Zogu

Quand ma femme était célibataire et qu'elle habitait Raleigh dans le sud-est des USA, elle était très mal vue car célibataire à 26 ans. Les gens se méfiaient d'elle, comme si elle portait une tare. Elle était la femme célibataire, celle dont on doit se méfier. En plus, ça donnait lieu à des quiproquois désagréables. - "Je viens d'arriver ici et je ne connais personne. Connaissez-vous un endroit pour se faire des amis?" - "Il y a un bar pour singles (célibataires) en ville." - "Non non, je veux dire des amis, des gens qu'on côtoie." - "Ah, tu te cherche une gang de filles." Eh oui, l'amitié entre hommes et femmes n'était même pas une option dans ce coin-là. Alors voici la bonne nouvelle: AUCUN de ces problèmes ne devrait se poser à Montréal. Le célibat est valorisé, peu importe la raison. Et l'amitié est facile avec les hommes et avec les femmes (pour peu que tu arrives à comprendre les codes sociaux et la personnalité des femmes québécoises... qui ne supportent pas vraiment les macho). Les femmes québécoises boivent de la bière, draguent, sortent en groupe de filles ou en groupe mixte, ne sont pas compliquées, et te le font savoir si tu ne les respecte pas.

En fait, c'est l'écriture qui a été sabotée au Québec. Avec toutes les réformes contradictoires de l'enseignement niveau Secondaire, y'a plus personne de moins de 20 ans qui possède la grammaire, la conjugaison ou les règles d'accord. Oui d'accord je suis pessimiste... mais j'espère que le dernier virage en date (qui semble ENFIN logique : retour à des méthodes constructivistes) sera le bon. Ça me rappelle les expérimentations débiles du début des années 80. Mon beau-frère a appris l'écriture "au son" et a dû se rattraper plus tard, car son écriture était déficiente. Quant à moi, j'ai subi à la fin du Secondaire la mode du "vécu" : on demande aux élèves de tout rapporter à son "vécu", comme si plus personne ne pouvait avoir de l'imagination ou s'intéresser à autre chose qu'à son nombril. C'est bien beau "le vécu" et les exposés improvisés (en groupe) devant la classe, mais ça n'enseigne pas l'argumentation structurée, la grammaire ou l'histoire du roman. C'est juste bon si tu veux devenir animateur d'émission de variétés.

J'ai vécu à Outremont pendant 2 ans et donc j'ai pu côtoyer le maire Tremblay (qui est très outremontais dans tout). Je le voyais parfois par ma fenêtre, tentant de traverser la rue et finissant immanquablement par mettre les deux pieds dans une grosse flaque d'eau. Il avait l'air hagard d'un dindon décoiffé et fouetté par la pluie (si vous voyez l'image). En québécois on dirait que "le maire Tremblay est un peu quotient." Donc ça ne me surprendrait pas que le site en question ait été... - rédigé par le maire Tremblay lui-même, dans sa langue de dindon - rédigé par des pédagogues, afin que le maire Tremblay soit en mesure de lire le texte malgré son dindonnisme

À moins que tu n'aies mis le feu toi-même dans un acte criminel (ou de négligence extrême), tu n'es pas responsable. La responsabilité civile (non criminelle) est assurée par l'assurance du propriétaire. Donc s'il y a des dommages à l'immeuble ou aux autres appartements, ce n'est pas ton problème. Quant à toi, tu as le choix d'assurer ou non tes biens. Si tu ne les assures pas et qu'ils "partent en fumée", tant pis pour toi! Donc il faut bien y penser. Tu peux calculer la valeur du contenu de ton appartement; tu verras que la facture monte très rapidement. Combien valent tes vêtements (y compris tes manteaux, souliers, bottes)? Tes meubles? Tes couverts, tes petits électroménagers (four micro-ondes, mixeur), ta TV, tes rideaux, ton lit, ton ordinateur. On atteint très rapidement les 4000$ ou même 10000$. Serais-tu en mesure de racheter le minimum pour vivre, si jamais tout cela était détruit? Il faut y réfléchir et prendre une décision bien renseignée. Dans tous les cas (assurance ou non), tu devrais au moins planquer des copies de tes papiers importants chez quelqu'un de confiance. Ou dans un coffret bancaire. Ça aide à repartir en cas de sinistre. Une exception à tout cela: si tu as un bureau professionnel chez toi (dans ton appartement). Dans ce cas, renseigne-toi bien sur la responsabilité civile. Surtout si tu reçois des gens chez toi dans le cadre de tes activités (par exemple, si tu es prof de piano et que tu reçois tes étudiants chez toi).

