Zogu

Le fait d'être chauffé ou non, ça influence aussi le type de logement. Les logements chauffés avec eau chaude sont toujours dans de plus gros immeubles, avec 16 unités de logement ou plus et accès par un corridor. Il y a un système de chaufferie au mazout ou à l'huile, au sous-sol. Les logements "chauffage non inclus" sont chauffés par plinthe électrique, aux frais du locataire. Il y a plus de variété: duplex ou triplex "bloc", accès par corridor ou par porte privée, etc. Ça peut donc influencer le type d'habitation qui vous convient.

Dans l'ouest canadien et américain, il y a beaucoup de "bénévolat évangélique". Aux USA, il y a même la formule "Une prière, un repas" ("A prayer a meal"). C'est de la fausse générosité...

C'est sûr, il a une voix de gringalet dans le doublage fait en France!!!

Wow, c'est la première fois que j'entends une telle histoire de popcorn dangereux! (Et là je ne parle pas du popcorn cannibale dans le film "Killer Klowns From Outer Space") J'ai fait une petite recherche sur Internet et tout ce que j'ai trouvé c'est des articles sur les employés des usines de popcorn qui se ratatinent les poumons. On en apprend tous les jours. http://www.butterflavoringlunginjury.com/news.htm Sinon... bienvenue à Toronto et je vous souhaite de réussir dans tout!!! PS(1): Le popcorn Act II a un goût plus réaliste que le Orville machin. PS(2): Dans mon micro-ondes 700W, ça prend exactement 3min25sec et si le sachet tourne bien sur le plateau, aucun grain ne brûle. PS(3): Vous faites bien de manger du popcorn, c'est moins mauvais pour la santé que les chips. Longue vie!

Pour le Bas-Saint-Laurent, il y a aussi les sites suivants... Soleil du jour (pour votre coucher de soleil quotidien, en direct de Kamouraska!) http://www.soleildujour.com/ http://www.soleildujour.com/fond/index.html Tourisme Bas-Saint-Laurent http://www.tourismebas-st-laurent.com/vitr...?value=generic2

Ils devraient simplement passer une lampe UV au-dessus des claviers, une fois de temps en temps. Il me semble qu'il y a aussi des solvants en vaporisateur qui peuvent être utilisé (non, pas de l'acétone... alcool? ether?) Sinon ils n'ont qu'à faire comme dans les milieux industriels: tu recouvres le clavier d'une pellicule plastique mince, et tu la nettoies simplement avec un savon liquide puissant de temps en temps.

Nat, t'as l'air horrifiée!!!

Mouain... tout un concept, cette idée des choix de Bruxelle glacés! Laissez-moi imaginer une recette réaliste... -------- Chou de Bruxelle glacé à l'orange Faire cuire 1 tasse de choux de Bruxelle à la vapeur, jusqu'à ce qu'ils soient tendres. Ajouter une noix de beurre, une pincée de muscade, sel et poivre au goût, et 50 ml de crème fleurette. Passer au mixeur jusqu'à obtenir une purée bien lisse. Laisser tiédir. Battre en neige les blancs de 4 oeufs, les faire monter jusqu'à ce qu'ils soient bien fermes. Dans les blancs d'oeufs, plier la purée de choux de Bruxelle et mêler délicatement. Sur un papier aluminium, déposer des boulettes de 5 cm de ce mélange. Congeler pendant quelques heures. Servir les boulettes glacées sur des pavés de pâte feuilletée, avec un coulis d'orange et quelques amandes grillées. -------- PS: Faudra que je l'essaie dans les prochains jours!!!

Il y a plusieurs entreprises qui font du doublage, du montage vidéo et de la post-production à Montréal. Quand je travaillais dans la cité du multimédia (dans le vieux port), notre voisin d'étage faisait cela. Je ne vous dis pas le boucan quand ils "testaient" les films d'action...

