs. Je ne suis pas certain qu'il y ait des rabais importants à l'usage de cette carte, mais au moins tu n'auras pas à trimballer des tas de pièces de monnaie. Je crois que la carte LaPuce permet aussi de faire des appels interurbains au Québec pour 0.10$ la minute, ce qui n'est pas mal. Les cartes Vox, Yak, Globo et autres sont totalement inutiles pour les appels locaux.

Une petite précision à ceux qui ne connaissent pas très bien la Charte des Droits ainsi que la Régie du Logement. - Un propriétaire a le droit de refuser un locataire potentiel s'il a un chien, un chat ou un oiseau (ou tout autre animal domestique, à part peut-être des poissons dans un aquarium). C'est dans ses droits; le bail standard inclut une section à ce propos. - Un propriétaire n'a pas le droit de refuser un locataire potentiel parce qu'il a des enfants. C'est une discrimination grave et, s'il y a des preuves du motif de refus, cela peut mener à des poursuites. Cela arriver à chaque année; on en parle dans les journaux. La relation locataire-propriétaire est régie par diverses règlementations au Québec. Chacun a des droits et des responsabilités clairement établis. Ces droits sont bien documentés et un citoyen peut consulter une abondante documentation. Il y a même des guides qui rendent tout cela accessible "dans une langue simple" et qui fournissent des modèles de lettres typiques. Le propriétaire peut-il refuser de louer le logement à un locataire qui fume ou qui a un animal de compagnie? Voir l'article de la SCHL: http://www.cmhc-schl.gc.ca/fr/acloclo/locl...re/fire_011.cfm Oui, un propriétaire peut refuser de louer à un locataire qui a des animaux ou qui fume. Si le bail permet de fumer ou d'avoir des animaux ou s'il n'en est pas fait pas mention, il est permis d'avoir des animaux et de fumer. Le locataire devrait également consulter les règlements du bâtiment dans lequel il loue un logement, car ceux-ci peuvent interdire de fumer ou de posséder des animaux. Les règlements font partie intégrante du bail et le propriétaire est tenu d'en donner une copie au locataire avant la signature du bail. Autre Le propriétaire ne peut refuser de louer un logement sur la seule foi que la personne est enceinte et qu'elle a un ou plusieurs enfants, à moins que la taille du logement le justifie.

Moi j'y suis toujours allé entre 10h00 et midi... wow, je passais en 10 minutes! Par contre, à partir de midi ça se remplit de gens qui profitent du midi pour faire leurs courses (en maugréant et en regardant leur montre d'un air paniqué). Et les guichets se vident à moitié: heure de lunch des employés! Ça congestionne pas mal. Le mieux c'est encore d'avertir son patron qu'on va arriver avec, 2h ou 3h de retard, et y aller au milieu de la matinée.

Salut Zohra! Mieux vaut douter et se renseigner... que de se faire des idées fausses et frapper un mur à l'arrivée! Je trouve ta démarche très saine et même sage. Tu prépares bien ton avenir et tu veux être certaine de trouver ton bonheur. Pour l'enseignement: en effet, tu peux enseigner les langues hors du réseau d'éducation public. Cependant, tu auras une très vive concurrence de la part de tous les anglophones d'ici. Il faudrait que tu sois rudement bonne pour tirer ton épingle du jeu. Par contre, voici un tuyau: il y a pénurie de professeurs d'Anglais dans l'est du Québec. Les commissions scolaires paniquent un peu. Ils sont obligés d'engager des profs à temps partiel qui font (par exemple) le trajet Montréal - Rivière-du-Loup une fois par semaine! Le "prof d'Anglais" qui m'a expliqué cela était en fait étudiant à la Maîtrise en Linguistique, à Concordia... Je suppose que dans des circonstances pareilles, les écoles peuvent engager des gens à contrat, et que les critères d'embauche sont plus élastiques.

Ben... je trouve que ce sont de jolis noms... mais ils sont plutôt rares au Québec. Je ne sais pas en France, par contre. Mais des "Audélie" au Québec c'est très très très rare, surtout en région éloignée comme ça, où les gens vont préférer des noms plus traditionnels. Par exemple, dans mon coin il y a beaucoup de "Marielle", un nom rare à Montréal. Et à Montréal sur le Plateau, on trouve plus de "Océane". Je voulais juste soulever le point que les scripteurs de l'émission ont probablement "ajusté" certains détails de la vie de ces gens, comme les noms et peut-être même certaines professions. Il faut construire des personnages qui soient télévisuellement intéressants. Par exemple, j'ai lu que dans un autre épisode de l'émission, ils ont changé le nom d'une des mère pour "Hermine". Elle se nommait en fait "Sandrine"... mais il semble que ça ne faisait pas assez bourgeois. http://www.alsapresse.com/jdj/04/02/03/IGF/article_2.html Bref, après avoir lu la description de l'émission et quelques critiques sur Internet, je suis réconforté de voir que c'est aussi carton-pâte que n'importe quelle autre télé-réalité. C'est pas grave, je me fais mon bol de pop-corn et j'écoute ça comme un bon téléroman!