Faut-il absolument qu'un médecin prescrive un médicament pour que la consultation soit un succès? Pas dans la culture canadienne. S'il n'y a pas de fièvre ou d'enflure grave (gorge ou ganglions), on prescrit du repos. Le Canada est réputé pour être LE pays qui fait l'usage le plus modéré (et responsable) des antibiotiques. Souvent, pour des infections bénignes comme un mal de gorge, on va vous suggérer un rince-bouche médicamenteux (Chloraseptic ou un autre plus costaud), ou simplement des pastilles (Cépacol, Strepsil)... et du repos. C'est uniquement s'il y a de la fièvre que c'est signe d'une infection plus grave; dans ce cas, il y aura prescription d'antibiotiques si la fièvre dure depuis plus de 2 jours... Si l'on prescrit des antibiotiques trop facilement, on travaille contre la santé publique puisqu'on encourage le développement d'infections résistantes. Quand j'étais petit et que j'avais une "maladie hivernale" (rhume, grippe ou autre), ma mère ne m'amenait à la clinique que si j'avais une fièvre persistante ou une toux sèche. La plupart des maux d'enfants guérissent par eux-mêmes, à la maison, avec du repos et des soins parentaux. Serions-nous victimes de la "société trop pressée"?

Est-ce que la outarde te monte au nez? Je reste sans oie! PS: Outarde ou bernache?

Eh bien je n'y vois pas de contradiction à priori. Elle peut très bien aimer le Québec et la France en même temps, et choisir de partager son temps entre les deux endroits comme elle l'entend. Est-ce que quelqu'un qui aime un lieu devrait absolument y habiter? Est-ce que le fait d'aimer un lieu nous fait automatiquement détester tous les autres endroits? Je ne crois pas. On pourrait utiliser comme image celle d'un homme excédé qui dirait à sa femme: "Si tu aime tant notre beau voisin, pourquoi tu ne vas pas habiter avec lui!!!" Sauf que lorsqu'il est question de pays et de lieux, on peut très bien avoir plusieurs amours! PS: J'aime la Croatie.

Hop! Permettez-moi de remonter ce fil de dicussion. Hier nous avons eu droit aux éclaireurs... 2 oies qui cherchaient un endroit où atterrir... mais la rivière du Bic était encore prise dans les glaces. Aujourd'hui il y a eu débâcle, et l'embouchure de la rivière est prête à les recevoir. Et le premier vol d'oies (un beau grand V qui comptait une quinzaine d'oiseaux) vient de passer au-dessus de chez nous. 17 avril à 19h30, donc les oies arrivent au Bic et à Rimouski. Après avoir traversé tout un continent.

Petite mise à jour qui pourra vous intéresser. Désormais, les croisières d'observation des baleines partent de QUATRE quais: Rive sud: - Rivière-du-Loup (parcours #1, estuaire maritime) Rive nord: - Saint-Siméon (parcours #1, estuaire maritime) - Baie-Sainte-Catherine (parcours #2, estuaire maritime et fjord) - Tadoussac (parcours #2, estuaire maritime et fjord) Il y a deux parcours possibles. Tous les deux permettent l'observation des baleines. Le parcours #1 (nommé "Grand Safari maritime") fait une boucle entre la rive nord et la rive sud de l'estuaire maritime du Saint-Laurent. Il passe la moitié du temps dans la zone des baleines (parc du Saguenay) et l'autre moitié du temps à s'approcher des îles et des refuges de la faune maritime. Ce parcours dure 4 heures. Il offre une plus grande variété de paysages. Le parcours #2 (nommé "Baleines") fait une boucle dans l'entrée du fjord, surtout. Il passe tout son temps en zone de baleines (parc du Saguenay). On visite aussi l'embouchure du Saguenay. Ce parcours dure 3 heures. Il se concentre sur les baleines et sur le fjord. Les deux parcours sont tout aussi intéressants. Voir les détails sur le site des croisières AML.