Pastis: ça se trouve à la SAQ (mais pas toutes les sortes, hélas) Cigales: il y en a à certains endroits hors de Montréal (où il y a des grands pins, comme à Mascouche, Oka ou vers Rigaud) Surf: oublie ça! Champignons: pour les champignons frais (chanterolles, cèpes, pieds bleus, pleurotes, craterelles, morilles) aller au marché Jean-Talon ou dans d'autres épiceries en saison. Ou sinon il pousse des morilles sur mon terrain D'ailleurs ça va être la récolte dans 1 mois. Oliviers: sniff sniff, on n'en a pas! Cerisiers: ça par contre il y en a (décoratifs ou sauvages) L'accent du sud: l'acceng? PS: y'en a qui ne trouvent pas de fromage de chèvre ou de chèvre chaud à Montréal?!?! Moi si je quittais le Québec, je m'ennuierais du maïs en épi, du sirop d'érable (il y en a toujours une bouteille dans mon frigo), des maisons en pierre des champs et du temps des pommes en automne. PS: Queenie si tu veux avoir des chèvres dans ta cour, va habiter dans Lanaudière!!!

9600 ce n'est pas un quota, c'est un objectif.

J'ai vécu dans le quartier Hochelaga, au sud de la rue Sherbrooke... le matin, il y avait parfois une odeur un peu écoeurante de fermentation. À cause des installations industrielles dans le port de Montréal (brassage de la bière, raffinage du sucre). C'est le seul quartier où j'ai perçu un problème d'odeur. Partout ailleurs, c'était bien correct.

Saint-Jérôme est une ville stratégiquement située entre les montagnes et la zone métropolitaine de Montréal. Vous êtes à moins d'une heure de chacun. C'est un bon choix si vous pouvez travailler sur place. Faite la distance Saint-Jérôme - Montréal, ça peut être pénible... pas à cause de la distance mais à cause du volume de voitures. L'autoroute 15 est souvent congestionnée le matin et le soir... parfois, surtout toute la distance entre Montréal et Mirabel. Et le dimanche soir, les gens qui rentrent en ville peuvent créer un bouchon qui s'étend jusqu'à Saint-Sauveur. J'aime bien Saint-Jérôme, qui a le format idéal de la petite ville québécoise. Ni trop grosse ni trop petite. C'est un centre administratif régional qui a aussi quelques industries et des commerces. Même si du côté des restaurants c'est pas génial. Sans compter les quelques boulevards laids hérissés de fast food et de stations service. J'aime bien la proximité des plaines, des champs cultivés, des boisés, des collines. Les cabanes à sucre, la rivière, la très longue piste cyclable.

Exact! L'évaluation municipale sert de base pour les taxes foncières. Elle peut aussi servir de point de repère si tu veux calculer la "valeur absolue" de la maison, autrement dit, ce qu'elle vaudrait vraiment si le marché immobilier était au point mort. Un agent immobilier que j'ai connu disait en blaguant que les municipalités "évaluent les maisons à la longueur et au poids!" Petit rigolo. Mais c'est vrai que les critères esthétiques ne sont absolument pas pris en compte dans cette évaluation "minimaliste". En général, le prix demandé à la vente varie entre 1.25x et 2x l'évaluation municipale. C'est en tout cas ce que j'ai observé au cours des 3 dernières années (car j'ai acheté 2 fois). J'ai souvent fait ce petit calcul. Pour ne pas vous faire avoir à payer trop cher, prenez le temps de vous renseigner sur le prix de maisons semblables dans le même quartier. Mieux encore, allez en visiter quelques-unes, même si vous n'avez pas l'intention d'acheter. Ça donne une idée plus variée de votre futur milieu de vie.