Franchement, quand je lis les noms des enfants "québécois": Audélie, Pamela et Doriane Je me demande où ils sont allé chercher ça!!! Il me semble que ce sont des noms très rares au Québec!

Avis à ceux qui ont un ordinateur portable: le café l'Utopik fait partie du réseau "Ile Sans Fil". Donc vous pouvez aller sur Internet en WiFi gratuitement! Ce café est aussi un haut lieu de la culture "underground" à Montréal; il y a des spectacles de musique tzigane ou ska, des chansonniers, des lectures de poésie, etc. Vous pouvez aussi y trouver des revues anarchistes, des fanzines, des revues de poésie gratuites, de la documentation écolo. Ce n'est pas un café bien décoré, les meubles sont vieux et usés, les sofas sont un peu défoncés. On n'y va pas pour le style mais pour les gens... Passez une bonne soirée là-bas!

Ah ben ça alors... Le pire c'est que t'as raison!!! Il doit y avoir un truc... Je ne pourrai plus me promener en pyjama dans mon salon, je vais me sentir épié!!!

Où sont mes clés de voiture.

Alors si c'est bien Sprint Canada et qu'ils ont utilisé la méthode que vous avez décrite, il s'agit quand même de fraude. Ces pratiques commerciales sont illégales. Il y a des recours. L'Office de la protection du consommateur (pour vous conseiller) http://www.opc.gouv.qc.ca Industrie Canada (pour les pratiques commerciales douteuses) http://www.ic.gc.ca (et faites une recherche avec "fraude" ou "protection consommateur") La GRC n'aurait été utile que dans le cas d'un réseau de fraudeurs. PS: Et oui, les émissions comme J.E. et La Facture peuvent faire un topo sur votre problème et vous aider!

Il y a aussi le bar de drag queens "L'entre peau" près de la station de métro Beaudry. Bar mixte, tout le monde est le bienvenu. Drinks fluo, musique endiablée, humour constant.

Vous êtes certains que vous avez donné vos renseignements personnels à Sprint Canada, et non pas À DES FRAUDEURS? Si vous avez donné votre numéro de carte de crédit, il n'est peut-être pas trop tard pour contacter votre institution de crédit et la faire suspendre. Dans tous les cas, contactez au plus vite la division des "escroqueries" à la GRC. http://www.phonebusters.com/francais/index.html

Je n'ai pas pu écouter l'émission, mais j'aimerais connaître les détails de cet échange amusant. Ça s'est passé dans quelles régions, au Québec et en France? Combien d'enfants y avait-il de chaque côté? Et des animaux domestiques (genre chat névrosé, chien hyperactif? SVP un résumé

Tiens, encore des histoires de crèches et de nourrices.......

C'est vraiment rigolo! Au Québec, on dit "LA clutch" (prononcer "la clotch"). En France, ils disent "LE clutch" (on prononce comment au juste???) ? La pièce subit un changement de sexe en traversant l'Atlantique!?!?

Je seconde!!! Ils ont des bières vraiment excellente, manière Tchèque ou Polonaise. Et l'ambiance est parfaite pour la déguster entre amis.

Autant j'aime Joliette et sa région, autant je dois te mettre en garde. Il n'est pas très réaliste de travailler à Montréal si tu habites Joliette. Le problème n'est pas la distance, mais les ponts. Il faut passer par Repentigny et c'est LA banlieue avec les routes les plus congestionnées le matin. De plus, tu accèdes à Montréal par l'est, ce qui est très loin du centre-ville. Bref, Joliette-Montréal le matin ça doit aller chercher dans les 2 heures de voyagement. Et pire s'il y a de la congestion. Les transports en commun ne permettent pas non plus d'améliorer les choses. A moins de passer par Terrebonne, où il y a des voies réservées pour les autobus. Et toujours pas de train de banlieue... Bref, si tu habites Joliette, tu peux te trouver un emploi à Joliette même, à L'Assomption, à Repentigny, à Legardeur, à Lachenaie, à Terrebonne, peut-être même à Laval... mais pousser jusqu'à Montréal, c'est sacrifier ta qualité de vie.