Hé les ti z'amis!!! Arrêtons de nous lancer des tomates. Nos deux pays sont très mal en point du point de vue écologique et je ne crois sincèrement pas que les Français ou les Québécois soient moralement autorisés à faire la morale à qui que ce soit. Et surtout pas à se juger mutuellement. Je vous rappelle que le thème original de ce fil de discussion était de savoir quels sont les enjeux environnementaux au Québec, quels sont les sujets qui intéressent les québécois, quels sont les secteurs/emplois d'avenir dans ce domaine. Qu'on parle de cigarettes, de nucléaire, de l'éolien, de la déforestation, de l'agriculture, de la Meuse, de la Yamaska, du tapochage des phoques ou du gavage des oies... d'accord... tant que c'est pas pour dire "Ton pays pollue plus que le mien, gna gna gnaaaa!" C'est pas un match de boxe. Et puis c'est tellement facile de voir les problèmes de l'autres si on ferme les yeux sur ses propres problèmes... Que celui qui n'a jamais pollué lance la première tomate bio!

La mer, y'en a plein en Gaspésie, dans Charlevoix, sur la Côte-Nord et dans le Bas-Saint-Laurent... Si je quittais mon beau village pour aller m'installer à Lyon ou à Paris, c'est sûr que la mer me manquerait.

C'est sûr que quand il fait -25 C, on peut arrêter et repartir un moteur de voiture n'importe comment.

Mais c'est totalement contre le code du bâtiment. Cela et le fait de ne pas avoir d'installations sanitaires ou de cuisine dans l'appartement. Ces gens devraient être dénoncés à la Régie!!! PS: Combien d'appartements sans fenêtre as-tu vus? S'agit-il d'une seule unité de logement? Parce que moi en 10 ans à Montréal je n'ai jamais, jamais vu cela... même lors de visite de taudis affreux dans le Centre-Sud. Et pourtant j'ai visité des dizaines et des dizaines d'immeubles dans plein de quartiers. PS(2): Peu importe ce qu'on va dire sur les appartements -- ou sur un autre sujet --, il y aura toujours quelqu'un pour arriver avec l'habituel "contre-exemple" ou avec quelque chose de complètement marginal. Ce n'est pas toujours très constructif, puisque ça peut donner une fausse impression (paniquante!) aux gens de l'extérieur.

Ce qui est bizarre, c'est qu'au Canada, nous pouvons lire exactement le même discours alarmant dans les journaux. Que nos diplômés, chercheurs, professionnels (médecins, ingénieurs) artistes quittent massivement vers les USA. Je serais curieux de voir une carte du monde avec les mouvements de fuite des cerveaux...

Contrairement aux étudiants qui doivent compter sur les bourses de recherche ou d'excellence, les post-docs sont généralement salariés. Salaire raisonnable ou même concurrentiel, dépendamment du domaine de recherche (par ex., informatique ou pharmaceutique). Ça peut faire une transition intéressante pour devenir professeur.

Ça c'est vrai en banlieue résidentielle seulement. En ville, il y a alternance de stationnement des 2 côtés de la rue. Par exemple, les lundi-mercredi-vendredi c'est du côté pair. Les mardi-vendredi c'est du côté impair. La fin de semaine, c'est des deux côtés. Dans d'autres quartiers il faut des vignettes pour se stationner. Sauf si vous arrivez passé 23h.

Impossible Franchement.

Pour la qualité: La Baie (sur Sainte-Catherine, station McGill) Linen Chest aux promenades de la Cathédrale (sur Sainte-Catherine, station McGill). Côté Sud Carré Blanc Au Printemps (tous sur Saint-Denis, au sud de la station Mont-Royal) Pour les bas prix: Zellers Rona (eh oui, souvent ils ont de la literie, des rideaux, de la déco)

Ah ben là... Je ne mettrais pas tous les vins non-français dans la même catégorie. Un bon tokaj hongrois, un tempranillo argentin qui fouette, un bon espagnol bien dense (avec les castagnettes), un italien du sud rouge limpide et cuit au soleil, un sud-africain qui sent bon les fines herbes, un icewine autrichien très équilibré, etc. Y'a pas que les "fast food". Hors de Bordeaux, point de salut? Meuh non.