=-=-=-= Un livre vante les «Irréductibles Québécois» PC/Le Devoir Jeudi 17 février 2005 Réf: http://www.ledevoir.com/2005/02/17/75028.html Paris -- C'est peut-être le livre qui manquait aux Français pour bien prendre la mesure du Québec d'aujourd'hui. Paru il y a quelques jours, Irréductibles Québécois les invite non seulement à découvrir «la face ignorée et lumineuse du Québec», comme l'a dit Le Monde, mais aussi à prendre exemple sur lui. Son auteure, Valérie Lion, est journaliste économique au magazine L'Express. Elle est aussi une des bonnes spécialistes françaises du Québec, dont elle est tombée amoureuse il y a une douzaine d'années. En près de 300 pages, elle s'applique à faire comprendre à ses compatriotes que les Québécois ne sont pas simplement de gentils «cousins» habitant un «coin de la Douce France en Amérique». À travers cet ouvrage, les lecteurs du Québec réaliseront de leur côté que les Français ne les connaissent et ne les comprennent toujours pas. «Malgré l'intensité des échanges et les centaines de milliers de touristes qui s'y rendent chaque année, le Français moyen connaît mal le Québec, souligne Valérie Lion. On a de lui une image superficielle, voire caricaturale. Les Français ignorent tout des succès des Québécois sur la scène internationale. Ils ne connaissent pas l'importance de Bombardier, de Quebecor ou du Cirque du Soleil.» La presse française écrit régulièrement sur le Québec, élevé (avec le Canada) au rang de «boîte à idées» du gouvernement français, notamment en matière de «gouvernance», de réforme de l'État, d'immigration ou de développement des nouvelles technologies. Jugeant qu'il n'a pas pour autant «la place qu'il mérite dans les médias», Valérie Lion a voulu aller plus loin, s'attachant à faire la synthèse des «progrès extraordinaires» réalisés dans tous les domaines par le Québec depuis la Révolution tranquille. Dans Irréductibles Québécois, la journaliste dresse donc le portrait d'un Québec «sans complexe», qui choisit d'affirmer son identité non pas en se repliant sur lui-même, mais en s'ouvrant au monde. «Les Québécois, écrit-elle par exemple, ont accepté d'amender le capitalisme sans jamais le rejeter, de se mettre au diapason de la mondialisation sans renoncer à leurs exigences sociales, comme l'égalité et la solidarité.» Les Québécois se sont beaucoup inspirés du modèle français dans les années 60. Aujourd'hui, dit Valérie Lion, c'est au tour des Français de prendre exemple sur eux. «La France a énormément de choses à apprendre du Québec. La France dans l'Europe à 25 n'a plus le même poids. Les Québécois savent ce que c'est de vivre dans un grand ensemble. Ils nous montrent la voie à suivre.» =-=-=-=

Black Warrior, Tout comme Cherry (qui a fait une excellente intervention plus tôt dans ce débat), tu travailles dans un domaine très créatif. Si je regarde ton profil, je lis "ex-concepteur multimédia". Cherry, quant à elle, travaille dans le domaine de la télévision. C'est sûr que les qualités recherchées dans un CV varient d'un domaine à l'autre. Outre les qualités de base (perfection du contenu, vérité, honnêteté, présentation soignée), les domaines créatifs ou artistiques demandent en plus beaucoup de créativité, justement. La concurrence est vive et les employeurs s'attendent à des surprises, à des gens qui ont du front, voire de l'impertinence. Pas plus tard que le mois passé, à Montréal, un chercheur d'emploi dans le domaine de la publicité a créé tout un émoi en envoyant son CV dans une caisse ficelée et recouverte d'inscriptions en Arabe. Voulant susciter les interrogations, il a plutôt créé une petite panique dans la tour à bureaux!!! Faut croire qu'il a surestimé l'ouverture d'esprit de son futur employeur. Par contre, c'est sûr qu'on se souviendra de lui! Ce que je dis, finalement, c'est que le format d'un CV et le degré de fantaisie/impertinence recherché varient selon votre domaine d'emploi. Étant dans le domaine du développement informatique, je présente une vision qui est très conventionnelle, puisque c'est ce qui est généralement attendu. Cela vaut pour la plupart des domaines d'emploi, que ce soit chez les comptables, les rédacteurs techniques, les plombiers, les manoeuvres, les enseignants, etc. Pour les autres, ceux qui sont en multimédia, musique, télévision, design, mode, publicité, marketing, etc. Ou ceux qui veulent se trouver un emploi dans une entreprise qui a une réputation "cool" comme Virgin ou Softimage... Eh bien, il faut en faire pas mal plus!

Ben justement Alain... je SUIS en région. Et en région, qu'est-ce qui s'accumule à une vitesse folle? Les 3 ou 4 journaux locaux gratuits, qui paraissent chacun 1 fois par semaine. Les gens de région sont des journalistes compulsifs. Ils ne peuvent s'empêcher de parler de tout ce qui se passe dans le coin (même s'il ne s'y passe pas grand chose). Ils parlent tous des mêmes nouvelles édifiantes comme: le débat sur la nouvelle piste cyclable, le souper de spaghetti de l'Age d'Or, le Salon de la "chambre de comerres", le gars qui a serré la main du pape en 1983, etc. Donc tu pars pendant 1 semaine, tu reviens et y'a des centaines de pages qui virevoltent à travers les bourrasques et la poudrerie.