Ben moi depuis que j'habite dans un village, je ne barre plus la porte pantoute. C'est plus facile de l'ouvrir quand on a les mains pleine (sacs d'épicerie, sacs d'ordures). On barre la porte juste quand on quitte la maison.

En effet Dariane. Ce n'était pas tout à fait clair dans mon message, mais les pronoms anglophones ont une origine indo-européenne commune avec le français. Par contre, je n'ai pas retrouvé mes références ; je ne sais plus si l'influence s'est faite dans la langue commune (originale), dans le monde latin ou après la conquête franco-normand. De mémoire: You=Vous (politesse, variable selon l'époque, marquait le pluriel à l'origine) Thee=Vous (politesse) Ye=Vous (pluriel) Thou=Tu (familier) (mais l'usage n'est plus de mise sauf dans la Bible!) (Il me semble qu'on trouve ces explications dans le traité de linguistique de Brown et Gilman mais je ne le trouve plus, je l'ai peut-être prêté à quelqu'un!!!!) Et là je ne parlerai pas en profondeur des origines de pronoms hispanophones ou lusophones. C'est plutôt compliqué. N'y a qu'à penser à l'origine très très formelle et impériale des pronoms "vós", "você senhor", "vocês senhores" et tutti quanti.

En effet, Nicoco! J'ai lu Montesquieu (et Rousseau, pour faire bonne mesure) il y a longtemps. La conception "environnementale" de l'humain est une approche fascinante. Je recopie ici une petite réflexion que j'avais postée sur immigrer.com il y a quelques mois: « Une chose est sûre: quand il fait si froid, c'est toute l'organisation sociale qui doit changer. Impossible de faire comme en Afrique et de vivre en communauté autour du puits du village. Impossible aussi de laisser des gens vivre dehors. Tout le monde doit avoir un toit sur la tête, au moins pour la nuit!!! Dans un pays très froid, les gens passent plus de temps en famille à la maison et moins de temps dehors en groupe. De plus, il est impératif de réduire au maximum le nombre d'itinérants (SDF), sans quoi c'est l'hécatombe. Peut-être que c'est une des raisons pourquoi tant de programmes sociaux sont originaires des pays Scandinaves et du Canada: le pouvoir régional ou national doit protéger (en quelque sorte) les citoyens faibles des rigueurs du climat. Dans un pays froid, il est facile de faire des réserves de nourriture. Elle ne pourrit pas et se conserve bien. Même si la nourriture se fait rare, un "peuple du froid" apprend rapidement à conserver ses aliments de manière saisonnière. Comme l'écureuil qui cache ses noisettes dans un creux de l'arbre. Notre peuple-écureuil est ainsi devenu très économe et prudent. Dans le froid de l'hiver, on perd ses forces rapidement. Et la bouche gèle aussi rapidement. Les québécois n'aiment pas les débats inutilement longs. Coïncidence? Je ne crois pas! Après 5 minutes de discussion au coin de la rue, on passe son chemin. Autre chose: difficile d'avoir l'air sexy l'hiver. Si une femme montre ses jambes trop longtemps, elle va se les geler! Les vêtements lourds ou longs, qu'on porte ici, sont le résultat d'une réaction au climat, et non pas d'une "mentalité de censure". Cependant, l'été il faut troquer les manteaux pour des T-shirts; hop, on voit de la peau! Les grandes variations climatiques seraient-elles aussi à l'origine de la grande ouverture d'esprit des gens? Après tout, si on s'adapte aux caprices et aux différences du climat, on apprend aussi vite à s'adapter aux caprices et différences de nos voisins. Bref, c'est une réflexion intéressante. En pays froid, comment évolue la société? Comment s'organise-t-elle? Comment évoluent les rapports humains? Y aurait-il des qualités sociales... nées de l'exposition au froid? »