Ben moi... la neige sur mon terrain est remplie de feuillets de journaux, qui se découvrent lentement à mesure que ça fond. Tout ça parce que pendant que nous n'étions pas là, des journaux (déposés perfidement sur le pas de la porte) ont été effeuillés par le vent et dispersés sur le terrain. Ah oui -- et hier j'ai trouvé un emballage de chips vide et un vieux paquet de cigarettes détrempé. Pourtant mon terrain n'est pas vraiment dans un quartier pauvre. Je patrouille tous les jours pour enlever les cochonneries à mesure que la glace veut bien les laisser partir... Et tout ça sans compter les gravillons qui se sont accumulés sur le bord de la pôvre pelouse. C'est sale, c'est jaunâtre-détrempé pis ça pue. Vive le printemps au Québec.

Les employeurs ne demandent en général pas d'être bilingue, ils demandent un "anglais fonctionnel". Autrement dit, être capable de comprendre des trucs pas trop compliqués et de se débrouiller. Pas besoin d'être capable de jouer Macbeth avec le bon accent. Pour le travail de bureau, je peux comprendre qu'un niveau anglais minimal soit demandé. En tant que commis, tu auras parfois à traiter des dossiers en anglais ou à répondre à des appels/correspondances en anglais (même si le bureau fonctionne en français à l'interne, nous sommes 2% de francophones entourés de 98% d'anglophones, donc en affaires il faut en tenir compte). La bonne nouvelle, c'est que vous pouvez probablement atteindre le niveau demandé en quelques mois d'efforts acharnés (prendre un cours, écouter la TV en anglais, se pratiquer). Efforts qui se perdent parfois en lamentations, hélas...

Le "grand ménage" du printemps s'en vient. Rares sont les endroit qui échappent à la saleté qui s'accumule l'hiver...

Tant que ce que vous écrivez est vrai... Il n'y a rien de mal à présenter sa personnalité de manière "sélective" ou "ciblée". Évidemment il n'y a pas de recette magique ou de mot-clé qui ouvre toutes les portes! Chacun doit trouver sa propre clé... Les gens qui ont le plus de succès socialement sont ceux qui ont de la facilité à s'adapter à leur interlocuteur tout en demeurant authentique.

Marion, oui, ça se fait toujours. Une amie à moi l'a fait le mois passé. D'ailleurs, il lui est arrivé une belle histoire. Elle avait fait sa demande de NAS et n'avait pas encore reçu sa carte. Elle a été convoquée en entrevue pour un emploi de secrétaire. L'employeur était très intéressé par son profil mais il voulait attendre qu'elle ait son NAS (et non pas juste le papier temporaire). Il lui a dit qu'il lui donne 3 semaines pour le recontacter. Du coup, mon amie était découragée, elle se disait que l'employeur ne voulait pas d'elle. Donc... elle reçoit finalement son NAS et elle recontacte l'employeur. Eh bien il lui a fait signer son contrat immédiatement et hop! elle commence à travailler le lundi suivant!!! Comme quoi même si les employeurs sont parfois frileux face à des papiers "pas encore officiels", ça vaut la peine de commencer à chercher tout de suite.

Même pas! Si on me débarque à Québec, je vais me perdre. Les seules place que je connais sont la station de bus, les coins touristiques (quand j'arrive à les retrouver), une crêperie pas bonne et le TamTam Café.

Bingo, Laurence! Crèmerie Meu-Meu 4458 St-Denis J'ai faim làààà.....

Oulala, TitiPirouette, dis-nous donc quels sont vos domaines professionnels! Je viens de lire sur ton profil qu'au moins l'un de vous deux est en recherche d'emploi. Tu peux nous faire une courte description de vos 2 profils. Des fois que quelqu'un sur le forum ait un bon tuyau pour vous! Et parlant de tuyaux... weezer... La plomberie, il y en a partout! C'est un emploi qui s'exporte bien en région. Juste la semaine passée, j'ai fait affaire avec un plombier de Rimouski pour faire dévier un tuyau d'arrivée d'eau dans mon sous-sol. Il travaille dans une entreprise en plomberie qui compte plusieurs employés. Il s'agit de Gérald Leblond Limitée, à Rimouski. Ils sont sympa et efficaces. Il y a aussi Plomberie Robert Deschênes Inc., de Rimouski toujours, qui fait des travaux de chauffage, de plomberie et de gicleurs anti-incendie. Et pour le chauffage... eh bien... je ne connais pas ta spécialité, mais ici on chauffe surtout à l'électricité dans le résidentiel, alors c'est les électriciens qui font tout le boulot.