Le "code social" est différent au Québec, si on compare avec la France. Il faut comprendre que même ici, on ne tutoie pas n'importe qui n'importe quand. Même si on tutoie les gens dans, disons les 3/4 des situations, il faut impérativement apprendre à bien connaître le dernier 1/4, sans quoi vous allez commettre des impairs. Répétez deux fois la même situation mais avec des gens différents... dans un cas il y aura tutoiement, dans l'autre il n'y en aura pas. Le tutoiement au Québec sert à plusieurs choses: - un mode de communication poli et prudent lors d'un premier contact formel - conserver une distance sociale avec quelqu'un (pour des raisons parfois négatives) - montrer le respect quand c'est important - service du client (dans un cadre professionnel)... même si des fois, on aurait envie de sacrer une taloche à certains employés parce qu'ils ont le "tu" trop facile!!! Souvent on passe du vouvoiement au tutoiement assez rapidement, dans une même conversation. Entre québécois ça se fait "de manière informelle et automatique". Par exemple, au milieu d'une entrevue d'emploi, mon futur patron s'est mis à me tutoyer et j'ai su que j'allais être embauché La distance venait d'être réduite. Un autre détail intéressant. En Acadie, souvent, les gens vouvoient tout le monde. C'est un calque sur le "YOU" Anglais. Comme il n'y a pas de nuance "tu/vous" en Anglais, et que les Acadiens sont en minorité chez eux (sniff), ils ont adopté le "vous=you".

Ah la 138... Route pas très large avec beaucoup de courbes et de côtes, du camionnage lourd, peu d'éclairage. Mais au moins la chaussée est en bon état.. Faut être prudent, il y a eu beaucoup d'accidents sur la 138 ces temps-ci.

Salut! J'habite dans le coin des baleines Le chemin le plus court pour toi, c'est le quai de Rivière-du-Loup. Ça te réduit la distance à 420 km environ (et non 500). De plus, c'est de l'autoroute (la 20) sur toute la distance. Du côté de la rive nord, il y a des départs de Baie-Sainte-Catherine et de Tadoussac. Baie-Sainte-Catherine est toute petite et moins achalandée. Par contre il y a très peu de restaurants dans cette ville. Il faut aussi savoir que l'autoroute se termine à Québec et le reste du trajet est sur une route beaucoup moins confortable (la méchante 138). Évite d'y rouler de nuit. L'idéal, c'est que tu prends la croisière qui part de Baie-Sainte-Catherine, et ensuite le soir tu traverses le Saguenay pour aller dormir à Tadoussac (la traverse du Saguenay est gratuite et très rapide, 10 minutes environ). Dans tous les cas, je te recommande les Croisières AML. http://www.croisieresaml.com/ Tu as le choix entre le bateau confortable (cabine chauffée) ou le zodiac. Ça dépend si tu es de type familial ou sportif. Dans tous les cas, il ne faut absolument pas lésiner sur les vêtements chauds, même en juillet: un bon coupe-vent, des gants, une tuque ou un bonnet. Réserve longtemps d'avance pour la croisière ET l'auberge/l'hôtel. Pour l'hébergement, si tu choisis Rivière-du-Loup, je te recommande de coucher hors de la ville, à Notre-Dame-du-Portage par exemple. Ça a plus de charme. Si tu choisis Baie-Sainte-Catherine ou Tadoussac, tu peux dormir dans un village (comme Port-au-Persil qui est très joli) ou dans Tadoussac. Pour te donner des idées, voici le site des plus beaux villages du Québec. http://www.beauxvillages.qc.ca/ Bonne visite!!!! PS: Tu verras en moyenne 4 ou 5 baleines. Le bateau n'a pas le droit de les approcher alors ça vaut la peine d'apporter des longues-vues. Le café n'étant pas fameux sur le bateau, je recommande d'apporter un thermos. Les paysages sont splendides et sauvages. Les croisières qui t'amènent dans l'embouchure du Saguenay valent la peine. Il faut vraiment très très froid sur le Saint-Laurent à cet endroit. L'eau ne se réchauffe pas à plus de 6 degrés même l'été, alors ça refroidit l'air.